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Tout ce qui a été posté par Animal

  1. Le vendredi 9 avril 2010 Chroniques Julien Cabana Pas nouveau, la chasse urbaine Depuis quelques jours, certaines personnes se disent étonnées de savoir qu’il y a de la chasse à proximité de Québec et même sur le territoire agrandi de la ville. Pourtant, ce phénomène existe depuis des dizaines d’années. Selon les données fournies par les spécialistes du ministère des Ressources naturelles et de la Faune, 70 % du prélèvement par des activités de chasse se font en milieu urbain et péri-urbain. Ces activités se font principalement dans le sud du Québec et dans le corridor du fleuve Saint-Laurent, où on retrouve la majorité de la population du Québec. Si certaines personnes croient faussement que la chasse signifie régions éloignées, elles se trompent drôlement. Seule une infime partie des chasseurs québécois vont dans le Grand Nord. La majorité du temps, ce territoire est utilisé par les non-résidents. Dans le cas du chevreuil, les principales activités de chasse se font en Estrie et en Montérégie, là où on retrouve beaucoup de population. L’automne dernier, j’ai participé à une excursion de chasse dans les Cantons de l’Est au travers des maisons, des routes et de tout ce qui nous rattache à une ville. Pour les gens de ces endroits, c‘est une pratique acceptée et souvent demandée. En effet, la surpopulation de chevreuils dans ces endroits entraîne souvent des dommages aux récoltes et même au fleurs et aux haies de cèdre. Les chasseurs ne sont surtout pas vus comme des intrus ni comme dangereux. Région de Québec En ce qui a trait à la région de Québec, la pratique d’activités de chasse se fait depuis des générations. « Pour la chasse de la sauvagine et de l’oie blanche dans le corridor du fleuve dans la région de Québec, il s’agit d’une activité qui se fait depuis des dizaines d’années, explique le directeur général de la Fédération québécoise des chasseurs et des pêcheurs, Alain Cossette. Au Mont-Bélair, certaines personnes chassent le chevreuil depuis 40 ans. On peut aussi mentionner des endroits comme Stoneham, où des gens chassent l’orignal tout près des habitations depuis des décennies. Jamais il n’y a eu d’accident ni de conflit entre les chasseurs et les personnes qui demeurent dans ces secteurs. ... http://lejournaldequebec.canoe.ca/journaldequebec/chroniques/juliencabana/archives/2010/04/20100409-094343.html
  2. Animal

    BULLETIN -PRINTEMPS 2010

    Publié le 25 mars 2010 à 05h00 | Mis à jour le 25 mars 2010 à 05h00 Anticosti: la chasse y serait bonne en 2010 Agrandir L'hiver tardif et peu neigeux a été fort clément pour les chevreuils d'Anticosti. Collaboration spéciale André-A. Bellemare André-A. Bellemare, collaboration spéciale Le Soleil (Québec) À moins que ne surviennent des tempêtes extraordinaires durant les prochains mois - ce qui est toujours possible -, la chasse du chevreuil de l'automne s'annonce exceptionnelle dans l'île d'Anticosti. Actuellement, dans la moitié ouest de l'île, là où sont situées les pourvoiries de la Société des établissements de plein air du Québec (SEPAQ) ainsi que la pourvoirie coopérative du lac Geneviève, il n'y a presque pas de neige au sol. Les cerfs, surtout les mâles, ont pu se déplacer à leur aise depuis la fin de la période de reproduction (fin novembre) pour se nourrir et refaire leurs forces après le temps du rut. Normalement, vous le savez, les hivers hâtifs et très neigeux traînant en longueur sont mortels pour les chevreuils, surtout pour les bucks qui accouplent chacun des dizaines de biches en automne. Parce que, durant le rut, les cerfs cessent pratiquement de se nourrir pour «courir» les biches. Ces mâles brûlent alors la graisse accumulée durant les mois précédents, et ils terminent la saison des amours amaigris et affaiblis. Si l'hiver arrive tôt, s'il neige abondamment et fréquemment dès le début de l'hiver, la vie des mâles reproducteurs est mise en danger, puisqu'ils ont de la difficulté à se déplacer dans l'épaisse couche de neige au sol; de plus, leur nourriture a été rapidement ensevelie sous la neige. Voilà pourquoi ce sont les gros cerfs mâles reproducteurs qui crèvent en premier dans les hardes durant les durs hivers. Mais si, comme c'est le cas cette année, il n'y a presque pas de neige au sol, ces mâles ont plus de chances de survivre. Jeunes cerfs à Anticosti L'automne dernier, je vous ai souligné qu'il y avait beaucoup de faons à Anticosti en 2008 et 2009 : presque chaque biche était suitée d'au moins deux faons, et certaines avaient mis bas trois rejetons. Ce qui indique que les hivers de 2008 et 2009 avaient été très cléments pour les cerfs d'Anticosti. Ceux qui sont allés dans l'île durant l'automne dernier ont constaté le pourcentage important de daguets ou spikes : ces jeunes cerfs mâles, nés au printemps de 2008, seront des «quatre pointes» ou des «six pointes» à l'automne. Le printemps actuel a été bien hâtif; s'il reste doux et s'il est suivi d'un bel été, les chasseurs fréquentant Anticosti durant l'automne seront vraiment au paradis! Mais ils doivent réserver leur place tôt, parce que les places offertes sont réclamées rapidement, maintenant que la bonne condition des hardes de chevreuils de l'île est connue... Rappelez-vous aussi que plus de chasseurs sont attirés par les chevreuils d'Anticosti à cause de la diminution de la récolte de cerfs dans les zones de chasse du Québec continental. Saguenay-Lac-St-Jean : de plus en plus de cerfs Voilà une quarantaine d'années, des scientifiques du gouvernement québécois affirmaient que le sud de notre province était la «limite nord de l'aire de distribution» du cerf de Virginie en Amérique du Nord. Ça, c'était lorsqu'il ne restait plus que 3000 chevreuils dans tout le Québec continental. Maintenant qu'il y a mille fois plus de chevreuils dans le Québec - sans compter les quelque 160 000 dénombrés dans l'île d'Anticosti -, des scientifiques affirment que c'est parce qu'ils ont bien géré les hardes de ces cervidés en imposant aux chasseurs une réglementation très restrictive... Des «vieux de la vieille» parmi les chasseurs soutiennent, eux, que c'est parce que les hivers des dernières décennies ont généralement été tardifs et cléments, les printemps hâtifs et doux, les étés secs et chauds, et les automnes fort agréables. Quoi qu'il en soit, on aperçoit de plus en plus de chevreuils dans des régions comme le Saguenay et le Lac-Saint-Jean, assez éloignées du sud-ouest du Québec. Tellement, en fait, que le ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) procédera, durant l'hiver 2011, à un inventaire des hardes de cerfs dans ces deux régions. Afin d'orienter les travaux de ses scientifiques, le MRNF sollicite la collaboration des citoyens de ces deux régions pour qu'ils lui indiquent les territoires où ils ont observé des chevreuils durant les hivers précédents : coordonnées géographiques (idéalement par points GPS), puis dates et types d'observation (ravages, nombre de cerfs, pistes...). Communiquez vos renseignements au biologiste Claude Dussault (tél. : 418 695-8125, poste 339; courriel : claude.dussault@mrnf.gouv.qc.ca ). Le dernier inventaire des cerfs de Virginie dans ces régions a eu lieu en 1989 autour du lac Kénogami.
  3. Animal

