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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Mais bon moi je viens tous vous enmerder en vous disant que vous avez tous tort. La raison première de cette hausse de pollution est dût à la diminution de la forestation qui nous sert de filtreur d'air naturel.
  2. Je me dis la même chose. La meilleure façon de contrer ça est de boycotter ça.
  3. C'est une très belle espèce qui m'a tant fait trippé dans le passé
  4. Max|mum-leterrarium

    Quiz 4 mars 2009

    Non puisque personne n'a donné la réponse encore.
  5. Eh oui, cette petite beauté va avoir un an à la fin du mois. Je vous met quelques photos à la demande de Accea.
  6. Les lézards tropicaux menacés par le réchauffement climatique Les lézards qui vivent dans les forêts tropicales d’Amérique centrale et des Caraïbes sont plus menacés par le réchauffement climatique que leurs congénères vivant dans des zones plus tempérées. Des iguanes en passant par les geckos ou les dragons de Komodo, les lézards sont les reptiles les plus répandus sur Terre. On les trouve sur tous les continents à l’exception de l’Antarctique. Ils sont apparemment capables de s’adapter à une grande variété de conditions même s’ils privilégient les tropiques où ils sont les plus nombreux. Toutefois, une nouvelle étude, qui s'appuie sur des données recueillies durant plus de trois décennies, publiée dans les Proceedings of the Royal Society B démontre que les lézards qui vivent dans les forêts tropicales en Amérique centrale et du Sud et dans les Caraïbes pourraient être gravement menacés par le réchauffement climatique. En fait, ces lézards de forêts semblent tolérer une gamme beaucoup plus étroite de température pour leur survie que leurs parents vivant à des latitudes plus élevées, ils sont en fait moins tolérants à l'égard des températures élevées. « Les lézards supportant le moins bien la chaleur se trouvent Lau niveau des plus basses latitudes, dans les forêts tropicales. Je trouve cela incroyable », a déclaré Raymond Huey, professeur de biologie à l’université de Washington et auteur principal de l’article. Il a souvent été supposé que les organismes tropicaux sont beaucoup plus aptes à faire face aux températures élevées que ceux vivant dans les climats froids. Mais cette hypothèse n'est vraie que jusqu'à un certain point. En effet les habitants des tropiques sont peut-être au chaud toute l’année mais ils ne sont pas habitués à subir de fortes variations de température et ils ne connaissent pratiquement jamais de températures extrêmes. Ainsi un lézard à Washington peut subir un écart de température d’une quarantaine de degrés entre l’été et l’hiver tandis que la fourchette de variations est de l’ordre de 20 à 25°c dans les tropiques. En observant durant trente ans l’évolution des zones d’habitats des lézards tropicaux, Raymond Huey a constaté que le réchauffement climatique avait déjà perturbé la répartition de plusieurs espèces. Selon lui, une augmentation des températures un peu plus importante pourrait avoir des conséquences sévères sur la survie des lézards tropicaux. Il précise également que ce raisonnement pourrait être valable pour d’autres espèces ectothermes comme les serpents, les insectes ou les araignées. Source
  7. Max|mum-leterrarium

