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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Le commerce de peaux de python pour la mode dénoncé pour ses abus (AFP) - Le commerce de peaux de python utilisées dans l'industrie de la mode européenne est susceptible de mettre en danger la survie de l'espèce en Asie du sud-est, selon un rapport publié par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). "Une proportion importante des peaux vendues provient illégalement d'animaux sauvages, au-delà des quotas autorisés, avec l'utilisation de faux permis", affirme Thomas Walle, de l'UICN . Ce commerce, suivi par la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES), concerne un demi-million de peaux chaque année et représente des ventes de l'ordre d'un milliard de dollars (771 millions d'euros) par an, selon le rapport réalisé avec l'aide du Centre international du commerce, une agence de l'ONU et TRAFFIC, un programme commun du World Wide Fund for Nature (WWF) et de l' UICN. D'après le document, les affirmations selon lesquelles plus de 20% des peaux exportées proviennent d'animaux d'élevage ne sont pas "crédibles" car les coûts d'élevage sont supérieurs aux prix de vente des peaux. Le recours à des pythons sauvages met l'espèce en danger car ils sont souvent capturés avant d'avoir eu le temps de se reproduire, selon le rapport. L'Indonésie, la Malaisie et le Vietnam sont les principaux pays fournisseurs d'un commerce qui passe à plus de 70% par Singapour à destination de l'Italie, l'Allemagne et la France. Les auteurs du rapport appellent l'industrie de la mode à mettre en place un système de traçabilité de l'origine des peaux pour que le consommateur sache qu'elles ont une origine légale. Source
  2. Voici quelques photos de la bête qui grandit lentement. Mlle (oui, je l'ai sexé) refuse de manger une proie morte...
  3. L'anolis qui est maintenant âgé est toujours en vie. J'ai l'impression qu'elle passe sa vie sur la même branche mais bon. Elle bouge quand je vaporise.
  4. L'iguane en question est toujours chez moi. Je ne lui ai toujours pas trouvé de famille mais je ne suis pas pressé. Elle a encore une blessure à la bouche qui persiste à ne pas vouloir guérir mais elle mange bien quand même. Elle accepte maintenant ma présence mais reste quand même craintive.
  5. Finalement, j'ai trouvé des nouvelles photos.
  6. Max|mum-leterrarium

    Toptouch

    Toptouch est un mâle gecko à crête recueilli par une amie à moi. Toptouch était maigre pas en super bonne santé quand elle l'a prit. Je l'ai conseillé et elle a fait un bon travail pour le remettre sur pied. Par contre, comme ça saute partout, elle en avait un peu peur. Elle m'a donc demandé après quelques semaines de le prendre chez moi. Toptouch est depuis chez moi où il fait parti de projets maintenant.
