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oskarnika

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Tout ce qui a été posté par oskarnika

  1. Schwarze Johannisbeere CASSIS Feuilles. Ribes Nigrum. Grossulariaceae. Cliché Garten Natur Cliché Kraut & Rüben Son appellation latine "Ribes nigrum" signifiant "Groseillier noir", le Cassis fait partie du même genre botanique que le groseillier qui ne compte pas moins de 150 espèces. Affectant les climats tempérés froids, il trouve son origine dans une zone géographique allant des pays scandinaves au nord de la Roumanie, sa culture s'est ensuite répandue, au XVIIIème siècle, en Bourgogne et dans le Val de Loire. En son abbaye de Rupertsberg, au 12ème siècle, l'abbesse et médecin Hildegard von Bingen, préconise l’utilisation du Cassis dans le traitement de la "maladie de la goutte" ou "podagrisme" provoquée par un fort taux d'acide urique dans le sang (uricémie); cette particularité illustre bien l'action drainante et exonératrice de cette plante. On retrouve trace de son usage thérapeutique en 1614, date à laquelle le médecin Néerlandais Pieter van Forest alias "Forestus" démontra les propriétés diurétiques de ses feuilles. Sous l'instigation de l'abbé Pierre Bailly de Montaran, botaniste Orléanais, le Cassis est cultivé depuis le 18ème siècle dans la région d'Angers, où sa culture est toujours vouée à la production de plantes médicinales, ainsi que dans la région de Dijon pour l'élaboration de spiritueux bien connus. Dans son ouvrage "Traité pratique et raisonné des plantes médicinales indigènes" publié en 1868, le médecin Francois-Joseph Cazin, fondateur de l’École Française de Phytothérapie, emploie les feuilles de Cassis dans les cas de rétention d'eau à visée cardiologique et rhumatologique. Des études contemporaines en pharmacologie on démontré que l’action antiinflammatoire d'extrait de feuilles de cassis s’est avérée comparable, en utilisation longue, à celle de l’indométacine et à celle de l’acide niflumique, sans pour autant entrainer d’effet ulcérogène sur la muqueuse gastrique. ************ PARTIE UTILISÉE : Feuille séchée et pulvérisée. PROPRIÉTÉS GÉNÉRALES : De par son importante concentration en divers flavonoïdes opérant en synergie avec ses nombreux autres composants, le Cassis est un draineur universel et un antioxydant, il agit en débarrassant l'organisme des toxines accumulées, il est utilisé à des fins dépuratives, diurétiques et antirhumatismales. L’effet antiinflammatoire des proanthocyanidines du Cassis ont été mises à profit dans les raideurs articulaires dues à un exercice longuement répété suivi d'une immobilisation pseudo-ankylosante. INDICATIONS USUELLES : Douleurs articulaires des chevaux "raides". Fatigue saisonnière, convalescence, obésité, cures dépuratives au printemps et à l'automne. DOSE USUELLE : 30 à 40 grammes par jour de feuilles séchées pulvérisées dans la ration. On peut donner également les feuilles fraiches à raison de 200 à 300 grammes par jour, les chevaux l'apprécient beaucoup pour leur saveur acidulée. PRINCIPAUX COMPOSANTS : • Flavonoïdes : Anthocyanes, proanthocyanidines,quercétol, kaempférol, myricétol, isorhamnétol, isoquercétol, hypéroside, rutine, sakuranétine, catéchol, épicatéchol, épigallocatéchol, gallocathécol, astragaloside. • Sesquiterpènes aromatiques. • Vitamines : Alpha-Tocophérol, Vitamine B1, Vitamine B2, Vitamine B3, Vitamine B5, Vitamine B6, Vitamine C, Vitamine K1. • Acides aminés : Arginine, Asparagine, Acide glutamique, Acide aspartique, Isoleucine, Glutamine, Leucine, Proline, Sérine, Thréonine, Valine. • Oligo éléments à l'état de traces : Aluminium, Bore, Brome, Cadmium, Calcium, Chrome, Cobalt, Cuivre, Fer, Fluor, Magnésium, Manganèse, Molybdène, Nickel, Phosphore, Potassium, Rubidium, Sélénium, Silicium, Sodium, Soufre, Zinc. • Acides gras : Acides gras ω6 et ω3, Acide alpha-linolénique, Acide palmitique, Acide stéarique. • Acides simples : Acide citrique, Acide méthanoïque, Acide oxalique. • Acides phénols : Acide chlorogénique, Acide caféique. • Glucides : Fructose, Glucose. • Tanin : Acide tannique. • Sesquiterpènes aromatiques. 2015
