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Animal

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Tout ce qui a été posté par Animal

  1. La fourrure, c'est tabou ; on en viendra tous à bout ! par Jonas Jacquel | dijOnscOpe | lun 06 déc 10 | 08:15 Une opération de fléchage anti-fourrure s'est déroulée samedi 04 décembre 2010 au centre-ville de Dijon. Le but ? Sensibiliser sur le ton de l'humour par un fléchage - à l'aide d'affiches-flèches - des porteurs de fourrures. Organisée par l'association dijonnaise de protection des droits des animaux, Combactive, avec l'aide de militants de Greenpeace, cette opération aura duré trois heures, durant lesquelles la grande majorité des passants se sont montrés très réceptifs. Seuls quelques irréductibles (trois sur une centaine) ont rétorqué : "Moi la souffrance des bestioles j'en ai rien à faire, j'trouve que la fourrure me va bien, c'est tout ce qui m'importe"... ... http://www.dijonscope.com/009746-la-fourrure-c-est-tabou-on-en-viendra-tous-a-bout
  2. 11/12/2010 A New York, pas besoin d’être végétarien pour rester eco-friendly. Les “neo-butchers”, des amoureux de la viande bien faite et bien servie, réconcilient bidoche et environnement. http://www.lesinrocks.com/actualite/actu-article/t/56484/date/2010-12-11/article/les-neo-butchers-reconcilient-viande-et-environnement/
  3. c'est vraiment trop mignon! p.s.: Je crois que tu as seulement oublié une mainate
  4. Veau naissant volé à sa mère et placé dans une niche. Une scène habituelle de l'industrie laitière. Une journée dans une ferme laitière, filmée et documentée par Jo-Anne McArthur de WE ANIMALS September 9th, 2010 A Day at a Dairy Farm http://www.weanimals.org/blog.php?p=10 20 pages d'articles et d'images percutants http://www.weanimals.org/blog.php?p=0
  5. Oui, heureusement, j'ai vu aussi d'autres articles qui faisaient état d'une centaine de manifestants... C'est tout-de-même mieux que quelques dizaines... C'est étonnant de voir que certains journalistes minimisent toujours le nombre de manifestants présents lorsqu'il s'agit de manifestants pour les animaux... ex: Ils n'étaient que quelques dizaines, seulement une poignée de manifestants..., etc. etc.
  6. Euthanasie des animaux Non aux chambres à gaz Mise à jour : 10/12/2010 13h01 Quelques dizaines de défenseurs des animaux (P.S.; NOUS ÉTIONS CERTAINEMENT TOUT PRÈS DE 200 DÉFENSEURS DES ANIMAUX ET NON PAS QUELQUES DIZAINES ... CERTAINS MANIFESTANTS ONT CEPENDANT DÛ REBROUSSER CHEMIN AVANT LA FIN DE LA MANIF- ILS NE SE SONT PAS RENDUS JUSQU'AU BUREAU DU MAPAQ, CAR IL FAISAIT EXTRÊMEMENT FROID, ET SURTOUT POUR LES CHIENS QUI LES ACCOMPAGNAIENT. L'ÉPAIS CALCIUM QUI RECOUVRAIT LA NEIGE BRÛLAIT LEURS PATTES RENDANT LEUR MARCHE DOULOUREUSE) se sont rendus de l'Assemblée nationale pour demander, entre autres, au gouvernement d'interdire l'usage de chambres à gaz pour euthanasier les animaux. De là, les manifestants ont marché jusqu'aux bureaux du ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, sur le chemin Sainte-Foy. Parmi les manifestants, les comédiennes Patricia Tulasne et Joëlle Morin. Selon les manifestants, le gouvernement Charest s'apprête à adopter un réglement qui aurait pour effet d'encadrer, et donc de légaliser, l'utilisation des chambres à gaz pour euthanasier les animaux. Pour les manifestants, il s'agit d'une méthode à proscrire. Une méthode, rappelle Micheline Robitaille, organisatrice de la manifestation, que le Conseil canadien de la protection des animaux décrit comme cruelle : «Les animaux prennent 20 minutes à mourir. Ça s'entretue, ça se bat pour essayer d'avoir de l'air, ça fonce dans les murs, ça veut sortir.» Contre les usines à chiots Pour éviter la prolifération des «usines à chiots», les manifestants réclament