-
Compteur de contenus
12 143 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles animaux
Sites
Annuaire animalier
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
-
Gecko : comment trompe-t-il les prédateurs ? Comment le gecko fait-il pour détourner l'attention des prédateurs ? En se débarrassant tout simplement de sa queue ! Une fois coupée, la queue continue d'effectuer des mouvements assez complexes pendant de nombreuses minutes et ce mouvement associé à la rapidité de l'animal, permet à ce petit lézard d'augmenter ses chances de survir et de courir plus rapidement, selon une étude publiée dans la revue britannique Biology Letters. Petit hic ! Cette mutilation est aussi pénalisante pour ce reptile lorsqu'il saute ou grimpe, et également pour sa reproduction. Des mouvements assez diversifiés Contrairement aux mouvements de la plupart des corps ou membres d'animaux qui ne peuvent plus être contrôlés par le cerveau (comment ceux d'un poulet qui continue à courir lorsqu'on lui coupe la tête), ceux de la queue du gecko sont particulièrement diversifiés. "Nous avons découvert que la queue avait un large répertoire de mouvements variés et hautement complexes, dont des galipettes acrobatiques jusqu'à trois centimètres de hauteur" a déclaré Anthony Russell, de l'université de Calgary au Canada Il y a encore des inconnues ! Les scientifiques ne savent pas encore comment de tels mouvements peuvent être exécutés pendant un temps pouvant atteindre une demi-heure. "L'explication la plus plausible est que la queue reçoit des informations sensorielles en provenance de l'environnement. Des senseurs à sa surface pourraient la faire sauter, pivoter ou se déplacer dans une direction donnée" a-t-il estimé. Il récupère parfois leur queue pour la manger ! Du point de vue évolutionniste, c'est le caractère imprévisible de ces mouvements qui confère aux geckos un avantage du point de vue de la survie, en mobilisant l'attention du prédateur, arguent les chercheurs. Ils pourraient aussi permettre de mettre la queue elle-même à l'abri, car il arrive que les geckos survivants reviennent la chercher pour la manger, afin de compenser la perte de graisses stockées dans ce membre. Source
-
-
Vous connaissez le cinézoo?
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Général
Bah peu importe combien on est à y allé, ça peut avoir lieu cette sortie. C'est juste comme on me le demandait ici, je voulais organiser de quoi qui aurait pu convenir à plusieurs. Ça pourrait se faire le 10 octobre, comme ça vous m'apporterez des cadeaux pour ma fête en même temps! De toute manière, je suis déjà sur place cette fin de semaine là. J'ai juste besoin de savoir combien de personne veut venir pour que je réserve en conséquence. -
Les serpents venimeux, nouvelle folie des collectionneurs
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Les serpents venimeux, nouvelle folie des collectionneurs Grâce à Internet, les nouveaux amateurs de serpents peuvent se procurer, pour 15 euros, des bébés reptiles dangereux. Crédits photo : ASSOCIATED PRESS Les cas d'envenimation se multiplient. Face à cette situation, les hôpitaux sont désarmés et les prises en charge très coûteuses. «Il y a beaucoup plus de serpents venimeux exotiques chez les particuliers que dans tous les vivariums que compte notre pays», s'inquiète Pierre Quistinic, président de l'unique banque de sérums antivenimeux qui vient de s'installer à Angers. Depuis 2004, la détention de serpents, d'araignées ou de scorpions est encadrée par la loi : toute personne qui héberge ce type d'animaux doit obtenir un certificat de capacité délivré par les services vétérinaires. Mais dans les faits, la plupart ignorent la loi. «En région parisienne, une seule personne a sa capacité, avance Alain Debove qui tient un magasin de serpents non venimeux à Paris. Mais il doit y avoir au moins une quarantaine de propriétaires.» Les araignées et les scorpions ont aussi leurs «mordus». Les arrêtés de 2004 ont essayé d'empêcher les dérives de la mode de ce qu'on appelle les NAC, ou «nouveaux animaux de compagnie». Internet, Schengen et les élevages de serpents pour amateurs ont