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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
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Nouvelle acquisition!!!!!!!!!
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de le cariboux1 dans Boidés
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14 Janvier 2010 (Podocnemis unifilis)
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans L'espèce de la semaine
Nom scientifique : Podocnemis unifilis Nom français : Tortue à taches jaunes de l'Amazonie Nom anglais : Yellow-spotted amazon river turtle Origine : Brésil, Colombiem Venezuela, Pérou, Bolivie Biotope : Aquatique, mais a besoin d'une partie terrestre Température : 26 à 30°C pour l'eau 30 à 32°C pour l'air Moeurs : Aquatique et diurne Taille adulte : 33,5 cm pour le mâle et 46,5 cm pour la femelle Longévité : 23 ans Nourriture : Herbes, branches minces, fruits, parfois de poissons Photo prise sur le site http://jcvi.org/ Voici une tortue que j'ai découvert au Biodome de Montréal. Il y en avait deux qui nageaient dans un petit cours d'eau du côté de la forêt tropicale. Elles ont piqué ma curiosité un long instant. J'aurais aimé les voir de plus près par contre. J'ai alors fais de la recherche un peu sur elles une fois à la maison. C'est alors que j'ai décidé de nous les présenter comme espèce de la semaine maintenant que je sais qu'elles se trouvent en captivité. -
Polémique autour des microcentrales LESCUN ET URDOS. La Sepanso s'oppose à la multiplication des microcentrales hydroélectriques dans les sites fragiles de la vallée d'Aspe «Ne massacrons pas les têtes de bassin dans la haute vallée d'Aspe ». C'est le message que la Sepanso cherche à faire passer en s'opposant à l'installation d'une microcentrale hydroélectrique à Lescun. Ce projet, qui concerne les gaves d'Ansabère et de Lauga, fait l'objet d'une enquête publique qui a été ouverte le 29 décembre dernier et se terminera le 29 janvier. Pour l'association de protection de la nature, il reviendra à détourner 90 % du volume des cours d'eau vers une turbine destinée à produire de l'électricité. Ce qui aurait un effet dévastateur sur les poissons, mais aussi sur deux espèces animales locales : le desman des Pyrénées, un petit mammifère, ainsi qu'un amphibien, l'euprocte des Pyrénées. La Sepanso s'inquiète d'autant plus que l'implantation d'une autre microcentrale doit être soumise elle aussi à enquête publique, à Urdos, sur le Larry. Cela après que le préfet ait, dans un premier temps, refusé l'installation de cet équipement. Pour les membres de l'association, ces installations sont nuisibles aux milieux naturels fragiles dans lesquels elles s'implantent, et inutiles sur le plan économique « car leur production en électricité sera particulièrement faible ». La Sepanso a également du mal à comprendre que ce qui vaut d'un côté des Pyrénées ne le vaut pas de l'autre. « Car le préfet de Haute-Garonne a bloqué un projet de centrale analogue sur la commune de Melles. » De là à accuser les élus, mais aussi l'association de pêche locale à ne chercher qu'à profiter des compensations financières que leur apporteront ces installations, il n'y a qu'un pas, vite franchi. Une démarche qu'un pêcheur a dénoncée récemment en lançant sur Internet une pétition qui, indique-t-il, a déjà recueilli plus de mille soutiens. « Le gouvernement a certes dit qu'il fallait développer l'hydroélectricité. Mais en renforçant les barrages existants. Et nous rappelons que la première énergie à produire, c'est d'abord d'économiser ». « Mensonges » dit le maire Contactée, la Fédération départementale de pêche s'oppose, elle aussi, au projet. Mais un tout autre point de vue est défendu par François Baye, le maire de Lescun. « Nous sommes en conformité avec les objectifs de développement des énergies renouvelables », dit-il. En rappelant que le savoir-faire dont témoigne la vallée d'Aspe depuis quatre-vingts ans en matière d'hydroélectricité lui a permis de garder une eau de qualité exceptionnelle. Ce qui l'amène à qualifier de « mensonger » un document critique qui a été diffusé en vallée d'Aspe par la Sepanso. « Je suis agacé qu'on s'interroge sur la survie du desman et de l'euprocte. Je sais où ils vivent et ils se portent bien », ajoute l'élu. François Baye signale enfin que la microcentrale rapportera 60 000 ? (puis à terme 170 000 ?) par an à une commune qui se bat pour garder le peu d'habitants qu'il lui reste : « Nous en avions 1 800 autrefois. Il en reste 187. » Quant à sa production électrique, elle représentera 1 100 tonnes d'équivalent pétrole. « Cela correspond à ce que rejettent dans l'air 1 200 véhicules faisant 15 000 km chaque année. » Source
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Eh oui, en fds passé, je suis allé faire un tour au biodome de Montréal. J'y allais chaque année avant mais là, il s'est écoulé un bon trois ou quatre ans avant que je puisse y retourner. Je vous montre quelques photos seulement de mon passage là bas. Trouvez Charlie! Le seul hic avec le biodome, c'est que le stationnement coute aussi cher que l'entrée!