  7. Le plan de capture des geckos "invasifs" se précise Le gecko indigène de la Réunion a-t-il une chance de s'en sortir vivant de la lutte fratricide qui l'oppose aux espèces exotiques et envahissantes de la zone océan Indien ? Les organismes environnementaux tels que la BNOI ou l'ONF détiennent une partie de la réponse. Ils sont en charge de l'application d'un arrêté préfectoral qui doit trouver son application dans les prochains mois. Le Gecko vert de Manapany (ou Phelsuma inexpectat) et le Gecko vert des hauts (Phelsuma borbonica) sont entrés en résistance. Mais la lutte a pris un virage décisif en juin dernier. Le 26 juin en effet, la préfecture de la Réunion publiait un arrêté autorisant la "destruction administrative des espèces de reptiles non-indigènes de type gecko". Celle-ci devra être menée dans un cadre légal et sous certaines conditions que seuls certains partenaires environnementaux sont habilités à mener. "Il faut bien comprendre que la Réunion a accueilli nombre d'espèces depuis son origine qui n'ont jamais connu de concurrence sur leur territoire", explique Sébastien Lefort, agent technicien de l'environnement de la Brigade nature océan Indien. Dans ce cas, comment arrivent les nouvelles espèces dans l'île ? Pour les espèces florales, "les vêtements, sacs et autres chaussures" ramènent avec eux diverses graines. Cela est bien sûr inévitable. Concernant les espèces envahissantes de geckos, les transports maritimes sont montrés du doigt lorsque ce ne sont pas des particuliers passionnés qui manquent de vigilance. Toujours est-il que le mal est fait. Un mal que tentera d'enrayer cet arrêté. Le Gecko vert poussière d'or, le Grand gecko vert malgache et le Gecko vert à ligne noire sont référencées dans cet arrêté comme espèces "capturables" par les agents assermentés. Bientôt la mise en place d'un protocole pour la capture des geckos indésirables "Ces trois espèces de Phelsuma sont en expansion constante", justifie l'autorité préfectorale. L'arrêté s'applique sur "tout le territoire mais prioritairement sur les communes de Saint-Pierre, Saint-Joseph, Petite-Ile et Sainte-Suzanne où est constatée la présence d'un spécimen d'une des espèces de grand gecko vert de Madagascar et de gecko vert à trois tâches rouges qui portent atteinte aux espèces indigènes". Cet arrêté met fin à une situation de plus en plus intenable pour les acteurs de l'environnement. Le grand gecko vert de Madagascar est malheureusement bien connu pour son appétit pour les geckos de taille inférieure. "Si le grand Gecko vert malgache s'étend sur l'aire de répartition déjà réduite du Gecko vert de Manapany, il pourrait conduire à la raréfaction puis l'extinction de cette espèce endémique patrimoniale", juge pour sa part l'association Nature océan Indien. "Nous n'avons pas encore mis en place de protocole pour la capture des geckos", affirme l'agent de la BNOI. Celui-ci devra venir prolonger, dans les faits, les grandes lignes de l'arrêté. Le combat est-il perdu d'avance ? La brigade nature compte…7 agents. Leur mission fait qu'ils agissent tant sur terre que sur mer. Leur champ d'action s'étend en plus jusqu'à Mayotte. Dans ces conditions d'effectif réduit, autant dire que le mandatement par la préfecture des agents du Parc national, de l'ONF et de l'association Nature océan Indien pour mener cette lutte ne sera pas de trop. Source
  8. Piquée par un scorpion dans un avion de Iberia Madrid (Espagne) - Un avion de la compagnie aérienne espagnole Iberia a été le cadre d'un événement inhabituel et douloureux lorsqu'une des passagères, sur le vol à destination de l'aéroport international de Madrid (Espagne) a été piquée par un scorpion qui avait semble-t-il embarqué au Costa-Rica. L'avion, un Airbus A340-200, vol IB6314, qui effectuait la liaison entre l'aéroport international Juan Santamaria de San José (Costa Rica) et l'aéroport international Barajas de Madrid avec un nombre de passagers qui n'a pas été indiqué, était en vol depuis plusieurs heures lorsqu'une passagère, de nationalité suisse, a été piquée par un scorpion qui avait très certainement embarqué à bord de l'appareil lors de l'escale au Costa Rica. L'animal n'a pu être capturé et a réussi à se dissimuler dans la carlingue avant que quiconque ne puisse l'éliminer. La passagère a été prise en charge aussitôt l'atterrissage de l'appareil et transportée à l’hôpital dès la descente d'avion. Son état n'inspire aucune inquiétude et elle pourra poursuivre son voyage vers Zurich dans les plus brefs délais. L'avion a été scellé par les techniciens de la compagnie et rempli d'un gaz chargé de tuer l'animal. Après enquête, il apparait que l'animal aurait embarqué seul dans l'appareil et n'aurait pas été transporté par un passager dans son bagage. Source
