Max|mum-leterrarium

Chasse à l'araignée à toile entonnoir Le venin de cette araignée peut tuer un adulte en quelques heures Et les stocks de sérum antivenimeux sont au plus bas. L'Australian Reptile Park, situé au nord de Sydney, est le seul centre du pays où le venin de cette araignée de 7 centimètres de long peut être extrait pour faire du sérum antivenimeux. La direction a donc lancé un appel à la population pour que tout le monde parte à la chasse à l'araignée à toile entonnoir, qui tire son nom de la forme de sa toile et qui est probablement l'une des plus dangereuses araignées d'Australie. Le but étant donc de 'traire' ces araignées pour extraire du venin et fabriquer du sérum antivenimeux. « Nous n'avons d'autres choix que de demander à la population de nous aider à trouver des araignées à toile entonnoir. », a communiqué la direction de l'Australian Reptile Park. Une chose est certaine, ce n'est pas le moment de se faire piquer par cette araignée puisque les stocks de sérum antivenimeux sont pour ainsi dire à zéro.. Source

Naissances de tortues marines sur les plages de Chypre Comme chaque année à la même époque, des centaines de bébés tortues de mer naissent sur les côtes méditerranéennes, notamment sur les plages de Chypre.

Heleophryne rosei est un amphibien menacé par les plantes envahissantes et les prélèvements d'eau dégradant son habitat. Le nombre exact d'individus est pour l’heure inconnu Source

Une grenouille morte dans un sachet d'épinards Une Britannique a lancé une réclamation auprès de la chaîne de magasin Tesco après avoir retrouvé une grenouille morte dans ses épinards. Sarah Moss, une jeune actrice de 26 ans, avait acheté un sachet d'épinards dans un magasin Tesco. Ce soir-là alors qu'elle mangeait avec une amie, elle a assisté à une scène surprenante. "Nous étions en train de manger depuis cinq minutes lorsque sa fourchette a transpercé quelque chose qui n'était pas censé être là", explique-t-elle. Cette étrange "chose" n'était autre qu'une grenouille morte. "Mon amie a été malade à plusieurs reprises", confie-t-elle. Fait étonnant, la semaine passée, un autre Londonien, un écrivain du nom d'Olly Goldenberg, avait également découvert une grenouille morte dans un sachet d'épinards de la même marque. Sarah Moss a fait part de son méncontentement auprès du service après-vente de la chaîne de magasins. La jeune femme a reçu un bon d'achats de 10 livres (environ 12 euros) en guise de dédommagement. Source

Python fugueur et fantôme Il aura fait parler de lui, le python royal du quartier Chanteloup, à Amboise ! Sa fuite supposée a donné lieu à un communiqué de la mairie mais il fut vite retrouvé. Laura, une lectrice, réagit à l'article paru sur le sujet le 12 septembre. Elle écrit : « Nous, résidents de l'avenue de Chanteloup, à Amboise, à aucun moment, nous n'avons été prévenus par la municipalité d'Amboise qu'un python royal avait échappé à son propriétaire. « Nous n'avons vu ni pompiers, ni gendarmes, ni agents des services techniques et agents de la police municipale. Nous serions bien heureux de savoir à quel moment nous avons été prévenus, sachant qu'il y a des enfants dans le secteur. » Effectivement, les riverains n'ont rien vu et pour cause : la propriétaire du reptile a donné tout de suite l'alerte croyant à sa disparition. Tout aussi rapidement, elle l'a retrouvé chez elle. Les services n'ont donc pas eu le temps de se déplacer. Source

Des alligators loués pour des fêtes d'anniversaire VIDEO - En Floride, les parents à court d'idées peuvent organiser des «alligator parties»... Les clowns, c’est tellement démodé. En Floride, la dernière mode pour les anniversaires d’enfants est d’inviter un alligator. Pour 175 dollars (environ 135 euros), les enfants peuvent se baigner avec lui et le caresser sans crainte de se faire mordre. «Sans danger, propre et amusant», c’est ce que promet Bob Barrett, le créateur de «Alligator Attraction». Sans danger, vraiment? Si les bébés alligators sont muselés avec du scotch, un coup de queue peut aussi faire très mal. Et pour les animaux, nager dans le chlore des piscines privées n’est pas réellement indiqué. Les services vétérinaires de Floride mènent actuellement une investigation sur les méthodes de Bob Barrett, et ont pour le moment déclaré que les fêtes avec alligators n’étaient «pas quelque chose que nous encourageons». Source

