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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Serpents à profusion au Salon des reptiles Le royaume des milles et une bestioles se trouvait au Collège Mérici hier. L’Association Herpétologique de Québec (AHQ) tenait son deuxième Salon des reptiles en collaboration avec le groupe de Coopération Internationale Mérici (CIM). Les visiteurs ont été nombreux à se présenter à l’événement afin de découvrir les différentes espèces. Au total, 200 types de reptiles en plus d’insectes épinglés et de poissons attendaient les curieux. «On veut que les gens se rendent compte que les reptiles ne sont pas tous dangereux», explique de prime à bord, la vice-présidente de l’AHQ, Anick Claisse. L’idée est de démystifier les fausses rumeurs et les fausses croyances en permettant aux familles de voir de plus près et de toucher les serpents, les tortues, les lézards et les arachnides. D’ailleurs, tous les reptiles de l’exposition sont légaux, donc du même coup non venimeux ce qui constitue une information rassurante pour les plus peureux. Cependant, la plupart des visiteurs rencontrés venaient de leur plein gré par passions. «Ma fille, Émiliane, adore les bêtes de ce genre. Elle aimerait avoir un caméléon», confie Kathleen Martel, la maman d’une fillette. Parmi les nouveautés, l’organisation a accueilli une imposante collection d’insectes épinglés et de poissons exotiques. Un kiosque découverte a fait son apparition cette année. Deux biologistes abordent plus spécifiquement le volet scientifique à l’aide de bête dans le formol comme un serpent à deux têtes. Les profits recueillis seront remis aux étudiants de CIM en vue de leur prochain voyage de coopération internationale au Pérou à l’été 2010. Source
  2. Je viens tout juste d'avoir l'information de la part de l'équipe d'organisation de cette exposition. Il y a eu environ 500 visiteurs ce qui veut dire une augmentation de 200 visiteurs sur l'an passé. C'est une très belle réussite je trouve!
  3. La plupart des photos ont été prises par ma complice du jour comme je disais puisque j'ai quitté très peu mon kiosque dans la journée. Vous allez probablement deviner lesquelles sont prises par moi! C'était vraiment une très belle exposition où nous, les exposants avons été accueillis en roi. C'est une grande réussite de la part des organisateurs!
  4. Quelqu'un m'a parlé de ce site sur msn ce matin. Il ne m'est pas pratique mais il peut peut-être servir à quelqu'un un jour donc je vous le mets en post-it. http://www.worldofballpythons.com/wizard/
  5. http://www.lanouvellerepublique.fr/dossiers/journal/index.php?dep=41&num=1546686
  6. C'était vraiment bien avec du monde fantastique. Je suis trop fatigué pour ce soir mais demain je devrais vous montrer quelques photos que ma complice du jour a capté avec mon appareil!
  7. Association Caouanne Etude et protection des tortues marines La région de Maintirano, située sur la côte ouest de Madagascar, est une région très enclavée où peu de recherches scientifiques ont été menées à ce jour. Bien que les tortues marines soient protégées à Madagascar depuis 1923, elles subissent encore une pression de pêche importante dans cette région. Afin de limiter cette pression et de palier au manque de connaissances sur les tortues de ces îles, le projet : « Diagnostic environnemental et social autour de la tortue marine dans l’ouest de l’océan Indien» a vu le jour en 2006 grâce à l’initiative de Géraud Leroux et au soutien du Muséum d’Histoire Naturelle de Genève. Ce projet, d’une durée initiale de 3 ans, a mis fin à la commercialisation de viande de tortue dans la ville de Maintirano et a permis de limiter fortement la consommation de tortues dans les îles (les tortues capturées accidentellement sont systématiquement relâchées lorsque le groupe d’étude est présent et consommées le reste du temps). Dans le cadre de cette étude, Audrey Campillo a réalisé, de mars à juin 2008 et de décembre à février 2009, des suivis de terrain et analysé les données récoltées depuis 3 ans. Cette étude a mis en évidence que 21% des tortues capturées présentent le Fibropapillomas, maladie mortelle pour ces animaux. Si les tumeurs ont régressé chez un faible nombre, cette maladie se développe jusqu’à une issue fatale chez la majorité des individus. Les résultats obtenus contribueront à améliorer les connaissances actuelles sur cette maladie qui pourrait anéantir les années d’effort de conservation des tortues marines. Dans une plus large mesure, cette étude permettra de dresser un état des lieux des écosystèmes récifaux des Iles Barren et de mettre en place une gestion des milieux favorisant la préservation des tortues marines et des ressources halieutiques dont dépendent les populations locales. Source
