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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Haut-Rhin : Il y a un lézard à Westhalten Les vendanges sont finies, les collines de Westhalten dans le Haut-Rhin semblaient avoir retrouvé leur calme. Mais le calme ne règne qu'en surface. En réalité, certains viticulteurs ont bien du mal à respecter les dispositions de protection de la nature prises pour les zones natura 2000. Le fils du Maire de Westhalten a ainsi déplace un chemin rural en empiétant sur une zone protégée et gagne ainsi quelques ares de vignes supplémentaires. C'est du moins l'avis des associations écologistes qui accusent de plus le viticulteur d'avoir déversé les déblais sur un pierrier qui abrite des lézards. La bataille fait rage à Westhalten où le Maire est accusé d'avoir fait preuve de complaisance en faveur de son fils.Les écologistes ne décolèrent pas, rappellent l'état à ses obligations et le somment de mieux veiller à la protection des zones naturelles. Source
  2. Max|mum-leterrarium

    choix de purée ?

    Donc finalement, il mange ce gecko?
  3. Je ne comprends pas trop ce que tu veux dire. Tu utilises quel hébergeur photo?
  4. La SVPA en croisade pour les grenouilles POLÉMIQUE | Une campagne de la Société vaudoise pour la protection des animaux dénonce la consommation de cuisses de grenouilles. Un mets dont les Vaudois sont friands. Sarah Bourquenoud | 07.11.2009 | 00:06 Après les amateurs de foie gras, c’est au tour des mangeurs de grenouilles de s’attirer les foudres des amis des animaux. Placardées dans les villes vaudoises, des affiches de la Société vaudoise pour la protection des animaux (SVPA) dénoncent depuis quelques jours la consommation de ce mets si apprécié des Français… et des Suisses romands. «Les Vaudois font partie des plus gros consommateurs de cuisses de grenouilles. Nous voulons dénoncer le massacre de 300 millions de batraciens par an, mis à mort cruellement et dont on ne mange que le 20%. Un énorme gaspillage!» s’insurge Samuel Debrot, président de la SVPA. 152 000 kilos de cuisses de grenouilles sont consommés chaque année dans le pays. Les 90% sont importés d’Indonésie: en Suisse, le batracien est strictement protégé. Il est interdit de le tuer ou de le capturer pour l’élever. Spécialiste de la cuisse de grenouille, le Restaurant du Cheval-Blanc, à Payerne, en sert plus de 100 kilos par semaine. «Les 80% des clients viennent chez moi pour les grenouilles. Si j’arrêtais d’en cuisiner, je pourrais mettre la clé sous le paillasson», relève le patron, Sylejman Gjocaj. Il ne craint pas les répercussions de la campagne de la SVPA. «Les amis des animaux ne viendront peut-être plus, mais ma clientèle est fidèle», assure-t-il. Du côté du restaurant gastronomique Le Tramway, à Lausanne, le patron sert rarement cette délicatesse. «C’est un mets de luxe, une entrée à 25 francs que je prépare environ une fois par mois», explique Pierre Meylan, dubitatif face à la campagne de la SVPA. «Du gaspillage de ne manger que les cuisses? Mais il n’y a rien d’autre à manger sur une grenouille!» rétorque-t-il. Quant à la cruauté, il estime que «ce n’est quand même pas aussi atroce que de trancher les ailerons des requins avant de les rejeter à la mer». De plus, les grenouilles servies par Pierre Meylan ne viennent pas d’Indonésie. Il les achète à la société Les Escargots du Mont-d’Or, à Vallorbe, qui vend gastéropodes et grenouilles fraîches ou congelées. «Nous importons nos grenouilles de Turquie, explique le directeur, Bernard Fivaz. Ce pays protège les grenouilles pendant trois mois durant la saison de reproduction.» Résultat: le bilan écologique est meilleur. Car en Indonésie, à force de tuer les batraciens, c’est tout l’écosystème qui est menacé. «Les grenouilles mangent des insectes dans les rizières. Sans elles, les moustiques prolifèrent, et les paysans se rabattent sur les pesticides», déplore le président de la SVPA. Autre sujet de critique, la mise à mort des animaux. «En Indonésie, ils sont entaillés à la nuque, éviscérés, puis jetés au sol où ils agonisent», dénonce Samuel Debrot. Des pratiques qui n’auraient pas cours en Turquie. «Pour tuer les grenouilles, ils les endorment par le froid, avant de leur couper la tête», explique Bernard Fivaz. Le patron des Escargots du Mont-d’Or rejette aussi l’argument du gaspillage. «Il est faux de dire qu’on ne mange que 20% de la grenouille, c’est plutôt 30%. Comparé à un bœuf, une fois désossé et vidé, le gaspillage n’est pas si énorme!» Source
  5. Je crois que tu as raté ton coup pour les photos Je te crois, ça grandis tellement vite. J'aimerais voir sa binette par contre question de savoir si elle a gardé ses couleurs.
  6. Tu ne trippes sûrement pas autant que moi. C'est beaucoup de travail et je suis ouvert à toute offre d'aide!
  7. Max|mum-leterrarium

