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Cerrejonisuchus, un mini-crocodile pour le déjeuner du titanoboa Il y a 60 millions d’années, un cousin du crocodile faisait vraisemblablement partie des proies du titanoboa, le plus grand serpent connu au monde. Avec cette nouvelle espèce, la faune équatoriale du Paléocène se précise... Une nouvelle espèce de crocodile préhistorique vient d’être décrite par les chercheurs de l’Université de Floride. Ce fossile est issu de la formation de Cerrejón en Colombie, l’une des plus grandes mines de charbon à ciel ouvert. Cette formation avait déjà livré les restes du plus grand serpent connu, le Titanoboa cerrejonensis ou boa titanesque de Cerrejón. Au contraire du titanoboa, ce crocodiliforme (groupe dont font partie les actuels crocodiliens), de la famille disparue des dyrosauridés, est de taille réduite. C’est même le plus petit de cette famille, ce qui lui a valu le nom de Cerrejonisuchus improcerus, le petit crocodile de Cerrejón. « Ce nouveau fossile devait clairement faire partie de la chaîne alimentaire, à la fois en tant que prédateur et en tant que proie, explique le paléontologiste Jonathan Bloch, du Florida Museum of Natural History (FLMNH). Les serpents géants d’aujourd’hui sont connus pour manger des crocodiliens, et il n’est pas absurde de dire que Cerrejonisuchus aurait pu constituer souvent un repas pour le titanoboa. Les fossiles des deux espèces sont souvent trouvés ensemble. » Un écosystème équatorial du passé se révèle Peu à peu, la faune du paléoenvironnement du Cerrejón d’il y a 60 millions d’années prend forme. Ce site a déjà permis, outre la description du titanoboa, la première description d’une forêt équatoriale néotropicale d’Amérique latine. La morphologie du Cerrejonisuchus étonne à plus d’un titre. D’abord sa petite taille, inattendue, dans un environnement où l’évolution des reptiles tend vers le gigantisme. Ensuite, contrairement aux autres dyrosauridés, au long museau en forme de pince spécialisé dans la capture de poissons, ce crocodiliforme possède un museau court et large. Il devait donc avoir un régime alimentaire plus généraliste, constitué d’amphibiens, de petits reptiles et mammifères. « Il semble que Cerrejonisuchus se soit débrouillé pour puiser dans des sources de nourriture qui n’étaient pas exploitées par les autres crocodiliformes plus grands » explique Alex Hastings, auteur principal de l’étude. Ces deux caractéristiques montrent que le groupe des dyrosauridés était déjà très diversifié avant la disparition des dinosaures, ce qui va à l’encontre de ce que pensaient les scientifiques. Ces dyrosauridés ont disparu il y a 45 millions d’années, après avoir profité des niches écologiques laissées par les reptiles marins du Crétacé (mosasaures et plésiosaures). Source
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Découvrez un reptile que devraient côtoyer les fermiers
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Découvrez un reptile que devraient côtoyer les fermiers de la Ferme célébrités: le caméléon Les "fermiers" de la Ferme Célébrités en Afrique vont très certainement le croiser, il se cache dans les arbres et ne craint pas la proximité de l'homme: remarqueront-ils sa présence ? Les caméléons sont des animaux très intéressants qui ont toujours fasciné les hommes. Considérés souvent comme des "portes-malheurs", ces lézards dont le nom en Grec signifie "petit lion rampant" présentes d'étranges facettes. Les caméléons sont des reptiles de la famille des Chamaeleonidae et de l'ordre des squamata. Ce sont des lézards parents des agamidae qui appartiennent à un groupe très ancien dont l'origine se trouve en Afrique Orientale. Les scientifiques font débutés l'histoire des caméléons il y a plus de 60 millions d'années. A l'origine, les caméléons vivaient en Afrique, en Chine et en Europe Centrale. Les changements climatiques expliquent leur recul vers le