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Animal

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Tout ce qui a été posté par Animal

  1. Rien vu dans les journaux du Québec aujourd'hui ! La JMA s'est bien déroulée, autant à Québec qu'à Montréal Nous avons distribué plusieurs centaines de feuillets d'information et collecté de nombreuses signatures pour nos pétitions! UN GROS MERCI à toutes celles qui ont participé ! Photos et détails à venir bientôt sur le site
  2. Animal

    Ouf ! AA n'est pas en panne

    allo ma belle hop ! J'avais aussi constaté qu'il y avait des interruptions fréquentes depuis 2-3 jours. Heureusement, ça fonctionne à nouveau. Tout va bien hop! Hier, la manifestation à Québec s'est très bien déroulée. Les gens étaient pour la plupart, très réceptifs, et on a dû distribuer au moins 400 feuillets d'information et fait signer nos pétitions à environ 300 personnes... (Il me faut compter tout ça aujourd'hui) ... Cécil m'a envoyé un petit mot hier soir et je crois que ça s'est bien passé aussi à Montréal. Les filles qui m'accompagnaient à Québec sont Super! Très engagées, bien informées et VG. Elles sont contentes de savoir qu'il y aura maintenant une asso à Québec pour défendre les animaux! J'espère que tout va bien pour toi et tes petites protégées, Gros bisous ma belle hop XXXXXXXXXXXXXXX
  3. ben oui, ... les renard, les loups, les rats-musqués, les moufettes, les ratons, etc. etc. etc.
  4. Je sais qu'ils nient depuis longtemps que de la fourure de chiens et de chats est utilisée au Canada, de là mon commentaire précédent! Quelle bande de
  5. Lac Saint-Jean Un homme meurt dans un accident de chasse Mise à jour : 03/10/2009 09h19 Un homme est décédé dans un accident de chasse dans la nuit de vendredi à samedi, à Saint-Hedwidge, près d’Alma au Lac-Saint-Jean. La victime est un homme de 41 ans originaire de Mascouche. Il est tombé de sa cache. On ne connaît pas les détails exacts de l'accident, mais ce serait sa chute qui aurait causé sa mort. http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/faitsdivers/archives/2009/10/20091003-091812.html ----------------- Un Mascouchois en voyage de chasse à Ste-Hedwidge, Lac St-Jean, a connu une fin atroce le vendredi 2 octobre. Celui-ci serait tombé de sa cache sur sa carabine et un projectile de sa propre carabine l’aurait mortellement atteint. Les ambulanciers ont pris moins d’une heure pour se rendre sur les lieux de l'accident, mais ils n’ont pu que constater le décès du Mascouchois. Les policiers de la Sûreté du Québec poursuivent leur enquête afin de déterminer la cause exacte du décès. http://www.letraitdunion.com/article-384560-Chasseur-mascouchois-tue.html ----------------------- Femme atteinte par balle à Sainte-Sophie-de-Lévrard Publié le 02 octobre 2009 (Sainte-Sophie-de-Lévrard) Une dame dans la quarantaine a été atteinte d'un projectile d'arme à feu, en matinée hier, dans le secteur du rang Sainte-Agathe à Sainte-Sophie-de-Lévrard. Les circonstances entourant cet événement sont d'ailleurs très nébuleuses. Selon les informations recueillies par la Sûreté du Québec, il semblerait que la dame prenait une marche dans un secteur boisé lorsqu'elle a été atteinte à l'abdomen par le projectile. ... L'hypothèse à l'effet que la femme ait été la victime d'un accident de chasse fait notamment partie des scénarios étudiés par les enquêteurs. Ces derniers devaient d'ailleurs rencontrer la victime au cours de la soirée d'hier afin de connaître sa version des faits. http://www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/actualites/200910/02/01-907686-femme-atteinte-par-balle-a-sainte-sophie-de-levrard.php ------------------------------
  6. Quelle propagande! Le Conseil Canadien de la Fourrure pourrait peut-être nous expliquer pourquoi on vend de la fourrure de chats et de chiens au Canada !
