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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
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Exposition de reptiles à Trois-Rivière le 26 novembre 2011
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Expositions et activités
Une journée incroyable aujourd'hui même si on n'a pas eu une tonne de visiteurs. Je n'ai pas réussis à avoir le nombre exact mais c'est autour de 400 visiteurs au total ce qui est quand même bien pour une petite ville. J'avais une équipe incroyable avec moi. Nicholas qui m'accompagnait pour une deuxième fois, Stéphanie (Bella) que vous avez vu m'accompagner à Montréal et St-Jean-sur-Richelieu depuis quelques années et Émilie qui vivait sa première expérience d'exposition et qui voulait tant voir mon gargoyle gecko. Je ne pouvais pas avoir meilleure équipe. Je crois qu'Émilie a aimé sa première expérience. On a eu qu'un petit problème de lumière dans l'après midi sinon toute la journée s'est bien passé. Je passais juste vous parler de la journée et des photos suivront plus tard. -
Certains dinosaures se nourrissaient bien d'oiseaux
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Certains dinosaures se nourrissaient bien d'oiseaux Publiant leur étude dans PNAS, des chercheurs chinois ont découvert les restes fossilisés d’un oiseau insérés dans ceux d’un dinosaure, le premier ayant été dévoré par le second : de précieuses indications sur le régime alimentaire de certains de ces reptiles, et sur leurs mœurs parfois arboricoles. Déterminer comment les dinosaures vivaient comporte évidemment une part de spéculation. Certaines découvertes ne laissent en revanche, aucun doute et apportent de précieuses informations. C'est ainsi le cas de celle qu'a faite Jingmai O'Connor, Zhonghe Zhou et Xing Xu, chercheurs à l'Académie des Sciences chinoise. En effet, ces scientifiques ont trouvé une preuve étonnante du fait que certains dinosaures mangeaient des oiseaux : ils ont découvert en Chine les restes d'un volatile emprisonné dans ‘l'estomac’ d'un reptile prédateur, tous deux fossilisés. Les os de cet oiseau de petite taille, appartenant au groupe (éteint) des Enantiornithes, se sont conservés à l'intérieur de la cage thoracique d'un Microraptor – un dinosaure ressemblant lui-même à un oiseau. Or, jusqu'ici, si les chercheurs avaient déjà émis une telle hypothèse, c'est la première fois qu'ils trouvent une preuve réelle avec ces deux fossiles datant du Crétacé (65 à 145 millions d’années). Par ailleurs, la proie étant connue des paléontologues pour avoir eu des mœurs arboricoles, les découvreurs en concluent qu’il devait en être de même pour le prédateur. Source -
Un serpent dans la maison ! Certaines espèces de serpents peuvent mesurer jusqu’à 3 mètres de long à l’âge adulte, et la durée de vie de ces reptiles peut atteindre 20 à 30 ans… Considéré comme un nouvel animal de compagnie (NAC), le serpent n’est donc vraiment pas un animal domestique comme les autres. Quelle espèce choisir pour débuter ? Dans quel type de vivarium l’installer ? Que lui donner à manger ? Et comment prendre soin de sa santé ? Toutes les réponses. Projetez-vous sur la taille adulte. Aujourd’hui en France, il est en principe impossible de se procurer un serpent dangereux – ou susceptible de le devenir à l’âge adulte - sans produire un document délivré par l’administration : le certificat de capacité pour l’entretien d’animaux d’espèces non domestiques. Autrement dit, vous ne pourrez donc pas vous offrir dès votre premier achat les gros serpents que sont le Python Molurus ou le Morelia Amethistina. « C’est effectivement rassurant », souligne le Dr Jean-Marie Péricard, président de l’Association française des Vétérinaires pour Animaux de Compagnie. A ses yeux, « il est malgré tout primordial de bien avoir en tête au moment de l’achat, la taille qui sera celle du serpent, à l’âge adulte ». Les espèces les plus courantes pour les débutants sont de petites couleuvres comme les elaphe guttata guttata. Voire les pythons royaux, qui peuvent tout de même mesurer jusqu’à 1,50 mètre… Agencer le vivarium. La taille de l’installation est primordiale bien sûr, mais d’autres critères ne doivent pas être négligés. Veillez ainsi aux agencements intérieurs. Renseignez-vous au préalable sur le mode de vie de l’animal. Il a l’habitude de grimper ? « Il lui faudra un vivarium en hauteur avec des branches ou d’autres éléments sur lesquels il pourra s’installer », explique le Dr Péricard. Prévoyez aussi un endroit abrité, et un autre dans lequel il pourra faire trempette. La température du vivarium aussi est fondamentale. « En général, elle se situe aux alentours de 25°C à 30°C, selon les espèces. Mais elle ne doit pas être uniforme. Le serpent choisit souvent ses emplacements en fonction de ce paramètre », poursuit le vétérinaire. Il ajoute également, que « le vivarium doit être nettoyé régulièrement pour ôter les déjections et éventuellement, les restes de mue ». Une alimentation aux petits oignons. Et bien sûr, les repas ont une grande importance… « Les serpents sont des mangeurs de proies. Or la proie est théoriquement rare. Les aliments ne