aussi qu'on limite à 20 le nombre des chiens de production dans les élevages. «Tous les problèmes des Américains, des Ontariens et du reste du Canada viennent au Québec parce que, justement ici, ce n'est pas encadré», explique Joëlle Morin. «Donc, les industries à chiots et à chatons pullulent ici parce qu'on a le droit de faire n'importe quoi». Et puis, par ailleurs, les manifestants voudraient qu'on interdise la pratique d'enchaîner des chiens en permanence. Enfin, les manifestants réclament qu'on augmente les amendes imposées aux personnes reconnues coupables de cruauté envers les animaux et, même, qu'on leur impose des peines d'emprisonnement. (TVA Nouvelles) http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/national/archives/2010/12/20101210-130109.html
  7. Poules en ville: l'art de contourner les règles Publié le 02 mai 2010 Annie Morin Le Soleil (Québec) Il y a toujours quelqu'un quelque part pour contourner les règles. Un simple appel à tous du Soleil a permis de débusquer plusieurs Québécois ayant déjà gardé des poules (au centre-ville, en banlieue, dans un jardin communautaire...) ou ayant l'intention de s'y mettre. Aucun n'a toutefois accepté de dévoiler son identité, de peur de se faire pincer par les autorités municipales. C'est le cas de Denise (nom fictif), qui vit en banlieue et se prépare à accueillir trois poules : une brune, une noire et une blanche, déjà réservées chez un agriculteur de l'île d'Orléans. Son conjoint construit un petit poulailler qui sera installé dans la cour arrière. La dame ne craint pas la réaction des voisins, qu'elle se promet de gâter avec de bons oeufs frais. Il faut dire qu'ils ont l'habitude : l'un d'eux gardait 10 poulettes l'été dernier! «La pompe de la piscine du voisin d'en arrière fait plus de bruit», dit Denise en connaissance de cause. Se qualifiant de «débutante en pou­les», notre interlocutrice les adopte pour se rapprocher de la nature et savoir ce qu'elle mange. Elle croit aussi que la compagnie des petites bêtes fera du bien à sa mère âgée, qui vit avec elle à la maison. Michel (nom fictif), qui a déjà gardé des poules en ville quand ses enfants étaient en bas âge, entend aussi récidiver, pour le plaisir de ses petits-enfants et des jeunes voisins cette fois. Une bonne occasion, selon lui, de leur faire réaliser l'importance de l'agriculture et de bien s'alimenter. Christine Gingras, présidente du nouveau Réseau d'agriculture urbaine de Québec, aimerait bien que la réglementation s'assouplisse pour permettre l'élevage de poules urbaines dans la grande région de Québec, mais elle considère qu'il y a d'autres batailles plus importantes à mener. «Ceux qui veulent le faire le font et ça ne dérange personne», fait-elle remarquer, peu inquiète de voir apparaître des «inspecteurs de poules» à Québec et à Lévis. http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/affaires/agro-alimentaire/201005/01/01-4276289-poules-en-ville-lart-de-contourner-les-regles.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_vous_suggere_4276288_article_POS1
  8. j'ai justement vu un reportage sur ce sujet la semaine dernière... On affirmait que ça n'était pas les élevages de bovins qui étaient responsables des changements climatiques, mais les automobiles qui étaient de plus en plus nombreuses
  9. Au Canada, particulièrement au Québec, on utilise aussi de plus en plus des plumes d'oiseaux pour remplir les manteaux, chapeaux et vestes d'hiver (hommes, femmes, enfants)... Il est d'ailleurs devenu de plus en plus difficile de se trouver un manteau d'hiver qui n'est pas bourré avec des plumes, alors que les bourres en polyester sont toutes aussi chaudes que les plumes
  10. 20'000 petites poules pondeuses à abattre d'un coup: Ça a dû être un effroyable massacre !