    Quiz 4 mars 2009

    Petit indice, c'est un Elapidae marin
  8. La migration risquée des grenouilles Jusqu'à la fin avril, des bénévoles de la Ligue de protection des oiseaux (LPO) se mobilisent pour sauver les grenouilles en migration vers le lac. Chaque jour, ils en préservent jusqu'à un millier. PARCE qu'ils ont une double vie - l'une terrienne, l'autre aquatique - les amphibiens deviennent particulièrement vulnérables en période de reproduction notamment les grenouilles, les crapauds, les tritons qui restent près du lac du Der. Comme tous les batraciens, ils ne peuvent s'affranchir de l'eau pour se reproduire. Pour que les œufs arrivent à leur terme, il leur faut une zone humide. C'est pour cette raison que chaque année, à partir de la fin janvier, les batraciens quittent la forêt pour rejoindre le lac artificiel et ses environs. Au maximum, les grenouilles parcourent deux kilomètres. Pas une longue distance, certes, mais sur leur chemin, un obstacle dangereux et de taille : la route départementale où une petite centaine de véhicules y circule chaque jour à 90 km/h. L'espèce la plus exposée : le crapaud. Non seulement, il détient le parcours de migration le plus long (deux kilomètres) mais aussi la vitesse de déplacement la plus lente : le crapaud ne saute pas, il marche. « Pour se déplacer, le crapaud cherche donc une femelle pour se rendre sur la zone humide sur son dos, précise Jacques Bertholet de la LPO. Il attend tranquillement sur une zone dégagée, comme la route, afin de la trouver. » Il peut ainsi rester sur la chaussée durant de longues minutes, voire plus longtemps. Sans compter qu'à l'instar de la grenouille rousse, il revient plus vite dans la forêt. La grenouille verte, elle, reste tout l'été au bord du lac. 30.000 amphibiens sauvés chaque année « Quand nous avons commencé nos actions il y a onze ans, c'était l'hécatombe sur les routes. Nous ramassions des cadavres par centaine chaque jour. » Alors, est venue l'idée de se mobiliser. Le système : la pose de bâche sur les bords de route, avec l'installation de seaux tous les vingt mètres environ. Lorsque les grenouilles quittent la forêt, elles sont arrêtées par les bâches. Là elles cherchent un endroit pour poursuivre leur route. Elles tombent dans le seau. Et le matin, elles sont ramassées pour être remises aussitôt dans l'eau. « Il ne faut pas trop tarder le matin, car un temps est un peu trop sec peut leur être fatal. Notamment pour les plus jeunes. » Les bénévoles de la LPO s'attacheront à cette mission jusqu'à la fin avril. Un ramassage qui reste tributaire de la météo. « Il faut qu'il fasse doux et humide. S'il fait trop froid, les batraciens resteront en léthargie. Il peut aussi faire très beau mais si le temps n'est pas un peu humide, ils ne bougeront pas. » Jusqu'à il y a trois ans, les bénévoles comptabilisaient les amphibiens qu'ils ramassaient. Afin de prouver l'utilité de l'action et contredire les mauvaises langues qui prétendent le contraire. Mais maintenant, « Nous n'avons plus rien à prouver. » Il est vrai que les chiffres parlent pour eux : chaque année, 30.000 batraciens sont ramassés et sauvés des routes. Source
  9. Afrique du Sud: 170 km avec un cobra dans la voiture Lors d’un séjour au parc naturel Kruger, le plus grand et le plus ancien d’Afrique du Sud, un couple sud-africain a parcouru 170 km avec un cobra cracheur à bord de leur voiture. En conduisant, Gordon Parratt a senti quelque chose sur sa jambe et passe sa main avant de découvrir qu’il y avait un serpent très venimeux de 85 cm, à ses pieds. “Heureusement, je ne suis pas quelqu’un qui panique facilement. Ma femme a immédiatement mis ses pieds sur le tableau de bord”, raconte M. Parratt, 69 ans. Après plusieurs arrêts pour tenter de faire sortir le passager clandestin, le cobra était devenu introuvable. Ils l’ont enfin retrouvé lorsqu’il s’est enroulé autour de la jambe du conducteur. “Sa tête arrivait jusqu’à mon genou!”, se souvient Gordon Parratt, qui a dû faire appel à un professionnel pour se débarrasser du cobra cracheur, très présent au Mozambique voisin. Selon la direction du parc Kruger, “cet évènement est inhabituel”. Ce cobra est “extrêmement venimeux”, il inocule son venin par morsure ou par des projections qui atteignent jusqu’à cinq mètres de distance, précise le porte-parole de la réserve, Raymond Travers. “C’est un animal très dangereux. Il peut devenir agressif”, souligne M. Travers, joint au téléphone par l’AFP. Source
  10. Avec tout ce qu'ils mangent là-bas, ils doivent sûrement en manger des coquerelles... Ils les ont à la porter de la main.
  11. Max|mum-leterrarium

    Probleme a poster

    /vente-echange-f11/a-lire-avant-de-poster-dans-cette-section-t64.htm Tout est expliqué là-dedans. C'est que l'on veut empêcher que des visiteurs viennent s'inscrire juste pour vendre puis disparaitre. J'ai donné l'accès à certaines personnes avant le temps après une discussion en message privée. Tu peux tenter le coup si tu veux. On verra ce que ça va donner.
  12. Max|mum-leterrarium

    Photo de vos barbu

    Non, il est dans l'entré avec la femelle qui nous a pondu 23 oeufs en fds.
  13. Max|mum-leterrarium

    alligator :)