doivent donc pas être en permanence à disposition. L’animal doit avoir envie de chasser. Il bouge beaucoup, multiplie ses va-et-vient. Nourrissez-le. Une fois par semaine suffit généralement ». Aux plus gros spécimens, vous donnerez de préférence des rongeurs comme des souris ou des mulots. Des insectes suffiront pour les autres. Vous en trouverez facilement en animalerie. Quand consulter le vétérinaire ? Plusieurs signes doivent motiver une consultation. Le Dr Péricard cite particulièrement une anorexie prolongée, « de plusieurs semaines ». Surveillez aussi la peau de l’animal à la recherche d’éventuelles lésions, ainsi que ses dents. « S’il conserve sa bouche légèrement entre-ouverte ou si vous constatez des infections au niveau des dents, un vétérinaire doit le voir ». Il en va de même - enfin, si sa respiration devient sifflante. Source : Interview du Dr Jean-Marie Péricard, 24 novembre 2011 Source
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Un serpent venimeux retrouvé à Château-Thierry Par Jennifer Alberts Un serpent corail a été découvert hier en pleine rue à Château-Thierry. Il s'était caché dans un trou du bitume. Un serpent corail a été capturé hier par les pompiers après 2 heures de tentative. L'animal s'était refugé dans une cavité au pied du portail électrique d'une habitation, avenue de Montmirail. Pour capturer le reptile, terré dans le trou, les pompiers ont du utiliiser une caméra endoscopique. Un ado de 40 cm Cette espèce vit généralement en Afrique du Sud. Terriblement dangereux, le venin de cet animal peut être neutralisé par un sérum qui ne se trouve que dans 2 hôpitaux en France: Paris et Angers. Mesurant environ 40 cm, le spécimen n'est pas encore adulte mais n'est déjà plus un bébé. Son espèce est suffisamment venimeuse pour que l'individu soit conduit dans une animalerie spécialisée. Il a ensuite été pris en charge par les services de l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage. Par ailleurs, l'ONCFS, associé aux policiers de Château-Thierry, enquêtent sur la provenance de ce serpent corail et surtout si un lien existe entre cette capture et celle effectuée il y a moins d'un mois à quelques mètres de là. Un certificat de capacité Il y a un peu moins d'un mois, un cobra d'Asie a en effet été découvert à l'intérieur d'une maison, derrière la grille d'un réfrigérateur. Le serpent corail comme le cobra d'Asie sont des espèces dont la possession nécessite la délivrance par les services vétérinaires d'un certificat de capacité pour espèces venimeuses. Mise en danger de la vie d'autrui Dans le voisinage, un homme est connu pour posséder ce genre de NAC (nouveaux animaux de compagnie). Entendu hier par les forces de l'ordre, il a nié être le propriétaire des 2 serpents fugueurs Relâché à la fin de sa garde à vue, rien n'est pour l'heure retenu contre lui. Si le propriétaire des 2 serpents était retrouvé, et qu'il était avéré qu'il n'a aucune autorisation de posséder ces animaux, il pourrait être poursuivi pour détention d'espèce classée. Et s'il s'est débarassé volontairement des reptiles, il pourrait être accusé de mise en danger de la vie d'autrui Source
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Présentation à la maison des grands-parents de Trois-Rivières
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Expositions et activités
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Environnement: extension majeure des zones naturelles protégées en Europe Natura 2000, le réseau de zones protégées de l'Union européenne, vient d'être sensiblement élargi. Près de 18 800 km² ont été ajoutés, dont une superficie importante de zones marines couvrant 17 000 km², ce qui renforcera la protection de nombreuses espèces marines menacées. Le réseau porte désormais sur près de 18 % du territoire terrestre de l'Union européenne, et plus de 145 000 km² de ses mers et océans. Les principaux pays concernés par cette nouvelle extension sont le Royaume-Uni, la France, la Belgique, la Grèce, Chypre, la Hongrie, la Lituanie et l'Italie. Natura 2000 est la pièce maîtresse de la panoplie d'instruments dont s'est dotée l'Europe pour mettre fin à l'appauvrissement de la diversité biologique et sauvegarder les services écosystémiques. Janez Potocnik, membre de la Commission chargé de l'environnement a déclaré à ce propos: « Natura 2000 est, à l'heure actuelle, l'un des instruments les plus efficaces dont l'Europe dispose pour lutter contre la perte de la biodiversité, et son rôle est essentiel dans la stratégie que nous menons pour préserver notre patrimoine naturel. Je me félicite en particulier de l'augmentation de la couverture des mers européennes parmi les zones protégées: la protection de l'environnement marin de l'Europe et de ses caractéristiques uniques n'a jamais été plus importante.» Natura 2000 est un vaste réseau de zones naturelles protégées, destiné à garantir la survie des espèces et des habitats les plus précieux et les plus menacés en Europe. Ce réseau comporte environ 26 000 sites, et la dernière extension y a ajouté 166 nouveaux totalisant près de 18 800 km². Plus de 90 % de cette superficie supplémentaire sont constitués de sites