    BULLETIN -PRINTEMPS 2010

    Publié le 11 mars 2010 à 05h00 | Mis à jour le 11 mars 2010 à 05h00 La chasse du dindon allongée Agrandir De plus en plus de dindons sauvages volent dans les régions semi-urbanisées du sud-ouest du Québec, où leur chasse est maintenant autorisée. André-A. Bellemare, collaboration spéciale Le Soleil (Québec) Le ministre Serge Simard, responsable du Secteur faune au ministère des Ressources naturelles et de la Faune du Québec (MRNF), a décidé de prolonger la saison de chasse du dindon sauvage dès ce printemps : la période de chasse passera donc de 5 à 12 demi-journées, et aura lieu du 7 au 18 mai 2010 inclusivement. La limite de prises sera encore d'un dindon mâle par chasseur par an pour ne pas nuire à la reproduction de l'espèce. La chasse n'est autorisée qu'en avant-midi, lorsque les femelles camouflées couvent leurs oeufs. Les conseillers du ministre ont reconnu que plusieurs chasseurs, durant les dernières années, n'avaient pu participer à la chasse à cause de la brièveté de la saison autorisée. D'autre part, ces conseillers ont aussi constaté que les populations de dindons étaient suffisantes dans les zones provinciales de chasse décrétées accessibles aux chasseurs. Pour chasser le dindon sauvage, on doit acheter le permis propre à cette chasse. Mais on ne peut acheter son permis que si l'on possède une attestation de la Fédération québécoise des chasseurs et pêcheurs prouvant qu'on a suivi le cours sur la biologie, la chasse et l'aménagement du dindon. Renseignez-vous au sujet de ce cours en téléphonant, sans frais, au 1 888 LAFAUNE. Le dindon sauvage est principalement présent dans trois régions administratives du Québec : la Montérégie, les Cantons-de-l'Est et l'Outaouais. Ce n'est que depuis 2008 que la chasse sportive de cette espèce animale sauvage est permise : 584 dindons ont été récoltés en 2008, puis 1024 en 2009. Pour plus d'information sur la chasse du dindon, consultez La chasse sportive au Québec dans le site Web du MRNF : www.mrnf.gouv.qc.ca/publications/enligne/faune/reglementation-chasse Place au 29e Salon Le signe le plus sûr que le printemps arrive, c'est la tenue du Salon Expert Chasse, Pêche et Camping de Québec. La 29e présentation de l'événement a lieu à compter de cet après-midi, jusqu'à dimanche, dans le Centre de foires de Québec. Les organisateurs du Salon - Salons nationaux des sportsmen au Canada (SNSC) - attendent 37 000 visiteurs qui viendront rencontrer les 225 exposants dont les kiosques seront établis sur 125 000 pieds carrés. Pour la deuxième année, le Salon du bateau y est incorporé. Vous pourrez y découvrir des fabricants, des grossistes et des détaillants d'équipement. Bien sûr, les territoires fauniques accueillant des adeptes y seront représentés pour offrir des forfaits : réserves fauniques du gouvernement, zecs, pourvoiries en chasse et pêche, etc. Il vous sera possible de pêcher des truites fraîches dans un grand bassin organisé par le Casting club de Québec pour contribuer aux oeuvres de ce club s'occupant de préparer une «relève» chez les jeunes filles et les garçons en leur permettant de pêcher durant l'été. Des commerçants présents au Salon en profitent pour offrir des rabais sur place. Des bateaux aussi Vous pourrez également voir, en plus des bateaux de toutes sortes, des véhicules tout terrain (VTT) de tous genres. Vous pourrez participer à des activités interactives, ou assister à près de 50 conférences étalées sur les quatre jours d'exposition. Le Salon est l'endroit pour découvrir des inventions proposées pour faciliter la vie aux adeptes. Pour en savoir beaucoup plus à propos du contenu de ce Salon - dont la liste complète des exposants - consultez le site www.salonchassepeche.ca. Là, vous trouverez les coûts d'entrée au salon pour les différentes catégories de visiteurs (selon l'âge), de même que l'horaire pour chaque jour d'exposition, ainsi que le détail des activités et conférences offertes. Je vous rappelle que Salons nationaux des sportsmen au Canada (SNSC) est un groupement bénévole tenant plusieurs salons du genre au pays depuis 1948 : les bénéfices servent à financer des projets d'éducation ainsi qu'à encourager les efforts de petites associations vouées à la protection et à la conservation du patrimoine faunique et des habitats de la faune. Depuis 1948, les SNSC ont versé 31 millions $ à des associations de pêcheurs et de chasseurs accomplissant des merveilles pour assurer de la pêche et de la chasse aux générations futures. Vous aussi, vous pourriez bénéficier de l'appui financier des SNSC.
  4. Publié le 11 mars 2010 La chasse du dindon allongée De plus en plus de dindons sauvages volent dans les régions semi-urbanisées du sud-ouest du Québec, où leur chasse est maintenant autorisée. André-A. Bellemare, collaboration spéciale Le Soleil (Québec) Le ministre Serge Simard, responsable du Secteur faune au ministère des Ressources naturelles et de la Faune du Québec (MRNF), a décidé de prolonger la saison de chasse du dindon sauvage dès ce printemps : la période de chasse passera donc de 5 à 12 demi-journées, et aura lieu du 7 au 18 mai 2010 inclusivement. La limite de prises sera encore d'un dindon mâle par chasseur par an pour ne pas nuire à la reproduction de l'espèce. La chasse n'est autorisée qu'en avant-midi, lorsque les femelles camouflées couvent leurs oeufs. ... http://www.cyberpresse.ca Le Soleil (section sports-chasse et pêche)
  5. Animal