  8. Lézards, couleuvres, scorpions... les pompiers en bonne compagnie | LA VIE DES BÊTES | On les appelle NAC pour nouveaux animaux de compagnie. Un pompier liévinois a montré les siens à ses collègues lors d'une séance d'information. Les hommes du feu peuvent être amenés un jour à déloger un serpent ou un lézard. Une réelle complicité existe entre le sergent Obert et l'adjudant chef Delomel. Les deux hommes s'apprécient au point que le second a invité le premier à parler de sa passion : les nouveaux animaux de compagnie. Jeudi, une vingtaine de sapeurs-pompiers a suivi la séance proposée par Laurent Obert. Cet habitant de Givenchy-en-Gohelle n'est pas venu les mains vides. De ses caisses et boîtes, il a sorti deux beaux lézards Pogonas, deux couleuvres, un petit serpent très énervé ainsi qu'un scorpion. « De plus en plus de gens achètent ce genre d'animaux... on trouve de tout en Belgique », explique ce passionné de reptiles. « Dans les NAC, on trouve aussi des espèces d'oiseaux comme des perroquets ou un hibou dont le bec mesure deux fois la taille de mon pouce... » Les achats impulsifs laissent bien souvent la place à un rejet de l'animal quand celui-ci devient trop envahissant pour un appartement. Alors, on retrouve tortues et autres serpents dans la nature. « C'est rare mais on peut être appelé à intervenir sur ces animaux très spéciaux », précise le sergent. Autant donc connaître les gestes à suivre pour s'emparer de la bête, et si possible sans la tuer. Les pompiers liévinois ont appris qu'un serpent se prend le plus près possible de la tête pour échapper au risque de morsure. Au-dessus d'un mètre cinquante, il est impératif d'être à deux pour le maîtriser sinon gare à l'enroulement. Un lézard, lui, sera inoffensif s'il est pris par la peau du dos. Dans le cas contraire, attention aux coups de griffes et aux morsures : un lézard ne lâche jamais prise. La séance (entièrement bénévole) terminée, Laurent Obert a rangé ses animaux dans leurs boîtes avant de les ramener chez lui, dans la nouvelle maison où lui et sa compagne ont emménagé. Pour l'instant, les quatre serpents, trois lézards et autres Piranhas sont logés dans le salon. « Certaines personnes qui viennent chez moi ont peur », concède Laurent. Pour rassurer tout son monde, il compte aménager une pièce à part pour ses protégés. Source
  9. Des reptiles pour le Pérou Environ 450 personnes ont assisté, hier, à la deuxième édition du Salon des reptiles, qui avait lieu au Collège Mérici, à Québec. Sur place, les visiteurs ont pu se familiariser avec plus de 200 espèces de serpents, lézards, insectes, arachnides, tortues et poissons, dont un python albinos de Birmanie de 12 pieds et une tortue Sulcata de 40 livres. Cet événement visait à démystifier l’univers des reptiles, « des animaux qui gagnent à être connus », selon Annick Claisse, vice-présidente de l’Association d’herpétologie de Québec, qui présentait le Salon. Les profits amassés par cet événement ont été remis aux coopérantes de Coopération internationale Mérici afin d’aider au financement de leur voyage humanitaire au Pérou, l’été prochain. Source
  10. Des serpents à la polyvalente de L’Ancienne-Lorette Dans le cadre de la semaine des Flocons qui se tient à l’école secondaire polyvalente de L’Ancienne-Lorette, le musée-classe éthique et culture religieuse a organisé pour les élèves un atelier de démystification des reptiles. On dit souvent que ce que l’on ne connaît pas fait peur. Invité par l’enseignant Jean-Pierre Verville, Simon Brault, un passionné des reptiles, est venu montrer aux élèves certains de ses petits amis spéciaux. Ainsi, les élèves ont pu toucher à un serpent, un scorpion, une tortue, un lézard et même à un varan. Source
  11. Eh bien, je charge l'auto et je suis en route! Fatos si tu oublies ton appareil-photo, tu passeras à mon kiosque en premier, je te prêterai le mien. Sinon, tu peux passer me remplacer durant quelques minutes pour que j'alle prendre quelques photos question de montrer à ceux de Montréal ce qui ont manqué?
