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Publié le 23 mars 2010 à 14h27 | Mis à jour à 14h27 Traquer la bête en Outaouais Agrandir Au parc Omega, on peut observer les animaux, dont les ours, dnas leur habitat naturel. Photo: archives PC Sylvie Ruel La Presse En Outaouais, il est possible de traquer le gros gibier avec l'appareil photo ou l'arme à feu. Que vous ayez l'âme d'un poète ou celle d'un coureur des bois, le parc Omega, à Montebello, et le Ranch d'Amérique, à Saint-Émile-de-Suffolk, au coeur de la Petite-Nation, vous offrent des expériences fortes en pleine nature. Durant les beaux jours de l'été, le parc Omega, à 3 km de Montebello, accueille de 1000 à 2000 visiteurs par jour. C'est un incontournable pour les amoureux de la nature. Mais ce que plusieurs ne savent pas, c'est que l'hiver est le meilleur moment pour y aller. Voilà un secret jusque-là bien gardé. Sur fond de neige, les animaux se laissent facilement observer et photographier et il est aisé de suivre leurs traces au sol. Qui plus est, vous aurez l'impression d'avoir le parc à vous tout seul, car la foule ne s'y presse pas. Ce parc couvre un territoire naturel de 1500 acres, lequel est traversé par un chemin de 10 km. Le visiteur parcourt le territoire au volant de sa voiture, en syntonisant la radio du parc, qui le renseigne sur les différentes espèces qui y vivent et sur leurs moeurs. Il peut alors observer les animaux dans leur habitat naturel: bisons et wapitis dans la prairie, daims dans la forêt, cerfs dans les prés... sans oublier les loups, les sangliers, les bouquetins, les coyotes, les ours (oui, oui, les ours en hiver)... et les caribous. L'an dernier, le parc Omega a acquis 15 nouveaux caribous, qu'il est possible de voir dans la toundra des caribous. Nourrir les animaux Le visiteur ne manque pas de se procurer à l'entrée du parc un sac de carottes, qu'il offrira aux bêtes rencontrées sur sa route. Comme il se trouve au coeur de la vie sauvage, certains animaux peuvent être dangereux, particulièrement les bisons, qu'il est fortement déconseillé de nourrir. J'ai eu la frousse quand trois gros mastodontes sont venus se frotter à la voiture. Et il ne faut pas ouvrir trop grand les fenêtres de la voiture afin d'éviter qu'un wapiti ou un cerf n'y entre complètement sa tête et reparte avec le sac de carottes... Le parc est également sillonné de petits sentiers romantiques que l'on peut parcourir à pied ou en raquette. Ces sentiers se trouvent dans des zones où les animaux, tels les cerfs, sont inoffensifs. Là, vous avez tout le loisir d'attirer les charmantes bêtes avec vos carottes, de les flatter et les photographier... Et quelle chance j'ai eue ce jour-là d'observer dans la vallée un gros ours noir, qui venait à peine de sortir de sa tanière. «Durant les belles journées de février, m'explique Charles de Reinach, responsable du parc Omega, il arrive que l'ours se pointe le nez dehors, puis qu'il retourne tranquillement dans son repaire.» Les loups accourent Sur la passerelle des loups, passerelle en bois sur pilotis de 300 m de long, il est possible d'avoir une vue panoramique sur une meute de loups gris. Il suffit de frapper les mains sur la passerelle pour qu'ils accourent vers vous, juste sous vos pieds. L'ensemble du territoire compte assez d'espace pour que tout ce beau monde cohabite pacifiquement; chaque animal a son propre habitat et peut se retirer en toute quiétude dans ses quartiers quand vient le temps de mettre bas. Du gros gibier Dans l'Outaouais, il est possible également d'observer le gros gibier au Ranch d'Amérique, à Saint-Émile-de-Suffolk, village situé au coeur de la vallée de la Petite-Nation. Benoît Voghell nous accueille avec son sanglier Émile, qui lui sert d'animal de compagnie. M. Voghell gère une ferme de 400 acres, où il fait l'élevage de plus d'une centaine de bêtes, tels des bisons, des daims, des wapitis, des cerfs, des sangliers et des sikas. À bord d'un petit véhicule qui les emmène en pleine forêt, les visiteurs peuvent observer à loisir les gros animaux dans leur milieu naturel. Voilà pour l'observation. Le Ranch d'Amérique est aussi un territoire de chasse, où l'on pratique toute l'année la chasse sportive en enclos. Ce type de chasse n'exige aucun permis, et le chasseur est accompagné d'un guide. La veille de notre passage, une femme de 75 ans, grande passionnée de chasse, y avait abattu son premier bison. Sur la ferme, Benoît Voghell a fait construire une grande auberge où il accueille ses invités. La maison est dotée de sept chambres, d'un grand dortoir à l'étage et d'une salle à manger au rez-de-chaussée, où l'on organise des repas gaulois animés, à base de sanglier, de bison et de wapiti. >www.parcomega.com >www.ranch-amerique.com >Tourisme Outaouais: 1-800-265-7822 ou www.tourismeoutaouais.com
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L’élevage intensif favorise la présence de salmonelles
Animal a répondu à un(e) sujet de marjo08 dans Événements
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Une réponse du conseiller politique de madame la sénatrice
Animal a répondu à un(e) sujet de Animal dans ANIMAUX - Amérique du Nord
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"Ils se sont mis à chasser dans les rues !"