  2. Merci beaucoup à toi, Marik !
  3. Merci beaucoup, Camille !
  4. Merci beaucoup Camille ! Je te félicite pour l'importance que tu accordes à la phytothérapie et t'encourage vivement à la mettre en pratique (dans la mesure du possible) au sein meme de ton activité professionnelle en humaine. Il est évident que les diverses thérapies actuelles en humaine ne peuvent, en aucun cas, être substituées, mais la phytothérapie peut encore occuper une place prépondérante au sein même de l'activité des soignants. Si tu le désires, je t'invite à venir visiter mon forum qui regroupe les diverses fiches déjà postées sur les plantes; il sera enrichi, au fil du temps, de données supplémentaires sur chaque plante : http://equuscaballusherbula.forumactif.org/ Reçois tous mes compliments !
  5. Merci à toi, Camille ! Effectivement, la charge vitaminique des fourrages secs diminue naturellement au fil du temps mais elle est aussi essentiellement dépendante des conditions de stockage; l'humidité, l'exposition aux UV, la colonisation par les acariens de stockage obèrent en une large mesure le potentiel vitaminique. Hormis la vitamine C, le Cynorrhodon contient de nombreux polyphénols très actifs dans les cas de stress oxydatif cellulaire survenant à la suite de pathologies diverses; cette particularité lui confère une utilité notoire dans la convalescence. Effectivement, le Gaillet est très efficace dans les cas de lymphœdèmes de la partie basse des membres du fait de son action diurétique antiœdèmateuse. Je te félicite pour tes connaissances des plantes et te remercie pour ta sympathique appréciation !
  6. GAILLET GRATTERON. Gallium Aparine. Rubiaceae. Cette plante, très connue pour son "attachement à tout ce qui bouge", recèle des vertus bien souvent méconnues. PARTIE UTILISÉE : Toute la partie aérienne : tige et feuilles. FORME D'ADMINISTRATION : Plante séchée et pulvérisée. PROPRIÉTÉS GÉNÉRALES : Anti Œdémateux. Diurétique. Antibiotique Végétal (Des recherches ont montré qu’il induit une augmentation de la production des leucocytes (globules blancs), et par conséquent aide à renforcer le Système Immunitaire). Dépuratif et Laxatif. Tonique du Système Lymphatique. Anti Arthritique. Spécifique du système glandulaire. En application externe : Calme des démangeaisons et irritations de la peau. INDICATIONS USUELLES : Engorgement des membres, Lymphangite, Fourbure, Rétention Hydrique, Œdèmes, Molettes, Douleurs Articulaires, Asthénie après traitement médicamenteux, Convalescence. Prurit et irritations de la peau. DOSE USUELLE : Plante fraîche : La dose est fonction du besoin instinctif du cheval, il suffit de lui en donner une grosse brassée fraichement cueillie et il mangera ce qu'il voudra en quantités différentes selon les chevaux. Plante séchée en poudre : De 30 à 40 grammes par jour de poudre dans la ration. PRINCIPES ACTIFS : Glucosides, Aspéruloside, Oligo-éléments, Manganèse, Acide citrique, Flavonoïdes, Saponine, Tanin, Silice. 2015
  7. Bonjour Camille, Pour plus de clarté, je te réponds "in litterra" :
  8. Merci à toi pour ton appréciation, Mélanie !
  9. Le Pin d'Alep n'est pas toxique et les chevaux en mangent volontiers les jeunes rameaux encore tendres sans problèmes pour eux. Comme tous les pins, il a des vertus balsamiques très intéressantes pour l'appareil respiratoire. Le seul danger qu'il représente est sa haute inflammabilité propageant rapidement les incendies. Voila ce que je puis te dire là-dessus.