    choix de purée ?

    Vaporiser deux fois ne veut pas nécessairement dire avoir la bonne hygrométrie.
  8. Max|mum-leterrarium

    Cocos de Crested

    Félicitation pour les cocos! J'aime entendre ce genre de nouvelles puisque j'aime savoir qu'il y a toujours plus de ceptive breed sur le marché peu importe l'espèce.
  9. Eh oui, tel que j'avais annoncé lors de la première réunion de l'AHVR, il y aura un zoo de reptiles qui sera créé. Nous n'avons pas encore trouvé de nom donc si vous avez des suggestions, lancez les avec plaisir. On m'a dit que le monde voulait être tenu au courrant de l'avancement de ce projet donc je le ferai du mieux que je peux puisque je suis très occupé dernièrement. J'ai reçu un don d'un plateau de tournage. C'était le bâteau de Robinson Crusoe. Il était entreposé depuis un bout de temps mais il est encore bon. Nous avons recréé ce bateau dans le zoo pour donner un décor incroyable. Je vous montre quelques pièces de ce bâteau. Il est entièrement démonté pour le moment. Voici ce qui sera la porte du backstore. La dernière photo montre qu'on a quand même beaucoup de panneau comme celui-ci. Par contre, je crois qu'on en manque un peu pour couvrir la totalité des murs. Je suis en train de songer à quelque chose là dessus qui ferait en sorte que ça ne se voit pas trop qu'il en manque. J'ai vraiment l'impression que ça va être beau.
  10. Je vous ai montré ce que vous ne voyez pas du cinézoo avec les écureuils plus tôt. Voici d'autres photos de ce que vous ne voyez pas du cinézoo. J'avoue avoir beaucoup plus de photos que ça mais ça va devenir lourd si j'en mets trop et vous allez chialer
  11. Une grenouille dans leur salade ! Une famille américaine originaire de Détroit a eu une drôle de surprise en ouvrant un paquet de salade préemballée… Alors qu’elle préparait le repas pour sa petite famille, une jeune maman américaine a trouvé une grenouille dans le paquet de salade. "Quelque chose a attiré mon regard et je me suis demandée ce que ce sachat contenait. C’était en vie et ca bougeait ", déclare t’elle. Le producteur de salade a demandé que le paquet lui soit renvoyé avec la grenouille à l’intérieur. Mais la famille de Détroit a préféré relâcher la grenouille dans leur jardin, de peur que le trajet retour tue le petit amphibien. Source
  12. Espèces menacées: la France particulièrement concernée PARIS — La France a une responsabilité particulière dans l'érosion du vivant avec 778 espèces mondialement menacées présentes sur son territoire, comme le dugong à Mayotte ou la tortue luth en Guyane, selon la liste rouge 2009 du comité français de l'UICN. La France se situe ainsi au huitième rang des pays hébergeant le plus grand nombre d'espèces animales et végétales menacées dans le monde, précise l'Union internationale pour la conservation de la nature dans un communiqué publié à Paris. Cette situation est due principalement aux collectivités françaises d'outre-mer qui se trouvent presque toutes situées sur des points chauds de la biodiversité - Nouvelle-Calédonie, Caraïbes, Polynésie, océan Indien. Outre-mer, le dugong présent à Mayotte et en Nouvelle-Calédonie est classé "vulnérable", la tortue luth en Guyane et la tortue des Antilles françaises sont toutes deux "en danger critique". De nombreux oiseaux sont menacés comme le gallicollombe des îles Tuamotu en Polynésie française, "en danger critique", l'albatros hurleur et le gorfou sauteur dans les Terres australes, "vulnérables". Parmi les plantes, le kaori rouge et le kaori blanc, endémiques de Nouvelle-Calédonie, sont classés "vulnérables" et le bois de catafaille noir de La Réunion, "en danger critique". En métropole, le vison d'Europe est classé "en danger", le scarabée pique-prune "vulnérable" et la biscutelle de Rotgès, petite plante endémique de Corse, "en danger critique". Source
  13. Une tortue blessée récupérée à Boucan Signalée en difficulté en début de matinée sur le récif de Boucan Canot, une tortue caouane de 30 kg a été repêchée par les maîtres-nageurs. La tortue, retrouvée avec un fils de pêche dans le bec, présentait des blessures caractéristiques d’une attaque de requin. Maintenue à l’ombre et régulièrement mouillée, la tortue a ensuite été remise à une équipe de Kelonia. Elle sera opérée cet après-midi par le vétérinaire du centre. Source
  14. Max|mum-leterrarium