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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Une réponse du conseiller politique de madame la sénatrice
Animal a répondu à un(e) sujet de Animal dans ANIMAUX - Amérique du Nord
Il fait exactement ce qu'il accuse d'autres de faire... Il sort de vieilles statistiques... Et puis ce ne sont pas les chasseurs de phoques (blancs) qui souffrent de concentrations anormalement élevées de BPC mais bien le lait maternel des mères Inuit dont les nourrissons subissent l'influence de ces produits chimiques -
Le Lundi 22 mars 2010 | Mise en ligne à 11h35 | Aucun commentaire Le grand livre de la cuisine végétarienne Ève Dumas Igor Brotto est professeur de cuisine italienne et Olivier Guiriec enseigne la cuisine française. Tous deux travaillent à l’Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec (ITHQ). Ils s’apprêtent à lancer Le grand livre de la cuisine végétarienne pour montrer au grand public que «l’on peut très bien manger sans viande» (Igor Brotto). Les deux auteurs de cet ouvrage publié par les Éditions de l’Homme sont des omnivores sélectifs et non pas des végétariens. De plus, ils évoluent dans le monde de la gastronomie. ... http://blogues.cyberpresse.ca/granos/2010/03/22/le-grand-livre-de-la-cuisine-vegetarienne/?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_bloguesaccueilcp_BO3_accueil_ECRAN1POS18
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Le massacre de bébés phoques est un sport
Animal a répondu à un(e) sujet de Animal dans ANIMAUX - Amérique du Nord
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Il s'est bien fait lessivé le cerveau par sa collègue la paillette Quand je vois ici Brigitte Bardot, Pamela, Sir PAul McCartney À la télé, dans les journeaux, Moi la moutarde me monte au nez Ils se fichent de la chasse aux phoques eux font ça pour faire du blé Dans tout ça moi ce qui me provoque C'est qu'ils servent de pantins D'autres s'en mettent plein les poches Sur le dos des Madelinots qui eux vivent d'la chasse aux phoques en encaissant tous ces ragots Les revenus de la HSUS ont engendrés en 2003, 123 millions US sans partager avec qui que ce soit Pas une seule animalerie, aucune aide aux animaux, ils ont gardé les profits pour eux-mêmes ces saligauds. À qui profite les revenus de ces pubs bien mensongères ? Ou sont caché les profits d'exploitation outrancières ? Ils sont cachés dans des banques à l'étranger comme de raison. Seuls les intérêts qui chantent font danser ces cornichons. La chasse aux petits blanchons n'existe tout simplement plus. Il y a eu interdiction il y a plus de 23 ans c'est connu. Pour toucher le grand public, ils publient la même veille photo, celle qui amène tant de fric à ces soit-disant héros Moi non plus je n'aime pas voir les phoques se faire assommer, mais c'est encore pire dans les abattoirs, les garages, les poullaillers. En résumé, ce petit texte un tantinet contestataire pourrait servir de prétexte aux discussions à livre ouvert. Miss Brigitte Bardot Sir Paul McCartney Pamela Jojo. Les phoques... ------------------------------------- On peut entendre une partie de sa chanson à cette adresse: http://www.zik.ca/zik/album.jsp?productId=ZIK693137 La chasse aux phoques: Un texte commandé par la sénatrice Céline Hervieux-Payette et dénonçant la Human Society of United States (H.S.U.S.) tout en parlant de Paul McCartney, Brigitte Bardot et Pamela Anderson qui s'opposent à la chasse aux phoques. «Ils (McCartney, Bardot et Anderson) le font pour faire du bien, mais ce qui me choque dans tout ça c'est qu'ils servent de pantin. Je le dis dans la chanson, les revenus de la H.S.U.S ont engendré, en 2003, 123 millions $ U.S. … Je suis prêt à affronter la H.S.U.S n'importe quand, n'importe où, n'importe quelle heure» http://www.info07.com/Arts-et-spectacles/2009-04-30/article-664301/Jean-Lapointe-plonge-tete-premiere-dans-TiLEaup/1
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Mise à jour 19.03.2010 17h14 Un projet de loi contre la cruauté envers les animaux Le dernier projet en date de première loi adoptée par la Chine contre la cruauté envers les animaux, rendu public mercredi pour solliciter l'opinion du public, a ajouté une disposition supplémentaire après l'affaire du zoo de Shenyang, où 13 tigres de Sibérie étaient morts en trois mois : il sera interdit aux zoos de maltraiter les animaux en les privant de l'eau ou de la nourriture nécessaires. Le projet a également modifié une disposition – controversée- de sa version précédente, qui interdisait la consommation de chiens et de chats, laissant la décision finale aux autorités locales. Chang Jiwen, chercheur à l'Institut de droit de l'Académie chinoise des Sciences sociales, qui a dirigé le panel d'experts sur ce sujet, dit que l'interdiction d'affamer les animaux a été incluse dans la dernière version du texte après que la récente mort des tigres ait causé une vive émotion dans le pays. Une enquête a été lancée au sujet de la mort de 13 tigres de Sibérie lors des trois derniers mois dans un zoo de Shenyang, capitale de la Province du Liaoning, au Nord de la Chine. Wu Xi, un des responsables du zoo, avait déclaré précédemment que deux tigres avaient été abattus en novembre dernier après qu'ils aient attaqué un gardien, et que les onze autres étaient morts de maladies comme des des déficiences cardiaques ou rénales dues à un manque de nourriture. M. Chang a déclaré que les experts ont abandonné l'onterdiction de la consommation des chiens et des chats, car de nombreuses personnes étaient en désaccord avec une législation à l'échelle nationale sur ce sujet, du fait des particularismes régionaux. Le dernier projet en date laisse le provinces, Municipalités et Régions Autonomes de décider par elles-mêmes dans quelles zones cette interdiction pourra être appliquée. Dans les zones où l'interdiction sera en vigueur, les personnes en infraction avec la loi seront