-
Compteur de contenus
12 143 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles animaux
Sites
Annuaire animalier
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
-
Association d'herpétologie de la vallée du Richelieu
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Général
-
-
-
-
-
Tortues des bois vulnérables observées à Québec Profitant de la Journée des ressources naturelles tenue le 4 octobre dernier, le ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) a fait savoir que deux tortues des bois ont été observées dans la région de la Capitale au cours de la campagne publique de localisation des tortues vulnérables l’été dernier. Grâce à l’aide des citoyens, ces tortues des bois, l’espèce la plus terrestre présente au Québec, ont été localisées dans la réserve faunique de Portneuf et à Lac-Saint-Charles. Toutefois, aucune tortue géographique, une espèce essentiellement aquatique notamment présente dans le fleuve Saint-Laurent, n’a été signalée. La survie de ces deux espèces est jugée précaire en vertu de la Loi sur les espèces menacées ou vulnérables. Au total, la Direction générale de la Capitale-Nationale et de la Chaudière-Appalaches du MRNF a reçu 14 signalements de la part des citoyens depuis le 23 juin dernier, dont huit accompagnés de photos. Ces nouvelles données s’ajoutent aux cinq observations de tortues des bois et aux trois observations de tortues géographiques consignées antérieurement dans ces mêmes régions. D’autres espèces de tortues, non classées en vertu de la Loi sur les espèces menacées ou vulnérables, ont également été signalées au MRNF. Deux tortues peintes ont été observées à Sainte-Foy et à Montmagny et deux tortues serpentines ont été vues à Lotbinière et à Montmagny. Objectif sensibilisation Cette campagne a permis au MRNF d’atteindre ses deux objectifs, soit sensibiliser le grand public à la présence de tortues vulnérables dans la région et acquérir des connaissances sur la distribution géographique de ces espèces sur le territoire. Ces nouvelles données seront d’ailleurs intégrées sous peu dans l’Atlas des amphibiens et des reptiles du Québec ( www.atlasamphibiensreptiles.qc.ca ) pour le bénéfice des experts et de la population. * (Source : ministère des Ressources naturelles et de la Faune - MRNF) Source
-
Bessières. C'est parti pour le refuge des tortues
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Bessières. C'est parti pour le refuge des tortues Jérôme Maran, naturaliste spécialiste des tortues, est tout sourire car l'arrêté préfectoral, tant attendu, vient d'être publié. Ce sésame indispensable va permettre, dès cette semaine, le début des travaux « du refuge des tortues ». Ce projet éducatif et environnemental est porté par l'association du Refuge des Tortues. Cette association loi 1901 prépare, depuis 3 ans autour du plan d'eau de 20 ha en bordure de la forêt de Buzet, les bases d'un site qui pourra bientôt accueillir l'ensemble des tortues aquatiques et terrestres confiées par les particuliers, par des associations mais également par les Douanes et l'Office national de la Chasse et de la Faune sauvage (ONCFS). Aujourd'hui plus de 1000 tortues sont ainsi élevées dans les infrastructures du centre de récupération de Jérôme Maran. Dès le printemps 2011 les nouvelles infrastructures de Bessières pourront accueillir 5200 tortues. Ce seront 50 bassins et 20 enclos qui permettront de répondre favorablement aux nombreuses demandes de placement, notamment de l'envahissante tortue à tempes rouges (Trachemys scripta elegans) originaires des USA et qui menace aujourd'hui l'une des deux seules espèces de tortues aquatiques française, la Cistude d'Europe (Emys orbicularis). A ce jour il n'existe pas de structure de ce type dans la région Midi-Pyrénées. Le refuge ne sera pas ouvert au public mais visitable uniquement par les adhérents de l'association et les scolaires. Des journées portes ouvertes seront prévues pour sensibiliser le grand public. Les travaux vont prochainement débuter par l'apport des conduites d'eau potable suivie par le réseau électrique. En attendant l'ouverture de leur refuge, les membres de l'association s'activent par la plantation d'une bambouseraie, d'un verger de fruitiers anciens et par de multiples aménagements aux abords du lac. Source -
