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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Une tortue hargneuse de 40 cm et 10 kilos en bord de route C’est un employé de la Poste qui, faisant sa tournée matinale, a fait l’étonnante découverte, hier.Une grosse tortue se mouvait à côté de la déviation de Marenton entre Annonay et Davézieux. Alertés, les policiers municipaux d’Annonay se sont rendus sur place et ont finalement retrouvé l’animal qui se trouvait en bordure de la “deux fois deux voies” qui relie la vallée du Rhône au bassin d’Annonay. BESOIN D’UN CERTIFICAT DE CAPACITÉ Les policiers municipaux sont finalement parvenus à attraper l’animal, particulièrement agressif. Cette tortue, dite hargneuse, est équipée d‘une mâchoire dangereuse et de griffes coupantes.Le reptile a finalement été déposé dans une cage et amené par les services municipaux, sur les conseils de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage, au safari-parc de Peaugres, situé à quelques kilomètres du lieu où il a été retrouvé.D’après les premiers éléments communiqués, l’animal ferait entre 30 et 40 cm de diamètre pour une dizaine de kilos. Il nécessite également un certificat de capacité pour être détenu.J.-X.P. Source
  2. PONT-À-MOUSSON : DES SERPENTS ET DE L’HERBE Blenod-les-Pont-à-Mousson. Les policiers du commissariat de Pont-à-Mousson sont allés de surprise en surprise dans l’affaire des serpents « évadés » d’un colis postal, à destination de l’Alsace. Une femme qui effectuait son tri, a eu la frayeur de sa vie en voyant, vendredi 5 juillet, un reptile d’un mètre, cheminer au milieu des paquets (notre édition de mardi dernier).Un second reptile avait lui aussi été découvert à l’agence Postale de Blénod. Vendu également, sur un site de petites annonces en ligne. En présence de deux équipes des douanes, spécialisées dans les animaux exotiques, une perquisition avait eu lieu, lundi dernier, dans le pavillon d’un père de famille de 31 ans qui purge actuellement une peine de prison à domicile, dans le cadre d’une autre affaire.Ainsi, les douaniers sont tombés sur un nouveau spécimen de boas constrictor : une mère de près de 3 mètres de long… et ses 28 petits. Le mâle ayant été déjà vendu par le passé, en même temps que deux pythons royaux, partis eux aussi par la Poste. Restaient deux lézards rhaco, et quatre geckos.Au terme de sa garde à vue, le Belledonien qui travaillait autrefois dans une animalerie, a reconnu pratiquer le commerce de ses reptiles. Il sera vraisemblablement poursuivi pour détention et vente d’animaux sans autorisation.E. V. Source
  3. La grenouille taureau perd du terrain Soixante-dix étangs de Sologne assainis en dix ans. C'est le chiffre mis en avant, hier matin, par le comité départemental de protection de la nature et de l'environnement (CDPNE), lors d'une réunion publique sur la grenouille taureau, organisée à la mairie de Chaumont-sur-Tharonne. Une discussion initiée conjointement par le sous-préfet de Romorantin, Alain Gueydan et par Daniel Desroches, président du Syndicat d'entretien du bassin du Beuvron (SEBB), maître d'ouvrage pour l'éradication de cette espèce invasive. Le maître d'œuvre du projet, Gabriel Michelin (CDPNE) a d'abord présenté les résultats du programme lancé en 2003. « Il y a dix ans, les adultes pesaient 460 grammes en moyenne et 900 grammes au maximum, contre 170 en 2012, a-t-il expliqué. On est passé de neufs à trois adultes par étang, sur les 20 qui sont encore colonisés ». Le noyau dur restant se trouve entre Chaumont et La Ferté-Beauharnais. « Pour la première fois, on arrive à faire reculer une espèce envahissante et même à envisager sa suppression totale », précisait le sous-préfet.Parmi les 15 personnes présentes hier, plusieurs