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mary-toutou

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Tout ce qui a été posté par mary-toutou

  1. mary-toutou

    perpignan le 30 octobre

    oui il y avait une tapé de chis, tous très beaux, c'était pas uns spéciale pour eux ? j'ai que deux photos pour le moment
  2. mary-toutou

    perpignan le 30 octobre

    de retour de l'expo, ben en classe inter face a fait 2 ème excellent, les photos vont arriver je pense, et les résultats aussi , très bonne journée le premier est une chienne espagnole, mais je rale un peu car le juge a pas vue qu'elle tenez pas son derrière mais pas grave je suis fière quand même marie luve a encore cartonné aussi
  3. je suis contre ces colliers, prend un collier chainettes ; un petit coup de sonnette suffit avec sa.
  4. voilà j'ai inscrit face en intermédiaire femelle et il y aura marie luce aussi , qui viens ?
  5. ma mascotte l(pinscher) le fesait aussi
  6. Le refuge de l’espoir à Arthaz a accueilli trente-cinq beagles, destinés à être euthanasiés. Marie Prieur Ils ont le museau blanc, un pelage tricolore et un énorme besoin de tendresse. La queue frétillante et l’attitude parfois soumise, ces chiens, des beagles, découvrent de nouvelles conditions de vie. Ils sont 35 à avoir atterri jeudi dernier au Refuge de l’espoir à Arthaz, non loin d’Annemasse. Depuis, 10 sont partis au refuge de Bellegarde et 10 autres à Chambéry. Agés de 2 à 6 ans, ils viennent d’un élevage en Italie. «Ils étaient destinés aux laboratoires», explique Janine Vogler, présidente et fondatrice de l’association Animaux secours, qui gère le refuge. Pas très gros et très doux, le beagle est en effet l’un des animaux de prédilection pour l’expérimentation animale, essentiellement en toxicologie. «Les laboratoires les commandent aux éleveurs, mais il arrive qu’ils ne soient pas conformes aux normes. Ils ont le poil trop long, sont trop gros, etc.» Ces animaux en surplus sont le plus souvent euthanasiés. Une association française, le Groupement de réflexion et d’action pour l’animaL (Graal), s’est ému de leur sort et tente de les sauver d’une mort certaine. «Nous récupérons environ 500 chiens par an», précise Marie-Françoise Lheureux, présidente et fondatrice du Graal. Révisée en 2011, une directive européenne prévoit en effet la possibilité de réhabiliter des animaux de laboratoire. «Notre objectif est de les faire adopter lorsque leur état de santé et leur comportement le permettent. Bien entendu, ils ne présentent aucune pathologie virale ou infectieuse de nature à pouvoir causer préjudice à l’homme ou aux congénères.» Et de préciser que «ceux qui ont subi des tests invasifs sont euthanasiés d’office car présentant de grandes souffrances au réveil». Partenaire du Graal, le refuge d’Arthaz a accueilli ces chiens il y a une semaine et est maintenant chargé de les sociabiliser et de leur trouver de nouveaux maîtres. «Quand ils arrivent ici, ils sont peureux, craintifs, ils n’aboient pas et cherchent de l’affection. On imagine difficilement ce qu’ont été leurs conditions de vie avant», souligne Stéphane Besançon, directeur du refuge. «Dans les élevages pour laboratoire, ils restent dans des boxes étroits, certains n’ont jamais vu la lumière du jour», lance Janine Vogler. Collé au directeur du refuge, un beagle mâle lui lèche les doigts. «Ils cherchent énormément le contact, on voit qu’il y a eu un gros manque de ce côté-là. Comment voulez-vous ne pas craquer?» poursuit-il. Vaccinés, stérilisés pour les femelles, ils pourront être adoptés moyennant une participation financière de 160 euros. «On surveillera d’autant plus ces animaux après placement, prévient Stéphane Besançon. Si on les sauve, ce n’est pas pour ne plus s’en soucier.» Si l’opération est des plus charitables, elle pose tout de même une question. Et ce de l’aveu même de Janine Vogler: «Nous ne voulons pas être la bonne conscience des chercheurs. Mais si on ne coopère pas, les bêtes seront euthanasiées. On préfère prendre ce risque.» En Suisse, aucune association n’a franchi le pas. Le pays ne compte pas d’élevage mais achète des animaux, y compris des chiens, à l’étranger pour l’expérimentation. «Ils sont tous euthanasiés», commente Luc Fournier, vice-président de la ligue suisse contre la vivisection. S’il soutient le Graal dans son action et s’élève contre l’expérimentation animale, Luc Fournier émet quelques réserves quant à la réhabilitation de ces animaux. «Ce sont des chiens qui ont été élevés en chenil, ils ne sont donc pas sociabilisés. Les adoptants peuvent être confrontés à de réelles difficultés.» Mieux vaut être averti. Source : http://www.tdg.ch/geneve/actu/(...)ethttp://journalduchien.com
  7. ette petite border collie connaît plus de mille mots, le résultat de trois ans d’études, cinq heures par jour. De notre correspondant aux Etats-Unis Olivier O’Mahony - Paris Match Chaser vient de débouler dans la cuisine avec, dans sa gueule, une balle aux couleurs du drapeau américain. Elle est mignonne, parfaitement proportionnée, pas très grande. Elle a de longs poils blancs et noirs plutôt doux. Mais ce sont d’abord ses yeux qui surprennent. Bruns, si luisants qu’ils lancent des éclairs, si grands ouverts qu’ils paraissent dilatés. Le regard de Chaser est bouleversant, il vous transperce. Il est vif aussi, mais cette chienne est une boule de vitalité. Ses oreilles se dressent dès qu’elle entend ma voix, comme si elle mobilisait son ouïe à 200 % pour enregistrer mes paroles. Et soudain, sans hésiter, d’un coup de museau, elle me lance sa balle. La chienne la plus sociable qu’il m’a été donné de rencontrer ! Sympa, Chaser. En cinq secondes, je me suis fait une nouvelle amie. Dans le monde des humains, ça prend beaucoup plus de temps. Ses babines retroussées donnent l’impression qu’elle me sourit. Impossible de lui résister. Je saisis la balle au bond et la lui lance. D’un saut, elle l’attrape et hop ! me la renvoie. Le jeu pourrait durer des heures, elle semble infatigable. Mais John, son maître, s’est approché et fait les présentations. Il me montre du doigt : « Lui, c’est Olivier. » Apparemment, Chaser n’a pas fait attention à ce qu’il disait. Elle lorgne sur sa baballe, comme n’importe quel cabot joueur. Sauf que… John me demande discrètement de me cacher loin d’elle, dans le salon derrière le canapé. Je m’exécute et je l’entends s’adresser à sa chienne : « Va chercher Olivier. » Chaser accourt devant moi et me fixe à nouveau ; son regard est presque hypnotique. Il a suffi qu’on lui dise une seule fois mon prénom pour que, mine de rien, elle l’enregistre et me reconnaisse. Futée ? C’est beaucoup plus que ça. Toujours en mouvement, en demande d’activité permanente, Chaser adore provoquer les inconnus pour jouer avec eux. C’est dans ses gènes. Les borders collies sont des chiens plus intelligents que la moyenne, dotés d’une énergie et d’une ténacité hors du commun. Les bergers le savent bien : ils les utilisent pour la garde ou le déplacement de leurs troupeaux. Mais quand John demande à Chaser d’aller chercher son ours en peluche – enfoui au milieu d’autres poupées animales –, elle réagit au quart de tour, disparaît et réapparaît avec l’ours dans la gueule. Pareil quand il lui dit : « Ramène Frisbee. » L’animal décampe tel Speedy Gonzales, dévale l’escalier qui mène à la cave et en revient tout fier, le trophée dans la gueule. Ça, un border collie ordinaire ne sait pas le faire. Chaser est capable de rapporter un objet dissimulé que son maître vient de nommer. Car elle « comprend » littéralement 1 022 mots en anglais. Ce qui fait d’elle – de loin – l’animal le plus intelligent du monde. Comment expliquer ce prodige ? Chaser a suivi des cours d’un genre particulier. « C’était une