    BULLETIN -PRINTEMPS 2010

    Publié le 09 avril 2010 Pluie d'amendes pour des braconniers Gabriel Montambault, le présumé chef du réseau de braconniers, ne voulait visiblement pas qu'on le reconnaisse à sa sortie de la salle d'audience. PHOTO LA VOIX DE L'EST Michel Laliberté La Voix de l'Est (GRANBY) Jean-Pierre Beaudet devra puiser profondément dans ses poches. Le braconnier d'Ange-Gardien a été condamné hier matin à des amendes totalisant 27 150 $ pour différentes infractions à la Loi sur la conservation de la faune. Le juge Conrad Chapdelaine a également imposé des amendes à cinq autres membres du réseau de braconniers dont Beaudet était le numéro deux, selon l'enquête des agents de la protection de la faune. Martin Lemieux (5975 $), Patrick Thériault (2325 $), Claude Tarte (1875 $), Yves Pariseau (1875 $) et Gilles Geoffroy (1750 $) devront aussi payer pour leurs méfaits. Ils ont un an pour s'acquitter de leurs amendes. L'opération Bas de laine, menée le 6 décembre 2006, a donc permis de faire condamner 21 braconniers. Le montant des amendes s'élève à 100 450 $. Ils s'en sortent assez bien puisque toutes les amendes imposées ne représentent que le minimum des peines possibles. À noter que la poursuite a laissé tomber les 40 autres accusations qui pesaient contre Beaudet en échange de ses plaidoyers de culpabilité. En plus de leurs amendes, les braconniers ont tous perdu leur certificat de chasse pour une période de deux ans. Cette période passée, ils devront s'inscrire au cours offert par la Sépaq pour obtenir un nouveau certificat. Ce document est nécessaire pour acheter un permis de chasse. La suite à lire dans l'édition de vendredi.
  6. S.V.P. FAITES CIRCULER CE MESSAGE ET CES PHOTOS. MERCI À tous ceux qui aiment les animaux, Une vielle dame de Chertsey est décédée, laissant derrière elle 15 chiens et 101 chats. Les bénévoles de la pension du Jardin secret,un autre organisme de Lanaudière, coordonnent les efforts pour leur trouver des familles. Au dernier décompte, il restait 74 chats et aucun chiens. Les chats restants seront euthanasiés la semaine prochaine s'ils ne trouvent pas au moins un foyer d'accueil temporaire. Le nouveau propriétaire du bâtiment où était situé le refuge ne donne pas plus de temps pour les relocaliser. Chats: Poils longs ou courts, jeunes chats dont on pourrait afficher des photos sur des sites web. Des photos de quelques chats on été prises par Jo-Ann Jenkins, svp les afficher sur vos sites webs, pages facebook etc avec les coordonnées de la Pension du Jardin Secret. Il faut avant tout faire circuler ce message Avec un budget annuel de 2,000.$- Moustache ne peut évidemment pas, fournir la nourriture et les soins vétérinaires pour tous ces chats, mais nous pourrions afficher les photos des chats qui seraient parrainés- les emmener avec nous lors de journées d'adoption... Nous pouvons fournir un bac à litière et des bols pour 12 familles d'accueil. Si vous êtes intéressé à prendre 1 ou 2 chats en famille d'accueil, svp me contacter estelleblais@hotmail.com avant samedi le 10 à 8h00 AM, et indiquez à partir de quelle heure je peux vous contacter. Je devrai quitter vers 9h00 et donnerai priorité aux gens pouvant être rejoint tôt car tout le monde doit être rejoint avant mon départ. Je suis disponible samedi pour aller chercher les chats et les amener à Montréal et sur la Rive-Sud. Les familles d'accueils que je rejoindrai seront supervisées par Moustache qui s'occupera de l'adoption de leurs chats. ou contacter JO-ANN JENKINS jnn_jenkins@yahoo.ca (TEL: 450-834-8250) Si vous pouvez en accueillir 5 et plus en dépannage d'urgence. Ces personnes feront affaire avec la pension du Jardin Secret, mais devront s'occuper elles-même des adoptions. Estelle Blais SVP stérilisez un animal pour éviter que ses descendants ne souffrent http://moustacheadoptions.webs.com/
  7. À tous ceux qui aiment les animaux, Une vielle dame de Chertsey est décédée, laissant derrière elle 15 chiens et 101 chats. Les bénévoles de la pension du Jardin secret,un autre organisme de Lanaudière, coordonnent les efforts pour leur trouver des familles. Au dernier décompte, il restait 74 chats et aucun chiens. Les chats restants seront euthanasiés la semaine prochaine s'ils ne trouvent pas au moins un foyer d'accueil temporaire. Le nouveau propriétaire du bâtiment où était situé le refuge ne donne pas plus de temps pour les relocaliser. Chats: Poils longs ou courts, jeunes chats dont on pourrait afficher des photos sur des sites web. Des photos de quelques chats on été prises par Jo-Ann Jenkins, svp les afficher sur vos sites webs, pages facebook etc avec les coordonnées de la Pension du Jardin Secret. Il faut avant tout faire circuler ce message Avec un budget annuel de 2,000.$- Moustache ne peut évidemment pas, fournir la nourriture et les soins vétérinaires pour tous ces chats, mais nous pourrions afficher les photos des chats qui seraient parrainés- les emmener avec nous lors de journées d'adoption... Nous pouvons fournir un bac à litière et des bols pour 12 familles d'accueil. Si vous êtes intéressé à prendre 1 ou 2 chats en famille d'accueil, svp me contacter estelleblais@hotmail.com avant samedi le 10 à 8h00 AM, et indiquez à partir de quelle heure je peux vous contacter. Je devrai quitter vers 9h00 et donnerai priorité aux gens pouvant être rejoint tôt car tout le monde doit être rejoint avant mon départ. Je suis disponible samedi pour aller chercher les chats et les amener à Montréal et sur la Rive-Sud. Les familles d'accueils que je rejoindrai seront supervisées par Moustache qui s'occupera de l'adoption de leurs chats. ou contacter JO-ANN JENKINS jnn_jenkins@yahoo.ca (TEL: 450-834-8250) Si vous pouvez en accueillir 5 et plus en dépannage d'urgence. Ces personnes feront affaire avec la pension du Jardin Secret, mais devront s'occuper elles-même des adoptions. Estelle Blais SVP stérilisez un animal pour éviter que ses descendants ne souffrent http://moustacheadoptions.webs.com/
