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Non, aucun problème!

Viège: exercice "serpents" pour les pompiers de Savièse Les sapeurs-pompiers de Savièse ont participé à une exercice "serpents" à Viège. Les sapeur-pompiers de Savièse ont suivi un cours très particulier: le reptile. Il paraît que c’est toujours eux qu’on appelle dans ces cas-là. Ils ont profité de l’exposition Reptiles du Monde au magasin Qualipet de Viège/Eyholz (toujours en cours). Elle contient des dizaines de vivariums avec des boas jusqu’à 6 mètres, des cobras de toutes sortes, des crotales encore plus impressionnants, mais aussi des mygales, des scorpions, des vipères aspics, des iguanes. Les hommes du feu ont ouvert des yeux horrifiés lorsque l’instructeur Karim Amri, autorité dans le domaine auprès des Polices cantonales, a enlevé la plaque de verre du vivarium : «et maintenant, Messieurs, à vous de jouer. Maîtrisez cet animal avec le crochet en U.» Cela a assez bien marché. On a commencé tranquillement avec le boa constrictor, pas venimeux, pour passer aux cobras, aux crotales, à la bonne vieille vipère aspic et rencontrer le Seigneur des anneaux: Crotalus Durissus Durissus, le plus dangereux, le plus teigneux, le plus venimeux. On finit par s’attacher à ces petites bêtes… Source

Bazoulé : Koom Lakré ou la fête aux crocodiles sacrés Atypique. Pourrait-on ainsi qualifier la cérémonie organisée le dimanche 28 octobre dernier, et consacrée aux crocodiles sacrés de Bazoulé. Célébrée le dernier dimanche du mois d’octobre de chaque année, Koom Lakré a pour objectif de demander aux ancêtres une dernière pluie pour parfaire les récoltes. Autochtones, originaires du village et touristes ont pris part à la fête. Que de monde à Bazoulé. Localité située à une trentaine de kilomètres à l’Ouest de Ouagadougou, Bazoulé est connu grâce à ses crocodiles sacrés. Située au nord du village, la marre est le point d’attraction de Bazoulé. Plus de 178 crocodiles sacrés y vivent. Chaque année, la population organise une fête en leur honneur. Pour l’occasion, le chef de Bazoulé, Naaba Kiba, en place depuis 32 ans, porte ses vêtements de fête. Son bonnet de chef bien centré sur la tête, il traverse le village sur un cheval accompagné d’une foule immense. Pour cette année, les organisateurs de Koom Lakré, avec à leur tête Pierre Michallard, français d’origine mais qui a passé près de 20 ans au Burkina, ont innové. Le départ du chef, qui a habituellement lieu depuis la cour royale, s’est effectué cette année au musée des Savoirs et des traditions de Bazoulé. Suivi par des badauds, le chef et ses notables ont opéré une escale pour les premiers sacrifices avant de mettre le cap sur la marre aux crocodiles sacrés. Sur les lieux, le sacrificateur égorge les poulets après avoir prononcé des incantations à peine audibles. Les poulets sont ensuite jetés aux crocodiles qui se tennent à quelques mètres de la foule sans manifester des signes de menaces pour les humains. Mais convaincus que « la prudence est mère de sureté », les guides n’ont pas manqué d’inviter les populations à se tenir loin des bordures de la marre. Après ce rituel, les populations s’adonnent à la consommation de l’alcool et la viande du porc. « La vraie fête a commencé maintenant », fait remarquer un des fêtards. Le chef, assis devant son palais, reçoit les visiteurs. Organisé le dernier dimanche du mois d’octobre de chaque, Koom Lakré est une cérémonie au cours de laquelle il est demandé aux ancêtres de faire tomber une dernière pluie afin que les habitants aient de bonnes récoles. « Très souvent la pluie tombe après le rituel. Une première cérémonie a eu lieu il y a deux semaines, il y a eu effectivement la pluie ce jour-là », nous prévient Pierre Michallard. Mais comme par enchantement, les ancêtres auraient exaucé les vœux des habitants de Bazoulé. De retour de Bazoulé, nous avons retrouvé Ouagadougou sous une fine pluie. « Il pleut aussi à Bazoulé », nous informe quelqu’un par téléphone. Des crocodiles centenaires La légende raconte que ces grands reptiles sont tombés du ciel, il y a 570 ans, sous une pluie. C’était sous le règne du Moogho Naba Kouda dont l’un des enfants a fondé le village de Bazoulé. La population à l’époque souffrait de manque d’eau et pouvait parcourir 10 kilomètres pour s’approvisionner. Quand les crocodiles sont apparus, ils ont creusé un grand trou sous des buissons pour faire leur repaire. C’est ainsi que l’endroit s’est transformé en marre qui ne tarit jamais. Confiants que les crocodiles sont dotés de pouvoir surnaturel, les habitants de Bazoulé font des sacrifices à la marre et jettent les poulets aux animaux afin de demander de bonnes récoltes, un bien-être familial ou même la santé. Plus que de simples animaux, les crocodiles annoncent de l’avis des habitants les évènements malheureux ou heureux à venir. « L’attitude des animaux nous annonce des faits à venir. Si un vieux du village doit mourir, un crocodile se présente souvent dans la concession de celui-ci. Le soir, les crocodiles de la marre peuvent également mugir comme des vaches en battant leurs queues contre l’eau », a expliqué un sage du village. Si pour les habitants les crocodiles jouent un rôle, à la limite, religieux, la marre de Bazoulé est l’un des sites touristiques les plus visités du Burkina Faso. En famille ou en solitaire, des expatriés occidentaux n’hésitent pas à se faire plaisir en se rendant à Bazoulé. « J’aime venir me promener au bord de la marre et regarder les crocodiles. C’est vraiment intéressant. En plus de cela, je viens de découvrir qu’une fête leur est dédiée chaque année », a indiqué André Brandmeyer, un touriste venu avec ses amis. Pour d’autres, c’est une sortie entre collègues. « Il y a une délégation venue du Japon pour le SIAO (NDLR, Salon international de l’artisanat de Ouagadougou) et je les ai accompagnés ici pour voir les crocodiles », a ajouté Tsutomu Sugiura, ambassadeur du Japon au Burkina que nous avons rencontré sur les lieux. Jacques Théodore Balima Source

