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Max|mum-leterrarium

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  1. Un serpent d'une longueur record découvert au Japon TOKYO, 31 octobre - RIA Novosti Le plus long serpent venimeux de l'espèce Ovophis okinavensis (appelé "habu" en japonais) a été découvert dans un village d'Onna (préfecture d'Okinawa), rapporte lundi l'agence japonaise Kyodo citant un représentant des autorités locales. Selon l'agence, le serpent atteignait 2m42, soit 16 cm de plus que le record précédent. Le serpent a été découvert par un habitant d'Onna le 12 octobre. L'animal a été capturé et envoyé à l'Institut de la santé publique et de l'environnement d'Okinawa, où il a été abattu. D'après les autorités locales, le serpent sera prochainement naturalisé et exposé au public. Un habu adulte atteint habituellement 1m50 de long et habite principalement les îles d'Okinawa et l'archipel Amami. Selon les dernières statistiques, près de 100.000 habus vivent dans ces territoires. Environ 70 cas de morsures de serpent sont recensés annuellement dans la région. Toutefois, le dernier cas mortel lié à un habu remonte à 2004. Les pythons, qui atteignent 10 mètres en longueur, sont considérés comme les serpents les plus longs au monde. Source
  2. À Lambersart, Carapassion forme des stagiaires à l'élevage des tortues | • LE VISAGE DU DIMANCHEMICHEL LOUCHARDPRÉSID | Contrairement aux idées reçues, s'occuper d'une tortue demande de sérieuses connaissances. Michel Louchard, président de l'association Carapassion à Lambersart organise pour la première fois une formation à l'élevage de ces chéloniens, les plus vieilles habitantes de notre planète qui comptent de multiples espèces protégées rigoureusement surveillées... PAR CAROLE MOCELLIN lambersart@lavoixdunord.fr Samedi prochain, ils seront vingt-cinq élèves entre 30 et 50 ans à venir compléter leurs connaissances théoriques de 9 à 17 heures pour obtenir leur certificat de capacité pour l'élevage des tortues. Un diplôme délivré par l'État après trois journées de formation, cinquante d'heures de stage pratique et un mémoire ! Habilitée officiellement pour délivrer cette formation unique en son genre, l'association Carapassion va faire plancher ses stagiaires sur la réglementation, l'alimentation, les pathologies... car chaque espèce doit être traitée selon sa nature. Tortues terrestre issues de France et du pourtour méditerranéen, du Maghreb, de Turquie, des Balkans tortues d'eau de Floride surmultipliées, tortues des steppes de l'Asie centrale... une diversité qui exige de prévoir l'espace dont elles doivent disposer, (elles grandissent et vivent 80 ans !), de savoir recréer une température adaptée, élément vital pour cet animal à sang froid. De petite taille et non protégée, la tortue des Steppes, par exemple, ne supporte pas l'humidité. Et si on n'y fait pas attention, elle risque d'attraper une rhinite qui se transforme en pneumonie... Quant à la tortue du Maghreb, contrairement à d'autres, elle n'hiberne pas mais entre en léthargie. « La tortue ne doit pas s'adapter à l'homme. On doit s'adapter à son mode de vie. Et pour cela, il faut des connaissances », insiste Michel Louchard. Le président de Carapassion souhaiterait que toutes les espèces soient protégées. Pour le bien-être des animaux et pour... simplifier la littérature administrative. À 65 ans, cet ancien technicien en télécommunications a consacré plus de trente ans à ses tortues dont il aime le calme qu'elles inspirent. Une rupture « dans cette vie tourmentée ». Et sans chercher plus loin, les regarder tout simplement. Et se laissait fasciner par un animal qui a traversé 200 millions d'années pour parvenir jusqu'à nous. Dans son jardin, Michel Louchard a élevé une serre qui dispose d'un système ingénieux, lui permettant de contrôler la température et d'être informé de tout incident. Mais il a aussi créé une mare pour ses tortues aquatiques qui vont bientôt intégrer leur quartier d'hiver au salon. Le terrarium sert en ce moment de chambre d'hôpital pour Cocotte. Une tortue de Floride écrasée par une voiture. Cocotte a eu de la chance. Elle a été recueillie par la trésorière de l'association et bien soignée. Hélas, les tortues n'échappent pas au fléau de l'abandon. C'est pourquoi Michel Louchard insiste : « Élever des tortues, c'est une passion mais c'est aussi un engagement auprès d'un être vivant. » Et en prolongement : « Il faut mettre en garde les gens contre l'achat de tortues prélevées dans la nature ou importées illégalement. » Michel louchard s'apprête à préparer la litière de ses tortues terrestres qui vont hiberner durant quatre mois. Il veillera à ce qu'elles se réveillent en pleine forme au printemps. • Source
  3. Chasse au crocodile dans les rues noyées de Bangkok REPORTAGE - Les Thaïlandais ont peur, alors que les ministres sont en pleine crise de nerfs. Bang Bua Thong est devenu un marécage où l'on aperçoit parfois le toit vernissé d'une pagode et où barbotte une flottille pour le moins hétéroclite. Placide, un bonze pagaie assis sur une chaise en plastique ligotée au couvercle d'une glacière, les enfants se déplacent sur des pancartes publicitaires pliées en deux, les familles s'entassent sur des radeaux de bouteilles en plastique et se fraient un chemin dans les jacinthes d'eau qui ont déjà tout colonisé. Engloutis sous deux mètres d'eau répugnante, les faubourgs nord de Bangkok doivent aussi vivre sous la menace des attaques de crocodiles. Alors que la Thaïlande fait face aux pires inondations depuis des décennies, «un millier de crocodiles ont profité de la montée des eaux pour s'échapper de leurs fermes d'élevage», estime Bundit Kullavanijaya, du ministère de la Pêche. «Seuls sept ont pu être capturés.» «Nous sommes tous terrorisés, surtout quand la nuit approche, raconte Kasem Kapkarun, chef d'un pâté de maisons submergé. On m'a déjà signalé qu'un crocodile avait arraché la jambe d'un enfant. Et d'après les