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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
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Une grenouille cowboy et plus de quarante espèces découvertes au Surinam BIODIVERSITE - Parmi les 1.300 espèces répertoriées par les scientifiques, une grenouille à franges a été découverte... La forêt amazonienne est un puits sans fond pour les naturalistes. Lors d’une expédition au Surinam, menée par l’association Conservation International, plus de 1.300 espèces ont été répertoriées et certaines sont des découvertes, comme la grenouille cowboy, le criquet «crayola» ou le poisson chat à armure. Une grenouille à franges et un poisson à épines Des noms imagés qui reflètent les particularités de ces animaux insolites: la grenouille cowboy doit son nom aux «franges» qui ornent ses pattes, le criquet très coloré a été nommé d’après une célèbre marque de crayons de couleurs et le poisson chat se défend des piranhas grâce à des épines sur son corps, qui ont conduit les biologistes à le nommer «poisson chat à armure». Ce dernier a d’ailleurs failli finir dans l’assiette d’un des membres de l’expédition, rapporte la BBC. Le Surinam est une zone très riche en biodiversité, explique Trond Larsen, directeur du projet Rapid Assessment Program, qui consiste à répertorier le plus grand nombre d’espèces avant leur disparition. «Quand on pénètre dans la région, on peut faire des centaines de kilomètres sans voir une seule route, c’est uniquement de la forêt, a-t-il expliqué à la BBC. C’est un des derniers endroits au monde où l’on peut trouver cette nature sauvage.» L’enjeu est aujourd’hui de préserver la région, en sensibilisant les populations locales ou en la classant en réserve naturelle. Audrey Chauvet Source
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Les espèces arboricoles ont tendance à être plus agressive. C'est une généralité, ce n'est pas toujours le cas. Pour mieux t'aider, je t'invite à répondre à ce questionnaire. /t1272-aide-de-choix-de-serpents En passant, bienvenue sur le forum! Je t'invite à te présenter dans les sections respectives par le fait même! /t3170-presentez-vous /t759-qui-se-caches-sous
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L'araignée, l'araignée... Expo au Muséum d'Histoire Naturelle
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
L'araignée, l'araignée... Expo au Muséum d'Histoire Naturelle On croit tout savoir sur les araignées et on croit surtout qu'elles sont de sales bestioles à exterminer. Voici le pitch issu du dossier de presse de l'exposition "Au fil des araignées". "Les araignées ne sont pas des monstres poilus mais des animaux très surprenants qui méritent bien une exposition. Celle du Muséum national d’Histoire naturelle s’attaque aux clichés qui ont forgé leur mauvaise réputation et décline les caractéristiques de ce prédateur efficace, maillon important de la chaîne alimentaire. Le parcours est conçu comme une découverte progressive pour mieux faire connaissance avec les araignées, sans omettre la part d’imaginaire et les raisons, réelles ou mythiques, de la peur qu’elles inspirent. Des zones, bien définies par la scénographie, montrent l’aspect effrayant des araignées, en prenant soin d'avertir le visiteur. L’exposition aborde le monde des araignées de façon ludique, artistique et bien sûr scientifique." Nina avait très envie d'y aller et moi aussi pour continuer sur la pente de "J'essaie de ne plus être phobiques des araignées". Déjà plusieurs années que je ne hurle plus de peur en voyant une araignée et que je ne les écrase plus systématiquement. L'exposition m'a confortée dans cette voie. Avoir peur des araignées c'est vraiment un truc qui est arrivé à cause du cinéma et des films d'horreur des années 50 à nos jours. Parce que si on prend la peine de les comprendre et de les étudier on se rendra vite compte que la majorité des 41 000 espèces d'araignées dans le monde (1650 en France) ne sont ni dangereuses ni toxiques mais bien au contraire utiles, d'ailleurs elles sont même comestibles dans certaines régions du monde. Après je peux comprendre la répugnance due aux nombreuses pattes et au côté velu. Pour les gens vraiment phobiques qui iront quand même, les parties qui peuvent faire peur sont bien signalées et il est facile de les éviter sans perdre le fil de l'expo et les phases importantes. J'ai bien aimé la partie cinéma avec de courts extraits de films où on se rend compte à quel point la fiction dépasse largement la réalité puisqu'on apprend par exemple dans l'exposition que la plus grosse des mygales, la Theraphosa blondi, n'atteint que 30 cm d'envergure ! Le parcours est très bien fait avec des reproductions, des photos et quelques espèces vivantes. Il y a trois grandes sections : qu’est-ce qui définit une araignée ? Les réponses données battent en brèche les clichés; les araignées vivantes et leur mode de vie, le détail de leur comportement les rend passionnantes et enfin les araignées et la recherche. Pourquoi méritent-elles qu’on les étudie de près ? Des dispositifs ludiques sont mis en place