Un manque d'information et de réglementation ? On les appelle improprement NAC, pour « Nouveaux animaux de compagnie ». « Les reptiles, mygales ou scorpions ne tiennent pas compagnie comme les hamsters ou les lapins, ce sont des animaux de faune sauvage détenus en captivité », rectifie Pascal Gouery, spécialiste animalier chez les pompiers de l'Essonne. Depuis plusieurs années, ils sont pourtant de plus en plus prisés dans les foyers. « On assiste à la démocratisation de l'élevage de ces animaux », souligne Pierre Fleuret, conseiller vendeur à La Ferme tropicale de Lille. La région posséderait même le plus grand nombre de propriétaires de bestioles exotiques, comme semble le montrer la tenue à Arras d'un des plus gros salons de France. La raison serait avant tout géographique, selon Pierre Fleuret. « En Belgique, les animaleries vendent librement toute sorte d'animaux. Vous pouvez acheter un reptile comme une paire de chaussures », regrette-t-il. Mygales et scorpions peuvent également y être vendus. La Ligue protectrice des animaux du Nord dénonce d'ailleurs ce manque de réglementation. Mais aussi l'absence d'information sur les caractéristiques des animaux, souvent vendus tout jeunes et qui grossissent. « On traite l'animal comme un objet de grande consommation. On incite à l'achat d'impulsion sans prévenir les futurs propriétaires des contraintes », souligne sa présidente. Résultat, ces animaux se retrouvent sur les sites Internet de vente ou d'échange. « On en recueille souvent qui ont connu quatre ou cinq propriétaires », s'inquiète Dominique Dupont pour qui « des animaux sauvages n'ont rien à faire dans des appartements ». « Nous avons tout intérêt à bien conseiller nos clients pour qu'ils soient satisfaits, plaide Pierre Fleuret. Nous aussi, nous sommes confrontés à des propriétaires qui veulent rendre leurs animaux car mal conseillés ».G. D. Réglementation L'an dernier, le parquet de Paris a condamné à quelques mois de prison avec sursis un Nordiste pour trafic d'animaux. C'est la première fois en France qu'un trafiquant est reconnu coupable de « mise en danger de la vie d'autrui » dans ce genre d'affaires. En 2008, la section de recherche de la gendarmerie de Lille avait saisi chez lui une dizaine de serpents venimeux qui étaient vendus sans demander de certificat de capacité. Ce certificat est nécessaire pour détenir certains animaux exotiques. Les serpents de moins de 3 mètres n'y sont pas soumis. Source

Les reptiles herbivores passent à table Parmi les reptiles proposés par les animaleries, seul un nombre limité est exclusivement herbivore. Intéressant de connaître leur menu. Voici quelques pistes… Ce type de reptile herbivore mange exclusivement des plantes et des parties de plantes comme des graines, des fruits ou des fleurs. Parmi les tortues, les tortues terrestres font partie de ce groupe. Autre exemple : les iguanes dont l’espèce connue est l’iguane vert. Les études sur les besoins nutritionnels sont peu nombreuses et les besoins de ces animaux ne sont que peu définis. Les reptiles ont souvent, de ce fait, certaines carences alimentaires. Deux choses sont importantes : leur donner un taux élevé de fibres et un faible taux de protéines animales. Un taux élevé de fibres garantit en effet une bonne santé au niveau intestinal. La digestion de nourriture principalement végétale requiert en effet une adaptation de l’appareil digestif permettant une absorption suffisante de nutriments. Donner trop de sucres en donnant trop de fruits peut également perturber la flore intestinale. Une bonne base alimentaire pour les reptiles herbivores est une alimentation sèche adaptée au type de reptile. Y ajouter des légumes frais ou des plantes herbacées pour varier le menu est cependant nécessaire. Des exemples de légumes feuillus sont les bettes, les chicons et les endives. Les terrariophiles peuvent donner des plantes herbacées sous forme de trèfle, plantain, pissenlits. L’ajout de luzerne aux rations est intéressant car elle contient un taux élevé de fibres, de protéines végétales et de calcium. Les tortues reçoivent souvent un os de seiche en guise de source de calcium. Source

Il existe plusieurs espèces en fait.