marins (17 000 km ²), principalement au Royaume-Uni, mais également en France, en Belgique, en Grèce, à Chypre et en Italie. Les nouveaux sites marins offriront un refuge vital à un grand nombre d'espèces parmi les plus rares et les plus menacées d'Europe. Parmi les ajouts britanniques dans l'océan Atlantique figurent neuf récifs d'eau froide, notamment des récifs au large de l'île de Rockall, qui constituent des foyers de biodiversité accueillant coraux, araignées de mer et de nombreuses espèces qui, à ce jour, ne portent pas encore de nom. Dans la région de la Méditerranée, les nouveaux sites renforceront la protection d'espèces emblématiques telles que la tortue verte ( Chelonia mydas ), la tortue caouanne ( Caretta carett a) et le phoque moine de Méditerranée ( Monachus monachus ), qui jouent un rôle clé dans les écosystèmes qui les abritent. Ces extensions amélioreront également la protection d'une série d'habitats terrestres précieux, notamment des tourbières en Lituanie, des plaines de sel en Hongrie et des pelouses calcaires en Italie et à Chypre. L'adoption de ces décisions par la Commission marque une étape importante vers la finalisation de la mise en place du réseau Natura 2000 d'ici à 2012, une activité clé parmi la série de propositions adoptées par la Commission cette année dans le cadre de la nouvelle stratégie de l'UE en faveur de la diversité biologique. Contexte Natura 2000 est un réseau de zones protégées, formé par des zones spéciales de conservation instituées au titre de la directive «Habitats» de l'UE et de zones de protection spéciale établies au titre de la directive «Oiseaux» de l'UE. Natura 2000 ne constitue pas un carcan: les activités telles que l'exploitation agricole, le tourisme, la sylviculture et les loisirs restent autorisés dans les zones faisant partie du réseau, pour autant qu'elles soient pratiquées de manière durable et en harmonie avec le milieu naturel. Les sites Natura 2000 établis conformément à la directive «Habitats» sont choisis par les États membres en collaboration avec la Commission. Une fois sélectionnés, ils sont officiellement reconnus par la Commission comme «sites d'importance communautaire», comme cela s'est produit aujourd'hui. Le statut officiel des sites se trouve ainsi confirmé et l'obligation de les protéger consolidée. Les États membres disposent ensuite d'une période de six ans pour mettre en place les mesures de gestion nécessaires et pour désigner les sites comme zones spéciales de conservation. La dernière extension concerne quinze États membres et augmente de 166 le nombre des «sites d'importance communautaire». Les ajouts opérés récemment couvrent six régions biogéographiques - la région alpine, la région atlantique, la région boréale, la région continentale, la région méditerranéenne et la région pannonienne. Les zones protégées sont très diverses, puisqu'elles comprennent aussi bien des prairies florifères que des réseaux de grottes et des lagunes. Les neuf régions biogéographiques du réseau reflètent la grande variété de la biodiversité de l'Union européenne. La biodiversité - ressource limitée qui reflète la variété de la vie sur Terre - est menacée. Du fait des activités humaines, les espèces disparaissent à un rythme sans précédent, ce qui a des conséquences irréversibles pour notre avenir. L'Union européenne lutte pour enrayer cette évolution, et s'est récemment fixé pour objectif de mettre un terme à l'appauvrissement de la diversité biologique d'ici à 2020, de protéger les services écosystémiques comme la pollinisation (et de les rétablir là où ils ont subi des détériorations) et de renforcer la contribution de l'UE à la prévention de la perte de biodiversité au niveau mondial. Natural 2000 est un instrument essentiel indispensable pour réaliser cet objectif. Source
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80 bébés tortues ont quitté leur nid de sable à St-Leu
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
80 bébés tortues ont quitté leur nid de sable à St-Leu Victimes du braconnage et de la pollution, les tortues vertes avaient cessé durant une longue période de pondre sur les plages de l’île. Mais grâce au travail des scientifiques notamment, ces animaux marins se font plus présents aux abords des côtes réunionnaises. Depuis sept ans, 2000 naissances de tortues vertes ont été enregistrées pour le département de la Réunion. A la ferme Kélonia, la plage du centre de soins reproduit les conditions optimales pour la reproduction des tortues. Les embryons enfouis à 70 cm de profondeur se développent dans le sable. Au bout de quelques temps, les bébés tortues émergent vers la surface. En milieu naturel, les bébés tortues qui ne pèsent que 25 grammes en moyenne, survivent grâce à une nage "réflexe". A peine sorties de leurs coquilles, les petites tortues cherchent à s'éloigner des côtes et se protéger des assauts des prédateurs. Ces jeunes populations disposent de ressources physiques importantes. Les bébés tortues peuvent en effet nager durant quatre jours entiers, sans interruption. A la ferme Kélonia à Saint-Leu, l'équipe scientifique mène plusieurs études sur le comportement de ces