Max|mum-leterrarium

Non mais ça dont l'air appétissant!

La nature est toujours bien faite!

Disparition de la rainette faux-grillon À moins d'un coup de barre important, la construction en banlieue va faire disparaître une espèce de grenouille menacée, la rainette faux-grillon. Ce petit amphibien est le plus petit des 11 espèces de grenouilles au Québec et se reproduit dans les mares qui se forment le printemps. La construction résidentielle en Montérégie et en Outaouais a accéléré le déclin de sa population. Le développement dans le Bois de la Commune à La Prairie et Candiac va faire disparaître les deux tiers des étangs de reproduction de cette grenouille. Source

Un Australien mordu par un serpent regarde une série télévisée avant de se rendre à l'hôpital Australie - Un homme mordu par un serpent venimeux a décidé de regarder un épisode de sa série préférée avant de se rendre aux urgences de l'hôpital le plus proche. Peter Grigg se trouvait dans la cour de son domicile lorsqu’il a était mordu par un serpent venimeux d’un mètre de long. Dans le passé, ce redoutable prédateur a déjà tué un homme par son venin. Mais au lieu de courir vers l’hôpital le plus proche, l'homme s'est d'abord assis devant sa série préférée, Underbelly. Malgré des crampes douloureuses dans les jambes, il a décidé d’aller se coucher après avoir regardé la série. Mais une douleur au cœur ajoutée aux crampes l’ont poussé, le lendemain, à demander conseil à un spécialiste des serpents qui lui a ordonné de se rendre au plus vite à l’hôpital. Sain et sauf aujourd'hui, Peter Grigg a déclaré ensuite que s’il était mort cette nuit-là, regarder l’épisode de la série n’en aurait vraiment pas valu le coup. Source

Nouvelle-Calédonie : inauguration de trois nouvelles aires marines protégées Nouvelle-Calédonie - Trois nouvelles aires marines protégées (AMP), les premières du nord-est, ont été inaugurées dans le Pacifique en mars dernier. Ces AMP protègent des espèces rares comme la tortue verte (Chelonia mydas), l'hippocampe pygmée (Hippocampus bargibanti) ou le poisson-ange à tête jaune (Pomacanthus xanthometopon). Elles préservent également des habitats remarquables et des zones de reproduction pour de nombreuses espèces, comme le requin gris, les perroquets à bosse, les coraux... Mais les animaux ne sont pas les seuls à bénéficier des bienfaits de ces aires marines. Celles-ci permettent en effet de lutter contre l’érosion de la culture kanak et contribuent à l’amélioration des conditions de vie, avec l'implication des populations locales dans des programmes de repeuplement d’espèces endémiques. Le développement d’activités écotouristiques est un autre moteur. L’AMP de Hienga est un parc provincial d’une superficie de 6.6 km², qui englobe une partie de l’îlot Hienga, ainsi qu’un récif. Elle héberge déjà un sentier sous-marin et un sentier botanique balisés. Les infrastructures touristiques améliorent la qualité de la visite de cet îlot. L’aire de Doïman, située plus au large, est beaucoup plus vaste (37 km²). Elle s’étend sur un récif barrière lointain, à l’architecture sous-marine exceptionnellement variée : puits, canyons, failles, arches et même tunnels. A Pouébo, c'est une aire de gestion durable des ressources de plus de 70 km² qui a été mise en place, permettant une protection efficace du dugong, le mammifère marin le plus menacé de Nouvelle-Calédonie. La protection de la tortue verte a également été renforcée. Au sein de cet espace, trois réserves de nature sauvage ont été créées. Pour Serge Orru, directeur général du WWF-France : "Il y a ceux qui rêvent les yeux ouverts et ceux qui vivent les yeux fermés. Ici, vous rêvez les yeux ouverts. C’est un exemple pour lutter contre la fatalité, pour réveiller les endormis face au péril climatique". Source

Du crocodile et du python bientôt dans votre assiette ? Un importateur belge de viande de brousse cherche à alimenter le marché parisien en crocodile et en python, alors que l’on trouve déjà du gnou et du zèbre. Mettre un crocodile ou un python dans notre assiette ? L’idée semble pour le moins farfelue, mais elle fait néanmoins son chemin chez les grossistes en viandes exotiques, qui proposent déjà depuis peu des steaks de zèbre ou de kangourou, des pièces de gnou ou de chameau, dans la droite ligne du désormais classique pavé d’autruche. sas_pageid='2358/16812'; // Page : manchettepub/leparisien.com/articles_paris sas_formatid=1278; // Format : rectangle 2 300x250 sas_target=''; // Targeting SmartAdServer(sas_pageid,sas_formatid,sas_target); En témoigne le courriel que vient de recevoir la direction des services vétérinaires (DDSV 75) de la préfecture de police de Paris, émanant d’un importateur belge de viandes de brousse. La société veut savoir si elle peut commercialiser à Paris du crocodile congelé,mais aussi du caïman et du python, demandant qu’on lui précise, pour chaque cas, quels morceaux sont autorisés à la vente. De plus en plus d’amateurs Remis de leur surprise, les agents de la DDSV 75 ont invité la société à se rapprocher du ministère de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Pêche… qui n’a pas encore eu de nouvelles de l’intéressé, mais la réponse est déjà prête : « Crocodiles, pythons et caïmans, protégés par la convention de Washington, ne sont pas autorisés à la vente en France. » Pourtant, les viandes exotiques, à 34 € le kilo en moyenne, séduisent de plus en plus les consommateurs et se taillent déjà discrètement une place sur les étals, entre la côte de boeuf et le gigot d’agneau. Roger Luxoz, patron de la boucherie du même nom à Thonon-les-Bains (Haute-Savoie), fournit par Internet le marché parisien — particuliers comme professionnels— en zèbre, gnou, gazelle et chameau. Il ne désespère pas d’y ajouter le crocodile et le python : « J’ai déposé plusieurs demandes en ce sens qui ont toutes été refusées, regrette- il. Mais je suis optimiste, ces viandes sont commercialisées dans presque toute l’Union européenne, alors je ne vois pas pourquoi elles ne le seraient pas un jour en France. » Avec un chiffre d’affaires en augmentation de 60 % en 2009, sa petite entreprise ne connaît pas la crise : « La demande est importante. Un traiteur parisien du VIIIe arrondissement est prêt à m’en prendre une tonne par mois si je parviens à obtenir l’autorisation. » Timidement, les gibiers insolites s’imposent, à la demande d’une clientèle plutôt urbaine, qui a découvert ces nouvelles denrées à l’occasion de voyages, et souhaite les retrouver lorsqu’elle revient en France. La tendance ne prend toutefois pas partout : Didier, boucher sur le marché Ordener, dans le XVIIIe arrondissement de Paris, a tenté l’expérience du zèbre pendant les fêtes de Noël, mais a vite renoncé : « Les vente sont été moyennes au regard du prix investi. » A croire que tout le monde n’est pas encore prêt à mettre la savane dans son assiette. Source

