Max|mum-leterrarium

si tu es prête à venir à St-Hyacinthe, je te dirais quand ils seront là!

Je suis parti sur un trip de changer mes terrariums pour du plus grand ces temps-ci. Ça fait environ une dizaine depuis mon déménagement qui hérite d'un peu plus grand. Aujourd'hui c'était son tour. Je suis arrivé à l'animalerie, j'ai demandé qu'est-ce que tu as comme terrarium de disponible? As-tu plus grand? As-tu plus grand que ça encore? C'est le plus grand que tu as? Ok embarque le dans l'auto qui est là! Simple non! J'ai un corn snake qui arrive demain qui est un de mes anciens bébés qui revient au bercail. Il va hériter de l'ancien terrarium de ma california king snake. Si quelqu'un veut un corn snake régulier mâle avec les het inconnus. Il a deux ans. Je peux le vendre avec un Exo-Terra 18X18X18. Bon tout ça est du bla bla inutile d'un gars qui travaille de nuit, qui est en congé et qui s'enmerde rare parce que tout le monde dort donc je vous montre des photos de ma california king snake qui vient de prendre domicile dans son nouveau terrarium tout neuf.

Je ne vous avais pas encore montré la fierté de maman. Je viens de loader mes photos dans mon ordi et je suis tombé sur ça. J'ai trouvé maman formidable moi.

Il fallait bien que tu parles de ça pour que j'en achète 4 cet après-midi. Habituellement, j'achète toujours en trio mais je ne voulais pas laisser la dernière toute seule. Je me suis fais répondre ça addonne bien, on en attend des nouvelles donc ça va avoir libéré la place, on va pouvoir désinfecter le terrarium avant de leur arrivé. J'avais payé mes anciennes 8,99$ mais ceux là étaient à 11,99$

Il peut être normal que ça ne soit pas à chaque jour oui.

Je vous copie cet article en premier lieu pour la couleuvre. Animal menacé, animal familier Couleuvre vipérine, castor, ils vivent dans nos cours d’eau ; l’homme asphyxie leur espace vital. Le cri d’alarme de Laurent Ballesta Ghislaine Ribeyre - Paris Match Un serpent à deux têtes ? Non : des couleuvres vipérines en plein accouplement. A la saison des amours mais aussi tout au long de l’année, ce petit serpent (il dépasse rarement le mètre) est plus à l’aise dans l’eau que sur terre. Il y chasse le poisson et le batracien et, surtout, il est à l’abri de son pire ennemi : l’homme. A cause d’une vague ressemblance avec sa lointaine cousine la vipère, ce reptile pacifique et inoffensif périt souvent sous les coups de bâton. Ce n’est pas le seul danger qui pèse sur la couleuvre vipérine. Comme le castor, autre animal terrestre qui trouve son bonheur en nageant, elle voit son existence menacée par la dégradation de l’environnement, la pollution, l’aménagement systématique des berges. Habitué des plongées dans les grands fonds, le biologiste et photographe Laurent Ballesta s’est immergé dans nos rivières, à la rencontre de ces espèces fragiles que nous côtoyons sans vraiment les connaître. Quand le castor attaque, c’est toutes dents dehors – ces incisives plus coupantes qu’un couteau à bois, plantées sur des mâchoires deux fois plus puissantes que celles de l’homme, peuvent briser la colonne vertébrale d’un congénère. Ce jour-là, Laurent Ballesta ignore ce qu’il a fait pour provoquer le courroux d’une femelle : a-t-elle perçu le plongeur comme une menace ­envers ses petits, ou voulait-elle protéger l’accès à son territoire ? Toujours est-il qu’elle a foncé sur lui dans une traînée de bulles. « Elle a empoigné mon appareil photo avec ses griffes et l’a tiré vers elle, comme pour voir qui se cachait derrière », raconte le biologiste. L’animal a fini par faire demi-tour après avoir transmis son message : sur les quelques kilomètres de ­rivière qui forment son domaine, l’intrus est toléré, pas plus. Il a fallu trois ans à Laurent Ballesta pour se faire accepter par cette famille de castors installée dans la vallée du Gardon, à quelques kilomètres du pont du Gard, que lui avait signalée Gilles Larnac, président de Pile Poil, ­l’Association pour la protection, l’information et l’étude des mammifères sauvages du Gard. Habitués aux randonneurs, ces castors-là sont un peu moins méfiants que les autres. Mais si l’on fait mine de venir plus près, l’un d’eux donne l’alarme en frappant le sol de sa queue, et tous disparaissent illico dans la rivière. « Une boule d’argent quiavance comme une torpille » Pourtant, une fois sous l’eau, c’est la surprise : le castor se laisse plus facilement approcher, peut-être parce qu’il n’y voit pas très bien. Avec ses petites pattes avant munies de griffes, ses pieds palmés et sa queue plate couverte d’écailles, il est pataud sur le plancher des vaches, mais excellent ­nageur. En mode tranquille, il « pédale » avec ses pattes arrière, la tête hors de l’eau. En alerte, il ondule de tout son corps avec la queue en guise de gouvernail et se transforme en « une boule d’argent qui avance comme une torpille », dit Laurent Ballesta. Peu habitué à être suivi sous l’eau, l’animal pourrait être alerté par les bulles des plongeurs. Alors, le biologiste fait appel à Aqua Lung, une société qui fabrique – exclusivement pour la Marine nationale – des scaphandres spéciaux offrant une autonomie de six heures sous l’eau, sans bulles révélatrices, pour une charge de 5 kilos seulement. Il a pu s’en faire prêter un. Au fil des ans, les castors de la vallée du Gardon se sont habitués à lui, au point de le considérer comme partie intégrante du paysage. Dans leur hâte de transporter une branche, il leur est même arrivé de lui marcher dessus... De toute façon, en cas d’alarme, ils ont accès au meilleur des refuges : leur terrier. Creusé dans les berges, il est accessible par une entrée située entre 50 centimètres et 1 mètre sous la surface de l’eau. Les galeries mènent vers des chambres au sec, ventilées grâce à des trous d’aération – un des rares indices qui trahissent la présence des ­castors, avec les marques de dents sur les arbres et la présence de branches mises à nu. L’animal a le sens de la famille et vit en couple, avec généralement deux générations de rejetons (les portées sont petites, un ou deux individus). Les parents sont très attentifs pendant les premiers mois, mais virent sans état d’âme le jeune qui atteint 2 ans – parfois 3 –, car il y a des Tanguy chez les castors aussi. Ils sortent un peu avant le coucher du soleil pour aller chercher de la nourriture (plantes, jeunes pousses et arbustes tendres), jouer dans l’eau et se consacrer au rituel de la toilette. Assis sur ses pattes arrière, sur la berge, chacun utilise ses pattes avant pour peigner, nettoyer et ­déparasiter son propre pelage, puis celui du voisin. Source