animaux marins. ce lieu ouvert au public fait également figure de nurserie et d'hôpital pour les tortues. Plusieurs bébés ont vu le jour récemment. Lorsque ces petites tortues vertes sont sorties de leur nid de sable, les spécialistes de la ferme Kélonia les ont placé dans des bassins afin de leur prodiguer les meilleurs soins, avant de les rendre à l'immensité de l'océan. Relâchés à la mer, les bébés tortues nageront pendant plusieurs jours avant de se laisser dériver au gré des courants. Comme l'explique le Directeur de la ferme Kélonia, "c'est à ce moment que les bébés tortues commenceront à se nourrir d'animaux planctoniques", autrement dit d'oeufs de poissons, de larves de crevettes. Chez les tortues, le taux de mortalité à la naissance est très élevé. En moyenne, un seul bébé tortue sur 500 atteint l'âge adulte et revenir pondre sur la plage où il est né. Source -
Canada : un fossile de plésiosaure découvert Une opératrice de pelle mécanique a découvert un fossile "presque complet" de plésiosaure, un reptile marin, dans une mine de sables bitumineux de l'ouest canadien, a annoncé jeudi le consortium pétrolier canadien Syncrude. Le fossile mis au jour le 14 novembre est actuellement examiné sur place par des experts du musée canadien de paléontologie Royal Tyrell, qui espèrent avoir fini de le déterrer d'ici la fin de la semaine, a indiqué Syncrude dans un communiqué. "C'est une découverte rare. C'est un plésiosaure, un reptile marin avec un long cou, une petite tête et un petit corps", a déclaré le conservateur du musée Tyrell, Don Brinkman. "Le dernier a été découvert il y a dix ans. Il s'agissait d'une nouvelle espèce qui a été nommée Wapuskanectes. Nous espérons qu'il s'agit d'un autre spécimen de cette sorte de plésiosaure. Le nouveau spécimen est particulièrement important puisqu'il semble presque complet", a-t-il ajouté. Les sables bitumineux de l'Alberta, troisième réserve de pétrole de la planète, sont situés dans une région jadis recouverte par une mer. Source
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Exposition de reptiles à Trois-Rivière le 26 novembre 2011
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Expositions et activités
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Nous demandons la restitution des biens et restons vigilants
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Nous demandons la restitution des biens et restons vigilants C’est une confirmation heureuse et qui fait du bien. Le tribunal a validé plusieurs points, notamment que l’on ne pouvait raser un bois classé, ni toucher à la grenouille agile, une espèce protégée au niveau européen. Ou que l’extension du site de stockage se trouvait à proximité d’une route à grande circulation. Ces réserves étaient exprimées dans l’enquête publique. Mais l’avis favorable avait été rendu à la surprise générale. Résultat : on a expulsé des gens, on les a mis dans une situation personnelle et émotionnelle difficile. Des travaux ont déjà été réalisés. Je suis sidérée qu’Organom ait procédé ainsi, sachant qu’il y avait une procédure en cours. Aujourd’hui, nous demandons la restitution des biens. Tout cela nous l’avons dit il y a trois ans. On n’a pas voulu nous écouter. Heureusement que la population est restée mobilisée. Elle le restera. Nous sommes très prudents et très vigilants pour la suite des événements. Source -
Passion grandissante
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Général
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Une grenouille “disparue” saute à nouveau dans le nord d’Israël
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Une grenouille “disparue” saute à nouveau dans le nord d’Israël Omri Gal, du Département de la Nature et des Parcs, annonçait jeudi que la Grenouille Peinte du Hula, que l’on croyait éteinte, a été observée la semaine dernière, pour la première fois depuis 50 ans. “C’est une découverte incroyable, nous avons maintenant une deuxième occasion de préserver l’espèce.” “Comme de tenir l’histoire dans sa paume” (Photo: Avihou Shapira) La grenouille est originaire de la vallée de Hula, un marais drainé dans les années 50 pour combattre le paludisme. Elle a été détectée par l’inspecteur Yoram Malka, du Département de la Nature et des Parcs, alors qu’il suivait des pélicans dans la vallée de Hula. Tout en conduisant son 4×4, il a soudainement remarqué un petit animal sautillant sur la piste. “Sa couleur foncée a attiré mon attention”, déclare-t-il à Ynet avec enthousiasme. “Ce n’est pas quelque chose de courant, et je connais bien les espèces d’amphibiens dans cette réserve. “Je l’ai tenue gentiment dans ma main et l’ai mise sur le ventre. Quand j’ai vu toutes les taches blanches, j’ai réalisé que j’avais quelque chose de très rare en main … un peu comme de tenir l’histoire dans sa paume. Malka a alerté le directeur de la réserve naturelle de Hula, afin d’examiner la surprenante découverte. Les deux ont été stupéfaits de réaliser qu’il avait trouvé l’un des amphibiens les plus rares au monde, espèce déclarée “éteinte dans la nature” en Israël dans les années 50. Cette espèce, Discoglossus nigriventer, avait été découverte par le professeur Heinrich Mendelssohn et le professeur Heinz Steinitz dans les années 40, et l’on en sait peu sur elle. C’est une grenouille de taille moyenne, endémique à la région marécageuse de Hula. L’écologiste aquatique Dana Milstein précise que la grenouille était déjà rare à l’époque. Dans les années 1940, un spécimen en avait mangé une autre, laissant à penser que l’espèce serait cannibale. Elle met l’observation de cette grenouille sur le compte de la réhydratation de la région et indique qu’il est probable qu’il y en ait d’autres dans la réserve. Traduit par Nitzotz pour JSSNews – Article original d’Erez Erlichman pour le Yediot Ahronot et AP Source -