Le python se cachait sous les feuilles mortes Drôle de découverte pour cet homme qui balayait son patio. Il était en train de balayer les feuilles mortes, dans le patio de sa maison, lorsqu’il aperçut un reptile de taille et d’aspect étranges qui essayait de s’enfuir. Sans hésiter, pour mieux identifier cet intrus, cet habitant de Berlou le saisit derrière la tête et découvre, stupéfait, qu’il s’agit d’un python. Il s’agit même d’un python d’Afrique qui s’est furtivement échappé, en mai dernier, d’une sorte de vivarium détenu par un habitant du quartier. Si l’on en juge par ses mensurations - quelque cinquante centimètres de longueur et d’une grosseur sans commune mesure avec celle des couleuvres locales -, ce prédateur nocturne s’était parfaitement adapté à son nouvel environnement. Après quelques photos souvenirs, les pompiers alertés sont venus récupérer cet hôte indésirable avant de le confier au zoo de Lunaret, à Montpellier, où, dans un environnement mieux adapté, il pourra couler des jours paisibles. Source

Un Japonais s'entiche de scinques à queue pomme de pin L'homme a été interpelé lundi à l'aéroport international de Perth, capitale d'Australie occidentale. Des observations en rayon X ont révélé la présence de 9 lézards à queue pomme de pin ; des reptiles de 40 à 50 centimètres de long endémiques de l'Australie. 9 lézards entassés comme des sardines dans deux sacs en plastique. Le ressortissant japonais aurait attrapé ces reptiles sur une plage de Perth et aurait décidé de se lancer dans le commerce et de les vendre au Japon. Il faut dire que le scinque à queue pomme de pin peut rapporter 6 000 dollars au Japon. Conformément à la législation australienne, le Japonais risque désormais 10 ans de prison ou 100 000 dollars d'amende ou les deux. Source