Le set up semble bien. Comme j'avais dis plus tôt, je changerais peut-être les essuis-tout pour du plantation soil mais c'est tout. Ça c'est simplement mon point de vue puisque j'aime le naturel.

Sorède A pas de tortue Sorède A pas de tortue Au pied des Albères, l'on trouve un parc animalier pas comme les autres. Ici, pas de fauves mais des carapaces qui fleurissent dans tous les recoins. Bienvenue dans la Vallée des Tortues ! Un espace exclusivement dédié à cet animal aussi sauvage que familier qui a pris forme grâce à un groupe d'ardents défenseurs des chéloniens (sous-classe de reptiles, dont le corps est protégé par une carapace et un plastron ventral osseux recouverts de corne). Ainsi, après 9 ans d'existence, le site est devenue l'un des derniers sanctuaires européen du genre en général et de la tortue d'Herman en particulier. Sur 2,5 hectares de surface, 500 spécimens se prélassent pour une trentaine d'espèces représentées, des plus petites jusqu'à la célèbre tortue des Seychelles. Tél. : 04 68 95 50 50. Dès 9 h. Gratuit pour les – de 2 ans et demi, 7 E pour les – 10 ans, 8 pour les ados et étudiants, 9 adultes. Source

Aurais-tu une photo de son terrarium?

Finalement, il a trouvé sa maison!

Ça aurait du bon sens puisque la gestation est de 4 à 6 semaines. Tiens nous au courrant alors. Tu serais peut-être mieux de préparer un bac de ponte pour lui mettre dans le terrarium avant le grand jour.

Oui, ça pond des oeufs. S'il veut trouver plus d'infos, il peut chercher sous le nom de Sceloporus magister.