tout balayé. «Maintenant, on peut acheter un bébé crotale pour 15 € sur les forums. Il arrive par la poste quelques jours après», déplore Pierre Quistinic. Il y a dix ans, ce type d'animal valait cent fois plus cher. Dans les marchés de serpents exotiques aux Pays-Bas ou à Hamm, en Allemagne, n'importe qui peut acheter n'importe quelle espèce prisée des amateurs, voire inconnue des spécialistes. Cette situation n'est pas sans conséquences. Le nombre d'envenimations ne cesse d'augmenter. «À la fin des années 1980, en Provence, il y avait une envenimation par an. Aujourd'hui, il y a un cas toutes les deux ou trois semaines», rapporte le Dr Luc de Haro, du Centre antipoison de Marseille. Des pratiques d'apprentis sorciers Le toxicologue souligne, dans un article à paraître dans la revue Réanimation, que les hôpitaux sont confrontés à d'énormes difficultés pour faire face. Soit l'espèce est rare ou inconnue et il n'existe pas d'anti-venins en France. Soit l'animal est issu d'une hybridation effectuée par l'amateur lui-même et, dans ce cas, il est impossible de connaître la toxicité de son venin et de faire quoi que ce soit. Ces pratiques d'apprentis sorciers ont malheureusement tendance à se développer. «On est dans l'inconnu», avertit Luc de Haro. C'est ainsi, par exemple, que des serpents réputés inoffensifs en Asie ou en Afrique, parce que de mœurs nocturnes ou craignant l'homme, peuvent se montrer agressifs en captivité et mordre quand une main leur tend une souris vivante pour les nourrir. Dans ce cas, rien n'existe contre leur venin… La banque d'anti-venins d'Angers couvre actuellement les besoins pour une quarantaine d'espèces : les crotales des deux Amériques ainsi que les najas, les bitis et les echis africains. «C'est mieux que rien. Mais tout se complique avec les serpents plus rares», assure le Dr Luc de Haro. Pour ces espèces, en effet, il n'existe pas d'anti-venins fiables et sûrs mais des sérums mal purifiés et dangereux. «Une vraie soupe», assure le médecin. La différence entre le prix d'achat d'un jeune serpent et le montant d'un sauvetage est considérable. Le coût total d'une intervention en cas d'envenimation se chiffre à plusieurs dizaines de milliers d'euros. Une dose d'anti-venin - le seul moyen de traiter le patient en toute sécurité - revient à 1 000 € pour la vipère et la plupart des espèces exotiques qui peuvent toutefois nécessiter l'administration de deux, voire trois doses. S'ajoutent à cela les coûts d'acheminement en urgence du produit et les journées en réanimation. «Il est impossible d'établir un portrait-robot de l'éleveur de NAC venimeux», reconnaît le Dr Luc de Haro dans son étude. «De nombreux passionnés sont des gens sérieux. Malheureusement, l'aspect dangereux des animaux les rend attractifs pour des personnes que l'on pourrait qualifier de marginales.» Parmi elles, des adolescents en difficultés ou des adultes souffrant d'exclusion et présentant des troubles du comportement. Grâce à la qualité des soins en France, il n'y a pas encore eu de décès consécutifs à une envenimation. Il n'en va pas de même dans les pays du Sud. Selon une étude récente, les morsures de serpents venimeux tuent chaque année dans le monde entre 20 000 et 94 000 personnes pour plus de 420 000 envenimations (Plos Medicine, novembre 2008). Source #Art-SB-Plie { overflow: hidden; display: block; } #Art-SB-Deplie { overflow: hidden; display: none; } table.Art-SB { position: relative; float: right; margin-top: 30px; margin-bottom: 20px; margin-left: 0px; margin-right: 0px; padding:0; border: 1px solid #d2d2d2; font-family: Verdana, sans-serif; font-size: 12px; color: #999999; overflow: hidden; padding: 0; } .Art-SB-Top td { height:20px; border-bottom: 1px solid #d2d2d2; margin: 0; overflow: hidden; } .Art-SB-Bot td { height:20px; margin: 0; overflow: hidden; } td.Art-SB-Gauche { border-right: 1px solid #d2d2d2; } td.Art-SB-Droite { margin: 0; height:41px; border-left: 1px solid #d2d2d2; border-bottom: 0px; } .Art-SB div { margin:0; position:relative; float:left; } .Art-SB-Etiquette, .Art-SB-Icones, .Art-SB-Etiquette-Cache, .Art-SB-Icones-Cache { position: relative; float: left; padding-left:5px; padding-right:5px; line-height: 16px; } .Art-SB-Gauche .Art-SB-Etiquette { width: 55px; } .Art-SB-Centre .Art-SB-Etiquette { width: 60px; } .Art-SB-Etiquette-Mobile { width: 40px; border-left: 1px solid #d2d2d2; padding-left:5px; padding-right:5px; } .Art-SB-Etiquette-3D { width: 35px; border-left: 1px solid #d2d2d2; padding-left:5px; padding-right:5px; } img.Art-SB-Ico { height:16px; width:16px; border:0; margin-right:1px; } /*** ToolTip */ .tip3 { background:url(/scripts/tooltip/bulle-top.gif) no-repeat; width:150px; font:11px verdana,arial,sans-serif; font-weight: bold; color:#333333; padding:16px 0 0 0; margin:0; } .tip3 p { background:url(/scripts/tooltip/bulle-bottom.gif) bottom left no-repeat; margin:-10px 0 0 0; padding:0 0px 20px 0px; text-align:center; } * html .tip3 { /* background:#fff; */ width:150px; height:16px; } * html .tip3 p { /* background:#fff; */ width:150px; color:#000; } -
Les 188 lézards protégés saisis à Paris transitaient du Niger vers la Floride PARIS — Cent-quatre vingt huit lézards protégés, saisis il y a une semaine par les douanes à l'aéroport de Roissy, provenaient du Niger et étaient destinés à la Floride, ont indiqué jeudi les douanes, qualifiant cette saisie d'"importante". Les 188 lézards, de l'espèce protégée Uromastyx Geyri, saisis le 10 septembre, se trouvaient dans deux caisses faisant partie d'un lot de neuf, a indiqué à la presse Jérôme Fournel, directeur général des douanes. Seulement sept de ces caisses disposaient de certificats autorisant l'exportation de caméléons et de reptiles. Lézard jaune ou rouge, mesurant 25 centimètres à l'âge adulte, l'Uromastyx Geyri, en voie d'extinction au Niger, a été interdit à l'exportation récemment par la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES). "Ces animaux allaient vers la Floride où ils allaient sans doute être revendus sur l'ensemble du territoire américain" à des grossistes, des parcs ou des particuliers, "qui ont envie d'un animal un peu exotique", a expliqué M. Fournel. "Il y a des filières qui se développent à cause de cette demande frauduleuse", a-t-il ajouté. "Mais en faisant ça, a-t-il relevé, on participe à la destruction de l'écosystème de la terre". Il s'agit d'un "commerce qui peut être lucratif", ces lézards pouvant se négocier à 200 euros pièce, soit environ 40.000 euros pour les deux caisses saisies, a-t-il précisé. L'enquête des douanes va tenter de déterminer l'origine de ce trafic. En 2008, près de 700 animaux vivants ont été saisis par les douanes, a rappelé M. Fournel, notant que les saisies progressent, notamment en raison d'une plus grande vigilance de ses services. Une vingtaine des lézards saisis sont conservés, mais pas mis en vente, dans un magasin parisien baptisé "la ferme tropicale", où ils ont été montrés à la presse. Les autres sont gardés dans des entrepôts adaptés en banlieue, en attendant que la justice se prononce sur leur sort. En France, 1% des foyers possèdent un reptile (tortue, lézard ou serpent) contre 3% aux Etats-Unis, a expliqué Karim Daoues, responsable de "La ferme tropicale" et spécialiste des reptiles. Source
-
-
Une queue intelligente! La queue du gecko étonne encore les zoologistes. Des chercheurs canadiens ont découvert que le lézard est capable de se débarrasser de sa queue qui, une fois coupée, peut effectuer des mouvements complexes pendant de nombreuses minutes pour détourner l'attention de prédateurs. En fait, le Dr Anthony Russell et son équipe de l'Université de Calgary ont déterminé que la queue du petit lézard avait un large répertoire de mouvements variés et hautement complexes, dont des galipettes acrobatiques jusqu'à trois centimètres de hauteur. Pour en arriver à cette conclusion, les zoologistes ont analysé la queue coupée d'un gecko léopard à l'aide d'un électromyogramme (mesurant le potentiel électrique généré dans les muscles) et d'une technique de vidéo qui permet une observation détaillée. Ils ont découvert que les mouvements de la queue du lézard étaient beaucoup plus diversifiés que la plupart des corps ou membres d'animaux qui ne peuvent plus être contrôlés par le cerveau (comme ceux d'un poulet