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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Un insecticide bio à base de venin de scorpion La lutte biologique fait rage dans les parcelles d’agriculture bio. Comment éradiquer les nuisibles tout en restant conforme aux standards biologiques ? Un laboratoire israëlien développe un insecticide naturel révolutionnaire à base de venin de scorpion. Le standard de l’agriculture bio est clair : interdiction d’utiliser des engrais ou des pesticides chimiques. La lutte biologique est de mise pour éradiquer insectes et autres parasites : coccinelles, champignons, ça ne rigole pas, tous les coups sont permis. La terreur des insectes Le Professeur Gurevitz de l’université de Tel-Aviv, est peut-être sur le point de finaliser un insecticide bio original qui ne cible que les insectes indésirables. En Israel sévit le scorpion jaune, un scorpion dont l'efficacité du venin est reconnue. Son intérêt est qu’il est composé d’un cocktail de toxines foudroyantes, dont certaines ne sont mortelles que pour tel ou tel insecte. En maîtrisant sa composition, les chercheurs espèrent mettre au point des pesticides hautement spécifiques, qui élimineraient les insectes néfastes sans pour autant tuer les insectes bénéfiques comme les abeilles par exemple. Une usine à venin tenue par des bactéries Pour y parvenir, les gènes codant pour ces toxines ont été isolés, puis insérés dans des bactéries qui deviennent donc capable de synthétiser ces produits. Pourquoi ne pas avoir injecté les gènes directement dans le génome des plantes à protéger ? Deux raisons à cela. La première, c’est que la culture en question deviendrait directement un OGM. La seconde, c’est que le venin est neutralisé par le système digestif des insectes qui mangent la plante génétiquement modifiée. Ces insecticides, une fois développés, présenteront deux avantages majeurs par rapport aux pyréthrinoïdes, ces insecticides chimiques largement utilisés. Ils seront en effet inoffensifs pour les insectes utiles à l’agriculture bio comme les coccinelles ou les abeilles, et sans danger pour l’homme ou la nature (les quantités croissantes de pyréthrinoïdes retrouvées dans les stations d’épuration laissant présager une pollution alarmante si aucune alternative n’est trouvée). Actuellement l’équipe israélienne travaille sur des méthodes de modification de l’expression des gènes afin d‘affiner encore plus la spécificité des venins envers les insectes. Si ces travaux venaient à trouver un débouché industriel (et ce sera le cas selon toute vraisemblance), les cultures biologiques auraient un système de défense de poids à leur côté. Source
  2. Oui et dire que dans deux semaines, il risque d'en pleuvoir des amphibiens dans ce coin là!
  3. Je regardais des photos de ma Crapule ce soir sur ce poste et j'ai vu à quel point il a grandit. Au début, je trouvais qu'il ne grandissait pas vite mais dernièrement, j'ai constaté une poussée de croissance énorme. Il s'en vient beau. Il a changé de caractère, quand je vais le chercher dans le terrarium, c'est une terreur par contre, une fois sortie, il est quand même gentil sinon je ne le tiendrais pas aussi aisément dans mes mains! Non mais quelle belle bête!
  4. Mon varan des savanes a un petit caractère. C'est la raison pourquoi je porte des gants, ça c'est depuis que je me suis mordre une fois. Il a beau être encore petit mais ça surprend pareil. Je me suis rendu compte que c'est surtout des feintes de morsure qu'il fait mais quand même. Il voulait me manger même quand je l'avais dans les mains et j'ai prit quelques photos. Il y a une photo qui me laissait l'illusion qu'il souriait donc j'ai voulut la partager avec vous.
  5. Dernièrement, j'ai dis à un ami que je songeais peut-être à les vendre. Ce n'est pas entré dans l'oreille d'un sourd puisqu'il en a parlé à quelqu'un qui m'a écrit pour me faire un offre sur mon couple. La personne veut voir des photos donc quant à envoyer des photos, je vais les mettre ici. J'ai manqué mon coup pour la femelle donc voici une photo floue mais je crois que ça peut faire la job. C'était la plus visible que j'ai réussis à prendre. Et voici le mâle lors de son repas de ce soir!
