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Bonne fête Le cinéphile
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Général
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1 Septembre 2009 (Graptemys g. kohni)
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans L'espèce de la semaine
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Recue ma ptite femelle(Venus)
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de centrmtl1 dans Gekkonidés
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1 Septembre 2009 (Graptemys g. kohni)
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans L'espèce de la semaine
Nom scientifique : Graptemys pseudogeographica kohni Nom français : Tortue géographique du Mississippi Nom anglais : Mississippi map turtle Origine : Vallée du Mississippi au États-Unis Biotope : Aquatique, mais a besoin d'une partie terrestre Température : 20 à 28°C pour l'eau 30°C pour l'air Moeurs : Aquatique et diurne Taille adulte : Mâle 9 à 12 cm, femelle 15 à 25 cm Longévité : 25 ans Nourriture : Omnivore Voici une tortue qui devrait gagner en popularité. En plus d'être aussi jolie, la taille reste quand même raisonnable. Je la préfère encore une fois à la tortue à oreilles rouges qui est trop abondantes selon moi. Le prix est à peine plus élevé que cette dernière. -
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Recue ma ptite femelle(Venus)
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de centrmtl1 dans Gekkonidés
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Qui va au show de Pointe claire...
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de gringo dans Général
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Petit changement à l'horaire, une conférence supplémentaire vient d'être ajouté. La présentation sera donc raccourcit de beaucoup pour cette raison puisque c'est la seule date que les conférenciers en question pourront être présent. Nous aurons avec nous, M. Yvan Labonté, sergeant et agent de liaison p.i. et M. Gilbert Vincent, coordonnateur aux dossiers régionaux à Longueuil, tous les deux du Ministère des ressources naturelles et de la faune du Québec. Nous avons donc réussit à convaincre le ministère de venir nous parler de braconnage, des cas les plus fréquents ainsi que les conséquences pouvant être apporté à ce genre d'acte. Nous remercions grandement ces personnes de nous accorder ce temps dans leur horaire déjà lourdement chargé. Nous espérons sensibiliser beaucoup de gens avec cette conférence qui laisseront les animaux indigènes en paix. Au plaisir de vous y voir!
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Voilà un autre journaliste que je déteste dût à ses propos mal renseignés... Un serpent crée la psychose dans le quartier Un serpent américain au 6e étage d'un immeuble niçois. C'était il y a quelques jours, au numéro 191 du boulevard de la Madeleine. Ce soir-là, accoudé à la balustrade de sa terrasse, Ludovic voit quelque chose de long et sombre se mouvoir sur les margelles des balcons voisins, dans sa direction. Il n'en croit pas ses yeux : il réalise qu'il s'agit d'un serpent. Celui-ci s'apprête à entrer sur sa terrasse. « Il venait du bâtiment 7, explique Ludovic. Il a trouvé un interstice pour se glisser sur notre terrasse. Il s'est alors dirigé vers la chambre de mon frère. » Pris de panique, Ludovic ne perd pas pour autant son sang-froid, et court se munir d'un balai pour tenter de tenir à distance le reptile. « Je ne savais pas s'il était dangereux ou pas ! J'ai eu peur pour mon frère, je n'ai pas pu prendre de risque : j'ai poussé le reptile dans le vide. » Python présumé en fuite La bête tombe de six étages. Mais en bas, elle est toujours vivante. « Je suis descendu, mais j'ai juste eu le temps de voir le serpent s'engouffrer sous le store métallique du magasin Spar. » Aussitôt, Ludovic prévient le vigile de nuit, tandis que sa mère appelle les services de police. Dès le lendemain matin, la rumeur circule au bas de l'immeuble : un python rôde dans le quartier. « Il faisait environ 1,50 mètre, était marron avec des tâches plus foncées... Pour moi, il s'agissait d'un python », explique Ludovic. Dès l'ouverture du magasin, le patron du Spar est mis au courant. « Ça n'a pas vraiment été la panique, explique Pierre Franco, gérant du Spar. Nous