sud. Aujourd'hui, sur 173 espèces recensées, les 2/3 vivent à Madagascar et la majorité du tiers restant en Afrique. Seule une espèce arboricole ( Chameleo chameleo) subsiste dans le sud de l'Europe.La taille des caméléons varie beaucoup : de 28 mm pour l'espèce naine à plus de 68 cm pour la plus grande vivant à Madagascar. Le caméléon est le parfait exemple de l'adaptation à l'environnement. Ses membres se terminent par des doigts en forme de pince parfaits pour la vie arboricole, sa langue très longue conçue pour capturer à distance sa nourriture et ses yeux indépendants, les plus développés du règne animal, pouvant détecter un angle vertical de 90° et horizontal de 180°. Cette grande mobilité lui permet de surveiller les alentours sans tourner la tête. Mais, ce pour quoi le caméléon est le plus connu, est sa capacité à changer de couleur. Chaque espèce à un spectre limité. La couleur la plus fréquemment utilisée est le brun. D'autres couleurs fréquentes sont : Le noir, le vert et le jaune. La coloration est influencée par des facteurs internes et externes : température, luminosité, saison, santé, gestation, peur etc... Les camélons sont très majoritairement ovipares, ils pondent des oeufs qui éclosent après plusieurs mois d'incubation. La durée de vie moyenne est de 4 ans. La plupart des espèces sont protégées et sont soumises à CITES. Le caméléon est souvent considéré comme un animal qui porte malheur. Beaucoup de croyances et de légendes se sont créées autour de cet étrange animal. Il est le "chat noir" de nombreux peuples qui n'hésitent pas à le tuer dés qu'ils le rencontre. On dit que le caméléon fait avorter la femme enceinte qui le croise, que la jeune fille qui le voit ne trouvera pas à se marier ou encore que sa présence auprès d'une habitation est signe de mort imminente. Ils se retrouvent comme ingrédients dans de nombeuses recettes "magiques". Séché et réduit en poudre, il sert de médicament ou de poison selon la cause qui est défendue. Pourquoi cette haine ? En partie car une légende explique qu'un jour Dieu a réuni un caméléon et une grenouille afin de leur demander s'ils étaient pour ou contre d'octroyer aux hommes la faculté de se réincarner après la mort. N'étant pas d'accord, la grenouille ( Pour ) et le caméléon (Contre) partirent chez eux réfléchir et devait retrouver Dieu le jour suivant pour donner une réponse. Le lendemain, la grenouille connaîssant la lenteur du caméléon décida de prendre son temps sur le chemin, malheureusement, le caméléon se hâta et parvint le premier auprès de Dieu auquel il demanda de refuser l'immortalité de l'âme aux humains. E.F Dictons : Villepiniste : "Il se peut que le caméléon soit lent, mais il atteint toujours sa cible" // Sarkozyste : " Marche comme un caméléon, regarde vers l'avant mais surveille tes arrières".// Aubryste : "Sois comme le caméléon, patient et immobile devant la proie" Source -
La grenouille dorée du Panama (Atelopus zeteki) est une espèce d'amphibie anoure de la famille Bufonidae, il provoquerait du Panama, qui se trouve actuellement pratiquement en voie d'une extinction dans l'état sauvage, à cause de l'intromission humaine qui a dégradé son habitat et elle l'a transformée en objet du marché, en provoquant son trafic illégal et son déracinement. Une attention, la grenouille dorée du Panama ne doit pas être confondue avec la grenouille vénéneuse dorée (Phyllobates terribilis), aussi d'une couleur jaune je prie, originaire de la côte caribéenne de la Colombie, qui est la grenouille dard plus meurtrière du monde, et dont le poison, le batratoxina, c'est l'une des toxines les plus puissantes du royaume animal … Dans une captivité le mâle adulte mesure de 35 à 40 mms, et pèse de 3 à 5 grammes. La femelle adulte oscille entre les 45 et 55 mms et entre les 4 et 7 grammes. Dans son état naturel en revanche les mâles pouvaient léguer à atteindre les 48 mms et à arborer un poids de 12 grammes, et les