Une nouvelle espèce de serpent marin découverte… dans un bocal de formol ! Décrite dans la revue Zootaxa, une nouvelle espèce de serpent marin a été découverte par hasard par des chercheurs scandinaves parmi des bocaux d’échantillons, oubliés depuis le 19e siècle dans les réserves du Muséum de Copenhague, au Danemark. C’est en inventoriant, dans les locaux du Musée d'histoire naturelle de Copenhague, des bocaux de formol pleins de serpents marins – envoyés par des naturalistes vers les années 1800 – que le Pr John Elmberg, de l'Université de Kristianstad (Suède) et le Pr Arne Rasmussen, de l'École de conservation des beaux-arts de l'Académie royale danoise, ont repéré deux spécimens distincts, curieusement étiquetés sous le même nom. "Ils semblaient différents et ne semblaient pas appartenir au même groupe de serpents. C'est là que le travail d’enquête a commencé. Après avoir comparé ces serpents avec d'autres espèces similaires dans d’autres musées d’Europe, il est [devenu] encore plus évident que nous avions trouvé un nouveau serpent de mer distinct. (…) Les musées sont probablement plein d'espèces inconnues, ce sont des archives précieuses dignes de protection, tout comme la jungle elle-même", a déclaré le Pr Elmberg. Baptisé Aipysurus mosaicus en raison des motifs évoquant de la mosaïque romaine qui ornent sa peau, l’animal, originaire des récifs coralliens situés entre le nord de l'Australie et le sud de la Nouvelle-Guinée, est l’une des quelque 80 espèces de serpents marins connues (parmi environ 3 000 espèces de serpents au total). Des animaux généralement très venimeux, très difficiles à étudier mais bons indicateurs de l’état de santé des océans. Source

Un serpent retrouvé dans un avion Le personnel de l'aéroport de Glasgow a eu une bien mauvaise surprise en voulant vérifier un avion qui venait d'atterrir en provenance de Cancun, au Mexique : un serpent se trouvait dans l'appareil, caché sous une rangée de sièges, rapporte le Daily Record. L'animal, baptisé Furtivo, a été confié à la SPA écossaise. Il a pu être identifié : Furtivo appartient à la famille des Dryadophis, non venimeux mais qui peuvent se montrer agressifs et mordre. Furtivo se serait introduit dans l'avion à Cancun, ou aurait pu se faufiler dans le bagage à main d'un passager. Source

Le crapaud, cet animal mal-aimé, a aussi ses défenseurs - Ségrie-Fontaine « C'est la migration des crapauds vers leurs gîtes hivernaux », explique Antoine Deguines, du CPIE Collines normandes, chargé de mission sur le dispositif « un dragon dans mon jardin ». Ce programme national est soutenu par le Muséum des sciences naturelles et cofinancé, pour notre territoire, par l'Agence de l'eau Seine-Normandie, la Région Basse-Normandie et le Conseil général de l'Orne. Il a pour but d'améliorer les connaissances sur les amphibiens et reptiles et sensibiliser le public à la préservation de ces espèces. « Le crapaud commun est une espèce protégée, victime de son physique et des histoires de sorcières qui se servaient de son venin, extrait de ses glandes situées derrière les yeux. » Ce venin, non dangereux pour l'homme, lui sert uniquement à se protéger de ses prédateurs. « Il ne fait pas de bonds, contrairement à sa cousine la grenouille, et il subit davantage les méfaits de la circulation routière ». Antoine a lancé son message aux citoyens désireux de participer au programme de sauvegarde des crapauds, grenouilles, tritons et reptiles. « En rentrant de votre travail, de promenade ou des courses, si vous avez aperçu des crapauds récemment ou continuez d'en voir traversant les routes, merci de m'appeler, car même si cette espèce est relativement commune, il reste important pour nous de savoir où elle se trouve, de même pour les autres amphibiens et reptiles. » Contact : Antoine Deguines, CPIE des Collines normandes, tél. 02 33 96 69 93. Source