  12. Tu passeras me dire bonjour si tu me reconnais! Ça fait longtemps qu'on s'est vu donc moi-même je ne sais pas si je te reconnaitrais. Petit indice pour me retrouver, je vais être avec une jolie rousse!
  13. Romanèche : Formation "reptiles" à Touroparc Touroparc, le parc zoologique de Romanèche Thorins, forme les pompiers à maîtriser ces animaux Depuis bientôt 3 ans, les sapeurs-pompiers de Mâcon reçoivent régulièrement une formation « reptiles » à Touroparc. Une vingtaine d'entre eux ont participé à une nouvelle session jeudi 11 février 2010. La pédagogie est une des missions des parcs zoologiques. Le directeur de Touroparc, Fabrice Thete, est titulaire d'un certificat de capacité en élevage reptile et exposition au public. Il a donc initié une formation afin de sensibiliser les soldats du feu à la maîtrise des reptiles. En effet, les soldats du feu peuvent être appelés chez des particuliers pour capturer des reptiles. D’où la nécessité de savoir comment attraper les serpents, iguanes, etc. Quels sont les risques lors de ces interventions ? Que faire de ces animaux ? La formation se déroule en deux parties. Le matin, la théorie avec le tableau de reconnaissance des espèces venimeuses, les risques, les sérums existants… Puis, la pratique avec la manipulation des reptiles, l’art de les attraper en douceur. La formation a été assurée par Frédéric Bouhe, capacitaire en reptiles. Source
  14. Je vous ramène à un autre poste pour donner un peu d'information sur le sujet! /herpetofaune-f32/braconnage-t3374.htm?highlight=braconnage
  15. Le braconnage est tellement présent sur les sites d'annonces classées. Chaque fois que j'y vais, j'en reviens frustré. Voici l'annonce en question cette fois : http://montreal.kijiji.ca/c-animaux-autres-animaux-a-vendre-Ecureuil-gris-W0QQAdIdZ185498149 N'écrivez pas à l'auteur du message svp. S.O.S. braconnage fait actuellement enquête pour les retracer donc si le message disparait, ils ne pourront plus rien faire.