étions certains qu'il s'agissait d'une couleuvre. Les employés n'ont pas paniqué. Ils étaient au courant et ont fait avec. » Une traque s'organise quand même entre les rayons. En vain. Le reptile est introuvable. Constricteur inoffensif Il choisira de sortir tout seul, deux jours plus tard : à l'ouverture du magasin, il est aperçu, sortant du rayon biscuits. Le reptile prend la direction du four à pain sous lequel il se cache. Il faudra l'intervention des pompiers pour le déloger. Ludovic avait presque raison : il ne s'agit pas d'une simple couleuvre, mais d'un éphale, ou serpent des blés, d'1,20 mètre, non venimeux, mais constricteur : comme le python, il étouffe ses proies en s'enroulant autour. Mais cette espèce, venue des États-Unis, est pratiquement inoffensive pour l'homme. Elle serait issue du vivarium d'un particulier, amateur de ce genre d'espèces. « Il faudrait quand même qu'on sache qui c'est. Parce que s'il a d'autres espèces plus dangereuses, leur fuite pourrait être plus dramatique... », estiment certains riverains. De quoi perdre son sang-froid... Source
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Tortues abandonnées et canards attaqués à l'étang
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Tortues abandonnées et canards attaqués à l'étang de Dainville Hier, les pompiers d'Arras se sont déplacés à l'étang de Dainville, route de Doullens, pour un sauvetage insolite. Il s'agissait pour eux de sortir de l'eau deux canards à la gorge intentionnellement percée par des seringues, restées dans le cou des animaux. Après plusieurs tentatives, musette et pain sec à bout de bras, les efforts déployés par les deux pompiers ont été vains. « C'est la première fois qu'on retrouve des canards dans cet état », commente Bernadette Delannoy, responsable de la SPA d'Arras, dont deux bénévoles s'étaient rendues sur place. Ces dernières n'étaient pas au bout de leurs surprises : la pêche aux canards a permis d'apercevoir, dans l'eau, trois tortues aquatiques carnivores. L'une d'elles, pesant plus d'1,5 kg, a été capturée. « Là aussi, c'est la première fois. Il s'agit de tortues qu'on trouve dans les animaleries », poursuit Bernadette Delannoy. Elles auraient été abandonnées depuis plusieurs semaines. La SPA ne sait pas encore quel sera le devenir de la tortue capturée. Quant aux canards, les services techniques de la ville tenteront de les sauver lors de leur prochain repas. PE. DI. Source -
Sur la trace des tortues de mer Hawaii. Petite localité sur la côte pacifique du Guatemala. Une association locale de sauvegarde et de conservation de la nature, Arcas, y tient un centre de protection des tortues marines. Entre juin et novembre, il y a notamment des tortues olivâtres de Ridley qui nichent sur la plage. En tant qu'écovolontaire j'ai l'agréable tâche de patrouiller les plages de sable noir toutes les nuits: 12 km de marche sur 3 heures, entre 21 heures et 4 heures du matin. Je marche. Je marche. Je parle avec mon binôme (on marche toujours à deux pour des questions de sécurité et le planning prévoit un changement de compagnon tous les soirs, histoire de ne pas s'ennuyer). On se raconte notre vie. On évite les vagues de la marée montante. On marche en silence dans la chaleur moite de la nuit tropicale. On scrute le sable pour trouver des traces de tortue. On les marque. Si l'on rencontre une tortue qui pond, on prélève les œufs et on les enterre dans une écloserie protégée. Tout cela parce qu'au Guatemala la loi n'interdit pas de ramasser les œufs de tortue, malgré le fait qu'il s'agisse d'une espèce menacée. Sur un nid (100 œufs environ) la loi prévoit que les parlameros (les braconniers d'œufs de Parlama, appellation locale des tortues olivâtres de Ridley) fassent un don de 20% à une écloserie. Cette donation leur donne droit à une autorisation de commercialisation pour les œufs restants. … Dans la pratique, les parlameros respectent la législation précédente qui prévoyait une donation de 12 œufs par nid. Sur la plage, il y a plus de braconniers que de volontaires. Sur leurs mobylettes ou sur leurs quad, ils ont plus de chance que nous de trouver un nid. Alors, lorsqu'on tombe sur un nid qui a déjà été repéré par un parlamero, on ne peut que prétendre à une donation de 12 œufs. On leur établi un reçu et on part enterrer notre