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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
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Araignées : l’arachnophobie est-elle innée ? États-Unis – Selon des scientifiques américains, la peur des araignées et des serpents serait non seulement innée chez certains animaux, mais aussi chez les êtres humains. Selon les chercheurs de l'université de Californie à l'origine de l'étude, l'arachnophobie serait le fruit de la sélection naturelle. Les individus craignant le plus les animaux dangereux pour leur espèce seraient en effet plus susceptibles de survivre dans un environnement hostile, finissant par être les plus nombreux, jusqu’à ce que tous leurs descendants soient dotés de leur phobie. Des scientifiques ont démontré que chez les criquets, quand une femelle gestante expérimente la peur des araignées, les jeunes issus de cette gestation sont beaucoup plus susceptibles d’être effrayés par les arachnides. Pour cela, les chercheurs ont introduit dans un terrarium des femelles criquets gestantes, en présence d’araignées de la famille des Lycosidae. Ils avaient pris soin de recouvrir les crochets des araignées avec de la cire avant de procéder à l’expérience, pour empêcher les criquets de se faire dévorer. Ainsi, les insectes ont pu expérimenter la peur des araignées et en sortir indemnes. Après que les œufs ont éclos, les criquets ont été introduits, comme leur mère, dans un terrarium occupé par une araignée. Cette fois, pas de cire. Les chercheurs ont remarqué que les criquets dont la mère avait déjà eu à faire au prédateur étaient plus effrayés que les autres, cherchant beaucoup plus activement un abri pour se cacher. De même, ils montraient plus de signes de peur que leurs congénères lorsqu’ils rencontraient des toiles ou des excréments d’araignée. Ainsi, leurs chances de survie étaient supérieures à celles des autres criquets qui eux, étaient beaucoup plus nombreux à se faire manger. Des chercheurs de l’université de Californie ont démontré le même processus chez l’Homme. Lors de leur expérience, adultes ou enfants ont montré qu'ils étaient capables de repérer en un laps de temps très court une araignée ou un serpent parmi des objets ordinaires. En revanche, lorsqu'on leur demandait de repérer des fleurs ou des grenouilles, cela prenait plus de temps. Cette phobie serait donc transmise de la mère au jeune afin de le protéger. Cependant, les scientifiques ne savent pas par quels mécanismes se produit ce phénomène. Source
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Les deux serpents qui avaient disparu au zoo de Calgary
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Les deux serpents qui avaient disparu au zoo de Calgary ont été retrouvés CALGARY — Les deux serpents qui se sont échappés du jardin zoologique de Calgary par un tuyau d'évacuation ont été retrouvés mardi. Ces deux serpents géants à groin malgaches ont été retrouvés sous le tuyau d'évacuation par lequel ils s'étaient échappés, un jour auparavant. Lors d'une conférence de presse tenue un peu plus tôt durant la journée de mardi, l'animalier Garth Irvine avait raconté qu'il avait oublié de remettre le couvercle du tuyau d'évacuation après s'être aperçu qu'il n'y avait pas d'eau chaude pour remplir la piscine. En quittant les lieux, M. Irvine s'est dit que le serpent de 90 kilogrammes qui se trouvait sur le tuyau d'évacuation était beaucoup trop gros pour pouvoir s'y introduire. Mais à son retour, plusieurs heures plus tard, l'imposant serpent s'était déplacé et les deux plus petits serpents avaient disparu. Après avoir passé une nuit en liberté, Maddie et Oscar ont été observés par les vétérinaires du zoo. Garth Irvine, qui travaille au zoo de Calgary depuis 23 ans, a dit que l'entière responsabilité pour l'incident lui revenait. Il a expliqué qu'il aurait dû attendre que le serpent bouge pour pouvoir ensuite remettre le couvercle sur le tuyau d'évacuation, ou tout simplement bouger la bête. Source -
Les migrations des tortues marines pistées par satellite