  11. C'est sûr qu'ils préparent le terrain.... Ils le font d'ailleurs tous les ans à la même période À moins que l'honorable sénatrice Hervieux-Payette ait l'intention de les mettre aux poubelles, à qui s'attendent-ils de vendre ces 400 000 peaux de bébés phoques alors que le marché européen a définitivement fermé ses portes à ces produits ? p.s. (voir le message de C.H.P. plus bas)
  12. Braconnage en Estrie - APPEL AUX CITOYENS MONTRÉAL, le 8 déc. 2010 /CNW Telbec/ - Le Service de la protection de la faune sollicite l'aide de la population afin de recueillir des renseignements concernant des actes de braconnage qui se sont déroulés dans la région de l'Estrie. Braconnage de quatre cerfs de Virginie Le 20 novembre 2010, vers 16 h 45, quatre cerfs de Virginie, dont deux femelles et deux jeunes mâles, ont été abattus illégalement à l'aide d'une carabine à partir du chemin Soucy et du rang 2, de l'arrondissement de Bromptonville. Ces actes de braconnage se sont déroulés alors que la période de chasse à la carabine était terminée et que la période de chasse à l'arme à chargement par la bouche n'était pas encore commencée. Deux individus à bord d'un véhicule ont été aperçus sur les lieux par des citoyens. Braconnage d'un orignal Le 28 novembre 2010, vers 16 h 15, dans le secteur du chemin Lessard dans la municipalité de Dudswell, des individus ont fait feu sur une femelle orignal adulte alors que la chasse à l'orignal était terminée depuis près d'un mois. Les suspects ont abandonné sur place l'animal agonisant qui a succombé à ses blessures après avoir parcouru près d'un kilomètre. Les citoyens sont invités à communiquer avec le bureau de la protection de la faune de Sherbrooke au 819 820-3121 ou à téléphoner à SOS Braconnage au 1 800 463-2191. Les renseignements transmis sont toujours traités de façon confidentielle. La collaboration des citoyens est importante À titre d'exemple, dans la soirée du 30 novembre 2010, les agents de la protection de la faune ont procédé à une perquisition chez un suspect dans le secteur de Val-Joli, près de Windsor. Son arme à feu fut saisie et l'individu sera poursuivi pour avoir chassé le cerf de Virginie en temps défendu et avoir eu en sa possession un cerf de Virginie abattu illégalement. Cette opération a été rendue possible grâce à la vigilance de citoyens qui ont communiqué avec SOS Braconnage (1 800 463-2191) pour dénoncer un acte de braconnage. Les agents du bureau de Sherbrooke ont pu ainsi résoudre l'affaire. Source : Line Caron Conseillère en communication Ministère des Ressources naturelles et de la Faune Régions de l'Estrie-Montréal-Montérégie et de Laval- Lanaudière-Laurentides Tél. : 514 873-2140, poste 247 Information : Gilles Chiasson Coordonnateur aux dossiers régionaux Direction de la protection de la faune Estrie- Montréal-Montérégie Ministère des Ressources naturelles et de la Faune Tél. : 819 820-3883, poste 235 http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Decembre2010/08/c3653.html
  13. At least 50 sickly cats have been rescued from a Hamilton house owned by a board member for the Toronto Humane Society elected after the animal-welfare group weathered allegations of mismanagement and animal cruelty last year. The board member, Ferne Sinkins, called the Ontario Society for Prevention of Cruelty to Animals to her own property last week after losing contact with a cat-sitter who had been living there rent-free. For several years, the two worked under an unorthodox arrangement whereby Robert Gould, a 69-year-old pensioner, lived in the home free of charge as long as he cared for rescued cats and she supplied food. Ms. Sinkins bought the Victorian house as a shelter for cats she retrieved from Hamilton Animal Control. She operated it as a charitable endeavour and continues to write it off on her income tax, she said. But the agreement soured earlier this year. Following a dispute over Mr. Gould's continued residency, Ms. Sinkins said that her tenant severed all contact with her. "He has closed up the door and won't answer," she said. "I haven't been in touch with him since May." In the meantime, she stopped dropping off food for the animals. Mr. Gould claims that their health has deteriorated significantly as a result. "I'm an old-age pensioner," he said. "I've been trying to buy food for all the cats, but it hasn't been easy. That was supposed to be her end of the deal." On Tuesday, OSPCA officials arrived wearing latex gloves and respirators to retrieve the cats. At least one had been euthanized. "They were in very poor shape," said Mr. Gould. "They ran all over when the OSPCA was here knocking over this and that. The house is a mess. I feel sick about it." He received a notice for a tenant-landlord hearing the same day and suspects to be evicted some time soon. The two disagree where all the cats came from. Mr. Gould claims his landlord dropped off the majority over the past year. At one point, he alleges, there were as many as 120 in the home. He says he rescued no more than 10 or so - from local feral populations, and did so with her consent. A new city by-law limits cats to four per dwelling. Ms. Sinkins insists that her tenant's affection for strays accounts for the high numbers. "He goes