Vaste saisie de viande de brousse à l’aéroport de Roissy Quelque 600 kilos de marchandises, dont de la viande de brousse, ont été saisis lundi lors d’une vaste opération de contrôle à l’aéroport de Roissy, a-t-on appris mardi auprès des douanes et de source aéroportuaire, confirmant une information du Parisien. Singe, crocodile et antilope Ces denrées, transportées illégalement, ont été saisies lors d’une opération de contrôle des importations de viandes de brousse en provenance d’Afrique menée par la douane de Roissy-Charles de Gaulle. Lundi, les agents de la douane ont notamment ciblé des passagers venant de la capitale congolaise Kinshasa, selon une source aéroportuaire. Ils ont intercepté de la viande de singe, de crocodile, de pangolin (un insectivore à écailles), de porc-épic et d’antilope, ont indiqué les douanes. Certains de ces animaux appartiennent à des espèces protégées par la Convention de Washington (CITES) car elles sont menacées de disparition. Des fruits, des légumes et des arachides ont également été saisis. Maladies graves Ces produits ont été retrouvés dans les valises des voyageurs, a-t-on expliqué de source aéroportuaire : « certains en amènent pour usage familial, mais cela alimente surtout le marché des restaurants africains à Paris ». Des opérations de contrôle de viande de brousse sont régulièrement menées à Roissy, en raison des risques sanitaires induits par le transport et la commercialisation de ces denrées et de leur impact sur les écosystèmes concernés. Selon l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (OCLAESP) de la gendarmerie, ces denrées sont susceptibles d’introduire sur le territoire des maladies graves (grippe aviaire, fièvre aphteuse), mais aussi des insectes potentiellement vecteurs de maladies. Source

Le propriétaire du boa récupère son animal Le boa constrictor qui s'était échappé d'une maison de la rue du Roi à Jonquière au mois d'août a finalement été retrouvé. Il y a quelques semaines, une dame a aperçu l'animal dans sa serre, derrière sa résidence. Il avait trouvé refuge là, à quelques rues de chez lui. La femme a appelé les agents de la SPCA, qui sont venus chercher le boa et l'ont rapporté à son propriétaire. Source

Information mensongère mais ça reste une exposition. Ce n'est pas la première et rien à voir avec l'organisation du vrai salon des reptiles.

Un premier Salon des reptiles au Québec ROUYN-NORANDA - Une première édition du Salon des reptiles de l’Abitibi-Témiscamingue se tiendra au Centre des Congrès de l’Hôtel Gouverneur de Rouyn-Noranda les 27 et 28 octobre prochains. L’événement, le premier du genre au Québec, réunira plus de 70 espèces de reptiles. «Ce qui se fait ailleurs, c’est une exposition de reptiles dans une salle où on fait la vente de reptiles et d’équipement. Mais dans une ambiance comme la nôtre, avec des spécialistes et des gens formés qui vont donner de l’information et répondre aux questions, oui, c’est la première fois au Québec qu’on voit ça», explique la présidente du salon, Myriam Petit. La passion des reptiles Animal Accès animera le salon en collaboration avec l’Association herpétologique de Montréal, le Conseil consultatif mixte de l’industrie des animaux de compagnie (PIJAC Canada), la Clinique vétérinaire Marquis, des représentants d’Exo terra et Nicole Blanchette, technicienne de la faune. «Nous sommes vraiment passionnés des reptiles et notre but n’est pas de faire de l’argent avec ça. Nous voulons donner de l’information parce que beaucoup de gens ont peur des reptiles et pensent souvent qu’ils sont dangereux. Nous voulons vraiment démystifier les reptiles pour que les gens apprennent à les connaître et à les aimer», ajoute Mme Petit. De plus en plus populaires Un certain engouement a été remarqué pour les reptiles depuis quelques années. «Ils sont de plus en plus à la mode. Dans d’autres régions du Québec, ça fait longtemps que les reptiles en captivité sont connus. Ici, on remarque que les gens s’y intéressent davantage depuis environ cinq ans», souligne la présidente du salon. Des espèces rares Il sera possible, lors du salon, de se faire photographier avec des crocodiles, des varans ou encore un python. «Le salon sera ouvert à tous, mais nous demandons aux jeunes de moins de 14 ans d’être accompagné d’un adulte. Nous aurons avec nous des personnes qui possèdent des permis spéciaux parce que les espèces qu’ils possèdent sont plus rares comme des vipères ou des cobras. Il faut donc que les enfants soient supervisés», rappelle Mme Petit. Le Salon des reptiles sera ouvert de 10 h à 20 h le samedi 27 octobre et de 10h à 17h le lendemain. Le coût d’entrée est de 5$ pour les adultes et de 2$ pour les enfants de 14 ans et moins. Source

On parle de quelle espèce de caméléon? Finalement tu as déjà acheté une bête?