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14 Janvier 2010 (Scolopendra h. castaneiceps)
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans L'espèce de la semaine
Nom scientifique : Scolopendra heros castaneiceps Nom français : Centipède à tête rouge Nom anglais : Red-headed centipede Origine : Extrême sud-ouest des États-Unis et Mexique Biotope : Semi-aride à semi-humide Température : 26 à 29°C Hygrométrie : 50 à 65% Moeurs : Terrestre à tendance fouisseur et nocturne Taille adulte : 15 cm Nourriture : Insectes Photo prise sur le site http://www.bighairyspiders.com/ Voici des petits vidéos sur ce petit insecte intriguant. -
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Morsures de serpents : plus de 100 000 morts par an…
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Morsures de serpents : plus de 100 000 morts par an… Les morsures de serpent font chaque année 5,5 millions de victimes dans le monde. Elles sont ainsi responsables de 400 000 amputations et 125 000 décès. C’est à un point tel qu’en 2009, l’OMS a déclaré ce fléau « Maladie Tropicale négligée ». De la prévention au choix des traitements, l’ensemble de la prise en charge doit être réorganisé. Toutes les régions du monde sont concernées. Il y a des serpents partout… Toutefois, « les habitants des zones rurales des pays tropicaux en développement sont les plus touchés », précise le Pr David A. Warrell de l’Université d’Oxford (Royaume-Uni). Et les conséquences économiques de ces accidents sont lourdes, en termes de pertes de production agricole par exemple. L’éducation des populations est essentielle, et préférable à l’éradication des serpents. S’ils sont dangereux, ils sont en effet indispensables à l’écosystème. Outre une information spécifique, la distribution de chaussures de protection est un bon moyen. La formation aux premiers soins et aux principales techniques de réanimation est également essentielle,. En cas de morsure en effet, la victime doit être immobilisée le plus rapidement possible et un bandage serré appliqué sur la plaie… sans empêcher la circulation du sang. Le venin d’un seul serpent contient jusqu’à cent protéines et peptides différents, plus ou moins toxiques. Et ces derniers affectent les systèmes nerveux – dans le cas des neurotoxines - cardiovasculaire ou l’hémostase (c’est-à-dire la coagulation du sang). Arrêt cardio-respiratoire, paralysie, insuffisance rénale, impuissance, infarctus du myocarde, gangrène… les dégâts provoqués par une morsure peuvent être très importants. Un seul antidote : l’anti-venin. Il s’agit d’un concentré d’immunoglobines fabriqué à partir du plasma d’animaux domestiques, immunisés par des injections répétées d’un venin donné. Certaines complications, choc anaphylactique notamment, peuvent survenir, mais sont difficilement prévisibles. D’où l’importance de bien évaluer la balance bénéfice-risque de son administration, surtout en cas de contre-indications connues. En plus de l’anti-venin, des soins complémentaires devront être prodigués aux patients souffrant de problèmes respiratoires, circulatoires et rénaux. Source : The Lancet, 31 décembre 2009 Source -
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Femelle Berber skink
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Autres sauriens
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2010, année de la biodiversité Tous les experts sont formels : près d'un quart des espèces animales et végétales pourrait disparaître d'ici le milieu du siècle en raison des activités humaines. L'ONU tire la sonnette d'alarme en déclarant 2010 année de la biodiversité. Près de 40 % des espèces sont menacées L’ONU a proclamé 2010 année internationale de la biodiversité pour sensibiliser l'opinion publique à l'extinction de certaines espèces, comme la tortue à bec de faucon. Berlin donne le coup d'envoi "Nous avons besoin d'un changement radical, avec effet immédiat", a tancé Angela Merkel, lundi 11 janvier lors du lancement de l'année internationale de la biodiversité. Toutes les 20 mn, une espèce disparaît La