Des têtards fluorescents pour détecter des polluants
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Des têtards fluorescents pour détecter la présence de polluants Jeune entreprise francilienne de biotechnologie, WatchFrog développe des solutions innovantes pour révéler in vivo les substances chimiques. Sa technique repose sur l’usage de larves d’amphibiens millimétriques aux propriétés « lumineuses ». Explications en compagnie de Gregory Lemkine, fondateur de WatchFrog. Cleantech Republic : Des larves d’amphibien qui détectent les polluants… Pouvez-vous nous expliquez l’activité de votre société ? Gregory Lemkine : J’aime bien définir WatchFrog comme une entreprise de biotechnologie dédiée notamment au secteur de l’environnement. Dans la pratique, nous proposons des tests in vivo qui permettent de déterminer comment la présence d’un polluant va influer sur l’organisme. Pour cela, nous créons des larves d’amphibiens et d’alevins qui s’allument en fluorescence grâce à des biomarqueurs pour révéler la présence de produits chimiques, de perturbateurs endocriniens ou encore de rejets pharmaceutiques. Notre solution est utilisée par des sociétés spécialisées dans le traitement de l’eau, par des grands groupes comme EDF et Veolia ou encore pour tester des biens de grande consommation Comment est née WatchFrog ? Sur un plan scientifique, Watchfrog est l’héritière du savoir faire du Museum d’Histoire naturelle et plus précisément de la chaire de physiologie de Claude Bernard. Nous sommes tous ses descendants. A titre personnel, j’ai fait mon doctorat au Museum et mon post-doctorat dans une unité de l’Inserm avant de sauter le pas pour devenir entrepreneur. J’ai décidé d’apprendre ce nouveau métier en suivant la formation Challenge + d’HEC qui a débouché sur la création de WatchFrog en novembre 2005. Nous avons depuis été aidés par le Génopole d’Evry pour la mise en place d’une plateforme de production. En quoi votre solution se distingue des autres procédés de mesure ? C’est tout d’abord la seule méthode du genre à pouvoir mesurer les impacts des polluants sur les systèmes hormonaux. Cela correspondant aux exigences de fiabilité qu’attendent aujourd’hui les professionnels. L’autre originalité c’est d’être proposée de façon industrielle, du prélèvement jusqu’à la mesure. A terme nous aimerions même proposer des kits à nos clients pour qu’ils puissent opérer eux-mêmes leurs tests. Par rapport aux tests in vitro, notre solution est plus facilement applicable sur le terrain. Elle permet une meilleure évaluation du risque. Après bien sûr, dans l’in vivo, il y a aussi la méthode du « truitomètre » (étude de la réaction des truites dans l’eau, ndlr). Mais elle n’est pas satisfaisante sur un plan scientifique et inacceptable d’un point de vue éthique. Cela dit, les biotechnologies ont également leurs opposants ? Oui et d’ailleurs nous sommes très précautionneux sur ce point car nous savons qu’il s’agit d’un sujet très sensible. Notre modèle est basé sur des larves qui sont à de très jeunes stades. Elles ne ressentent donc pas la douleur. Tout simplement car elles ne sont par « équipés » pour. De plus, il s’agit de pontes qui sont par définition disponibles en grande quantité. Le problème dans ce type de débat, ce sont les gens avec qui on ne peut ni dialoguer, ni travailler. Mais de mon côté, je suis certain de notre démarche éthique car selon moi, il vaut mieux utiliser des pontes de grenouilles que des millions de souris. Comment jugez-vous votre marché aujourd’hui ? Dans le cadre de la réglementation Reach, nous pensons que tôt ou tard tous les produits seront amenés à être testés en particulier pour détecter des perturbateurs endocriniens. Dans le domaine de l’eau, la méfiance est telle que les gens ne supporteront pas l’idée que l’eau puisse contenir des traces de produits pharmaceutiques ou