J'ai une question, pourquoi absolument plusieurs spécimen?

ROMORANTIN Un serpent capturé chez McDonald's Scène insolite, hier, en milieu après-midi chez McDonald's à Romorantin : un serpent s'est retrouvé on ne sait comment dans le fast-food. Les pompiers sont intervenus pour le capturer. Il s'agit vraisemblablement d'une couleuvre, mais pour en avoir le cœur net, le serpent sera envoyé, aujourd'hui, à Blois, pour être examiné par un spécialiste des reptiles. Source

Insolite : quand un serpent effraie la salle des machines de Cattenom D’habitude les hommes de la sécurité doivent lutter contre d’autres intrusions. Plus habitués aux militants altermondialistes, la centrale de Cattenom en Moselle a reçu la visite jeudi d’un animal n’ayant pas son badge d’accès… Les pompiers appelés par le service de sécurité de la centrale nucléaire de Cattenom n’en reviennent pas. Pas d’incident nucléaire, pas de difficultés techniques sur les équipements mais un intrus dans la salle des machines. En plein travail, les ingénieurs du site hautement stratégique ont dû faire face à un serpent d’environ un mètre. En plein redémarrage des réacteurs n°3 et 4 de la centrale depuis mercredi et confrontés à quelques couacs, les ingénieurs ont été légèrement perturbés. « Ce qui relève de l’anecdote aurait pu être dangereux. L’animal rampant pouvait créer une frayeur chez un employé de la centrale et créer un mouvement de panique ». Heureusement le reptile visiblement perdu était inoffensif... Source

Lézards, poissons, crapauds : les as du camouflage Le camouflage ? Une question de survie pour cet Uroplatus phantasticus, un gecko nocturne qui demeure immobile pendant la journée. Comme lui, de nombreux animaux et insectes échappent aux prédateurs en se fondant dans leur environnement, de manière littéralement bluffante. (CATERS NEWS AGENCY/SIPA) C'est notamment le cas de cet Uroplatus sikorae, un autre lézard arboricole résidant sur l'île de Madagascar, qui ne fait qu'un avec sa branche préférée. Une belle plante. C'est ce qu'on peut dire de cette sauterelle appartenant à la famille des Tettigoniidae. (CATERS NEWS AGENCY/SIPA) Quand la nature élève le mimétisme au rang d'art : "Araignée-crabe et monochrome de jaune", 2012. La transparence, c'est la vertu que prône cette crevette fantôme à ses camarades de dissimulation. (CATERS NEWS AGENCY/SIPA) Comme ce crustacé de la famille des Talitridae, certaines proies se recouvrent de sable pour échapper aux prédateurs. Tous les moyens sont bons quand on est en bas de la chaîne alimentaire. Un crapaud. Où est Charlie ? Ou plutôt : où est l'Hippocampe pygmée ? Quelque part dans cette image, une Chouette lapone. Outre la fonction dissimulatrice de son apparence, raccord avec le corail local, ce crabe de la famille des Majidae peut compter sur son aspect menaçant. L'inévitable phasme espagnol. Un poisson plat appartenant aux Pleuronectidae. Un crabe planqué sur une gorgone, dans les fonds marins de la Papouasie-Nouvelle-Guinée. Un phalène du bouleau, papillon nocturne à la texture très esthétique. Une crevette sur une anémone de mer. Un amphibien répondant au doux nom de Theloderma corticale. Un Grand Ibijau. BONUS. Et si les animaux domestiques étaient eux aussi des as du camouflage ? C'est la question que se posent certains internautes à la vue d'images stupéfiantes qui circulent sur Internet. Les chats, notamment, posséderaient des capacités de dissimulation longtemps ignorées - et pour cause - de leurs propriétaires humains. En bref : méfiance ! Source