La mue d’une mygale géante filmée en accéléré Fasciné par la mue de son araignée Goliath, un internaute a installé sur le vivarium de l’animal une caméra afin de filmer en accéléré le processus. La mue est un impressionnant phénomène, d’autant plus quand l’organisme qui l'accompli est une des plus grosses mygales du monde. Un internaute, propriétaire d’une araignée Goliath (Theraphosa blondi) a voulu immortaliser la "métamorphose" de son arachnide en plaçant sur le vivarium une caméra. Une idée ingénieuse qui lui a permis de filmer tout le processus plutôt long avant de le monter en time-lapse pour en faire un clip de moins de 2 minutes. Sur la vidéo, on observe ainsi la mygale se débattre d'abord doucement puis de plus en plus vivement pour sortir de son ancien exosquelette. Theraphosa blondi, à l’âge adulte, possède un corps d’environ 10 centimètres de long. L’organisme entier avec les pattes peut quant à lui atteindre aisément une envergure de 30 centimètres et pèse entre 120 et 130 grammes. 

L’araignée Goliath vit au cœur des forêts tropicales humides, en Guyane, au Brésil, au Surinam ainsi qu'au Venezuela. Il s’agit d’un spécimen particulièrement agressif, muni de soies urticantes et de notables crochets délivrant un venin neurotoxique. Si le poison est capable de neutraliser n’importe quelle proie, il est toutefois aussi inoffensif pour l’être humain qu’une piqure de guêpe. Du fait de sa grande taille, la mygale se nourrit de tout types de proies infortunées passant à proximité de son terrier : insectes, grenouilles, rongeurs… Des observations de l’arachnide en train de tuer des oiseaux lui a également valu son nom vernaculaire anglophone : 'Goliath Bird-Eating Tarantula" (ou la "Mygale Goliath mangeuse d’oiseaux" ). Source

Le lézard qui crache du sang... avec ses yeux! Si l'on faisait le palmarès des moyens de défense les plus étranges, ce lézard cornu (Phrynosoma coronatum) du Mexique et du sud de la Californie y remporterait certainement une place respectable. Lorsqu'il est en danger, il gonfle une poche de sang dans ses sinus jusqu'à ce que des capillaires de la paupière éclatent, projetant un jet de sang jusqu'à 1,5 m de distance. Au passage, le sang est additionné de substances qui dégoutent les félins et les canidés, dont le coyote qu'on aperçoit en vidéo, mais semblent sans effet sur les oiseaux. Source