outside in the neighbourhood feeding them and then he brings them back [to the house]," she said. "He accumulates them like a hoarder." "He wouldn't tell me how the cats were doing and I put off doing something for as long as I could," she continued. "But I'm on the board of the Toronto Human Society so I don't want to do anything that jeopardizes the board or gives it bad publicity. It has had enough of that the last while." The shelter was closed in April as part of a court-approved agreement between the THS's previous board of directors and the OSPCA. Late last year, the OSPCA raided the shelter, arrested five senior managers and charged them with animal cruelty. All charges have since been dropped. On May 31 the organization voted in Ms. Sinkins and 14 other new board members, all running on the Faces of Change slate, who promised to change the way things are done at the THS. Garth Jerome, executive director of the THS, said he was unaware of Ms. Sinkins' Hamilton home until this week and hopes the incident doesn't detract from efforts to restore the organization's reputation. Shortly after her election, Mr. Sinkins put her Hamilton property up for sale. She hopes to sell it as soon as Mr. Gould leaves. Late Tuesday night, she had found a new home for the Hamilton cats and was leading OSPCA officials there as she spoke to The Globe. Multi-page view Share: At least 50 sickly cats have been rescued from a Hamilton house owned by a board member for the Toronto Humane Society elected after the animal-welfare group weathered allegations of mismanagement and animal cruelty last year. The board member, Ferne Sinkins, called the Ontario Society for Prevention of Cruelty to Animals to her own property last week after losing contact with a cat-sitter who had been living there rent-free. For several years, the two worked under an unorthodox arrangement whereby Robert Gould, a 69-year-old pensioner, lived in the home free of charge as long as he cared for rescued cats and she supplied food. Ms. Sinkins bought the Victorian house as a shelter for cats she retrieved from Hamilton Animal Control. She operated it as a charitable endeavour and continues to write it off on her income tax, she said. But the agreement soured earlier this year. Following a dispute over Mr. Gould's continued residency, Ms. Sinkins said that her tenant severed all contact with her. "He has closed up the door and won't answer," she said. "I haven't been in touch with him since May." In the meantime, she stopped dropping off food for the animals. Mr. Gould claims that their health has deteriorated significantly as a result. "I'm an old-age pensioner," he said. "I've been trying to buy food for all the cats, but it hasn't been easy. That was supposed to be her end of the deal." On Tuesday, OSPCA officials arrived wearing latex gloves and respirators to retrieve the cats. At least one had been euthanized. "They were in very poor shape," said Mr. Gould. "They ran all over when the OSPCA was here knocking over this and that. The house is a mess. I feel sick about it." He received a notice for a tenant-landlord hearing the same day and suspects to be evicted some time soon. The two disagree where all the cats came from. Mr. Gould claims his landlord dropped off the majority over the past year. At one point, he alleges, there were as many as 120 in the home. He says he rescued no more than 10 or so - from local feral populations, and did so with her consent. A new city by-law limits cats to four per dwelling. Ms. Sinkins insists that her tenant's affection for strays accounts for the high numbers. "He goes outside in the neighbourhood feeding them and then he brings them back [to the house]," she said. "He accumulates them like a hoarder." "He wouldn't tell me how the cats were doing and I put off doing something for as long as I could," she continued. "But I'm on the board of the Toronto Human Society so I don't want to do anything that jeopardizes the board or gives it bad publicity. It has had enough of that the last while." The shelter was closed in April as part of a court-approved agreement between the THS's previous board of directors and the OSPCA. Late last year, the OSPCA raided the shelter, arrested five senior managers and charged them with animal cruelty. All charges have since been dropped. On May 31 the organization voted in Ms. Sinkins and 14 other new board members, all running on the Faces of Change slate, who promised to change the way things are done at the THS. Garth Jerome, executive director of the THS, said he was unaware of Ms. Sinkins' Hamilton home until this week and hopes the incident doesn't detract from efforts to restore the organization's reputation. Shortly after her election, Mr. Sinkins put her Hamilton property up for sale. She hopes to sell it as soon as Mr. Gould leaves. Late Tuesday night, she had found a new home for the Hamilton cats and was leading OSPCA officials there as she spoke to The Globe. <http://m.theglobeandmail.com/news/national/toronto/cats-rescued-from-house- of-humane-society-board-member/article1811120/?service=mobile>
  14. Animal

    Animals aren't people