habitants, une dizaine rôde dans le coin.» Devant ce danger inattendu, le biologiste Kamthon Sukalun s'est improvisé chasseur de crocodiles. Promu chef d'expédition par son ministère, il a potassé la théorie en regardant des documentaires animaliers. Ses collègues, qui, pour la plupart ne savent pas nager, ont quitté leurs bureaux pour patrouiller à la rame, repérer les nids dans les herbes couchées et poser des appâts dissimulant d'énormes crochets. S'ils finissent par en rencontrer un, la manœuvre n'est pas simple : il faut choquer le reptile avec des électrodes avant de le ligoter et de le hisser dans une cage. «En fait, nous sommes là pour rassurer la population, il y a peu de chances qu'on en capture un avant la décrue», reconnaît Kamthon Sukalun. La Thaïlande est le plus grand éleveur de crocodiles au monde avec 200.000 reptiles en captivité. Au bas mot, car «une flopée d'autres chez des particuliers ou dans des petites fermes clandestines ne sont pas répertoriés». Alors que le fleuve Chao Phraya, qui serpente à travers Bangkok, atteint des niveaux records, les gardiens d'un zoo minable qui jouxte le temple Maiyainui, au détour d'un canal de Thonburi, colmatent avec nonchalance les fissures de l'enclos d'un mastodonte de 800 kilos. Sept crocodiles attendent leur heure derrière des murets de protection qui paraissent dérisoires. Un vieux gardien convient que «si l'eau monte, il ne pourra pas empêcher les crocodiles d'aller se dégourdir les pattes». Marée moins forte que prévu La gestion de la catastrophe par le jeune gouvernement de Yingluck Shinawatra est si désordonnée et les informations fournies par les diverses autorités si confuses que personne ne sait plus quoi penser. Son équipe a lancé deux alertes d'évacuation de quartiers entiers à mauvais escient, le ministre du Commerce Kittirat na Ranong, de marbre devant les paysans sinistrés, a sangloté dans les bras d'investisseurs japonais et, surmené, un responsable de Nonthaburi, au nord de Bangkok, a fait une syncope. Les Thaïlandais tentent de faire le tri dans les déclarations de leur premier ministre cyclothymique. Après l'apathie des premiers temps, Yingluck Shinawatra est passée à l'hystérie en annonçant dans les larmes qu'elle ne contrôlait plus rien, qu'il valait mieux fuir car il fallait s'attendre à un cataclysme. Mais samedi, elle était euphorique car la marée qui avait atteint son maximum était moins forte que prévu et les barrières le long du fleuve avaient dans l'ensemble tenu le coup. «Le niveau de l'eau à Bangkok va commence à baisser la première semaine de novembre», s'est-elle réjouie, peu après avoir déclaré que les eaux risquaient de noyer la ville pendant un mois. Critiquée, moquée pour ses bottes Burberry qu'elle enfile au chevet de gens qui ont tout perdu, la chef du gouvernement est notée 3 sur 10 pour sa gestion de la crise, selon un sondage de l'Université Assomption. Un quart de la population n'a plus confiance. À Bangkok, on a l'impression d'un film catastrophe passé au ralenti. Les gigantesques masses d'eau venues du nord avancent lentement, inéluctablement. Les pistes de Don Muang, le deuxième aéroport de la ville, sont désormais submergées. Chassé par les eaux et privé d'électricité, le centre de secours pour les inondations a dû déménager. Le fleuve se déverse jusqu'au célèbre temple du bouddha d'Émeraude. Rue Yaowarat, on écope ; rue Mangkon, on traque les poissons à l'épuisette. Au pied du pont Phra Pinklao, qui dessert le quartier historique, c'est un monde aquatique dans lequel on pénètre en camion de police. Source
  4. Dragon de Komodo : une morsure faible, mais une technique éprouvée Publiant leurs travaux dans PLoS ONE, des chercheurs américains et australiens ont constaté que le dragon de Komodo, le plus grand des lézards, neutralise et dévore ses proies grâce à des armes plus subtiles que la force brutale… Des chercheurs de l'Université Rutge (États-Unis) et de l'Université des Nouvelles Galles du Sud (Australie), se sont penchés, en utilisant entre autres des modélisations informatisées, sur les techniques de chasse du dragon de Komodo, ce varan géant qui peut dépasser les 3 mètres de long et les 100 kilogrammes. Premier constat étonnant : la morsure de l’animal n’est guère plus puissante que celle d’un chat domestique. Mais celle-ci présente une particularité redoutable : elle injecte un véritable ‘bouillon de culture’, mettant la victime en état de choc et entraînant une abondante hémorragie. Puis, le lézard pèse de tout son corps musclé sur sa proie, tout en arrachant de gros morceaux de chair avec ses dents crénelées. "(…) ces nouvelles données montrent que le dragon de Komodo opère comme un ‘ouvre-boîte écailleux géant’", commente le Dr Stephen Wroe, directeur de l’étude cité par le Daily Mail. "En utilisant son corps, l'animal supprime la nécessité d'investir de l'énergie dans les lourds os et muscles de sa tête - c'est un système très efficace. Les gens considèrent les dragons de Komodo comme ‘préhistoriques’ ou ‘primitifs’, mais l'image qui émerge ici est celle d'un tueur très efficace", conclut le Dr Wroe. Source