LES REPTILIADES Le rendez-vous incontournable des mordus de serpents ! Les Reptiliades sont nées dans une salle minuscule à Saint-Dionisy en 1998. À cette époque, son créateur Yvon Chapelot, président de l’association les Ophidiens, avait pour ambition de rassembler les terrariophiles pour qu’ils puissent partager leur passion. Il ne s’imaginait sûrement pas que ce Salon connaîtrait un succès tel qu’en 2005, il a fallu déménager à Saint-Hilaire-de-Brethmas dans une salle plus grande pour pouvoir recevoir tous ceux qui frappaient à sa porte, et ils étaient nombreux. Cette même année, Steeve Gilly reprend Les Reptiliades. Tout nouveau dans le milieu, il a dû se faire un nom et montrer patte blanche. « C’est très fermé comme univers. C’est aussi pour cela que cette année, nous nous sommes installés à Nîmes (à l’Hôtel Holiday Inn, NDLR) dans une salle de 800 m² pour pouvoir accueillir les spécialistes mais aussi les curieux. Encore trop de personnes achètent des serpents sous le manteau sans s’être renseignées au préalable. » Car si Steeve défend l’idée que les « serpents sont des animaux comme les autres« , la précaution est tout de même de mise : « Ce doit être un acte réfléchi. Une fois que l’on se sent prêt, il faut acheter tout le matériel pour accueillir le serpent. Ce n’est que lorsque tout est installé, que l’on prend le reptile, pas avant. » Près de 3 000 serpents Quant aux conseils, les amateurs pourront compter ce week-end sur la présence de professionnels. Car il existe des centaines d’espèces reptiles (des couleuvres, des pythons, des boas, des tortues, mais aussi des lézards et autres caméléons ou geckos) à tous les prix : d’une quinzaine d’euros pour les couleuvres à plusieurs milliers d’euros pour un python albinos par exemple. Les Reptiliades, l’une des plus grandes expo-vente de France qui a reçu l’an passé près d’un millier de visiteurs, présenteront jusqu’à 3 000 reptiles à l’Hôtel Holiday Inn à Nîmes. « Nous voulons proposer un large choix pour les amateurs. Ensuite, c’est à chacun ses critères. Certains se basent sur l’esthétique, d’autres sur la rareté » précise Steeve, le mordu de serpent au grand cœur puisqu’une partie des bénéfices sera reversée à L’Œuvre des Pupilles Orphelins des Sapeurs-Pompiers de France. Ce samedi 29 et dimanche 30 septembre de 10 heures à 19 heures à l’Hôtel Holiday Inn (Nîmes-Ville Active) – Tarifs : 3€/5€. Source

Son iguane au zoo de Lille Michel Vandenbossche, résidant du quartier du Pacot-Vandracq, de Lambersart, est un passionné de bestioles étranges. Chez lui, il a déjà vu naître serpents, calopsittes... Et aussi eu jusqu'à une cinquantaine d'oiseaux, des mygales, un caméléon, des lézards. Le retraité a également accueilli dans sa demeure, un grand iguane. Mais ce dernier, avait un « comportement agressif ». Le Lambersartois a donc dû s'en séparer. Il a pensé au zoo de Lille, qui a accepté de l'adopter. Michel Vandenbossche a eu l'occasion de voir où vivait son ancien animal de compagnie. Comme quoi, il est parfois possible de trouver une bonne place pour des animaux dont on doit se séparer. Source

L'araignée Eresus kollari colonise le Valais Araignée aux couleurs de coccinelle, Ererus kollari prolifère en Valais. Après avoir remonté la vallée du Rhône, elle a été observée cet été à proximité de Savièse. Aux Mayens-de-la-Dzour, à 1356 mètres d’altitude, Marion Varone a découvert il y a quelque temps, près de son chalet, une curieuse araignée. L’arachnide avait l’abdomen couvert de soies rouge orangé, serti de quatre taches noires dorsales. Elle l’a observée, à plusieurs reprises, se promenant le long d’un muret. Unique en Suisse Après plusieurs recherches, nous avons soumis la photographie à un expert. «Il s’agit d’Eresus kollari, une espèce qui n’existe qu’en Valais pour toute la Suisse», note le Valaisan Yannick Chittaro, biologiste à l’Université de Neuchâtel. Le serveur de l’Université de Neuchâtel publie à cet effet une cartographie de la Suisse où l’on découvre que la première araignée Eresus kollari a été observée dans la région de Fully (coude du Rhône) avant 1990. Par la suite, elle s’est répandue dans la région de Martigny jusqu’à Sembrancher. Elle est remontée la vallée du Rhône et a été signalée entre autres à Saxon, Conthey, St-Martin, Finges, Loèche, Viège, Embd et Fiesch. Source

Les employés de L'Escarène tombent... sur un python Les employés communaux de L'Escarène au-dessus de Nice ont eu la surprise de trouver vendredi un python en bordure de la route de la Pighièra. Le serpent d’un an et demi environ et de 80cm a-t-il été abandonné par son propriétaire ? Mystère. Heureusement, il n’était pas au mieux de sa forme. Pris en charge par un vétérinaire, le serpent ira rejoindre un jardin zoologique. Source