  9. De tranquilles compagnons à apprivoiser Dragons barbus, caméléons, iguanes et geckos ne sont que quelques-uns des reptiles qui ont élu domicile dans de nombreux foyers québécois. Pour la Dre Sophie Hébert Saulnier, de l'hôpital vétérinaire pour oiseaux et animaux exotiques de Montréal, traiter les reptiles fait aujourd'hui partie de son quotidien. Et la grande majorité de ses patients se retrouvent sur la table de consultation à cause du manque de connaissances à leur sujet de leur propriétaire. De mauvaises conditions de captivité et une alimentation non appropriée sont la cause principale de graves problèmes de santé chez les reptiles. «Avant d'adopter, il faut s'informer auprès d'au moins deux spécialistes. Beaucoup d'informations fausses circulent et il faut faire très attention», met en garde Dre Hébert-Saulnier. Si le caméléon vit habituellement dans la jungle, d'autres espèces de reptiles comme le dragon barbu vivent dans les déserts d'Australie. Ils n'ont donc pas les mêmes besoins en terme d'habitat ou de nourriture. «L'iguane est sans aucun doute le reptile à propos duquel les gens sont les moins informés. Il coûte peu cher et mesure environ 15 cm (5,9 po) lorsqu'on l'achète, alors qu'il va rapidement grandir jusqu'à six pieds, ce qui nécessite de bâtir un terrarium sur mesure!», explique la vétérinaire. Ce gros reptile d'Amérique centrale et du Sud peut mourir dans de mauvaises conditions de captivité. À cause de sa taille, il est l'une des espèces les plus abandonnées par leurs propriétaires. Un espace de vie spécifique Le vivarium est essentiel à l'équilibre de votre reptile. Selon l'espèce qui l'habite, il faudra l'accessoiriser en suivant les conseils d'experts. Il doit être doté d'une lampe UV, d'un brumisateur et d'un tapis pour reptile ou de papier au sol. Vous pouvez aussi ajouter un gros morceau d'écorce et reproduire le plus possible l'habitat naturel de votre reptile avec, par exemple, des cachettes ou des éléments en relief pour lui permettre de grimper. Les reptiles sont silencieux et requièrent très peu de soins et d'attention. Contrairement à la plupart des autres animaux domestiques, ils ne sont pas affectueux. Ils sont majoritairement de nature solitaire et préfèrent être seulement observés. «Les iguanes interagissent un peu plus que les autres, tout comme les dragons barbus. Mais de manière générale, le reptile ne va pas vous sauter dessus quand vous rentrez à la maison!», dit Dre Hébert-Saulnier. De règles d'hygiène à respecter Lors de l'adoption, aucun vaccin n'est nécessaire, mais il est important de s'assurer que votre reptile n'est pas porteur de parasites - au moins 50% d'entre eux le sont - par une analyse de selles. La plupart des parasites peuvent être transmis à l'humain et sont une source potentielle de salmonellose. «Il ne faut jamais mettre son reptile en contact avec votre nourriture ou un comptoir et il est impératif de toujours se laver les mains en cas de contact direct. Il ne faut pas non plus laver les bols de votre reptile avec votre vaisselle. L'hygiène entourant les reptiles doit être la même que celle avec le poulet cru», précise la vétérinaire. Une nourriture variée Tout comme pour son habitat, le régime alimentaire de chaque reptile varie selon l'espèce à laquelle il appartient. Ainsi, l'iguane est exclusivement végétarien et a besoin de repas équilibrés avec divers groupes de légumes, alors que le dragon barbu se nourrit à 75% de légumes et à 25% d'insectes ou de souris congelées. Le gecko est quant à lui entièrement insectivore, tandis que le caméléon est carnivore. «Il a besoin de beaucoup bouger et il est très difficile à garder en captivité. Il est très facilement sujet au stress et a besoin de branches et d'insectes qui volent pour mieux les chasser. Autres difficultés: il doit, tout comme dans la nature, boire des gouttes d'eau qui ruissèlent des feuilles», explique la vétérinaire. Le caméléon doit être manipulé le moins possible, car le stress est une des causes majeures de ses problèmes de santé. Il n'est donc pas recommandé de le confier à des enfants, contrairement au gecko ou au dragon barbu, qui est docile et facile à manipuler. Source