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Les migrations des tortues marines pistées par satellite L’Ifremer Réunion et Kélonia, riches de plus de 25 ans de données sur les tortues marines de l’océan Indien, viennent de lancer une nouvelle étude sur leurs migrations. Objectif ? Enrichir la connaissance afin de fournir du solide aux décideurs en passe de bâtir un plan de conservation de ces espèces menacées. En pleine année de la biodiversité, force est de constatée que la France traîne des pieds à l’heure de lancer des plans de gestion ou une véritable stratégie visant à stopper la perte de biodiversité. En cause bien souvent des lacunes béantes dans la biologie des espèces faute de financements dédiés. Le cas des tortues marines dans l’océan Indien est un peu atypique en la matière. La connaissance de ces reptiles est plutôt poussée. L’Ifremer et Kélonia disposent de plus de 25 années de données chiffrées notamment sur les tortues vertes (chelonia mydas). Il subsiste pourtant des coins d’ombre. Leurs migrations entre les sites de pontes et ceux d’alimentation restent un mystère à élucider. “Les tortues marines sont de grands migrateurs, qui, à une vitesse moyenne de 5 km/h, parcourent des centaines de kilomètres pour se nourrir. Même si un herbier jouxte la plage de ponte… ” souligne Jérôme Bourjea, ingénieur de recherche à l’Ifremer Réunion. Or, l’identification des sites d’alimentation et des corridors migratoires utilisés par ces reptiles marins est indispensable pour déterminer les zones et les trajectoires les plus fréquentées et les protéger. Les tortues marines sont inscrites à la fois sur la liste rouge de l’IUCN et sur l’annexe 1 de la convention de Washington. La France s’est d’ailleurs engagée en 2003 à bâtir un plan de gestion et de conservation des tortues marines dans la zone (*). Si la convention n’est pas contraignante, la date de 2012 est avancée pour la mise en route d’une gouvernance durable. D’ici là, le programme baptisé “Dymitile”, doit lever le voile sur les inconnues. Pour ce faire, 130 tortues, essentiellement des femelles, doivent être équipées de balises Argos. De Mayotte à Europa en passant par les tortues pêchées accidentellement par les palangriers réunionnais et les thoniers senneurs, le quota fixé de spécimens sera atteint d’ici un an et demi. Pour Jérôme Bourjea, c’est sans conteste “le programme le plus important de suivi des tortues marines jamais entrepris dans le monde”. Les dix premières tortues participant à l’étude viennent d’être coiffées de leurs “mouchards” à Tromelin. Mayeul Dalleau, thésard de l’Ifremer/Kélonia/Crégur et CNRS, est rentré d’une mission de cinq semaines à Tromelin consacrée en partie à cette tâche. “On travaillait la nuit après les montées en repérant celles qui avaient déjà pondu entre trois et cinq fois. L’objectif étant d’éviter qu’elles n’arrachent leur balise lorsqu’elles creusent pour déposer leurs œufs”. “Le programme le plus important au monde” Les premières trajectoires collectées par satellite sont déjà entre les mains des scientifiques. Jérôme Bourjea note : “Les premiers trajets s’effectuent autour de Zanzibar ou un peu plus au nord mais aussi sur les côtes malgaches”. Au final, l’étude devra identifier les hot spots des tortues marines dans la zone, l’existence éventuelle de voies migratoires préférentielles entre les aires d’alimentation et les sites de reproduction ainsi que des zones à risques où il y a interaction avec les activités de pêche hauturière. Autant de données étoffées par les résultats des balises posées aux Comores, Maurice, Mozambique et Madagascar (20 par pays). Au final, ces analyses, intégrant également les données courantologiques, celles des températures, des effectifs…, fourniront un état des lieux actuel et même “des prédictions à cinq ou dix ans”. Des éléments à méditer pour les décideurs (Taaf, Diren et Daf de Mayotte) en charge de bâtir le fameux plan de conservation français. Un plan qui devra devenir régional en concertation avec les autres pays de la zone. “C’est impératif pour son efficacité”, martèle Jérôme Bourjea. Bruno Graignic (*) Pour la gestion et la conservation des tortues marines et de leurs habitats de l’océan Indien et du Sud-Est asiatique. Cinq des sept espèces dans la zone Le Sud-Ouest de l’océan Indien abrite cinq des sept espèces de tortues marines : la tortue verte (Chelonia