moitié des espèces de mammifères, près de 1 200 espèces d'oiseaux ou encore 70 % des plantes sont menacés. En cause : l'agriculture ou l'exploitation forestière. Le thon rouge divise l'Europe Faut-il interdire la pêche de ce poisson ? Le débat est ouvert au sein de l'UE qui pourrait l'inscrire sur la liste des espèces les plus menacées. "Océans", un hommage au monde marin Le documentaire de Jacques Perrin sortira dans les salles en France le 27 janvier. Cette traversée aux quatre coins des océans met en scène plus de 90 espèces. La France, une mauvaise élève Elle se classe au 8e rang mondial des pays hébergeant le plus grand nombre d’espèces menacées (778). Source
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22 décembre 2009 (Phrynohyas resinifictrix)
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans L'espèce de la semaine
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Femelle Berber skink
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Autres sauriens
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22 décembre 2009 (Phrynohyas resinifictrix)
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans L'espèce de la semaine
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Dans l'univers de l'homme aux reptiles 9 janvier 2010 - MARIE DORSAZ - COLLOMBEYDepuis plusieurs semaines, l'herpétologue Marc Jaeger présente 150 de ses reptiles et arachnides dans le cadre de son exposition itinérante. Rencontre avec un passionné. Vêtu d'un short et d'une chemise beiges, un chapeau d'aventurier vissé sur la tête, Marc Jaeger donne l'impression d'évoluer au beau milieu de la jungle. Et pour cause: dans la halle qui abrite son exposition de reptiles, dans la zone industrielle de Collombey, la température est tropicale, pour le confort de ses 150 bestioles. «Personnellement, ça ne me gêne pas. J'adore la chaleur», assure le Zurichois de36 ans. Depuis novembre dernier et jusqu'au 21 février prochain, il présente au public ses serpents, crocodiles, lézards et arachnides. Rencontre avec un herpétologue qui a fait de sa passion son métier. Cinq cents bêtes à la maison Dès l'âge de 3 ans, Marc Jaeger est parti régulièrement en Afrique avec ses parents. Son père était alors féru de chasse et passait plusieurs semaines par année sur le continent africain pour participer à des safaris. «Les reptiles et les arachnides me fascinaient déjà», se rappelle-t-il. «Lorsque l'on se promenait, je retournais tous les cailloux pour chercher les scorpions.» A 8 ans, il adopte son premier serpent, au grand dam de ses parents. «Ils n'aimaient pas ces bêtes. Mais j'ai réussi à les convaincre pour un spécimen... Puis deux, puis trois et vous connaissez la suite», sourit Marc. Au fil des ans, sa collection s'agrandit. Désormais, il possède près de 500 reptiles, amphibiens et arachnides qu'il a recueillis, obtenus grâce à des échanges ou capturés lors de ses voyages à travers le monde. Un zoo en projet S'il est organisateur d'événements de profession, le Zurichois a dû se résoudre à abandonner son métier. «Je devais faire un choix entre mon boulot et mes bêtes, qui me prennent énormément de temps», explique-t-il. Depuis l'année passée, Marc vit uniquement de sa passion. «Je pensais que ça me laisserait davantage de temps, mais finalement, je ne dors pas beaucoup plus qu'avant.» Avec sa compagne Patricia, elle aussi passionnée, il organise des expositions itinérantes et des spectacles. «Elle se met dans la peau d'une danseuse orientale et moi d'un fakir.» L'herpétologue collabore régulièrement avec la police et les pompiers, lorsque ces derniers découvrent des reptiles durant leurs interventions. Il travaille aussi avec des instituts de recherche médicale pour l'utilisation de venin de serpents dans la fabrication de médicaments. «Actuellement, on soigne beaucoup grâce aux vertus des plantes. Les animaux venimeux sont l'avenir de la médecine.» Si de nombreuses activités occupent ses journées, Marc a encore d'autres projets. Le plus important: la création d'un grand zoo pour reptiles et d'une ferme de crocodiles, destinée principalement à la reproduction. «Patricia et moi cherchons encore un lieu et des investisseurs. Nous espérons voir aboutir notre projet d'ici à un ou deux ans.» Source