punies d'une amende pouvant aller jusqu'à 5 000 Yuans (730 Dollars US). Et les organisations qui se seront rendues coupables d'avoir vendu cette viande pourront être frappées d'une amende allant entre 10 000 et 500 000 yuans, d'après le projet de texte. M. Chang a dit que le panel d'experts soumettrait le projet la semaine prochaine au Comité Permanent du Congrès National Populaire, la législature suprême. « Si les législateurs le jugent important, le projet pourrait devenir une loi d'ici deux ou trois ans, mais cela pourrait prendre davantage de temps, peut-être même dix ans, avant que ce texte ne soit réellement mis en application », dit-il. La Chine dispose actuellement d'une Loi de protection de la vie sauvage, d'une Loi de prévention des épizooties, d'une Loi sur l'élevage des animaux, d'une réglementation relative à l'abattage des porcs, d'une réglementation relative à la gestion des laboratoires animaliers et autres textes spécifiques concernant la protection et la gestion des animaux. « Cependant, ces textes ne peuvent incarner de manière parfaite toute la compassion du peuple chinois envers la consommation de créatures vivantes, ni ne peuvent refléter la volonté de la Chine d'adhérer ou de signer des conventions ou déclarations internationales lui demandant de protéger la valeur inhérente à chaque animal », dit M. Chang. Il précise que ce projet n'est pas une simple transposition des valeurs et idées de l'Occident, car « La situation en Chine est très différente de ce qu'elle est en Occident ». « C'est pourquoi nous avons changé le nom de cette loi, de 'Loi de protection des animaux' en 'Loi contre la cruauté envers les animaux'. Notre ligne directrice est de ne pas infliger de mauvais traitements aux animaux », dit-il. Le projet dispose aussi que des « méthodes humaines » doivent être, si nécessaire, utilisées pour abattre les animaux, et qu'aucun acte de cette nature ne soit pratiqué devant des personnes mineures. Source: le Quotidien du Peuple en ligne http://french.peopledaily.com.cn/96851/6925248.html
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La Chine prépare sa première loi de protection des animaux
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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Publié le 18 mars 2010 à 13h00 | Mis à jour le 18 mars 2010 à 13h00 La peau de l'ours polaire continuera d'être vendue La Presse canadienne Anne Chaon Agence France-Presse Doha Le commerce international des ours polaires, mascottes de la lutte contre le changement climatique, restera autorisé car il représente une menace insignifiante comparé à la fonte de la banquise, a estimé jeudi la conférence de la CITES sur les espèces sauvages menacées. Les États-Unis, arguant que leur nombre avait déjà diminué de 30% en trois générations, soit 45 ans, demandaient l'inscription des ours blancs à l'Annexe I de la Convention sur le commerce international des espèces sauvages menacées d'extinction (CITES), prohibant toutes ventes hors des pays de répartition. Ursus maritimus a été classé en 2008 comme espèce «vulnérable» par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) et figure déjà en Annexe II de la Convention depuis 1975 (commerce contrôlé). Il en reste 20 000 à 25 000 spécimens, répartis entre cinq États: les États-Unis (Alaska), le Canada, le Groenland, la Norvège et la Fédération de Russie, tous installés le long du cercle polaire arctique où le réchauffement climatique est deux fois supérieur à la moyenne mondiale selon les observations des climatologues. L'étendue de la glace de mer a diminué de 15 à 20% ces 30 dernières années et un déclin supplémentaire de 10 à 50% est redouté d'ici la fin du siècle. Parmi ces pays, seul le Canada autorise les exportations de peaux, de trophées, de dents ou d'artisanat réalisé à partir des os. Un commerce géré par les Inuits auxquels il apporte un complément de revenu, a souligné jeudi en séance un représentant de la communauté, depuis les rangs de la délégation canadienne. «C'est une source de nourriture et une importante contribution à la marche des foyers et à la survie des Inuits. Nous n'avons ni plante ni arbre chez nous. Et puisque tout le monde reconnaît que la menace principale c'est le changement climatique, ce n'est pas la CITES qui va gérer ça», souligne-t-il. De son côté, le Groenland a suspendu toute exportation d'ours depuis 2008 mais demande à pouvoir poursuivre la chasse sur ses terres. Officiellement, 300 ours sont vendus sur le marché international chaque année, dont 210 par le Canada qui affirme qu'à peine 2% des ours polaires «entrent dans le commerce chaque année» et que ce chiffre n'augmente pas. Mais pour Jane Lyder, chef de la délégation américaine, jusqu'à 700 seraient tués illégalement chaque année, notamment en Russie. «Nous voulions stimuler un débat sur ces sources multiples de menaces, explique-t-elle. Bien sûr qu'il faut reconnaître la menace potentielle et réelle du changement climatique, mais ce n'est pas suffisant. Le rythme actuel du commerce a un impact, notamment sur le marché intérieur russe». L'Union européenne a refusé de la suivre, en justifiant de la «bonne gestion» des ours par les populations autochtones. De leur côté, les organisations dédiées à la conservation étaient divisées sur le dossier: pour l'UICN, TRAFFIC, le WWF ou le World Conservation Trust, la demande américaine était plus «émotionnelle» que scientifiquement fondée. Mais pour la Fondation Brigitte Bardot, Robin des Bois ou le Fonds mondial de protection des animaux (IFAW), la contrebande est une menace de plus qui pèse sur l'ours blanc. «C'est une occasion manquée», regrettait jeudi à Doha Jeff Flocken, directeur d'IFAW. «Avec le changement climatique, la pollution, la sur-chasse, le commerce est une menace supplémentaire qui n'est pas indispensable. Maintenant, plus de 3 000 ours vont pouvoir être tués au cours des dix prochaines années», ajoute-t-il.