  5. Un cobra dans le frigo! CHÂTEAU-THIERRY (Aisne). QU'EST-CE que ce bébé cobra faisait au niveau du moteur du frigo ? La question était dans tous les esprits, hier. Lorsque les pompiers sont appelés, vendredi soir, vers 20 h 30, ils pensent qu'il s'agit d'une vipère ou d'une couleuvre. Dans cette maison avenue de Montmirail de Château-Thierry, les habitants semblent bien embarrassés d'avoir dû appeler à l'aide. Ils auraient un clandestin dans la maison. Un serpent qui s'est logé derrière le frigo de la cuisine. Comment est-il arrivé chez eux ? Mystère. Les habitants ont expliqué aux secouristes qu'ils venaient d'acheter le frigo et qu'il devait s'y trouver déjà… Chose étrange, des souris mortes ont été retrouvées à proximité de l'animal exotique. Un sérum rare Après de longues minutes d'efforts et de précaution, les pompiers à l'aide de matériels spécifiques, une sorte de pince télescopique, ont réussi à capturer le serpent. Et là, il leur a bien fallu admettre qu'il ne s'agissait d'un cobra déployant sa coiffe ! L'animal est aussitôt déposé dans une boîte en plastique rectangulaire. « Les pompiers me l'ont apporté ce samedi matin. J'ai reconnu immédiatement qu'il s'agissait d'un naja, un cobra chinois », explique le patron de l'animalerie Iguana à Château-Thierry. Un cobra monocle pour être plus précis, reconnaissable à son « œil » ou « cible » de couleur dessiné derrière la tête. « C'est un bébé parce qu'il fait 40 cm. Adulte, il fait 1,60 m environ. Je ne sais pas comment il s'est retrouvé dans cette maison, mais le bloc-moteur était l'endroit idéal pour lui qui recherche un coin sombre et chaud. » Il ne faut pas se fier à sa petite taille, son venin peut déjà tuer. Le cobra possède un venin parmi les plus virulents au monde. Le patron de l'Iguana confirme : « Une morsure et en six heures vous pouvez mourir. Le sérum est rare, très spécifique. On en trouve à l'institut Pasteur à Paris et au CHU d'Angers, c'est tout. » Un pompier spécialisé dans les animaux dangereux et, en particulier, les serpents du département de l'Essonne, est venu au cours de l'après-midi récupérer le résident encombrant, en présence du délégué départemental de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS). Un peu agité par les événements de ces dernières heures, le serpent est resté dans sa petite boîte pour le transport. Il sera confié à une personne habilitée à détenir ce type d'animal. Détention encadrée En France, pour posséder un tel serpent, il faut obtenir un certificat de capacité pour espèces venimeuses auprès de la DDSV, « très difficile à obtenir ! ». En revanche, acheter ce type de serpent, dit « grand venimeux » comme un cobra ou un crotale, « c'est très facile mais interdit sans certificat ». Les bourses ou salons aux reptiles se multiplient à l'étranger et en France. « En Allemagne ou en Hollande, on peut acheter sans contrainte un cobra. Le problème en France, dans les salons ou les bourses, les vendeurs ne peuvent vérifier si leurs acheteurs sont bien détenteurs d'un certificat de capacité. C'est aberrant mais c'est comme ça, c'est la loi. » Pour devenir capacitaire, « il faut passer devant une commission. On s'assure que vous avez fait des stages de sensibilisation, que vous avez une bibliothèque bien fournie sur l'espèce que vous souhaitez détenir, que l'endroit où vous souhaitez accueillir l'animal est bien adapté, un sas d'entrée, etc. » Détenir un serpent venimeux sans l'autorisation nécessaire entraîne la confiscation de l'animal, une forte amende avec, à la clé, un procès devant un tribunal correctionnel. En dix-huit ans d'expérience dans les animaux exotiques, c'est la première fois que le patron de l'Iguana voit un cobra arriver dans sa boutique. « On m'apporte, trois ou quatre fois par an, des vipères françaises ou des couleuvres pour que je les identifie ainsi que leur dangerosité. Quand vous trouvez un serpent, la seule chose à faire, c'est d'appeler les pompiers. » Les nouveaux animaux de compagnies (NAC) ou les animaux dangereux ont toujours la côte. « Aujourd'hui, les personnes adeptes de ce type d'animal se les procurent illégalement mais comme ils connaissent davantage les risques encourus, ils se font plus discrets. » Aurélie BEAUSSART et Isabel DA SILVA Source
  6. Les sens Découvrez les moments les plus captivants d'animaux prédateurs luttant pour leur survie et leur suprématie. Des images encore jamais vues en HD jusqu'à maintenant vous en mettront plein la vue. Toutes les espèces d'animaux filmées sont extraordinaires, sauvages et charismatiques. Ce sont les plus fascinants superprédateurs du monde. Prochaines diffusions de cet épisode Dimanche 6 novembre à 16h00 Jeudi 10 novembre à 13h00 Canal D
  7. Monstres des banlieues S'il y a un lieu où le danger ne devrait pas exister, c'est bien dans notre cour arrière. Toutefois, un monde de créatures sauvages y vit. Découvrez les dangers que pourraient représenter ces animaux, parfois mortels, lorsqu'ils s'attaquent à nous. Prochaines diffusions de cet épisode Lundi 31 octobre à 20h00 Lundi 31 octobre à 2h00 Mardi 1er novembre à 6h00 Mercredi 2 novembre à 19h00 Samedi 5 novembre à 17h00 Lundi 7 novembre à 13h00 Lundi 19 décembre à 20h00 Lundi 19 décembre à 2h00 Mardi 20 décembre à 6h00 Mercredi 21 décembre à 19h00 Samedi 24 décembre à 17h00 Canal D
  8. Répugnants de nature Si vous ne craignez pas les images répugnantes, dégoûtantes et brutales du monde animal dans la lutte pour leur survie, vous apprécierez ce documentaire. La myxine gluante ne vous fait pas grincer des dents? Alors peut-être que la vomissure du fulmar boréal, qui lui sert de projectile, retiendra votre attention. L'utilisation de caméras ultras lentes avec des lentilles de vision de nuit vous permettra d'explorer ce monde insolite de la nature comme jamais auparavant. Prochaines diffusions de cet épisode Lundi 31 octobre à 13h00 Lundi 12 décembre à 20h00 Lundi 12 décembre à 2h00 Mardi 13 décembre à 6h00 Mercredi 14 décembre à 19h00 Samedi 17 décembre à 17h00 Lundi 19 décembre à 13h00 Canal D
  9. Nom scientifique : Brachypelma emilia Nom français : Mygale mexicaine à pattes rouges Nom anglais : Mexican red leg tarantula Origine : Mexique, le Sinaloa et ses environs Biotope : Semi-aride Température : 26 à 29°C Hygrométrie : 50 à 60% Moeurs : Terrestre et nocturne Taille adulte : 14 cm Longévité : 10 ans Nourriture : Insectes Photo emprunté au site http://www.spidy.goliathus.com Comme toutes les mygales du nouveau monde, comme on les appelle, cette espèce préfère lancer ses poils urticants avant de mordre. Il s'agit d'une espèce très docile, peut-être même plus que sa proche parentes, la Brachypelma smithi. La Brachypelma emilia est une espèce populaire à cause de sa coloration et sa taille impressionnante. La croissance de ces petites mygales est assez lentes.