très bonne élève, régulière dans ses performances », se souvient John Pilley, son maître, professeur de psychologie expérimentale à la ­retraite. Il exerça sa profession jusqu’en 1996 au Wofford College, une université de Spartanburg ­(Caroline du Sud) à la philosophie très libérale, qui consiste à « enseigner la vie plutôt qu’un métier » à ses étudiants. D’un âge avancé, cet amoureux de la nature a construit seul sa maison en bois, semblable à un chalet de montagne. Toute sa carrière, John l’a consacrée aux animaux. Aux rats et aux pigeons d’abord – thème central de sa thèse de doctorat –, puis aux chiens, « car ils sont plus conviviaux et mes étudiants les préfèrent », sourit-il. En 2005, Juliane Kaminski, une chercheuse allemande, publie une étude sur un autre border collie dénommé Rico, capable de comprendre 200 mots. Comment est-ce possible ? s’interroge le bon Pr Pilley avec Alliston Reid, un de ses anciens élèves qui a pris sa place après son départ à la retraite. Ça tombe bien : Sally, sa femme, vient de lui offrir Chaser, qui n’a que 8 semaines. Ce sera un cobaye parfait pour ses travaux de recherche. Trois ans durant, cinq heures par jour non-stop, la petite chienne va subir un véritable lavage de cerveau, stage intensif digne d’une préparation à une grande école. John se rend à l’Armée du salut et achète de vieux jouets en peluche (2 dollars les cent) qui représentent différentes catégories d’animaux : ours, pingouins, lions, poissons… Patiemment, il les dépose les uns après les autres sur le sol de son salon et répète leurs noms. La chienne enregistre ainsi son vocabulaire. Et elle en redemande car, pour elle, apprendre c’est s’amuser. Dès qu’elle intègre un nouveau mot, c’est une nouvelle occasion de jouer avec l’objet qui est associé au nom que John vient de lui faire découvrir. « Il lui arrivait d’en apprendre 10 par jour, c’était impressionnant. Mais au bout de 1 000 noms, je n’en pouvais plus, car elle ne voulait jamais s’arrêter. Si je n’avais pas dit stop, elle serait bien plus savante ! » ELLE DÉTESTE SE BATTRE Dans la vie quotidienne, Chaser n’est pas une chienne comme les autres. Quand, chaque après-midi, Sally la sort dans la rue avec quatre autres chiens du quartier, Chaser les snobe. Comme si elle les prenait pour des idiots. Il y a bien Faffner, un labrador, beau blond qui en pince pour elle et ne rate pas une occasion de lui mettre les pattes sur la croupe, mais elle déteste ça. Chaser, stérilisée dès son plus jeune âge, est une solitaire. Quand ses camarades de promenade reniflent le sol comme le font tous les chiens en balade, elle est occupée à jouer avec une pomme de pin. Dès qu’un passant se présente, elle se précipite vers lui. Enfin quelqu’un qui va jouer avec moi, se dit-elle. Son seul vrai ami, c’est Spirit, le husky sibérien de Robin, la fille du Pr Pilley. Chaser a appris à jouer à Spirit. Elle déteste se battre car elle est douce et pacifique. « Cette chienne préfère la compagnie des êtres humains à celle des animaux », constate Sally. Sa manière à elle, sans doute, de jouer dans la cour des grands. Aujourd’hui, Chaser est devenue une petite célébrité locale, qui passe dans les talk-shows télévisés. Avec l’aide de son ancien élève, Alliston Reid, John a publié, dans la très sérieuse revue « Behavioural Processes », une étude scientifique sur les aptitudes et connaissances linguistiques de sa chienne, qui a rencontré un certain écho médiatique. « Le fait qu’elle soit capable d’associer des objets à leurs noms prouve son aptitude au raisonnement, ce qu’aucune recherche universitaire n’avait permis de démontrer jusqu’à présent », explique le professeur. Pour l’instant, le langage que Chaser comprend est rudimentaire. Mais John a l’intention de lui apprendre la syntaxe des phrases pour enrichir sa compréhension. Et si le chien dépassait le maître ? Avec ses yeux si