un peu partout pour apprendre en manipulant ou en jouant. Les jeux de questions-réponses ont beaucoup plu à Nina. On y trouve aussi des photos artistiques et scientifiques, des extraits de films documentaires et de fiction, des vidéos, des illustrations, des bornes audio, des objets ethnographiques et des fossiles. L'exposition est aussi bien faite pour les adultes que pour les enfants. Il y a des animateurs présents sur tout le parcours pour faire des démonstrations ou répondre aux questions. Les araignées servent donc à tuer d'autres insectes nuisibles et même si leur venin est toxique pour les insectes il n'est pas actif sur l'homme sauf les quelques espèces dangereuses qu'on a aucune chance de croiser dans la réalité. Les guêpes et les serpents font beaucoup plus de victimes que les araignées. Leur venin peut même servir à faire des médicaments. De même on croit souvent à tort que nous nous faisons piquer par des araignées, les pauvres on les accuse alors qu'elles n'y sont pour rien. De toute façon moi je déteste bien plus les moustiques, les guêpes et les poux que les araignées. On apprend encore des dizaines de choses dans cette passionnante exposition. Nous y sommes restées deux heures sans voir le temps passer. Je ne m'attendais pas à autant en profiter et surtout je ne m'attendais pas à ce que Nina soit aussi intéressée et enchantée par cette exposition. Une visite indispensable même si on pense ne pas aimer les araignées ! Au fil des araignées Au Muséum d'Histoire Naturelle jusqu'au 2 juillet 2012 Tarif plein : 9€ - Moins de 26 ans : 7€ - Moins de 4 ans : gratuit Et je vous rappelle que le billet d'entrée de l'expo donne droit aussi à la visite de la Grande Galerie de l'Évolution. Toutes les infos sur le site. Source -
Première suisse: cohabitation d'un mamba vert occidental et d'une vipère rhinocéros! 20.01.2012 Nouveau terrarium et première suisse! Un mamba vert dans les arbres et une vipère rhinocéros au sol dans le même terrarium! Cette cohabitation originale, avec le mamba vert occidental (Dendroaspis viridis) qui vit sur les arbres et la vipère rhinocéros (Bitis rhinoceros) qui vit au sol dans les feuilles mortes, est proposée dès aujourd'hui au public par l'équipe du Vivarium. Avec cette nouvelle installation, le Vivarium de Lausanne présente d'une manière originale deux espèces très connues et très demandées par les passionnés et le grand public. Source
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Inscription ouverte pour le Salon des Reptiles
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Michel Le Blanc1 dans Expositions et activités
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Libérée, la queue des geckos léopards vit sa propre vie
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Libérée, la queue des geckos léopards vit sa propre vie Comme de nombreux animaux, le gecko léopard peut abandonner une partie de son corps, en l'occurrence sa queue, pour survivre à l'attaque d'un prédateur. Mais chez lui, étonnamment, cet appendice bouge pendant une demi-heure et, même, réagit à des stimuli. Il a véritablement une vie propre... Les amputations volontaires de parties non vitales du corps (ce que l'on appelle l'autotomie) sont fréquentes dans le règne animal. L’exemple le plus connu est celui de la queue des lézards. D’autres organismes possèdent aussi cette capacité : des serpents, des araignées, des pieuvres et même quelques mammifères. L’objectif de cette opération est de détourner l’attention du prédateur ou de se libérer de son emprise. Généralement, les parties du corps abandonnées meurent rapidement, mais ce n’est pas une règle systématique. L'appendice caudal du gecko léopard par exemple, Eublepharis macularius, continue à bouger jusqu’à 30 minutes après sa libération. Une étude réalisée en 2009 par Timothy Higham, de l’université de Californie, et Anthony Russell, de l’université de Calgary, a même décrit deux types de mouvements. Après l’amputation, la queue est capable de sautiller jusqu’à 3 cm du sol pendant quelques minutes. Des mouvements d’oscillation (gauche-droite) peuvent quant à eux être observés pendant plusieurs dizaines de minutes. Ces mêmes chercheurs ont utilisé des techniques d’électromyographie pour comprendre les mécanismes responsables de ces mouvements. Deux circuits neuronaux indépendants sont impliqués mais ils peuvent agir simultanément. Plus surprenant, l’un d’eux serait sensible à des informations sensorielles provenant de l’environnement. Le fait de toucher la queue pourrait la faire sauter. Ces résultats sont publiés dans la revue Journal of Experimental Biology. La queue amputée du gecko réagit à des stimuli Quatre électrodes ont été placées sur l'appendice caudal de plusieurs geckos endormis. À leur réveil, des stimuli ont provoqué l’amputation volontaire de leur queue, dont l’activité électrique a ensuite été enregistrée jusqu’à ce qu’elles cessent de bouger. La queue des geckos léopards oscille grâce à des activités électriques s’opérant alternativement à gauche et à droite de l’appendice, avec régularité. Les sautillements de la queue sont