propriétaires d'étangs ont beaucoup insisté sur le fait que les actions d'éradication (voir ci-dessous) sont longues et contraignantes. « Vous parlez de chiffres en baisse, mais on est encore venu pêcher 500 kg de têtards chez moi cet hiver », a affirmé l'un d'eux à M. Gueydan. Et d'ajouter : « Pour installer une barrière de piégeage, il faut baisser le niveau d'eau et donc perdre l'usage de l'étang pendant trois mois. »Mauvais pour la chasseLes riverains ont également soulevé le problème du bruit, lors des séances de tir nocturnes et diurnes. Des nuisances problématiques dans une région connue pour ses parties de chasse. « Les tirs et les prospections font fuir le grand gibier », précisait un particulier. « On peut être dérangé jusqu'à six fois par semaine, donc impossible d'organiser une chasse ». Daniel Desroches a cependant tenu à les rassurer : « On envisage d'équiper nos carabines avec des silencieux », a-t-il annoncé à la fin des deux heures de réunion.Luc Barre Source
  4. Ça changé? Avant il fallait le mettre dans l'eau
  5. Max|mum-leterrarium

    Bonjour un nouveau

    Bienvenue ianoLSJ! Bien content de te compter parmi nous
  6. Tu peux les séparer quand même
  7. Australie : un python de près de six mètres pris pour un cambrioleur Appelée pour un cambriolage dans un magasin d’Ingham, dans le nord-est de l’Australie, la police n’a trouvé pour seul malfrat qu’un python de 5,7 mètres de long.Les forces de l’ordre ont dû faire appel à une spécialiste pour s’emparer du reptile, a indiqué la police de l’Etat du Queensland. Virginia McGrath a indiqué à la presse locale que l’animal était calme mais avait fait beaucoup de dégâts.«Il y avait de la vaisselle partout, en mille morceaux, et un tas d’excréments au sol», a-t-elle déclaré.Le serpent, particulièrement long mais pas venimeux, a été relâché dans une zone marécageuse des environs. Source
  8. Dans les Landes, les serpents s'invitent dans les habitations La chaleur de ces derniers jours pousse les reptiles dans les garages et les maisons. Suivant l'espèce et la peur des intéressés, les pompiers sont parfois priés d'intervenir. Que faire lorsqu'un serpent s'invite dans sa maison ? Garder son calme, bien sûr. Mais toutes les personnes n'en sont pas capables. Si certains savent reconnaître une couleuvre, inoffensive, d'autres paniquent, et se tournent alors logiquement vers les pompiers.Fortes chaleurs obligent, les sapeurs landais ont par exemple été priés d'intervenir à deux reprises lundi, à Saint-Pierre-du-Mont et Lit-et-Mixe. Deux autres interventions avaient été enregistrées ce week-end dans le sud-ouest du département. Suivant la nature de l'animal capturé, le reptile est soit remis dans la nature, soit confié à un vétérinaire, soit apporté à des agents spécialisés de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS). Source
  9. Meurthe-et-Moselle : Deux pythons royaux s’échappent d’un colis postal A Blénod-lès-Pont-à-Mousson, une employée de la poste s’est fait une grosse frayeur. En effet, alors qu’elle s’apprêtait à fermer son guichet, un serpent de plus d’un mètre s’est échappé d’un coli, et a frôlé sa peau.Après le python royal dans les toilettes d’une retraitée à Metz, voici maintenant le python royal en promenade à la poste ! Décidément, la Meurthe-et-Moselle est une contrée de passionnés de reptiles, puisque l’affaire s’est déroulée cette fois-ci à Blénod-lès-Pont-à-Mousson. Imaginez la surprise (ou plutôt la terreur), de cette employée de la poste, quand elle a soudain senti la peau froide d’un serpent, et qu’elle a découvert en tournant la tête qu’il s’agissait d’un reptile de plus d’un mètre !Très vite, la pauvre femme, très apeurée comme l’a révélé l’Est républicain, a appelé les pompiers. Ces derniers ont rapidement neutralisé l’animal, et ont également attrapé un second serpent qui ne s’était pas échappé du paquet. Il s’est avéré que les deux serpents étaient des pythons royaux, un espèce impressionnante mais pas dangereuse. Ces bêtes sont d’ailleurs les « reptiles de compagnie » préférés de nombreux passionnés.