  7. Tu peux l'dire et ils ne sont pas prêts d'être rendus là non plus
  8. Baffin Bay polar bear hunt goes before hearing Monday, September 28, 2009 CBC News The disagreement between biologists and Inuit hunters over the number of polar bears in Nunavut's Baffin Bay region will take centre stage again Tuesday, when territorial wildlife regulators consider a new request to reduce the annual hunting quota in the area. Concerned with overhunting in Baffin Bay, the Nunavut government has asked the Nunavut Wildlife Management Board to cut the quota or impose a moratorium on polar bear hunting before the hunting season begins next month. The board will discuss the government's proposal with hunters and biologists at a public hearing that starts Tuesday in Iqaluit. "Of course, they don't see eye to eye at this moment, but we have always made the recommendation to them that we need to start incorporating traditional knowledge through scientific research," Harry Flaherty, the board's interim chair, told CBC News. The Baffin Bay polar bear population is shared between Nunavut and Greenland, with each region controlling their respective domestic hunts. Greenland's current hunting quota is currently 68 polar bears. Last year, the Nunavut Wildlife Management Board recommended that Nunavut's hunting quota in Baffin Bay be kept at 105 polar bears, despite concerns from government biologists who say the combined polar bear hunt in Greenland and Nunavut hunters is not sustainable. This year, the territorial government has presented the board with three options: * Reducing the hunting quota to 64 bears. * Setting a new quota altogether. * Imposing a complete moratorium on the Baffin Bay polar bear hunt. But hunters say they want the hunting quota to stay the same, citing too many bears in the area. "We know in Baffin Bay, even [in the] Greenland area, there's too many polar bears in this area," said Jayko Allooloo, chair of the Mittimatalik Hunters and Trappers Association in Pond Inlet. The wildlife board is paying to bring in a hunter and an elder from each of the three communities that hunt for polar bears in Baffin Bay: Pond Inlet, Clyde River and Qikiqtarjuaq. Allooloo said if the hunting quota changes this year, they would want compensation. "We will try to make a proposal with the GN or maybe other parties about compensation. That's very important for us," he said. Officials with the wildlife board say the public hearing on last year's Baffin Bay polar bear quota cost more than $100,000. http://www.cbc.ca/canada/north/story/2009/09/28/baffin-bay-pbear-nwmb.html
  9. Merci beaucoup Caro ! C'est bizarre, mais ce matin, ça n'était pas le même tableau de pays qui figurait sur cette pétition...
  10. Je n'ai pas réussi à signer la pétition car je n'ai pas vu Canada indiqué. Il n'y a qu'une liste des États Américains
  11. 28-09-2009 - 12:00 European Circus Association conteste l'interdiction des animaux dans les cirques BRUXELLES, Belgique, September 28 /PRNewswire/ -- L'European Circus Association (ECA) a annoncé aujourd'hui qu'elle entamait des procédures judiciaires contre l'Autriche et la Ville de Luxembourg pour contester leur interdiction des animaux dans les cirques. ... http://www.euroinvestor.fr/news/story.aspx?id=10641255
  12. Publié le 29 septembre 2009 à 05h00 | Mis à jour le 30 septembre 2009 à 12h14 Des souris dépressives pour comprendre le cerveau humain Agrandir Pour sonder les mystères de cette formidable machine qu'est le cerveau, le centre de recherche mise beaucoup sur des animaux transgéniques. Parmi eux, des souris «dépressives», dont les chercheurs ont modifié le code génétique pour mieux comprendre les mécanismes de la maladie dans le cerveau. Valérie Gaudreau Le Soleil (Québec) Quelque part dans un laboratoire de Québec, des «souris dépressives» contribuent à faire avancer la science pour mieux comprendre les maladies mentales chez l'humain. ... http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/vivre-ici/sante/200909/28/01-906423-des-souris-depressives-pour-comprendre-le-cerveau-humain.php