  6. Elle est dont bien gâcheuse de party quand elle veut elle!
  7. Un immense laboratoire naturel Le plus grand serpent du Canada, qui peut mesurer jusqu'à 2,5 mètres, vit dans les forêts de l'Ontario. Il s'agit d'un animal de plus en plus rare, mais qui fait l'objet d'un suivi attentif de chercheurs qui travaillent sur un site unique: celui de la station biologique de l'Université Queen's. http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2010/CBFT/LaSemaineVerte201002201700_1.asx Petit vidéo très fortement intéressant à voir.
  8. Vous passerez sur le lien voir des grenouilles vertes de phase.
  9. Un roseau menace les grenouilles du Québec La biologiste Amélie Perez s'apprête à poursuivre l'inventaire des amphibiens dans la région métropolitaine de Montréal dans le cadre de sa maitrise à l'Université de Montréal. Dès que les lacs et marais seront libres de glace, elle effectuera la tournée de plus de 50 sites situés entre Vaudreuil, Saint-Amable, Terrebonne et Beauharnois. Les pieds dans l'eau et un carnet à la main, elle écoutera les chants de ces vertébrés et relèvera ses pièges jusqu'en septembre prochain. Tout ça sans insecticide. «Les grenouilles respirent en partie par leur peau. Si j'ai de l'insecticide sur les doigts, cela pourrait les empoisonner quand je les manipule», dit cette étudiante française. Heureusement, ajoute-t-elle en riant, «les moustiques ne me dérangent pas trop». Officiellement entamé en juin 2009, le carnet d'observation fait état de sept espèces dénombrées au cours de la première collecte: rainettes versicolore et crucifère, grenouilles des bois, verte et léopard, ouaouaron et crapaud d'Amérique. Dans ses pièges, elle a capturé (puis relâché) 257 adultes et 1600 têtards. Le but de sa recherche: découvrir si les populations de grenouilles, rainettes et crapauds sont touchées par la progression du roseau commun (Phragmites australis) dans le sud du Québec. Ces travaux, sous la direction de Marc Mazerolle, professeur à l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, et de Jacques Brisson, chercheur à l'Institut de recherche en biologie végétale, s'inscrivent dans une vaste étude du Groupe Phragmite, qui vise à documenter l'effet de cette plante envahissante sur le territoire québécois. Financée par le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada et le Service canadien de la faune, Amélie Perez a le soutien de l'organisme Canards illimités Canada, qui lui donne accès à ses sites et collabore au financement de sa bourse d'études. Grenouilles et phragmites On sait que le phragmite commun est le frère jumeau d'une espèce beaucoup plus discrète qui voisinait sans encombre avec les variétés indigènes depuis plusieurs décennies. Or, le nouveau type de roseau, arrivé d'outre-mer, colonise les écosystèmes du Québec méridional à une vitesse inquiétante (voir Forum du 29 septembre 2003, «Les roseaux affrontent les quenouilles!»). Là où l'espèce s'installe en maitre, la biodiversité pourrait être atteinte. Des biologistes veulent en apprendre davantage sur les populations végétales et animales qui s'adaptent ou disparaissent. La jeune femme a donc choisi des sites où le roseau est présent en grande quantité, et d'autres d'où il est absent. «L'analyse est loin d'être terminée, mais la comparaison des sites montre une légère diminution du nombre d'individus pour toutes les espèces là où pousse le roseau commun, sauf pour la grenouille léopard, relate la biologiste. Une augmentation du nombre de prédateurs potentiels piégés et du nombre de têtards a aussi été constatée en présence du roseau exotique.» Elle terminera sa recherche par un volet expérimental, disposant des têtards dans des bacs flottants où la plante exotique croitra en colonies plus ou moins denses. Elle y caractérisera des variables comme les fluctuations de pH, l'oxygène dissous et la température, et observera attentivement la croissance des larves. Du triton belge au têtard québécois La jeune femme passionnée par l'étude de la biodiversité a amorcé son travail de terrain l'an dernier, trois jours à peine après son atterrissage au Canada, où elle n'avait jamais mis les pieds. «J'avais hâte de découvrir les familles d'amphibiens présentes ici. Je n'ai pas été déçue.» Auparavant, elle avait effectué une recherche appronfondie, en Belgique, sur le triton crêté, qui figure sur la liste des espèces menacées. Ses observations lui ont permis de mesurer l'ampleur de la menace. «Sur les 80 mares où l'on était susceptible de le