Un fossile exceptionnel de mosasaure, reptile disparu
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Un fossile exceptionnel de mosasaure, reptile disparu Publiée le 16 novembre par une équipe suédoise dans la revue PLoS ONE, l’étude du fossile d’un mosasaure, présentant encore des restes d’écailles et de tissus mous, jette une nouvelle lumière sur l’adaptation au milieu aquatique de ces reptiles marins, aujourd’hui disparus. Une équipe dirigée par Johan Lindgren, de l’Université de Lund, en Suède, a étudié le fossile d’un reptile marin du groupe des mosasaures (qui vivaient entre -65 et -98 millions d'années), découvert dans l'ouest du Kansas, couvert, à l’époque, par une mer peu profonde. Les écailles et les traces de peau qui – fait rarissime – ornent encore ce fossile en excellent état, permettent de mieux percevoir le degré d'adaptation au monde aquatique que l’animal avait atteint. Celui-ci était en mesure de minimiser les frottements de son corps dans l'eau. Son avant-train, plutôt rigide, le rendait dépendant de l'arrière du corps et de la queue pour la propulsion. Selon le Dr Lindgren, cette étude fournit des aperçus uniques sur la biologie d'un groupe éteint de lézards marins qui se sont adaptés aux milieux aquatiques de façon similaire à celle qui caractérise leurs prédécesseurs les ichtyosaures ("poissons-lézards") et leurs successeurs les cétacés. Ces résultats peuvent aider à la compréhension de la façon dont ces animaux, à l’origine terrestres, se sont finalement transformés en créatures pélagiques dans un laps de temps relativement court, à l’échelle géologique. Source -
Un serpent exotique capturé Rencontre insolite, jeudi, en fin d'après-midi, dans un immeuble ancien de la rue Saint-Laumer : un des occupants est tombé nez à nez avec un petit serpent lové sur le palier. Le reptile, manifestement transi de froid, a été facilement capturé et remis en douceur aux sapeurs-pompiers qui l'ont ensuite confié à un éleveur de serpents installé en Vienne. Ce dernier nous a indiqué qu'il s'agissait d'un jeune élaphe guttata ou serpent des blés, un reptile très fréquemment vendu en animalerie. S'est-il échappé de son terrarium ou son propriétaire l'a-t-il volontairement relâché ? La question reste sans réponse. C'est la seconde fois qu'un serpent des blés est capturé dans le département. Source
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Vendredi dernier, le 18 novembre 2011, je suis allé faire encore une présentation de reptiles pour des enfants dans le secteurs de Trois-Rivières. C'est une amie, qui y travaille, qui m'a demandé de venir. Ça été une grosse journée puisque j'avais un rendez-vous avec mon médecin et ensuite, je devais être là-bas pour 9h. J'ai vécu beaucoup de stress dernièrement, je me sentais plus ou moins apte à y aller mais quoi de mieux qu'une journée avec des enfants et des reptiles pour retrouver le sourire. J'ai été agréablement surpris. Ok mon amie est jeune mais le reste des personnes qui étaient responsables là-bas sont quand même âgés et ils ont été aussi intrigué que les enfants face aux reptiles. Ils ont posé beaucoup de questions autant les adultes, que les enfants. Ça été un groupe formidable qui se classe parmi mon top 5 des meilleurs groupe et ils sont peut-être même en tête. Ils ont bien écouté tout le long et les reptiles étaient tous et chacun un émerveillement aussitôt qu'ils le voyaient. Ils ont été calme durant un bon trois heures consécutifs pour apprendre sur ce monde fascinant qu'est les reptiles. On m'a ensuite demandé de rester avec eux pour l'après-midi. Après avoir laissé les enfants se défouler à l'extérieur, nous sommes entrés pour des activités connexe à ce qu'ils ont vécu ce matin. Les grands-mamans présentent ont fait avec les enfants des serpents en cuisine. Prenez une recette de carrés aux rices krispies et travaillez les pour faire des serpents en ajoutant des smarties pour décorer l'animal. C'était merveilleux à voir. Ils ont aussi fait des peintures sous le thème des reptiles et je dois avouer que certains ont du talent. Je n'ai malheureusement pas de photos du résultats de la cuisine et des peintures mais je vous montre quand même quelques photos de ma présentation qui ont été prises par mon amie Émilie. À la fin de cette journée, cette petite semblait tellement en admiration face à moi c'était fou. Voici l'une des grands-mamans qui a démontré qu'elle était courageuse même si elle était complètement séduite par Luis. Ce fut, une journée merveilleuse!