Mississippi: ils capturent un alligator géant de plus de 300 kg Quand l'énorme alligator a mordu à l'hameçon vendredi dernier sur un terrain de chasse privé du Mississippi, «nous nous sommes livrés à une épreuve de force chaotique d'une heure et demie avant de finalement le maîtriser», raconte le chasseur, Tom Grant. Il a fallu quatre hommes pour capturer l'animal de 316 kg, l'une des plus grosses prises jamais enregistrées. Le delta inférieur du Mississippi se compose surtout de clubs de chasse, de terres forestières, de plantations et de zones de gestion de la faune. Tom Grant explique que son groupe a hameçonné la créature aux allures préhistoriques pendant la saison de la chasse près de Fitler, dans la région d'Issaquena. «Quand on a attrapé l'alligator au bout de deux cannes et de crochets à bobine, on savait que c'était une grosse prise, mais on ne s'attendait pas à ça», s'étonne encore Tom Grant. Quelques jours plus tard, l'agence de la faune, de la pêche et des parcs du Mississippi (Mississippi Department of Wildlife, Fisheries & Parks) a confirmé le record. La plus grosse prise précédente, qui date de l'année dernière et provient des mêmes eaux du delta, pesait 313 kg sur la balance. «Ce n'est pas la première fois qu'un alligator de la région d'Issaquena bat des records et ce n'est pas sans doute pas la dernière, selon Ricky Flynt, coordonnateur du programme Alligator au MDWFP. L'habitat très riche et isolé de la région inférieure du delta abrite des alligators géants depuis des milliers d'années.» Le tout dernier record revient à Tom Grant. Le reptile de 3,98 m de long arbore une queue de 1,15 mètre et un abdomen d'une circonférence de 1,65 mètre, preuve que l'animal n'a pas manqué de nourriture. Tom Grant était accompagné de Jim Reed, Michael Robbers et Kenny Winter. Le spécimen se situe au sommet de la courbe de tailles de son espèce. Le National Geographic déclare sur son site Web: «Un alligator de 316 kg vient de quitter les eaux du delta du Mississippi pour entrer dans l'histoire. Tom Grant, un chasseur de Boyle, Mississippi, a capturé l'immense reptile sur un terrain d'un club de chasse privé près de Fitler, dans la région d'Issaquena, à l'ouest du fleuve Mississippi.» Les alligators américains peuplent désormais abondamment le sud des États-Unis et une grande partie de l'Amérique centrale, après avoir été au bord de l'extinction. Ricky Flynt conclut: «L'alligator américain était en voie de disparition dans le Mississippi. Sa population est maintenant suffisante pour que nous autorisions des quotas de chasse limités. C'est l'illustration même de l'efficacité d'un programme de préservation de la vie sauvage.» Source

Gestion des déchets : la Suède et la Grèce s'attirent les foudres de la Commission La Commission européenne a décidé de traduire la Suède devant la Cour de Justice de l'Union Européenne (CJUE) pour non-respect de la législation relative aux Déchets D'équipement Electriques et Electroniques (DEEE). L'Etat membre n'a semble-t-il pas correctement transposé la directive 2002/96/CE entrée en vigueur en février 2003. Le manquement de la Suède concerne plus particulièrement les exigences techniques pour les sites où les DEEE sont stockés et traités (annexe III). Les autorités suédoises prévoyaient de modifier la législation nationale de manière à tenir compte de ces exigences dès le 1er janvier 2010 mais ces modifications n'ont pas été notifiées à la Commission ce qui la pousse à présenter l'affaire devant la CJUE. La Grèce est également dans la ligne de mire de la Commission concernant cette fois une décharge implantée dans le parc marin de l'île de Zakynthos, créé pour protéger la tortue marine caouanne. "La décharge est exploitée en violation de la législation de l'UE en matière de déchets et constitue une menace grave pour la santé humaine, l'environnement et, en particulier, la nidification des tortues. La Grèce doit, soit fermer la décharge, soit la mettre en conformité avec la législation de l'UE sur les déchet", explique la Commission. Les autorités grecques ont reconnu le problème et des mesures ont été prises pour créer une installation de remplacement. Mais des retards importants ont été enregistrés et aucun site de remplacement n'a encore été désigné pour les installations. L'autorisation pour les décharges existantes a même récemment été renouvelée. La Commission a donc traduit la Grèce devant la Cour de justice. Les tortues caouannes sont une espèce menacée d'extinction, classées dans la catégorie des espèces "courant un risque très élevé d'extinction à l'état sauvage dans un proche avenir". 80% des tortues caouannes qui nichent en Méditerranée le font à présent sur l'île de Zakynthos. Source