    Peut-être qui sait.
  14. Des tortues plein les mirettes En ce mois de mars, il va y avoir du monde sur une plage de Guyane : des chercheurs y débarquent pour étudier des tortues luth lors de la ponte. Et tenter de reconstituer le parcours de ces animaux encore bien mystérieux… Près de la frontière avec le Surinam, en Guyane française, la plage des Hattes est l'un des tout premiers sites de reproduction de la tortue luth au monde. Cet animal, dont la présence sur Terre remonte à plus de cent millions d'années, fascine. En mars, Jean-Yves Georges et son équipe de l'Institut pluridisciplinaire Hubert Curien (IPHC)1, à Strasbourg, poseront leur sac à Awala Yalimapo. Jusqu'à fin juillet, ils se transformeront en oiseaux nocturnes, scrutant les arrivées de tortues luth femelles venues pondre. Au passage, ils expliqueront leur travail aux nombreux touristes qui viennent sur le site assister à l'extraordinaire spectacle de la ponte. « Nous suivons cette population depuis 2005, explique Jean-Yves Georges. Mais les tortues luth de Guyane sont observées et marquées par les scientifiques français depuis 1977. » L'an dernier, dans le cadre du projet « Migration et reproduction chez les tortues marines : trajectoires écophysiologiques » (Mirette)2, financé par l'Agence nationale de la recherche, cent femelles ont été équipées sur l'une des nageoires arrière d'un petit enregistreur de données spécialement développé à l'IPHC. Il permettra de connaître leurs migrations pendant les deux ou trois ans qui séparent deux saisons de ponte. Et de répondre – c'est l'objectif de Mirette – à une intriguante question : pourquoi « deux ou trois ans » ? De ces tortues géantes de 400 kg et 2 m de long en moyenne, on ne sait pas grand-chose. « Personne ne peut vraiment dire combien de temps elles vivent », résume Jean-Yves Georges. Plusieurs décennies en tout cas, puisque des animaux marqués dans les années 1970 reviennent toujours sur la plage des Hattes. Les chercheurs de l'IPHC tentent de déterminer si les efforts de conservation de la tortue luth, classée en « danger critique d'extinction » depuis 2000 par l'Union internationale pour la conversation de la nature, ont porté leurs fruits. Et pour cela, Jean-Yves Georges et ses collègues tentent d'en savoir plus sur le quotidien de ces femelles entre deux saisons de ponte. Cette année, les tortues équipées en 2008 seront rares : « 1 % à 2 % des femelles seulement reviennent au bout d'un an », confirme Jean-Yves Georges. Mais les chercheurs vont tout de même suivre les arrivées. « Nous mesurons et pesons les animaux, nous comptons les œufs et nous prélevons sur certains un peu de sang et de graisse sous-cutanée. » Les analyses sanguines permettront de déterminer l'état nutritionnel et hormonal des tortues. La graisse, quant à elle, doit révéler ce que les animaux ont mangé, et dans quelle région. Car l'étude biochimique et isotopique (carbone et azote) permet de déterminer si le menu était plutôt composé de méduses, de seiches, de poissons ou de petits crustacés et de connaître leur origine. En 2008, 2 000 femelles ont creusé leur nid dans le sable des Hattes, sur une population mondiale de femelles estimée à environ 30 000 – on ne dispose pas de données sur la population de mâles. Quatre sur dix n'étaient pas marquées, signe que la population de luth serait en train de s'accroître dans l'Atlantique. Durant la saison de ponte, chaque femelle revient faire un nid tous les dix jours, où elle dépose 80 œufs en moyenne. La voix calme de Jean-Yves Georges tranche avec son impatience. Car le gros de la troupe qu'il a équipée d'un enregistreur l'an dernier ne reviendra qu'en 2010 ou 2011. L'engin, de la taille d'une petite boîte d'allumettes pour 40 g, est doté de capteurs de pression, de température et de lumière. Les données sont stockées toutes les 1 ou 2 min dans une carte mémoire d'appareil photo. Le tout est alimenté par une batterie d'une autonomie de quatre ans. « C'est un véritable progrès, car auparavant, nous équipions les animaux de balises Argos aussi lourdes que coûteuses, dotées de quelques mois d'autonomie seulement. » Un dispositif très insuffisant pour étudier l'ensemble du cycle de vie de l'animal, et gênant pour ce dernier, puisque la balise et son harnais réduisent la vitesse de nage de 20 %. Pour connaître les migrations de la tortue luth, l'équipe utilise une méthode astucieuse : les capteurs enregistrent la luminosité autour de la tortue lorsqu'elle fait surface. Les chercheurs calculeront ensuite, chaque jour, l'heure de lever, de zénith et de coucher du soleil. Ce qui, à partir des éphémérides, donnera la longitude et la latitude de la position. Une méthode précise à 50-100 km, qui ne permettrait pas à un pétrolier d'éviter des obstacles, mais suffit à déterminer les routes de migration des tortues ! Pour vérifier les positions, 40 des 100 tortues pistées ont aussi reçu un GPS développé par l'IPHC. Ainsi, l'équipe de Mirette espère retracer le périple et le comportement alimentaire des tortues luth, comme l'explique Jean-Yves Georges : « On en saura plus sur leur régime, et leur adaptation au fort développement des populations de méduses attendu avec le réchauffement climatique. » Source