expressifs, cette gueule qui sourit quand elle est contente ou se renfrogne quand elle met les pattes dans la neige, Chaser donne l’impression qu’elle va se mettre à parler. « Mais ça ne risque pas d’arriver, explique John. Elle n’a pas l’intelligence d’un bébé de 2 ans. Et puis elle est incapable de comprendre des notions abstraites comme l’amour, la jalousie… » Nous voilà rassurés : le chien reste l’ami de l’homme, une amitié vieille de quatorze mille ans paraît-il, mais il n’est pas encore près de le détrôner. Ouf ! Source : http://www.parismatch.com/Actu(...)ethttp://journalduchien.com
  8. Des défenseurs des animaux mobilisés grâce aux réseaux sociaux ont réussi samedi en Chine à racheter un millier de chiens destinés à être mangés dans des restaurants, a rapporté lundi la presse chinoise. Grâce à un appel lancé sur le web par un internaute surnommé "Mosquito", environ 200 militants ont bloqué dans le sud-ouest du pays trois camions dans lesquels s'entassaient les chiens, a relaté l'agence Chine nouvelle. Après négociations, les quadrupèdes ont été rachetés par deux associations de défense de la cause animale pour 80.000 yuans (9.000 euros), a précisé l'agence officielle. Certains des chiens sont morts dans les camions avant d'avoir pu être secourus, d'autres étaient malades ou blessés, a indiqué l'ONG Animals Asia, basée à Hong Kong. La prise de conscience en Chine de la nécessité de protéger les animaux se heurte encore à une tradition culturelle ancestrale qui pousse de nombreux Chinois, notamment du Sud, à consommer du chien et du chat. La presse a déjà fait état ces dernières années d'opérations d'interceptions de chiens ou de chats destinés à être cuisinés. Source : http://www.lepoint.fr/insolite(...)ethttp://journalduchien.com
  9. Les chiens et l'orientation Des études ont montré qu'un chien transporté dans le noir à une dizaine de kilomètres de son domicile habituel pouvait facilement retrouver son chemin et rentrer chez lui en empruntant une ligne droite sur un terrain parfaitement inconnu et en dirigeant sa marche sans aucune difficulté. Comment expliquer l'orientation exceptionnelle de nos compagnons canins ? Si le mystère reste entier, la piste du magnétisme semble la plus plausible à ce jour. Les sens développés du chien La mémoire et la reconnaissance visuelle, olfactive et sonore jouent un rôle important lorsqu'il s'agit de lieux déjà connus par le chien. Combien de maîtres n'ont jamais entendu leur animal se manifester bruyamment en gloussant ou en aboyant à plus de cinq ou six kilomètres d'un lieu familier ? Notre logique perd en revanche ses droits lorsque le chien n'est plus du tout à l'intérieur d'un périmètre connu. Transportés par train, par bateau ou par avion vers un nouveau séjour et éloignés de chez eux par des distances parfois très grandes, bien des chiens réussissent malgré tout à retrouver leur domicile. Il est vrai que le chien est doté de sens beaucoup plus développés que l'humain et qu'il possède une mémoire topographique fidèle, cela n'explique pas tout… Le champ magnétique terrestre Lorsque nous parlons de l'orientation humaine, nous pensons systématiquement à la boussole, aux cartes géographiques et, depuis quelques années, au GPS. Mais, nos prouesses technologiques semblent bien pâles au regard des facultés sensorielles dont les animaux disposent ! Beaucoup de formes de vie utilisent les champs magnétiques terrestres pour se déplacer : les fourmis, les escargots, les oiseaux migrateurs, les poissons, les tortues de mer, les éléphants de mer (qui arrivent pour se reproduire tous les ans, le même jour, à la même heure sur la même plage californienne), les langoustes et même certaines bactéries s'orienteraient sur ce principe. Alors, pourquoi pas le chien ? Les scientifiques qui tentent aujourd'hui de percer au jour les mystères de ce mécanisme supposent que le canidé serait lui aussi pourvu d'un sens magnétique subtil, d'une sorte de boussole interne qui lui permettrait de retrouver son domicile à des kilomètres de distance. S. Seuron Source : http://magazines.republicain-l(...)et http://journalduchien.com