    Appreciate animals for their animal attributes http://www.producer.com/Opinion/Article.aspx?aid=29311 By BARB GLEN, EDITOR 11/11/2010 12:00:00 AM Zenyatta is the talk and the toast of horse racing circles. The six-year-old mare was undefeated until last Saturday, when she ran her last race before retirement and finished a close second. Her career tally is 19-1. Breeders, owners and other keen judges of horseflesh laud Zenyatta's conformation, height and stamina as reasons for her success in a field typically dominated by stallions. But the horse's immense popularity with the public revolves around Zenyatta's supposed "human" characteristics. Her way of posing for cameras. Her placement on Oprah Winfrey's most powerful women list. Her taste for Guinness beer after a workout. It seems that public liking for animals is proportionate to the number of human characteristics imagined and assigned to them. This very thing is a reason behind the success of animal rights activists in staking out the moral high ground to fight animal agriculture. The more we pretend that animals are like people, the more morally repugnant it becomes to use them for food. To put it simply, animals are not people. It's arrogant to assume that the more human-like the animal, the more worthy it becomes. We can celebrate the excellence of Zenyatta, in all her equine glory, without the anthropomorphism. Similarly, cattle producers celebrate bovine excellence in calf production, feed conversion, body type and beef yield. Mike Smith, who writes for the website truthinfood. com, encourages livestock producers to defend themselves on the same moral ground as their opponents. "Every food chain decision is now going to be viewed through a moral prism. That requires a moral defence," Smith writes. "Until everyone in agriculture can articulate what is ethically right in the tools you select to feed the world, you risk falling back on defences that rely only upon pointing out what's wrong with the other guy. Ultimately, it will diminish us all. "Farmers must reclaim their authority based not on science and economics, but on their ethics and morality."
  15. Welfare groups say they're not activists http://www.producer.com/News/Article.aspx?aid=29601 By ROBERT ARNASON, Brandon Bureau 25/11/2010 12:00:00 AM Animal welfare groups want producers to know that welfare isn't the same as rights. The distinction is important because welfare groups want to work with farmers rather than against them, says Geoff Urton, animal welfare co-ordinator with the British Columbia SPCA. "Anything we can do, (we try) to communicate to producers that we're actually on their side," Urton said. "Ultimately, we're trying to make sure they understand the seriousness of some of the consumer perceptions out there and helping them be proactive in preventing consumer perception problems down the road." He admitted farmers might be shocked to be told that SPCAs are their allies, partly because farmers and the general public don't understand the difference between animal rights and animal welfare. "It's not easy for Joe Public to pick up on the subtleties," Urton said. Radical positions and extreme actions have blurred the line between the two movements, he added. "So much damage (was) done by certain people in the past, whether they were animal rights or animal welfare, (because) they took too aggressive an approach." The distinction between animal rights and animal welfare is clear to Bill MacDonald, executive director of the Winnipeg Humane Society. Animal rights groups want to generate headlines and public sympathy, while animal welfare organizations work directly with government and industry to change policies. "There are off the wall groups, like PETA (People for the Ethical Treatment of Animals), who pull what I would call stunts, where they spill blood on people.. I peg that as an activist," he said. "Whereas the humane society, we are advocates or lobbyists.. We get in the room with the lawmakers." While the line is clear to him, MacDonald agreed with Urton that most farmers probably don't make a distinction between animal advocates and activists. Canadian Federation of Humane Societies program director Shelagh MacDonald said she has learned firsthand about the public's misperception of animal welfare organizations. About a decade ago, MacDonald and other lobbyists initiated a campaign to modernize the section of the criminal code that pertains to cruelty to animals. MacDonald's efforts ultimately failed, butshestillrecallsthereactionfromfarm groups when she launched the initiative. "Frankly, I've been here 18 years and I was actually shocked that many of those people and groups thought that we were animal rights," Mac-Donald said. The point of creating a new section for animals was to reflect Canadian values by treating cruelty cases as crimes that cause unnecessary suffering to animals, she said. "We didn't want the criminal code to be used to prosecute farmers for doing what they are currently doing," she said. The proposed changes prompted hostile reactions from producer groups. Following the outrage, Mac-Donald realized her organization had to communicate more effectively with livestock groups. "We are not a vegetarian promoting organization. We promote the humane treatment of animals."