  10. Reptile ou oiseau avec le monde sur son dos On les appelle les chéloniens et bien qu'elles soient classées parmi les reptiles, elles s'en distinguent par leur fameuse carapace. Depuis près de 200 millions d'année, elles n'ont pas évolué et font mentir Darwin, enfin selon les différentes opinions des scientifiques. Certains considèrent que les tortues sont issues du même ancêtre et qu'elles seraient les dernières représentantes des reptiles les plus primitifs. Mais le débat évolue. Voilà que la tortue se rapprocherait plutôt des oiseaux comme descendante des dinosaures... sans doute à cause de son bec cornée dépourvu de dents... en tout cas les mythes nous disent qu'elle porte le monde sur son dos. Voilà pourquoi, elle se hâte lentement avec sagesse...tC. M.• AUJOURD'HUI Exposition à Lambersart Dernier jour aujourd'hui pour admirer les sculptures de Martin Hollebecq, sculptures faites dans de la pierre bleue, encore visible aujourd'hui, de 13 h à 19 h, entrée libre. • PENSEZ-Y ! Source
  11. Un python avale une biche FORT LAUDERDALE, Floride – Une biche a été retrouvée intacte dans un énorme python birman dans le parc national des Everglades, situé dans l’État de Floride, aux États-Unis. Le serpent d’environ 4,7 mètres (15,7 pieds) a été abattu par les autorités, a rapporté le journal «Sun Sentinel». Il avait avalé une biche d’environ 35 kg (76 lb). Le python s’était retrouvé dans une piste qu’empruntaient souvent certains animaux. Il s’est mis aux aguets et lorsqu’il a aperçu la biche, il l’a saisi avec ses dents et l’a ensuite écrasé sous son poids en l’enroulant, puis l’a avalé. Selon les responsables de la faune et des écologistes, la prolifération de pythons est une menace pour les écosystèmes ainsi que pour les gens. «Plusieurs espèces menacées ont déjà été trouvées dans les estomacs des serpents», a déclaré au «Science Daily» Bob Reed, un biologiste. Source
  12. Le python était en fait... un cobra Le serpent, retrouvé autour du moteur d'un réfrigérateur samedi dans un domicile d'Etampes-sur-Marne dans l'Aisne, est un cobra et non pas un python comme nous vous l'annoncions de prime abord. L'animal, qui s'est logé près du moteur d'un réfrigérateur neuf, a été capturé ce samedi. Toutes les précautions nécessaires ont été prises pour mettre hors d'état de nuire ce reptile vénimeus, dont la blessure est mortelle. Source
  13. Nom scientifique : Oreocryptophis porphyracea coxi Nom français : Serpent des bambous thaîlandais rouge Nom anglais : Red bamboo snake Origine : Nord-Est de la Thaîlande, province de Loei et Phu Luang Biotope : Humide Température : 22 à 25°C Hygrométrie : 70 à 80% Moeurs : Terrestre et nocturne Taille adulte : 70 à 90 cm Longévité : 12 à 15 ans Nourriture : Rongeurs. Photo emprunté au site http://www.gonyosoma.info/ L'Oreocryptophis porphyracea coxi est une couleuvre asiatique peu connu. Cette espèce a été décrite pour la première fois en 1998, ce qui pourrait expliquer qu'elle passe tant dans l'ombre encore. Selon moi, c'est l'une, sinon la plus jolie espèce de serpent qui soit. La raison que je l'ai choisis comme espèce de la semaine, c'est suite à une question de quelqu'un demandant quelle serait l'espèce de nos rêves. Malheureusement, si vous débutez en terrariophilie, ce n'est pas l'espèce que je vous recommanderais. Cette espèce est plutôt fragile au niveau du maintien. Il lui faudra un bon taux d'humidité et des températures plus fraîche d'à la normal avec les autres espèces. Les températures estivales peuvent être trop élevé pour elles donc un air climatisé peut être une bonne idée. Étant donné que c'est une petite espèce, elle demande peu d'espace. Si quelqu'un a les moyens et veut m'offrir le plus beau cadeau qui soit, c'est un excellent choix!
  14. Bangkok inondée de crocodiles et de serpents Les inondations qui frappent Bangkok, la capitale de la Thaïlande, complique la vie de ses dix millions d'habitants et des touristes qui y séjournent. Outre les problèmes sanitaires, ceux-ci doivent faire face à d'autres dangers, comme les crocodiles ou les serpents, emportés par la montée des eaux. Bangkok doit faire face depuis des heures à une crue significative, qui risque de s'aggraver dans les heures à venir. Vendredi, les eaux de la rivière Chao Phraya dépassait de deux mètre cinquante le niveau habituel. L'état d'alerte a été prononcé par le gouvernement qui a accordé aux habitants des jours de congé exceptionnels pour leur permettre de quitter la ville et de se réfugier dans des zones plus sécurisées. Aux abords du Palais royal, les nombreux touristes pataugent dans une eau qui leur arrive à la cheville. "L'expérience est particulière", confesse Melanie Willoughby, une Britannique de 32 ans en pleine lune de miel. "Il nous est actuellement impossible de trouver de l'eau potable", constate-t-elle. Une pénurie qui malheureusement constitue un problème parmi d'autres. Certaines zones inondées commencent à être infestées de serpents et de crocodiles. Vendredi matin, deux crocodiles et un serpent ont été capturés aux abords de l'une des principales attractions touristiques de la ville. Un danger qui s'ajoute aux problèmes sanitaires provoqués par les eaux sales, dont les bactéries engendrent maladies de la peau et dysenterie. Les autorités déconseillent désormais aux touristes de se rendre dans la capitale thaïlandaise. Seule la bande côtière du sud du pays est épargnée. L'aéroport international de Bangkok semble de son côté à l'abri de toute inondation grâce aux digues de 3 mètres de haut qui le bordent. (LS) Source
  15. Des bouées pour mieux protéger les tortues et les écosystèmes du lac Champlain MONTRÉAL, le 28 oct. 2011 /CNW Telbec/ - Le 16 juin dernier, pour la période estivale, Conservation de la nature Canada (CNC) et ses partenaires ont installé, avec l'appui financier de la Fondation Hydro-Québec pour l'environnement, des bouées et des panneaux informatifs dans d'importantes zones de navigation de la rivière aux Brochets et de la baie Missisquoi. Ces équipements visent à sensibiliser les usagers et la population riveraine à la fragilité des milieux naturels, afin de concilier les activités nautiques et la protection d'écosystèmes remarquables. Situées dans les municipalités de Saint-Pierre-de-Véronne-à-Pike-River et de Saint-Armand, les zones de navigation concernées sont des habitats naturels exceptionnels qui abritent une grande diversité d'espèces fauniques et floristiques. On y trouve notamment quatre espèces de tortues, dont la tortue-molle à épines, une espèce menacée au Québec. Les blessures et les mortalités liées aux collisions avec des embarcations