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Un toutou blessé se rend seul à l'urgence
Animal a répondu à un(e) sujet de animo-aequoanimo dans ANIMAUX - Amérique du Nord
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Le caviar, encore plus rare? Au tour de l'esturgeon Béluga d'être menacé d'extinction Associated Press (AP) 18/03/2010 15h39 Ci-dessus, un type d'esturgeon de la côte Ouest américaine, lui aussi menacé. AP Photo/Monterey Bay Aquarium La consommation effrénée des amateurs de caviar menace d'extinction les esturgeons, comme le très prisé Béluga, a annoncé jeudi un groupe de protection de la nature, qui appelle à une interdiction de la pêche pour sauver l'espèce. Lors de l'établissement de sa dernière liste rouge des espèces en voie d'extinction, l'Union internationale de conservation de la nature (UICN) a découvert que les 18 espèces existantes d'esturgeons étaient en danger. L'esturgeon Béluga apparaît, pour la première fois, sur cette liste, aux côtés d'espèces de la mer Caspienne menacées par la surpêche, a précisé l'UICN. «Il est temps d'envisager sérieusement la fin de la pêche dans la mer Caspienne», a déclaré Phaedra Doukakis, expert auprès de l'UICN et chercheur à l'Université Stony Brook de New York, dans un communiqué. Elle Pikitch, directrice exécutive de l'Institut pour la science de la conservation des océans à l'université Stony Brook, a appelé la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES) à considérer une interdiction totale du commerce des produits d'esturgeon. Pour permettre aux stocks d'esturgeons de se renouveler, l'interdiction doit durer plusieurs décennies, a-t-elle précisé. «Une lueur d'espoir pour ces espèces est leur capacité à produire des millions d'œufs», a ajouté l'UICN, qui estime que «si une protection adéquate est mise en place, leur capacité reproductive peut permettre de reconstituer graduellement leur population». L'interdiction de pêche pourrait porter un coup sévère à l'industrie halieutique de la région Caspienne, qui comprend la Russie, l'Iran, le Kazakhstan, le Turkménistan et l'Azerbaïdjan. Le caviar de Béluga peut rapporter jusqu'à 5000 dollars par livre. Les œufs et la chair d'autres espèces d'esturgeons sont aussi considérés comme des mets raffinés dans beaucoup de pays. Il y a trois ans, une commission des Nations unies avait levé l'interdiction de commerce du Béluga et de deux autres sortes de caviar, arguant que les pays de la Caspienne avaient amélioré leurs mesures de protection et pouvaient être autorisés à procéder à une pêche responsable. L'esturgeon est l'une des plus anciennes espèces animales au monde. Vieux de plus de 250 millions d'années, il peut vivre un siècle mais n'atteint sa maturité que tardivement.