  10. Un gène de l’éternelle jeunesse découvert chez un invertébré aquatique En étudiant le génome d’un polype d’eau douce réputé ‘immortel’, des chercheurs allemands y ont découvert un gène dont ils ont établi le lien avec cette longévité hors norme. Selon eux, le fameux gène est également présent chez l’Homme. La quête de l'éternelle jeunesse et même de l'immortalité fait depuis des décennies l'objet de très nombreux travaux scientifiques. Est-il possible d'empêcher le vieillissement de notre organisme et ainsi en prolonger indéfiniment la survie ? Pour l'heure, la réponse reste négative. Néanmoins, la recherche progresse de plus en plus dans le domaine et fait parfois des découvertes plus qu'intéressantes. C'est notamment le cas de la trouvaille récemment décrite dans la revue Labor Praxis par Thomas Bosch et des chercheurs de l'Université Christian Albrecht de Kiel (Allemagne) et de l'Hôpital universitaire de cette ville. Chez un animal appelé hydre, ceux-ci ont réussi à dénicher un gène qui lui permet de conserver une éternelle jeunesse. En effet, ce cnidaire (invertébré primitif) de quelques millimètres vivant dans des lacs et des cours d'eau, a la faculté de se régénérer presque indéfiniment, notamment grâce à des cellules souches très dynamiques et particulièrement promptes à se diviser. Des individus subsistent ainsi en laboratoire depuis plus de cinquante ans et sont en aussi bonne santé qu'au début de leur captivité. Le gêne FoxO, très actif chez les hommes centenaires Toutefois, les mécanismes impliqués dans cette longévité restaient floues jusqu'ici. Pour en savoir plus sur ces étranges polypes, les chercheurs ont donc étroitement étudié leur génome et identifié un gène appelé FoxO, également présent dans le génome des autres animaux, dont l’Homme. Or, après avoir désactivé le fameux gène chez plusieurs spécimens, les scientifiques ont observé chez ceux-ci un vieillissement et un affaiblissement du système immunitaire. Autrement dit, les animaux sont devenus bien plus vulnérables aux maladies que leurs congénères. Des études antérieures avaient déjà décelé, chez des humains centenaires, un gène FoxO particulièrement actif. Cette nouvelle recherche renforce donc l'intérêt porté à ce gène et l’équipe de Thomas Bosch compte bien poursuivre ses travaux sur le polype et son extraordinaire longévité, en liaison avec les recherches d’autres généticiens travaillant sur d’autres espèces, notamment l’Homme. Source
  11. Cette fin de semaine, ma copine a pu connaitre la rapidité de cet animal. Je m'étais endormi alors elle a prit l'initiative d'aller vaporiser mes terrariums. Je lui en suis reconnaissance d'ailleurs puisque j'étais vraiment épuisé. Elle a ouvert la porte et a commencé à arrosé quand il a prit la poudre d'escampette dans la pièce. Elle a été capable de le rattraper mais elle a quand même été impressionné par sa rapidité. Voici quelques nouvelles photos.
  12. Vers la fin septembre, j'étais descendu à St-Hyacinthe pour la fête de ma copine. Quelqu'un m'a contacté pour que je passe chercher un serpent qui était abandonné par son propriétaire. J'ai téléphoné à la personne qui se débarrassait du serpent et il me dit que c'était parce qu'il voulait acquérir une nouvelle espèce. Je n'ai pas posé de questions mais j'avais peur d'aller chercher un serpent malempoint. Finalement, il s'agit d'un jeune spécimen en santé qui a un bon appétit quand même. Un PR qui mange sans rouspéter, que demander de mieux. J'ai en tête que c'est une femelle, me semble que c'est ce que le gars m'avait dit. Je ne l'ai pas encore sondé pour vérifier par contre. De toute manière, ce n'est pas vraiment un projet alors.