motorisées constituent une grande menace pour cette espèce. Les bouées sont facilement repérables; elles affichent un pictogramme « Limiter la production de vagues ». Retirées pour l'hiver le 6 octobre dernier, elles seront réinstallées au début de chaque été. CNC salue la contribution des multiples plaisanciers qui ont participé aux efforts de protection en respectant la signalisation, ainsi que celle des propriétaires riverains qui ont coopéré durant cette première installation et qui ont fait part de leurs idées afin que le dispositif soit encore plus efficace l'an prochain. « Les bouées ont contribué à la sensibilisation des plaisanciers et à la réduction de leur vitesse de navigation. Nous sommes confiants que cela aura un impact positif sur les conditions de vies des tortues et sur l'écosystème en général au cours des années à venir », affirme Joel Bonin, directeur de la conservation à CNC. Pour Catherine Leconte, directrice générale de la Fondation Hydro-Québec pour l'environnement, « ce projet donne aux usagers et aux riverains des moyens simples d'agir concrètement pour respecter et préserver le milieu naturel qu'ils fréquentent, ce qui s'inscrit parfaitement dans la mission et les objectifs de la Fondation. » CNC tient à remercier les partenaires qui ont contribué au projet : la Fondation Hydro-Québec pour l'environnement, le ministère des Ressources naturelles et de la Faune du Québec (MRNF), le gouvernement du Canada, ainsi que les bénévoles du groupe SOS Tortues. Conservation de la nature Canada (CNC) est un organisme privé à but non lucratif, qui assure la conservation à long terme de milieux naturels présentant une importance pour la diversité biologique. Depuis 1962, CNC a contribué à protéger plus de 800 000 hectares de territoires à haute valeur écologique au pays, dont 22 600 hectares au Québec. À titre de chef de file en matière de conservation des milieux naturels au pays, CNC s'est donné comme objectif de protéger des sites ayant une remarquable biodiversité pour leur valeur intrinsèque mais aussi pour l'intérêt des générations présentes et futures. L'organisme travaille en étroite collaboration avec des propriétaires fonciers, des sociétés privées et publiques, des groupes de conservation, des communautés locales ainsi que des gouvernements. Pour plus d'information sur CNC visitez le www.conservationdelanature.ca. La Fondation Hydro-Québec pour l'environnement soutient des organismes qui œuvrent concrètement à la protection, à la restauration et à la mise en valeur des milieux naturels et qui s'efforcent de sensibiliser les collectivités locales aux enjeux environnementaux particuliers de leur milieu de vie. De 2001 à 2010, la Fondation a accordé 9,7 millions de dollars à 160 projets mis en œuvre dans toutes les régions administratives du Québec. La valeur globale estimée de ces projets est de 33 millions de dollars. Pour en savoir plus sur les différents projets auxquels elle a contribué, visitez le www.hydroquebec.com/fondation-environnement. Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune contribue depuis plus de 15 ans au rétablissement d'espèces en situation précaire. Il met en place des équipes de spécialistes qui ont pour mandat de produire et mettre en œuvre des plans de rétablissement. Il participe, en collaboration avec ses partenaires, à la réalisation d'actions visant à stopper le déclin des espèces concernées et améliorer leur situation. Le ministère s'implique concrètement en mettant à contribution l'expertise de son personnel (technicien(ne)s et biologistes), et apporte un support financier et matériel aux projets visant à améliorer les connaissances sur les espèces menacées ou vulnérables. Pour plus d'information, rendez-vous sur le site Internet du ministère http://www.mrnf.gouv.qc.ca/faune/especes/menacees/index.jsp. Le Programme d'intendance de l'habitat pour les espèces en péril consacre des fonds à des projets de conservation et de protection des espèces en péril et de leur habitat, et contribue à préserver la biodiversité. Ces fonds servent à encourager les collectivités locales à contribuer au rétablissement des espèces en péril et à éviter que la situation d'autres espèces devienne préoccupante. Pour plus d'information, visitez le http://www.ec.gc.ca/financement-funding/default.asp?lang=Fr&n=923047A0-1#hep. Conservation Baie Missisquoi (CBM) est un organisme à but non-lucratif, fondé en 1989, qui initie et supporte des projets visant à restaurer et à protéger la qualité des eaux de la baie Missisquoi. Certains membres se sont regroupés pour former le groupe bénévole SOS Tortues. Depuis plusieurs années, ces bénévoles participent à diverses activités, dont l'aménagement et le suivi des sites de ponte, l'installation de plateformes d'exposition au soleil sur la rivière aux Brochets et l'installation de panneaux d'interprétation dans le Refuge Naturel de la baie Missisquoi. Pour plus d'information, visitez le http://baiemissisquoi.esm.qc.ca. Renseignements : Source : Conservation de la nature Canada. Renseignements: Joël Bonin Directeur de la conservation et de l'intendance Conservation de la nature Tél. : 514-876-1606, poste 224 Courriel : Joel.bonin@conservationdelanature.ca Fondation Hydro-Québec pour l'environnement Tél. : 514 879-4804 fondation-environnement@hydro-qc.ca Source
  16. Des sorties très nature avec le club des Sittelles - Saint-Sébastien-sur-Loire Le club CPN (Connaître et protéger la nature) des Sittelles de Saint-Sébastien organise tout au long de l'année des sorties gratuites pour partir à la découverte de notre environnement. Le calendrier pour cette saison 2011-2012 est fixé. Point de ralliement : le local des Sittelles, situé 42 boulevard des Pas-Enchantés, devant la maison La Tullaye. Attention : téléphoner auparavant au responsable de la sortie pour s'inscrire afin de bien organiser la logistique de ces balades en pleine nature sur le secteur de Saint-Sébastien, ou plus loin. Dimanche 6 novembre : les oiseaux du bord de mer, de Saint-Brévin vers la Courance. Départ du local à 10 h (prévoir pique-nique et vêtements chauds). Contact : Anita Luneau au 02 40 96 28 85. Dimanche 11 décembre : les fougères. Départ du local à 14 h. Contact : Tanguy Jean au 02 40 33 15 82. Dimanche 29 janvier : oiseaux communs et nourrissage dans les jardins. Départ 9 h 45, contact auprès de Dominique Fortune au 02 40 03 38 24. Samedi 18 février, les salamandres. Il faut bien connaître leur mode de vie pour les trouver, le soir à la tombée de la nuit. Pas d'horaire fixé pour l'instant (consulter le site) mais prévoir bottes et lampe de poche (contact Jean-Claude