de substances perturbant la reproduction. Et puisqu’il faut des outils plus performants pour estimer les dangers, alors notre technologie risque de devenir incontournable. D’autant que sur un plan économique, un test in vitro prend trois mois pour un coût d’environ 60 000 euros alors que notre solution fournit une réponse en trois jours pour un tarif bien inférieur. Travaillez-vous sur d’autres applications de votre procédé ? Oui, nous venons d’ailleurs d’obtenir un financement du pôle de compétitivité Medicen pour un projet baptisé AMBRe. C’est assez éloigné de l’environnement puisqu’il vise à améliorer le traitement des lésions neurodégénératives du cerveau. Il s’agit de proposer à la recherche pharmaceutique des outils de test pour des « apprentis médicaments ». Pour soigner le cerveau, le cycle de développement d’un médicament dure en effet entre 15 et 20 ans. En s’aidant des amphibiens on devrait pouvoir accélérer ce timing. Le projet doit se dérouler sur trois ans et sera mené en partenariat avec la société BioQuanta et trois laboratoires publics. Crédit photo Gregory Lemkine : J. Chatin Source -
Des tortues de l'Arakan, très rares, repérées en Birmanie
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Des tortues de l'Arakan, très rares, repérées en Birmanie Des tortues terrestres de l'Arakan, espèce rare qu'on a cru éteinte pendant près d'un siècle, ont été récemment découvertes à l'état sauvage dans une forêt isolée de Birmanie. Une trouvaille qui pourrait aider à la préservation de ces reptiles presque totalement décimés par la chasse. Cinq de ces tortues ont été repérées en mai dernier lors d'une étude sur la vie sauvage dans la réserve d'éléphants de la forêt de Rakhine Yoma par le chercheur texan Steven Platt et une équipe de l'ONG Wildlife Conservation Society. Cette réserve contient des pans de forêts de bambou pratiquement impénétrables, seulement accessibles en suivant les pistes creusées par les éléphants, explique Steven Platt de l'université de Sul Ross à Alpine (Texas). Dans un entretien à l'Associated Press via courriel, le chercheur a raconté comment lui et son équipe avaient pu atteindre seulement par bateau cette région infestée de sangsues, après avoir essuyé des pluies incessantes, avant de finalement découvrir les tortues. "A ce moment-là, toutes les difficultés physiques du voyage sont oubliées", a-t-il témoigné. Les scientifiques ont longtemps cru que ces tortues, originaires des monts Arakan dans l'ouest de la Birmanie, avaient définitivement disparu, avant qu'elles ne refassent surface sur les marchés asiatiques dans les années 1990. Le nom local de ces tortues est "pyant cheezar", qui signifie littéralement "tortue qui mange des excréments de rhinocéros". L'appellation scientifique est, elle, Heosemys depressa. Selon les scientifiques, la chasse a pratiquement conduit à l'extinction de la tortue de l'Arakan, prisée en Asie pour ses vertus culinaires et médicales. L'espèce, qui semble se reproduire difficilement en captivité, est aujourd'hui considérée comme l'une des plus en danger au monde par l'Union internationale pour la préservation de la nature et des ressources naturelles (IUCNNR). Grâce à la découverte de ces cinq tortues, les scientifiques espèrent pouvoir sauver l'espèce. "Partout en Asie, les tortues sont décimées par les braconniers pour le commerce illégal des animaux sauvages", explique Colin Poole, directeur de la branche Asie à la Wildlife Conservation Society. "Nous sommes ravis et étonnés de voir que cette espèce extrêmement rare est en vie et se porte bien en Birmanie. Maintenant, nous devons faire notre possible pour protéger la population restante". Steven Platt et la Wildlife Conservation Society ont recommandé la mise en place de postes de surveillance sur les routes menant à la réserve de Rakhine Yoma pour éviter le braconnage, ainsi que le recueil d'informations sur les tortues de l'Arakan en vue de développer un programme de protection. Source -