rencontrer, seulement 11 l'abritaient. Nous avons donc recommandé aux autorités wallonnes de protéger ces sites de toute urgence.» Vu d'Europe comme un Eldorado des écosystèmes naturels, le Québec était à ses yeux le paradis de la biodiversité. Mais un échange avec ses futurs codirecteurs l'a amenée à comprendre que celle-ci n'était pas hors de danger. Selon l'Union internationale pour la conservation de la nature, plus du tiers des espèces d'amphibiens sont menacées d'extinction. Un nombre qui pourrait augmenter encore si l'on n'assure pas une protection adéquate des milieux naturels. «Le bouleversement des paysages aquatiques (intensification des pratiques agricoles, assèchement des zones humides) est sans doute le plus important des facteurs mis en cause dans le déclin des populations d'amphibiens, note la biologiste dans la présentation écrite de son projet de recherche, car il perturbe directement la reproduction pour la majorité des espèces et, donc, le maintien des populations d'amphibiens. L'invasion de ces milieux clés par des espèces de plantes exotiques pourrait avoir un effet tout aussi désastreux.» Au terme de sa seconde saison d'échantillonnage, Amélie Perez entreprendra son analyse des données et un stage à Canards illimités Canada. Elle déposera son mémoire au printemps 2011. Mathieu-Robert Sauvé Source
  10. Eh oui, une petite séance d'herping seul aujourd'hui dans trois spots différents. Je ne nommerai pas les endroits mais juste donner quelques indices pour ceux qui me suivent à l'occasion pour qu'ils puissent s'y situer. J'ai commencé ma journée dans un petit boisé pour lequel je travaille l'été. Je dois répertorier les espèces de reptiles et amphibiens qui s'y trouvent et faire une évaluation des populations. On n'y trouve rien d'hallucinant sauf peut-être la quantité de grenouilles léopards et de crapauds d'Amérique. Personnellement, je n'ai jamais vu une aussi grande concentration de crapauds d'Amérique. Tu y vas en début de soirée et tu ne sais plus où mettre les pieds tellement il y en a. Je n'ai pas vu grand chose à cet endroit là. J'ai pu y voir deux grenouilles léopards dans l'un des bassins qui ont été construit il y a deux ans par les gens du parc. Voici pour commencer une photo de la résidence : Puis voici les colocataires : Ne trouvant pas grand chose à cet endroit là, j'ai décidé d'aller ailleurs. Je suis embarqué dans mon auto pour faire une vingtaine de kilomètres pour me rendre dans un pit de sable. À cet endroit là, j'observe depuis sept ans, plusieurs espèces de grenouilles, des couleuvres et salamandres. Le temps frais d'aujourd'hui les a fait tenir tranquille puisque je n'ai entendu aucune grenouilles chanter. On pouvait trouver des tétards par contre. Je souhaitais trouver des accouplements de salamandres maculées de salamandres à points bleues puisqu'on en trouve dans ce spot là habituellement mais non, rien. Les seules salamandres que j'ai pu observer ont été des tritons verts à points rouges avec une belle petite découverte pour me faire sourire. Et ma petite découverte a été un accouplement de ces tritons là. J'en ai observé six en tout dont ces deux-là qui s'accouplaient sous les rayons du soleil. À ce même endroit, j'ai pu observer des oeufs de salamandres du genre Ambystoma et des oeufs de grenouilles des bois. C'est fou, je vais observer là chaque année depuis sept ans et chaque espèce a son petit étang attitré où ils vont se reproduire chaque année. Ils ne changent jamais d'étang. J'ai quitté cet endroit là en pouvant voir cette jolie petite chenille. Après être passé environ 30 minutes à ce spot là, j'ai quitté pour faire une quizaine de kilomètre en direction d'un abord de route. Diadophis avait trouvé un hibernacle à cet endroit il y a environ trois ou quatre ans. Je retourne de temps en temps là bas mais n'ayant pas vu de couleuvres aujourd'hui, j'ai décidé d'y aller. J'ai pu voir un accouplement de couleuvres à l'entrée du bois qui passe à côté du champs de tir. En allant me stationner, j'ai vu de quoi et je me suis approché pour mieux voir. Même les bruits de tirs de fusils ne les dérangeaient pas. Je suis allé sur le bord de la route où nous les observons habituellement pour lever quelques roches. J'ai alors trouvé deux spécimens juvéniles et un jeune adulte probablement mâle. Malheureusement, je manquais de piles pour l'appareil-photo donc mes photos de couleuvres sont toutes scraps. J'en ai qu'une seule qui est flou mais pas trop pire. À la prochaine séance d'herping!