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Passion grandissante
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Des scientifiques dévoilent le mystère du saut des grenouilles
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Des scientifiques dévoilent le mystère du saut des grenouilles En filmant des grenouilles au ralenti, des scientifiques de l'Université Brown aux États-Unis, sont parvenus à mettre en évidence les mécanismes musculaires interagissant dans le saut des amphibiens. De manière générale, les cuisses d’une grenouille représentent près d’un quart de sa masse corporelle totale. Si cette proportion est relativement conséquente, elle n’est toutefois pas suffisante pour rendre compte de la hauteur record à laquelle l’amphibien réalise ses sauts. Pour lever le voile sur le mystère de la performance spectaculaire de ces bonds, des scientifiques américains de l’Université Brown ont filmé au ralenti des grenouilles taureau en action. Les séquences expérimentales ont été réalisées à partir d’appareils photos, capables de capturer 500 images par seconde dans des longueurs d’onde visibles et dans les rayons X. Grâce à ce protocole, les chercheurs sont parvenus à retracer chaque mouvement, intérieur et extérieur de l’animal. Les résultats, publiés dans la revue Biology Letters révèlent que le secret du saut de la grenouille réside dans le comportement élastique de ses tendons régissant la performance. Juste avant de s’élancer, l’amphibien contracte les muscles de ses mollets puis étire au maximum ses tendons pour charger le reste de l’énergie. Ce n’est qu’une fois ses pieds hors du sol, qu’il libère l’énergie de ces tendons qui viennent alors s’enrouler autour de l’os de la cheville. Ce processus agit de la même manière qu’une catapulte, permettant ainsi à l’animal de bondir dans les airs à des hauteurs beaucoup plus importantes que celles permises par sa physiologie. "Pour la première fois, nous avons vraiment compris le fonctionnement interne du saut de la grenouille dans son ensemble”, souligne au Dailymail Henry Astley, membre de l’étude avant de conclure : "nous avons maintenant une idée plus précise de ce qu’il se passe". Source -
Deux trucs amphibies Basil Burgess et Sylvie Lachapelle ont croisé deux trucs amphibies en prenant une marche à Châteauguay la semaine dernière. Une salamandre et une auto ! Le reptile reposait dans le parc de la Commune à Châteauguay. «C'est la première fois que je vois ça. Sur le coup, je pensais que c'était un jouet», a dit M. Burgess. «C'était noir et brillant. Ça avait l'air d'être en caoutchouc», a renchéri Mme Lachapelle. À la lueur de la photo fournie par les promeneurs, Dominic Gendron, d'Héritage Saint-Bernard, a indiqué qu'il s'agissait probablement d'une Salamandre à points bleus. Une espèce relativement commune au refuge Marguerite-D'Youville et même la seule répertoriée à ce jour dans l'île Saint-Bernard, a-t-il précisé. «Par contre, on retrouve beaucoup de Salamandres cendrées dans les secteurs plus boisés du corridor vert Châteauguay-Léry comme le Centre écologique Fernand-Seguin.» Concernant la voiture amphibie, elle a été aperçue dans l'entrée d'une maison avec une affiche à vendre. La reporter web Cynthia Laflamme a rencontré le propriétaire de cette curiosité qui ne court pas les rues. Son texte dans cette page et son reportage vidéo au cybersoleil.tv. Source
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Frecq - Fraternisation des reptiles en captivité du Québec
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Le Zoo Ecomuseum recherche des guides naturalistes
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Le Zoo Ecomuseum recherche des guides naturalistes Vous aimez les animaux, la nature et les enfants? Le zoo Ecomuseum de Sainte-Anne-de-Bellevue a besoin de vous. L'organisme à but non lucratif recherche des guides naturalistes bénévoles qui animeront des visites guidées pour les visites scolaires. Les intéressés doivent d'abord être membre ou devenir membre du zoo pour suivre les cours qui seront donnés gratuitement. En tout, 30 heures de formation seront offertes par des zoologistes chevronnées. «On invite les gens à venir à la séance d'information le 15 décembre pour en apprendre un peu plus sur ce que ça implique, les cours. C'est une belle opportunité d'en apprendre plus sur les animaux», souligne la directrice des communications, Isabelle Mayer. La date limite pour les inscriptions au cours est le 4 janvier. Les cours commenceront quant à eux le 11 janvier. Une fois le cours réussi, les nouveaux guides pourront commencer à pratiquer dès la fin mars. Les bénévoles animeront les visites guidées qui se font de jour et en semaine. «Comme on est ouvert 364 jours par année ça fait quand même beaucoup de jours à combler. En même temps, les gens qui aiment la nature et qui ont un peu de disponibilité, c'est toujours super intéressant pour eux d'avoir cette formation donnée par des experts», ajoute Mme Mayer au journal Cités Nouvelles. Les différentes visites guidées seront surtout données à des groupes de jeunes de niveau primaire, mais aussi de niveau préscolaire et secondaire. Rappelons que le zoo Ecomuseum est exploité par la Société d'histoire naturelle de la vallée du Saint-Laurent, un organisme sans but lucratif dont la mission est centrée sur l'éducation, la recherche et la conservation appliquée. Situé au 21 125 chemin Sainte-Marie, le zoo est unique en son genre du fait qu'il permet aux visiteurs de découvrir des animaux du Québec, plusieurs encore méconnus. De plus, le zoo Ecomuseum est l'un des zoos les plus actifs dans la province en termes d'éducation auprès des jeunes et des moins jeunes, entre autres par le biais de ses présentations dans les écoles et sur le site ou encore de ses activités spéciales grand public. Le zoo Ecomuseum compte des guides naturalistes bénévoles depuis son ouverture en 1988. Pour l'instant, 36 guides naturalistes bénévoles s'activent au zoo. Les personnes intéressées à devenir guide naturaliste peuvent contacter la gestionnaire des services administratifs, Karine Bélanger, au 514-457-9449 ou via courriel au karine.belanger@ecomuseum.ca Source -