qui continue à courir lorsqu'on lui coupe la tête). Nous avons découvert que la queue avait un large répertoire de mouvements variés et hautement complexes, dont des galipettes acrobatiques jusqu'à trois centimètres de hauteur. — Dr Anthony Russell, Université de Calgary Le Dr Russell ne peut s'expliquer comment ces mouvements sont exécutés pendant un temps qui peut s'étendre sur une demi-heure. Selon lui, la queue reçoit des informations sensorielles en provenance de l'environnement. Des capteurs à sa surface la feraient sauter, pivoter ou se déplacer dans une direction donnée. Le caractère imprévisible de ces mouvements confère donc aux geckos, d'un point de vue évolutionniste, un avantage en mobilisant l'attention du prédateur. Ces mouvements permettraient également de mettre la queue à l'abri. Il arrive parfois que les geckos reviennent la chercher pour la manger, afin de compenser la perte de graisses stockées dans ce membre. Le détail de ces travaux est publié dans les Biology Letters. Source
-
Le gecko se met au vert à Manapany À l’initiative de l’Association des propriétaires riverains, habitants de Manapany (ADPRH) et l’association Nature Océan Indien (NOI), la première édition “Les Arts Verts” a eu lieu hier. Dédiée au gecko de Manapany, la manifestation à la fois artistique et culturel a permis au public de mieux connaître et protéger le lézard vert, espèce endémique protégée. Véritable emblème de Manapany, le gecko n’en est pas moins menacé de disparition, victime de la mutation de son habitat naturel de plus de plus accaparé par une autre espèce, mammifère celle-là, et bipède de surcroît. Il n’en fallait pas plus pour que les habitants du quartier, qui ont adopté l’animal depuis longtemps, se mobilisent pour sauver cette curiosité biologique, espèce endémique qui ne vit que dans ce quartier de Saint-Joseph. Lancée en 2007 par l’Association des propriétaires riverains, habitants de Manapany (ADPRH), l’idée de dédier une journée au sympathique saurien s’est concrétisée hier à l’occasion de la première journée “Les Arts Verts de Manapany”. À l’occasion de cet événement qui fait rimer nature avec culture, les riverains ont travaillé main dans la main avec la jeune association Nature Océan Indien (NOI) qui milite depuis déjà quelques temps pour la sauvegarde du gecko et a même rédigé une charte de bonne conduite à son égard à destination du public. CITOYENS SENTINELLES Hier, les membres de l’association NOI ont présenté le fruit de leur travail sur le terrain à travers une conférence pédagogique, complétée par l’exposition des clichés de Yabalex, photographe animalier rallié à la cause du gecko. Parallèlement et parce que la sauvegarde du lézard passe aussi par les arts, une dizaine d’artistes ont exposé chacun une oeuvre réalisée en relation avec le thème du jour. Acrylique, aquarelle, photo, sculpture ou encore body painting réalisé par l’école d’esthétique SLA Fashion, le célèbre lézard n’a pas manqué d’inspirer ses admirateurs. Parmi eux, les écoliers de Saint-Joseph qui ont également participé à leur manière à cette journée en exposant leurs dessins réalisés en classe. “Le lézard vert de Manapany, c’est notre patrimoine commun, notre but est de sensibiliser au maximum la population et en premier lieu les plus jeunes à sa sauvegarde, explique Marie-Claude Ollivier, la présidente de l’association. Il faut que tout le monde se mobilise pour le gecko et devienne citoyen sentinelle car nous vivons avec lui au jour le jour et nous avons une responsabilité envers lui afin que les générations futures puissent encore l’admirer.” Si elle se satisfait de cette première édition, un peu organisée dans l’urgence, Marie-Claude Ollivier pense déjà à la prochaine édition, l’année prochaine, où l’art devrait prendre une place plus importante encore. En attendant, le gecko de Manapany n’a pas fini de lézarder au soleil dans la baie P.V. Source
-
