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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. La saine manipulation des reptiles et des amphibiens La plupart des reptiles et des amphibiens se révèlent des porteurs efficaces des bactéries appelées salmonelles, sans en présenter de symptôme. Ces bactéries peuvent causer des maladies digestives et même entraîner des complications graves chez certaines personnes. Aussi convient-il que vous suiviez les conseils suivants pour minimiser les risques de transmission de ces bactéries et pour profiter d’une relation aussi sûre qu’agréable avec votre reptile ou votre amphibien. Lavez-vous bien les mains à l’eau chaude et au savon tout de suite après avoir manipulé un reptile, un amphibien, sa nourriture, son vivarium et toute surface avec laquelle il est entré en contact. Évitez de laisser le reptile ou l’amphibien en liberté dans la maison ou le logement. Gardez votre reptile, votre amphibien, ses bols, son vivarium et tout ce qui s’y rapporte en dehors de la cuisine. N’embrassez jamais votre reptile ou votre amphibien. Fournissez à votre reptile ou à votre amphibien les soins vétérinaires dont il a besoin. Les personnes considérées comme à risque, soit les personnes âgées, les enfants de moins de cinq ans, les personnes dont le système immunitaire est affaibli et les femmes enceintes, devraient éviter de toucher aux reptiles et aux amphibiens tout comme au matériel ou aux objets avec lesquels ces animaux sont entrés en contact. Source
  2. Voici maintenant des photos de la plus petite des deux. Elle est beaucoup plus rapide que l'autre à ce que j'ai pu remarquer. Celle-ci, j'ai peur de la perdre en la prennant.
  3. Max|mum-leterrarium

    Amblypyge

    Bon ok, je vous décourage avec mes photos d'araignée donc je suis allé à Québec voir Simon chez les animaleries Dyno pour voir ce qu'il avait à m'offrir. Il m'a fait un très bon deal pour deux amblypyges. Il y en a un plus vieux que l'autre et qu'il lui manque deux bouts mais ça ne parait presque pas. De toute manière, elle est en forme quand même. De toute manière, on m'exige un droit de visite sur celle là donc je n'avais pas le choix de la prendre pour voir cette personne plus souvent! Voici les photos de la plus grosse et j'irai prendre des photos de la plus petite ensuite.
  4. Bonjour à tous, La prochaine réunion de l'AHVR se tiendra le 24 février 2010. Le sujet du jour sera : L'alimentation des lézards en captivité et la conférence sera donné par François Landry Corbin. La réunion a toujours lieu vers 19h45 au au 620, rue Richelieu, Beloeil (Québec) J3G 5E8. On passe par la porte arrière et c'est la salle qui se trouve au sous-sol. N'allez pas à la salle qui se trouve à l'étage puisque c'est les réunions des Alcoolique anonyme qui ont lieu le même jour dans cette salle. Les réunions sont gratuites pour les membres de l'association. La carte sera de 25$ annuellement ou de 35$ pour un couple. Les non-membres peuvent assister à une réunion gratuitement et par la suite devront adhérer comme membres ou payer des frais d'entrée de 5$ pour assister aux réunions. Au plaisir de vous voir!
  5. Moi j'ai finis par monter mon record à 2850
  6. Max|mum-leterrarium

    petit nouvo

    J'ai présumé que le serpent en question était un Lampropeltis getula californiae. Je t'invite donc à lire la fiche sur l'espèce. /fiches-sur-les-serpents-f25/lampropeltis-getula-californiae-serpent-roi-de-californie-t76.htm Pour utiliser le même terrarium, il n'y a pas de problème. La lampe aussi si l'ampoule est du bon wattage pour atteindre la bonne température. Je te conseille donc de monter le terrarium avant l'arrivé du serpent afin de mettre les paramètres à point avant que le serpent l'habite. Je te conseille de mettre le tapis et la lampe sur deux côtés opposé du terrarium. Le pourquoi à celà est simple. Le tapis ne chauffera en aucun cas l'air ambiant du terrarium mais seulement le sol. L'air du terrarium restera plus frais quand même. On place la lampe de l'autre côté du chauffera l'air du terrarium à une température voulut. Le tapis fera monté la température légèrement oui mais à une température pour un côté froid, c'est à dire, quelques degrés de moins comme on le désire.