Toujours plus de menaces sur les amphibiens De multiples facteurs menacent la diversité des amphibiens et ces menaces peuvent se chevaucher dans les zones les plus sensibles. Considérés comme des organismes sentinelles, les amphibiens (grenouilles, salamandres, tritons…) en raison de leur grande sensibilité aux polluants et aux modifications de leur habitat connaissent une importante diminution de leurs effectifs. Chaque année, l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) inscrit dans sa liste des espèces menacées un nombre plus important d’amphibiens. Selon les experts, une espèce d’amphibien sur trois risque de disparaître à court terme sans mesures de préservation efficaces. Pire, une nouvelle étude publiée dans la revue Nature établit que cette extinction pourrait être encore plus importante et rapide. Trois facteurs principaux pèsent sur le futur de ces animaux : le changement climatique, la modification de leur habitat et la chytridiomycose, une maladie fongique. Des chercheurs de l’Université de Copenhague ont évalué la répartition géographique de ces menaces par rapport à la répartition mondiale des amphibiens. Ils démontrent que les régions où les modifications de l’habitat et le changement climatique ont le plus d'impact sur les populations d'amphibiens ont tendance à se chevaucher. De plus elles correspondent également aux zones les plus riches en diversité d’espèces. En revanche, la menace posée par les maladies fongiques varie selon l'endroit avec peu de chevauchement spatial avec les deux autres menaces. En se fondant sur l’observation de ce chevauchement des facteurs de risque, les auteurs suggèrent que les projections faites pour le futur, qui ne prennent généralement en compte qu’une menace à la fois, sont beaucoup trop optimistes…Ils estiment que le déclin des populations d’amphibiens observé depuis vingt ans va continuer à s’accélérer. Source
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En Thaïlande inondée, Sompop le chasseur de serpents submergé d'appels Sompop Sridaranop enfourne sans ménagement un python de trois mètres au fond d'un sac, le jette dans le coffre d'un taxi puis repart aussi sec en quête d'une nouvelle proie. Depuis que l'eau a envahi Bangkok, ce célèbre chasseur de serpents est débordé. "Les serpents vivent dans les canalisations et dans des zones isolées avec de l'herbe, et quand ces lieux sont inondés, ils se déplacent à travers les tuyaux vers les maisons", explique cet homme de 57 ans. Les inondations historiques qui frappent le pays depuis trois mois, et plusieurs quartiers de la capitale depuis des semaines, en ont donc poussé plus d'un à chercher un refuge bien au sec. Résultat, Sompop reçoit deux fois plus d'appels que d'habitude. Il enfile alors sa veste estampillée "chasseur de serpent" et se précipite au secours d'habitants affolés. Depuis vingt ans, en parallèle à son métier de coursier, il a fait de la capture des reptiles une véritable mission d'assistance à la population. Pour preuve, les cicatrices qui couvrent ses bras. "Ma femme a vu mes morsures de serpents si souvent, c'est normal pour elle. Elle s'inquiète, mais elle comprend". Les pires inondations depuis des décennies ont causé la mort de plus de 560 personnes et affecté des millions d'autres. La présence prolongée d'une eau noirâtre, chargée de déchets en tous genres, a attisé les craintes de maladies, d'électrocution voire d'attaques de crocodiles échappés de fermes d'élevage. Les serpents n'ont pas aidé à apaiser les Thaïlandais. Comme Pattaya Tasua, dont les collègues ont capturé un python près de l'usine où elle travaille, au nord de Bangkok. "J'ai eu très peur. Je n'ai pas osé regarder quand ils l'ont attrapé", avoue-t-elle. Les pythons ne sont pas venimeux, mais d'autres espèces dangereuses, comme les cobras, ont pointé leur langue fourchue régulièrement depuis le début des inondations. En particulier la nuit, et en marge de la ville, selon Sompop. Les varans, qui vivent près des nombreux lacs et canaux de la capitale, se sont eux aussi fait plus envahissants. "Ils ne sont pas vraiment dangereux", note Sompop. Mais le lézard géant ne se laisse pas attraper sans lutter, comme ce spécimen de deux mètres capturé dans un jardin à l'Ouest du Chao Phraya, qui traverse Bangkok. Qu'il a fini par relâcher dans le fleuve, sur l'autre berge. "Si vous ne savez pas comment les attraper, alors ils peuvent mordre et leur salive est sale", souligne-t-il, expliquant peut-être leur réputation de porte-malheur, et un nom qui est devenu une insulte en thaï. Sans conteste bien plus dangereux, quinze mambas verts africains se seraient échappés d'une maison inondée. Une rumeur sur les réseaux sociaux qui n'a pas été confirmée, mais a poussé les autorités à importer 50 doses de sérum anti-venin d'Afrique du Sud. Si le reptile à la morsure mortelle en ferait fuir plus d'un, Sompop est pour sa part impatient de le rencontrer. "J'adorerais en attraper un et voir à quel point c'est excitant". Le mamba vert finirait peut-être chez lui, comme beaucoup de ses proies qui attendent qu'un ami vienne les lâcher en pleine nature. Ou dans un vivarium de la Société thaïlandaise de la Croix-Rouge, dont le personnel fabrique du sérum contre le venin des 61 serpents venimeux sur les 190 répertoriés dans le pays. Face à ce danger potentiel, Lawan Chanhome, vétérinaire de l'établissement, conseille aux sinistrés des zones inondées de ne pas s'aventurer dans l'eau la nuit, "à moins que ce ne soit nécessaire". Et deux vétérinaires de Singapour sont arrivés à Bangkok mardi pour aider à capturer les reptiles indésirables. Sompop, lui, aimerait redorer un peu l'image d'un animal qui joue un rôle important en limitant la population de rats. "Les serpents existaient avant les humains. Ils ont toujours été en Thaïlande. Sans eux dans le coin, on souffrirait". Source