Découverte d'une salamandre fossile géante et amphibie Publiant leurs travaux dans PLoS ONE, des chercheurs allemands déduisent de l’étude des fossiles d’une salamandre géante, aujourd’hui disparue, que cet animal chassait aussi bien sur terre que dans l’eau, contrairement à ses cousines actuelles. Si les salamandres géantes actuelles aiment s'ébattre dans les eaux vives et oxygénées des torrents d’Asie de l'Est et d'Amérique du Nord, leurs ancêtres, qui atteignaient eux aussi 2 mètres, fréquentaient les rivières et les lacs des basses terres. Néanmoins, parmi ces ancêtres, figure une exception dont la particularité vient tout juste d'être mise au jour. En effet, l’espèce Aviturus exsecratus, qui vivait il y a 56 millions d'années dans le sud de la Mongolie, n'était pas comme les autres, puisqu’elle était... amphibie. C'est en étudiant les fossiles de l'animal que des chercheurs de l’Université de Tübingen (Allemagne) ont constaté cette particularité indiquée par deux types de caractéristiques. D'une part, ils ont observé que sa mâchoire inférieure montrait qu’elle se nourrissait de poissons et d’invertébrés aquatiques, donc forcément attrapés dans les eaux où la salamandre s'ébattait. D'autre part, ils ont constaté qu'elle possédait également des os lourds, de longues pattes de derrière, un odorat bien développé ainsi que des dents palatines (sur le palais) : autant de signes qui sont typiques d'une salamandre terrestre et qui suggèrent qu'elle devait aussi chasser les insectes sur la terre ferme. Ses restes fossilisés ont été découverts dans des roches issues de sédiments caractéristiques des bords de rivières. Or, la découverte est d'importance puisque le passage d'une espèce d'un mode de vie purement aquatique à un mode de vie amphibie est totalement inconnu chez les salamandres modernes. Les chercheurs suggèrent que cette évolution drastique serait due à une courte période de réchauffement survenue il y a 55,8 millions d'années et aujourd'hui appelé le maximum thermique du Paléocène-Eocène. Source

L'espèce du mois - La Tortue Verte La tortue verte (chelonia mydas) est, avec la tortue à écaille, une des deux principales espèces de tortue observables en Polynésie. Cette tortue marine tient son appellation à sa graisse de couleur verte qui la rend aisément reconnaissable sous l’eau. Appelée Honu en polynésien, la tortue verte est un animal relativement imposant mesurant en moyenne 1 mètre pour 100kg. Certains individus rencontrés atteignent parfois 300kg. Elle possède une carapace ovale et aplatie qui lui offre un excellent hydrodynamisme lui permettant d’être la tortue marine la plus rapide avec des pointes à 35km/h. Au début de sa vie, la tortue verte est carnivore, elle se nourrit de petits invertébrés et d’œufs de poissons pour accélérer le plus possible sa croissance durant cette période critique de sa vie. Par la suite, elle ne se nourrira presque qu’exclusivement d’algues marines et plus rarement d’éponges et de mollusques. C’est ce régime alimentaire qui lui vaut d’ailleurs la couleur de sa robe. Après avoir atteint sa maturité sexuelle entre 8 et 15 ans, la tortue marine rejoint la plage où elle a elle-même vu le jour pour s’y accoupler. Les rencontres s’effectuent dans l’eau puis les femelles pondent leurs centaines d’œufs sur la plage. Les tortues recommencent ce rituel tous les 3 à 6 ans pour s’offrir le maximum de chance de procréer devant parfois parcourir jusqu’à 1 000 km pour rejoindre cette zone de ponte. La tortue verte est menacée par divers prédateurs tout au long de son évolution. Déjà dans son œuf, ceux sont les crabes qui menacent sa survie. Au stade juvénile, les nombreux poulpes, calamars et gros poissons la chassent volontiers. A l’âge adulte, ceux sont les requins citron et autres imposants squales qui l’affectionnent tout particulièrement. Il ne faut pas oublier dans cette chaîne alimentaire la place de l’homme qui a longtemps chassé la tortue pour en consommer la chaire. Par chance aujourd’hui, les tortues marines sont protégées dans certains pays du globe. En Polynésie, des mesures ont été prises afin d’empêcher sa disparition (centres de soins, actions de sensibilisation, loi contre leur chasse …). Grâce à ces actions, vous aurez encore la chance de pouvoir observer de magnifiques tortues vertes, cet animal autrefois sacré en Polynésie, dans les eaux qui entourent notamment Moorea et Bora Bora. Source