  16. L’honorable Céline Hervieux-Payette, c.p. Leader de l’opposition au Sénat POUR PUBLICATION IMMÉDIATE L’Europe aux mains des groupes végétariens anti-chasse au phoque Le Sénateur Céline Hervieux-Payette dénonce la cruauté de l’embargo envers les animaux www.phoque.org OTTAWA, le 29 octobre 2010 – « Hier, l’Europe a mis en danger les phoques en plus des Canadiens qui vivent de cette ressource » a déclaré le Sénateur Céline Hervieux-Payette qui regrette la décision de la Cour de justice de l'Union européenne d’avoir levé la suspension de l’embargo sur les produits dérivés du phoque. « La surpopulation de phoques nécessitera quoi qu’il arrive une régulation de l’écosystème. Si nous ne trouvons pas un marché alternatif à l’Europe pour vendre les produits dérivés du phoque, nous serons condamnés à jeter les phoques à la poubelle. Rendu là, je ne suis pas sûre qu’il y ait la même supervision du gouvernement Canadien pour garantir des méthodes de chasse sans cruauté. » Le Sénateur Hervieux-Payette rappelle que cet embargo est immoral en plus d’être illégal en vertu des règles de l’Organisation mondiale du commerce. « Les Européens veulent nous imposer leur vision universelle de l’éthique animale qu’ils ne sont pas capables de s’imposer pour leurs chasses sportives, bien plus conséquente que la chasse au phoque. » Et de s’interroger : « où sont leurs réglementations, leurs supervisions et leurs rapports scientifiques indépendants ? » Le Sénateur constate que le mouvement végétarien nourrit par Hollywood s’est structuré au point d’être capable d’influencer les décisions européennes sans aucun fondement scientifique. « La vision sociétale de la " jet set" totalement déconnectée de la réalité est en train de sortir des films de série B pour se répandre dans les parlements. C’est pathétique » a estimé le Sénateur. Le Sénateur Hervieux-Payette milite en faveur d’une intervention du gouvernement fédéral pour assurer un revenu plancher aux chasseurs et pour aider au développement de nouveaux marchés. « Je considère que tant et aussi longtemps que nous aurons à nous battre contre ce boycott injuste, le revenu de 2005 devrait être minimalement assuré par le gouvernement du Canada ». - 30 - (English version available) Maximilien DepontaillerConseiller politique Bureau de l’honorable Céline Hervieux-Payette, c.p. 613-947-8008 - deponm@sen.parl.gc.ca http://www.phoque.org/_files/FRA_communique_BoycottPhoque_001.pdf
  17. Animal

    BULLETIN AUTOMNE 2010

    OPÉRATION BRACONNAGE À ST-BENJAMIN Le 30 novembre 2010 Quatre braconniers ont été interceptés jeudi dernier à St-Benjamin par les agents de conservation de la faune. Ils effectuaient de l’abattage illégal de femelles en plus de chasser sans permis. Les agents ont saisi des armes, des accessoires de chasse et 2 cerfs. Les amendes totalisent 15 000 dollars. Ces infractions concernent les années 2009 et 2010.