causés par la contraction simultanée de tous les muscles. Les deux mouvements résulteraient donc de mécanismes différents. Mais sont-ils gérés par un seul et unique circuit neuronal pouvant produire deux types d’activités ? Les contractions musculaires donnant naissance aux mouvements d’oscillation, étant régulières, ont pu être caractérisées et quantifiées. Le système des oscillations serait automatique. En revanche, l’activité électrique causant les sauts ne suit pas de règle précise ; leur survenue est plus erratique. Deux systèmes neuronaux seraient donc impliqués dans la vie postamputation de la queue. Sur la base de leurs observations, les chercheurs ont émis l’hypothèse que le second système, celui provoquant les sautillements, devait être relié à des récepteurs sensoriels de la queue. La queue des geckos a donc une vie propre pendant plusieurs minutes après sa séparation. Les sautillements provoqués par les stimuli, peut-être le contact avec des prédateurs, peuvent certainement les déconcerter et les leurrer, permettant ainsi aux geckos d’augmenter leurs chances de fuite et de survie. Source -
Appel à la protection de tortues marines du Parc marin des mangroves au Bas-Congo L’Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN) a décidé d’imposer une étude d’identification et une opération de marquage des tortues marines chassées de plus en plus par la population riveraine au Parc Marin des mangroves-zone humide (PMM), sur la côte atlantique, dans la province du Bas-Congo, et lance, à cet effet, un appel pour la protection de cette espèce menacée d’extinction. Selon M. Paul M’Lemvo, chercheur à l’ICCN qui l’a confirmé à l’ACP, cette faune herpétologique à carapace osseuse peut facilement coûter 50 dollars US tandis que la tortue luth( dermochelys coriacea) peut être vendue à 70 dollars US. Le PMM, qui a pour charge d’assurer la protection du biotope spécial du littoral atlantique, du lamantin, de la tortue et de la forêt de mangroves à palétuviers, est en effet dépourvu, depuis sa création en 1992, d’équipement adéquat devant permettre de faire l’inventaire de la faune et de la flore de cette réserve. Les responsables de ce site déplorent également le manque de moyens financiers devant permettre l’exécution du programme des activités sur le terrain face aux pressions anthropiques importantes ainsi que l’identification et le dénombrement des espèces d’oiseaux en vue de dresser une liste définitive de l’avifaune de la réserve et de fournir des données biologiques viables. Sur le plan international, a déclaré M’Lemvo, la mise en valeur du parc constituerait la base pour la participation de la RDC au plan d’action pour la protection du milieu marin et des zones côtières de la région de l’Afrique de l’Ouest et du Centre. Quant à l’intervention de ce plan, elle porte entre autres sur la lutte contre les érosions, la formation du personnel dans le domaine spécialisé de la conservation des zones humides et des tortues marines pour une bonne gestion de ressources vivantes de la réserve ainsi que sur l’inventaire de principales sources émettrices des polluants industriels et domestiques. Il a estimé qu’il est souhaitable, pour comprendre les particularités de la gestion d’une zone marine et côtière, que le gouvernement de la RDC mette en œuvre une stratégie pour la formation du personnel technique et scientifique en la matière, notamment d’éducation méthodologique, et la sensibilisation du public à la question de la préservation de l’écosystème des mangroves. Le Parc marin des Mangroves, a rappelé M. Paul M’Lemvo, a été créé à la suite des études menées par des experts de l’UNESCO et du gouvernement de la RDC. Un rapport préliminaire sur l’identification des espèces de tortues présentes dans les lieux côtières de ce pays a été réalisé en avril 2000 et soumis à l’ICCN. Le site s’étend sur une superficie de 66.000 ha et sur une bande côtière de 40 km zone de ponte de tortue allant de Banana jusqu’à la frontière avec le Cabinda en Angola). Il est inscrit sur la liste des sites de la Convention relative aux zones humides d’importance internationale (RAMSAR), fait-on remarquer. Matadi, 23/01/2012 (ACP / MCN, via mediacongo.net) Source
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Une cape en fil d'araignée Si les araignées peuvent parfois susciter la peur, leur tissage, lui, provoque l'admiration. Et les fils des araignées de l'espèce Golden Orb, naturellement dorés, fascinent. D'autant que peu avaient encore eu l'idée (ou la technique) de les introduire dans l'univers de la mode. C'est désormais chose faite avec une cape de quatre mètres entièrement réalisée avec de la soie d'araignée. Le modèle unique, exposé au Victoria and Albert Museum de Londres dès ce 25 janvier, est l'oeuvre de Nicholas Godley et Simon Peers. Il a été réalisé avec la soie de plus d'un million d'araignées. Le fil, récupéré quotidiennement, a été ensuite tissé à la main. Les créateurs se sont basés sur des écrits et des illustrations datant du 19e siècle qui expliquaient cet art. La dernière pièce de fils d'araignées tissés datait du 19e siècle, explique le musée. Elle avait alors été présentée à l'Exposition universelle de Paris. Aujourd'hui, il n'en resterait plus rien. L.C.C. Source