REPTILIADES : « Super Strike », la star du salon qui valait 2.500 euros ! Le salon des serpents se clôture aujourd’hui à l’hôtel Holiday Inn de Nîmes. Parmi les stars de l’évènement « Super Strike », un python royal de deux mois et demi, « génétiquement créé ». Depuis hier, plus d’un millier de visiteurs, collectionneurs avertis ou simples aficionados reptiliens viennent découvrir les Reptiliades. Ce salon des « mordus de serpents« est une première à Nîmes ! A cette occasion, une soixantaine d’exposants sont venus de toute la France pour vendre leur petites bébêtes… Parmi les 3000 reptiles disposés sur les stands, « Super Strike » ! Ce python royal « génétiquement modifié, a été créé à partir de deux gênes« , explique Didier Bianciarelli, éleveur chez Massilia Regius à Marseille. Avant d’ajouter « par exemple, lorsque vous prenez un serpent albinos, et que vous le faites s’accoupler avec un autre serpent, il transforme en noir tout ce qui est blanc« . Non venimeux, ce jeune reptile de 2 mois et demi, a été vendu à un français, pour la coquette somme de 2.500 euros ! Autre « rareté » de ce salon, le « Black Pewter Mojane Hypo« . « Celui-ci a été créé à partir de 4 gênes, il coûte 12.500 euros, mais il n’est pas à vendre« , rajoute Didier Bianciarelli. Originaire d’Afrique de l’Ouest, les pythons royaux ont une durée de vie d’environ 20 ans. Le serpent « Bourgogne« , « made in France », a aussi produit son petit effet… « Ce serpent est unique au monde . Il a été créé par Jean-Paul Paygnot, l’un des plus grand éleveur français« , précise Didier Bianciarelli. « Vous savez, c’est très difficile de créer des serpents… Vous avez 1 chance sur 4 pour que cela réussisse« . Autre spécimen qui a « attiré pas mal de visiteurs« , le Caméléon de Madagascar ! « Le caméléon a une image assez sympathique ! C’est un animal mystérieux qui change de couleur en fonction de ses émotions. Par exemple, lorsque vous avez deux mâles face à face, des tons vifs apparaissent« , explique Jean-Paul Ochem d’Amazone Reptiles à Colmar. Coût de la bébête malgache : 800 euros tout compris ! « Cela représente un certain coût, un frein même pour pas mal de monde. Mais je préfère« . « Cela évite l’achat impulsif… Il faut s’occuper de ces animaux et ce dans la durée !« , expliquent à l’unisson les deux éleveurs. Source