  16. Je vais être en bonne compagnie. Je suis certain que ça sera super!
  17. L'exposition est dans deux jours, je fais qu'un up pour vous le rappeller!
  18. La mare du bois d'Altigone, garante de la biodiversité Le service environnement de la ville, après avoir organisé une réunion d'informations pour les riverains du bois d'Altigone, souhaitait procéder samedi matin avec les personnes intéressées à une partie de la réhabilitation d'une mare temporaire présente dans le milieu. Le sol détrempé a obligé les responsables à reporter l'opération à une autre date. La mare est située dans une dépression du bois et elle a toute son utilité et sa place dans l'écosystème, ce que confirme l'association Nature Midi-Pyrénées présente dans le cadre d'un nouveau partenariat avec la commune. Aux côtés de Michel Sarrailh, adjoint au développement durable, Jean Ramière, chargé de mission de l'association, expliquait cette action qui s'insère également dans les objectifs de la Journée mondiale des zones humides : « Ce partenariat concerne diverses actions sur la biodiversité et la réhabilitation de la mare temporaire fait suite à des interventions de naturalistes dans le bois et ses alentours ; nous avons ainsi répertorié six espèces d'amphibiens dont la salamandre et le crapaud pélodyte ponctué : les zones en eau sont nécessaires pour la reproduction ». Le permanent soulignait par ailleurs la raréfaction de ces zones qui ont aussi vocations d'être attractives pour les insectes et les oiseaux. Intérêt écologique L'intervention des employés municipaux du service environnement a déjà permis d'éclaircir l'endroit en enlevant un frêne et une souche de pyracantha gênant la luminosité et générateurs de matières organiques, ce qui n'exclue pas l'installation d'une végétation adaptée et pérenne. L'association souhaite recreuser le profil des berges de la mare en pente douce, garante de son accessibilité pour les amphibiens et autres hôtes. Samedi, six naturalistes étaient prêts à revenir prêter main-forte à Jean Ramière pour mener à bien cette action et une riveraine, Cécile, semblait convaincue de son intérêt écologique. Michel Sarrailh, Jean-François Robic, responsable du service environnement et Sophie Carré, technicienne de l'environnement qui prendra ses fonctions en avril étaient présents pour souligner l'intérêt majeur de protéger la biodiversité, l'action voulant aussi trouver un écho auprès des riverains : « Nous souhaitons mettre en avant les éléments techniques, paysagers et pédagogiques de cette mare temporaire » soulignait l'ensemble des acteurs. Source
  19. Un serpent chez un bébé de 10 mois UZWIL, Suisse — Un camarade de jeux inhabituel a fait irruption dans l'appartement où se trouvait un bébé de dix mois mardi soir en Suisse. Sous les yeux de la famille, un serpent a surgi des coussins et s'est approché de l'enfant, selon la police cantonale saint-galloise. Alertée, la police est arrivée avec un chien spécialisé dans la traque aux reptiles. Le chien a débusqué l'importun et le policier l'a bien vite enfermé dans une housse de coussin. Selon l'erpétologue qui a examiné le reptile de 80 centimètres de longueur, il s'agissait d'un serpent de lait qui n'est pas venimeux. Les habitants de la maison ont déclaré que l'animal ne leur appartenait pas. Le propriétaire du serpent a été retrouvé: il s'agit de l'ancien locataire de l'appartement. Cet homme de 29 ans avait constaté la disparition de son reptile deux mois avant de quitter les lieux à fin août 2009, mais qu'il s'était gardé de le signaler, la détention de ces animaux étant interdite dans l'immeuble. Source
  20. Max|mum-leterrarium

    Salon des reptiles

    J'appellerai avant alors pour ne pas monter pour rien!
  21. Max|mum-leterrarium

    Salon des reptiles

    As tu un kit de sondes pour sexer les serpents en vente en ce moment? Si oui, tu devrais me voir cette semaine. Je devrais être en mesure de pouvoir monter à Montréal!