femelles 63 mms et à peser jusqu'à 15 grammes. L'IUCN (l'Union Internationale pour la Conservation de la nature) catalogue aux grenouilles dorées comme critiquement dans un danger d'extinction, et dès 2007 il est pratiquement impossible de les trouver dans son habitat naturel. Grâce à l'effort des environnementalistes, pour préserver cette espèce, plusieurs d'elles ont été recueillies, sa reproduction étant obtenue dans une captivité. Les grenouilles dorées du Panama communiquent entre celles-ci grâce au langage corporel et aussi socialisent en émettant des sons gutturaux et en lui transmettant des ondes d'une certaine fréquence à travers de ses extrémités précédentes, qui sont étudiées par beaucoup d'intérêt à la communauté scientifique internationale. L'image de la grenouille dorée est apparue dans plusieurs des billets panaméens d'une loterie, et certains même sont arrivés à la considérer comme le symbole national du Panama. Conformément aux légendes et aux croyances populaires du Panama, ceux qui ont vu une grenouille dorée au moins une seule fois auront une très bonne chance dans ses vies … Source
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Prendre un amphibien par la patte, pour l'emmener vers l'marais Chaque année, sur les routes de France, dans l'indifférence générale, des milliers d'amphibiens sont écrasés sur les routes ! À Roeux, le CPIE villes de l'Artois dit stop au massacre et lance l'opération « aidons les amphibiens à traverser ». PAR EMMANUEL CRÉPELLE ecrepelle@lavoixdunord.fr PHOTO SAMI BELLOUMI Plus sérieusement, l'action entre dans le cadre de l'opération régionale « Un dragon dans mon jardin » lancée en 2009 dans tous les centres permanents d'initiative pour l'environnement (CPIE). Il s'agit de préserver la vie des amphibiens en sensibilisant le plus large public. Hier, à Roeux, ce sont les élèves de CE2-CM1-CM2 de l'école primaire qui ont eu droit à une leçon de chose grandeur nature. À la sortie de Roeux, direction Pelves, une route meurtrière pour les grenouilles et autres tritons. D'un côté, un espace naturel qui mène au lac des Sapins, de l'autre les marais. D'un côté, le lieu de villégiature hivernal des animaux, d'où ils se réveillent quand arrive le printemps, de l'autre le paradis de la reproduction. Entre les deux, l'ennemi mortel des espèces : l'automobiliste. D'où l'idée du CPIE d'aider les amphibiens à traverser en toute sécurité. Que l'on se rassure on ne va pas poster un agent municipal pour faire la circulation, on vient juste de poser une barrière à amphibiens. Mélanie Calcoen et Michaël Brunner, chargés de mission, expliquent son principe. « Sur cent mètres, nous avons installé une bâche de 80 cm de haut le long de la route. En voulant traverser, les amphibiens vont devoir la longer et ils vont finalement tomber dans des seaux disposés tous les quinze mètres. » Ils ne resteront pas longtemps au fond du seau puisque tous les matins, à 8 heures, un membre du CPIE relèvera les seaux, traversera la route avec et libérera les amphibiens qui continueront leur course vers leur lieu de reproduction. « Chaque jour, nous allons inventorier les espèces et le nombre de spécimens. Dans ce secteur, nous devrions trouver des grenouilles rousses et vertes, ainsi que des tritons alpestres. » L'opération commence dès ce vendredi matin elle se poursuivra jusqu'à la fin du mois d'avril environ. C'est un test grandeur nature qui, s'il est concluant pourra être étendu à d'autres secteurs de l'Arrageois et notamment à Achicourt. Les écoliers de Roeux, qui étaient sur le terrain hier pour la pose de la barrière, ont déjà bénéficié d'une première présentation des différentes espèces d'amphibiens existant dans notre région. Les enseignants vont rebondir sur le thème en classe. D'autres animations sont prévues avec ces classes lorsque les premiers animaux auront été attrapés et sauvés. Espérons que l'amphibien passé de l'autre côté n'ait rien oublié et n'entreprenne de retraverser dans l'autre sens ! • CPIE villes de l'Artois, Maison des associations, 7, rue Hoffbauer à Arras. Tél : 03 21 55 92 16 www.cieu.org Source