Aux Etats-Unis, des prisonniers sauvent des grenouilles Les détenus d’une prison formés à la sauvegarde de la biodiversité viennent en aide aux grenouilles. La Rana Pretiosa ou Grenouille Maculée de l’Oregon pourrait bien trouver son salut auprès de détenus. Formés à la préservation de la biodiversité, les prisonniers du centre de Cedar Creek, dans l’État de Washington (États-Unis), offrent en effet à nos amis batraciens une possibilité de se repeupler, sachant que la variété en question, protégée en vertu de la Loi sur les espèces en péril (LEP) votée par le gouvernement fédéral, ne dispose que d’un nombre d’individus très restreint dans une aire de répartition minuscule. Lancé en 2004, le programme « Sustainability in Prison » a pour objectif de ramener la nature et le développement durable dans les prisons, ce qui engendre des bénéfices assez considérables, notamment énergétiques. Ainsi la quantité de déchets générée par les prisonniers de l’État de Washington a-t-elle chuté de 1,3 kilo en moyenne par jour en 2004 à 600 grammes l’année dernière. Quand les prisonniers assurent la protection de l’environnement Les prisonniers choisis pour leur bon comportement suivent l’enseignement d’un biologiste agréé et peuvent ensuite travailler pour 42 cents de l’heure (0,3 centime d’euros), soit le salaire standard en prison. Leur travail quotidien consiste entre autres en la surveillance de la température de l’eau des grenouilles ou en la récolte et l’élevage de centaines de grillons pour l’alimentation des batraciens. Ces différentes tâches permettent en outre d’offrir une nouvelle formation aux détenus, ce qui leur offre davantage de chances de se réinsérer une fois leur peine purgée. 6 mois après l’éclosion des œufs, les grenouilles sont relâchées dans leur écosystème naturel. Ces « travaux d’intérêts généraux écologiques » offrent une belle possibilité pour les détenus qui souhaitent faire amende honorable, c’est pourquoi on espère que le programme s’étendra à d’autres prisons américaines. Source

Le poison du scorpion pour vaincre le cancer Et si le scorpion devenait le meilleur ami de l'homme ? Des médecins cubains travaillent depuis 15 ans sur les propriétés du poison du scorpion, qui seraient bénéfiques dans le traitement du cancer. "Ca atténue les symptômes qui accompagnent le cancer, comme les douleurs, les inflammations, le manque d'appêtit", explique Niudis Cruz, médecin au laboratoire Labiofam. Lors d'une récente conférence à Cuba les chercheurs de Labiofam ont présenté leur médicament, vendu dans certains pays d'Amérique latine et en Chine. Le laboratoire attend la licence pour le commercialiser en Europe, où le Vidatox attire l'attention : "Les gens viennent en grand nombre en acheter, depuis les pays où ce n'est pas en vente. 35 000 Italiens l'an dernier", dit Antonio Fraga, le directeur de Labiofam. Plusieurs fermes de scorpions ont été créées à Cuba. Chacune peut récolter un litre de venin par mois, soit 10 000 bouteilles du médicament. Le venin est extrait toutes les trois semaines, le temps qu'il faut pour que le scorpion fabrique à nouveau le poison.

Tu l'as trouvé à l'extérieur? Où?

Difficile à dire mais la sève de certains figuiers est acide, elle peut brûler la peau après un contact de quelques minutes.

Python fugueur et fantôme Il aura fait parler de lui, le python royal du quartier Chanteloup, à Amboise ! Sa fuite supposée a donné lieu à un communiqué de la mairie mais il fut vite retrouvé. Laura, une lectrice, réagit à l'article paru sur le sujet le 12 septembre. Elle écrit : « Nous, résidents de l'avenue de Chanteloup, à Amboise, à aucun moment, nous n'avons été prévenus par la municipalité d'Amboise qu'un python royal avait échappé à son propriétaire. « Nous n'avons vu ni pompiers, ni gendarmes, ni agents des services techniques et agents de la police municipale. Nous serions bien heureux de savoir à quel moment nous avons été prévenus, sachant qu'il y a des enfants dans le secteur. » Effectivement, les riverains n'ont rien vu et pour cause : la propriétaire du reptile a donné tout de suite l'alerte croyant à sa disparition. Tout aussi rapidement, elle l'a retrouvé chez elle. Les services n'ont donc pas eu le temps de se déplacer. Source