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Des vipères bien vivantes dans le Guillestrois Quelle ne fut pas la surprise d’un habitant d’Eygliers en ce mois de janvier de découvrir sur son balcon une vipère bien vivante de 23 centimètres qui présentait quelques traces de morsures sûrement l’œuvre d’un chat, d’après cette personne. Pour lui, qui a l’habitude de voir des serpents se dorer sur les pierres chauffées par le soleil, en trouver un entre des pervenches en fleurs et de la neige, est très surprenant en cette saison. On aurait pu croire qu’il s’agissait d’un cas isolé, avant qu’un habitant de Pinfol sur la commune de Réotier ne découvre, ce lundi 23 janvier, une couleuvre de plus d’un mètre de long aux abords de sa maison située à 1 400 mètres d’altitude. Donc attention, même en période d’hibernation de ces espèces, une rencontre inattendue est toujours possible ! Source
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Ils sauvent une tortue d’un empoisonnement! Courage – Sauvetage : Des personnes, dont je ne connais pas l’identité – hélas – … ont sauvé une grosse tortue d’une mort certaine! En effet, l’animal venait de happer un poisson Fugu (Oui, tout à fait… celui qui est fort prisé au Japon mais qui possède des glandes empoisonnées)… Poisson, qui était heureusement coincé dans sa gorge. Dès lors, ils l’ont attrapée alors qu’elle s’étouffait et ont été récupérer le poisson avec les outils qui étaient à bord de leur bateau. Épilogue : la tortue est sauvée Source
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Exposition de reptiles de Sherbrooke 22 janvier 2012
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Expositions et activités
Nous avons passé une belle exposition. Comme toujours, malgré qu'on m'a posé la question toute la journée, Bella était à mes côtés mais plus en blonde donc personne ne la reconnaissait. Nichgecko était aussi de la partie avec nous pour une troisième fois si je ne me trompe pas. La journée s'est très bien passée, que du plaisir. Pour ceux qui connaissent Leiopython, il a tenté toute la journée de me convaincre de lui vendre ma Brachypelma boehmei. C'était plaisant de revoir certains personnes dont Annick et Nicholas, Mathieu Nault et Sophie, Manu, Stéphane et Julie pour nommer que ceux là. Assez de blabla avant de raconter des anecdotes qui se sont passé et que vous vous foutiez un peu de ma gueule. L'équipe du tonnerre [img]http://i49.servimg.com/u/f49/12/59/61/16/imgp2131.jpg[/img Dernière minute de l'exposition -
Le boa constricteur joue au cardiologue pour se nourrir
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Le boa constricteur joue au cardiologue pour se nourrir Le boa constricteur mesure le rythme cardiaque de sa victime pour adapter la force de pression autour de son corps. L’arrêt des battements du cœur d’une proie est immédiatement suivi par un relâchement des efforts du serpent. Il dépense ainsi le moins d’énergie possible pour se nourrir et diminue son exposition à d'éventuels prédateurs. Les boas constricteurs (espèces Boa constrictor) sont des serpents pouvant avaler de grandes proies d’un seul tenant. Jadis popularisés grâce aux aventures de Tintin ou du Petit Prince, ils se retrouvent de plus en plus souvent comme animaux de compagnie dans des ménages français. Dépourvus de venin, ils se nourrissent en s’enroulant de deux tours minimum autour de leurs victimes puis en les comprimant jusqu’à ce qu’elles meurent étouffées. Bien que très efficace, cette technique de prise de nourriture présente deux désavantages majeurs. Premièrement, les boas sont vulnérables aux attaques d’autres prédateurs durant la période de constriction (en moyenne 9 à 16 minutes). Deuxièmement, ce comportement est très énergivore. L’activité du métabolisme aérobie des boas est multipliée par sept durant la neutralisation de la victime (par rapport au niveau de base). Ces serpents doivent donc réduire au maximum la durée de leurs efforts pour augmenter le rapport coût/bénéfice de leurs actions. Mais comment être sûr que la proie est neutralisée ? Les boas perçoivent les battements de cœur des organismes qu'ils enserrent et modulent la pression exercée en fonction des résultats. Ils sont donc capables de mesurer le temps que doit durer la constriction des proies. C’est ce que révèle une étude publiée dans Plos One par une équipe de chercheurs dirigée par Scott Boback, de l’université de Pennsylvanie. Le boa constricteur ausculte sa victime Les scientifiques ont donné des rats morts en pâture à 16 serpents différents. Il y a néanmoins une astuce : les rongeurs ont été équipés d’une pompe contrôlable à distance et qui simule l’activité cardiaque. Des capteurs de pression placés sur les rats complètent le dispositif, afin de mesurer les efforts réalisés par les serpents. Trois situations ont été testées : le cœur artificiel ne fonctionne pas du tout, il est stoppé à la moitié de l’expérience ou il ne s’arrête jamais. Sans battement de