​Les deux serpents ont depuis été confiés à une clinique vétérinaire, et le domicile de l’expéditeur, qui comptait certainement vendre ces deux pythons royaux, a été perquisitionné. Les douaniers n’ont pas trouvé de certificats pour les deux animaux, alors que cela est obligatoire, afin de prouver que les serpents n’ont pas été prélevés dans leur milieu naturel.En revanche, ils sont tombés sur d’autres charmants reptiles : deux autres constricteurs, un caïman et une tortue empaillée. « Les quatre pythons ont été remis au zoo d’Amenéville », a indiqué le directeur des opérations douanières, Benoît Pascal. Quant au propriétaire de cette joyeuse bande, il lui faudra maintenant répondre de plusieurs délits douaniers. Source
  10. LORRAINE : DEUX SERPENTS DANS LE COLIS POSTAL Blénod-les-Pam._ Cette employée de la Poste de Blénod-lès-Pont-à-Mousson a eu la frayeur de sa vie vendredi dernier, lorsqu’elle a aperçu un serpent d’un mètre de long s’échapper d’un colis.Ni une ni deux, elle a donné l’alerte. Les pompiers du Pays de Pont-à-Mousson ont déployé une équipe spécialisée sur place, tandis que les policiers procédaient aux constats d’usage.L’animal a été rapidement maîtrisé, ainsi qu’un second enfermé dans un autre colis à destination de l’Alsace. Tous deux, avaient été vendus par un Belledonien, sur un site de petites annonces en ligne. Il pourrait s’agir de boas, ou de pythons.Les serpents pris en charge par les pompiers, ont été confiés à un vétérinaire, avant que les services de douane, soient dépêchés hier sur place. Dans l’après-midi, une perquisition était réalisée au domicile du passionné de reptiles, afin de déterminer, si ce dernier était détenteur d’autres spécimens. De même que les douaniers, plus coutumiers des reptiles devaient déterminer si les serpents contrevenaient ou pas, à la réglementation de Washington.E.V. Source
  11. Le premier repas du lézard agit sur toute sa vie Une étude menée sur des lézards vivipares montre que les effets de leur premier repas se font encore sentir deux ans après cette prise alimentaire originelle. "Nous avons été les premiers surpris par nos résultats", admet Manuel Massot, du Laboratoire écologie & évolution, à Paris, auteur d'un travail montrant qu'un événement aussi insignifiant peut influencer la trajectoire de toute une vie.Pour arriver à ce résultat paru dans Current Biology, mercredi 3 juillet, Manuel Massot et son collaborateur espagnol, Pedro Aragon, ont capturé, en 2002 et en 2003, 120 femelles gravides dans le parc national des Cévennes. Et avec leurs progénitures, ils ont formé deux groupes de respectivement 280 et 289 individus. Au premier, ils ont offert, dès le deuxième jour de vie, des morceaux de vers de farine. Au second, rien. Les petits lézards sont restés à jeun. Et ils l'étaient encore au troisième jour, lorsque tous ont été relâchés dans deux régions du parc, l'une étant plus riche en ressources alimentaires que l'autre.DIFFÉRENCE DANS LE TAUX DE CROISSANCE"Signalons... Source