  8. «URGENT: Besoin de foyers pour les chats et les chiens de Mme Jacqueline» To all animal lovers, À tous ceux qui aiment les animaux, A lady in Chertsey passed away, leaving 15 dogs and 101 cats behind. There are now 74 cats and 13 dogs left at last count. They will be euthanized next week if they do not find at least temporary homes. Une vielle dame de Chertsey est décédée, laissant derrière elle 15 chiens et 101 chats. Au dernier décompte, il restait 74 chats et 13 chiens. Ils seront euthanasiés la semaine prochaine s'ils ne trouvent pas au moins un foyer d'accueil temporaire. I met the lady who passed away in 2002 as she boarded my rottweiller for a few days while I was visiting family. She was very nice. She did not have that many cats at that time, maybe 25 or so. This is exactly the crisis she was afraid of. J'ai rencontré cette femme en 2002, alors qu'elle avait pris mon Rottweiler en pension pendant que je visitais ma famille. Elle était très gentille. À ce moment-là, elle ne s'occupait peut-être que d'une vingtaine de chats mais elle craignait que leur nombre augmente. Dogs: Any purebred that breed rescues could help with? Is there someone on RDIC that could get inventory of the dogs and try to find contacts that could help rehoming them? If someone is willing to go there take names, sex, breed and pictures, I could help with that. Chiens: Y-a-t-il des refuges qui pourraient aider des chiens «pure race»? Y-a-t-il quelqu'un sur RDIC qui pourrait faire l'inventaire de ces chiens et tenter de trouver des contacts pour pouvoir leur trouver des foyers d'accueil? Quelqu'un pourrait-il se rendre sur place afin d'identifier ces chiens (nom, sexe, race et photos), je pourrais vous aider avec cette tâche. Cats: Any longhair or cuter, younger cats in the lot that we could post on websites? Anyone willing to go there ASAP to take pictures? Chats: Poils longs ou courts, jeunes chats dont on pourrait afficher des photos sur des sites web. Y-a-t-il quelqu'un qui pourrait se rendre sur ce lieu aussitôt que possible pour prendre des photos de ces chats? First thing we can do is pass the word around. Il faut faire circuler ce message Any people who foster these cats Moustache will support with adoption days. We obviously cannot provide food and vet care for all of them with a $2000 or so yearly budget, but we can post fostered cats on our website, display them at our adoption days... Avec un budget annuel de 2,000.$- Moustache ne peut évidemment pas, fournir la nourriture et les soins vétérinaires pour tous ces chats, mais nous pourrions afficher les photos des chats qui seraient parrainés- les emmener avec nous lors de journées d'adoption... I have to rush to the vet. Is there someone who could do a fast translation of this in French and start to email around and back to me. I would forward to french speaking contacts once I am back. Estelle Blais estelleblais@hotmail.com SVP stérilisez un animal pour éviter que ses descendants ne souffrent http://moustacheadoptions.webs.com/
  9. Par Radio-Canada, www.radio-canada.ca, Mis à jour le: 7 avril 2010 10:12 Chasse aux phoques - Les Madelinots rentrent au port L'équipage madelinot parti chasser en Basse-Côte-Nord revient aux Îles avec moins de prises que prévu. Le bateau Jean-Matthieu avec à son bord dix chasseurs de phoques est revenu à Grande-Entrée lundi, avec un peu moins de prises que prévu. Les six jours de chasse en Basse-Côte-Nord ont été difficiles, rapporte le chasseur Réjean Vigneau : « Les conditions étaient belles pour la température, mais du côté de la glace, c'était très ordinaire, les glaçons étaient très petits et la houle était constamment là. » Seule consolation, les animalistes étaient absents. « On n'a pas eu des hélicoptères qui survolent les loups-marins à basse altitude et qui les font jeter à l'eau », raconte Réjean Vigneau. (C'est un hélicoptère ou un avion du ministère des Pêches et Océans Canada qui a repéré ce troupeau pour les chasseurs de phoques...) Néanmoins, le propriétaire de la boucherie Côte-à-Côte revient de son voyage avec plus de 2000 carcasses de loups-marins jeunes et adultes, ce qui correspond à environ 45 000 livres de viande. La vente locale est déjà en cours. Le reste de la viande sera apprêté pour être par la suite expédié aux restaurateurs du Québec. Malgré les coûts de l'essence supplémentaires pour se rendre sur la Basse-Côte-Nord, le voyage des Madelinots pourrait donc s'avérer rentable. La chasse aux phoques reprendra jeudi de cette semaine au large de Terre-Neuve. http://actualites.ca.msn.com/regional/cote-nord/rc-article.aspx?cp-documentid=23807691
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    Les végétariens n'aident pas à lutter contre le réchauffement climatique Un rapport scientifique démontre que la réduction de la consommation de viande et de produits laitiers n'aurait pas de véritable impact dans la lutte contre le réchauffement climatique. | Mercredi 31 Mars 2010 C'est la dernière controverse scientifique environnementale en date; une controverse d'envergure qui ne concerne rien moins que la consommation de la viande et du lait par l'espèce humaine. On assiste, depuis quelques mois à ce que l'historien Jacques Le Goff, grand spécialiste du Moyen Age, dénommait il y a peu dans les colonnes du Monde «l'incroyable assaut à la consommation de la viande». Ce mouvement est, pour partie, la résurgence d'un argumentaire écologique développé il y a quelques décennies déjà. Il est sous-tendu par une thèse assez simple à comprendre: réduire la consommation d'aliments carnés et laitiers (et donc de facto le nombre et la taille des élevages bovins, porcins et avicoles) aurait un impact bénéfique sur l'environnement. Et ce en réduisant l'émission de gaz à effet de serre issus des animaux eux-mêmes (le ruminant, notamment, est un gros producteur de méthane) mais aussi de l'ensemble des multiples activités de transformation. Manger moins de viande, en somme, boire moins de lait aiderait à sauver Mère Nature. Le dogme «Mangez moins de viande» L'affaire est vaste. On a ainsi pu entendre à la tribune du Parlement européen un ancien Beatles (Paul McCartney, proche de l'association Peta) exhorter les peuples du Vieux Continent à se transformer en végétariens; au moins un jour par semaine (le vendredi?) pour commencer. Puis on a vu des participants au sommet de Copenhague annoncer à grand renfort de trompettes qu'ils allaient observer une «grève de la viande», qu'un refus du carné était, tout bien pesé, plus efficace que de réduire le chauffage des habitations ou d'abandonner son véhicule automobile au profit de la bicyclette et des transports collectifs. Signé de Fabrice Nicolino, un livre récent développe cette thèse à la mode: Bidoche, l'industrie de la viande menace le monde (éd. Les liens qui libèrent). «Moins de viande = moins de chaleur». Des scientifiques sont aussi montés en chaire pour rappeler que l'élevage avait une part non négligeable dans les émissions totales de gaz à effet de serre, plus encore que les transports; sans même parler des multiples dégâts collatéraux: pollution des eaux, érosion des sols et de la biodiversité, etc. Et ces mêmes scientifiques de traduire en équivalent-kilomètres automobiles les repas sans viande et sans lait, de rappeler qu'il faut entre trois et neuf calories végétales pour produire une calorie animale et que près de la moitié des céréales cultivées dans le monde sont destinées à alimenter des animaux dont les chairs ou le lait sont destinés à la consommation humaine. Tout ceci alors que cette consommation progresse dans les pays qui ne cessent de se développer: d'une moyenne de 28kg par an aujourd'hui elle devrait, si Sir Paul McCartney ou Allain Bougrain-Dubourg n'étaient pas entendus, passer à 37kg dans vingt ans. En France, elle est passée de 150g par jour en 1999 à 117g en 2007. ... suite et pour commentaires http://www.slate.fr/story/19137/rechauffement-climatique-vegetariens-viande
  11. Animal