  18. Un acte de braconnage révoltant sur la ZEC du Bas-Saint-Laurent Un acte de braconnage révoltant sur la ZEC du Bas-Saint-Laurent Ernie Wells Chasse et pêche - Publié le 19 novembre 2010 à 16:28 Les deux bêtes abandonnées sont à quelque 20 pieds l une de l autre. Tout semblait pourtant indiquer que la saison de la chasse de l’orignal s’était déroulée sans problèmes sur le territoire de la ZEC Bas-Saint-Laurent, jusqu’à ce qu’on découvre récemment les carcasses de deux veaux braconnés. La scène est révoltante. Les deux orignaux sont à quelque 20 pieds l’un de l’autre. Aucune trace de la femelle. A-t-elle été aussi ciblée par le ou les braconnier(s) et emportée ni vue, ni connue ? A-t-elle fui les lieux après le carnage, en délaissant, impuissante, ses rejetons ? Est-ce un individu frustré de ne pas avoir ciblé un mâle réglementaire en temps légal qui a déchargé son arme sur les veaux ? Ou a-t-il été surpris, après son acte illégal, le forçant à quitter prestement les lieux? Gestes irresponsables Les patrouilleurs et auxiliaires à la protection de la faune sur la ZEC-BSL, Claude Castonguay et Pierre Desrosiers, ont découvert le massacre la semaine dernière, à la suite d’indications d’un usager qui avait repéré la présence de plusieurs corbeaux et d’un aigle à tête blanche (Pygargue), en train de festoyer sur les carcasses. «La scène se situe à quelque 75 pieds du chemin du Lac Mistigougèche. Dans le même secteur où une femelle et son veau avaient aussi été braconnés il y a quelques années», relate Claude Castonguay. La direction de la ZEC BSL dénonce vigoureusement cet abattage illégal de deux veaux durant la chasse à l’arme à feu du cerf. «Ce sont des gestes irresponsables à se produire sur notre territoire et qu’on ne peut tolérer», tranche le directeur général Jacques Lévesque. La ZEC-BSL demande à toute personne pouvant fournir des renseignements qui permettraient de retracer le ou les individus à l’origine de ce méfait, de contacter directement les agents du Service de la protection de la faune au 418 727-3516. Comme toujours, les informations recueillies demeurent confidentielles. Cheptel hypothéqué Les conséquences futures de ces actes sur le cheptel orignal de la ZEC-BSL sont importantes. En tenant compte qu’un des deux veaux est une femelle, celle-ci aurait eu son premier bébé à sa troisième année de vie. Puis un autre à sa quatrième année, et deux veaux à sa cinquième année. Ainsi, elle aurait donné naissance à quatre veaux en trois ans. Et si on retient deux femelles sur ces quatre veaux, elles auraient eu huit veaux en trois ans, dont quatre femelles qui se reproduisent. Continuez le calcul. Ces actes de braconnage hypothèquent la pérennité de l’espèce et conséquemment, l’avenir de la chasse sportive de l’orignal. D’où l’importance de dénoncer tout acte illicite et d’identifier le ou leurs auteurs pour qu’ils cessent de piller la faune des chasseurs actuels et des générations futures. http://lechodelabaie.canoe.ca/webapp/sitepages/content.asp?contentid=167319&id=618
  19. Animal

    BULLETIN AUTOMNE 2010

    Un acte de braconnage révoltant sur la ZEC du Bas-Saint-Laurent Ernie Wells Chasse et pêche - Publié le 19 novembre 2010 à 16:28 Les deux bêtes abandonnées sont à quelque 20 pieds l une de l autre. Tout semblait pourtant indiquer que la saison de la chasse de l’orignal s’était déroulée sans problèmes sur le territoire de la ZEC Bas-Saint-Laurent, jusqu’à ce qu’on découvre récemment les carcasses de deux veaux braconnés. La scène est révoltante. Les deux orignaux sont à quelque 20 pieds l’un de l’autre. Aucune trace de la femelle. A-t-elle été aussi ciblée par le ou les braconnier(s) et emportée ni vue, ni connue ? A-t-elle fui les lieux après le carnage, en délaissant, impuissante, ses rejetons ? Est-ce un individu frustré de ne pas avoir ciblé un mâle réglementaire en temps légal qui a déchargé son arme sur les veaux ? Ou a-t-il été surpris, après son acte illégal, le forçant à quitter prestement les lieux? Gestes irresponsables Les patrouilleurs et auxiliaires à la protection de