  12. Visite de la plus grande ferme aux serpents du Vietnam A près de 9 km à l'Ouest de la ville de My Tho se trouve un lieu que, depuis longtemps, les touristes vietnamiens et étrangers ne manquent jamais de visiter: c'est la ferme aux serpents de Dong Tam, considérée la plus grande du Vietnam. Fondée en 1977 sur un terrain jonché d'explosifs et de barbelés laissés par les impérialistes américains, la ferme aux serpents a pour tâche de mener des recherches sur la médecine traditionnelle vietnamienne, sur la culture, la préservation des plantes médicinales et ce, en vue de guérir les personnes mordues par des serpents venimeux. Autrefois petite ferme, elle est devenue un centre de recherche scientifique important, avec de nombreux succès à son actif et ayant reçu de l'Etat le titre de "Héros du Travail" en 1989. D'une superficie de 12 ha, la ferme est divisée en plusieurs sections, réservées à l'élevage de dix espèces de serpents rares comme le cobra royal, le bongare annelé..., à la culture des plantes médicinales, aux laboratoires, à l'hôpital, au musée présentant 40 spécimens de diverses espèces de serpents. La visite commence par la section de préservation des cobras royaux, considérés come les rois des serpents et classés à l'échelon E du Livre rouge du Vietnam. Ils peuvent atteindre 4,5 m de long et peser de 18 à 20 kg. Ils peuvent ramper très rapidement. Le cobra est une espèce venimeuse rare, protégée et classée à l'échelon T du Livre rouge du Vietnam. Un gramme de son venin peut tuer jusqu'à 166 personnes. Le Naja siamois, une espèce venimeuse des moyennes et hautes régions, peut projeter son venin à une distance de 1,4 à 1,6 m, et ce venin peut soit tuer la victime soit pourrir la partie touchée.Le Fer de lance est souvent caché dans la verdure. Il a l'air de progresser lentement sur les tiges mais attention! Si jamais vous le touchez par inadvertance, le reptile vous mordra en un éclair et son venin provoquera des hémorragies internes qui conduiront à la mort. Une autre espèce de serpent venimeux est le bongare annelé. Celui-ci s'appelle mai gầm quand il a des anneaux noirs et jaunes, mai bạc quand il a des anneaux noirs et blancs. Le jour, le bongare se réfugie dans un abris, timide, mais dès le coucher du soleil, il devient leste et extrêmement dangereux pour qui croise son chemin. Selon le Docteur Vu Ngoc Luong, lieutenant-colonel et vice-directeur de la ferme de Dong Tam, l'élevage des serpents venimeux est un métier à la fois dangereux et difficile. Jamais auparavant le Vietnam n'avait eu d'organismes spécialisés dans la recherche sur les serpents. La visite se poursuit au Service de secours d'urgence qui, chaque année, traite de 1.000 à 1.200 personnes mordues par des serpents venimeux, avec un taux de guérison proche de 100%. Le Docteur Vu Ngoc Luong a fait savoir que le personnel de sa ferme s'est fixé comme but de servir la population. Ainsi, en 2005, l'Etat a investi plus de 10 milliards de dongs pour mettre sur pied ce service et l'équiper. Il s'agit du premier du genre au Vietnam, qui présente 40 spécimens de diverses espèces figurant dans le Livre des Records du Vietnam. Ce musée est une source de documents d'une grande valeur pour les étudiants et chercheurs de tout le pays, a-t-il ajouté. Tout chez le serpent peut être préparé comme spécialité pharmaceutique: chair, os, graisse, sang, bile.. Les Vietnamiens sont habitués à s'en servir depuis des temps immémoriaux. Même la peau est utilisée, pour la fabrication d'accessoires de luxe. C'est pourquoi la chasse de ces reptiles se poursuit à bon rythme, dans l'indifférence quasi générale, menaçant certaines espèces de disparition. La réputation de la ferme est telle qu'elle attire chaque année des dizaines de milliers de touristes vietnamiens et étrangers. A part les serpents venimeux, ils peuvent admirer pythons, crocodiles, tortues..., eux aussi devenus rares dans la nature au Vietnam.-VNA Source
  13. C'est un comportement normal pour la mère. C'est la raison pourquoi on suggère fortement de séparer les bébés de la mère aussitôt qu'ils descendent du dos de la mère. Elle va continuer de les manger tant qu'ils ne seront pas séparé.