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Publié le 19 mars 2010 à 07h17 | Mis à jour à 07h23 Les carnivores voient rouge Agrandir Comment faire face à la hausse des prix de la viande rouge? Il suffit de se tourner vers le porc, dont les vertus aphrodisiaques sont bien connues, s'il faut en croire la présidente de l'Argentine Cristina Kirchner (au centre). Photo: archives Reuters Olivier Ubertalli, Collaboration spéciale La Presse (Buenos Aires) C'est la déprime dans les assiettes des Argentins, les plus grands mangeurs de viande rouge au monde (70 kg par habitant). Le prix de la viande a bondi de 30% à 70% depuis le début de l'année. Un véritable scandale au pays des gauchos et des amateurs de barbecues. Notre collaborateur à Buenos Aires raconte. Les clients des restaurants de Buenos Aires ont d'abord cru à une blague. En ouvrant leur menu, ils découvrent maintenant une feuille volante sur laquelle on peut lire: «Les prix des plats de viande changeront en fonction des aléas du marché.» Chez le boucher, autre surprise désagréable: impossible d'acheter un steak à prix abordable. Et à Liniers, plus grand marché de viande du monde, au sud de la capitale argentine, les enclos blancs sont désespérément vides. Le marché de référence pour les prix intérieurs s'est vidé de ses boeufs. Loin d'être anecdotique, la flambée des prix de la carne - viande, en espagnol - est un sujet extrêmement sensible en Argentine. «Mes ventes ont chuté et les clients me font la gueule», déplore José Maria, boucher dans le quartier d'Almagro. Le porc, nouveau Viagra? La présidente de l'Argentine, Cristina Kirchner, qui avait anticipé le mécontentement populaire, a bien tenté de changer les habitudes culinaires de ses compatriotes. Face à une assemblée d'hommes d'affaires médusés, Cristina Kirchner a vanté... les vertus aphrodisiaques du porc. «La consommation de porc améliore l'activité sexuelle. Ce n'est pas un petit détail. Et c'est plus gratifiant que de prendre du Viagra!» a lancé la chef d'État, qui parlait en connaissance de cause: elle venait de manger avec son mari, l'ex-président Nestor Kirchner, un cochon qui les avait «revigorés tout le week-end». ... http://www.cyberpresse.ca/international/201003/19/01-4262152-les-carnivores-voient-rouge.php
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03/02/10 - La politique de tabassage des phoques dans le Grand Nord Canadien Éditorial du Capitaine Paul Watson Il n’y a aucune autre nation au monde qui ne soit plus liée au tabassage d’animaux sans défense que le Canada. Malgré les panneaux disant : « bébés sur la banquise », des centaines d’ignares de la côte Est, petits protégés de l’assistance publique, ont ce fétichisme pervers d’infliger leur brutalité à des bébés animaux, plus particulièrement les bébés phoques du Groenland. Le mois prochain, ce groupe pathétique de pédophagophiles sadiques patrouillera sur la glace aux frais du contribuable pour écraser une fois encore les crânes de phoques en bas âge et inoffensifs. Il n'y a vraiment aucun marché pour la peau ou la viande de phoque, mais les pêcheurs des Îles Maganderthal du Québec et les chasseurs des avant-postes archaïques de Terre-neuvette meurent d'envie de satisfaire leur soif perverse de massacrer l’innocent. Il y a peu d’animaux sur la planète aussi inoffensifs et dignes de confiance que les bébés phoques du Groenland. On peut marcher jusqu’à eux, les caresser, les chatouiller, les photographier... ou défoncer leur cerveau et les dépecer vivant. Et il y a peu d’hommes aussi brutaux, insensibles et lâches que les imbéciles ignares qui les torturent chaque printemps. Le massacre est si répugnant que ceux qui pratiquent cela se livrent au rituel inquiétant de boire le sang du cœur encore battant du premier bébé phoque qu’ils tuent, après quoi ils mettent un crucifix trempé dans ce sang sur leur front. Ils appellent cela "le rite du printemps" et semblent arborer une fierté choquante à être des tueurs sans pitié de créatures innocentes et impuissantes. Pour le sport, ces excellents exemples de virilité canadienne qui décapitent un bébé phoque puis utilisent les corps de quatre autres comme des poteaux de but dans un jeu qu'ils appellent "tête-ball" où ils utilisent la tête sanglante d'un bébé phoque comme un palet. Bien sûr, ils justifient leur comportement bizarre au nom de la tradition, mais comme le font les cannibales de Bornéo, les éleveurs des combats de coq à Hawaii, ou les humains bizarres qui circoncisent des femmes en Ethiopie. Il semble que tout soit acceptable du moment que vous collez l'étiquette "culture" ou "tradition". La persévérance des chasseurs de phoques qui "ne tuent plus de bébé phoque" est encore plus étrange. Ils ont arrêté de tuer des bébés phoques quand ils ont changé la définition de ce qu’est un bébé phoque: un phoque âgé de moins de trois semaines. Le phoque peut perdre ses poils blancs mais il reste sans défense sur la glace, allaité et n’ayant toujours pas appris à nager. Ils restent des bébés impuissants mais le gouvernement canadien a résolu le problème en désignant officiellement ces bébés phoques comme adultes. Et même s’ils étaient réellement adultes, le massacre annuel de 325 000 phoques n’a pas sa place au XXIe siècle. Mais les politiciens canadiens ne peuvent justement pas accepter cela. Ils refusent qu’au XXI siècle, des industries comme la chasse à la baleine, la mise à mort de phoques, la destruction de forêts, l'extermination de poissons et l’abattage de castors n'aient plus leurs places dans notre