Une tortue dans les lignes Maxime Génin, 11 ans, et son père, pêchaient la dorade en surfcasting sur la plage des Aresquiers samedi après-midi, quand une masse bizarre est venue taquiner les lignes. Maxime s'est doucement approché et a découvert à 30 m du rivage une tortue caouanne en piteux état, visiblement blessée par une hélice de bateau. Maxime l'a délicatement amenée vers la plage. Où elle a été prise en charge pour être soignée. Ce samedi-là, Maxime et son père n'ont attrapé aucun poisson. On peut pas tout avoir. Selon le Centre d'étude et de sauvegarde des tortues marines, basé au Grau-du-oi, « il s'agit d'une tortue plutôt jeune (entre 4 et 5 ans peut-être). Elles viennent ici pour s'alimenter et repartent bien souvent vers la mi-octobre vers des eaux plus chaudes. » Source
-
Ils dérobent 40 tortues dans un élevage C’est une histoire plutôt insolite qu’ont eue à résoudre les policiers du commissariat de Martigues. Vendredi, ils ont été alertés par un riverain de St-Roch qui venait de se faire dérober… 40 tortues de Hermann ou tortues des Maures. Ces tortues terrestres, élevées en toute légalité, sont une espèce en voie d’extinction. Est-ce cela qui a conduit un groupe d’ados à vouloir les voler afin de les revendre ? Sans doute. En tout état de cause, ces six jeunes gens ont été interpellés sitôt après les faits. Tous ont terminé en garde à vue et une vingtaine de tortues, ont été récupérées par les enquêteurs. Les enfants sont repartis avec une convocation devant le délégué du procureur pour un rappel à la loi. Outre cela, ils risquent jusqu’à 1500 € d’amende par tortue dérobée. Source
-
Gérard Sembrès n'hésite pas à capturer des serpents
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Mirande. Gérard Sembrès n'hésite pas à capturer des serpents Service. Les sapeurs pompiers peuvent intervenir pour capturer des reptiles, certains s'en sont fait une spécialité. Tous les membres de la brigade animalière du corps des sapeurs-pompiers de Mirande sont formés à la capture des animaux et si tous peuvent attraper des serpents Gérard Sembrès s'en est fait une spécialité « Les serpents les plus fréquemment rencontrés ici sont des couleuvres. Il y a très peu de vipères. Il m'est arrivé deux fois seulement d'en trouver et je les ai relâchées dans la nature. On nous appelle quand des serpents se trouvent dans les maisons ou trop près des maisons. Il faut être prudent et discret pour s'en approcher. Le serpent est sourd mais par contre il ressent les vibrations au niveau du sol quand on essaie de s'approcher de lui ». Il a fait de grosses prises comme cette couleuvre verte et jaune de près de deux mètres qu'il lui arrive d'attraper plusieurs fois là où elle a ses habitudes, près de Mirande. » Cette couleuvre au corps fin et allongé et à la queue effilée a la tête et corps vert foncé, avec des taches jaunes. Sa longueur moyenne est de 1 m 30 à 1 m 50, mais peut atteindre 2 m et plus. C'est, avec la couleuvre d'Esculape, le plus grand serpent que l'on peut rencontrer ici. Elle a une activité diurne, à l'aise sur terre comme sur l'eau, grimpe dans les buissons et les arbres. Quand elle est menacée, elle n'hésite pas à adopter un comportement agressif et cherche à mordre. Sa morsure n'est pas venimeuse mais elle est douloureuse. Elle a un caractère très batailleur, et n'hésite pas à s'élancer gueule ouverte sur son agresseur. Son alimentation est variée, jeune elle se contente d'insectes, de petits lézards et adulte elle chasse souris, lézards, oiseaux et parfois d'autres serpents. Elle peut s'approcher des habitations pour y attraper des souris. Dans ce cas que Gérard Sembres intervient quand il est appelé « sinon on les laisse tranquilles ! » Source -
Un serpent mutant dans sa chambre à coucher Une sexagénaire chinoise a fait une étrange découverte. Duan Qionqxiu est tombée nez à nez avec un serpent mutant dans sa chambre à coucher. Le reptile en question est plus que particulier. En effet, selon The Sun, il était doté d'une sorte de pied avec quatre petits orteils. Une protubérance qui laissent les experts perplexes. "Je me suis réveillée et j'ai entendu un drôle de bruit" explique la femme de 66 ans. "J'ai allumé et j'ai vu ce monstre qui avançait le long du mur". Effrayée, Duan a lancé un soulier sur l'animal qui est mort sur le coup. Elle a ensuite mis le serpent mutant dans un bocal contenant de l'alcool avant de prévenir les autorités. Présenté aux scientifiques, le serpent laisse un grand nombre de questions auxquelles tenteront de répondre les experts après l'avoir autopsié. (CB) Source