  14. En fait, la mère va nourrir les bébés qui sont sur son dos. Je nourris les bébés une fois par semaine
  15. Le pouvoir d’attraction caché de la toile d’araignée (vidéos) Il n’y a pas meilleur piège pour attraper les insectes, et même parfois les oiseaux et les chauves-souris, que la toile d’araignée grâce à sa résistance mécanique, sa rigidité et de nombreuses autres propriétés. Mais la science montre maintenant que les toiles de certaines araignées ont une capacité cachée supplémentaire : essentiellement, elles peuvent s’étendre et attraper les insectes en chute libre qui sont devenus, par le biais de l’environnement, une charge électrique statique.Image d’entête du biologiste Victor Ortega-Jimenez à partir de l’étude décrite ici.Semblables à la façon dont nous produisons de l’électricité statique, en nous frottant, par exemple, les pieds sur un tapis, les insectes et d’autres animaux peuvent également atteindre une charge électrostatique. Dans leur environnement quotidien, ils peuvent se charger en marchant sur des surfaces telles que le verre ou le plastique. En volant, par le biais du frottement de leurs ailes contre l’air, car celui-ci est chargé de particules.Peu d’études ont effectivement examiné les conséquences de la charge électrostatique des insectes. De récents travaux sur les abeilles ont constaté que les bourdons chargés positivement peuvent détecter le champ électrique des fleurs, afin d’aider les insectes à identifier celles qui ont déjà été visitées par d’autres abeilles (ce qui modifierait la charge de la fleur) et valent donc la peine d’être visitées. D’autres recherches suggèrent que les charges électrostatiques aident les abeilles à communiquer entre elles.Tout en jouant avec sa fille, Victor Ortega-Jimenez, biologiste à l’Université de Caroline du Nord (États-Unis) eu l’idée de tester si la charge électrostatique des insectes pouvait attirer les toiles d’araignée. En tentant de lui montrer comment une charge électrostatique fonctionne, il a acheté une baguette pour petit sorcier avec un minigénérateur Van de Graaff qui confère une charge positive à certains petits éléments, la baguette peut être ensuite utilisée pour contrôler la lévitation de petits objets. Ortega-Jimenez, après avoir approché la baguette de la toile d’araignée, se rendit compte que celle-ci l’attirait (la toile…), ce qui l’a amené à se demander si les insectes chargés feraient la même chose.Pour le savoir, Ortega-Jimenez et son collègue Robert Dudley ont utilisé la baguette pour recharger divers insectes tués récemment, y compris des abeilles, des mouches vertes, des mouches de fruits et des pucerons, ainsi que des gouttes d’eau de deux tailles différentes. Ils ont également recueilli des toiles à partir d’Épeire diadème, des araignées qui produisent des fils de soie qui sont très collants, minces et flexibles, et montés horizontalement sur un châssis en bois. Les chercheurs ont lâché les insectes et les gouttes d’eau (individuellement) sur les toiles à 25 à 35 cm au-dessus, et filmé ce qui s’est passé. Les scientifiques ont constaté que les spécimens chargés déformaient les fils radiaux et la spirale de 1 à 2 mm, ce qui est égal à l’espacement des mailles de la toile. Les fils ont atteins les insectes et les gouttelettes d’eau avant que les objets frappent la toile. En revanche, des spécimens non chargés (neutre) n’ont pas attiré les fils de soie pendant la chute libre. Dans la nature, la déformation du fil causée par les insectes chargés pourrait accroître la probabilité que la toile soit en contact physique avec la proie potentielle, ce qui augmente les chances de capture, selon Ortega-Jimenez.Les chercheurs ont également constaté que quand une goutte d’eau frappait la toile, une partie de l’eau restait sur celle-ci. Si une autre goutte d’eau tombait au même endroit, elle repousserait l’eau sur la toile, pouvant potentiellement l’endommager.Il y a des études qui disent que les toiles d’araignées peuvent attirer des gouttes d’eau et agir comme un réservoir. Mais si