En Australie, un crocodile est mis en prison Gunbalanya, Australie – Une femelle crocodile qui errait en ville s’est vu placée en détention. Les habitants effrayés par l’animal qui se promenait dans les rues, ont appelé les autorités afin qu’elles s’en occupent. La femelle, visiblement désorientée, était en train de s’attaquer à une clôture lorsque la police est arrivée sur les lieux. Rapidement capturée, elle a été placée dans un fourgon et conduite en cellule. L’animal a passé trois jours sous les verrous avant d’être amené dans une ferme pour crocodiles. Ce n’est pourtant pas la première fois qu’un crocodile est conduit en prison. En 2007, un autre reptile s’était vu réserver le même traitement après avoir rodé trop près des habitations. Source
-
Il trouve un serpent dans sa pantoufle Hier matin, au moment d'enfiler ses pantoufles, un Sallauminois a sans doute cru qu'il rêvait encore. ... Il était entre 8 h 30 et 9 heures ce lundi, quand le pied de cet habitant de la rue de Maubeuge a fait sortir un serpent du chausson qu'il était sur le point d'enfiler. L'histoire, très sérieuse, n'a rien d'un rêve éveillé. Ce Sallauminois âgé d'une quarantaine d'années est bien tombé nez à nez avec un bébé élaphe mesurant une trentaine de centimètres. À l'âge adulte, ce serpent mesure plus d'un mètre. L'animal, qui appartient à la famille des couleuvres, était non venimeux. Pour autant, pas question de le garder comme animal de compagnie. Le Sallauminois a donc fait appel aux sapeurs-pompiers qui ont à leur tour sollicité l'aide et le savoir-faire d'un expert en reptiles installé à Drocourt. Tandis que les sapeurs-pompiers rassuraient l'habitant, cet expert a pris en charge l'animal. On ne sait pour l'instant comment ce serpent a pu s'immiscer dans cette habitation, ni d'où il vient. • Source
-
Les plongeurs contribuent à la sauvegarde des tortues marine
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Les plongeurs contribuent à la sauvegarde des tortues marines En automne 2009, Plongeur.com à décidé de s’associer au projet Red Sea Turtle (RSTP). Durant l’année à venir, sur le site paraitra toute une série d’articles visant à promouvoir ce projet de recherche et de conservation des tortues marines, menacées d’extinction. En relayant le message de Red Sea Turtle Project, Plongeur.com entend s’impliquer activement dans la diffusion des idées fortes de cette initiative auprès de la communauté des plongeurs francophones qui, ainsi sensibilisée, pourra jouer un rôle dans le développement et la pérennisation de ce projet. Il suffit d’aller se promener un peu sur le net pour comprendre à quel point les tortues marines sont en danger. Il suffit d’écouter les récits de vos moniteurs de plongée ou amis de palanquée pour comprendre que les tortues se font de plus en plus rare et qu’il devient de plus en plus difficile d’en croiser sous l’eau… Fascinantes et mystérieuses, mais menacées de disparition, ces incroyables créatures existent depuis plus de 100 millions d’années. A l’heure actuelle, 7 espèces cohabitent sur Terre, toutes menacées d’extinction (données : Liste Rouge de l’IUCN). Les menaces auxquelles les tortues font face sont variées. Ces menaces peuvent être d’origines naturelles, accidentelles ou intentionnelles. Elles agissent de façon directe ou indirecte sur l’extinction des tortues marines. Depuis leur protection intégrale dans beaucoup de pays, les tortues marines ne font plus l’objet d’un commerce officiel. Elles jouent tout de même un rôle dans les circuits économiques, principalement à trois niveaux : leur observation, le commerce illégal dont elles font l’objet et les détériorations qu’elles engendrent sur les engins de pêche. A ce jour, il est clair qu’aucun programme au monde n’a encore développé une gamme d’actions suffisamment large pour réduire l’impact des différentes menaces limitant la restauration des tortues marines. Par contre, les efforts développés en matière de communication ont très largement sensibilisés le grand public à cette problématique et les programmes de conservation sont surtout axés sur la sensibilisation. Des mesures sont toutefois prises au niveau mondial afin de protéger