Les pompiers capturent un varan dans la cour d’une ferme Intervention insolite, jeudi midi, dans la cour d’une ferme à Maure-de-Bretagne. Les pompiers de la commune ont capturé un varan, sorte de gros lézard au long cou. On en trouve habituellement dans les régions tropicales et sous-tropicales d’Afrique, d’Asie et d’Australie. Il existe une soixantaine d’espèces. Le reptile (dont on ne connaît pas le propriétaire) a été aperçu une première fois mercredi, en fin de journée, dans la cour de la ferme où il a été capturé. L’agriculteur l’a recroisé, jeudi midi, et a aussitôt prévenu les pompiers. « Nos collègues l’ont bloqué avec des planches. L’animal est ensuite entré de lui-même dans un tonneau », explique Alain Gilles, pompier à la caserne Saint-Georges à Rennes et membre de l’équipe animalière des pompiers. L’animal se trouvait toujours ce matin à la caserne en attendant l’arrivée d’un agent de la direction des services vétérinaires qui décidera de son sort. Le varan semble avoir été abandonné en campagne par son propriétaire. Source

Le meilleur moyen de s'en assurer reste tout de même la radiographie. Avais-tu observer un accouplement avec un mâle dans le passé? Si oui, il y a combien de temps?

Un python de 2 m s’invite au guichet (Avec AP) -- Personne ne remet en cause la commodité des guichets automatiques… à part peut-être des résidants d’une petite municipalité de la Serbie. Les policiers de Nis, dans le sud du pays, ont indiqué qu’ils avaient trouvé un serpent long de deux mètres qui reposait sur un guichet automatique extérieur de la ville. La propriétaire du commerce de change où le guichet est situé a affirmé avoir eu une bonne frousse quand on lui a dit qu’un serpent était en liberté devant son commerce. Les pompiers ont dû cueillir le python à l’aide d’une pelle et d’un grand sac. Les autorités ignorent à qui appartient le reptile. Ils croient qu’il a pu s’échapper. Le propriétaire, s’il est retrouvé, pourrait être puni pour négligence. Les pythons appartiennent à la famille des serpents constricteurs. Ils sont non venimeux. Source Allez voir la photo sur le lien... Beau python

D'accord, c'est le 25 octobre!

Oui j'ai tout ça!

Faire son shopping avec un python dans ses sacs… Lesley Coles a bien failli «mourir de peur. Cette femme de 63 ans, qui sentait que ses sacs de courses étaient étrangement lourds, a réalisé la présence dans l'un d'entre eux d'un python grâce à son chien qui aboyait frénétiquement en direction du sac. Le bébé-serpent mesurait un mètre de long. Source

Tout ce que je sais, c'est qu'un hypercalcimie peut être aussi dangereux qu'un hypocalcimie. Par contre, je ne peux pas dire ce que ça cause.

Peut-être que c'est maman qui stress pour rien finalement!

D'accord, on s'en reparle d'ici là alors.

Je ne sais pas si les geckos à crête ont tendance à changer de couleurs en vieillissant, mais pour le moment, je crois que c'est ce qui est vendu pour du régulier habituellement.

Ca cas me fâche une fois de plus donc je vous invite à relire ceci. /herpetofaune-f32/braconnage-t3374.htm#18947

Bon, le message est déjà transmit à S.O.S Braconnage. Je devrais en avoir des nouvelles sous peu. Habituellement, ils agissent assez rapidement. La dernière fois que je les ai contacté, c'était pour un raton laveur mit en vente sur kijiji et ça prit moins de 24h pour qu'ils m'en redonnent des nouvelles. C'est drôle que ça arrive enfin. Dernièrement lors d'une discussion avec Yvan Labonté du Ministère des ressources naturelles et de la faune du Québec, il me disait que les cas de braconnages sur les tortues étaient rares au Québec. Je lui disais que je n'étais pas d'accord, que les cas n'étaient tout simplement pas répertoriée. Donc je te remercie grandement de ce message gringo comme ça les tortues auront un appui de plus.

Dix-huit tortues ont été volées dans le Var Gonfaron, France – Dix-huit tortues ont été dérobées dans la nuit du 16 au 17 août à la Station d’observation et de protection des tortues et de leurs milieux (SOPTOM). La station est également appelée "Village des tortues" et elle a été créée il y a 11 ans. En plus de travailler à la préservation de ces animaux, dont certaines espèces sont menacées, elle abrite également une clinique spécialisée. Dans la nuit du dimanche 16 au lundi 17 août, des voleurs se sont introduits sur le site en découpant le grillage et se sont rendus dans une serre. Ils ont dérobé quatre individus de l’espèce Radiata de Madagascar et quatorze tortues Sulcata. La Soptom a déposé plainte et craint pour les tortues dérobées qui ont une valeur marchande importante, notamment dans le milieu des collectionneurs. Source