  13. Tout le monde qui a écrit au Ministre Charest a probablement reçu cette même réponse: Au nom du premier ministre, monsieur Jean Charest, nous accusons réception du message que vous lui faisiez parvenir par courrier électronique le 24 septembre 2009 concernant une demande pour faire cesser l’importation de fourrure de chiens et de chats en provenance de l’Asie. Soyez assuré que nous avons pris connaissance de votre envoi avec intérêt et considération et que nous sommes sensibles à la problématique qui y est décrite. Nous vous prions d’agréer nos salutations les meilleures. J.McM. Attachée politique
  14. Recherche canadienne sur les truies groupées Publié dans Le Bulletin des agriculteurs de juin 2009 Un chercheur des Prairies étudie la meilleure façon d'introduire le principe des truies groupées en gestation. par Marie-Josée Parent, agronome Alors qu'un nombre croissant d'États américains légifèrent pour interdire les truies gestantes en cage et qu'elles seront interdites dès 2013 dans toute l'Europe, des recherches sont en cours sur le sujet dans l'Ouest canadien. Le chercheur Harold Gonyou, expert du comportement des porcs au Prairie Swine Center, en Saskatchewan, nous informe des progrès des recherches qu'il mène depuis neuf ans sur les solutions de rechange au logement en cage pour les truies en gestation. Le Bulletin des agriculteurs : En quoi consistent vos recherches ? Harold Gonyou : Nous avons utilisé un système d'alimentation électronique. Toutes les truies mangent au même endroit et sont identifiées électroniquement. Les informations sont contenues dans un ordinateur. Nous avons eu du succès avec ce système. Il a démontré des performances équivalentes à ce que nous voyons dans le système en cages de gestation. Cependant, certaines personnes n'aiment pas travailler avec un ordinateur. L'an dernier, nous avons donc installé un deuxième groupe de truies en gestation, mais cette fois, les truies peuvent entrer dans les stalles d'alimentation à tout moment dans la journée. Elles peuvent s'y coucher ou y aller pour être nourries. Il y a autant de stalles que de truies. L'inconvénient de ce système, c'est qu'il est un peu plus cher à construire parce qu'il nécessite plus d'espace par truie. LBDA : Quel était le but de vos essais avec le nouveau système ? HG : Nous voulions savoir si les truies utilisent davantage l'aspect groupe ou l'aspect stalle. Une semaine après la formation des groupes, les truies quittent leur stalle une première fois. Par la suite, elles quittent leur stalle au moins une fois par jour. Le temps qu'elles passent à l'extérieur de la stalle varie de 10 minutes à plusieurs heures, selon la truie. Nous remarquons que c'est plus facile pour la nutrition. Nous expérimentons un système que nous appelons la cafétéria. Nous gardons les truies en groupe tout le temps, sauf quand nous les alimentons. Nous cherchons maintenant à savoir quel espace donner aux truies à l'extérieur des stalles. Nous gardons les truies en quatre différents niveaux d'espace : de 16 pi2 (1,49 m2) jusqu'à environ 30 pi2 (2,79 m2) par truie. Nous évaluons le nombre d'agressions entre les truies. Nous regardons la durée, les blessures, la douleur... Nous observons les truies durant la première semaine suivant la formation des groupes. Puis, nous les observons de nouveau quelques semaines plus tard. LBDA : Quel est l'espace nécessaire pour chaque truie ? HG : Les recommandations actuelles sont de 24 pi2 (2,23 m2) par truie. Mais en utilisant le système électronique que nous utilisions il y a un an, vous pourriez probablement diminuer à 20 pi2 (1,86 m2). Avec les stalles d'alimentation que nous utilisons maintenant, ça pourrait monter à 28 (2,6). Nous cherchons à diminuer cet espace. LBDA : Que faites-vous à propos de la faim, qui est une des raisons des agressions ? HG : Parce qu'elles sont nourries dans une stalle, les truies ne peuvent pas être en compétition pour la nourriture. Nous pouvons donc décider à quelle quantité de nourriture elles ont droit. Elles peuvent toujours se battre pour entrer dans une stalle ou lors de la formation d'un groupe, mais nous ne voyons pas de bataille pour la nourriture. LBDA : Leur donnez-vous du foin ou de la paille ? HG : Non, mais j'aimerais travailler avez ça un jour. Le foin ou la