maigre butin. C'est toujours ça de gagné. En effet, les œufs enterrés immédiatement dans la nuit de ponte ont environ 90% de chances d'éclore, alors que pour les œufs remis le lendemain matin par les parlameros, les chances de survie se réduisent à 70%. La marche la nuit est magique. On y devient vite accroc. On marche dans le noir ou au clair de lune. Les derniers jours, j'ai marché le matin aussi. Pour le plaisir ou pour faire le décompte et la signalisation GPS des traces de tortues qui ont visité la plage la nuit. Quel bonheur ! C'est pourquoi, je n'ai pas été déçue par mes 9 jours de volontariat, malgré le fait que je n'ai pas vu une seule tortue pondre. En effet, la saison de ponte commence en juin, mais début août, elle tardait encore à démarrer. Alors, il fallait avoir de la chance : la nature n'est pas un zoo. Il faut beaucoup de patience, de persévérance, de motivation est de constance pour travailler dans la conservation de la faune. C'est la leçon que j'ai apprise. L'observation de la vie sauvage ça se mérite ! J'ai tout de même eu un cadeau avant mon départ. Le premier nid de la saison, enterré autour du 20 juin, a éclos. On l'attendait (il faut compter entre 45 et 50 jours pour que les bébés fassent surface). La petite cage avait été posée sur le nid. Le sable s'était affaissé, indiquant que le nid était en train de bouger. Puis voilà, après le dîner, la cage était pleine de tout petits bébés tortues. De chaque nid, dix bébés sont mesurés pour les statistiques. Puis la trentaine (chaque gros nid est divisé en deux ou trois dans l'écloserie) de mini cryptodires est lâchée sur la plage. Leur instinct les guide jusqu'à l'eau. Nous, on veillait des deux côtés de la tendre procession pour alerter les parlameros et leur demander de faire un détour avec leur quad. Parfois sans succès. Tous les bébés ont fini par y arriver à l'océan. Leur survie n'est pas pour autant assurée : on estime que seulement une tortue sur 1000 arrive à l'âge adulte. Source
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Nature : les envahisseurs sont parmi nous ! Ces espèces souvent importées par l’homme s’adaptent si bien à notre écosystème qu’elles menacent l’environnement Emilie Blachère - Paris Match Avantage perche soleil. Un coup de nageoire. Puis un deuxième dans la foulée. L’écrevisse rouge de Louisiane titube. Pas le temps de s’en ­re­mettre. La perche soleil ­attaque de nouveau. Coup de bec. Droit dans l’œil. Aveuglé, le crustacé peine à se relever. Le poisson n’en démord pas et attaque une dernière fois. Un ­assaut façon kung-fu. L’écrevisse s’effondre, les deux pinces dans la vase : 1-0 pour la perche. Quelques secondes de répit, puis l’écrevisse file à l’anglaise, la queue entre les six pattes. « Il vaut mieux ! commente Laurent Ballesta. Car la perche mâle ne renoncera jamais à repousser l’intrus du nid d’algues qu’il a patiemment préparé pour attirer une femelle. » Drôle de spectacle que ce combat aquatique entre deux espèces invasives : « Elles ont été importées des Etats-Unis à la fin du XIXe siècle, explique le plongeur. L’une pour l’élevage, l’autre pour l’aquariophilie. » Depuis, jetées dans les cours d’eau, elles ont envahi ­rivières et fleuves de France. Comme la perche soleil et l’écrevisse, près de 10 670 espèces, animaux et plantes confondus, sont arrivées en Europe depuis le Moyen Age. Venues d’Amérique ou d’Asie pour la plupart, elles ont été introduites de façon intentionnelle ou non. Aucun chiffre officiel ne quantifie le phénomène en France, mais « leur rythme d’introduction ne cesse d’augmenter depuis quelques années », souligne le scientifique. « Il y a une loi, précise-t-il : sur 1 000 espèces exotiques importées, 100 s’installent, 10 vont avoir une dynamique de reproduction et une seule va parvenir à étendre son aire de répartition de ­manière durable. » Le développement des animaleries peutrapidement augmenter les envahisseurs Un risque pour mille de voir une espèce invasive s’implanter, c’est peu. Mais l’explosion des échanges internationaux, le réchauffement climatique ou encore le développement des jardineries et animaleries peuvent rapidement faire gonfler ce pourcentage. « L’invasion dans les rivières françaises est due à deux principaux facteurs : l’ouverture des canaux qui relient les grands cours d’eau et la pêche de