-
Chercheur à l'honneur : Clare Hudson à l'embryon de la vie
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Chercheur à l'honneur : Clare Hudson à l'embryon de la vie Chargée de Recherche au Laboratoire de Biologie du Développement à l’Observatoire océanologique de Villefranche-sur-Mer, elle recevra la médaille de bronze du CNRS pour son travail sur les mécanismes fondamentaux qui régulent le développement embryonnaire. La recherche azuréenne une nouvelle fois à l'honneur avec la médaille de bronze du CNRS qui sera remise à Clare Hudson, Chargée de Recherche CNRS au Laboratoire de Biologie du Développement, lors d'une cérémonie, vendredi 18 septembre à 11h30 à l’Observatoire océanologique de Villefranche sur Mer. Clare Hudson qui travaille dans l'équipe "Spécification de précurseurs embryonnaires" cherche à comprendre, depuis le début de sa carrière, les mécanismes fondamentaux qui régulent le développement embryonnaire. Elle se sert pour cela de différentes espèces modèles de laboratoire, notamment l’amphibien Xenopus et l’ascidie Ciona. L'exploitation du modèle ascidie Dans ce domaine, elle a contribué à d’importantes découvertes. Par exemple, durant sa thèse à l’Université de Warwick (UK), Clare a identifié de nouveaux gènes régulateurs de développement chez Xenopus, dont un gène clef (Sox17) qui dirige la formation de la région endodermale (intestin, foie etc). Ensuite, au cours d’un postdoctorat réalisé dans le laboratoire de Patrick Lemaire à Marseille, elle a contribué à établir Ciona comme nouveau modèle expérimental en biologie du développement. Les ascidies comme Ciona font partie du phylum des chordés, et leur embryon est organisé de la même façon avec une notocorde centrale et un tube neural dorsal. Cet embryon a toutefois la particularité de se réaliser à partir d’un très petit nombre de cellules et selon un patron de divisions cellulaires stéréotypé. Ces caractéristiques permettent d'étudier la genèse des structures embryonnaires comme les muscles et le système neural avec une précision temporelle et spatiale unique. Clare s’est focalisée essentiellement sur le processus de neurogenèse. Elle a disséqué avec une précision remarquable les mécanismes cellulaires et moléculaires responsables pour conduire certaines cellules à adopter un destin neural, et ensuite pour déterminer les différentes régions de la plaque neurale, cellule par cellule. Actuellement, son projet de recherche vise, toujours en exploitant le modèle ascidie, à disséquer la totalité des processus menant à la formation du tube neural dorsal, une des structures qui distingue les chordés du reste du règne animal. La Médaille de bronze récompense le premier travail d'un chercheur, qui fait de lui un spécialiste de talent dans son domaine. Cette récompense représente un encouragement du CNRS à poursuivre des recherches bien engagées et déjà fécondes. La cérémonie, vendredi, se fera sous l'égide d'André Le Bivic, Directeur scientifique adjoint de l'Institut des Sciences Biologiques du CNRS, Fauzi Mantoura, Directeur de l’Observatoire océanologique de Villefranche sur Mer, Evelyn Houliston, Directrice du Laboratoire de Biologie du Développement, Observatoire Océanologique de Villefranche sur Mer et Marie-Florence Grenier-Loustalot, Déléguée Régionale du CNRS - Côte d’Azur. Contacts Courriel : [url=/javascript:_m('clare.hudson', 'obs-vlfr.fr')]clare.hudson[/url] Site Web : http://biodev.obs-vlfr.fr Source -
Le Pleurodèle de Waltl ou triton espagnol est un charmant petit amphibien qui, en cas d'attaque, peut faire jaillir ses côtes hors de son corps et s'en servir comme arme. La bête n'est pas du tout lésée par ce système de défense car, même si les petits os transpercent à chaque fois sa peau, elle possède un très fort système immunitaire et des capacités régénératives hors du commun. Oui, comme Wolverine. A voir avec la méduse géante et le ver parasite avaleur de langue sur Wired, ou comment la nature est, parfois, plus forte que la SF. Source