C'est tellement une belle espèce les Dumérils. C'est des serpents fleurits comme je les appelle.

Qu'est-ce qui serait vrai ou faux?

Depuis le temps que tu en parles, il était temps. On attends les come back.

Il l'est aussi mais c'est extrêment croustillant. J'avais des barbus qui en rafollait avant et il croquait ça tel une chips.

Héhé celle dont tu souhaitais tant qu'elle se reproduise a finalement fonctionné sans que le mâle crache tout ça à côté!

Bonjour a tous, Quelqu'un m'a demandé a quoi ressemblait l'insecte que devient le superworm puisqu'elle croyait avoir un de ces insectes dans son terrarium. Je fais donc un poste montrant ce que le superworm devient pour le montrer a elle et a vous tous en même temps. Pour commencersi certains ne savent pas ce qu'est un superworm, voici l'apparence de ce vers. Et maintenant, voici l'insecte que ce vers devient. Les photos ont été emprunté sur google image. Je sais, je sais, je perds mon temps èa photographier les araignées que je trouve dans mon appartement mais pas mes insectes que je donne a manger. Le nom scientifique de cet insecte est le Zophobas morio. Je ne crois pas avoir besoin de vous faire une fiche descriptive de cet insecte pour le moment mais si jamais vous avez d'autres questions a leur sujet, vous pouvez toujours vous lâcher lousse.

J'avais oublié de répondre a ce message. La raison principale qu'on nourrit de rongeur mort est vraiment une question de sécurité pour le serpent comme l'a dit Fatos. La raison est simple, ton serpent peut devenir la victime dans tout ça. Il n'est pas rare d'entendre des cas qu'un serpent a été tué par un rongeur. Il ne faut pas oublié que seulement l'homme tue pour le plaisir donc si le serpent n'a pas faim, il ne tuera pas le rongeur et le rongeur peut tuer le serpent tout simplement pour sa survie étant donné le stress et la crainte engendré.

Tu as juste a me faire signe quand tu es a ta fin de semaine de congé pour qu'on y alle. Si ça m'est possible bien sur puisque tu connais mon rythme de vie. En fin de semaine, je n'ai pas été dans le secteur du tout, je ne sais pas comment c'était mais si c'était comme par ici, il neigeait bâtard donc pas de possibilité de herping.

Tout est relatif a l'âge du serpent et la croissance qu'il entreprend!

Bon, maintenant, finit les inquiètude!

Lâche ton homme et viens faire un tour en herping et je t'en montrerai en masse!

Eh oui, j'avais dis que je n'y retournais pas avant deux semaines mais bon. J'étais chez moi, je regardais le beau temps, la fenêtre ouverte avec la petite brise chaude qui entrait à l'intérieur. Je me suis tanné donc je suis sorti avec mon appareil-photo me disant, allons voir une autre espèce que l'on n'a pas vu encore cette année. Je me questionnais à savoir est-ce que je vais voir des tortues ou je prends le risque d'aller voir si je ne trouverais pas des couleuvres à ventres rouges. Je me suis dis que les couleuvres étaient plus près. J'ai quand même pu voir des rayées mais le but premier était de voir des couleuvres à ventre rouge et j'ai été servit. Je vous montre quelques photos. J'ai pu voir seulement deux couleuvres rayées et les deux étaient de cette taille là! Maintenant, voici une couleuvre à ventre rouge adulte! Et si vous vous demandiez le pourquoi de son nom commun! Puis voici la petite jeunesse de la journée, j'en ai trouvé au moins quatre de cette taille là! Ce fut court mais bon, ça valait la peine!

Ça fait plaisir!

Oui, quand le serpent ternit, il redevient toujours d'apparence normal environ 2 jours avant de muer.

C'est tout à fait normal, ça fait partie du processus de mue. Vous allez trouver la mue sous peu. Beaucoup de serpents refusent de manger lors de la période de mue. Rien d'anormal dans tout ce qui s'est passé.

Ah sait-on jamais! J'y songe, j'ai contacté quelques personnes mais on me répond pratiquement partout voyons Max, pourquoi tu ne le fais pas toi même!

L'espèce indigène du Québec est parfois appellé ainsi mais je ne sais pas pour l'espèce présenté. Elles sont de proches parentes mais le genre est différent.

La prochaine réunion de l'AHVR sera sur le herping mais sans l'écomuséum qui laisse tomber depuis quelques mois.

Bonne question, il faudrait que j'alle visiter pour le savoir. Je pense que je ne suis pas allé là depuis pratiquement 10 ans donc.