  10. Merci beaucoup, Camille ! Le Caroube est excellent pour les chevaux amaigris, l'important est de ne pas dépasser 250 grammes par jour car c'est assez chargé en glucose.
  11. Merci beaucoup à toi ! Je suis également contre la torture des animaux !!!
  12. Merci beaucoup, Roseline !
  13. CAROUBE. Ceratonia Siliqua. Fabaceae. Franz Eugen Köhler atlas dok. Inflorescences femelles Gousses torréfiées Gousses en végétation Gousses mures Le Caroubier est originaire de la vallée de l'Euphrate (aujourd'hui la Syrie); il est très répandu dans toutes les régions méditerranéennes, en Afrique ainsi qu'au Mexique et aux Philippines où il a été introduit par les Espagnols. Le papyrus Ebers, traité médical écrit 1500 ans avant notre ère sous le règne d'Amenhotep Ier, cite l'usage de la Caroube dans les affections diarrhéiques. Dans le livre XIII de son œuvre "De Naturalis Historiae", le naturaliste Romain Pline l'Ancien (23-79) décrit avec précision la Caroube sous le nom de "Ceronia Siliqua". Dénuée de caféine, la gousse de Caroube est très nutritive pour les chevaux sans être excitante. Si la Caroube est donnée en farine, il est prudent de la choisir tamisée car les cosses grossièrement concassées et trop dures ont tendance à provoquer des lampas chez le cheval en s'insinuant entre le collet dentaire et la gencive. Il est à noter que la farine peut provoquer des obstructions œsophagiennes si elle est mal mélangée à la ration ou ingérée trop rapidement. PARTIE UTILISÉE : Gousse entières torréfiées et pulvérisée. PROPRIÉTÉS GÉNÉRALES : Anti-diarrhéique, gastro-protecteur, laxatif léger, nutritif énergétique. INDICATIONS USUELLES : Chevaux amaigris, Convalescence, Diarrhées, Gastralgies. Faisant l'objet de diverses étiologies, un amaigrissement subit ou chronique doit faire l'objet d'un examen médical. DOSE USUELLE : La dose est fonction de sa destination thérapeutique : 200 à 250 grammes par jour en moyenne. PRINCIPAUX COMPOSANTS : Amidon, Latex, Cellulose, Eau, Fibres, Mucilage, Protéine, Saponine, Sucre 45 % (Fructose, Glucose), Tannin, Tocophérol, Pectine. Oligo-éléments : Calcium, Phosphore, Magnésium, Silicium, Fer. Acides organiques : Acide Benzoïque, Acide Méthanoïque, Acide Palmitique, Acide Stéarique, Acide Tannique. Acides aminés : Alanine, Arginine, Aspartate, Glutamate, Glycine,Histidine, Isoleucine, Leucine, Lysine, Méthionine, Phénylalanine, Proline, Sérine, Thréonine,Tyrosine, Valine. 2015
  14. GUI. Viscum Album. Loranthaceae Le Gui est une plante légendaire occupant une place prépondérante dans la symbolique Celtique, il était cueilli au solstice d'hiver uniquement sur le Chêne Rouvre par des Druides, à l'aide d'une faucille d'or; cette cérémonie symbolisait l'allongement des jours et la renaissance des récoltes. Cette plante est disséminée uniquement par les oiseaux, principalement les grives; les graines contenues dans leurs excrétions ne sont pas digérées et se développent sur les branches à l'aide d’un solide ancrage nommé "Haustorium". Le Gui n'est pas un parasite au sens strict du terme car il utilise l'eau et les minéraux de l'arbre nécessaires à sa croissance sans nuire à la vitalité de celui-ci; possédant une fonction chlorophyllienne autonome, il a un feuillage toujours vert (sempervirens) et sa durée de vie est d'environ deux ans; ce mode de vie le classe parmi les plantes hémi-parasites. Il croît généralement sur les peupliers et les pommiers, très rarement sur les chênes. ********* PARTIES POTENTIELLEMENT TOXIQUES : Tiges, feuilles, baies. SUBSTANCES TOXIQUES : Viscumine, Viscotoxine. MODE D'ACTION : ► La Viscumine