Masson au 02 40 34 72 65). Samedi 24 mars, autre amphibien : le triton. Prévoir là aussi bottes et lampe de poche pour une sortie prévue à partir de 20 h 30. Contacts : François d'Arras (02 53 51 42 76) ou Tanguy Jean (02 40 33 15 82). Dimanche 15 avril, place aux orchidées. Rendez-vous à 14 h (Tanguy Jean au 02 40 33 15 82). Le 13 mai, cap sur la Touraine pour découvrir des dents de requins et autres dans cette région où le sable conserve toujours des fossiles de l'ère tertiaire. Rendez-vous à 7 h, avec son pique-nique. Contact : Jean-Claude Masson (02 40 34 72 65). Enfin, dernière sortie de l'année consacrée aux papillons et libellules dimanche 10 juin (départ 14 h, inscription auprès de Bernard Cloteau au 02 28 21 75 31 ou Tanguy Jean au 02 40 33 15 82). Autre sortie prévue en mai ou juin, mais dont la date n'est pas encore fixée, une visite de l'île Héron en partenariat avec le conseil général et la Ville (l'île Héron est une zone naturelle protégée). Les Sittelles, 06 84 42 72 73 ou 02 40 03 41 11 (http://cpn.sittelles.free.fr). Source
  17. Une prédatrice victime des clichés Élodie Robert est muséographe, conceptrice de l'exposition « Au fil des araignées ». Elle revient sur les idées reçues autour de cet animal peu apprécié et parfois craint. ... 1. L'araignée, un insecte. FAUX.« C'est une erreur que l'on fait souvent. Mais l'araignée est un arachnide, pas un insecte. Pour s'en rappeler c'est simple : les insectes ont six pattes, les araignées, huit. Ses plus proches cousins sont les scorpions et les acariens. » 2.L'homme peut se faire piquer. FAUX.« L'araignée ne pique pas. Elle a deux crochets qui sécrètent du venin, donc on peut dire qu'elle mord. Les plus petites d'entre elles ont des crochets si fins qu'ils ne peuvent pas traverser la peau humaine. Si vous vous réveillez avec l'impression d'avoir été mordu, il y a 99 % de chances que ce soit une piqûre de moustique ou l'oeuvre d'une puce. » 3. On peut mourir d'une morsure d'araignée. VRAI. « Il existe une dizaine d'espèces dangereuses pour l'homme. Mais elles font moins de cinq morts par an dans le monde, ce qui est un chiffre ridicule par rapport à la mortalité liée aux morsures de serpents, par exemple. » 4. On trouve des mygales en France. VRAI. « Il s'agit de la mygale atypus, une espèce inoffensive d'à peine un centimètre. Dans le monde, on comptabilise 2 500 espèces de mygales de toutes tailles. » 5. L'araignée vit sur sa toile. FAUX.« C'est son terrain de chasse. L'araignée est un prédateur avec des techniques redoutables. Elle tisse sa toile, se cache et attend qu'une proie vienne se prendre dans les fils pour aller la dévorer. Il existe également des araignées sauteuses, d'autres qui jettent un filet sur leur proie, certaines pratiquent même le mimétisme ou lancent une substance gluante pour clouer leur proie au sol. » 6. L'araignée remonte dans la baignoire par le siphon. FAUX. « Sur la surface glissante de la baignoire, elles tombent et ne peuvent simplement plus remonter car elles n'ont pas de coussinets sous les pattes mais des crochets. » 7. La femelle dévore le mâle après l'accouplement. VRAI. « Les mâles peuvent même mourir avant l'accouplement, c'est risqué ! Il faut une technique d'approche : le mâle peut faire des vibrations reconnaissables sur la toile pour annoncer sa venue, apporter un cadeau, réaliser une danse... Il doit partir très vite après l'accouplement, au risque d'être pris pour une proie ! Quant à la femelle, elle meurt en général après avoir fait son cocon. » Source
  18. Des scorpions du désert qui brillent dans le noir Au cours d'un inventaire biologique dans le parc national Saguaro en Arizona, Paul Marek, un entomologiste a expliqué comment lui et ses collègues faisaient pour repérer les scorpions dans le désert. Ils utilisent une lumière spéciale qui rend les arthropodes fluroescents. Comment repérer des animaux rampants et aussi petits que des scorpions en pleine nuit dans le désert ? Comme la question le laisse suggérer, la tâche est loin d'être aisée. Mais les entomologistes ont en fait une technique très astucieuse basée sur un phénomène naturel : la fluorescence. C'est ce qu'a expliqué en détail au National Geographic Paul Marek, un entomologiste de l'université d'Arizona à l'occasion d'un grand inventaire biologique qui a eu lieu le week-end dernier, dans le Parc national de Saguaro aux Etats-Unis. La fluorescence est un processus qui se manifeste lorsque certaines matériaux ou structures sont frappés par de la lumière et que ceux-ci la ré-émettent immédiatement mais sous une longueur d'onde différente. Plus concrètement dans notre cas ici, Paul Marek disposait en fait d'une lumière particulière appelée "lumière noire" dont il s'est servi pour illuminer les scorpions, qui se sont alors mis à émettre une lumière verte. Si le scorpion est capable d'une telle prouesse, c'est en fait grâce aux substances azotées présentes dans sa peau. Mais les chercheurs ignorent pour l'instant si la fluorescence a un rôle quelconque dans la vie de l'arthropode. "C'est une chose vraiment facile. Vous allez durant la nuit dans le désert de Sonoran avec l'une de ses lumières UV et... les scorpions s'allument et brillent comme une petite étoile au sol", explique Paul Marek. Des prédateurs redoutables Grâce à cette technique, l'entomologiste et ses collègues ont confirmé qu'un bon nombre d'espèces différentes vivaient dans le Parc national de Saguaro. "Les plus communs que nous ayons trouvé étaient le scorpion d'écorce d'Arizona, le scorpion rayé et le scorpion velu d'Arizona, précise le spécialiste. Parmi ceux-ci, les deux premiers font partie des scorpions les plus dangereux car ils transportent de grandes quantités de venin. Au vu de tels capacités, les scorpions détiennent un rôle essentiel dans l'écosystème. "Les scorpions sont des prédateurs, donc ils se nourrissent de plus petits arthropodes, tels que des petits cafards et des mouches... essentiellement tout ce qui est plus petit qu'eux", commente Paul Marek. Mais le scorpion a aussi ses prédateurs, notamment les souris-sauterelle boréales. "Elles ont une réputation de loups en habits de souris. Ces petites souris qui aboient... sont un peu comme des ninjas. Elles se lèvent et attrapent le scorpion, courent partout avec eux, et peuvent rapidement ronger la queue du scorpion, où se trouve le dard, avant de se régaler avec le reste", détaille t-il encore. Au cours de leur exploration, si les chercheurs ont observé plusieurs animaux et notamment des veuves noires, ils n'ont en revanche pas eu l'occasion de voir ces petits ninjas vadrouiller dans le parc national. Source