l’eau affecte la toile d’araignée de cette manière, cela ne peut pas être bon pour l’araignée, car elle doit constamment la reconstruire.Ortega-Jimenez voudrait maintenant comprendre comment se joue l’interaction entre la toile et les insectes chargés sur le terrain. Il est également curieux de savoir comment les particules chargées électriquement, comme les spores de pollen et fongiques, s’insèrent dans l’équation, ces particules pourraient s’accumuler et dégrader une toile tout en lui donnant une charge très négative ce qui le rend plus attiré par des insectes chargés positivement. La question importante pour y répondre est de savoir si les charges électrostatiques sont négatives ou positives pour l’araignée.L’étude publiée sur Nature : Spiderweb deformation induced by electrostatically charged insects. Source
  16. Les piqûres d'araignées n'en sont pas vraiment... Chris Buddle, un arachnologue de l'université McGill à Montréal, affirme en effet que les piqûres d'araignées sont beaucoup moins fréquentes que ce que l'on Est-ce la fin d'un mythe ? Les préjugés sont-ils en train de tomber ? Les araignées ne piqueraient en réalité pratiquement jamais ! C'est en tout cas la théorie défendu par Chris Buddle, un arachnologue de l'université McGill de Montréal. En effet, les scientifique affirme que ce que l'on prend pour des piqûres d'araignée sont plus généralement des morsures d'autres insectes, comme les puces, des réactions de la peau à des produits chimiques ou encore des infections. Ses recherches ont été récemment publiées dans le revue LiveScience et reprises par Business Insider. "Je suis en contact avec des araignées depuis près de 20 ans, et je n'ai jamais été mordu", affirme Chris Buddle dans cette revue. "Il faut réellement le vouloir pour arriver à se faire mordre par une araignée, parce qu'elles ne le veulent pas (…) Elles sont totalement inoffensives" poursuit le scientifique. Il estime en effet que les araignées ont tendance à fuir le contact avec les humains et n'ont donc aucune raison de mordre. Mais lorsque c'est le cas, c'est parce que les araignées sont surprises. Et Chris Buddle de certifier que de toute manière, la plupart des araignées n'ont pas la capacité physique de mordre la peau humaine : leurs crocs ne sont pas assez développés. Cette thèse est aussi avancée par Rick Vette, un arachnologue à la retraite. Il indique avoir menée une recherche en ce sens. Et celle-ci a montré que sur 182 patients soignés dans un hôpital de Californie du Sud pour cause de morsure d'araignée, seulement 3,8% des cas étaient réels. Et 85,7% des patients avaient en réalité une infection. Source
  17. Les tortues marines à l’honneur ce week-end Les 16èmes journées des tortues marines se déroulent ce week-end à Kélonia. Les visiteurs peuvent profiter de nouvelles expositions et d’ateliers. Les 16èmes journées des tortues marines se déroulent ce weekend au Parc Kélonia à Saint-Leu. Les visiteurs pourront profiter de nombreuses expositions et d’animations.Des projections vidéo seront organisées. Aujourd’hui à 18 heures, le film "3M" sera projeté, un programme pédagogique et scientifique mené avec 3 écoles de Mafate et l’école d’Itsamia (Mohéli, union des Comores).Parmi les expositions, la présentation des applications smart-phone et tablette Kélonia dont le "Jeu de la tortue" et une application de découverte.Des ateliers de dessins, une exposition photo et une chasse aux trésors sont organisés. L’association Globice est elle aussi présente pour rappeler le début de la saison des baleines. Source