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Privés de tortues Pour cette nouvelle saison de pontes, l’association Bwärä annonce plusieurs changements pour mieux protéger les tortues. A commencer par l’arrêt des rondes de nuit ouvertes au public, trop dérangeantes, et la disparition des cages pour déjouer les braconniers. Deux premières pontes ont été observées ces derniers jours. La saison repart pour les tortues grosse tête (Caretta caretta), qui vont défiler jusqu’en avril prochain sur les plages de la Roche percée et de la Baie des tortues pour y enfouir leurs oeufs. Mais ce va-et-vient est fragile. Réunis dimanche dernier dans leur local flambant neuf de la Roche percée, les membres de Bwärä tortues marines, qui œuvrent chaque année pour protéger les nids, ont pris plusieurs décisions importantes pour cette campagne 2011-2012. Chiens. D’abord la disparition des cages qui protégeaient les nids, notamment des chiens errants. L’objectif : déjouer les braconniers, nombreux, qui profitent de cette indication pour venir piller les œufs. « Nous le savons de façon certaine, car étant parfois obligés de déplacer des nids en position dangereuse, trop près de l’eau, nous connaissons le nombre précis d’œufs. L’an passé, une trentaine de nids ont été impactés », explique Dominique Lafage, président de l’association. Pour continuer malgré tout leur surveillance, les membres de Bwärä utiliseront désormais « les coordonnées GPS pour marquer l’emplacement des nids ». Deuxième décision, aussi radicale que « difficile », car elle risque de faire pas mal de déçus (*) : « Nous n’organiserons plus de rondes de nuit avec le public. » Pourquoi ? « Parce que de nombreux visiteurs n’ont pas respecté les règles, justifie Dominique Lafage. Sans être inscrits, beaucoup sont venus se greffer sur les groupes accompagnés d’un éco-garde. Nous nous sommes parfois retrouvés à plus d’une centaine sur la plage ! Avec en supplément des personnes qui se sont autorisées à creuser les nids pour observer les bébés tortues. Cela devenait ingérable et contraire à notre éthique. » Par contre, l’association continuera à recevoir les groupes scolaires et assurera toujours ses tours de garde nocturnes. « La plage n’est pas fermée ! », recadre le président de Bwärä. Stressées. Cette année, fini aussi le baguage des tortues, initié l’an passé pour faciliter le suivi. « Elles sont suffisamment stressées comme ça. On ne va donc plus les déranger outre mesure. » En lieu et place, les tortues seront équipées d’une micro-puce électronique, appelée « pit-tag ». Sa pose est beaucoup moins contraignante : « Quand la tortue fouille pour déposer ses œufs, elle a les pattes à l’arrière et elle sort le cou. C’est à ce moment qu’on placera l’accessoire », explique Ludovic Renaudet, nouvel éco-garde. « Cette puce est lisible comme un code-barre. L’an prochain, on pourra donc savoir précisément si ce sont les mêmes tortues qui sont revenues pondre. On pourra aussi suivre leur déplacement. C’est le même matériel qu’utilisent les Australiens », ajoute Dominique Lafage. Ces passionnés s’attendent à une saison difficile. (*) 3 500 visiteurs (scolaires inclus) avaient été encadrés sur la plage la saison dernière. 186 C’est le nombre de nids comptabilisés l’an passé sur les plages bouraillaises (163 à la Roche percée et 23 à la Baie des tortues), contre 224 en 2009-2010. Mais cette évolution à la baisse d’une année sur l’autre n’est pas jugée significative. L’an passé, le nombre moyen d’oeufs par nid était de 109, dont 71 bébés vivants. Source
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Des amateurs de reptiles volent 19 pythons Alexandre n'a pas su résister à la tentation. Cet amateur de reptiles a été ébloui par la collection d'un habitant de Cadenet chez qui il était allé acheter un python royal. L'idée lui est venue de le cambrioler pour se lancer, à son tour, dans ce commerce ! Avec deux copains, ils sont entrés dans l'appartement par une fenètre et ont fait main basse sur 19 pythons d'une valeur totale de 50 000 €. Ils les ont ensuite amené chez une amie d'Alexandre, à Avignon. Rapidement identifié, le trio de voleurs et la receleuse ont répondu actes hier devant le tribunal correctionnel d'Avignon. Partie civile, la victime assure que pour lui il y a eu une véritable organisation, un vol préparé: d'ailleurs, ils ont dérobé les plus gros serpents, délaissant les plus petits de moindre valeur. Sans faire de lien direct, la partie civile indique que s'il a récupéré tous les serpents, certains sont morts peu après ce vol. Assistée de Me Francoz, la receleuse plaide la bonne foi : elle n'a pas cru son ami quand il lui a dit qu'il avait commis un vol et a accepté naturellement de garder les serpents pour lui rendre service. Les trois voleurs eux plaident coupable et expriment des regrets sur l'audience. Ils sont condamnés à 4 mois de prison avec sursis et la receleuse à deux mois avec sursis. Ils devront verser à la partie civile 3 000 € de dommages et intérêts. Source