la faune sur la ZEC-BSL, Claude Castonguay et Pierre Desrosiers, ont découvert le massacre la semaine dernière, à la suite d’indications d’un usager qui avait repéré la présence de plusieurs corbeaux et d’un aigle à tête blanche (Pygargue), en train de festoyer sur les carcasses. «La scène se situe à quelque 75 pieds du chemin du Lac Mistigougèche. Dans le même secteur où une femelle et son veau avaient aussi été braconnés il y a quelques années», relate Claude Castonguay. La direction de la ZEC BSL dénonce vigoureusement cet abattage illégal de deux veaux durant la chasse à l’arme à feu du cerf. «Ce sont des gestes irresponsables à se produire sur notre territoire et qu’on ne peut tolérer», tranche le directeur général Jacques Lévesque. La ZEC-BSL demande à toute personne pouvant fournir des renseignements qui permettraient de retracer le ou les individus à l’origine de ce méfait, de contacter directement les agents du Service de la protection de la faune au 418 727-3516. Comme toujours, les informations recueillies demeurent confidentielles. Cheptel hypothéqué Les conséquences futures de ces actes sur le cheptel orignal de la ZEC-BSL sont importantes. En tenant compte qu’un des deux veaux est une femelle, celle-ci aurait eu son premier bébé à sa troisième année de vie. Puis un autre à sa quatrième année, et deux veaux à sa cinquième année. Ainsi, elle aurait donné naissance à quatre veaux en trois ans. Et si on retient deux femelles sur ces quatre veaux, elles auraient eu huit veaux en trois ans, dont quatre femelles qui se reproduisent. Continuez le calcul. Ces actes de braconnage hypothèquent la pérennité de l’espèce et conséquemment, l’avenir de la chasse sportive de l’orignal. D’où l’importance de dénoncer tout acte illicite et d’identifier le ou leurs auteurs pour qu’ils cessent de piller la faune des chasseurs actuels et des générations futures. http://progresecho.canoe.ca/webapp/sitepages/content.asp?contentid=167278&id=331
  20. TROIS-RIVIÈRES, QC, le 12 nov. 2010 - Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) confirme que cinq individus originaires de Saint-François-du-Lac, de Charlemagne et de Varennes ont été interceptés le 25 septembre 2010 alors qu'ils étaient en possession de 54 canards de plus que la limite permise. L'enquête menée par les agents de protection de la faune du bureau de Drummondville a permis l'interception de ces individus pendant qu'ils chassaient dans un étang à proximité du rang Bois-de-Maska à Saint-François-du-Lac. À la suite de leur intervention, les agents ont par ailleurs constaté les infractions suivantes : avoir chassé les oiseaux migrateurs sans permis; avoir eu en sa possession de la grenaille autre que de la grenaille non toxique (soit de la grenaille de plomb dans le cas présent); avoir chassé un animal interdit (castor). .... .... http://www.infochasse.ca/actualites/ministere-des-ressources-naturelles-et-de-la-faune/48-acte-de-braconnage-saisie-de-78-canards-dans-la-region-du-centre-du-quebec.html ----------------------- Accusations de braconnage à l'Île d'Orléans Des présumés braconniers font face à 18 chefs d'accusation de chasse illégale au cerf de Virgnie. (Photo: Archives) Publié le 29 Novembre 2010 Marc Cochrane Chasse au cerf de Virginie Une dizaine de chasseurs pourraient avoir à mettre la main dans leurs poches, car ils sont passibles d'amendes totalisant 8575 $. Les présumés braconniers font face à des accusations d'avoir chassé le cerf de Virginie sans autorisation, sur des terres privées à l'Île d'Orléans. Ces accusations font suite à deux opérations récentes ayant pour but de contrer le braconnage dans les régions de la Capitale-Nationale et de la Chaudière-Appalaches. À l'Île d'Orléans, l'enquête a débuté à la suite de signalements reçus de la population locale. Lors de leur intervention, les agents de protection de la faune ont effectué la vérification d'environ 65 chasseurs. De ce nombre, 10 feront face à 18 chefs d'accusation. ... ... ----------------------------------------
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