  10. Fais-moi un sourire ... Les propriétaires d’animaux prêtent souvent à ces derniers des sentiments et des émotions typiquement humains. Alors, quand leur chien esquisse un vrai sourire, le doute n’est plus permis. Comment se manifeste ce rictus et quelle est sa réelle signification ? Reconnaître un sourire Comme pour toute la communication canine, il est indispensable de considérer les signaux corporels dans leur ensemble afin d’interpréter correctement ce que l’animal semble vouloir nous dire. Le sourire chez le chien se traduit tout d’abord au niveau facial par un retroussement de la lèvre supérieure découvrant la dentition, accompagné d’un plissement des yeux et d’un affaissement des oreilles. La posture du corps se rapproche de celle adoptée en cas de soumission (le corps voûté, affaissé, la queue basse) ou dans le cas d’une invitation au jeu (la queue frétillante, le postérieur relevé). Une station verticale, queue droite et grognement, n’ont rien d’amical, même si un rictus se dessine sur les lèvres de l’animal ! Mimétisme, habile stratégie ou soumission ? Le sourire serait un comportement acquis par mimétisme. Le chien aurait compris que notre sourire traduisait notre sympathie et notre contentement. Il ferait par conséquent la même chose à notre égard lorsqu’il est content de nous voir. Cette hypothèse se renforce par la tendance des chiens à ne sourire qu’aux personnes de leur entourage. Mais ne se cacherait-il pas un peu plus de sens derrière ce sourire charmeur ? Tout au long de son apprentissage, le chien nous observe et décode nos attitudes. Il en tire les conclusions qui lui sont favorables et adapte ainsi son comportement en fonction de nos réactions. Il comprend très vite que nous apprécions son sourire puisque nous lui répondons par des actes positifs : caresse, friandise, satisfaction. Un sourire pour se faire pardonner d’une bêtise ? Une technique qui se révèle presque à tous les coups payante !Enfin, le sourire du chien traduirait une certaine soumission ou, tout du moins, une volonté de démontrer une absence d’agressivité. Un chien ayant du mal à se situer dans la hiérarchie va préférer adopter une attitude sympathique pour s’assurer de la bienveillance à son égard. Dans tous les cas, le sourire du chien est à prendre comme n’importe quel sourire : avec le sourire ! A. Chapot Source : http://magazines.republicain-l(...) et http://journalduchien.com
  11. (Bruxelles, Belgique - 25 octobre 2011) Le Parlement européen a adopté une Déclaration écrite appelant la Commission européenne et les Etats membres à développer une stratégie globale pour la gestion des populations de chiens dans l'Union européenne. La Déclaration écrite intervient alors que les massacres de chiens en Roumanie et dans d'autres pays d'Europe orientale candidats à l'entrée dans l'UE sont légion et que l'on fait état d'un trafic croissant de chiots malades et non-identifiés issus d'usines à chiots. L'adoption de cette Déclaration écrite envoie un message clair à la Commission européenne laquelle doit prendre des mesures pour garantir le bien-être des chiens et des chats au sein de l'UE. "IFAW se réjouit de cette avancée," déclare Kate Nattrass Atema, Directrice du programme animaux de compagnie d'IFAW. "IFAW a été étroitement impliqué dans la rédaction de cette Déclaration écrite et a pesé de tout son poids pour qu'elle soit soutenue car nous sommes convaincus qu'elle engendrera une amélioration considérable du bien-être de la population de chats et de chiens que l'on estime à 120 millions d'animaux dans l'UE." Cette Déclaration écrite renforce le message envoyé fin 2010 par le Conseil