paille apporte de la fibre qui donne une sensation de satiété, mais c'est aussi un risque d'introduction de maladies. LBDA : Y a-t-il des gens qui s'intéressent à vos systèmes ? HG : Le système que nous utilisons actuellement est un des deux systèmes les plus populaires en Europe. Beaucoup de Nord-Américains voudraient utiliser un système moins cher. Ceux qui utilisent les systèmes les moins chers en Europe voient des baisses de production. L'atout le plus important des deux systèmes que nous avons utilisés, c'est que nous pouvons contrôler la quantité de nourriture, puisqu'il n'y a pas de compétition entre les truies pour manger. Encadré: Cinq États américains ont banni les cages Le 4 novembre dernier, 63 % des électeurs californiens ont voté pour fournir plus de confort à plusieurs animaux d'élevage, dont les truies en gestation. Dès 2015, les truies devront avoir suffisamment d'espace pour se coucher, se lever, se tourner et étirer leurs membres. Deux autres États, la Floride et l'Arizona ont passé avec succès l'étape du référendum, alors que dans deux autres États, le Colorado et l'Oregon, les élus ont choisi la voie de la législation. Au Colorado, les producteurs ont pris part au processus parce qu'ils préféraient la législation au référendum. Le nombre des États américains ayant banni les cages en gestation est maintenant au nombre de cinq. « Nous en verrons de plus en plus, croit Harold Gonyou. Ceci aura un impact énorme sur l'industrie. » Description des photos Les photos sont publiées dans le magazine imprimé 1. Dans les recherches sur le bien-être des truies gestantes entreprises au Prairie Swine Center par Harold Gonyou et son équipe, on offre à chaque truie une stalle pour manger, tout en lui permettant de se mouvoir dans un grand parc. http://www.lebulletin.com/abonnement2/0906/0906e.cfm ----------- Truies logées à l'européenne Publié dans Le Bulletin des agriculteurs de juin 2009 Des producteurs de porcs d'ici s'inspirent des nouvelles normes européennes concernant le bien-être animal. par Marie-Josée Parent, agronome La section gestation de la Porcherie Ardennes de Mont-Saint-Grégoire surprend le visiteur. Les truies logées en grands groupes ont deux fois et demie plus d'espace qu'en élevage conventionnel. Une allée centrale bétonnée et surélevée est si large qu'elle permet d'y circuler en petit tracteur. Le foin servi aux truies est une autre particularité de cet élevage hors du commun... pour le Québec. Toutefois, une telle image ne surprendrait pas en Europe où une loi impose que, dès janvier 2013, toutes les truies en gestation ne pourront être gardées en cage pendant la semaine précédant la date prévue de mise bas et durant la mise bas. Mais ni Pascale, ni François Pirson n'avaient en tête le respect des normes européennes. En fait, leur motivation provient plutôt de la volonté de s'éloigner du modèle productiviste nord-américain. Un incendie a fait le reste en les forçant à rebâtir en neuf. Une crise et un feu En 2004, une crise du syndrome reproducteur et respiratoire porcin (SRRP) dans le troupeau de Pascale et François Pirson porte un dur coup. Découragé, François Pirson, immigré de Belgique depuis une vingtaine d'années, en parle à son frère agriculteur dans son pays d'origine. Celui-ci le met en contact avec un agronome chercheur breton, Michel Sencier, qui a développé sa propre méthode d'élevage, connue sous le nom de méthode Sencier. Michel Sencier visite les Pirson en 2006. La technique Sencier, qui repose sur l'alimentation et le respect des besoins de l'animal, séduit les éleveurs naisseurs-finisseurs de 140 truies qui oeuvraient alors dans une porcherie conventionnelle. Bouchère de formation, Pascale Pirson se met à rêver d'une boutique dans laquelle elle pourrait vendre au détail la viande différenciée issue de leur élevage. Ladite boutique voit le jour le 27 avril 2007. Le 9 juillet suivant, la maternité est rasée par le feu. Décourageante sur le coup, l'épreuve permet aux Pirson d'aller jusqu'au bout de leur projet. « Il n'y a pas de grand mal sans qu'il y ait de petits biens », dit François Pirson à propos du feu. Les Pirson consultent Michel Sencier pour concevoir leur nouvelle