  11. Est-ce que l'aberrance a diminué avec l'âge? On voit ça parfois.
  12. C'est toujours comme ça chez les mygales.
  13. Tortue sacrifiée pour 8.2 kilos de viande Un dispositif de contrôle mis en place à la sortie du comptoir de fret du terminal domestique de l'aéroport de Tahiti a permis aux agents de la brigade de surveillance des douanes de Faa'a de découvrir dans une glacière en provenance des Iles sous le Vent, 8.2 kgs de viande de tortue congelée, indique, vendredi, un communiqué du service. "La personne qui venait de réceptionner le colis et réside à Papara a déclaré que la viande de tortue était destinée à sa consommation personnelle et lui avait été envoyée par sa famille demeurant sur l'ile de Maupiti, proche de la zone marine protégée des îles de Mopelia, Silly et Bellingshausen. La tortue sacrifiée, d'un poids estimé à une quarantaine de kilogrammes, est de l'espèce "chelonia midias", protégée par la Convention de Washington ; sa capture, son transport, sa consommation ou sa vente sont interdits, compte tenu du danger qui pèse sur la pérennité de l'espèce et constituent un délit douanier. La viande prohibée a été saisie et l'infracteur s'est vu infligé, après information du Parquet, une sévère amende douanière tenant compte de la valeur du produit sur le marché local illicite, estimée à 40 000 XPF. Cette saisie montre que la population polynésienne, en particulier sur les îles, n'a pas encore fait sien l'effort de protection des espèces en voie de disparition". Source
  14. Oui pauvre bête mais si on lit l'article au complet, ce qui m'étonne le plus c'est les frais engendré par tout ça. On voit comment une petite erreur peut couter très cher. J'ai lut plusieurs articles à ce sujet là et on explique que les 100 000$ ont servit seulement aux recherches pour ce serpent.
  15. Tu étais sur le point de te convaincre toi même au fait Un caméléon de Meller avec un Uromastyx égyptien, il te restait même de l'argent à dépenser pour des mossy frog
  16. Si je me rappelle bien, c'est environ 3-4 ans pour le mâle et 15 ans pour la femelle.
  17. Je l'avoue quand on parle d'animaux, je manque de contrôle. Pour le reste, je me contrôle très bien!
  18. Voici une petite nouvelle depuis hier et on va mettre la faute de cet achat sur le dos de Lecinéphile. Il sait que j'ai de l'argent dans mes poches et il me traine de force chez reptile450 et chez Magazoo. Comment résister après ça surtout en voyant une jolie petite bête comme un Coasta Rican tiger rump tarantula. Je suis tombé en amour avec cette espèce il y a environ un an mais je ne l'avais pas encore acquis. Là, j'en ai vu une de petite taille (environ deux pouces) donc j'en ai profité ayant la chance de voir la métamorphose de la petite vers la taille adulte. Voici des photos de la jolie!
  19. Un petit update photo de ma petite Grammostola rosea qui grandit.
  20. Je refaisais mes terrariums de mygales aujourd'hui donc j'en ai profité pour prendre quelques photos. Elle a beaucoup grandit depuis que je l'ai. Elle a facilement triplé.