    Enceinte et Vegan

    30 mar/10 7Interview: Aujourd'hui, je vous propose de découvrir l'interview de MiniMaël, qui a choisi un mode de vie Vegan. Son bébé arrive dans 15 jours... juste le temps pour elle de répondre à quelques questions qui me brulaient les lèvres... Qu'est ce qui t'a amené à être vegan? J’aime bien la phrase utilisée souvent par les vegan : vegan pour les animaux ! Je suis avant tout devenu végétalienne et vegan pour la cause animale, pour l’anti-spécisme. Pour moi cela devenait difficile de dire « j’aime mes animaux, mais pas forcément les autres vu que je les mange, ou ne les respecte pas ». Je suis donc devenu végétarienne, et tout naturellement sans me forcer, sans m’en rendre compte, je suis devenue vegan. Mon conjoint aussi, par choix aussi, et pour les animaux. Après la cause animale, il y a l’envie aussi d’être plus écolo, et donc des produits bio, naturels au maximum, et ne plus manger de viande est plus écolo ! Mais pour moi, cela passe après, c’est un bonus si c’est bon pour la planête. De toute façon nous vivons aussi de manière écolo (le plus possible, et ce qui nous semble faisable pour nous) aussi en lien avec les animaux. Pourquoi chercher à les sauver si on ne prend pas soin de la planête dont ils ont besoin pour vivre ! Peux-tu nous dire la différence entre vegan, végétalien et végétarien? Une personne végétarienne ne consomme aucun produit issu de l’abattage des animaux, c’est-à-dire ni viande d’animaux terrestres, ni viande d’animaux marins, ni gélatine, ni présure, ni caviar. Un végétarien consomme des œufs, du lait, du miel (tout produits animals qui ne tuent pas directement l’animal). Par contre il ne consomme pas les œufs de poissons (car il a fallu tuer le poisson pour les avoir). Beaucoup de personnes pensent que les végétariens consomment du poisson ou des crustacés. Si c’est le cas ce n’est pas un végétarien !! Et il ne le fait pas pour les animaux alors ! Une personne végétalienne ne consomme aucun produit animal, qu’il tue directement ou non l’animal. Un végétalien ne consomme ni viande, ni poisson, ni crustacé, ni œuf, ni lait (de tous les animaux), ni miel, ni produits contenants de la gélatine, de la présure, de la graisse animale, … Le plus souvent un végetalien est vegan. Un vegan, en plus d’être végétalien, n’utilise aucun produit d’origine animale, dans toutes les facettes de sa vie, c’est-à-dire ni laine, ni cuir, ni fourrure, ni cire d’abeille, ni produits testés sur les animaux, etc... Un vegan n’utilisera pas de produits d’hygiène contenant du miel, ou de la cire, ou de la lanoline (graisse issu de la laine des moutons), ni un produits qui a été testé sur les animaux. Les seuls poils animals qu’il peut avoir sur lui sont les siens ou ceux de son chat en période de mue !! Un vegan est anti spéciste (courant éthique s’opposant au spécisme, c’est-à-dire à la discrimination sur la base de l’appartenance à une espèce. Ce courant se fonde sur le principe que les intérêts d’un animal à ne pas souffrir et à vivre une vie satisfaisante importent autant, moralement, que les intérêts équivalents d’un être humain.). Quand ta grossesse a débuté, as-tu consulté pour adapter ta nutrition à ton mode de vie? Je n’ai pas caché mon mode de vie et d’alimentation à mon gynécologue, sage-femme et à la maternité dans laquelle je suis suivie. Mais je n’ai pas eu de suivi d’un nutritionniste ou autres. On m’a souvent demandé comment j’équilibrais mes repas, mes journées, et apparemment ca doit être satisfaisant ! Je porte beaucoup d’attention à bien équilibrer mes repas et manger chaque jour légumes, fruits, céréales et sources de protéines (légumineuses, soja, ou seitan). En variant aussi un maximum les sources, et en associant toujours dans mon assiette céréales et protéines végétales. Si oui, même si non, as-tu changé ton mode d'alimentation au fil de ta grossesse? Je suis restée végétalienne pendant ma grossesse, malgré certaines remarques de l’entourage (et pas des membres de l’équipe médicale). J’ai juste bu en plus de l’eau riche en calcium (type Saint aubin, contrex), ainsi que du lait de soja enrichi en calcium (d’habitude je prends du lait de soja simple). J’ai mangé à ma faim, selon mes envies. T’est-il arrivé d'avoir envie de manger quelque chose que tu ne manges pas en tant que vegan? Au début de ma grossesse, j’ai eu beaucoup de nausée, et vomissement. Ainsi que de nombreux dégoûts ou envies. Ca a été très dur, car j’étais dégoûté de presque tout et je me souviens d’une semaine où ma seule envie c’était un sandwich bourré de mayonnaise… je n’ai pas craqué. Mais j’en ai pleuré. J’ai failli craquer, mais à chaque fois l’image de la souffrance qu’il y a eu pour un animal passait avant, heureusement. J’ai eu souvent des envies de « produits interdits », enfin de produits que je ne veux pas consommer. Mais à chaque fois j’ai pu me rabattre sur quelques choses de végétalien. Et ca n’a pas duré plus longtemps que les 3 premiers mois. Maintenant je n’ai plus aucun sentiment de frustration, ouf ! Les gens extérieurs au monde vg ne comprenaient pas que je ne puisse pas me "lacher" sur ce que j'avais envie durant cette période, mais bon personne ne m'y forçait et je suis assez fière de moi maintenant quand je pense que je n'aurais pas fait souffrir "juste" pour mes hormones en folie !! Pour une maman vegan, y a-t-il un autre choix que l'allaitement? Alors, j’avoue que je ne savais pas avant de devoir répondre à cette question ! Je me suis un peu renseignée, et j’ai trouvé qu’il existe des laits maternisés à base de soja, et d’amande. Mais il faudrait que je questionne des personnes ayant utilisé ce type de lait, j’dois pouvoir trouver ca ! Mais il est évident que pour la santé de bébé, et pour être au plus proche de ses besoins, le lait maternel est bien meilleur. Et celui d’une maman végétalienne est aussi bon que celui d’une autre maman. As-tu pris des supplémentations en vitamines? Comme nous avons mis du temps à concevoir, j’ai consulté avant de tomber enceinte, et j’ai pris de l’acide folique avant de tomber enceinte, mais pas d’autres vitamines. Quand je suis tombée enceinte, mon gynécologue (au courant de mon végétalisme) m’a prescrit de l’acide folique à continuer les 3 premiers mois. Et tout au long de ma grossesse j’ai pris des vitamines complêtes pour femmes enceintes. Il y a peu de marques vegans, qui ne contiennent pas de produits animaux. J’ai eu du fer et du magnésium, mais pas du tout parce que je suis végétalienne. ... suite et pour commentaires: http://mag.materneo.com/2010/03/interview-enceinte-et-vegan/