européen qui a acté les conclusions sur le bien-être des chiens et des chats durant la présidence belge. Ces conclusions appelaient la Commission européenne à inclure le bien-être des animaux de compagnie dans la seconde stratégie de l'UE pour la protection et le bien-être des animaux et constituaient un premier pas vers le développement d'une approche harmonisée du traitement des chiens et des chats à travers l'UE. Cette Déclaration appelle aussi la Commission à répondre à l'article 13 du Traité de fonctionnement de l'Union européenne (Traité de Lisbonne) qui établit que les animaux sont des êtres sensibles et que l'UE comme les pays membres doivent accorder toute leur attention aux besoins du bien-être animal, tant dans leurs lois que dans leurs politiques. "Le manque de loi communautaire facilite le commerce de chiots à l'intérieur des frontières de l'Union européenne," poursuit Kate Atema. "95% des chiens importés aux Pays-Bas viennent d'Europe de l'est où les standards sont bas, où élever des chiots dans des conditions déplorables revient peu cher, et où la rage et d'autres zoonoses ne sont pas bien gérées parmi la population canine. Cette Déclaration va nous aider à régler le problème de ces conditions alarmantes et à garantir des communautés humaines en bonne santé et équilibrées." IFAW considère que les communautés ont des populations d'animaux de compagnie équilibrées et en bonne santé quand chaque animal bénéficie de ce que l'on considère comme une "prise en charge adéquate". La prise en charge adéquate signifie que chaque animal, quel que soit son propriétaire et son utilité, a accès à la nourriture, à l'eau, à un abri, à de l'exercice, à de la compagnie et aux soins vétérinaires élémentaires pour garantir sa bonne santé et son bien-être. Les chiens errants, qui sont généralement aux mains des municipalités, peuvent aussi bénéficier d'une prise en charge adéquate tant qu'un individu ou un groupe d'individus assure ces conditions. Une prise en charge adéquate garantit aussi que les chiens, qu'ils soient errants ou aient un foyer, ne deviendront pas une menace pour la santé et la sécurité publiques. Fin À propos d'IFAW (le Fonds international pour la protection des animaux) Fondé en 1969, IFAW sauve les animaux en détresse tout autour du globe. Grâce à des projets dans plus de 40 pays, IFAW vient en aide à tout animal le nécessitant, œuvre pour prévenir la cruauté envers les animaux et plaide pour la protection des animaux sauvages et de leurs habitats. Pour plus d'informations, visitez notre site web : http://ifaw.org. Suivez-nous sur Facebook et Twitter. Source : http://www.espacedatapresse.co(...) et journal du chien.com
  12. ha oui sacré balafre mais elle va s'atténuer
  13. et non le chien est carnivore, et ne tolère pas le cuit , en plus il lui apporte rien. un chien au cru est moins parasités qu'un chien aux croquettes, car la digestion est beaucoup plus rapide et sa évite les retournements d'estomac dans la plus part des cas
  14. contente des nouvelles, par contre donne lui cru la viande c'est moins dangereux et t'est pas obligé de mettre des féculents non plus, si tu veux plus d'info sur le barf envoie moi un mp
  15. je suis très inquiète j'espère qu'elle va nous dire
  16. mary-toutou

    Aboiements incontrolables

    c'est un peu vrais car quand j'ai passé l'évaluation pour mes rotts , le véto me parlé de ces morsures et que toutes les races étaient dans le même moules s'ils mordent et pas que les chiens de catégories mais faut pas le piquer le pauvre
  17. mary-toutou

    Aboiements incontrolables

    mais quand même mes petits chiens aboient plus que mes gros
  18. en expo il te donne des petits sac marron mais face ne fait jamais même un pipi donc je les ramène a la maison mais je suis a la campagne donc je les collectionnes
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