  19. Toujours les mêmes qui font des belles découvertes...
  20. Ce n'est pas une vieille histoire ça? Ou c'est un nouveau cas encore une fois?
  21. Deux tortues de mer récupérées en Corse, remises à l'eau en Sardaigne Trois tortues de mer (Caretta-Caretta) ont été récupérées ces derniers mois en Corse par les agents du parc marin et transférées ensuite sur l'île de l'Asinara. Elles y ont été soignées par les spécialistes du «Centro Recupero Animali Marini Asinara». Deux d'entre elles ont pu être relâchées dernièrement dans les eaux du Parc Marin International à Palau. À cette occasion, deux bateaux de l'Office de l'Environnement de la Corse sont partis de Bonifacio pour participer à l'opération. Des agents de l'ONCFS (Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage), ainsi que des personnels du Parc National de la Maddalena et du Parc de l'Asinara étaient également présents. La première tortue, nommée « Françoise » par le CR Asinara, a été retrouvée le 6 avril 2011 avec une nageoire sectionnée et dans un état de santé très faible, La seconde, baptisée « Corse », sauvée le 26 juin dernier, avait une occlusion intestinale due à L'absorption de sacs plastiques rigides et souples. Après plusieurs mois de soins spécifiques et de remise en forme, elles ont désormais retrouvé leur milieu naturel. Une troisième tortue avait également été récupérée au mois d'avril et le nom de «Nicolas» lui a été donné. Elle a subi deux opérations car elle avait un hameçon dans l'estomac. «Nicolas» séjourne encore au centre de l'Asinara. Son état de santé s'est nettement amélioré et elle a recommencé à s'alimenter naturellement. Pour autant, elle ne pouvait pas encore replonger dans les eaux du parc comme les deux autres. Elle sera donc relâchée en mer dans les prochaines semaines. Il faut savoir que ces tortues Caretta-Caretta sont en voie de régression. Il s'agit donc d'une espèce protégée pour laquelle un plan de restauration a été lancé. Source
  22. Le python birman pourrait devenir la clé de la santé cardiaque humaine Une équipe de chercheurs américains met de grands espoirs dans le python birman. Ce reptile, qui peut atteindre neuf mètres de long et peser 90 kilos, pourrait détenir les clés de nouveaux traitements pour prévenir ou combattre les maladies cardiaques humaines. Capable d'avaler une biche ou un alligator, le plus grand reptile du monde secrète alors des acides gras aux propriétés bénéfiques pour le cœur. Les scientifiques de l'Université du Colorado, à Boulder, ont découvert que les quantités de triglycérides – principal élément formant des graisses et huiles naturelles – étaient multipliées par 50 dans le sang des pythons un jour après avoir englouti une proie. Malgré la forte augmentation de ces graisses dans l'organisme des serpents, les auteurs de l'étude, parue dans la revue américaine Science du 28 octobre, n'ont pas constaté de dépôts graisseux dans leur cœur. De plus, ils ont mesuré l'accroissement d'une enzyme, appelée superoxide dismutase, bien connue pour ses puissants effets protecteurs sur le muscle cardiaque, y compris chez l'homme. Après avoir déterminé la composition chimique du plasma sanguin (composant liquide du sang) de pythons en pleine digestion, ces chercheurs ont injecté ce liquide ou une substance similaire reconstituée dans des pythons qui avaient l'estomac vide. Après ces injections, ces serpents ont montré un net accroissement du cœur et des indications d'une bonne santé cardiaque. EFFETS BÉNÉFIQUES Les chercheurs ont répété l'expérience avec des souris et constaté les mêmes effets bénéfiques sur le cœur des rongeurs qui a augmenté de taille. "Nous avons découvert qu'une certaine combinaison d'acides gras peut avoir des effets favorables sur la croissance cardiaque chez des organismes vivants", explique Cecilia Riquelme, principal auteur de l'étude. "Maintenant nous essayons de comprendre le mécanisme moléculaire derrière ce processus et espérons que les résultats débouchent sur de nouvelles thérapies pour mieux traiter les maladies cardio-vasculaires humaines", ajoute-t-elle. De précédentes études ont montré que la masse du cœur de pythons birmans augmentait de 40 % dans les 24 à 72 heures après un gros repas et que l'activité de leur métabolisme quadruplait immédiatement après avoir avalé leur proie. Les pythons, qui peuvent jeûner pendant un an avec peu d'effets néfastes sur leur santé, voient leur cœur quasiment doubler de taille après un repas. Puisque cet accroissement de la masse du muscle cardiaque est similaire chez des athlètes, étudier le cœur des pythons pourrait aider les chercheurs à améliorer la santé cardiaque des humains, jugent ces scientifiques. Ils notent qu'il existe aussi une "mauvaise" augmentation du volume du cœur, principale cause de la mort subite chez les jeunes athlètes. Si des maladies peuvent provoquer un épaississement du muscle cardiaque et une réduction des chambres du cœur résultant du fait qu'il travaille plus pour pomper le sang, un élargissement résultant d'un exercice vigoureux est en revanche une bonne chose, souligne Leslie Leinwand, professeur de biologie qui a dirigé ces travaux. "Il y a un grand nombre de personnes qui ne sont pas en mesure de faire de l'exercice car souffrant d'une maladie cardiaque", note cette biologiste ajoutant qu'il serait "bien de mettre au point un traitement capable d'induire la croissance de cellules cardiaques" chez ces malades. Source
  23. Serpents, lézards et autres reptiles font salon La halle de Mer accueille dimanche la seconde édition du salon du reptile de la région Centre. Une initiative d’une association blésoise. Pythons, boas, iguanes verts, mais aussi geckos léopards, pogonas, serpents des blés et autres tortues sillonnées : dimanche 30 octobre, les amateurs de reptiles et les curieux de nature ont rendez-vous dans la vieille halle de Mer avec des animaux encore peu communs. Planète reptiles, une association née à Blois en 2006 est à l’origine de ce salon régional du reptile, en partenariat avec l’élevage Snake and Co. Une première édition en 2010 à Blois avait permis de mesurer l’intérêt du public pour ce salon, désormais d’envergure régionale. Des grillons vivants vendus par boîtes de 500 Dimanche, une vingtaine d’exposants seront à Mer, pour présenter et vendre des animaux, mais surtout pour partager leur passion pour ces différentes sortes de reptiles, et donner aux débutants tous les conseils utiles pour bien accueillir leur premier lézard. Sur place, les amateurs avertis trouveront également le matériel nécessaire, depuis l’indispensable terrarium chauffé aux grillons vivants vendus par boîtes de 500 pour nourrir les reptiles insectivores. « Notre objectif, c’est d’aider les terrariophiles pour l’élevage des reptiles », confiait Jeziel Carvalho, président de l’association lors du premier salon blésois, « mais nous œuvrons aussi pour la sauvegarde des espèces menacées ». Des informations sont notamment publiées sur le site internet de l’association, planetereptiles.fr. Salon du reptile du Centre, halle de Mer, dimanche 30 octobre, de 10 h à 18 h. Entrée : 3 €, gratuit pour les moins de 10 ans. Source