Un iguane en liberté dans l'agglo lyonnaise Les pompiers sont intervenus ce vendredi matin devant les locaux de Radio Scoop pour récupérer un iguane de 80 cm qui s'était enfuit de chez son propriétaire ! Le gros lézard n'était pas agressif, mais il peut faire très mal avec ses griffes ou ses coups de queue. Les pompiers ont pris toutes les précautions pour l'attraper en attendant l'arrivée des gendarmes qui devaient s'occuper de trouver où placer l'animal. Finalement son propriétaire a fini par le récupérer, il était à la recherche de son iguane depuis plusieurs jours. Source

Un faucheux aux pattes démesurées découvert au Laos Un arachnologue allemand a découvert dans une caverne du Laos un faucheux (cousin des araignées) dont les pattes ont une envergure de plus de 30 cm, et dont l’espèce n’a encore pu être déterminée. Plus de 33 centimètres : telle est l’envergure des pattes de ce faucheux (un arachnide distinct des araignées) découvert au cours d'un voyage d'étude au Laos par Peter Jäger, de l'Institut de recherche Senckenberg (Francfort, Allemagne). La créature est l’un des plus grands représentants de son ordre zoologique, battu seulement par une espèce d'Amérique du Sud dont les pattes ont plus de 34 cm d’envergure. "Je collectais des araignées dans des grottes de la province méridionale de Khammouan. Dans l'une des grottes, j'ai découvert ce faucheux absolument énorme", a expliqué le Dr Jäger qui l'a alors observé sous toutes les coutures avant de mesurer ses pattes. Ceci lui a rapidement fait comprendre qu'il était en présence d'une espèce encore inconnue. "[Mais] pour tenter de classer cette créature correctement, cependant, et lui donner un nom scientifique, j'ai vite atteint mes limites", a reconnu le chercheur. D’autres arthropodes ayant des dimensions gigantesques ont été trouvés dans la même région : l’araignée Heteropoda maxima, d’une envergure atteignant 30 cm, le scorpion Typopeltis magnificus (26 cm) et le mille-pattes Thereuopoda longicornis (40 cm). Comment expliquer ce gigantisme ? "Une explication possible est le taux de croissance potentiellement plus lent dans les grottes", conclut le Dr Jäger. Source

Pourquoi les araignées ont-elles autant de paires d'yeux ? Les divers paires d'yeux qu'ont les araignées sont spécialisées afin d'améliorer leur vision. Ainsi, une paire annexe qu'elles ont à l'avant de leur tête les aide à détecter les mouvements menaçants. Même avec leurs yeux principaux bouchés, elles peuvent se mettre en position de défense quand il le faut. Non, ce n’est pas pour flanquer encore plus la frousse aux arachnophobes que les araignées ont quatre paires d’yeux. C'est ce qu'explique ne équipe de l’université du Massachusetts qui s’est penchée sur l’utilité d’une telle débauche oculaire. Selon sa publication dans la revue Biology letters, ces paires d’yeux auraient chez les araignées sauteuses des fonctions différentes et complémentaires. Ces araignées sont avant tout des chasseuses, elles ont donc besoin d’une meilleure vue que leurs congénères tisseuses. Les quatre yeux sur le devant de leurs têtes leur permet, logiquement, de voir ce qu’il y a devant elles. Mais si leur grosse paire centrale possède une rétine mobile, la paire périphérique est statique. La première offre ainsi aux araignées une vision précise et en couleur. Elles peuvent même voir dans le domaine des ultraviolets, hors de notre portée. La paire latérale a quant à elle, un champ de vision plus étendu mais de moins bonne résolution. Les chercheurs ont donc testé l’utilité de ces paires d’yeux face à une menace. Pour cela, trois groupes d’une quinzaine d’araignées ont été formés. Les premières ont servi de groupe de contrôle, les deuxièmes se sont retrouvées avec la paire d’yeux centrale masquée alors que pour les dernières c’était les yeux avant-latéraux. Les araignées ont été placées seules face à un écran où un point noir grossissait ou rétrécissait rapidement dès qu’elles regardaient dans sa direction. Mieux réagir face à une menace Face à la menace, 80% des araignées des groupes un et deux ont réagi et se sont mises en position de défense, les pattes avant levées. Ce pourcentage tombe à environ 15% pour les autres. Ces résultats indiquent donc que les yeux avant-latéraux s’occupent d’identifier les menaces afin que les araignées puissent réagir rapidement en cas de danger. Alors que la plupart des animaux n’ont qu’une paire d’yeux, les araignées ont donc des yeux véritablement spécialisés. "Nous observons une division du travail dans ce système de vue, explique Skye Long de l’université du Massachusetts à LiveScience. C’est une trajectoire différente prise par l’évolution afin de permettre à un animal très petit d’avoir une vision très complète." Source