  12. Faire maigre De la difficulté d'être végé dans un monde de colons Josée Blanchette 2 avril 2010 Alimentation Photo : Rue du monde Tiré de La Fabuleuse Cuisine de la route des épices d’Alain Serres et Vanessa Hié (illustrations). Vous êtes peut-être devenus adeptes des lundis sans viande, mais s'il est une seule journée dans l'année où le végétarisme devrait être synonyme de foi renouvelée en l'écologie ou en Dieu, c'est précisément aujourd'hui, le Vendredi saint. La pratique du carême remonte au IVe siècle et l'Église encourageait même la xérophagie durant cette période, au pain et aux fruits secs. Laura Secord et Geneviève Grandbois n'apparaissent que plus tard dans les us et coutumes pascales. Au siècle dernier, bien avant que Georges Laraque n'en fasse une religion, je pratiquais moi-même un végétalisme serein (vegan) avec des accommodements raisonnables. Je fabriquais mon lait de soja (qu'on ne trouvait que dans le quartier chinois), pétrissais mon pain, pressais mon tofu (avec une brique) et gardais le petit-lait pour arroser les plantes, buvais de la chicorée et mangeais du pâté chinois aux graines de tournesol. J'en fumais du bon aussi. À l'heure des desserts, tous mes principes s'envolaient et je continuais à élaborer des Forêt-Noire décadents, des Saint-Honoré caloriques et des soufflés glacés bourrés de cholestérol et de crème à 35 % sans le moindre remords pour le règne animal. Tant que ça ne saignait pas... À d'autres la caroube et la farine de son. Le plus intéressant dans la religion, c'est le péché. Je n'ai jamais changé d'avis là-dessus, même en forniquant avec un curé. Il m'est resté un petit travers de cette époque (celle du curé): j'aime très souvent faire maigre. Et je constate que 30 ans après avoir roulé de Vancouver à Los Angeles sans jamais souffrir de mon nouveau régime, le Québec demeure une terre de colons en matière de végétarisme. Nous sommes très en retard comparativement à la plupart des grandes villes nord-américaines sur cette question, mais il est vrai que je n'ai jamais mis les pieds à Calgary. Nos restos, traditionnellement portés sur la protéine animale, n'ont pas évolué, ou si peu, même si la diversité des végétaux est incomparable et les importations très exotiques. Une éducation reste à faire quant au reste. D'autant que nos modes de vie ne correspondent plus aux repas de chantier, version moderne, qu'on nous propose à l'envi. Si même Laraque peut jouer au hockey en mangeant de la ratatouille, yes, you can! Tout le monde le fait Même si on prévoit qu'il se mangera deux fois plus de viande sur la planète dans 40 ans (les Chinois se sont mis au foie gras!), autour de moi la consommation de viande diminue à une vitesse surprenante depuis quelques années. Même mon ex-boucher est devenu végétarien. Si seulement 4 % des Canadiens le sont, nombreux sont ceux qui pratiquent à mi-temps, en omnivores sélectifs. Quelques restos branchés ont inclus une section végé à leur menu, comme la Salle à manger, sur l'avenue du Mont-Royal, au coeur du Plateau, mais ils sont encore trop rares. Depuis quelques mois, je fais le test: chaque fois que je vais au resto, je demande si on sert des plats végés. Elle est terminée l'époque où les végétariens mangeaient des germinations entre eux. Les nouveaux végés veulent faire partie de la gang et revendiquent le droit à la gastronomie. Ras-le-bol d'être condamnés à la salade de chèvre chaud et à l'omelette du jour. Au Bistrot Bienville, récemment, le jeune proprio m'assurait avec véhémence qu'il ne pouvait pas ajouter un plat végé à sa carte (six plats), mais que les végétariens étaient les bienvenus, qu'ils pouvaient avertir au moment de la réservation. «Le resto Les Chèvres a fait faillite! Je ne peux pas me permettre de mettre un plat végé et que ça ne "sorte" pas», a-t-il répondu à ma suggestion. J'ai perdu la bataille même si je me suis promis d'y retourner un jour. Quant aux Chèvres, le resto végé de Claude Beausoleil, c'était cher et surfait, même si l'intention était louable. Un peu de bouillon de céleri, de semoule de blé et quelques carottes bios ne font pas de vous un végétarien. Et deux ou trois légumes d'accompagnement réunis à la va-vite n'équivalent pas à un repas pensé, recherché, dans lequel on sent l'amour de l'art et l'art de l'amour. De fait, je rêve encore de voir un jeune chef s'éclater avec du tofu. Et d'avoir le choix sur une carte entre un «pigeon cuit sur le coffre, purée d'ail noir, coeur de laitue romaine, pomme de terre au beurre fumé» (Toqué) et un «bol de nouilles udon aux échalotes, edamame, sauté de bok choy, daikon mariné, bouillon végétarien, oeufs de canard frits en panko» (Biron). Pour l'instant, pas un seul plat végé chez Normand Laprise (le pape du produit du terroir), qui m'assure que son tout nouveau bistrot, dont l'ouverture est prévue fin mai, rue Jeanne-Mance à Montréal, offrira un plat végétarien et un plat végétalien. «Je cuisine plus de plats végés durant l'été parce que ça nous sort par les oreilles, affirme Laprise. Mais nous n'avons ni le volume ni la culture au Québec. Même les végétariens qui viennent au Toqué se laissent aller et vont prendre un poisson.» Un chef qui nous fait pécher, parlez-moi de ça. Bienvenue aux végétariens Normand Laprise soulève un argument non négligeable quant à la mode des «nouveaux» végétariens. Mis à part le souci de délester son empreinte carbonique (18 % des GES sont générés par le transport du bétail et de sa nourriture, et manger un kilo de viande équivaut à rouler 250 kilomètres avec sa voiture) ou les convictions éthiques, spirituelles et philosophiques, les végétariens le sont parfois pour des raisons de santé et de traçabilité. La viande et ses dérivés ne semblent plus fiables après tous les scandales qui ont malmené leur réputation. «Beaucoup de gens deviennent végés à cause des produits maltraités, qui ne sont pas naturels, souligne Normand. La traçabilité du produit, c'est essentiel. Je veux savoir ce que je mange, d'où ça vient et comment ç'a été traité. En Europe, tu achètes un poisson et tu sais de quel port il vient et à quelle heure il est sorti de l'eau! Ici, on te dit que le poisson est arrivé ce matin. Je ne veux pas savoir quand il est arrivé, je veux savoir quand il a été pêché!» En attendant des menus «Bienvenue aux végétariens», je vais poursuivre ma croisade culinaire et harceler chaque chef en chair et en os que je croise sur mon chemin. Et j'aime mon tofu saignant, qu'on se le dise! *** SUITE ET POUR COMMENTER: http://www.ledevoir.com/loisirs/alimentation/286199/faire-maigre
  13. Animal