maternité. Les premières truies entrent le 9 février 2008 et cinq jours plus tard, les premières truies mettent bas. À la fin février, Pascale et François Pirson profitent du fait que la maternité ne fonctionne pas encore à son maximum et que l'engraissement soit vide pour aller suivre une formation avec Michel Sencier en Bretagne. Méthode Sencier La méthode Sencier est une méthode qui apprécie la ferme dans son ensemble. « La première chose qu'on fait, c'est qu'on évalue la capacité de la terre, explique Pascale Pirson. Ensuite, on évalue le troupeau en fonction de la terre. » En fait, Michel Sencier utilise des principes de bienêtre animal et de biosécurité, semblables à ceux que le spécialiste français François Madec, de l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (AFSSA), proposait pour réduire l'influence du syndrome de dépérissement postsevrage (SDPS). Michel Sencier y intègre des concepts d'alimentation qu'il a développés. Deux produits donnés aux animaux, le chlorure de magnésium et le Gabolysat, ont pour rôle de stimuler le système immunitaire. « La plus grande règle qu'on a appliquée et qu'on n'aurait pas pu mettre en place avant l'incendie, c'est celle de donner du foin, explique Pascale Pirson. En gestation, on donne 2,6 à 2,8 kg d'aliments à la truie et l'on voudrait ensuite qu'elle consomme 10 à 12 kg de moulée en lactation. Le foin lui permet d'augmenter la taille de son estomac. » Une truie qui a un estomac plus développé consommera jusqu'à 15 kg de moulée durant la lactation et produira plus de lait. « Pour un même âge au sevrage, 26 à 27 jours, les porcelets sont passés de 7 à 9 kg entre l'ancienne maternité et la nouvelle », indique François Pirson. Sa conjointe est convaincue : « M. Sencier dit : “Si on part d'un gros bébé, ça démarre bien.” » Lors d'une récente bande, le nombre de nés totaux a été appréciable : 14,5 par truie. 7 bandes La gestation est divisée en six groupes de 24 truies. Chacun de ces groupes correspond à une bande. La section mise bas est divisée en deux chambres pouvant contenir chacune une bande. Pour accueillir les truies sevrées, un parc en gestation est vide, ou inversement, une salle de mise bas est vide pour accueillir les truies en fin de gestation. Il y a donc un total de sept bandes. Une nouvelle bande met bas toutes les trois semaines pour respecter le cycle de retour en chaleur des truies. On n'utilise aucune hormone pour stimuler le retour en chaleur. Chaque parc en gestation est divisé en deux sections. Les stalles bétonnées permettent aux truies de se coucher ou encore de manger. « Mais la plupart d'entre elles préfèrent se coucher sur la litière », précise François Pirson. Il y a autant de stalles qu'il y a de truies, 24. Derrière ces stalles, une vaste aire sur litière permet aux truies de marcher, de se coucher et de se soulager. Le foin est distribué le long de l'allée centrale. Chaque truie dispose de 32 pi2 (3 m2) d'espace, alors que dans le conventionnel, elle en avait 14 (1,3 m2). Dans la section mise bas, les cages sont plus longues et plus larges d'un pied (30 cm). En longueur, cette modification permet aux truies plus âgées et plus longues d'être à l'aise. L'espace accru en largeur permet d'éloigner de la truie la lampe infrarouge des porcelets. Les truies sont ainsi moins incommodées lors des chaleurs estivales. « M. Sencier dit toujours : “Donnez- leur du confort et de l'alimentation, et les animaux vous le rendront” », répète Pascale Pirson. Pour certains, ces investissements peuvent paraître farfelus. Pour Pascale et François Pirson, il n'en est rien. Leur porc se retrouve sur les tables de prestigieux restaurants, tels Au Pied de cochon (Montréal) et le Fourquet fourchette (Montréal et Chambly), ou encore dans des épiceries fines. Les clients qui visitent leur boutique apprécient leurs produits. Pascale et François Pirson font aussi partie des producteurs de porcs qui viennent de lancer ce printemps la certification NaturPorc, un porc produit de façon naturelle, sans antibiotique de la naissance jusqu'à l'abattage. « Dans notre cas, c'est rentable parce qu'on a développé une bonne clientèle », explique François Pirson. Description des photos Les photos sont publiées dans le magazine imprimé 1. L'incendie a permis à François et Pascale Pirson de construire la maternité de leurs rêves. Un investissement qui se rentabilise avec leur clientèle de prestige. 2. Les cages de mise bas sont plus larges et plus longues que les cages régulières. Les truies ont ainsi plus d'aisance et sont moins incommodées par la lampe des porcelets. http://www.lebulletin.com/abonnement2/0906/0906d.cfm