  13. Voici une petite bête que j'ai acheté de Kim Poirier il y a environ un mois. Désolé c'est la seule photo pas floue que j'ai reçu à prendre
  14. Bon, un mois plus tard, je vous présente ce que je me suis acheté pour ma fête. Il s'agit d'un couple de Goniusaurus linchenfelderi.
  15. L'aide morsure de serpent première fois que vous devez savoir Dans cet article, vous apprendrez tout sur l'aide morsure de serpent premier et les signes, les symptômes et le traitement dont vous avez besoin de savoir. Deux notre ami fille de deux ans a été grièvement blessé d'une morsure de serpent à sonnettes. Alors qu'elle jouait sur l'allée, elle est tombée et a atterri directement sur un serpent à sonnettes bébé qui a mordu son bras. Son bras immédiatement enflé et ses parents l'ont transporté à l'hôpital où ils ont donné ses nombreux plans d'anti-venin pour neutraliser le venin dans son système sanguin. Son bras est devenu noir et il était touch and go pendant un certain temps, mais heureusement elle a fini par complètement guéri. Qu'avons-nous appris de cela et peut partager avec vous, c'est que lorsque quelqu'un a été mordu par un serpent venimeux, il est important de téléphoner à l'hôpital à l'avance afin qu'ils puissent obtenir le kit anti-venin préparés et prêts à votre arrivée. Une autre chose que nous avons appris à partir de ce n'était qu'un serpent à sonnettes bébé peut être plus dangereux qu'un serpent adulte. Le serpent à sonnettes adulte doser la quantité de venin libérée, tandis qu'un serpent bébé peut libérer toute son venin, qui est la plus meurtrière pour la victime. Comment éviter les piqûres de serpent Si vous rencontrez un serpent, reculez lentement et ne pas y toucher. Ne marchez pas ou mettre vos mains dans un endroit que vous ne pouvez pas voir. Comme autour des rochers ou sous le pinceau où un serpent peut se cacher. Évitez errant dehors dans l'obscurité si vous êtes dans une zone sujette serpent. Regardez devant vous de l'endroit où vous entrez. Ne jamais aller pieds nus ou sandales, où lors de la marche dans une zone sujette serpent. Porter des bottes de randonnée. Tout en nageant dans les lacs ou les rivières, à rester vigilants pour les serpents, ils peuvent nager. Jamais randonnée seul alors que dans les zones exposées de serpents. Vous pourriez avoir besoin de quelqu'un pour vous aider en cas d'urgence. Les enfants doivent être appris très tôt à respecter les serpents et les laisser seuls. Les symptômes Snake Bite et signes à surveiller Une paire de marques de perforation à la plaie. Gonflement et une rougeur autour de la plaie. Une douleur intense autour de la plaie. La respiration. (Respiration peut s'arrêter tous ensemble dans des cas extrêmes. administrer la RCR . Les nausées et les vomissements. Vision floue. Augmentation de la transpiration et la salivation. Votre visage ou des membres peuvent se sentir un engourdissement ou de picotement. Traitement Snake Bite Maintenir la victime calme, de les éloigner de la couleuvre et ne pas essayer de tuer le serpent. Réduire le niveau d'activité des victimes, ce qui va ralentir la propagation du venin dans le sang. Enlever immédiatement les bijoux, comme les bagues, bracelets ou montres, due à un gonflement possible. Consulter un médecin dès que possible en composant le 9-1-1 ou le transport de la victime le plus proche établissement médical. Obtenir une aide médicale immédiate de la victime est cruciale. Si possible, appliquer l'aide morsure de serpent d'abord si vous ne pouvez pas obtenir de la personne une attention médicale immédiate. Gardez la morsure en dessous du niveau du cœur. Nettoyer la piqûre avec du savon et de l'eau et appliquer un pansement propre et sec. Il est important de savoir quel type de serpent a mordu la victime. Donc, attention à la