est une protéine complexe possédant des propriétés dégradant les cellules (cytotoxicité) et agglutinantes des globules rouges (hémagglutination). Cette molécule entraine ainsi une inhibition de la synthèse des protéines cellulaires en agissant directement sur l'ARN des cellules. ► La Viscotoxine opère une liaison au niveau des membranes cellulaires en soustrayant le calcium de son site membranaire, entrainant ainsi une dépolarisation musculaire. Cette toxicité se manifeste au niveau cardiaque et viscéral en entrainant les symptômes qui suivent. SIGNES DE L'INTOXICATION : Douleurs abdominales accompagnées de diarrhées et de coliques. L'importante déshydratation provoquée par la diarrhée donne suite à une tachycardie, accompagnée d'une hypotension artérielle, d'une absence d'activation des ventricules cardiaques (asystolie) et d’un déficit du volume sanguin (choc hypovolémique). REMARQUE IMPORTANTE : La plupart des intoxications attribuée au Gui concerne majoritairement les enfants et les animaux de compagnie qui ont un accès direct à cette plante lors des fêtes de fin d'année en raison des décorations traditionnelles de cette période. Chez les grands animaux, des bovins (en majorité), ovins et caprins ont été intoxiqués à des degrés divers lors de tempêtes ou d'élagage des arbres, propices à la chute du Gui au sol, mais on ne possède pas de cas avérés d'empoisonnement chez le cheval. A la différence des autre herbivores, le cheval possède, s'il n'est pas anormalement affamé, un sens du discernement alimentaire qui peut le mettre à l'abri d'un tel empoisonnement. Il n'en reste pas moins vrai qu'un accident étant toujours possible, il est prudent de débarrasser les prés de cette plante après les tempêtes ou les élagages. COMPOSANTS : Viscotoxine, Viscumine, Viscine, β-phényl-éthylamine, Phoratoxine, Tryamine. 2015
  15. Quand j'étais jeune, j'ai entendu dire la meme chose de la part des anciens qui connaissaient bien mieux la nature et avaient une expérience empirique. Pour ma part, je n'ai jamais constaté une telle expérience sur les verrues, c'est peut-être à essayer...
  16. Weiẞe Lilie MACÉRAT DE PÉTALES DE LYS BLANC USAGE EXTERNE Cliché Panoramlo Traditionnellement utilisées, les pétales macérées de cette majestueuse fleur d'ornement de jardins ont la faculté d'extirper les épines, échardes, etc..., plantées malencontreusement dans la peau et de stopper l’inflammation. Il est très facile de faire ce macérat, en voici la formule : On prend un bocal muni d'une fermeture hermétique et on le remplit de pétales de Lys Blanc jusqu'en haut. On choisit du schnaps bien blanc ou de la vodka titrant plus ou moins 40°, l'usage de l'eau de vie de raisin ou d'alcool pharmaceutique n'est pas recommandé car ils décomposent en partie les alcaloïdes et saponines contenus dans les pétales et le produit obtenu n'est que de l'alcool. Remplir le bocal en recouvrant les pétales, bien fermer et conserver à l'abri de la lumière en agitant de temps en temps. On peut utiliser le produit dès la fin du premier mois de macération et il se conserve bien durant deux ou trois ans. Pour aider à retirer une épine ou une écharde "bien plantées", on prend un ou deux pétales pliés en deux que l'on pose sur la lésion et on recouvre d'un pansement imprégné de liquide du macération et on recommence le lendemain. Le macérat de Lys blanc s'utilise également sur les panaris superficiels apparaissant après une piqure infectée. Ce remède demeure populaire et il est certain que, dans les infections importantes, l'avis d'un médecin doit être requis et la lésion traitée en conséquence. Les Lys provenant d'un bouquet acheté dans le commerce ne conviennent pas, seul le Lys des jardins doit être utilisé.
  17. oskarnika