ces animaux (NDLR : cette protection n’est pas respectée dans tous les pays). Ces actions découlent de 3 textes réglementaires : - la convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore menacées d’extinction (CITES, convention de Washington) - la convention sur les espèces migratrices appartenant à la faune sauvage (CMS, convention de Bonn) - et la convention sur la diversité biologique (CBD, convention de Rio de Janeiro). Les pays signataires de l’une de ces conventions s’engagent à mettre en œuvre des actions concrètes afin de protéger les tortues marines. C’est ainsi que le projet RSTP a vu le jour. En Egypte, à l’heure où le tourisme et les activités liées au monde marin croissent au-delà de toute attente, nous prenons conscience de la nécessité de protéger cet extraordinaire patrimoine naturel. Il devient urgent d’agir, notamment en éduquant les plongeurs professionnels ou non, ainsi que les non plongeurs, à respecter et préserver notre incroyable monde sous-marin. Dans le souci d’œuvrer à la conservation des espèces de tortues marines qui restent toujours sous la menace des actions humaines et de toutes autres formes de pollution, le Red Sea Turtle Project a développé un programme de recherche et de conservation dans la zone de Sharm El Sheikh. Cette initiative totalement financée par Project AWARE et soutenue localement par le Parc National de Ras Mohammed et l’entière communauté de plongeurs a plusieurs axes de travail. Axes dont le suivi devra notamment permettre d’évaluer l’impact des actions de sensibilisation réalisées et donc de décider de la conservation ou de la modification des priorités définies par le projet. Nous avons toujours besoin de votre participation pour développer ce projet. Pour cela, vous pouvez offrir votre aide à plusieurs niveaux, que ce soit en complétant un formulaire, en partageant vos expériences, en parlant de ce projet, ou encore en nous soumettant vos propositions et/ou vos questions… Découvrez Red Sea Turtle Project Contact email ou sur Facebook. A lire aussi : Indian Ocean – South-East Asian Marine Turtle Memorandum of Understanding Cameldive.org Marine Turtle Newsletter ScubaPortal.net Dive Magazine Divernet.com GoRedSea.com GoRedSea.com Texte : Samantha Nier Photos : Samantha Nier, Andrew White et Mike Turner Source -
Scorpion: un être presque parfait Dans le monde animal, il existe bien des espèces qui approchent la perfection, mais rares sont celles qui s'en approchent autant que le SCORPION. Son aspect est repoussant, il peut dévorer ses jeunes ou ses congénères adultes et, est notoirement venimeux. Pourtant il est unique et frôle la perfection. Mais qui se cache vraiment sous cette carapace? Il existe environ 1.500 espèces de scorpions dans le monde qui se divisent en une vingtaine de familles. Apparu il y a plus de 400 millions d'années, le scorpion qui est alors aquatique, possède déjà ses caractéristiques actuelles et il ne changera guère quand il sortira de l'eau au carbonifère pour arpenter la planète. Si tous les scorpions sont venimeux, seules 25 espèces sont dangereuses pour l'Homme. Il injecte un venin majoritairement neurotoxique. Pourquoi si peu d'évolution sur un laps de temps aussi long ? Tout simplement parce que dès le début, il frôle la perfection. Il est résistant et possède des armes efficaces pour chasser et se défendre. Il peut vivre dans des milieux extrêmes et supporter des variations de températures de plus de 50°C, Il peut jeûner très longtemps ( 3 ans en captivité ), ses besoins en oxygène sont très faibles ( des espèces vivent par 5000 M d'altitude ) et il peut encaisser un niveau de radiation 150 fois supérieur à celui que supporte un homme. Le scorpion est aussi un grand danseur. Quand vient la saison des amours, il entame une parade nuptiale qui peut durer une heure. La femelle est une excellente mère de famille qui mettra au monde entre 10 et 100 pullus ( jeunes ) après une gestation qui varie de 2 à 22 mois selon les espèces. Les petits restent entre 5 et 25 jours en sécurité sur le dos de la mère. Il ne quitteront cette protection qu'après la première mue. Il leur en faudra entre 5 et 9 pour atteindre le stade adulte. Le scorpion vit en moyenne entre 6 et 10 ans. La jounée on le trouve soit dans des terriers soit sous des souches ou des pierres. Il s'accommode bien de la captivité ( pour certaines espèces ) et fait partie des N.A.C (Nouveaux Animaux de Compagnie). Le conserver chez soi nécessite un terrarium qui reproduit au mieux ses conditions de vie dans la nature. Un soin particulier doit être apporté à sa nourriture. Criquets, Grillons ou souriceaux font partie de son menu. E.F. Source