cœur, les boas se précipitent rapidement sur les leurres, les entourent et commencent à les écraser. Ils diminuent progressivement la pression dès la fin de la phase de capture. Le tout dure environ 12 minutes, un timing régulièrement observé dans la nature. Les serpents poursuivent continuellement la constriction des rats dont le cœur ne s’arrête pas. De plus, ils exercent régulièrement des pics de pression. Un record a été battu puisqu’un boa a comprimé un appât pendant plus de 25 minutes. Enfin, l’arrêt du cœur en cours d’expérience a toujours été suivi d’une diminution rapide de la pression exercée. Des serpents n’ayant jamais mangé d'animaux vivants ont eu le même comportement. Il serait donc inné. Par contre, les reptiles expérimentés ont géré la manière d’appliquer les pressions sur leurs proies de manière différente. Il est probable qu'ils aient tiré profit des expériences vécues pour perfectionner leurs techniques de constriction. Les battements de cœur sont donc des signaux utilisés par les boas pour rentabiliser au mieux leurs efforts et diminuer le risque de se faire attaquer par d’autres organismes durant la mise à mort des proies. Selon les auteurs de l’étude, cette compétence expliquerait le succès de ce mode de prise de nourriture au cours de l’évolution de ces serpents. Source -
Indonésie: un crocodile tue une fillette DJAKARTA, Indonésie - Une fillette de 10 ans a été tuée et dévorée par un crocodile, en Indonésie. La terrible tragédie s’est déroulée jeudi, alors que la jeune victime, son père et son frère cherchaient des tortues le long d’une rivière. Un crocodile a alors surgi et a sauté sur l’enfant, l’entrainant par la suite dans le cours d'eau. Appelés à la rescousse, des villageois n’ont pu que retrouver des morceaux de vêtements de la fillette. Le mois dernier, un petit garçon avait subi le même sort, près de cette rivière, dans la province du Nusatenggara. De nombreux animaux ont aussi été attaqués par des crocodiles récemment dans le même secteur. Source
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La plus grande acquisition à des fins de conservation depuis plus de 30 ans! Le Centre de la Nature du mont Saint-Hilaire se réjouit de l'acquisition de la propriété Fontaine située à Saint-Jean-Baptiste sur le flanc Est de la montagne. C'est plus de 11 hectares qui seront désormais protégés à perpétuité, le plus grand milieu naturel protégé en piémont depuis plus de 30 ans! Ce milieu naturel, composé en partie d'un ancien verger et d'un écosystème forestier exceptionnel, est l'habitat de plusieurs espèces en péril dont la couleuvre tachetée et la chauve-souris cendrée. Cette dernière acquisition vient s'ajouter à la propriété Therrien limitrophe à celle-ci acquise en juin dernier. Elle abrite notamment la phégoptère à hexagones, une petite fougère rare que l'on retrouve seulement dans six localités au Québec! En acceptant de vendre à rabais leur propriété, la famille Fontaine et Georges Therrien ont donné un réel coup de pouce aux efforts du Centre de la Nature pour la protection des espèces en péril et la conservation du piémont du mont Saint-Hilaire. Le Centre de la Nature tient donc à remercier grandement la famille Fontaine, ainsi que Georges Therrien pour leur générosité et leur participation à la protection de ces milieux naturels d’exception. Merci également aux centaines de membres et visiteurs qui contribuent au fil des ans au Fonds de protection des milieux naturels lors de leur renouvellement d’adhésion, lors de la journée des membres ou lors d’une visite à la montagne. Ce projet a été réalisé avec l'appui financier du Gouvernement du Canada agissant par l'entremise du ministère fédéral de l'Environnement, de la Fondation de la Faune du Québec et de l'Université McGill. L'année 2011 marque un record pour la conservation de milieux naturels en piémont du mont Saint-Hilaire. C'est en effet près de 25 hectares de milieux naturels qui ont été acquis, protégeant ainsi plus de 40 occurrences d'espèces en péril et près de 9 hectares d'écosystème forestier exceptionnel reconnus par le Ministère des Ressources naturelles et de la Faune. Le mont Saint-Hilaire a vu sa superficie protégée augmenter de 2,5 % au courant de l'année 2011, représentant 2,7 millions de pieds carrés de milieux naturels supplémentaires protégés à jamais! Source
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Contact animal Épisode 1 D'incroyables batailles qui se jouent chaque jour dans l'univers minuscule des insectes avec des armes redoutables telles que le poison, les crocs, les mâchoires et les griffes. C'est un combat de tous les jours pour manger et éviter d'être mangé. Ils se cachent dans la forêt, le désert et même dans notre cour. Soyez témoins de leurs affrontements épiques pour survivre grâce à la macro photographie et à l'imagerie vidéo intermittente qui nous montre ces bestioles comme nous ne les avons jamais vues dans leur quotidien. Prochaines diffusions de cet épisode Mardi 24 janvier à 19h00 Jeudi 26 janvier à 13h00 Dimanche 29 janvier à 6h00 Canal D