loisir, explique Laurent Ballesta. La plupart des envahisseurs ont été ­introduits par l’homme, constate-t-il. Au XIXe siècle, on rêvait d’acclimater de nouvelles espèces pour repeupler nos rivières. » Un rêve devenu réalité. Une aubaine pour les pêcheurs à la ligne, mais parfois un fléau pour la faune et la flore locales. « Les espèces allochtones [le contraire d’autochtones] ne sont nuisibles que lorsqu’elles deviennent invasives. Elles déséquilibrent alors l’écosystème qui les accueille », affirme le biologiste. Quinze pour cent d’entre elles produisent des dégâts avérés sur l’environnement, l’économie ou la santé. Plus ou moins graves. Par exemple, l’arrivée du silure, un gros poisson au corps mou importé du Danube peu avant 1900 pour l’élevage et aujourd’hui présent partout en France, a un impact très faible. L’animal, bien qu’énorme (2,40 mètres pour 100 kilos), n’a pas l’appétit que son gros ventre suggère. Il a été prouvé récemment qu’il mangeait peu : 1 kilo de nourriture par semaine. Le silure doit sa réputation d’ogre à son opportunisme, puisqu’il mange à tous les râteliers : écrevisses, petits poissons blancs, canards, sandres, brochets, bouteilles en plastique... « Autour de lui, les autres carnassiers semblent disparaître, note Laurent Ballesta. Le silure ne les dévore pas, mais il s’adapte mieux qu’eux à la pollution toujours croissante de nos rivières, et ­résiste là où d’autres meurent. » Pour la perche soleil et l’écrevisse, le scénario est beaucoup plus dramatique. Parfaitement intégrées à leur milieu, elles menacent leurs convives. « Elles sont très nuisibles pour l’écosystème qui les accueille, affirme le biologiste. Non seulement elles mangent tout ce qu’elles trouvent sur leur passage, dont les larves de poissons, mais en plus elles se reproduisent beaucoup plus vite que les espèces autochtones. Très dangereuses, elles ne laissent aucune chance à leurs ­rivaux et détériorent leur milieu. » Au fil du temps, l’écosystème se métamorphose, quitte à voir sa ­biodiversité menacée. Les envahisseurs profitent souvent de l’absence de leurs prédateurs, laissés dans leur pays d’origine. Car n’est pas ­envahisseur qui veut ! Les individus qui survivent sont agressifs, coria­ces, résistants. Beaucoup supportent les eaux polluées, et tous ont un cycle de reproduction rapide, une caractéristique supplémentaire pour entrer en compétition avec les autres individus et les éliminer. La tortue de Floride ? cette joliepetite bestiole s’est changée en démon Un exemple incroyable : le carassin, un poisson appartenant, comme la perche, la carpe et la tanche, à la grande famille des cyprinidés. Il a débarqué de l’Est dans les années 50. « Non seulement il s’est installé chez nous, s’enthousiasme le scientifique, mais il a développé une méthode de reproduction inédite, la gynogenèse. » La femelle ­libère des phéromones, attirant dans son nid les mâles d’une autre famille de ­cyprinidés. Bernés, ces derniers déposent leur semence sur la ponte du carassin. « Lorsqu’il touche l’œuf, le spermatozoïde est rejeté car il n’est pas de la même espèce, ­explique Laurent. En revanche, il provoque la division cellulaire de l’œuf, et donc la création d’un nouvel individu : un clone. » Le carassin se reproduit très vite, et de surcroît il empêche la reproduction des autres poissons en détournant leur semence... Astucieux ! « Et très néfaste, renchérit le chercheur. Il crée un vide biologique autour de lui. » Même constat avec l’arrivée des tortues de Floride : « Tous les gosses, dans les années 90, avaient le pack tortue-bac-palmier en plastique. Une fois la mode passée, elles ont été jetées n’importe où ! Aujour­d’hui, la jolie petite bestiole est devenue un démon : elle mange les œufs de tous les poissons et ­attaque les autres espèces de reptiles. » Du coup, la cistude, la tortue d’Europe, voit son territoire se réduire et son avenir s’assombrir. « Le paradoxe ? De l’autre côté de l’Atlantique, raconte Laurent Ballesta, les tortues de Floride, surexploitées pour l’aquariophilie, ont été menacées d’extinction. Absurde ! » Malgré les avertissements ­alarmistes des scientifiques, rien n’est fait pour stopper l’invasion de toutes ces espèces dévastatrices. Les rares solutions envisagées sont des échecs. La faute au manque de connaissances sur le sujet. « Soit on