mydas), l’imbriquée (Eretmochelys imbricata), l’olivâtre (Lepidochelys olivacea), la caouanne (Caretta caretta L.) et la luth (Dermochelys coriacea). Des sites de pontes exceptionnels Les territoires français de l’océan Indien abritent des sites de pontes d’une importance capitale notamment pour les tortues vertes. Les Éparses, gérées par les Taaf, comptent notamment l’île d’Europa qui, à elle seule, pèse 10 000 spécimens. C’est le site le plus important de la zone. Tromelin compte 1 500 tortues vertes et Glorieuses 3 000. À Mayotte, on recense 4 000 tortues vertes. Les Comores en comptent 5 000. La Réunion, elle, n’a pas connu de ponte depuis trois ans. Les tortues vertes, mais aussi les autres espèces marines, sont menacées par l’urbanisation côtière qui limite leurs sites de pontes, les pollutions et la pêche. Pour cette dernière, si on recense quelques captures accessoires sur les palangriers, le danger vient davantage des chalutiers et des filets utilisés sur les côtes d’Afrique de l’Est. Source -
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Réunion de l'AHVR du 24 février 2010
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Général
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lesard inconnu sur ancienne poterie :P
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Majesty1 dans Quiz
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7 serpents volés en Seine-et-Marne Des malfaiteurs ont volé dans la nuit de dimanche à lundi cinq pythons et deux boas, dans une boutique spécialisée de Nangis (Seine-et-Marne), pour un préjudice de 2.000 euros, a-t-on appris aujourd'hui auprès de la gendarmerie. Les malfaiteurs ont pénétré par effraction dans un magasin d'animaux exotiques dans la nuit de dimanche à lundi et y ont volé deux boas, dont un de 10 kilos et de 2 mètres de long, ainsi qu'un python australien, trois pythons royaux et un python tapis, a-t-on précisé de même source. L'enquête a été confiée à la brigade de gendarmerie de Nangis Source
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Un serpent squatteur de pare-brise Des touristes hongrois en vacances aux Etats-Unis, ont eu la surprise de découvrir un serpent sur leur pare-brise. Le genre de passager clandestin dont on se passerait volontier, surtout qu'il n'est visiblement pas facile à déloger. Le bougre s'accroche comme il peut. Malgré la vitesse et les essuis-glace, le reptile semble bien décidé à ne pas se laisser larguer, pour finir en sac à main sous la roue d'un 4x4. Cliquez pour mater la vidéo de ce squatteur de pare-brise Source
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Un serpent dans ses haricots verts Une Américaine a eu la peur de sa vie en allant chercher ses haricots dans son congélateur. Alors qu'elle s'apprêtait à cuisiner, la mère de famille est tombée sur un serpent. Dans un premier temps, la femme a pensé que c'était une pierre. "La chose était dure comme un roc" explique-t-elle. Mais après avoir un petit mieux regardé, celle-ci a compris que c'était un de ces reptiles peu appréciés par l'être humain. "Lorsque j'ai vu qu'il s'agissait d'un serpent, je l'ai jeté. Mes enfants m'ont alors demandé ce qu'il se passait et je leur ai dit: il y a un serpent dans mes haricots verts". Effrayée mais néanmoins pragamatique, l'une des filles de la ménagère a été prendre son appareil photo pour immortaliser l'évènement. "Il avait de grands yeux et la bouche ouverte. On voyait sa langue et semblait prêt à attaquer" confie l'adolescente. La famille a porté plainte à la société de surgelés. Celle-ci a déclaré qu'elle n'était pas responsable de l'incident ajoutant qu'il ne s'agissait pas d'un serpent mais d'une tête de grenouille. L'entreprises de surgelés a toutefois proposé un dédommagement de 110 euros que la famille a refusé. (CB) Source
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Depuis que vous avez pu la voir à Salut Bonjour Weekend, tout le monde me parle sans cesse d'elle. C'est un amour cet iguane là. Elle est tellement douce, je ne comprends pas pourquoi personne ne voulait d'elle. Elle est tellement jolie en plus! Elle a tellement une belle couleur! J'aime beaucoup la coloration rouge de certaines de ses écailles! C'est toute une belle bête!