  15. Une tortue à deux têtes découverte en Chine Quelques jours après avoir trouvé une grenouille à sept pattes, c'est maintenant une tortue bicéphale qui a été découverte en Chine. C'est dans la province du Sichuan, à Chengdu, que la petite tortue à deux têtes a été trouvée. Selon son propriétaire, M. Zhicheng, cette tortue pourrait manger en même temps avec ses deux têtes. Pourtant, ne possédant qu'un seul corps, elle n'a qu'un seul estomac et ne doit pas être nourrie plus qu'une tortue "normale".Selon Jiang Zhicheng, un expert du milieu marin, ce phénomène de bicéphalie serait relativement rare et serait dû à des facteurs génétiques et environnementaux.Pour voir les photos : http://www.zigonet.com/tortue/une-tortue-bicephale_art4345.html Source
  16. Un nouveau genre de Scorpion malgache, maillon possible entre les Microcharmidae et les Buthidae Un nouveau genre de scorpions appartenant à la famille des Microcharmidae est décrit pour la région Nord de Madagascar. Le nouveau genre apparaît comme un maillon possible entre les Microcharmidae et les Buthidae au sein des Buthoidea. Des considérations phylogénétiques sont proposées en relation avec les caractères morphologiques observés. Source
  17. Brrrr....3 mygales en vadrouille dans un appartement! Où cela se passe-t-il? A Lille, dans un appartement près de la préfecture. Que se passe-t-il? Dans la nuit de jeudi à vendredi, Julien et Céline, tous les deux étudiants en psychologie, regardent tranquillement une vidéo dans leut appartement. Quand Soudain, le regard de la jeune fille est attiré par, comme le note la Voix du Nord : "deux petites masses sombre" qui se déplace sur le sol... Des rats? « J'ai d'abord cru que c'était deux rats » dit Céline, mais elle aperçoit soudain une troisième forme sombre sur le sol. « Là, on l'a bien vue avec ses grosses pattes,précise Julien. Et ça s'est mis à courir d'un coup. J'ai un copain qui en a, j'en avais déjà vu. » Ils s'aperçoivent qu'il s'agit d'une mygale, de la taille "d'une grosse main". ET pensent logiquement que les deux autres formes devaient en être aussi. Une nuit d'angoisse. Ce jeune couple ne faisant pas l'élevage de mygales, ils pensent logiquement qu'elles se sont échappé, et passent leur nit à traquer les bestioles. « Elles sont parties sous le chauffe-eau. On a coupé le son de la télé et on entendait que ça grattait. On a retourné l'appartement toute la nuit, et on s'est couché vers 7 heures (hier matin),on n'en pouvait plus. » Inutile de dire qu'ils ont très mal dormi. Les pompiers alertés. Le lendemain matin, ils contactent le propriétaire de l'appartement, le zoo de Lille et enfin les pompiers. Mais les nombreuses recherches sont vaines. « Elles sont surtout actives au crépuscule ou la nuit, précise un pompier. Le reste du temps, elles se cachent dans un endroit tranquille : elles détestent les vibrations. » Une autre fouille a été faite dans la nuit le lendemain mais n'a rien donné, il y en aura une autre lundi. Le couple pensait passer la nuit chez ses parents. « C'est sûr, on quitte l'appartement. » C'est ce qu'ils ont déclaré si les araignées ne sont pas retrouvés.... Source
  18. Si je ne me trompe pas, les baleines se dirigent au son. Peut-être qu'un son particulier les attirent par là...
  19. Max|mum-leterrarium

    Ponte d'uroplatus

    Oui tiens nous au courrant. J'ai un acheteur en plus pour toi s'ils finissent par éclore.
  20. Max|mum-leterrarium

    Photo de vos barbu

    On a un mâle hyper calme à l'animalerie aussi.
  21. Max|mum-leterrarium

    alligator :)

    Il semble avoir une tige de métal sur lle dos ou je me trompe?
  22. J'ai toutes mes fds et mes deux semaines de vacances dont je ne connais pas les dates encore. Je prends les offres puisque je suis pas mal tout le temps sur le terrain pareil donc
  23. Max|mum-leterrarium

    Photo de vos barbu

    Souvent les mâles ont des sales caractère. Le mien entk, faîtes gaffes à vos doigts quand il a faim.
  24. Ouin je sais, il faudrait que je travaille moins pour avoir une vie hahaha
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