  7. Il élevait des serpents pour exploiter leur venin LESFAITS : Cet amateur n'avait pas les autorisations pour posséder les dangereuses bestioles Des crotales, des najas, des boas arc-en-ciel... Autant de noms de serpents qui font frémir les ophidiophobes (ceux qui ont la phobie de ces bestioles donc), et que ce Montpelliérain collectionnait dans son appartement de la rue Aristide-Ollivier, à deux pas de la gare. Le problème, c'est que l'élevage de ces ovipares, surtout certaines catégories venimeuses, est strictement réglementé et que le mis en cause était loin d'avoir toutes les autorisations. L'enquête menée par les gendarmes de la brigade de Saint-Georges-d'Orques, épaulés par l'ONCFS (Office national de la chasse et de la faune sauvage) et l'Oclaeps (Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique), a démarré à la ferme aux reptiles de la Bastide-de-Serou, dans l'Ariège. Les registres ont cachePubVide('pubCarreEdit'); laissé apparaître qu'une trentaine de serpents avaient été prêtés par le Montpelliérain, qui n'avait pas les certificats de capacité pour détenir ces espèces. La semaine dernière, les militaires ont effectué une perquisition à son domicile et ils ont mis la main sur d'autres serpents, dans des terrariums, notamment deux boas arc-en-ciel... Lors de son interrogatoire, le mis en cause a expliqué qu'il s'était procuré toutes ces bêtes sur des marchés aux Pays-Bas et essentiellement en Allemagne. En fait, sur des forums internet, il se vantait de gérer un centre de production de sérums antivenimeux. L'enquête a montré qu'il avait l'intention de monter une petite exploitation de venin dans l'Ariège, d'où il est originaire, sachant que le gramme de cette substance, prisée par les laboratoires pharmaceutiques, peut atteindre 2 000 €. Mais en proie à des difficultés financières, ces derniers mois, et sachant que l'entretien des serpents a un coût (notamment en électricité, parce que la température doit rester à 27°), il avait préféré cédé temporairement ses animaux fétiches à la ferme aux reptiles de sa région d'origine. « Un serpent, ce n'est pas un chien. Il faut avoir des autorisations spécifiques et savoir s'en occuper », rappelle l'enquêteur spécialisé de la gendarmerie. Le passionné, lui, sera poursuivi pour ces diverses infractions devant le tribunal correctionnel. Source
  8. Je l'ai cherché trop longtemps ce matin donc je fais un petit up!
  9. Des crapauds menacent les crocodiles Introduit en Australie par l’homme dans la première moitié du XXe siècle, le crapaud buffle (Bufo Marinus), continue à semer la mort auprès de certaines espèces endémiques australiennes. Après les rapaces et serpents, ce sont les crocodiles d’eau douce (Crocodylus johnstoni) qui sont décimés par l’amphibien originaire d’Amérique du Sud, dont le poison est très toxique. La population de crocodiles, qui fait partie des espèces protégées, est maintenant en danger, les crapauds proliférant dangereusement dans le nord du pays DR Lu sur http://www.developpementdurablelejournal.com/spip.php?page=article_diapoj&id_article=3647 Source
  10. Serpents, mygales, mantes, fourmis : le peuple de l’ombre sera à Croix, dimanche L’association « Le Peuple de l’ombre » organise ce dimanche à Croix, pour la septième année consécutive, son exposition consacrée aux reptiles et autres insectes. On y découvrira des « bestioles » étonnantes, mais attention : aucune manipulation n’est prévue. L’association ne fait pas dans le sensationnel, elle veut, au contraire, Fait notable, cette manifestation est la seule de ce type dans le Nord, et propose toujours une entrée gratuite aux visiteurs. Une dizaine d’exposants, tous bénévoles et passionnés, seront présents et partageront avec les visiteurs leurs connaissances sur les phasmes, les mantes, les fourmis, les coléoptères, les lézards, les grenouilles ou encore les serpents. OAS_AD('Position1'); À cette occasion, on retrouvera quelques habitués : Arthropodia (un centre d’élevage d’insectes), Reptiguane (association regroupant des passionnés d’iguanes), l’association Carapassion (pour la protection des tortues), les membres du forum Acideformik (avec le monde toujours captivant des fourmis), le cercle aquaterrariophile de Bailleul, Repticity (éleveur de serpents) et l’association Des Papillons et des hommes, avec sa collection impressionnante d’insectes naturalisés. Mais il y aura également deux