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Un boa tué dans le lit d'un jeune couple Faits divers - Un boa de trois mètres a été tué en début de semaine dans la chambre à coucher d'un jeune couple dans la ville de Bandundu, chef-lieu de la province du même nom, alors que qu'il s'apprêtait à avaler un bébé de quatre mois qui dormait paisiblement dans le lit de ses parents, rapporte mercredi l'Agence congolaise de presse (ACP). Selon cette dernière source, le boa s'est infiltré dans la chambre à coucher, pendant que la mère de l'enfant prenait de l'air dehors, en l'absence de son mari en déplacement. Les pleurs du bébé qui s'est réveillé au moment où ce grand reptile s'approchait du lit ont alerté la mère de l'enfant qui s'est précipitée dans la chambre à coucher où elle a été surprise par la présence de ce visiteur insolite. Les appels au secours lancés par la mère de l'enfant prise de panique ont alerté les jeunes du quartier qui ont réussi difficilement à abattre le gros serpent. Selon l'ACP, c'est la quatrième fois qu'un boa est tué dans le périmètre des maisons habitées dans la ville de Bandundu qui est bâtie au confluent des deux grandes rivières: le Kwilu et le Kasaï. Kinshasa - Pana 04/02/2010 Source
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Callisaurus draconoides
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Autres sauriens
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une grenouille vivante dans une salade de supermarché
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
St-Gall: une grenouille vivante dans une salade de supermarché Une Saint-Galloise a trouvé une grenouille vivante de trois centimètres dans une salade qu'elle avait achetée dans une grande surface. Un spécialiste a déterminé que l'animal est d'origine française et qu'il ne peut pas venir de la région st-galloise. Après avoir découvert le batracien, la femme a appelé la police, qui a confié l'animal à un expert du musée d'histoire naturelle. La "passagère clandestine" venue de France a été placée en quarantaine. Elle rejoindra ensuite d'autres grenouilles dans le terrarium de l'école cantonale de St-Gall. (ats / 02 février 2010 11:10) Source -
Spectaculaire : un homme mordu par un serpent venimeux
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Spectaculaire : un homme mordu par un serpent venimeux Une mésaventure vécue, que nous ne souhaitons pas à nos fermiers de la Ferme Célébrités... Il est 18h, la nuit doucement enveloppe le petit village de Kébou. Aboudou marche sur l'étroite piste qui mène de son champ vers sa maison. Une forme allongée surgit des herbes et traverse le chemin. Aboudou ne peut l'éviter et son pied se pose sur l'animal qui aussitôt se retourne et le mord à la cheville. L'animal qui vient d'attaquer ce paisible paysan est une bitis arietans, également appelée vipère heurtante. Très commune en Afrique de l'ouest, c'est une petite vipère qui ne dépasse pas 1 mètre de long. Les serpents sont de très anciens habitants de la Terre et on retrouve leurs traces il y a 75 millions d'années. La morsure est très douloureuse et Aboudou sait que l'animal qui vient de l'attaquer lui a inoculé une grande quantité de venin. Paniqué, il se hâte vers le village. Le venin qui se répand dans son organisme est hémorragipare et nécrosant. Les serpents inoculent le venin grâce à des dents modifiées qui permettent une injection sous pression. Selon l'espèce, le venin sera neurotoxique ou hémorragique. A Kébou, il n'y a pas de dispensaire et encore moins de sérum anti-venin. La famille étant pauvre, Aboudou sera soigné par le tradithérapeute. En cas de morsure, la létalité est située entre 1% et 30% en l'absence de traitement car l'injection du venin n'est pas