Yssingeaux : une vipère en centre ville Les sapeurs-pompiers d'Yssingeaux sont intervenus ce lundi matin, peu après 11h, en plein centre ville. Leur tâche ? Récupérer une vipère, en train de lézarder sur les escaliers de l'esplanade du Garde du Temps, à côté de la Place de la Victoire. Les soldats du feu ont récupéré le reptile et l'ont finalement rejeté dans la nature. Source

Une grenouille armée d’un dard dissimulé dans... un faux pouce Une chercheuse japonaise a décrit dans le Journal of Zoology les mœurs d’une grenouille endémique du sud de l’archipel nippon, dont les mâles s’affrontent en utilisant une épine acérée pouvant jaillir d’un faux ‘cinquième doigt’. Endémique des îles Amami, au sud du Japon, la grenouille Babina subaspera possède une étrange particularité : une structure en forme de doigt supplémentaire. Or, si ceci peut apparaitre comme une quelconque anomalie évolutive, il n'en est rien. "Pourquoi ces ‘cinquièmes doigts’ existent chez certaines espèces demeure un mystère de l'évolution, mais le doigt supplémentaire de cette grenouille est en fait un pseudo-pouce. Il renferme une épine pointue qui peut être projetée en dehors de la peau, et dont les études de terrain ont montré qu’elle est utilisée pour le combat et l'accouplement", explique le Dr Noriko Iwai, de l'Université de Tokyo, qui étudie ces animaux depuis 2004. En vérité, les individus des deux sexes sont dotés de pseudo-pouces, mais seuls les mâles, chez qui ces appendices sont plus développés, les utilisent pour combattre. Selon les chercheurs, à l’origine, les pointes seraient apparues pour permettre au mâle de s'ancrer à la femelle durant l'accouplement. "Alors que les pseudo-pouces peuvent avoir évolué pour l'accouplement, il est clair qu'ils sont maintenant utilisés pour le combat : les mâles ont [cherché à les utiliser] quand ils ont été ramassés, et les nombreuses cicatrices sur leurs épines fournissent les preuves de tels combats", déclare le Dr Iwai. Les mâles rivaux s’étreignent avant de se piquer, ce qui renforce l’hypothèse d’une origine à but sexuel du faux-pouce. "Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour examiner la façon dont le pseudo-pouce a évolué et comment il en est venu à être utilisé pour combattre. Ces pouces utilisés comme des armes, et le danger, pour les grenouilles, de se blesser elles-mêmes, fournissent une contribution intéressante à l'étude de la morphologie de la main", conclut le Dr Iwai. Source