  21. La tortue d'Hermann couvée par l'Union européenne EUROPE / FRANCE. L’unique tortue terrestre indigène française est en voie de disparition. Petite et discrète elle évolue entre le littoral varois et les massifs proches de l’Estérel et des Maures. La tortue d’Hermann « ne se reproduit plus dès que son habitat de sous bois et de lisières est menacé » rapporte le professeur Marc Cheylan (CNRS, Montpellier). Avec une espérance de vie de 60-80 ans, la population d’environ 40 000 individus reste visible, mais les nombreux aménagements, l’artificialisation d’un territoire très peuplé sur le littoral, en ôtant toute sécurité à ses lieux de ponte, amènerait l’espèce à ne plus se reproduire. « Il faut ajouter que les ramassages par les particuliers et un certain trafic ponctionnent nombre de tortues » renchérit Bernard Devaux, créateur d’un « Village des tortues », prétexte aux recherches sur l’espèce. L’Union Européenne cherche maintenant à contrecarrer la tendance en faisant mieux connaître la tortue d’Hermann. Elle sera soutenue par un programme Life Biodiversité, sur cinq ans, doté d’un budget de 2,7 M€, dont l’UE fournit la moitié. L’Agence Régionale Pour l’Environnement Paca pilotera l’opération, dont le but est « de faire évoluer les comportements vis-à-vis de l’espèce ». Au programme : restauration d’habitats, sensibilisation des acteurs locaux et des nombreux touristes, et recherche scientifique, avec une forte option de communication. Source
  22. Les pompiers formés aux dangers des reptiles GRAMMONT : Les sapeurs ont pu voir de près ces charmantes bestioles... Nac, comme nouveaux animaux de compagnie. Et de plus en plus, on y retrouve des bestioles plus ou moins dangereuses, notamment des reptiles. Aussi, les pompiers profitent de l'expo qui se tient à Grammont pour se former en cas d'intervention. « Ça arrive de plus en plus souvent, explique un sapeur. Récemment, place du Marché-aux- Fleurs, on a ramassé un serpent près d'un monsieur assis sur un banc. C'est toujours mieux d'avoir une connaissance approfondie. » Serpents, iguanes, tortues, avec des espèces différentes et de facto des moyens d'inter vention qui varient. « Certains sont dangereux, il ne faut pas prendre de risque, savoir les reconnaître et les manipuler », rappelle l'organisateur de l'exposition. En France, la réglementation pour posséder ces Nac s'est durcie il y a deux ans : tout reptile qui peut atteindre 2 m ou plus nécessite un certificat de capacité. Source
  23. Le cobra à monocle de quelque 30 centimètres de long, qui se cachait depuis s... BERLIN, 8 avr 2010 (AFP) - Un dangereux cobra a été retrouvé mort jeudi à Mühlheim an der Ruhr (ouest de l'Allemagne), trois semaines après avoir semé la panique en échappant à son propriétaire, a indiqué un porte-parole de la commune.> Dès le signalement de sa disparition, les pompiers avaient évacué et fouillé le bâtiment, allant même jusqu'à arracher tous les parquets des appartements afin de tenter de dénicher le serpent. Cinq jours de recherches n'avaient cependant pas permis de mettre la main sur le reptile. Des experts avaient alors installé des bandes de colles dans l'immeuble en guise de piège, grâce auquel le cadavre du serpent a été découvert jeudi matin lors d'un contrôle de routine. Outre le propriétaire de l'animal, âgé de 19 ans, trois locataires de l'immeuble avaient dû évacuer leur appartement. Le propriétaire du serpent devra prendre en charge des frais allant jusqu'à 100.000 euros, a souligné le porte-parole de la ville. L'intervention des pompiers au cours des premiers jours a coûté à elle seule 38.500 euros, auxquels s'ajoutent notamment des frais de remise en état de l'immeuble. Le porte-parole a toutefois émis des doutes sur la capacité du jeune homme, qui est au chômage selon la presse, à prendre en charge ces frais. Le cobra à monocle, qui vit d'habitude en Asie du Sud, est considéré comme très dangereux. Adulte, il mesure 1,80 mètre en moyenne et s'avère agressif. Source
  24. Un lézard survit dans un réfrigérateur après avoir été emballé dans un sachet de pommes Devon, Grande Bretagne – Un gecko a été découvert vivant après avoir passé une semaine dans un réfrigérateur, enfermé dans un sachet de pommes. Le lézard a été découvert par Wendy Newbury, alors qu'elle se saisissait du dernier sachet de pommes à l’intérieur de son réfrigérateur. "La chose est simplement tombée du sachet et semblait morte. Ensuite elle a sûrement dû se réchauffer et a commencé à s’agiter", raconte t-elle. L’animal a été conduit par la suite au vétérinaire qui l’a examiné. Le gecko, prénommé Georges par les employés du centre vétérinaire, d’après le personnage Georges Gecko du film Wall Street, était en bonne santé. Il aurait voyagé en provenance d’Asie pour arriver des milliers de kilomètres plus tard dans le Devon. Cependant l’emballage des pommes certifie que celles-ci proviennent du Kent, une autre région du pays. Waitrose, le supermarché qui commercialise les pommes, s’est montré plutôt perplexe face à cette découverte, certifiant que les produits sont soigneusement inspectés avant d’être distribués. Une enquête auprès des fournisseurs a été ouverte. Source
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