société actuelle. Il est totalement embarrassant d’être Canadien. Bien sûr, nous accueillons les Jeux Olympiques d'hiver, alors que nous avons dû détruire des milliers d'arbres et faire sauter quelques montagnes pour les organiser afin que le monde entier puisse venir et finalement ne trouver qu’une pénurie de neige. Le gouvernement Harper a oublié une chose dans son démenti actuel du réchauffement climatique: le manque de neige pendant leur coûteuse rencontre internationale des Cinq Anneaux de Promotion des Ventes d’Hiver à Whistler. C’est leur seconde déception avec les Jeux Olympiques, la première étant le rejet du port de l’uniforme en peau de phoque par l’équipe olympique canadienne jugée "non patriotique". C'était l'idée originale de Gail Shea, le petit Ministre canadien imbécile du commerce de la pêche qui a récemment été frappé en pleine face par une tarte au tofu en signe de protestation contre le sport national canadien du tabassage de phoque. Le lanceur de tarte est maintenant sur la liste grandissante "des terroristes" qui s'opposent à l'abattage de ces animaux. Il n’est pas inhabituel que les nations se saisissent d’événements pour ranimer la ferveur patriotique et nationaliste. Les Américains se sont rassemblés sitôt après la chute des tours du World Trade Center; les Australiens sitôt après les attentats à la bombe de la boîte de nuit indonésienne; les Allemands sitôt après la chute du mur de Berlin. Ne voulant pas être les laissés pour compte de la soif patriotique, les politiciens canadiens ont décidé de se rallier à l’héritage de l'abattage des phoques, déclarant courageusement que c’est contraire aux valeurs canadiennes, voir même traître, de s'opposer à la mise à mort de bébés phoques. Vous voyez, la réaction du Canada à la dissidence des provinces, c’est de donner à la province pleurnicharde tout ce qu'elle veut. Le Québec, la province la plus pleurnicharde des dix, a insisté pour avoir une loi sur la langue officielle qui rendrait la province unilingue dans une nation bilingue et ils l'ont obtenue. La même loi établit comme délit criminel d’imprimer des menus uniquement en anglais, alors que l’impression uniquement en français est légale. C'est cette même loi idiote qui a fait prendre une amende au chef d'un restaurant de Montréal parce que son perroquet parlait anglais et pas un mot de français. Les politiciens et bureaucrates d'Ottawa sont en train de faire la même chose avec la pathétique petite Terre-neuve. Ce rocher insulaire à l’extrême Est dans l’Atlantique a été la province assistée du Canada depuis qu’il a rejoint la Confédération Canadienne en 1949. Le Canada a offert le "baby bonus" (équivalant des allocations familiales) en guise d’appât et les habitants de Terre-neuvette ont donc saisi l’occasion de faire des enfants pour s'enrichir. Il ne se passe pas beaucoup plus de choses à Terre-Neuve ces jours-ci. Ils avaient l'habitude d'avoir une industrie de pêche pérenne jusqu'à ce qu'ils tuent la poule aux œufs d’or, anéantissant le cabillaud dans une orgie de cupidité qui aurait fait pâlir Wall Street. Et maintenant, face à l'exode massif de Terre-neuviens à la recherche d'emplois dans l'Alberta et l'Ontario, le gouvernement canadien essaye désespérément de les faire rester chez eux en subventionnant l’abattage des phoques qui permet de gagner assez de points de travail et ainsi de continuer à toucher des allocations d'assurance chômage prolongées. Tuez des phoques, faites-vous quelques dollars aux frais du contribuable, mettez-vous ensuite au chômage, allongez-vous avec un pack de binouzes et allez regarder American Idol (série télévisée américaine): l'ambition principale de ces "swingers de clubs" du Grand Nord Canadien. Il est bien sûr compréhensible que ces merveilles sans cervelle prennent leurs pieds en dépeçant des bébés phoques vivants, mais ce qui l'est beaucoup moins c’est l'entêtement incroyable qui caractérise les politiciens canadiens dans la défense de ces tabasseurs de bébés. Certaines de leurs exhibitions sont ridiculement embarrassantes, comme celle du Gouverneur Général mordant dans un cœur de phoque cru en prenant la pause pour la photo. Ouaip, elle y était, la représentante de sa majesté Britannique la Reine Elizabeth II, avec le sang de phoque coulant sur ses lèvres et son menton. Sentant qu’il ne pouvait être surpassé par une femme, le Premier Ministre s'est cru obligé de manger de la viande de phoque crue afin de montrer qu'il était aussi barbare que la politiquement correcte première dame haïtienne avec du sang de phoque sur ses doigts. Et pour couronner le tout, il a ordonné au restaurant parlementaire d'Ottawa de mettre de la viande de bébé phoque au menu et des points patriotiques sont donnés à ceux qui en commandent. Il n’y a qu’au Canada qu’une nomination ministérielle peut être rejetée pour refus de manger un hamburger de phoque. En attendant, nous, les Canadiens, qui nous sommes opposés à la barbarie de la chasse aux phoques, sommes accusés d'être des éco-terroristes et sommes régulièrement arrêtés conformément à la loi Orwellienne appelée "Loi de Protection des Phoques" qui rend en réalité illégal d’assister ou de documenter la mise à mort d'un phoque. Malgré tous les efforts des politiciens canadiens pour choyer leur petit massacre de phoques, les méchants Européens, qui aiment les phoques, ont interdit les importations de peau de phoque en Europe. En une nuit, le marché a été anéanti. Mais le Canada est un État-providence et le gouvernement croit au soutien des industries