  24. Un spécialiste des grenouilles de Montréal remporte un prix du réseau des musées canadiens OTTAWA, ONTARIO--(Marketwire - 25 oct. 2011) - Le professeur David M. Green de Montréal, écologiste bien connu et éminent spécialiste des amphibiens du Canada, est l'heureux lauréat du prix Bruce Naylor 2011. Décerné par l'Alliance des musées d'histoire naturelle du Canada (AMHNC), ce prix national honore la contribution exceptionnelle à la recherche en milieu muséal dans le domaine de l'histoire naturelle du Canada. Actuellement professeur à l'Université McGill et directeur du Musée Redpath, M. Green s'est distingué au cours de ses 30 ans de carrière en tant que scientifique, administrateur de musée, professeur et défenseur de la nature. Le professeur Green se consacre à l'étude des grenouilles et des crapauds en vue de mieux cerner les relations entre espèces, la structure des populations et les mécanismes de changements évolutionnaires. Sa recherche de longue haleine sur le crapaud de Fowler a permis l'inscription de cet amphibien sur la liste des espèces en péril. M. Green a signé plus de 120 articles, livres et publications scientifiques, principalement sur les grenouilles et autres amphibiens. « J'ai eu la chance de découvrir ma passion pour la nature très jeune et je ressens comme un privilège d'avoir pu faire de cette passion mon métier », déclare-t-il. Ses études l'ont emmené à parcourir le Canada : des études de premier cycle à UBC, un doctorat à l'université de Guelph. Après un travail postdoctoral à l'université de Californie à Berkeley, il enseigne brièvement la biologie à l'université McMaster et à l'université de Windsor. En 1986, il obtient un poste à l'Université McGill et au Musée Redpath, où il travaille encore aujourd'hui. La passion de M. Green pour la nature va bien au delà de son laboratoire et de ses excursions sur le terrain. C'est un chef de file en matière de protection de la nature, comme en témoigne de façon éclatante son engagement dans le Comité sur la situation des espèces en péril au Canada (COSEPAC), qu'il a présidé pendant quatre ans à partir de la fin des années 1990. Chaque année, ce comité publie un rapport déterminant les espèces en péril à partir de données scientifiques. À titre de coprésident du sous-comité sur les amphibiens et les reptiles du COSEPAC, il a réalisé la première évaluation de tous les amphibiens canadiens menacés. Il a également dirigé un groupe de travail chargé de recueillir des données sur le déclin des populations d'amphibiens au Canada. Ce phénomène a attiré l'attention des médias puisqu'il est lié à la dégradation de l'environnement et la destruction des habitats. En tant que président du COSEPAC, M. Green a brillamment manœuvré dans le dédale des politiques et de la politique pour réussir à intégrer les évaluations du COSEPAC dans la nouvelle Loi sur les espèces en péril. Fort de ses 25 ans de carrière au Musée Redpath, M. Green s'est efforcé, avec toute la détermination et la volonté dont il est capable, d'intégrer le musée, l'un des plus vieux du Canada, à la faculté des sciences de l'Université McGill. Sous sa houlette, le musée a pu, depuis 2005, accroître ses programmes publics et les doter d'un financement stable, rénover ses laboratoires d'enseignement, instituer un programme de mineure en histoire naturelle et proposer de nouveaux cours. Comme le soulignent ses proposants, « le professeur Green s'est distingué et se distingue toujours dans chacune de ses réalisations, que cela soit dans le domaine des sciences, de la protection des espèces, du service collectif, de l'éducation ou de l'avancement des musées. La somme de tous ses accomplissements témoigne de sa contribution exceptionnelle à la recherche en histoire naturelle dans un cadre muséal et aux politiques canadiennes en ce domaine. » Le prix Bruce Naylor honore la mémoire de l'ancien directeur du Royal Tyrrell Museum of Palaeontology. Décédé en 2007, M. Naylor, Ph.D., a aussi occupé le siège de président de l'AMHC. Le prix a été décerné dans le cadre d'une soirée spéciale de l'AMHNC qui s'est tenu le 24 octobre 2011 à la salle de réception du président de la Chambre à l'édifice du Centre de la Colline du Parlement à Ottawa. Créé en 2003, l'AMHNC compte maintenant 16 membres partout au pays. Son but est d'accroître la visibilité des musées d'histoire naturelle canadiens qui sont responsables de la conservation de précieuses collections comptant des millions de spécimens et témoignant de notre patrimoine naturel. Le réseau s'efforce de renforcer les capacités en matière de recherche scientifique, de développement des collections et d'éducation à propos de l'environnement naturel pour le bénéfice de tous les Canadiens. Membres Les 12 musées fondateurs de l'Alliance sont les suivants : Royal B.C. Museum, Royal Alberta Museum, Royal Tyrrell Museum of Palaeontology, Centre du patrimoine septentrional du Prince de Galles, Centre d'interprétation de la Béringie du Yukon, Royal Saskatchewan Museum, Musée du Manitoba, Musée canadien de la nature, Espace pour la Vie de Montréal (Biodôme, Insectarium, Jardin botanique et Planétarium), Musée du Nouveau-Brunswick, Nova Scotia Museum of Natural History et The Rooms Provincial Museum (Terre-Neuve-et-Labrador). Le réseau continue de prendre de l'ampleur et comprend aujourd'hui 17 membres : le Musée royal de l'Ontario s'est joint à l'alliance en 2007, suivi du Vancouver Aquarium, du Toronto Zoo et du Musée Redpath en 2009, et le Beaty Biodiversity Museum en 2010. Source
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