  15. Animal

    Coup de coeur! Rescue Ink. Unleashed

    On en veut un aussi au Canada
  16. Bonjour tout le monde, Il a été décidé que le lâcher de colombes qui était initalement prévu lors de la Journée Mondiale des Animaux au Parlement de Québec a été annulé Aequo Animo se joindra donc à ce groupe à 1 heure P.M. La rencontre aura donc lieu tel que prévu 12h30 à côté du Commensal et nous marcherons jusqu'au Parlement pour rejoindre l'autre groupe (une petite marche d'environ 5-10 min.) Au plaisir de vous rencontrer dimanche
  17. Le commentaire de David Ruffieux: «Un ourson 15 flics et 20 balles David Ruffieux Jeudi 31 Juillet 2008 21:44:11 -Encore une fois, on soulève le problème de la difficile cohabitation des hommes et des bêtes sauvages, cohabitation, qui se traduit inexorablement par l'extermination des "nuisibles" des prédateurs, des "faibles" qui sont en compétition pour un peu de montagne, de forêt, pour un peu de ce qui était jadis leur territoire avant que l'homme vienne pourrir la planète par son infinie rapacité. Le problème de la survie de la vie sauvage se retrouve ailleurs En Afrique, c'est la survie du lion, exterminé pour avoir croqué la chèvre du bushman. En Amérique du nord, c'est l'ours tué à coups de carabine dès qu'il s'égare hors de son domaine en peau de chagrin. Partout la vie sauvage étouffe de ce trop plein d'humains, de ces autoroutes, de ces villes tentaculaires et de ces esprits étroits qui tirent à tort et à travers contre tout animal, posant un danger même minime. On peut dépenser des milliers de dollars et recourir à toutes les options possibles pour sauver un enfant, ou une baleine dans un filet de pêcheur, mais bang bang, sur un ourson. On pourrait suggérer aux héros qui ont fait leur devoir d'abattre, d'utiliser des tranquilisants et d'agir avec plus de...compassion pour un animal poursuivi et apeuré. L'hystérie policière qui tue. Je cite Marc St-Pierre dans un article du 07 juin 2008, (le Soleil), "Depuis un quart de siècle, cinq personnes ont trouvé la mort dans les pattes d’un ours au Québec. Pêcheurs, villégiateurs et ramasseurs de fruits sont plus que jamais présents dans les bois. Mais les statistiques n’en démontrent pas moins que «les chances» d’être attaqué par un ours noir sont infiniment moindres que d’être mordu par un chien, de se faire renverser par une voiture, voire d’être frappé par la foudre." Alors, pourquoi tant d'acharnement à tuer cet ours? Il fallait bien se défouler, faire un carton n'est-ce pas? Je ne crois aucunement que cet animal aurait posé un risque, si on avait pris la peine de le tranquiliser, d'utiliser une méthode plus douce. Si c'est la brutalité qui devient la norme, alors c'est l'humanité qui régresse. » http://www.la-vie-rurale.ca/contenu/18704
  18. Un ours abattu dans Saguenay suscite la controverse Opinion du citadin Ricardo Codina LA VIE RURALE – SAGUENAY – 30 Juillet 2008 J’ai vu au bulletin de nouvelles télévisées, hier, un reportage sur un ours en liberté dans la ville de Saguenay. L’ours d’un an a finalement été abattu par les policiers de l’endroit. Plusieurs citoyens sont choqués par cette histoire qui a connu sa finalité lundi soir. L’animal rôdait dans le centre-ville depuis un certain temps. Vendredi dernier, l’animal a été atteint d’un projectile mais est parvenu à s’enfuir. Avec un animal blessé, la police n’a pas eu d’autre choix que de le tuer. Mais voilà qu’on apprend qu’il s’agit d’un ourson d’un an. Attention, un ourson pesant 100 livres et qui peut facilement tuer un enfant. C’est d’ailleurs dans un parc près de l’école primaire l’Oasis, au centre-ville de Saguenay, que l’animal a été atteint d’une vingtaine de projectiles. Pourquoi autant de projectiles? Là, je ne peux pas