archaïques par la charité, même quand elles ne produisent plus rien. Ils ont essayé d’accuser les phoques d'anéantir la morue, mais seuls les plus ignorants des Canadiens ont cru à ce mythe. Malheureusement pour les phoques, les chasseurs sont des imbéciles et les politiciens sont des crétins. Cette semaine le Canada a succombé à davantage de bassesses en utilisant les Inuits comme des pions, lors de la rencontre des Ministres des Finances du G7 dans la petite ville d'Iqaluit, dans le grand nord du Canada au-dessus du cercle polaire arctique. Ce que veut faire le Canada, c’est amener les chasseurs inuits à insulter les Parlementaires Européens en les accusant d’être insensibles et même racistes de s’opposer à la chasse aux phoques. Peu importe que les prises des Inuits représentent moins de 5% de l’ensemble des phoques tués au Canada. Peu importe que l’Europe ait en réalité accordé une exemption pour les Inuits. Ce que les politiciens canadiens essayent de faire est de lier l'abattage des phoques à la pauvreté du Nord et ses privations économiques alors que les phoques sont chassés plutôt sur la Côte Est et pas au Nord du Canada. "Les Canadiens utilisent la situation critique des communautés traditionnelles et indigènes pour supprimer l'interdiction et ainsi permettre au Canada de continuer à tuer 300 000 bébés phoques par an" a déclaré Arlene McCarthey, un membre britannique du Parlement Européen qui a joué un rôle majeur dans la négociation de l'interdiction par l'Union européenne. "Au lieu de chercher des justifications, les Canadiens devraient accepter le fait que l'UE a adopté cette loi," a t-elle dit au Toronto Globe and Mail par courrier électronique. Le Premier Ministre du Nunavut, Eva Aariak, a publiquement déclaré que les officiels participant au sommet les 5 et 6 février porteront de la peau de phoque et les ministres seront conviés à un dîner de terroir le samedi qui comprendra de la viande de phoque. Selon le Globe and Mail, le bureau de l'Union Européenne d'Ottawa a refusé de commenter cela, de même que plusieurs autres ambassades. Certains diplomates européens n'ont accepté de parler qu'à condition de rester anonymes. "Dès que nous avons eu connaissance du lieu, nous avons en quelque sorte su ce qui serait sur le menu" a dit un diplomate. Les diplomates des pays du G7 ont dit qu’ils n’étaient pas informés du menu provocateur. Le Canada n’a jamais vraiment expliqué les raisons de tenir une rencontre de puissants ministres des finances dans un endroit lointain où la couverture du réseau téléphonique et d’Internet est plus qu'incertaine et où il n’y a pas assez de chambres d’hôtel pour les délégations entières. Un autre délégué européen a dit : "Pourquoi se réunir dans le Grand Nord ? Cela échappe à toute logique, mais nous avons tous eu la politesse de ne pas poser cette question." Les diplomates peuvent ne pas vouloir poser cette question, mais je ne suis pas un diplomate européen. Je suis un Canadien, originaire de la province maritime du Nouveau Brunswick à l’Est et je trouve que c’est humiliant de voir les dirigeants canadiens ramper devant quelques centaines de tueurs de bébés trop paresseux pour se reconvertir dans un vrai métier. Nous, Canadiens dignes de ce nom, ne voulons pas voir notre grande nation souillée par le sang innocent de centaines de milliers de bébés phoques. http://www.seashepherd.fr/editoriaux/100203_edito_01.html
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Golfe du Saint-Laurent Mince espoir de chasse au phoque Mise à jour le mercredi 17 mars 2010 à 10 h 07 Les représentants des chasseurs de phoques et des pêcheurs des Îles-de-la-Madeleine, ainsi que les scientifiques de Pêches et Océans Canada, n'ont pas encore pris une décision sur la tenue de cette chasse. La réunion des scientifiques et des chasseurs se tient à huis clos, mais on a appris que les vols exploratoires dans le sud du golfe ont confirmé les pires craintes des chasseurs. Il n'y a pratiquement plus de glace et le troupeau de phoques est absent. Les chasseurs espéraient que le ministère trouve de la glace dans le golfe et surtout suffisamment de phoques pour rentabiliser la chasse. « Si au moins cette année on pouvait y aller, payer tous les hommes, payer ce qu'il y a et garder nos marchés, parce qu'on veut aussi montrer le sérieux de la chose. On est en train de développer le loup marin, on veut le maximiser et juste avec la viande de phoque, ça le prouve », indique Denis Longuépée, chasseur et pêcheur. Denis Longuépée ne croit pas qu'il tirera de revenus cette année de la chasse au phoque, mais il est prêt y aller quand même pour approvisionner le seul boucher des Îles. « Moi, pour ma boucherie, j'ai juste un arrivage de viande par année. Ça fait que ce matin, il faut vraiment avoir des réponses positives pour la localisation du troupeau », précise Réjean Vignault, chasseur et boucher. (Interviewé aux nouvelles télé hier soir, ce boucher disait qu'il était prêt à acheter 150,000 phoques pour faire rouler sa boucherie. On le voyait en train de préparer des genres de pâtés de phoque haché qu'ils mettaient dans des contenants d'aluminium pour les faire cuire au four... pâtés qui n'avaient vraiment pas l'air ragoûtants ... On voyait aussi des Québécois attablés en train de manger des hamburgers de phoque) À la recherche du troupeau Cependant, un mince espoir demeure. D'autres observations démontrent qu'il y aurait environ 80 000 phoques plus au nord, dans le détroit de Belle-Isle, à proximité des côtes de Terre-Neuve. « C'est la bonne