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Drôle de rencontre dans l'escalier Quelle ne fut pas la surprise d'Éric Langlet, habitant au 2 de la rue Virgil-Grissom, quand jeudi soir, il s'est retrouvé face à face avec un serpent ! « Je me rendais chez une tante au 8e étage en empruntant les escaliers de service plutôt que l'ascenseur », témoigne l'homme encore surpris par cette rencontre. « Là, j'ai vu un serpent de plus d'un mètre ! » L'animal se veut agressif. Le Calaisien ne prend pas de risques et ne cherche pas à savoir à qui appartient la bestiole. Il appelle les sapeurs-pompiers de Marck en renfort. Sur place, l'animal est attrapé et maîtrisé par des secouristes qui ont pris toutes les précautions. Le serpent mesure 110 centimètres de long. La Ligue protectrice des animaux installée zone Marcel-Doret a récupéré le serpent hier matin à la caserne de Marck. Malgré la proximité du littoral, ce serpent n'est point de mer et n'est certainement pas de la région. Son origine, même si elle reste incertaine, le situe en Amérique du Nord, rien que ça, et il n'a pas pu venir par ses propres moyens visiter la Côte d'Opale. Son propriétaire reste inconnu pour le moment. Il peut semanifester auprès des responsables de la Ligue protectrice des animaux. Source
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Paire de jean contre serpent Que faire pour se protéger contre des morsures de serpent ? Porter des jeans, bien sûr ! Cela peut ressembler au conseil d'un ami bien mal éclairé ; il s'agit pourtant là d'un conseil très sérieux, issu d'une recherche menée par deux chercheurs de l'université Loma Linda, en Californie et dont les résultats ont été publiés dans la revue scientifique Annals of Emergency Medicine. Pour mener leur recherche, les deux scientifiques ont utilisé des faux membres humains en remplissant des gants en latex de solution saline puis ont couvert certains d'entre eux d'une couche de jean très épais. Ils ont ensuite présenté ces derniers à des serpents à sonnette de différentes tailles. Selon leurs tests, les gants couverts de jean ont reçu deux tiers de venin de moins que les autres : en effet, le textile en absorbe une grande partie. Deux millions de gens sont mordus chaque année par des serpents venimeux et plus de cent mille d'entre eux en meurent. Les morsures de serpents à sonnette sont potentiellement fatales pour les humains, si elle ne sont pas traitées immédiatement. Porter des jeans pourrait donc amoindrir la dose de venin reçue en cas de morsure. Toutefois, la meilleure protection contre les morsures de serpent reste encore de les éviter ! Source
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22 décembre 2009 (Phrynohyas resinifictrix)
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans L'espèce de la semaine
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Âgé de 176 ans, Jonathan la tortue est borgne C'est sur l'île lointaine de Sainte-Hélène, dans l'océan Atlantique, que Jonathan est une véritable star. C'est agé de 176 ans, qu'il aime toujours profiter de sa vie. Et pour cause. Jonathan, qui passe son temps à se prélasser sur les pelouses bien entretenues de la résidence du Gouverneur, aurait vu, s'il avait la télévision, le couronnement de huit monarques britanniques, de Georges IV à Elizabeth II, et il aura également assisté à la création de l'électricité. Il aurait pu également serrer la main à cinquante Premiers Ministres. Jonathan fait partie d'une espèce qui a totalement disparu de la surface de la terre au milieu du XIXème siècle. Jonathan, une tortue géante originaire des Seychelles, est considéré comme la plus vieille créature vivante de la planète. Malgré son grand age l'animal se porte toujours bien, selon les dernières informations fournies par les médias de l'île. A l'inverse du doyen français décédé le 31 décembre, jonathan aura connut 2010. Source