répondre. Il semblerait, soit que les policiers du coin ne sont pas des tireurs d’élite, tant s’en faut, ou que l’animal était difficilement atteignable et partiellement caché dans des feuillages. Mais un fait demeure, s’il y avait urgence et danger pour la population, il ne restait qu’une solution pour résoudre le problème : abattre l’animal. La controverse vient surtout des images qui furent diffusées hier à la télévision. On voit les policiers tirer à bout portant sur l’animal pour ensuite prendre le cadavre par les pattes et le balancer comme un sac de patates dans la boîte d’une camionnette. Je ne sais pas comment deux personnes peuvent faire pour placer un tel poids dans un camion. Ça prend un minimum d’élan. Pour ma part, je n’ai rien vu de choquant. ... suite: http://www.la-vie-rurale.ca/contenu/18704
  19. Le dimanche 27 septembre 2009 Actualités Québec Ours abattu à Neufchâtel Alain Rochefort 26/09/2009 23h37 Photo Jean-François Desgagnés(AR) Un ours a été tué, hier, dans un petit champ situé à proximité de la rue Elizabeth-II et de la piste cyclable des Cheminots, à Neufchâtel, selon le lieutenant Pierre Collin de la police de Québec. Après de longues minutes d’observation, les agents de la faune auraient pris la décision de tuer la bête d’une centaine de livres, parce qu’elle pouvait représenter un danger. Les appels signalant la présence d’ours à proximité de résidences ne cessent de se multiplier dans la région de Québec, surtout depuis l’arrivée de la période automnale. C’est l’absence de petits fruits en forêt qui les pousse à agir de la sorte, selon des agents de la faune. (Agir de quelle sorte? Quel mal a-t-il donc fait?) http://lejournaldequebec.canoe.ca/journaldequebec/actualites/quebec/archives/2009/09/20090926-233731.html
  20. Publié le 27 septembre 2009 à 11h17 | Mis à jour à 11h19 Jeune ours abattu à Neufchâtel Ajouter un commentaire Matthieu Boivin Le Soleil (Québec) Les agents de protection de la faune ont abattu un jeune ours, samedi aux alentours de 10h30, dans le secteur de la rue Élizabeth-II et de la piste cyclable, à Neufchâtel. Selon Claude Lefebvre, de la police de Québec, les policiers ont été appelés sur les lieux par un résidant qui avait remarqué la présence d'un ours qui se déplaçait entre la piste cyclable et sa résidence. À l'arrivée des agents de la faune, l'ours était perché dans un arbre. Selon M. Lefebvre, les agents de la faune ont bien tenté d'endormir l'animal à l'aide d'une fléchette, mais se sont résignés à l'abattre quand la bête a commencé à descendre l'arbre par lui-même. Wowwwwwwwww! Beau travail les boys !!!!!!!!!!!!!!! http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faits-divers/200909/27/01-905964-jeune-ours-abattu-a-neufchatel.php
  21. [France] À propos du «Lait de la honte» (des Raisins de la Colère) Anonyme, Mercredi, Septembre 23, 2009 À PROPOS DU « LAIT DE LA HONTE » Communiqué du groupe « Raisins de la Colère », rassemblant des travailleurs agricoles libres de la Drôme, France. La Confédération paysanne essaye de corriger la lamentable image des producteurs de lait, vaporisant 100 000 litres de lait, dans la baie saint-michel. À ce moment précis de l’histoire du syndicalisme, les « paysans » se sont comportés comme de vulgaires spéculateurs et non comme de dignes travailleurs, luttant et prenant en otage leur patron. Déguisés en grévistes, ils ont liquidé leur surproduction, prenant les gens pour des cons. Ces « paysans » n’ont pas pris d’assaut les banques du Crédit agricole, lequel est le véritable interlocuteur, en matière d’argent (la plupart des suicides proviennent du surendettement), mais ont sabordé leur volume de lait afin de susciter un rééquilibrage des prix. Pour de nombreux observateurs, ils ont créé un véritable scandale : feindre de détruire la production alors que de nombreuses personnes, en France, sont réduites, aujourd’hui, à chercher leur brik de lait au Secours populaire ou au Resto du Cœur. L’opération de la Confération paysanne, à Paris, du 22 septembre 2009, qui consiste à remplir gratuitement les bouteilles vides, ne dissipera pas le malaise… Une sinistre vérité émerge de cette « Journée blanche », organisée par les «naufrageurs de la voie lactée ». Le monde paysan ne travaille pas pour le bien collectif mais pour un intérêt particulier en relation étroite avec les banques, l’industrie et la finance. Malgré leurs gesticulations grotesques, répétées à l’infini, par une presse complaisante, ces faux paysans et vrais industriels n’appartiennent pas au monde du travail mais aux lois du marché. Leur mode d’action est basé comme à Wall Street sur le gâchis, l’égoïsme, l’amour de l’argent, la surenchère et la prédation. Nombre d’entre eux, grands propriétaires terriens, qui exploitent sans vergogne des ouvriers agricoles, mentent effrontément au grand public lorsqu’ils crient Ô désespoir… Le syndicat majoritaire paysan a beaucoup en commun avec le syndicalisme nord-américain, infiltré par la mafia. Ces gentlemen farmers, copains comme cochon avec le pouvoir, connaissent toutes les ficelles européennes pour augmenter leur profit - surtout en pleine crise… La complicité intime des producteurs de viande, lait, vin et céréalier avec le grand Capital n’est plus à prouver. Jamais un métayer, un saisonnier, un chômeur ou travailleur, ne pourrait obtenir les mêmes avantages et crédits, auprès des banques et de la communauté européenne, que ces gens-là ! L’épandage de millions de litres de lait, dans la nature, témoigne du mépris des naufrageurs et pirates « paysans » à l’égard de l’ensemble de la collectivité, frappée par le chômage et la vie chère. Les syndicats ouvriers, partis communistes, socialistes, écologistes, en soutenant l’action spéculatrice des « exploiteurs agricoles », oeuvrent contre leur base prolétaire aussi bien en milieu paysan que citadin. La grève n’est pas d’organiser la rareté du pain et du lait, avec les propriétaires des moyens de production et des gangsters, mais de s’en prendre au système qui organise la pénurie pour tous. À BAS LES PROPRIÉTAIRES TERRIENS, AFFAMEURS DU PEUPLE ET SPÉCULATEURS! GRÈVE GÉNÉRALE ET INSURRECTION ! VIVE LE COMMUNISME, LA DESTRUCTION DE L’ARGENT ET LA RÉVOLUTION AGRAIRE ! PS : pour contacter les « Raisins de la colère », écrire à himalove[arobas]yahoo.com http://www.cmaq.net/fr/node/36737 Author: himalove Mail contact: himalove@yahoo.com (pour commenter: ouvrez votre compte ou créez un compte)
  22. Publié le 27 septembre 2009 à 08h26 | Mis à jour à 08h30 Le mythe Bardot exposé en France ... L'événement passe en revue les «années insouciantes» de BB au cinéma mais aussi ses audaces, comme d'avoir pris la liberté de tourner le dos au 7e art à 39 ans pour se consacrer aux animaux. Bardot, qui a refusé pour l'occasion d'être photographiée ou filmée, aborde sans nostalgie mais avec fierté cet événement monté par le journaliste Henry-Jean Servat, ami intime de la star et commissaire général de l'exposition. ... «Brigitte a tout vendu depuis 30 ans au profit de sa fondation pour les animaux. Il y a un an, nous n'avions rien à montrer», rappelle Henry-Jean Servat. ... Sur le thème de «Babette s'en va-t-en guerre», le combat de la star pour la cause animale avec des images de torture et de maltraitance, clôt l'exposition. Brigitte Bardot l'a voulu ainsi. Sa seule exigence. http://www.cyberpresse.ca/arts/arts-visuels/200909/27/01-905947-le-mythe-bardot-expose-en-france.php
  23. Animal

    Une nouvelle passée inapperçue

    exactement ! Bien entendu Monsieur le cuisinier ne parle pas du gavage cruel d'oies et de canards pour le foie gras du Québec, même si je suis bien certaine qu'il en sert à ses clients !
  24. Chasse dans l'Île d'Orléans Cet automne, les mêmes règles que durant l'automne 2008 seront en vigueur pour la chasse du chevreuil dans l'île d'Orléans. On pourra y récolter indistinctement mâles, biches et faons en achetant un permis provincial normal de chasse du cerf de Virginie. Du 31 octobre au 5 novembre inclusivement : chasse à l'arc et à l'arbalète. Puis, les 6, 7 et 8 novembre : chasse à l'arc, à l'arbalète et à l'arme à feu à chargement par la bouche. Pour lire le reste de l'article c'est ici: http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/sports/chasse-et-peche/200909/23/01-904903-chevreuil-la-fqcp-persiste.php
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