    Huile de Millepertuis.

    Il n'est point de questions idiotes, Sandrine, seules les réponses peuvent l’être parfois... L'espèce concernée est uniquement Millepertuis (Hypericum Perforatum), ceci du fait de sa concentration en Naphtanthrone (qui donne la couleur rouge à l'huile). Voici la photo de sa partie supérieure, on peut voir la multitude de points blancs parsemant sa feuille (d'où le nom de Millepertuis) : Cl. La Cassinazza
  18. oskarnika

    Huile de Millepertuis.

    Merci beaucoup, Calamityln, pour l'info, elle peut m’être utile !
  19. oskarnika

    Huile de Millepertuis.

    Merci pour ton appréciation, Isolde ! Concernant l'édition, je ne sais pas si un appel à souscription donnerait assez de livres à faire éditer. Il serait possible de faire éditer à compte d'auteur sans passer par un éditeur mais les frais (impression, publications, diffusion, etc...) représentent une charge financière très lourde et je ne puis les assumer. Il reste les grandes maisons d'éditions spécialisées dans le genre mais les livres seraient hors de prix (il faut des illustrations nombreuses très soignées) et leur diffusion risque fort de ne pas aller bien loin. Je pense que la meilleure méthode est de les imprimer soi-même au fur et à mesure pour son usage personnel. Voila ce que je puis te dire là-dessus, Isole.
  20. Merci beaucoup à toi, Valentine ! Je te souhaite de trouver le maximum de renseignements désirés.
  21. Merci, Iseult, je te souhaite donc une excellente lecture !
  22. Un grand merci à toi, Sandrine ! Ta bienveillante appréciation et ton attrait pour les plantes m"incitent à continuer !
  23. oskarnika

    Huile de Millepertuis.

    L'huile de Bouillon-Blanc est employée empiriquement depuis toujours dans les affections otiques et certains y ajoutent de l'huile d'ail. Cette méthode donne de bons résultats mais je n'ai pas de témoignage précis sur le processus thérapeutique de ces composants, en tous cas elle calme la douleur mais ne soigne pas une otite infectieuse qui pourrait entrainer des angines et rhinopharyngites récurrentes chez l'enfant. En pareil cas, lorsque nous étions enfants, on nous instillait de l'huile de cuisine tiède dans l'oreille et nous devions rester un temps fou la tète tournée sur la table..., je pense que c'est surtout le réchauffement du conduit auditif qui calmait la douleur en réduisant l'inflammation, avec une huile simple ou composée.
  24. oskarnika

    Huile de Millepertuis.

    Pour répondre à ta question, ces fiches ne sont pas destinées à la publication sous forme de livre ou d'atlas car je n'en ai pas les moyens financiers et ne tiens surtout pas à me plier aux exigences des éditeurs, qui ne sont pas des "enfants de chœur", crois moi ! Il m'est venu a l'idée de publier sur le net quand j'ai constaté le quasi-désert en la matière sur les sites consacrés aux plantes destinées aux chevaux en langue française. Ainsi, tout le monde peut en profiter à sa guise aux moindres frais. Voilà ce que je puis te dire là-dessus, Iseult.
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