obligatoirement une suite de la morsure. Les décès interviennent dans un délai de 12h à 6 jours pour une morsure de vipéridae et entre 3h et 8h pour une morsure d'elapidae (cobra, mamba..). Il est important de ne jamais faire de garrot, de ne jamais sucer la plaie ni de l'inciser soi-même. Un traitement traditionnel est administré à Aboudou. Il est essentiellement à base de plantes. En Afrique, 80% des victimes ont recours en première intention à ce type de soins. Si l'efficacité reste encore à démontrer, il n'est pas moins vrai que certaines plantes ont des effets antitoxiques, antalgiques, hémostatiques et antiseptiques. Malheureusement pour Aboudou, l'injection de venin a été massive et profonde.Il y a d'abord eu l'inflammation locale et la terrible douleur qui ne le lâche pas, puis les vomissements, une douleur abdominale et la diarrhée. Des cloques sont apparues, importantes et remplies de sérosités sanglantes, les gencives saignent ainsi que les pourtours de la plaie. Il est en hypotension, c'est à dire en état de choc. Au bout de quelques heures une nécrose humide, suintante est bien visible qui sera suivie rapidement par un début de gangrène.La fièvre fait trembler tout son corps. Finalement, Aboudou sera transporté à l'hôpital où il faudra amputer en urgence sa jambe. Il survivra à sa terrible rencontre et passera de longues semaines en soins intensifs. Dans son malheur, Aboudou a eu de la chance. En Afrique, les serpents venimeux, véritable problème de santé publique, sont à l'origine d'un million de morsures chaque année, provoquant 600 000 envenimations qui donnent lieu à 250 000 traitements médicaux et à 20 000 décès. Mais il faut savoir que ces chiffres sont certainement très en-dessous de la réalité car aucunes mesures précises ne sont disponibles. Les attaques ne sont pas localisées uniquement en brousse, elles surviennent aussi en ville mais sont 10 fois moins nombreuses. Histoires de pays en voie de développement me direz-vous ? En France la possession de serpents venimeux est très réglementée. Outre le fait que de plus en plus d'amateurs en possèdent et que les morsures se sont multipliées, certains cas résultent tout simplement de l'importation de produits exotiques ( bois, plantes, fruits etc...) Rappelez-vous, cet été le témoignage d'un particulier persuadé d'avoir croisé un cobra royal dans les rues d'une ville de France a defrayé la chronique. Nos hôpitaux permettent une prise en charge rapide et efficace. La banque des venins d'Angers possède les antidotes pour au moins 40 espèces différentes. Malgré tout, avec l'hybridation des espèces, il devient difficile de soigner certains patients. On peut également penser que le réchauffement du climat va bénéficier à la reproduction des serpents européens et notamment aux nombreuses vipères du sud de l'Europe. Il est alors à craindre que dans quelques décennies, les problèmes d'envenimation soient de plus en plus fréquent dans la vieille Europe. Si vous êtes amateur de serpents venimeux, soyez très prudents à la fois pour vous et pour votre entourage. E.F Source -
Deux serpents sèment la panique à la Rivière Saint Louis
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Deux serpents sèment la panique à la Rivière Saint Louis Ce matin, un père de famille a découvert avec stupéfaction un serpent rayé rouge et noir de plus d’un mètre de long dans son jardin. Pris de panique, il a immédiatement mis en sécurité son marmaille avant d’appeler les pompiers. Habitant rue Evariste de Parny à la Rivière Saint Louis, un père de famille est tombé nez à nez avec un serpent relativement impressionnant dans son jardin. Surpris, il a immédiatement alerté son épouse et mis son enfant à l’abri dans la maison avant d’appeler les secours. "Le serpent mesurait au moins 1,50m et il faisait environ 10 centimètres de diamètre" a expliqué le Saint Louisien aux sapeurs pompiers. Avec l’aide de ses voisins, ce père de famille