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Protégeons les grenouilles A l’approche du printemps, on peut voir sur nos routes, des grenouilles et autres batraciens écrasés par milliers. Dès que la température se radoucit, les grenouilles sortent de leur abri hivernal pour se reproduire. Et il s’ensuit une véritable hécatombe. Premier ennemi, le chasseur de grenouilles. Les Français, les « frogs », sont friands de cuisses de grenouilles et bien que ce soit passible de lourdes amendes, les chasseurs de grenouilles ne sont pas rares la nuit près des étangs. Mais la plus grosse menace reste le conducteur, indifférent qui en écrase sans s’en rendre compte d’autant plus que souvent il est très difficile voire dangereux de les éviter. Tous les ans, des amoureux de la nature essaient par des actions ponctuelles de sauver les batraciens et de sensibiliser le public. Des bénévoles d’associations recueillent les animaux pour les identifier, les comptabiliser puis les relâcher dans les marais, de l’autre côté de la route. Dans certains départements, des filets sont posés le long des routes, on installe parfois des crapauducs pour leur permettre de passer sous la route, on met en place des signalisations pour demander aux conducteurs de ralentir. La pollution décime aussi les batraciens, grands consommateurs d’insectes. Plusieurs amphibiens comme la[b]grenouille[/b] de Karpathos et le triton du Montseny, sont classés comme [b]espèces[/b]en danger critique d'extinction. Pensez-y quand vous roulez le soir sur les routes de campagne. Source
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Fidèle comme une grenouille Un premier amphibien monogame a été identifié par des biologistes américains. Les mâles et les femelles grenouilles d'une espèce retrouvée dans la forêt humide péruvienne sont fidèles et s'occupent ensemble de leur progéniture. Pour l'établir, le Dr Jason Brown de l'Université East Carolina et ses collègues ont étudié l'ADN de douze couples de dendrobates imitateurs (Ranitomeya imitator) et des générations de têtards qu'ils ont produites. Le constat est clair : les tests montrent que 11 couples sont restés fidèles l'un à l'autre et ont produit l'ensemble de leur progéniture. Dans un cas seulement, un mâle s'est reproduit avec deux femelles. Une vie de grenouille La femelle dendrobate imitateur place ses oeufs sur la surface d'une feuille. Lorsque les têtards éclosent, le mâle les transporte un à un sur son dos pour les placer dans un bassin créé par l'eau accumulée sur les feuilles de plantes (broméliacées). Le mâle s'occupe des petits et, lorsqu'ils ont faim, appelle la femelle pour qu'elle distribue la nourriture : c'est-à-dire des oeufs non fertilisés. Cette grenouille est l'objet d'un documentaire réalisé par la télévision publique britannique (BBC). De nombreux autres animaux sont reconnus comme monogames. Les récents développements dans l'analyse génétique montrent toutefois que plusieurs d'entre eux restent ensemble et se reproduisent, mais qu'ils s'accouplent avec un autre partenaire lorsque l'occasion se présente. Le détail de ces travaux est publié dans la revue The American Naturalist. Source
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lesard inconnu sur ancienne poterie :P
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Majesty1 dans Quiz
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