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Les écolos ont oublié de muscler le gavial Les écolos ont quelquefois de bonnes idées, généreuses et altruistes, les résultats sont hélas souvent piteux et onéreux. Le gavial, (gavialis gangecticus) crocodile fluvial débonnaire au long museau qui ne mange que du poisson est en voie de disparition dans les fleuves himalayens et tout particulièrement au Népal où il vit dans la région de basse altitude du Teraï. De bonnes âmes à la fibre verte se sont préoccupées de son triste sort et ont tenté depuis plus de trente ans de sauver l’espèce en la réintroduisant dans son milieu naturel. Des fonds ont été débloqués pour élever des petits gavials en bassin et les relâcher dans les fleuves une fois suffisamment grands pour qu’ils puissent se débrouiller seuls. Tout le petit monde de la protection de la nature était heureux, satisfait du devoir accompli. Le gavial n’est pas dangereux pour l’homme, son cuir est inutilisable en maroquinerie et il ne se retrouve pas à la table des touristes revenus de trekking dans les montagnes. Hélas, le bout de son museau présente une proéminence cornée appelé gara qui est appréciée des Chinois comme aphrodisiaque, bien moins coûteux que la corne de rhinocéros. Ils avaient pensé à tout, les écolos, même à des programmes de sensibilisation des populations népalaise et une aide à la pisciculture en bassin, histoire de ne pas déranger les gavials avec des filets des hameçons et des harpons. Ils avaient éduqué les pêcheurs népalais au concept du « gavial friendly » à grand renfort de séances de sensibilisation. Ils avaient même demandé aux Népalais de traquer les potentiels braconniers. Mais après trente ans d’effort, les gavials prélevés pour étude étaient bien maigrichons, pire l’animal qui atteignait jadis de 5 à 7 mètres une fois adulte, n’arrivait plus à atteindre cette taille, il crevait jeune ou restait chétif. Alors, à la suite d’un comptage scientifique, les experts ont évalués à mille, le nombre des gavials dans les fleuves népalais, alors qu’ils avaient été réintroduits des centaines, si ce n’est des milliers de jeunes depuis plus de trente ans. La nuisance causée par les Chinois, prédateurs ataviques bien connus dans l’imaginaire occidental et par la pollution népalaise riveraine n’expliquaient pas tout, loin de là. Les jeunes gavials réintroduits dans la nature étaient trop patauds pour arriver à attraper du poisson à contrecourant. Ils mourraient de faiblesse, si ce n’est de faim. On les avait élevés dans des bassins en les nourrissant en leur jetant du poisson comme à de vulgaires saumons d’élevage. Ils ne savaient pas pêcher en eau à écoulement rapide, voire torrentiel. Bref, ils étaient aussi nases que des animaux de cirques relâchés dans la nature. L’erreur magistrale des scientifiques écolos étaient d’avoir remis à l’eau des gavials gringalets, pas assez musclés. Il aurait fallu muscler les gavials ! C’est le mot exact du représentant de la fondation Lacoste, lors des interviews. Malheureusement pour les bestioles, on ne l’a pas fait. A la décharge de ce projet louable, bien plus spectaculaire que la protection du scarabée pique-prune dans les marronniers de la Charente, ce n’est pas du tout évident de muscler un gavial. Il aurait été nécessaire d’élever des jeunes dans une sorte de chenal en pente avec un fort courant pour reconstituer le milieu naturel du sympathique saurien. Inutile de dire qu’en dehors d’obstacles techniques quasi insurmontables, le prix d’une telle initiative aurait coûté bien plus qu’un transfert de deux pandas. Cependant, quitte à dépenser des millions, autant se donner les moyens du résultat escompté. Le recours à des hydrauliciens et à des ingénieurs spécialisés dans la mécanique des fluides devraient venir à bout du problème. Faire une sorte d’Aquaboulevard au Népal dans un torrent reconstitué avec pente, courant, tourbillons et contrecourant est faisable et peut se réserver payant à terme. Mais il faudrait y associer un marketing touristique agressif pour rentabiliser l’opération. Si Paris vaut bien une messe, le Gange, le Kosi, le Narayani et le Karnali valent bien un effort pour le gavial. La marque Lacoste a tout de suite compris que la défense du gavial pouvait la rendre attrayante aux défenseurs de la nature, (et de ce fait doper ses ventes) elle a donc sponsorisé des experts supposés capables de protéger le gavial. En 2009, la campagne « Save your logo » de la marque au crocodile a même intéressé Borloo et Woerth. Il est vrai que Lacoste avait injecté 1.5 million d’euros dans l’affaire. Hélas, elle a continué dans la ligne de protection initiée depuis trente ans comme celle initiée par le FDB, Fonds de Dotation pour la Biodiversité. Lacoste n’a pas réussi à muscler le gavial, mais son action a de quoi plaire aux naïfs, aux amoureux du commerce équitable, aux défenseurs de la nature sauvage, incapables de comprendre que l’alibi écolo est devenu un outil de marketing. Malgré les efforts d’associations et de fondations comme la ferme aux crocodiles, SOS Crocodiles ou autre CEPA, l’avenir du gavial se retrouve plutôt dans des parcs animaliers, zoos