    choix de purée ?

    Ça peut être juste tout simplement les grillons acheté en concerve en animalerie que tu mets en entier dedans.
  15. Max|mum-leterrarium

    choix de purée ?

    S'il mange des insectes c'est déjà ça. Tu lui donnes des vitamines sur les insectes? As tu essayé des insectes dans la purée?
  16. Nom scientifique : Rhacophorus dennysii Nom français : Rainette bleu du Vietnam Nom anglais : Vietnamese blue tree frog Origine : Chine, Laos, Myanmar et Vietnam Biotope : Semi-humide à Humide Température : 22 à 28°C Hygrométrie : 60 à 80% Moeurs : Arboricole et diurne Taille adulte : Plus de 10 cm Nourriture : Insectes, petits rongeurs, petits lézards Voici une grenouille que j'ai longtemps vanté et que je vante toujours. J'aime toujours autant cette espèce mais je n'en possède plus malheureusement. C'est certain que j'en acquiert d'autres prochainement. Cette grenouille est parmi les plus grosses grenouilles arboricole et possiblement la plus grosse espèce connue. Elle n'est pas vraiment décrite donc si vous recherchez de l'information sur elle, vous trouverez très peu. Ce que j'aimais bien d'elles c'est qu'on les voyait toujours en plein jour.
  17. Nom scientifique : Basiliscus vittatus Nom français : Basilic brun Nom anglais : Brown basilisk Origine : Du Mexique à la Colombie Biotope : Humide Température : 28 à 30°C Hygrométrie : 70 à 80% Moeurs : Arboricole et diurne Taille adulte : 50 cm Longévité : 10 à 15 ans Nourriture : Insectes, quelques fruits mûrs Photo prise sur google image Voici une bête fort intéressante à observer mais qui montre énormément de caractère lorsqu'il est temps d'être manipuler. Ils sont rarement manipulable mais elles restent des bêtes vraiment fantastiques.
  18. Nom scientifique : Trachemys scripta elegans Nom français : Tortue à oreilles rouges Nom anglais : Red ears slider turtle Origine : États-Unis, mais introduite dans divers pays Biotope : Aquatique, mais a besoin d'une partie terrestre Température : 20 à 28°C pour l'eau 30°C pour l'air Moeurs : Aquatique et diurne Taille adulte : Les femelles peuvent atteindre plus de 30 cm Longévité : 30 ans Nourriture : Omnivore Voici un animal détesté par tellement de gens mais la faute n'est pas relié à l'animal en tant que tel. Il s'agit d'une mignonne petite tortue à prix abordable en animalerie et j'ai bien spécifié petite. Les gens sont donc mal renseigné et ne savent pas que cette tortue devient énorme et demande beaucoup d'entretien. C'est alors que les gens les abandonnent partout. Le plus gros problème est que c'est une tortue qui s'adapte très bien et c'est une espèce envahissante. Cette tortue est en train de se répandre partout dans le monde et tasser des espèces indigènes à ces milieux.
  19. Nom scientifique : Babycurus jacksoni Nom français : Scorpion-écorce rouge Nom anglais : Red bark scorpion ou Rusty thick tail scorpion Origine : Kenya, Tanzanie et Somalie Biotope : Semi-humide Température : 22 à 28°C Hygrométrie : 60 à 70% Moeurs : Semi-arboricole et nocturne Taille adulte : 8 à 10 cm Longévité : 4 à 5 ans Nourriture : Insectes Photo prise sur google image Je n'ai pas beaucoup d'expérience avec cette espèce ayant eu seulement un spécimen en très bas âge une fois. Ça reste une espèce qui attire mon attention grandement. J'aimerais en retrouver un mais plus vieux cette fois pour mieux l'observer.