  18. La tortue géante George le solitaire finira empaillée aux Galápagos Décédé en juin 2012 et emblème de la conservation des espèces, George le solitaire, la plus célèbre des tortues géantes des Galápagos, va avoir droit à une seconde vie médiatique. Le reptile est actuellement empaillé par Muséum d’histoire naturelle de New York qui l’exposera quelques mois à la fin de l’année, avant que le corps de George ne soit rapatrié en mars prochain sur l’archipel qui l’a vu naître. George le solitaire aura droit à deux vies. La première l’a rendu célèbre. La tortue géante des Galápagos (1,5 m de long pour 90 kg), de la sous-espèce Chelonoidis nigra abingdoni, est décédée en juin 2012 aux environs de 100 ans, un âge bien précoce pour ces animaux pouvant vivre le double. Il doit sa notoriété à la lutte qu’il a symbolisée : celle de la conservation des espèces.Découvert par hasard en 1971 sur l’île de Punta, appartenant à l’archipel équatorien des Galápagos, le reptile a longtemps été considéré comme le seul et unique représentant de son espèce, ce qui lui a valu son surnom. On a bien essayé de le faire se reproduire avec ses cousines des îles voisines, mais George ne s’est jamais montré très sensible au charme de ses congénères. Avec lui, pensait-on, s’éteindrait une partie de l’histoire de la faunecaractéristique de la région. Ce triste sort a fait de lui un emblème connu et reconnu à travers le monde. George le solitaire, empaillé pour la postéritéÀ sa mort, le corps a été conservé et congelé. Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Car pour perpétuer le combat auquel on l’a associé, le Muséum d’histoire naturelle de New York entreprend de l’empailler. Les taxidermistes américains, reconnus pour leurs méthodes de conservation, sont en train de le préparer pour qu’il puisse être exposé aux yeux de tous.D’abord, il sera présenté quelques mois au musée new-yorkais d’ici à la fin de l’année. Ensuite, George pourra finalement retrouver la terre qui l’a vu naître et sera envoyé aux Galápagos à partir de mars 2014. Pour l’anecdote, George le solitaire n’était semble-t-il pas le dernier représentant de son espèce. Des analysesgénétiques, publiées en novembre dernier, ont révélé après l’analyse de 1.600 tortues géantes qu’il avait des cousins et cousines très proches sur l’île voisine d’Isabella. De quoi entamer des programmes de conservation pour éviter que Chelonoidis abingdoni ne disparaisse de la surface de la Terre. Source
  19. Les écailles des crocodiliens : à la fois blindage et détecteurs Publiant leurs travaux dans la revue EvoDevo, des chercheurs suisses ont étudié la structure et le fonctionnement des écailles des crocodiliens, munies d’une batterie de divers détecteurs des variations de l’environnement. Appelés "récepteurs de pression en forme de dôme" (ou DPR) ou "organes sensoriels tégumentaires" (ou ISO), des structures hors-norme garnissent certaines écailles des crocodiliens. Pour mieux connaître ces organes, des chercheurs de l'Université de Genève ont étudié les ISO de crocodiles du Nil (Crocodylus niloticus) et de caïmans à lunettes (Caiman). Chez ces deux espèces, les ISO apparaissent sur la tête de l’embryon avant que la peau ne commence à se fissurer pour former des écailles (lesquelles sont renforcées de plaques de kératine et d’os sur la plus grande partie du corps). Mais seul le crocodile du Nil porte des écailles à ISO sur tout le corps. Ces organes contiennent des canaux sensoriels mécano-thermo-chimio-récepteurs. Les crocodiles, caïmans, alligators et gavials peuvent donc détecter des ondes de pression (émises par une proie) à la surface de l’eau, même dans l'obscurité, choisir de se dorer au soleil ou de se rafraîchir dans l'eau selon la température, et sélectionner les habitats appropriés en termes de composition de l’eau (bien que la salinité, elle, soit évaluée, chez le crocodile du Nil, grâce à une glande de la langue). Des structures sans équivalents "Les capteurs ISO sont remarquables parce que, non seulement ils sont en mesure de détecter de nombreux types de stimulis physiques et chimiques, mais aussi parce qu'il n'y a pas d'équivalent chez les autres vertébrés. C'est cette transformation d'un système sensoriel diffus - comme celui de notre propre peau - qui a donné aux crocodiliens une peau encore très sensible quoique fortement blindée", conclut le Pr Michel Milinkovitch, auteur de l’étude. Source