nouveautés cette année, grâce à l’autorisation des services vétérinaires. Arthropodia présentera une collection de mygales vivantes et l’association Dendrogrove, pour la première fois, mettra en lumière ses dendrobates (petites grenouilles colorées). Mais attention, amateurs de sensations fortes, passez votre chemin : Le Peuple de l’ombre ne fait pas dans le sensationnel. L’exposition vise davantage la prévention et la sensibilisation, que le spectacle. Ainsi, pas question de se retrouver avec un boa vivant autour du cou : dimanche, il n’y aura aucune manipulation d’animaux. En revanche, le public en apprendra beaucoup, en discutant avec les exposants, sur les contraintes de l’élevage, le mode de vie des bêtes présentées, etc. Le but de l’association est aussi de lutter contre les achats « coup de tête », comme l’explique Olivier : « Quand les gens achètent par exemple un iguane en animalerie, c’est tout petit, tout mignon. Mais il faut leur expliquer que ça grandit, grandit ! » Il sera aussi question des prélèvements de spécimen dans la nature, auxquels l’association s’oppose, au profit de l’élevage et de la reproduction en captivité. • Source
  11. Les oubliés du réchauffement climatique Loin des débats politico-scientifico-diplomatiques sur le réchauffement climatique et la nécessité de changer nos habitudes, certains en subissent déjà directement les conséquences. Différentes espèces animales sont en voie de disparition, mais cela ne semble pas intéresser grand monde… Espèces en danger : vivants d[b]u chaud...[/b] [b][/b] [b]Une récente étude de l’Union Internation[b]ale pour la Conservation de la Nature intitulée "Espèces et changement climatique" tire la sonnette d’alarme en communiquant une liste de 10 espèces animales en voie de disparition. En tête de liste figurent le koala, habitué des grands espaces australiens, et le renard polaire. Ils font partie des espèces animales qui subiront le plus lourd tribut du réchauffement climatique, entrainant par là même leur extinction pure et simple. La tortue luth pourrait disparaître des côtes sud-africaines (photo D. Courbet) Le koala australien souffre de plus en plus de malnutrition et bientôt d’inanition (de faim) dans la mesure où la base de son alimentation – feuilles d’eucalyptus – disparaît en même temps que le niveau de CO2 augmente. La tortue luth, que l’on rencontre aussi sur les plages sud-africaines, doit quant à elle faire face à l’élévation du niveau des mers et à des tempêtes de plus en plus fréquentes pour cause de changement climatique, synonymes de destruction de son lieu de nidification. "L’élévation des températures amène à la réduction du nombre de mâles proportionnellement aux femelles", révèle l’étude. … et du froid ! Les vivants des espaces polaires ne sont pas épargnés non plus par les changements climatiques. Le renard polaire doit endurer la disparition progressive de la toundra arctique qui constitue son terrain de chasse et de vie, cette fois encore en raison du réchauffement climatique. L’élévation des températures non seulement entraîne la floraison de nouvelles espèces de plantes dans la région mais transforme également la toundra en véritable forêt. Notre renard polaire ne peut alors que migrer de plus en plus au nord, vers le froid donc, pour espérer survivre. D’autres espèces polaires sont menacées d’extinction à cause de la réduction de la neige et de la glace comme le phoque annelé ou le manchot empereur, vedette du film documentaire de Luc Jacquet, sorti en 2005. Il est donc évident que des efforts doivent être faits dans ce sens pour protéger non seulement des vies animales mais aussi humaines. Le changement climatique, et avant tout les dangers qui en résultent, risque d’être le sujet de préoccupation principal du siècle à venir. Or, l’échec du dernier sommet climatique de Copenhague laisse présager le pire. Au revoir koala, renard polaire, tortue luth et autre manchot empereur ou est-il encore temps d’agir ? David Courbet - (www.lepetitjournal.com/johannesbourg.html) - Vendredi 19 février 2010 [/b][/b] [b]Source[/b]