a utilisé un jet d’eau pour faire fuir le reptile. Malgré la peur, ils sont parvenus à empêcher le serpent d’entrer dans le domicile. Une fois sur place, les pompiers ont tout fait pour retrouver l’animal mais en vain. Le serpent se serait dirigé vers un terrain vague situé à proximité de la rue Evariste de Parny mais le propriétaire du terrain en question a refusé que les pompiers entament des recherches sur son terrain. Le serpent en question n’a pas été retrouvé et selon plusieurs témoignages, il y aurait un deuxième reptile en liberté. Les habitants du quartier ne cachent pas leurs inquiétudes car cette aventure a connu plusieurs antécédents. Il y a quelques années un singe s’était échappé, un habitant est également tombé nez à nez avec un iguane dans son jardin récemment et une gramoune a littéralement marché sur un serpent alors qu’elle sortait de son lit. Un habitant du quartier possède plusieurs reptiles et autres animaux exotiques, les gendarmes ont donc déposé un courrier à son attention afin que cet homme puisse répondre à leurs questions. A noter : les sapeurs-pompiers auraient affirmé à ceux qui ont découvert le reptile rouge et noir que l’espèce n’était pas dangereuse selon leur description. Source -
La tortue de Floride placée sous surveillance dans le Rizzanese Les Amis du Parc naturel régional ont mis en place une étude, menée par Richard Destandau, visant à étudier le comportement de la tortue de Floride dans les méandres de l'embouchure de la rivière Rizzanese. En effet, lors de l'opération de capture des espèces protégées que sont les tortues cistudes pour marquage, les bénévoles avaient comptabilisé la présence de plusieurs tortues de Floride, considéré comme une espèce invasive. Un constat qui a poussé les Amis du Parc du service « gestion des espaces naturels », à lancer un travail sur le nombre d'individus de cette population, sur sa reproduction éventuelle et son impact environnemental. Un constat alarmant Richard Destandau, un des responsables du projet, a équipé plusieurs tortues de Floride d'un émetteur. Muni de son antenne de télémétrie, il a surveillé et noté soigneusement au jour le jour ses observations. Nul doute, la « méchante tortue » se plaît et se reproduit dans le Rizzanèse. Fort de ce constat préoccupant, les scientifiques se sont déplacés sur une période de 3 jours vers le site de l'embouchure de la rivière en compagnie du responsable local de l'étude pour une observation approfondie du phénomène. La Diren réagit Claude Miaud professeur à l'université de Savoie, membre du comité scientifique de la tortue de Floride, Marc Cheylan maître de conférence à l'université de Montpellier et Olivier Lorvelec de l'Inra de Rennes, spécialiste de l'écologie des invasions biologiques, s'accordent à penser : « Nous sommes arrivés à une nouvelle étape. Il y a nécessité d'agir. Les Amis du Parc naturel nous ont apporté les preuves témoignant que la tortue de Floride vit, se reproduit et donne naissance à de jeunes individus, ce qui à terme peut conduire à une invasion ». Rappelons que les tortues de Floride ou « Trachemys scripta elegans » représentent une préoccupation internationale. Elles sont très voraces et invasives, si bien que les étangs et rivières peuvent facilement être dépouillés de vie et de végétation si leur nombre évolue en trop grandes proportions. Agressives, elles peuvent menacer la cistude d'Europe, tortue aquatique protégée, comme c'est actuellement le cas dans le Rizzanèse. L'État soutient ainsi une étude diffusée sur deux ans et financée par la Diren. Cette prise de conscience collective aboutira à une stratégie environnementale précise pour répondre à la conservation de la tortue cistude et empêcher la « vilaine à tête rouge » de Floride d'envahir le Rizzanèse. Cathy Terrazzoni Source
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Callisaurus draconoides
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