et fermes d’élevage comme pour les tigres, les ours ou les loups. La réintroduction dans la nature à proximité des populations semble aléatoire, même en dépensant des sommes astronomiques. La « science » des écolos est souvent du même acabit, onéreuse, irréaliste et totalement à côté des contraintes de la nature et de l’économie, même si elle part de bons sentiments. Le gavial, tout comme toute autre espèce animale mérite d’être protégée, mais faut-il dépenser des millions en pure perte, pour montrer son intérêt porté à la nature ? La plupart des mesures des écolos sont souvent de doux rêves dispendieux réalisés sans préparation ou insuffisamment préparés tout comme de nombreux projets humanitaires, plus vitrine idéologique que véritable objectif de sauvegarde ou de mise en valeur des sites. Trop de professeurs Nimbus exaltés proposent des solutions irréalistes ou trop coûteuse ; cette histoire de gavial n’est qu’un exemple parmi tant d’autres. Source
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Le venin d’araignée contre le cancer ! Des chercheurs australiens ont réussi, grâce à des protéines extraites du venin d’araignée, à stopper la croissance de cellules cancéreuses humaines… injectées à des souris. Il s’agit d’une première étape – importante néanmoins - dans le processus de développement d’un traitement à usage humain. Les toxines contenues dans le venin d’araignée intéressent de longue date les spécialistes, en raison de leur potentiel pharmacologique. En l’occurrence, l’expérience a été conduite par une équipe de l’université du Queensland (Brisbane), qui a administré une protéine spécifique à des rongeurs développant une forme humaine de cancer mammaire. Il s’est avéré que cette substance avait ralenti de 70% la croissance des cellules tumorales « primaires », alors qu’elle s’est révélée encore plus efficace sur le contrôle des métastases. En fait, plutôt que de détruire les cellules cancéreuses, elle en empêche la multiplication ; tout en bloquant la formation de nouveaux vaisseaux sanguins, facteurs de croissance majeur des tumeurs. Les chercheurs, qui intervenaient dans le cadre d’un congrès de l’American Chemical Society, affirment que des essais cliniques pourraient débuter chez l’homme à une échéance pas si éloignée que cela. Source
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« Aucune recherche scientifique menée sur la faune des mangroves », affirme Paul M’lemvo de l’Iccn Dans un entretien avec un confrère de l’Acp, le chercheur à l’Institut congolais pour la conservation de la nature indique également que jusque là, un rapport préliminaire présentant l’identification des espèces des tortues dans les eaux côtières congolaises a été réalisé depuis l’an 2000. Aucune prospection scientifique sur la biodiversité des mangroves de la RDC et ses environs n’a été encore menée jusqu’ à ce jour, dans ce pays, a indiqué M. Paul M’Lemvo, chercheur à l’Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN), dans un entretien jeudi avec un journaliste de l’ACP. Seul, un rapport préliminaire présentant l’identification des espèces des tortues dans les eaux côtières congolaises a été réalisé depuis l’an 2000, a-t-il dit. Selon ce spécialiste, quelques données fauniques signalent les macro–invertébrés : des crabes et des crevettes, tandis que pour des poissons : des barracudas, capitaines, perches grises, requins, et soles ; pour les reptiles, on y dénombre des crocodiles, varons, serpents et trois espèces de tortues marines qui viennent pondre pendant la saison des pluies, entre les mois d’octobre et de février , sur la plage de la côte Atlantique, dans tous les 40 kilomètres de celle-ci. Il s’agit de la tortue olivâtre (lépidochelys olivacea), de la tortue verte (Chelonia mydas) et de la tortue luth (dermochelys coriacea). Cette faune herpétologique est fortement braconnée à cause de sa valeur économique. En effet une tortue à carapace osseuse, affirme le chercheur, est vendue à 45.000 Francs congolais, soit 50 USD, tandis que la tortue luth peut coûter au-delà du montant précédent. Quant à la faune aviaire, elle est représentée par le héron cendrée, le héron Goliath, la cigogne, l’ombrette, le canard et la pintade. Chez les mammifères, signale le rapport sur la prospection biologique et socio économique effectuée du 22 novembre au 8 décembre 2004, au Parc marin des mangroves (PMM) par une équipe de l’ICCN dirigée par M. M’Lemvo, également assistant au sein du système de l’information des aires protégées (SYGIAP), on observe l’hippopotame, le buffle, le sitatuga, le potamochère, des singes dorés et céphalophes et des aulacodes. L’espèce phare des mangroves Le Lamentin aquatique, espèce phare du Parc marin des mangroves, est donc emblématique. Il est le symbole de cette aire protégée. Il justifie même la création du parc, renseigne Paul M’Lemvo. Selon lui, ce mammifère peut consommer 60 kilogrammes de jacinthe d’eau par jour, contribuant ipso facto, sur le plan écologique, à l’élimination de cette peste aquatique qui colonise excessivement les plans d’eau. Espèce à valeur économique, le Lamentin aquatique