  12. Martel. À Reptiland, Molly donne naissance le jour de la Saint-Valentin Un couple de Pythons Tapis d'Australie, Sydney et Molly, a accueilli sa progéniture le 14 février. Ce jour de la Saint Valentin, « Molly » a pondue seize œufs ( un peu plus petits que des œufs de poule), ce qui paraît assez incroyable pour les connaisseurs. Un serpent ne produit pas de chaleur... Pourtant elle « couve » sa ponte. Comment? Elle se love au dessus des œufs, de telle façon qu'ils soient hermétiquement recouverts, et par des contractions volontaires de ses muscles, elle élève de six à sept degré la température au milieu des anneaux, et ce pendant près de deux mois. Molly perdra trente pour cent de son poids durant cette période.En attendant l'éclosion de ses futurs Pythons, Pancho vous attend pour vous présenter ses nouveaux pensionnaires. Source
  13. Le venin de scorpion serait une alternative à la morphine Le venin de scorpion, considéré comme un puissant poison, pourrait devenir une alternative aux analgésiques provoquant une forte dépendance comme la morphine, selon les résultats d'une étude menée par le Professeur Michael Gurevitz de l'université de Tel Aviv (Israël). Le Professeur Gurevitz effectue de nouvelles recherches afin de développer un analgésique basé sur des composants naturels trouvés dans le venin du scorpion. "Les toxines de peptide trouvées dans le venin de scorpion interagissent avec les canaux de sodium présents dans les systèmes nerveux et musculaire, dont certains communiquent la douleur. Si nous parvenons à comprendre comme ils interagissent, nous serons capables de modifier ces toxines et de les rendre plus puissantes en fonction de la douleur. Il serait ainsi possible de créer de nouveaux antalgiques n'ayant aucun effet secondaire", explique le Professeur Michael Gurevitz. Source
  14. Faîtes passer le mot! L'an passé un record de visiteurs a été battu. Pourquoi ne pas le rebattre cette année!
  15. Des amphibiens d'Europe menacés d'extinction La Chytridiomycose est une maladie extrêmement grave qui décime des centaines d’espèces d’amphibiens dans le monde. Dans une étude publiée dans Ecology Letter le 25 janvier dernier, des scientifiques ont remarqué que le taux de mortalité des crapauds infectés serait lié à l’altitude de leur lieu de vie. Ceci pourrait être lié à leur capacité à lutter contre le froid ou à l’adaptation du champignon à la température. Largement répandue à travers le monde, la chytridiomycose est une maladie due au champignon Batrachochytrium dendrobatidis (Bd) qui provoque l’extinction de nombreuses espèces d’amphibiens et menace de nombreux écosystèmes. Entre 2003 et 2008, les chercheurs ont prélevé 3016 tampons de peau de têtards et de crapauds accoucheurs (Alytes obstetricans) dans 126 lieux différents à travers toute la péninsule ibérique. Ils ont ensuite analysé les échantillons et remarqué que les empreintes génétiques des champignons causant des foyers d'infections et de nombreux décès dans les Pyrénées sont tous identiques. Ceci suggère que la maladie a été introduite dans la région relativement récemment. En utilisant des modèles mathématiques, ils ont montré qu’il n’existe aucun lien entre les facteurs environnementaux et la probabilité d'infection. Par contre, ils ont observé que les crapauds infectés vivant en haute altitude meurent dans 100% des cas des suites de leur infection alors que ceux qui vivent à des altitudes inférieures restent en vie. Les auteurs de l'étude indiquent que l'augmentation du risque de mortalité pourrait être liée à la capacité des crapauds à lutter contre le froid ou que le champignon est mieux adapté aux environnements froids. «La chytridiomycose est un grave problème pour les amphibiens du monde entier et cette maladie est à l'origine de l’extinction très rapide des amphibiens. Pour le moment, nous n'avons aucun moyen de prévention ou de guérison contre Bd à l’état sauvage, nous devons donc agir rapidement pour empêcher sa propagation sur des populations saines» a déclaré Matthew Fisher, auteur-correspondant de l'étude pour le département des maladies infectieuses et de l'épidémiologie de l'Imperial College of London. Dirk Schmeller, de la Station d’Ecologie Expérimentale du CNRS à Moulis (Ariège) a ajouté : «Nous avons identifié des crapauds accoucheurs malades à travers toute la péninsule ibérique mais l'infection a été beaucoup plus virulente chez les crapauds qui vivent à des altitudes élevées comme dans les chaînes de montagnes. Ces zones sont souvent très touristiques et les gens en se promenant le long de sentiers peuvent propager l'infection sans le savoir. Afin de limiter les ravages de ce champignon, nous devons investir dans des études d’expertise pour arrêter