-
Résultats de la campagne publique de localisation
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Résultats de la campagne publique de localisation DEUX TORTUES DES BOIS OBSERVEES DANS LA REGION DE LA CAPITALE-NATIONALE L'ETE DERNIER QUÉBEC, le 4 oct. /CNW Telbec/ - Dans le cadre de la Journée des ressources naturelles, le ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) fait savoir que deux tortues des bois ont été observées dans la région de la Capitale-Nationale au cours de la campagne publique de localisation des tortues vulnérables l'été dernier. Grâce à l'aide des citoyens, ces tortues des bois, l'espèce la plus terrestre présente au Québec, ont été localisées dans la réserve faunique de Portneuf et à Lac-Saint-Charles. Toutefois, aucune tortue géographique, une espèce essentiellement aquatique notamment présente dans le fleuve Saint-Laurent, n'a été signalée. La survie de ces deux espèces est jugée précaire en vertu de la Loi sur les espèces menacées ou vulnérables. Au total, la Direction générale de la Capitale-Nationale et de la Chaudière-Appalaches du MRNF a reçu 14 signalements de la part des citoyens depuis le 23 juin dernier, dont 8 accompagnés de photos. Ces nouvelles données s'ajoutent aux cinq observations de tortues des bois et aux trois observations de tortues géographiques consignées antérieurement dans les régions de la Capitale-Nationale et de la Chaudière-Appalaches. D'autres espèces de tortues, non classées en vertu de la Loi sur les espèces menacées ou vulnérables, ont également été signalées au MRNF. Deux tortues peintes ont été observées à Sainte-Foy et à Montmagny et deux tortues serpentines ont été vues à Lotbinière et à Montmagny. Cette campagne a permis au MRNF d'atteindre ses deux objectifs, soit sensibiliser le grand public à la présence de tortues vulnérables dans la région et acquérir des connaissances sur la distribution géographique de ces espèces sur le territoire. Ces nouvelles données seront d'ailleurs intégrées sous peu dans l'Atlas des amphibiens et des reptiles du Québec (www.atlasamphibiensreptiles.qc.ca) pour le bénéfice des experts et de la population. Pour en savoir plus à ce sujet, et sur bien d'autres thèmes liés au domaine des ressources naturelles comme la forêt, l'énergie, l'information géographique et la géologie, les citoyens sont invités à venir visiter gratuitement les kiosques d'information dans le hall du Musée de la civilisation de 10 h à 17 h aujourd'hui. > Source -
Une journée pour découvrir les ressources naturelles
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Une journée pour découvrir les ressources naturelles Une vingtaine de kiosques d’information animés par les spécialistes du Ministère des Ressources naturelles et de la Faune ainsi que des intervenants du milieu des ressources naturelles, de la faune, de la forêt, de la géologie et de l’information géographique étaient en vedette lors de la deuxième édition de la Journée des ressources naturelles, qui se tenait aujourd’hui sous le thème Sortie côté nature au Musée de la civilisation. Sur toutes les lèvres, le même mot : recrutement. La journée se voulait une façon de faire découvrir les ressources naturelles, une richesse collective considérable pour la province, dans un contexte où la relève manque cruellement. «La relève est difficile, notre domaine ne fait pas exception. Les ressources naturelles représentent un enjeu important, par exemple aux niveaux minier et forestier. Nous n’avons