est fort menacé d’extinction par le braconnage. Il fait partie de l’ordre de proboscidiens qui ont apparu à l’ère tertiaire, il y a environ 50 millions d’années, a-t-il rappelé, avant de noter qu’il est l’un des derniers mammifères représentants des mammouths. La préservation du Parc marin des mangroves dépend résolument de réponses aux problèmes liés à la conservation de cet écosystème exposé la croissance rapide de la cité côtière de Moanda, situé à environ 600 kilomètres de Kinshasa, estime le chercheur Paul M’ Lemvo. Pour sa part, l’éducation et la sensibilisation du public, des populations riveraines, ainsi que des autorités provinciales sur les activités alternatives génératrices des revenus et l’octroi des micros crédits aux populations dépendant de cette aire protégée doivent impérativement être pris en compte dans la mise des stratégies à appliquer pour la conservation et la préservation des écosystèmes côtières. ACP Source
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Salon des reptiles de Québec 2012, 11 février
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Exposition de reptiles de Sherbrooke 22 janvier 2012
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RDC : un appel à la protection de tortues marines du parc des Mangroves KINSHASA (Xinhua) - L'Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN) a lancé jeudi un appel pour la protection des tortues marines chassées de plus en plus par la population riveraine, dans le parc marin des Mangroves, au Bas- Congo (côte atlantique à l'ouest). Selon M. N'Lemvo, chercheur à l'ICCN, une étude d'identification et une opération de marquage de ces tortues s'imposent car cette faune herpétologique à carapace osseuse attire la population puisqu'elle peut facilement coûter 50 USD tandis que la tortue luth, dermochelys coriace peut être vendue à 70 USD. Le Parc marin des mangroves qui a la charge d'assurer la protection du biotope spécial du littoral atlantique, le lamantin, la tortue et la forêt des mangroves à palétuviers, est dépourvu, depuis sa création en 1992, d'équipement adéquat devant permettre de faire l'inventaire de la faune et de la flore de cette réserve. Les responsables de ce site déplorent également le manque de moyens financiers devant permettre l'exécution du programme des activités sur le terrain face aux pressions anthropologiques importantes ainsi que l'identification et le dénombrement des espèces d'oiseaux en vue de dresser une liste définitive de l'avifaune de la réserve et de fournir des données biologiques viables. Pour le scientique congolais N'Lemvo, la mise en valeur du parc constituerait la base pour la participation de la RDC au plan d'action pour la protection du milieu marin et des zones côtières de la région de l'Afrique de l'Ouest et du Centre. L'intervention dans ce plan porterait entre autres sur la lutte contre les érosions, la formation du personnel dans le domaine spécialisé de la conservation des zones humides et des tortues marines pour une bonne gestion de ressources vivantes de la réserve ainsi que sur l'inventaire de principales sources émettrices des polluants industriels et domestiques. Il a souligné qu'il est souhaitable, pour comprendre les particularités de la gestion d'une zone marine et côtière, que le gouvernement de la RDC mette en oeuvre une stratégie pour la formation du personnel technique et scientifique en la matière, notamment l'éducation méthodologique et la sensibilisation du public à la question de la préservation de l'écosystème des mangroves. Le Parc marin des Mangroves a rappelé Paul N'Lemvo, a été créé à la suite des études menées par des experts de l'UNESCO et du gouvernement de la RDC. Le site s'étend sur une superficie de 66. 000 ha et sur une bande côtière de 40 km zone de ponte. Le site est inscrit sur la liste des sites de la Convention relative aux zones humides d'importance internationale. Source
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Panique dans la presqu’île d’Ubwari du Lac Tanganyika
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Panique dans la presqu’île d’Ubwari du Lac Tanganyika où des crocodiles et des hippopotames créent l’insécurité Les habitants des localités Katanga, Nemba et Kazimia dans la presqu’île d’Ubwari sur le Lac Tanganyika au nord de la province du Katanga vivent ces derniers temps dans l’insécurité causée par des attaques principalement des piroguiers par des crocodiles et des hippopotames Des crocodiles et des hippopotames créent l’insécurité au lac Tanganyika où la presqu’île d’Ubwari est la grande victime avec ses villages de Katanga, Nemba et Kazimia. A Katanga, les piroguiers et leur embarcation sont renversés par ces sauriens. A Nemba, les cultures champêtres sont ravagées par les pachydermes tandis qu’à Kazimia, la population n’ose plus se rendre au Lac pour prendre le bain. Dans cette localité, une femme s’est vue arracher le sexe avant d’être acheminée dans un centre de santé pour des soins appropriés. Il y a quelques jours, un agent du service de tourisme a été happé par un crocodile alors qu’il prenait son bain. ACP Source