sa propagation. La désinfection des chaussures de touristes quand ils traversent des zones infectées serait, par exemple, un moyen efficace pour limiter la diffusion des spores fongiques. Nous sommes également préoccupés par l'ensemencement des lacs de haute altitude avec des poissons artificiellement élevés qui peuvent introduire accidentellement la maladie dans des zones non infectées» a ajouté Matthew Fisher. Cette étude menée depuis 5 ans par des chercheurs de l'Imperial College of London, la Société zoologique de Londres, et la Station Expérimentale du CNRS à Moulis a été réalisée dans le cadre du programme RACE (Risk Assessment of Chytridiomycosis to European amphibien biodiversity), qui comprend aussi d’autres institutions de la recherche scientifique en France, en Allemagne, en Suisse, et en Espagne. Le degré d’acceptation de ces mesures de conservation sera analysé à partir du printemps 2010 lors d’une étude menée par Dirk Schmeller. Source: Laboratoire de Moulis - CNRS - Saint Girons Source
  16. Il y a un petit bout de temps, Lecinéphile et moi avons eu la chance de le savoir avant tout le monde. On soupait avec Michel Le Blanc et on a été obligé de garder le silence mais maintenant j'ai la permission d'en parler. Émission; Avec Julie Snyder Date; Dimanche soir le 28 février 2010 Chaîne; TVA 19:00h
  17. Tiens, j'ai une amie qui m'a demandé de faire circuler son site web via mon msn mais j,étais trop lâche donc je vous le mets ici, c'est plus rapide http://dressing-de-misscassie.blogspot.com/
  18. Max|mum-leterrarium

    Mon retour

    Tiens, on dirait un politicien! Tel une promesse politique, elle n'est pas tenu
  19. Non malheureusement, j'ai regardé sous le mot classic et sous regular mais je n'ai rien trouvé.
  20. Meusnes. Loir-et-Cher. Samedi matin, un habitant s’occupe dans le sous-sol de sa maison, lorsqu’il a la surprise de tomber sur un serpent endormi… qui ne ressemble ni à une vipère, ni à une couleuvre commune… Il appelle donc les pompiers… Ceux-ci viennent. Le serpent a froid et ne boug donc pas trop… ce qui leur à permet de l’attraper facilement et de le placer dans un carton. Ils l’emportent ensuite dans leurs locaux où la chaleur ambiante réveille le reptile en douceur, précise La Nouvelle République. On sait que le serpent mesure 50 cm environ et qu’il s’agit en fait d’une couleuvre, ou serpent des blés, encore appelée « cornsnake » par les américains qui le trouvent communément à l’Est des Etats-Unis. Il n’est pas venimeux et se nourrit de rongeurs et d’oiseaux… Adulte, il peut atteindre 1,30 mètre. Ce serait des amateurs qui se les procureraient dans les animaleries. D’où l’idée que celui-là se serait probablement échappé de chez un voisin et ce serait réfugié dans la maison où il a été trouvé pour y passer l’hiver. Il dort maintenant, tranquillement, au zooparc de Beauval à qui les pompiers l’ont confié. Source
  21. Surtout que tu écris blondes avec un s à la fin. Quoi que j'ai tellement ris quand j'ai lu ça. Le hic est que je peux me trouver une fille qui est aussi fucké que moi sur ce plan là donc je vais continuer à tripper sur tout ce que je toruve comme ça La première c'était ma petite amie quand j'habitais à Otterburn Park. Elle vivait dans mon entrée dans le haut des escaliers tout près de la porte de garde-robe mirroir. Ça devait être une femelle pour passer ses journées à se regarder comme ça.
  22. Oui je sais, elle est quelque chose Sophie. Pas seulement par sa beauté, mais son caractère la démarque très bien également. Comme tu dis, c'est un autre sujet. Non, l'amblypyge s'est retrouvé à mon kiosque d'une manière assez sogronu et je serais parti effectivement avec. J'ai écris à celui qui l'exposait tantôt question de savoir si la petite bête ne serait pas à vendre. Je n'ai aucun problème de revenir à Québec juste pour l'acheter.
  23. Bon, ceux qui me connaissent savent que j'écoute la télé pratiquement juste pour écouter des reportages sur les animaux. C'est à cause de ça que je viens vous achaler avec ce petit vidéo qui démontre à quel point un crocodilien peut être dangereux.
  24. Je viens d'avoir une réponse au sujet de l'écureuil gris. Des gens ont dut écrire à la personne ou la personne a réussit à vendre l'écureuil. L'annonce a été supprimé donc ils n'ont pas pu trouvé la personne. Le dossier est maintenant clos.
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