Un « varan des savanes », de 1,20 mètre de long a été trouvé dans un champ de salades à Balgau, « délicate attention d’un propriétaire indélicat, si le un varan se nourrissait de salades, mais seuls les rongeurs rats, souris… et d’insectes l’intéressent ». Il a été retrouvé par ailleurs, aussi effrayé que les cueilleuses de salades qui le découvraient ! Quelle n’a pas été la surprise de ce chauffeur de tracteur qui a découvert un matin un varan dans un champ de salades ? Aussitôt il en informe son employeur avoir trouvé un « gros lézard ». Nathalie Keller de la société ID3A, épouse du propriétaire Claude Keller, explique : « Ce varan des savanes mesurait environ 1,20 m lorsqu'il a été attrapé. Nous l’avons remis à une association de protection de la nature de Mulhouse. Il se nourrit de rongeurs rats, souris… et d’insectes, mais pas de salades ! Il ne représentait pas une menace pour nos cultures mais plutôt pour les femmes qui récoltent, pas très friandes de ce genre de rencontres !Une rencontre autant insolite qu’inattendue… pour cet animal exotique originaire d’Afrique qui n’aurait pas résisté à la fraîcheur de nos petits matins. Donc pas une bonne note pour celui ou celle qui a eu l’indélicatesse de s’en débarrasser dans un milieu où il n’avait pas de chance de survie. » Espèce désertique et diurne Quelles sont les mœurs d’un varan des savanes dans son milieu naturel ? Il est avant tout terrestre, mais ne refuse pas un meilleur point de vue en grimpant quelques souches ou amas rocheux. Petits, ils ont plus de tendance semi-arboricole (sans l’être vraiment), notamment pour se cacher des prédateurs. C’est une espèce désertique et diurne, mais qui lorsque la température atteint des pics très importants il s’enfouit dans un terrier ou un buisson pour en ressortir seulement après une diminution de la température. Il est le plus actif pendant la saison des pluies, où il chasse beaucoup. Il est plus actif en cette saison car sa température interne est de 26 à 32°. Adulte, ses morsures deviennent dangereuses À l’état sauvage, il est craintif envers l’Homme, et il évite donc les zones fréquentées par ce dernier. En captivité, il s’habitue fort bien à la personne qui le nourrit et lui fait prendre des bains s’il y a besoin. Cependant, il faut toujours garder à l’esprit, surtout lorsqu’ils sont adultes, que cette espèce, comme tous les varans atteignant une certaine taille, peut être dangereuse en cas de morsures (attention aux doigts et au visage…), et que les griffes alliées à la force des pattes peuvent laisser de belles marques sur les mains. Source

“Tunisie , Fait divers : Un serpent tue un agent de la SONEDE en le mordant au cou après avoir ouvert la niche” “Jalel Hosni, un agent de la SONEDE qui était en service à la région d'el Ghtatsa, relevant de la délégation d'El Hencha à Sfax, a été tué par un serpent qui l’a mordu au niveau du cou. D’après le témoignage d’un citoyen qui n’était pas loin du lieu du drame, la victime devait procéder à la réparation d'un compteur. Au moment où Hosni a ouvert la niche du compteur d’eau potable, un serpent a surgi de la dite niche pour l’atteindre au coup. La morsure était mortelle. Hospitalisé pendant plus de 5 jours à l'hôpital régional de Sfax, l’agent n’a pas survécu à la morsure, et rendit l’âme, ce mardi 16 octobre. Le malheureux agent est mort accidentellement, Allah Yarhmou, mais que celà serve de leçon à ses collègues pour prendre plus de précautions en ouvrant les portières des niches qui, dans beaucoup de cas, ne sont pas assez étanches et risquent bien de devenir des refuges aux bestioles.” Source

Liège: la justice rend des animaux exotiques maltraités à leur propriétaire Le 6 janvier dernier, suite à une dénonciation, une cinquantaine d'animaux exotiques avaient été saisis dans un cirque itinérant de passage à Liège. Crocodiles, mygales, lézards, pythons avaleurs de 5 mètres, … "Il y en avait pas mal qui étaient en piteux état. Il y en a qui présentaient des abcès, d'autres des refroidissements, donc c'était assez dramatique", témoigne Tony Lo Bianco, le directeur du parc zoologique "Crusoe" qui s'est occupé de ces animaux après la saisie. "On en a soigné quand même beaucoup. Il y en a pas mal qui sortaient à peine de convalescence. Pour la grosse femelle crocodile, elle commençait simplement à se nourrir. Un autre crocodilien devait encore être opéré d'une occlusion". Choquant Mais voilà, la justice liégeoise a décidé de rendre tous les animaux à leur propriétaire italien. Son argument? Ceux-ci risquaient de perdre l'apprentissage du spectacle. "Personnellement, pour l'asbl, c'est choquant. Parce que le travail que nous avons effectué pendant 8 mois n'aura servi strictement à rien", explique M. Lo Bianco. D'autant qu'il reste une inconnue: qui va payer la facture? "L'asbl a besoin de plus ou moins 10.000 euros par mois pour survivre, à savoir aussi qu'on n'a aucun subside pour subvenir à ça donc forcément ça coûte énormément cher", déplore son directeur. Soit la justice parvient à obliger le propriétaire à rembourser l'asbl, soit la Justice le fera. Source