  20. Nom scientifique : Lampropeltis calligaster Nom français : Serpent-roi des prairies Nom anglais : Prairie king snake Origine : Du Nebraska jusqu'en Virginie et de la Floride jusqu'au Texas. Biotope : Semi-aride à semi-humide Température : 26 à 28°C Hygrométrie : 40 à 60% Moeurs : Terrestre et diurne Taille adulte : 75 à 100 cm Longévité : 10 à 15 ans Nourriture : Rongeurs, lézards, grenouilles, ophiophage Voici un des king snake les plus intéressants selon moi. Il reste quand même petit et son comportement est souvent exemplaire. On voit malheureusement presque jamais des spécimens de coloration régulière. On trouve pratiquement que des albinos ou amélanique sur le marché.
  21. Bien sur, je mets ça pour la viande de tortue. Le reste, je m'en fou! Saisie de "paka" et de viande de tortue par la douane Le service des douanes a procédé entre le 15 et le 25 octobre derniers à plusieurs saisies, les deux premières concernant plus de 2,5 kilos de "pakalolo" (cannabis) et la troisième 11,7 kilos de viande de tortue, indique un communiqué de la Direction régionale des douanes. "Un premier contrôle, effectué le 15 octobre par la brigade des douanes de Papeete à l'arrivée d'une goélette en provenance des îles Sous le Vent, permettait la découverte de 1 959 grammes de 'paka', conditionnés dans 411 boîtes d'allumettes, dissimulées dans un sac de voyage, d’une valeur à la revente de 1 959 000 Fcfp -environ 16 300 euros, ndlr-", indique le communiqué. "Un second contrôle, effectué le 25 octobre à l'aéroport de Tahiti-Faa'a, sur un vol en provenance des îles Huahine et Raiatea a permis la découverte de 103 boîtes d'allumettes et de 103 sticks contenant également de l'herbe de cannabis, pour un poids total de 692 grammes". Sur les dix premiers mois de 2009, le service des douanes a donc saisi plus de 14 kilos de cannabis, soit déjà deux kilos de plus qu'en 2008. Ces deux saisies "montrent également la pertinence de l’analyse de risque qui a conduit au renforcement des contrôles des liaisons maritimes et aériennes inter-îles", précise le communiqué. Viande de tortue: "un produit prohibé à titre absolu" En outre, la douane, au cours d’une surveillance sur Motu Uta à Papeete le 24 octobre, a saisi "11,776 kilos de viande crue de tortue marine, conditionnés dans des sacs en plastique, lors du déchargement du fret d'une goélette, en provenance des îles Tuamotu Gambier. La valeur unitaire de cette marchandise prohibée et réputée importée en contrebande, a été estimée à 58 880 Fcfp - environ 490 euros, ndlr - ". "Encore consommée par certains Polynésiens, la tortue marine fait partie des espèces menacées d'extinction immédiate et protégées par la convention de Washington. Aussi, sa viande est-elle considérée par la douane comme un produit prohibé à titre absolu, au même titre que les stupéfiants ou les contrefaçons", conclut le communiqué. Source