couleur et la forme du serpent afin que vous puissiez informer le personnel médical. Aide Snake Bite d'abord - Les choses que vous ne devriez pas faire Ne pas essayer de ramasser le serpent ou le piéger. Cela pourrait vous exposer au risque d'une morsure. Ne pas réduire la morsure avec un couteau. Ne pas appliquer un bandage serré ou garrot. Ne pas aspirer le venin (cela peut être dangereux pour vous et les bactéries dans votre bouche peut infecter la plaie. Ne pas immerger la plaie dans l'eau ou appliquer de la glace. Ne pas boire de l'alcool comme un analgésique. Ne pas boire du café ou autres boissons caféinées. Il existe différentes opinions sur l'opportunité d'utiliser un kit de morsure de serpent ou non. Certains experts disent qu'ils peuvent faire plus de mal que de bien, tandis que d'autres pensent que c'est un bon moyen pour extraire venin de la plaie. Source
  16. Saint-Louis – Ile Nord : Un homme découvre un gros serpent dans son véhicule. En voulant démarrer son véhicule, un homme découvre un gros serpent dans sa bagnole. Sans crier gare, il prend la poudre d’escampette en hurlant. Son geste alerte les passants curieux qui entourent le véhicule hanté. Les faits se sont déroulés, il ya quelques jours dans l’ile nord, non loin du bar ‘’Embuscade’’. Interpellés, les sapeurs pompiers ont pu saisi tranquillement l’animal pour l’amener à une destination inconnue. Un conseil d’ami : vérifiez toujours votre véhicule avant de le démarrer. Source
  17. De la bave de crapaud pour les antibiotiques du futur Alors que certains médicaments deviennent inefficaces face aux micro-organismes les plus résistants, les scientifiques argentins s’intéressent aux substances sécrétées par les amphibiens. Crapauds et grenouilles de Patagonie font partie des candidats les plus prometteurs. Les peptides tueurs de microbes Utilisées pour se défendre contre les micro-organismes pathogènes, les substances produites par certaines espèces d’amphibiens peuvent aussi s’attaquer aux virus, aux bactéries et aux champignons dangereux pour l’homme. « Nous tentons d’identifier des composés appelés peptides antimicrobiens, présents dans la peau des amphibiens », explique Mariela Mariani, chercheuse au Conseil national d’investigations scientifiques et techniques (CONICET). Son équipe collabore avec le Centre national de Patagonie afin d’étudier le potentiel des animaux de cette région, connue pour abriter l’une des biodiversités les plus importantes de la planète. Un mécanisme de protection comparable à la salive humaine Les peptides sont de courtes chaînes d’acides aminés présentes chez la plupart des espèces vivantes, qu’elles soient végétales ou animales. Chez les amphibiens, ces substances constituent un mécanisme de protection contre les maladies, et jouent un rôle comparable à celui de la salive humaine. Les sécrétions sont produites principalement au niveau de la région dorsale des crapauds et des grenouilles et possèdent des propriétés amphipathiques : « Elles agissent en fait de deux manières sur la membrane des bactéries. À travers des interactions électrostatiques et hydrophobes, elles provoquent le déplacement des lipides et endommagent la structure de la membrane des bactéries en augmentant leur perméabilité grâce à la formation de pores. C’est comme si elles étaient transpercées de tous les côtés à la fois. Cette déstabilisation freine leur croissance ou entraîne leur mort », explique la chercheuse. Des alternatives aux antibiotiques Les peptides sont libérés par des glandes spécialisées lors des situations de stress, en particulier en cas d’inflammation ou d’infection. Une fois que les peptides les plus prometteurs auront été identifiés, les scientifiques procéderont à des essais sur deux organismes dangereux pour l’homme, l’Escherichia coli et le staphylocoque doré. Mariela Marani insiste sur la nécessité de chercher sans cesse de nouvelles alternatives pour lutter contre ce type de micro-organismes : « Tous les jours, des bactéries résistantes apparaissent en raison de l’utilisation incorrecte des antibiotiques, jusqu’à ce que ces derniers deviennent inefficaces. » Source