nouvelle de l'année parce que ce qu'on entendait d'habitude, c'est des petits glaçons regroupés ici et là avec un troupeau. C'était quasiment impensable de chasser là-dessus », indique le chasseur et boucher Réjean Vignault. Un autre problème se présente toutefois aux chasseurs. Les phoques se trouvent à deux jours de navigation. Un tel déplacement coûte très cher. Il faudrait plusieurs milliers de phoques en âge d'être chassés pour rentabiliser l'expédition. « On parle de 5000 carcasses de jeunes pour aller aussi loin que ça, et si on peut trouver entre 300 et 400 adultes, c'est encore meilleur », précise Réjean Vignault. Un bateau avec une quinzaine de personnes à bord est prêt à prendre le large si l'on trouve suffisamment de phoques. D'autres vols exploratoires sont prévus dans les prochains jours pour déterminer l'importance du troupeau. La décision sur la tenue de la chasse sera prise vendredi par les chasseurs et Pêches et Océans Canada. http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2010/03/16/006-ATL-phoque-belle-isle.shtml
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Les pêcheurs satisfaits Le commerce du thon rouge n'est pas interdit Associated Press (AP) 18/03/2010 23h49 TOKYO - Les poissonniers japonais ont accueilli avec satisfaction le rejet jeudi de la proposition d'interdire le commerce international du thon rouge de l'Atlantique lors de la réunion à Doha de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES). Les Japonais, dont le thon rouge de l'Atlantique est très utilisé dans les plats traditionnels de leur gastronomie comme les sushis et les sashimis, ont suivi avec inquiétude le résultat du vote de Doha. Le rejet de la proposition a fait vendredi la une de la majorité des journaux de l'archipel. «Plutôt que d'interdire purement et simplement l'exportation du thon rouge de l'Atlantique, il vaut mieux s'assurer du respect des quotas. Beaucoup de personnes gagnent leur vie grâce à ce poisson» a rappelé Kazuhiro Takayama, poissonnier sur le marché de Tsukiji à Tokyo. Les Japonais consomment près de 80% de la production mondiale de thon rouge de l'Atlantique. La principauté de Monaco avait présenté la proposition d'interdire le commerce international du thon rouge de l'Atlantique aux 175 pays signataires de la convention, arguant de la nécessité de prendre des mesures drastiques pour faire face à l'effondrement des stocks (-80% dans l'Atlantique Ouest entre 1970 et 2007 et -74,3% dans l'Atlantique Est entre 1955 et 2007) en raison de la surpêche et de la demande croissante. Une majorité des deux tiers était nécessaire pour que la résolution soit adoptée. Mais à l'ouverture des débats, il est devenu évident que la proposition rencontrait peu de soutien. Les États-Unis, la Norvège et le Kenya ont totalement appuyé la proposition. L'Union européenne demandait elle un report de sa mise en oeuvre jusqu'en mai 2011. Le Japon, qui importe 80% du thon rouge de l'Atlantique et a été à la pointe de la contestation contre cette interdiction, a de nouveau avancé que la CITES ne devait jouer aucun rôle dans la régulation des activités de pêche du thon et d'autres espèces marines. Tokyo s'est déclaré disposé à accepter des quotas plus bas pour le thon rouge, mais a souhaité qu'une telle initiative émane de la Commission internationale pour la conservation des thonidés de l'Atlantique (ICCAT), qui avait décidé en novembre de réduire ses quotas de 22 000 tonnes à 13 500 tonnes pour 2010. «Le Japon est très préoccupé par le statut du thon rouge de l'Atlantique» et a «travaillé dur depuis nombre d'années pour assurer son rétablissement», a affirmé Masanori Miyahara, conseiller en chef de l'Agence nippone des pêcheries. Mais «faisons ce travail à l'ICCAT, pas à la CITES. Cette position est partagée par la majorité des pays asiatiques».
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Georges Laraque marche contre la chasse aux phoques
Animal a répondu à un(e) sujet de Animal dans ANIMAUX - Amérique du Nord
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J'affiche cet article ici, car je ne veux pas faire de publicité à ces tueurs... ------------------------------------------------------------------------ Les Madelinots se défendent par Pierre Lussier Article mis en ligne le 16 mars 2010 à 13:47 Soyez le premier à commenter cet article Des manifestants qui veulent rétablir les faits et expliquer la nécessité de la chasse. Les Madelinots se défendent (PL) - De passage à Verdun, Léonce Arseneau, porte-parole d’une association créée pour défendre la chasse aux phoques aux Îles-de-la-Madeleine, a rencontré quelques compatriotes au Mouvement social madelinot, samedi dernier. Des manifestants ont tenu à exprimer leur appui aux chasseurs en faisant valoir l’augmentation de population de ce mammifère dans les eaux du Golfe Saint-Laurent. Trop nombreux et sans prédateur, les phoques épuiseront les stocks de poissons du Golfe, d’où l’importance de la chasse qui fournit un revenu d’appoint indispensable aux résidants des Îles, selon les manifestants. Thierry St-Cyr, député de Jeanne-LeBer était présent à la rencontre au MSM pour témoigner de sa solidarité avec la population des Îles. Rappelons qu’une dégustation de viande de phoque a eu lieu la semaine dernière à la Chambre des communes sous l’égide de la sénatrice, Céline Hervieux-Payette qui a pris fait et cause pour les chasseurs de phoques. http://messagerverdun.com/article-440600-Les-Madelinots-se-defendent.html
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