    Actions à Montréal et Québec

    Merci ma chère hop
  14. Publié le 27 mars 2010 à 10h47 | Mis à jour le 27 mars 2010 à 11h15 15 jours de «prison» pour Winston le pitbull Agence France-Presse Chicago Un pitbull a été remis en liberté conditionnelle sur ordre d'une juge aux Etats-Unis après avoir passé deux semaines en «prison» pour avoir démantibulé le pare-choc d'une voiture de police, rapportent vendredi les médias locaux. Le chien, répondant au doux nom de Winston, a passé deux semaines enfermé dans un chenil de Chattanooga (Tennessee, sud) après son attaque, qui avait été filmée par une caméra de surveillance de la police. L'animal, qui avait réussi à échapper à son enclos en rognant deux clôtures, s'est attaqué à quatre voitures différentes. ... http://www.cyberpresse.ca/actualites/insolite/201003/27/01-4264946-15-jours-de-prison-pour-winston-le-pitbull.php
  15. Animal

    BULLETIN -PRINTEMPS 2010

    Les requins perdent la bataille de la CITES 23/03/10 La conférence de la CITES n'a apporté sa protection qu'à l'une des quatre espèces de requins qui lui étaient soumises, confirmant le refus, notamment de l'Asie, de réguler le commerce international des espèces marines à forte plus-value. Après le "non" apposé à l'entrée du thon rouge et aux coraux rouges précieux, trois espèces de requins, surpêchés pour leurs ailerons ou leur viande, sont restées mardi à la porte de la Convention sur le commerce international des espèces sauvages (CITES) à Doha
  16. Absence de banquise Sans endroit pour se poser Mise à jour le mercredi 31 mars 2010 Blanchon (archives) Le Réseau québécois d'urgence pour les mammifères marins, basé à Tadoussac, a reçu une quarantaine de signalements d'échouage de blanchons sur les berges du Saint-Laurent, dans l'Est-du-Québec et sur la Côte-Nord. Habituellement, le Réseau ne reçoit qu'un ou deux signalements de ce genre le printemps. Toutefois, en raison cette année de l'absence de banquises pour la mise à bas des phoques à capuchon et des phoques du Groenland, la situation est toute autre. « On a des jeunes avec leur mère qui sont sur la plage et qui vont probablement s'en sortir. D'autres qui ont atteint le stade du sevrage et qui vont s'en sortir également. Certains ont l'air plus mal en point et vont probablement mourir. Mais évidemment, on a affaire à une situation qui est exceptionnelle, qui est naturelle aussi », affirme la porte-parole de l'organisme, Véronique de La Chenellière. ... Commentez cet article http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2010/03/31/002-bebe-phoque-echoue.shtml
  17. merci beaucoup pour les infos Nuage Je crois aussi que les produits naturels sont plus sains pour notre peau... et il y a même des produits naturels qu'on peut se procurer dans des épiceries As-tu déjà essayé de l'eau de fleur d'oranger sur ta peau (celle qu'on vend dans la plupart des épiceries, là où se trouve la vanille, etc). En général, cette eau provient du Liban. Je trouve que c'est un bon astringent: ça resserre les tissus de la peau, ça sent bon, c'est naturel et ça ne coûte pas cher.
  18. Communautés autochtones : La dernière chasse? Les Innus du Quénec parcourent les terres du Labrador depuis des centaines années pour chasser le caribou. Or, les communautés de la Côte-Nord craignent de ne plus pouvoir pratiquer cette activité traditionnelle. Dans le cadre du développement hydroélectrique du Bas Churchill, le gouvernement de Terre-Neuve a signé une entente avec les Innus du Labrador. L'accord a une portée territoriale et les Innus du Québec estiment que leur droit de chasse sur ces terres pourrait être compromis. Les Innus du Québec ne reconnaissent pas la frontière du Labrador. Ils ne reconnaissent pas non plus la juridiction des blancs sur cet immense territoire. En février dernier, ils étaient près de 150 à se rendre dans la région de Cache River dans le cadre d'une chasse communautaire. Le journaliste Carl Marchand et le caméraman Benoît Jobin les ont suivis dans leur périple aux confins du Labrador. Écoutez le reportage radio http://www.radio-canada.ca/regions/cote-nord/dossiers/detail.asp?Pk_Dossiers_regionaux=371
  19. http://www.embassymag.ca/page/view/seal-03-24-2010 Gail Shea defends decision as science-based http://www.embassymag.ca/page/view/seal-03-24-2010 Despite poor ice conditions and a slumping seal market—thanks in large part to a European Union ban on the import of products starting this year—the government last week announced a 50,000-increase in this year's seal hunt quota. Fisheries Minister Gail Shea says the decision to increase the total allowable catch for harp, hooded and grey seals to 388,200 was based on science. However, sealers and animal rights activists believe the decision was political—including an attempt to send a message to the EU. Last year, 74,581 harp seals were killed out of a total quota of 280,000, according to the Department of Fisheries and Oceans. That number is strikingly lower than the 217,857 harp seals killed in 2008. Eldred Woodford, president of the Canadian Sealers' Association, said he was not surprised by the minister's decision to increase the quota since he knows the seal population has been increasing. The current seal population estimate stands at 6.9 million, more than triple what it was in the 1970s, according to the department. However, from the point of view of the industry, the decision makes no sense because the market continues to be very weak and ice conditions are very poor, he said. In fact, Mr. Woodford explains that during last January's consultations with department officials, sealers and processors had requested a rollover from last year's quota, since hunters were not able to meet that year's numbers. "I think it's more political than anything else," Mr. Woodford said. "There have been a lot of arguments in Europe that we were going to destroy the seal population. This is a means for Canada to present to the world its case that we are not dealing with a species that is threatened." "Everybody requested a rollover and instead we got an increase," he added. " At this point, [the quota] is just an arbitrary number that we all know is not going to be reached this year." The situation was the exact opposite in 2008, when Mr. Woodford said the government did not hike the quota enough, despite sealers' requests. In March 2008, the department raised the quota only by 5,000 to allow a total harvest of 275,000 seals. "When we had good markets, they did not allow us to kill them, and now that we have bad markets, they're increasing the quota," he said. "It's a little bit frustrating in that matter." Bridget Curran, director of the Atlantic Canadian Anti-Sealing Coalition, said the minister's decision is the most recent in a series of recent public relations stunts. She pointed to the Governor General Michaëlle Jean's tasting of raw seal heart last May, and to serving of seal on Parliament Hill. "By increasing the quota, [the department] is thumbing its nose at the European Commission," she said. "They are also trying to make it seem...that they are facilitating the sealers to do what they want." "It's a politically-motivated and entirely senseless and irresponsible response," Ms. Curran said. "It makes absolutely no sense and her decision is even being criticized in the sealers community." Increasing the quota also goes against the advice scientists gave officials last year, said Edward Miller, biology professor at Memorial University in Newfoundland. A review of the total allowable catch for harp seals prepared by the Canadian Science Advisory Secretariat showed that a potential harvest of 270,000 animals in 2009 "may require a substantial reduction to less than 175,000 animals in 2010 to respect the management plan." "[The department's] proposal is scientifically ludicrous," Mr. Miller said. "This is just a proclamation without any explanation, without any doorway through which any thinking citizen of Canada can enter to know why. If you are going to increase my taxes, you are going to give me an explanation, but here it's just a pronouncement." Ms. Shea said setting the quota for total allowable catch is something the department does every single year. The decision is based on science and is meant to ensure the seal hunting industry remains sustainable, she said, pointing to the growing seal population and to last year's low harvest number, which was far from meeting the quota. Ms. Shea dismissed critics' accusations the move was political. "If it was a political move, we could have put the total allowable catch at 1 million seals, but we didn't," Ms. Shea said. "[This] was not a message to anyone. We don't agree with what the European Union has done, but we'll deal with that in another forum." Although this quota exists, it's the ice conditions and the weather that will determine the size of the hunt this year, the minister said. Seal hunters have been complaining about poor ice conditions, which may keep some of them on dry land during this hunt season. "We have to set a total allowable catch regardless of what the seal hunt looks like," Ms. Shea said. "This is one of the worst years on the record. The seal hunt, we expect, will probably be much smaller than in the past." Market prices for pelts have also dropped substantially in the last few years, said Mr. Woodford. "Seal fur is a high-end commodity and with a downturn in the global economy, it's one of those products that faced a declining market," he said. "I'm also a fisherman and I'm concerned the government is not trying to promote this industry better and try to find new markets for these products." But this is exactly what the government is doing, Ms. Shea said. She described the seal industry as being at a crossroad. In the past, seals were hunted just for pelts, Ms. Shea explained, but now we see a diversification of products through the use of seal meat and oil, and ongoing research on potential transplants of seal heart valves to humans. More so, after the EU's ban on seal product imports, Canada has since been wooing China—and the minister says things are developing in the right direction. "We're waiting to get the green light to be able to export meat and oil into China," Ms. Shea said. "This is very exciting, because that's a huge, huge market. We're going full-speed ahead to try to develop this industry to the full potential it has."
  20. Animal