  22. La Floride envahie par les serpents géants Plusieurs espèces de serpents géants, comme le redoutable boa constrictor ou le python africain, ont envahi la Floride et se sont même adaptées à l'environnement urbain de Miami, poussant les autorités à tirer la sonnette d'alarme. Ces espèces invasives, qui ne sont pas originaires des États-Unis, posent d'autant plus de difficultés qu'elles se reproduisent rapidement dans les immenses zones marécageuses du parc national des Everglades, qui occupe une bonne partie du sud de la Floride. Et leurs couleurs leur permettent de se fondre sans problème dans le paysage, selon une étude récente de l'Institut national de géophysique américain (USGS). Or, aucun mécanisme ne semble efficace pour se débarrasser de ces serpents qui tuent leurs victimes par constriction, c'est-à-dire en les étouffant, et représentent un risque élevé pour les espèces locales et les écosystèmes des régions chaudes du sud de la Floride. «Ces serpents atteignent rapidement la taille adulte, ont beaucoup de petits, sont capables de couvrir d'énormes distances et leur régime alimentaire est très large, ce qui leur permet de manger tous types d'animaux», souligne Gordon Rodda, scientifique à l'USGS, l'un des auteurs de l'étude. Ces serpents, en outre, s'adaptent à toutes sortes d'habitats. Des boas constrictors et des pythons africains vivent ainsi dans la zone métropolitaine de Miami, affirme ce chercheur. Selon la Commission de conservation des pêches et de la vie sauvage de Floride (FWC, Florida Fish and Wildlife Conservation Commission), beaucoup de ces serpents appartenaient à des propriétaires privés qui ont fini par les relâcher. Des experts estiment aussi que le problème pourrait remonter au passage de l'ouragan Andrew en 1992, puis à celui de Katrina au nord de Miami en 2005, dont les dégâts ont permis à de nombreux serpents de s'échapper des animaleries. En certains endroits de Floride, on peut ainsi tomber nez à nez avec le python réticulé, l'un des serpents les plus long du monde, qui peut dépasser six mètres, ou encore avec l'anaconda vert dont certains exemplaires pèsent plus de 90 kilos, signale l'USGS. Le danger que ces serpents représentent pour l'homme est semblable à celui que posent les alligators, qui pullulent en Floride : des attaques sont possibles, mais rares, souligne l'étude. En juillet dernier, une fillette de deux ans est morte étranglée par un python birman de 3,6 mètres de long dans une maison du comté de Sumter dans le centre de l'État. Ce python profite en Floride d'un climat chaud et de vastes zones propices à son adaptation et à sa reproduction. Résultat, le nombre d'individus s'y compte en dizaines de milliers, soulignent les experts. L'étude de l'USGS «ne nous surprend pas. Nous connaissons le problème que représentent ces serpents», a réagi Pat Behnke, porte-parole de la FWC, interrogée par l'AFP, qui juge cependant que «les gens n'ont pas à s'inquiéter». Ce qui est plus préoccupant, c'est que «l'étude révèle clairement que ces serpents géants menacent de déstabiliser certains de nos écosystèmes et de nos parcs les plus précieux, avant tout parce que ce sont les prédateurs d'espèces locales fragiles», souligne Robert Reed, co-auteur de l'étude, herpétologiste et spécialiste des espèces invasives à l'USGS. L'examen de l'estomac des serpents géants qui ont pu être capturés montre quelles sont leurs proies préférées : chauves-souris, écureuils, lézards, iguanes, et même des alligators, jusqu'ici les prédateurs les plus redoutés de la faune des marais. Source
  23. Max|mum-leterrarium