  22. Le triton qui se prenait pour un X-man Le triton espagnol se protège en faisant jaillir ses côtes à travers sa peau, qui deviennent autant de pointes effilées et toxiques. Loïc Mangin Parmi les X-men, des super-héros créés par Stan Lee et Jack Kirby dans les années 1960, il en est un, nommé Wolverine ou Serval (apparu en 1974), doté de griffes en métal acérées qui sortent du dos de ses mains. Egon Heiss, de l'Université de Vienne, en Autriche, et ses collègues, ont étudié un système de défense similaire, celui du pleurodèle de Waltl (Pleurodeles waltl), aussi appelé triton espagnol. Seule différence, chez l'amphibien, les griffes sortent... de la cage thoracique ! Comment fonctionne cette arme secrète ? Quand il est menacé et aculé, le reptile s'immobilise, fait le dos rond et gonfle son thorax, d'où poignent alors, au niveau de zones orangées, des petites pointes. Simultanément, l'animal exsude une substance laiteuse toxique qui oint ces pointes. Et voilà le triton paré pour se défendre. Ce système fut découvert en 1879 par le zoologiste allemand Franz von Leydig, mais on en ignorait les détails. À l'aide d'analyses tomographiques et radiographiques, l'équipe d'E. Heiss a montré que ces pointes sont en fait les extrémités des côtes. Ces os effectuent une rotation à partir de leur point d'ancrage sur la colonne vertébrale : l'angle par rapport à l'axe vertébral peut varier de 27 à 92 degrés, soit une amplitude de 65 degrés. Cette rotation est autorisée par les deux « têtes » de l'articulation des côtes avec la colonne (voir l'image ci-contre). Plus étonnant encore. On pensait que les os traversaient des pores spécialement dévolus à cette fonction. Il n'en est rien : à chaque fois que les côtes sortent, elles perforent la peau, celle-ci, comme chez la plupart des amphibiens – et chez Wolverine ! –, se régénérant ensuite facilement. L'animal, immunisé contre son poison, produirait également des substances antibactériennes pour éviter l'infection des lésions qu'il s'inflige. Ce système de défense fondé sur une automutilation fait du triton espagnol un cas à part chez les amphibiens, voire dans l'ensemble du monde animal : des petites blessures valent mieux qu'une grande à l'issue incertaine ! Source
  23. Une fillette de 11 ans tuée par un alligator Au Brésil, une fillette de 11 ans a été tuée par un alligator dimanche dernier. Selon le Latin American Herald Tribune, qui cite Portalamazonia, un alligator de plus de quatre mètres de long s'en est pris à la jeune fille dans l'État de Rondonia, dans l'ouest du pays. Gigliane do Nascimento Bira était en train de jouer avec son frère sur le rivage d'une rivière lorsque le reptile l'a attrapé et l'a entraîné sous l'eau. L'animal aurait été retrouvé environ huit heures après l'attaque et le corps de l'enfant se trouvait toujours dans sa gueule. L'alligator de 350 kilogrammes a ensuite été abattu. par Olivier Caron Source
  24. Ils aident les grenouilles à traverser la route - Châteaubriant À la période de reproduction, des centaines d'amphibiens tentant de rejoindre leur mare se font écrasersur la D178, l'ancienne route de Châteaubriant à Nantes. Bretagne Vivante tente d'y remédier. Chez les amphibiens, la période de reproduction approche. La nuit, grenouilles agiles, crapauds et autres rainettes sortent des bois pour rejoindre les mares, de l'autre côté de la route. Las ! Nombre de ces batraciens n'y parviennent jamais... et finissent sous les roues de voitures. C'est la grenouille rousse qui ouvre la valse. « Chaque année, on en retrouve des centaines écrasées », constate Chantal Julienne, responsable de la section de Châteaubriant. Un piège douxpour les grenouilles Face à cette hécatombe, cette année, Bretagne Vivante, avec l'accord de la famille De Freslon, propriétaire du site, a décidé de passer à l'action. Samedi matin, une vingtaine de volontaires ont installé un barrage de 500 mètres, à l'aide de bâches, piquets et seaux, le long de la Forêt Pavée, sur la commune de Moisdon-la-Rivière, juste après l'Étang-Neuf. Les conditions climatiques sont idéales : temps doux et humide. « Les grenouilles se heurtent au barrage et filent le long des bâches avant de tomber dans les seaux enterrés à ras le sol », explique Gwénola Kervingant, secrétaire de la section Estuaire-Loire-Océan, basée à Saint-Nazaire. Pour ne pas piéger les petits rongeurs comme les campagnols, il a été prévu de mettre un petit bois le long de chaque seau. Le procédé est un piège doux. À partir de ce matin, des bénévoles viennent relever les seaux et remettre les batraciens à l'eau dans les mares, de l'autre côté de la route. La barrière sera retirée à la fin de la période de reproduction, vers le mois d'avril. Qu'en est-il du retour ? « Nous pensons que la migration est étalée, on ne sait pas précisément, c'est beaucoup plus éparpillé dans le temps », reconnaissent les spécialistes. Dans la Forêt Pavée, plusieurs espèces ont été repérées : la grenouille agile, le crapaud commun, le triton marbré, le triton palmé, le triton crêté, la grenouille rousse qui pond dans les ornières ou les prairies humides. Contact : 02 40 07 23 30 ou chateaubriant@bretagnevivante.fr Source
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