pas été la grande vedette dans les choix de carrière au cours des dernières années. Les intervenants et le ministère des Ressources naturelles et de la Faune travaillent là-dessus», explique Louis Madore, géologue au ministère. Travail de terrain Pourtant, les emplois dans le domaine des ressources naturelles ont de quoi attirer les jeunes. Par exemple, géologues, biologistes et cartographes passent une partie de leur temps sur le terrain, loin du bureau. «On met nos bottes puis on va dans le bois», résume Anne Morissette qui travaille dans le domaine de l’inventaire forestier. Et quand elle est au bureau, elle travaille avec des ordinateurs performants. L’époque des cartes de papier est maintenant révolue. Le géologue Philippe Ferron passe lui aussi une partie de son temps hors du bureau, parfois aussi loin que dans le Grand Nord québécois. Son dada, c’est la protection des milieux géologiques. «On pense beaucoup à la protection de la biodiversité, mais on laisse de côté la partie géologique. Or s’il y a quelque chose qui, une fois brisé, est perdu à jamais, c’est bien le monde minéral», estime le géologue. La population est aussi appelée à jouer un rôle pour mettre en valeur les ressources naturelles. La biologiste Héloïse Bastien demande ainsi aux gens de la région de Québec de l’aider à trouver des tortues des bois. «Comme c’est une tortue terrestre, les gens les voient et peuvent les prendre en photo. Les yeux de toute la population, ça nous aide à trouver le milieu de vie des tortues pour ensuite pouvoir les protéger», relate Mme Bastien. L’an dernier, la Journée des ressources naturelles avait accueilli quelque 1800 personnes dans la région de la Capitale nationale. Déjà ce matin, Louis Madore avait bon espoir de voir un plus grand nombre de personnes visiter l’exposition présentée dans le hall du Musée jusqu’à 17h. Source -
-
-
Le cirque Zavatta s'invite au salon ANIMAVIA
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
-
Le cirque Zavatta s'invite au salon ANIMAVIA
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
-
-
Le cirque Zavatta s'invite au salon ANIMAVIA Encore un très bel après-midi ensoleillé en ce début d'automne. ... À peine arrivée à la base des Prés du Hem, où a lieu, comme chaque année, le grand rassemblement ANIMAVIA, je suis accueillie par Hannoï, une petite demoiselle de 5 ans, belle comme une sauvage. Elle porte en écharpe un boa constrictor femme,prénommée Shakira. Cette Shakira-là ne chante pas, ne danse pas, mais s'enroule autour du cou, des bras, des jambes, des corps. Ne vous méprenez pas, le boa constrictor est un animal sauvage, pouvant atteindre plusieurs mètres. Celle-ci est, bien sûr, domestiquée, mais sa force incroyable lui sert à étouffer ses proies pour ensuite les avaler. Hannoï et sa petite soeur Mendès, de 5 mois, vivent parmi les watouzis d'Afrique, une vache avec des cornes pouvant atteindre 1 m d'envergure, les fauves, les lamas, les chevaux, les serpents et les chameaux. Et Nic veille sur sa petite fille, elle a interdiction de s'éloigner seule avec le serpent. Nic, à la fois dompteur de fauves, clown, équilibriste, magicien, fait partie de la grande famille Zavatta, la 8e génération du nom. Depuis 350 ans, de père en fils, cette famille légendaire sillonne l'Europe, Hongrie, Belgique, Allemagne, Italie, Autriche, etc. en caravane. Elle s'est arrêtée, chez nous, à Armentières, pour ce fabuleux week-end de rencontre entre les hommes et le règne animal. Avec la petite Hannoï, la 9e génération est en marche pour le plaisir des petits et des grands. À cette occasion, vous pourrez admirer les animaux exotiques ; Hannoï et son papa, en clowns, vous présenteront un numéro comique avec trompette. Steven, lui, jouera du lasso, du fouet mexicain. Il vous présentera son numéro de jonglerie, défiera les lois de l'équilibre, et vous emmènera dans sa cavalerie. Quant à Cynthia, la magicienne, c'est sous vos yeux ébahis, qu'elle fera apparaître et disparaître lapins et colombes. N. CHOCRY. Source
-
-