    gecko léopard

    Il faut tout d'abord savoir qu'un animal qui n'est pas en santé ne s'accouplera jamais.
  24. Un géant marin fossilisé découvert au Royaume-Uni Le crâne fossilisé d'un monstre marin géant a été découvert sur la Dorset Beach, qui fait partie de la Côte Jurassique du Royaume Uni. Les restes du dinosaure indiquent qu'il pourrait s'agir du plus grand animal marin que la terre ait connu. Richard Edmonds, responsable de la Côte Jurassique, site classé au patrimoine universel, ne cache pas son enthousiasme. Richard Edmonds, Sciences de la Terre Manager de la Côte Jurassique "Nous avons un crâne d'un énorme reptile marin appelé Pliosaure. C'est le sommet du crâne. Le groin a été écrasé en grande partie, et est remonté vers l'arrière comme on le voit ici pour se loger au sommet de la machoire. Donc on voit un animal de cette taille, avec un crâne descendant vers la bouche et faisant corps avec celle-ci. Il nous manque des morceaux, qui sont probablement tombés de la falaise il y a plusieurs décennies. Ici on voit la machoire bien sûr, il y aurait dû y avoir de très grandes dents qui ressortaient de 20 centimètres au moins des deux côtés du crâne. C'était un reptile marin d'une taille incroyable, sans doute le prédateur le plus redoutable de la mer jurassique il y a 150 millions d'années." Les pliosaures étaient des reptiles qui vivaient dans les mers à la même époque que les dinosaures sur la terre. Ils possédaient un cou relativement court mais énorme, une tête de crocodile avec des machoires puissantes et des dents de 20 centimètres de long aiguisées comme des lames de rasoir. Ils utilisaient quatre pattes en forme de nageoires pour propulser leur corps gigantesque dans les eaux. Le paléontologue Richard Forrest explique que l'étude du crâne permet de se rendre compte de l'énormité de cette animal venu du fond des âges. Richard Forrest Paléontologue "Nous pouvons aussi jeter un coup d'oeil à l'architecture du crâne en terme d'ingénierie. On peut voir du sommet du crâne, où on voit des ouvertures dans lesquelles les muscles passaient, jusqu'à la machoire inférieure, avec des profondeurs et une épaisseur vertigineuses, qu'il s'agit d'un élément d'une structure absolument gigantesque. Les os sont en gros de la même solidité que des barres d'acier et si vous imaginez un instant de remplacer la machoire inférieure par une barre d'acier alors vous aurez une bonne idée du genre de pression que cet animal pouvait exercer." Le fossile de ce Pliosaure géant a été acheté par le Conseil du Comté de Dorset pour 20 mille livres sterlings grâce à un fonds du patimoine mondial. Après son analyse complète, il sera exposé au Musée du Comté de Dorset à Dorchester. Wang Weisen, CCTV. Source var para_count=1
  25. Tortues, busards, libellules... Discret, l'animal... La cistude d'Europe, tortue d'eau douce de son état, ne s'observe pas aisément. Elle est présente, néanmoins, dans les marais de Pontaillac et de Pousseau, de manière très localisée, également, dans le marais de Saint-Augustin. Sa présence est un indicateur de préservation de ces zones humides. Surtout, la découverte d'un jeune spécimen aux Jardins du Monde rassure les experts sur la capacité de la population de cistudes du marais de Pousseau à se renouveler. La cistude n'est pas la seule curiosité des zones humides périurbaines royannaises. Jean-Marc Thirion souligne également la présence, dans une roselière, de quatre hectares, voisine de la Glacière, d'un couple de busards des roseaux, qui a donné naissance cette année à trois jeunes. Même s'il ne s'agit que d'un seul couple, « ce n'est pas rien », assure Jean-Marc Thirion. « Pour une zone si petite, cette découverte a été une surprise. » Les présences de plusieurs râles d'eau, autre oiseau de zones humides, d'agrillons délicats, espèce de libellule « extrêmement localisée, peu présente en Poitou-Charentes » ou encore de spécimens de maillots de Desmoulins, espèce d'escargot devenue « rare », témoignent encore de la richesse de la faune des zones humides royannaises. Richesse néanmoins fragile. Source
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