  18. Un alligator sans queue devrait être le 1er à bénéficier d'une prothèse La société herpétologique de Phoenix aux Etats-unis, une association qui a pour objectif notamment de mieux faire connaître les reptiles, compte parmi ses protégés un alligator de 9 ans très particulier. Mr Stubs, c'est son surnom, n'a plus de queue. Il pourrait être le premier au monde à bénéficier d'une prothèse pour résoudre son handicap. Sans sa queue, Mr Stubs ne sait pas nager. "Son corps tourne dans l'eau sans pouvoir avancer", explique Daniel Marchand, l'une des personnes qui s'occupent de l'animal. Plus embêtant, les alligators ont pour habitude de faire leurs réserves de nourriture dans leur queue pour l'hiver, ce que ne peut plus faire Mr Stubs puisqu'il n'en a plus. "Il faut donc veiller à ce qu'il ne meure pas de faim", ajoute le soigneur. Après avoir ausculté l'animal dans tous les sens, les vétérinaires ont trouvé le moyen de lui greffer une prothèse via l'épine dorsale. Ce qui serait une première mondiale. Une opération coûteuse pour laquelle un appel aux dons a été lancé. Précisons que Mr Stubs n'est pas né sans queue. C'est un de ses congénères, un plus grand alligator, qui a voulu en faire son repas. Car "les alligators sont cannibales", explique Daniel Marchand. Source
  19. Chez la vipère d'Orsini: grandir ou se reproduire, il faut choisir La vipère d'Orsini, une espèce rare, protégée et menacée d'extinction en France, possède une stratégie originale de reproduction: elle alterne régulièrement une année de reproduction avec une année au cours de laquelle elle ne se reproduit pas. C'est ce que vient de montrer une équipe de chercheurs du laboratoire Ecologie et évolution (CNRS/UPMC/ENS), du Centre de recherche en écologie expérimentale et predictive (CNRS/ENS) (1) et de Paris Sorbonne Université. Grâce à l'analyse de données fines récoltées pendant trente ans sur le terrain (au Mont Ventoux) et à un modèle mathématique, les chercheurs montrent que cette stratégie est loin d'être désavantageuse. Tout au contraire: elle permet à la vipère d'Orsini d'investir dans une reproduction de qualité sans en payer de coût physiologique et préserver ainsi sa survie. Ces résultats ont été publiés en ligne le 23 novembre 2012 sur le site de la revue Functional Ecology. La Vipère d'Orsini est un petit serpent insectivore rare et extrêmement menacé sur le territoire français. Depuis le début des années 1980, une population de Vipère d'Orsini sur le Mont Ventoux fait l'objet d'un suivi scientifique individuel, approfondi et rigoureux. Au total ce sont 160 femelles qui ont été suivies tout au long de leur vie. Ces données ont permis de montrer que, dans cette population, une femelle adulte (qui peut vivre plus de 12 ans) alterne avec une grande régularité les années de reproduction et de non reproduction. Un modèle mathématique a permis de confirmer que la sélection naturelle pouvait effectivement favoriser un comportement alternant ainsi les années de reproduction et les années de croissance. Chez cette espèce, les femelles adultes se reproduisent tous les deux ans. Lors des années de non reproduction, elles stockent des réserves de graisses et investissent leur ressource dans la croissance corporelle qui reste possible tout au long de leur vie et qui influe sur leur fécondité. Plus une vipère est grande, plus elle peut avoir de petits. Au cours d'une année de reproduction, la croissance s'arrête et toutes