L'homme qui murmure à l'oreille des tortues Passion. Depuis 20 ans, Jérôme Maran s'occupe de ces reptiles. Il va ouvrir un refuge à Bessières. Jérôme sonde l'eau avec un bâton. « L'important, dit-il, c'est de repérer la tête… » Finalement, entre les nénuphars, il dégote une liane couverte d'écailles. C'est la queue. Il tire. Et là, on se croit tout à coup plongé dans un film d'horreur ! Il vient d'extirper de l'eau une bête hideuse et gluante, avec une mâchoire béante prête à vous mettre les doigts en purée ! « C'est une tortue serpentine, explique Jérôme. Adulte, elles peuvent faire jusqu'à 60 kg ! » Dans son domaine, près de Toulouse, Jérôme élève plus de mille tortues ! Mais heureusement, les autres sont beaucoup moins mordantes ! Mais saviez-vous que ces serpentines de cauchemar se trouvaient dans les animaleries autrefois, tout comme les tortues de Floride, aux tempes rouges ? « On vous les vendait pour naines, et puis elles devenaient énormes. Du coup, les gens s'en débarrassaient en les jetant dans les lacs, les rivières, le canal… Et cette invasion a mis en péril les tortues de Midi-Pyrénées comme la cistude. » Voilà donc plus de vingt ans que Jérôme Maran récupère ces tortues étrangères. Sa passion est devenue son job, sa vie. Quand il ne voyage pas à l'autre bout du monde pour découvrir de nouvelles espèces, il récupère celles qui n'ont rien à faire dans nos ruisseaux. Et va à la rencontre des enfants des écoles leur parler de ses amis chéloniens. Et maintenant, Jérôme a un grand projet. Avec son ami Étienne Despouy, le patron d'Américafer, mais surtout un passionné d'animaux, ils sont en train de mijoter une sorte de « Tortuland », du côté de Bessières, en Haute-Garonne. « Il y aura un refuge, pour les tortues abandonnées et à côté, on pourra découvrir le parc « Chélonys », avec toutes les espèces de tortues. Une partie sera sous une serre tropicale, l'autre partie en pleine nature, au bord d'un lac. On devrait y adjoindre un musée des outils anciens, avec des animaux, vaches, cochons poules… » Le projet avance un peu plus vite que la tortue, mais butte pour l'instant sur un problème d'accès. Mais d'ici deux ou trois ans, les petits Toulousains pourront à leur tour venir faire un coucou aux tortues d'Hermann ou aux discrètes cistudes. En attendant, si l'idée vous prend d'aller tremper vos doigts de pieds dans un ruisseau de la région, regardez bien si une tortue serpentine n'y a pas fait son nid ! Source
-
-
A la recherche de l'iguane perdu Ce n'est pas le chat de la mère Michel que les sapeurs-pompiers des Adrets-de-l'Estérel, ont essayé de récupérer hier après-midi au lieu-dit des Phillipons. Mais un iguane adulte de taille moyenne, soit environ 1 m 20, coincé dans un arbre. Vers 12 h 30, les secouristes sont avertis par un particulier dont l'un des arbres abrite un exotique occupant. S'étant d'abord logé à trois ou quatre mètres de haut, l'iguane, du reste apparemment peu farouche, reste inaccessible. Après plusieurs tentatives, les pompiers, sous le commandement du lieutenant Flandin, alertent leurs homologues des Alpes-Maritimes. Aucun danger pour les humains ou la faune Le groupement d'intervention de sauvetage animalier se rend donc sur les lieux, en renfort. Le commandant Véronique Vienet, vétérinaire chef départemental explique : « Nous n'avons pas pu l'atteindre avec l'échelle car la branche où l'iguane s'était réfugié apparaissait trop petite ». Résultat, les pompiers coupent la branche... et l'iguane s'enfuit dans la forêt juste à côté. « Cet animal originaire des zones tropicales a besoin de 30 ou 35°C pour vivre. S'il reste dans la nature, l'hiver lui sera fatal. Il ne représente donc aucun danger pour les humains ou la faune », ajoute la vétérinaire. Même si le reptile a la capacité de déchiqueter avec sa gueule, de griffer avec ses pattes et de couper avec les écailles de sa queue. A ce jour, le propriétaire de l'iguane ne s'est pas fait connaître. L'animal peut s'être sauvé comme avoir été relâché. La détention d'un iguane, si elle soumise à un permis lors de l'achat, n'est pas illégale. truppert@varmatin.fr Tiphaine Ruppert Source