    BULLETIN -PRINTEMPS 2010

    http://www.newswire.ca/en/releases/archive/March2010/30/c6344.html Chambers of Carnage - A Sweeping Undercover Investigation of Canada's Leading Equine Slaughterhouses Horse Welfare Group calls for immediate closure of Canada's horse slaughter plants WESTBANK, BC, March 30 /CNW/ - In late February 2010, the Canadian Horse Defence Coalition (CHDC) received hidden camera footage of horse slaughter practices at Quebec's Viande Richelieu and Alberta's Bouvry Exports - the latter known as North America's largest exporter of horsemeat. The CHDC has asked a panel of veterinarians, the BC SPCA and the World Society for the Protection of Animals to review the footage, which contains numerous instances of improper stunning and horses showing signs of returning consciousness. Early audit results of the footage show automatic failures of both facilities. The CHDC has compelling proof that puts into question the effectiveness of the assembly-line slaughter of horses. The evidence demonstrates that both the facilities in Alberta and Quebec fail to meet humane slaughter standards used by the CFIA to audit Canadian slaughterhouses. The CHDC's June 2008 report on Natural Valley Farms - the now bankrupt horse slaughterhouse in Saskatchewan (http://www.cbc.ca/thenational/indepthanalysis/story/2009/10/01/national-horses-\ 061008.html) documented the inadequate stunning of horses with the penetrating captive bolt gun. At both plants in the February 2010 investigation, a .22 rifle was used, and again horses were shot incorrectly, with some regaining consciousness. As stated by Alberta veterinarian Dr. Debi Zimmermann: "I conclude that the wary and flighty nature of the horse, coupled with the poorly designed kill plant systems currently in place at Bouvry Exports and Viandes Richelieu, results in unacceptable levels of suffering endured by horses (both in number of horses and degree of suffering), and poses inherent dangers to plant personnel." Dr. Zimmermann adds: "The shooters are seldom able to adhere to the required protocols for euthanasia by firearm, due to a combination of horse and human factors." As there are only two government-approved methods of stunning horses in Canada - captive bolt gun and rifle - and both methods have been shown to cause prolonged suffering in numerous horses, we conclude that these animals cannot be slaughtered humanely in today's slaughterhouse assembly lines. The CHDC therefore calls for the immediate closure of Canada's horse slaughter plants. To view footage, go to www.defendhorsescanada.org. For further information: Twyla Francois, Central Region Director, T: (204) 296-1375; Sinikka Crosland, Executive Director, T: (250) 768-4803, Canadian Horse Defence Coalition, info@..., www.defendhorsescanada.org
  21. Les bébés phoques se noient par milliers, mais le gouvernement canadien reste indifférent ... ------------------------- March 26, 2010 GATINEAU, Que. — Lack of sea ice in the Gulf of St Lawrence this year has led to a large number of seal pup deaths, the Department of Fisheries and Oceans said Friday. Harp seals are probably familiar to most Canadians from images of the annual seal hunt. The animals need ice on which to give birth and feed their young. This year's absence of suitable ice means harp seal pups have been washing up on shore all along the Gulf, in Eastern Canada. People have been advised not to try to rescue the pups, (les gens ont été avisés de ne pas tenter de sauver les bébés phoques) which can weigh up to 30 kilograms, the department said. According to the Fisheries Department, this year's predicted die-off will not affect long-term population levels. Because seals have long lives and females can have up to 15 pups in their 30- to 40-year lifespan, the lack of seals reaching maturity this year will not have a big impact, the department said. Still, DFO said it will be keeping an eye on ice conditions so it can plan future conservation measure is needed. The seal hunt, which runs from November to may, will remain open this year, but timing and location could change due to the smaller number of pups. http://www.montrealgazette.com/news/Seals+dying+lack/2731962/story.html
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