les ressources acquises sont alors concentrées sur la reproduction. Ainsi le taux de succès de la reproduction est très élevé et l'impact physiologique immédiat sur les mères est réduit. Cette "stratégie" se différencie radicalement du comportement d'autres espèces de serpents vivipares, chez lesquelles les femelles apparaissent très amaigries après la mise-bas: sous l'effet de la reproduction, leurs réserves de graisses "fondent", sans être reconstituées, et ces transformations physiologiques peuvent mettre en jeu leur survie. Au contraire, la stratégie de la Vipère d'Orsini lui permet de produire une portée de qualité sans en subir le "coût". Le suivi de la condition des femelles avant et après reproduction, de leur croissance corporelle mais aussi de leur taux de survie a permis de comprendre la logique de ce comportement reproducteur particulier qui n'est en rien corrélé, comme on le pense généralement, à des fluctuations environnementales. Ces travaux pourraient permettre d'expliquer de nombreux autres cas de reproduction par intermittence chez d'autres espèces animales et végétales. Ils démontrent aussi l'intérêt de suivis individuels à long terme sur des populations naturelles pour mieux comprendre les mécanismes écologiques et physiologiques qui déterminent la démographie d'une espèce. Note: (1) Ecotron Ile de France (CEREEP) Référence: Baron, J.-P., Le Galliard, J.-F., Ferrière, R. and T. Tully. 2012. Intermittent breeding and the dynamics of ressource allocation to growth, reproduction and survival. Functional Ecology. doi: 10.1111/1365-2435.12023 Source
  20. COMMUNAUTE CREUSOT MONTCEAU : Un périmètre de protection doublé pour une tortue Le périmètre du site Natura 2000, à Pouilloux, va être considérablement étendu pour protéger une tortue, la Cistude d'Europe. Il va être porté à 134 hectares. De là à ce que l'aérodrome de Pouilloux devienne le Notre-Dame-des-Landes de Bourgogne... Il faut toujours considérer les zones humides avec respect et avec doigté... La commune de Pouilloux, au Sud de la Communauté Le Creusot Montceau présentait jusqu'alors une particularité : celle d'accueillir le seul aérodrome de la collectivité. Désormais, elle a une autre particularité. Il se trouve en effet que l'étang de Pierre Poulain abrite la Cistude d'Europe qui se trouve être une tortue aquatique, présentée comme très rare et en forte régression en France. Et ce n'est pas rien, car les services de l'Etat ont tout simplement demandé une modification de l'étendue du périmètre de protection de la fameuse tortue. L'étang va être désigné, dans le réseau Natura 2000, comme «site européen du patrimoine naturel d'intérêt communautaire». Rien que ça ! Un plan régional d'actions en faveur de la Cistude d'Europe a d'ailleurs été décidé, à l'initiative du Conservatoire des sites naturels bourguignons. Le périmètre de protection va ainsi passer de 59 à 134 hectares. Le conseil de la Communauté Creusot Montceau en a approuvé le principe. Les tortues vont donc pouvoir continuer de dormir tranquillement. Enfin, c'est ce qu'espèrent leurs défenseurs. De là à ce qu'ils agissent pour que les avions cessent de développer leurs nuisances, il y a peut-être bien un pas... Pas si lointain que cela ! Car pour peu que les sympathiques tortues décident d'aller voir ce qui se passe ailleurs, se rapprochent de l'aérodrome, et soyez-en convaincu, il n'en faudrait peut-être pas plus pour que l'aérodrome soit classé au rang des nuisibles et soit fermé... Et Pouilloux deviendrait la version bourguignonne de Notre-Dame-des-Landes, avec son lot d'opposants et de manifestations... Pourvu que la torture reste bien là où elle est et qu'elle n'aille pas se balader trop loin... Source
  21. Max|mum-leterrarium

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