les élimine directement une par une, mais c’est loin d’être ­facile, soit on introduit de nouveaux prédateurs pour les éradiquer ; c’est la lutte intégrée. » Mais le remède peut vite, à son tour, devenir poison. L’enjeu est donc risqué. Reste alors la solution du principe de précaution : demander, en préalable à la commercialisation d’une espèce, la preuve que son intrusion ne présente pas de risque pour le milieu naturel. « Mission impossible, affirme Laurent. On ne peut pas prédire l’impact d’une nouvelle intégration. » Sur les 69 espèces de poissons présentes dans les rivières et fleuves français, près de la moitié – 32 – ont été introduites par l’homme. Comme la carpe, jetée dans les cours d’eau au Moyen Age par une communauté de moines. Aujourd’hui, elle s’est installée dans le milieu. Plus personne n’y prête attention. Son intégration est acquise. Force est donc de constater que la cohabitation avec les envahisseurs est inéluctable. Source
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Une fillette décède suite à une piqûre de scorpion
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
El Oued : Une fillette décède suite à une piqûre de scorpion Les piqûres scorpioniques continuent de tuer dans la wilaya d’El Oued, et la majorité des victimes sont des enfants. Des sources bien informées ont indiqué qu’une fillette de 9 ans a trouvé la mort, jeudi dernier, suite à une piqûre de scorpion, à son domicile sis dans la commune de Reguiba, à 40 km au nord d’El Oued. La malheureuse fillette a été évacuée vers l’hôpital où elle a rendu l’âme. Source -
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Mystère autour de l'hydrocarbure (suite)
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
Vingt tortues protégées cherchent propriétaires Cinq ans que Christophe Arvy récupère des tortues saisies par la douane. Depuis la semaine dernière, vingt nouveaux pensionnaires émigrés contre leur gré de leur environnement naturel marocain sont en session de remise en forme au cabinet du vétérinaire libournais. Et ils en avaient bien besoin : « La plupart de ces tortues grecques, du nom de l'espèce, vont très bien notamment les adultes. Mais parmi les huit bébés, trois ou quatre battent de l'aile. » Confisquées à une famille de Lillois à l'occasion d'un contrôle des douanes, ces tortues protégées par la convention de Washington étaient recouvertes d'hydrocarbure. « Nous en sommes au 8e bain. Il a fallu rapidement les nettoyer avec du savon détergent très doux avant qu'on ne les baigne et qu'elles boivent. On s'attelle à les réhydrater et les réalimenter. Une fois qu'elles auront déféqué, on fera des analyses pour savoir si elles sont parasitées. Si c'est le cas, nous les mettrons en quarantaine. » Un parc pour les tortues Intarissable Christophe Arvy. La tortue est son péché mignon. Et c'est à force d'accueillir des animaux maltraités, sortis de leur milieu naturel et en voie d'extinction qu'il a pour projet de monter un complexe pédagogique : « Pas avant trois ou quatre ans. C'est un projet titanesque. On voudrait le mettre en place avec un réseau informel de passionnés pour faire un peu d'enseignement et éviter que les vacanciers ne ramènent dans leurs bagages des espèces protégées et risquer ainsi la disparition même de l'espèce. D'autant plus que la plupart du temps, ces animaux-là sont en vente dans des animaleries en France. Mais certainement pas au même prix. » Et tordre le cou à ce marché-là, c'est éviter la prolifération des mauvaises conditions de vie de ces animaux dans leur pays d'origine : « Je suis allé plusieurs fois au Maroc, et pour assurer le commerce des tortues, elles sont entassées par paquet de 200 spécimens dans des locaux minuscules. Les plus jeunes meurent étouffés, les femelles ne parviennent pas à pondre et succombent de septicémie. » Une abomination pour ce titulaire d'une « capacité », certificat qui autorise la détention de certaines espèces protégées et qui possède 500 m2 de jardin qu'il a dédié à une dizaine de tortues. « Je vais peut-être adopter les tortues grecques qui sont encore à mon cabinet. » À moins que d'autres personnes attendries et titulaires du même sésame ne sollicitent la douane avant : « Depuis la publication de notre communiqué, nous avons reçu plusieurs coups de téléphone qui allaient dans ce sens », raconte, amusé Michel Rometti. Car les problèmes sont loin d'être résolus avec la capture de ces animaux protégés. Ils ne font même que commencer : « Ce n'est pas l'affaire en elle-même qui est compliquée mais bien son suivi », indique le directeur régional des douanes. Le singe vervet du Niger saisi en juillet à l'aéroport de Mérignac est toujours en attente d'un point de chute dans un parc animalier : « Il faut qu'on lui trouve un site spécifique, si possible en Gironde, qui lui convienne et surtout avec des congénères. Nous en sommes responsables », termine-t-il. Source -