-
-
-
-
Au secours des tortues de Tikehau Depuis 2006, un programme de conservation des tortues marines est expérimenté à Tikehau. La protection des tortues est confiée à la population de l'île, plus précisément à un "Gardien des Tortues" recruté parmi les pêcheurs locaux. Financé par le Ministère de l'Environnement, ce programme est mené par l'association Te Honu Tea, qui s'appuie sur l'association de protection de l'environnement Tikehau Te Ora et la mairie de Tikehau. À Tikehau, c'est William Harrys, 59 ans, qui veille sur les tortues. Cet ancien chasseur de tortues –jusqu'à une certaine époque, la tortue se vendait librement sur le marché de Papeete – connaît parfaitement les mœurs de Chelonia mydas, la tortue verte, classée "en danger" par l'UICN. Il sait dater un nid, prévoir l'émergence des bébés-tortues et déceler les traces d'une tortue sur n'importe quel type de sol. Voir William décrire sans hésiter la trajectoire de la tortue sur la plage, là où l'on ne perçoit soi-même que des gros fragments de corail indifférenciés, blanchis par le soleil, est une expérience étonnante, et l'on se demande un instant s'il n'est pas un peu magicien. Avec les années, William a pu constater qu'à Tikehau, les tortues venaient moins nombreuses, qu'elles étaient de plus en plus petites et que des plages autrefois connues pour être des sites de ponte importants n'accueillaient plus aucun nid... Aujourd'hui, au sein du programme "Gardiens des Tortues", il recense les nids, les protège jusqu'à l'éclosion, car les crabes, les rats, mais aussi l'homme se régalent des œufs, et veille à ce que les petites tortues trouvent le chemin de la mer. En trois ans, le nombre de nids a augmenté de 300%. Il patrouille aussi régulièrement sur les plages : au cours d'une saison de ponte, les femelles pondent à plusieurs reprises, à quinze jours d'intervalle, et toujours au même endroit. Rien de plus facile pour les braconniers que d'attendre qu'elles remontent : la première année à Tikehau, aucune femelle n'a pu pondre plus d'une fois, la seconde montée ayant été fatale pour toutes. Grâce à l'action du gardien, en 2009, le record a été de sept pontes successives, et en trois ans, le nombre de nids a ainsi augmenté de 300%. Le biologiste de Te Honu Tea, Alexandre, a passé la première saison de ponte à Tikehau avec William, pour le former à l'utilisation d'un GPS et à la collecte des données en général. Depuis 2008, William collecte seul les données scientifiques (taille, poids, nombre d'œufs, …), tandis qu'un membre de l'association vient régulièrement passer quelques jours avec lui pour lui apporter du matériel et vérifier le bon avancement du suivi. En fin de saison, les données de William sont collectées et analysées. La description détaillée de saisons de ponte successives qui en résulte constitue une première en Polynésie. Confier aux habitants de l'île la protection des tortues Le but du programme est bel et bien de confier aux habitants de l'île la protection de leurs tortues. À terme, Te Honu Tea souhaite passer le relais à l'association Tikehau Te Ora, et n'assurer plus qu'un soutien scientifique et technique. L'originalité de cette approche participative et la création d'un emploi local n'a pas échappé aux îles voisines : à l'ouest de Tikehau, Mataiva a demandé à Te Honu Tea de mettre en place un programme comparable. Après deux saisons de prospection à Mataiva, grâce au soutien du Ministère de l'Environnement, l'association a bon espoir qu'un nouveau gardien pourra bientôt veiller sur les tortues de Mataiva. En attendant, ce sont des petits gardiens des tortues qui vont être en première ligne : les enfants des écoles de Tikehau et Mataiva sont invités par Te Honu Tea à la Fête de la Science, qui aura lieu du 16 au 21 novembre 2009, et viendront présenter leur travail et leurs tortues. Pour qu'un jour, peut-être, les tortues reviennent nombreuses pondre dans nos îles… Source
-
Vous connaissez le cinézoo?
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Général
-
Vous connaissez le cinézoo?
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Général
-
Vous connaissez le cinézoo?
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Général
-
La tortue remise à l'eau au large des Embiez Mer calme, soleil au beau fixe. Les conditions sont idéales pour le retour aux sources de la tortue caouanne. Après trois semaines de convalescence dans un bassin de l'Institut océanographique Paul-Ricard, l'animal a été remis à l'eau, hier matin. myOasAd('Position1'); Tout s'est passé très vite, en une demi-heure. À 9 h 15, le semi-rigide de la société Atlantide, qui doit transporter la tortue, accoste au port des Embiez. À bord, les quatre patrons de la société bandolaise : Yves Savio et sa femme Martine, Philippe Bachelard et sa compagne Marlène Tchang ainsi que leurs deux enfants, Thibault (3 ans) et Gwenaëlle (4 ans). Ce sont les hommes qui ont repêché la tortue au large des Embiez le 18 août dernier. À quai, Philippe Aublanc, responsable technique et Patrice Chafer, scaphandrier soigneur, travaillant tous deux à l'Institut Paul-Ricard, sont prêts à embarquer avec la tortue. Celle-ci a été placée dans une caisse en plastique. Il ne manque que Patrice Lelong, conservateur de l'Institut, qui a veillé sur la tortue pendant son séjour sur l'île. Au dernier moment, il n'a pas pu faire partie de l'expédition : sa patiente lui a sectionné une phalange et l'a avalée ! (lire ci-contre). « Bien reposée et bien nourrie » Le semi-rigide se dirige à toute allure vers le large. Un peu à l'étroit dans sa caisse, la tortue de 30 à 40 kg et de 62,6 centimètres de long, fait des mouvements de nageoires. Thibault et Gwënaelle ouvrent de grands yeux. « Surtout, ne mettez pas les doigts ! », s'exclame leur papa. « Elle est en pleine forme, commente Philippe Aublanc, Elle s'est bien reposée et a été bien nourrie. On lui a donné tous les jours des filets de sardines ! ». « ça fait plaisir de la voir comme ça, enchaîne Yves Savio avec un large sourire. Quand on l'a repêchée, elle flottait comme une palette en bois. Elle avait de l'herbe et des crustacés sur la carapace, c'était mauvais signe...». La tortue, sexagénaire, a eu un gros coup de fatigue. Mais après sa cure à l'Institut, la vieille dame a retrouvé une seconde jeunesse. Et a hérité d'une bague. Avec ce marquage, elle est désormais « fichée ». « Si un jour on la retrouve, on saura quel âge elle a », explique Philippe Aublanc. Plongeon en eaux profondes Le bateau s'arrête net, à environ 4 kilomètres de la côte. C'est là que la tortue va être relâchée. Yves Savio et Philippe Bachelard soulèvent la caisse et la plongent dans l'eau. Elle se dégage. En deux temps trois mouvements, elle s'enfonce dans les profondeurs. L'équipage la guette encore, la tortue refait surface. Pendant quelques minutes, on la suit, on la filme, on lui tire le portrait. « Allez, on y va ! Elle se sent suivie, on va l'épuiser », lance Yves Savio. Et le semi-rigide fait demi-tour, s'éloignant de la vieille Caouanne qui emporte avec elle, en souvenir sans doute, un bout du doigt de son bienveillant docteur. mvalmalette@varmatin.com Marielle Valmalette Source
-
Une tortue des bois, une espèce menacée, retrouvée sur le bord de la route Publié à 0h00 le jeudi 10 septembre 2009 Plusieurs jeunes et adultes du Bouctouche Baie Chalets & Camping étaient curieux de voir une tortue de près avant qu'elle soit remise en liberté près d'une rivière dans la région de Bouctouche. Très peu se doutaient qu'ils voyaient une tortue des bois qui se fait de plus en plus rare même si elle avait été trouvée sur le bord de la route, entre Cocagne et Bouctouche, par un résidant du terrain de camping. Eric Tremblay, biologiste au parc Kouchibouguac, confirme que cette tortue, connue sous son nom scientifique "Clemmys insculpa", est une espèce menacée selon le Comité sur la situation des espèces en péril au Canada (COSEPAC). Ce comité composé de spécialistes, évalue et désigne les espèces sauvages qui risquent de disparaître du Canada. La tortue des bois avait d'abord été identifiée comme une espèce « préoccupante » en avril 1996 par le COSEPAC mais lors d'une réévaluation en novembre 2007, on lui a conféré le statut de « menacée ». Selon le COSEPAC, « la hausse du taux de mortalité découle d'une exposition accrue à la circulation routière, à la machinerie agricole et aux véhicules hors route, de la collecte comme animaux de compagnie, ainsi que de la collecte pour le commerce des animaux de compagnie et peut-être pour la fabrication d'aliments exotiques et de médicaments. Le degré de menace accru est associé à l'accès nouveau ou croissant par les humains aux endroits où vit l'espèce. » La présence de la tortue des bois est limitée à quatre provinces canadiennes, le Nouveau-Brunswick, la Nouvelle-Écosse, le Québec et l'Ontario. Source
-
Vous connaissez le cinézoo?
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Général
-
Vous connaissez le cinézoo?
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Général