Un homme embrasse et câline un crocodile Costa Rica - Connu sous le nom de l’"homme-crocodile", Chito est devenu très intime avec un crocodile géant qu’il a sauvé de la mort. Régulièrement, il nourrit, nage et joue avec l'animal. C’est un spectacle étrange de voir un homme nager aux côtés d’un crocodile. Mais l'amitié entre l'animal et l'homme ne s'arrête pas là puisque Chito a pris l'habitude de câliner et d'embrasser sur la tête le reptile aquatique. Cette relation dure depuis 20 ans, depuis que Chito a récupéré le prédateur affaibli sur le bord d'une rivière. Conscient du danger, l'homme explique : "C’est un quotidien très dangereux, mais Poncho (l'animal) est mon ami et nous avons une vraie relation. Il me regarde dans les yeux, il ne m’attaquera jamais. C’est par contre trop dangereux pour quelqu’un d’autre d’aller dans l’eau avec Poncho." Chito a récupéré le crocodile géant alors que ce dernier s’était fait tirer dessus par un fermier qui protégeait son bétail. L'homme a alors décidé de s’en occuper : "Durant 6 mois, je l’ai nourri, soigné, certaines nuits, je dormais à côté de lui." Peu à peu, une réelle amitié est née avec le carnassier de six mètres de long. Des touristes viennent désormais du monde entier pour voir Chito nager avec l'animal. Source
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Axolotl : amphibien que l'on peut désormais avoir chez soi
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Flash
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Axolotl : amphibien que l'on peut désormais avoir chez soi
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Flash
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Mystère autour de l'hydrocarbure Mystère autour de l'hydrocarbure Le 18 août, sur la nationale 10, au nord du département, la brigade de surveillance extérieure de Bordeaux est alertée par une fourgonnette immatriculée dans le nord et fortement chargée. À l'intérieur et en évidence, trois caisses de Testudo graeca, reptile protégé par la convention de Washington, sur le commerce international des espèces de faune et de flore menacées d'extinction (CITES). « Après une semaine d'enquête, nous n'avons pas pu déterminer du caractère commercial de l'entreprise, constate Michel Rometti, directeur régional des douanes. Le propriétaire du véhicule semble avoir été surpris, il affirme ne pas s'être rendu compte de l'illégalité de ce qu'il faisait. Les tortues étaient destinées à être des cadeaux pour la famille. » Sauf que ces animaux à carapace étaient enduits d'hydrocarbure, toxiques pour les reins et le foie de la bête. Pratique courante dans la dissimulation de stupéfiants. « Elles ont été systématiquement recouvertes d'hydrocarbure. Cela a été fait au pinceau, il y en a même au niveau de la jonction des pattes. Tout porte à croire que cela a été fait de façon intentionnelle », déclare Christophe Arvy, le vétérinaire chargé de faire les examens. « C'est un mystère. Nos chiens ne sont pas éduqués pour détecter des animaux, donc on ne voit pas l'intérêt de l'opération. » Peut-être pour tromper les douanes marocaines ? Une dizaine d'animaux protégés sont saisis en moyenne par an en Gironde. Plus souvent pour des motifs éloignés du trafic mais proche du coup de coeur inconscient. « En 2008, nous avons notamment saisi 12 tortues, 82 coraux, un article en ivoire ainsi que 123 m³ de bois protégé », comptabilise Michel Rometti. Les saisies d'animaux se font en priorité pour le risque sanitaire. « Les contrevenants risquent la confiscation de l'animal, une amende qui s'élève parfois au double de la valeur marchande de la bête ainsi que trois ans de prison », rappelle Michel Rometti. Source
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