  20. Australie: le crocodile nain, nouvelle victime du terrible crapaud-buffle Les crocodiles paient cher ce qu'ils pensent être une petite gourmandise. Selon une étude de l'Université Charles Darwin de Darwin, publiée mercredi, ces multi-prédateurs ont envahi le nord du Territoire du Nord et font des ravages dans la population de crocodile-pygmées, qui ne comptait déjà plus que quelques centaines de spécimens. Les crapauds-buffles tuent en se faisant manger. Ils sécrètent en effet un venin très toxique.Les crocodiles nains peuvent atteindre au maximum un mètre de long. Leur petite taille s'explique simplement par le fait qu'ils vivent dans des bras de rivières en amont, où ils n'ont pas suffisamment de nourriture.Le zoologue Adam Britton, auteur de l'étude, en appelle aux pouvoirs publics, pour enrayer la progression des crapauds-buffles venus de l'est de l'Australie, et qui colonisent le nord du pays à vitesse V. Mais il note que certaines populations de crocodiles nains ont déjà réussi à s'adapter, et ne croquent que les pattes arrière des crapauds-buffles, qui ne secrètent pas de bufotoxines. Source
  21. De nouvelles espèces de serpent découvertes en Australie Des analyses génétiques menées sur des serpents fouisseurs en Australie ont permis d'identifier au moins une trentaine de nouvelles espèces parmi ces animaux qui présentent tous une morphologie très semblable, ont annoncé vendredi le CNRS et le Muséum national d'histoire naturelle de Paris (MNHN) dans un communiqué commun.À ce jour, 3432 espèces de serpents sont recensées par les scientifiques, divisées en deux grands groupes: les serpents typiques (boas, pythons, cobras, vipères, etc.) qui appartiennent aux Alethinophidia d'un côté, et les Scolecophidia de l'autre. Ces Scolecophidia (402 espèces) sont des serpents strictement fouisseurs, de petite taille (généralement inférieure à 30 cm) qui se nourrissent de la faune souterraine et qui se ressemblent tous fortement, en raison des contraintes liées à leur mode de vie (forme, couleur, etc.), explique le communiqué.Or les Scolecophidia ont longtemps été négligés par les biologistes. Des chercheurs français, américains et australiens ont entamé en 2008 une étude visant à mieux connaître ce groupe de serpents en analysant en détail leur génome, à la fois un gène mitochondrial (hérité de la mère) et un gène du noyau de la cellule (hérité du père). Au total, 741 spécimens appartenant à 27 espèces de Scolecophidia ont ainsi été étudiés.Or à partir de ces 27 espèces actuellement reconnues, les spécialistes ont mis en évidence «l'existence de 29 à 65 nouvelles espèces», soulignent le CNRS et le MNHN. Sans l'analyse de leur ADN, il aurait été impossible de découvrir cette «diversité cachée» au sein d'espèces d'apparences très semblables, assurent les chercheurs.Les scientifiques en déduisent que «la diversité spécifique des serpents fouisseurs australiens est largement sous-estimée», ce qui est peut-être aussi le cas à l'échelle mondiale. Si l'on rapporte la proportion de nouvelles espèces ainsi découvertes aux 402 espèces de scolécophidiens actuellement connues, leur nombre serait alors en réalité compris entre 830 et 1370 !Si les biologistes estiment qu'il leur reste de nombreuses espèces animales à découvrir, la plupart se trouveraient dans les rangs des invertébrés (insectes, arachnides, vers, mollusques, etc.) A l'inverse, on considère que la faune des vertébrés terrestres est globalement bien documentée. Selon le communiqué, le nombre d'espèces de mammifères et d'oiseaux s'accroît chaque année de seulement 0,1% à 0,2%, et celle des lézards et serpents de 1,7%. Source
  22. Un lézard géant s’introduit dans un immeuble du Sichuan Un varan sème la panique en s’invitant chez l’habitant C’est à Leshan City, dans la province du Sichuan en Chine, qu’une monstrueuse créature a choisi d’élire domicile en haut de la cage d’escalier d’un groupement d’habitations. Caché dans un renfoncement en hauteur au coin du mur, l’animal se sentait visiblement bien où il était et n’avait vraiment pas envie d’y être délogé.Près d’une demi-heure aura été nécessaire pour que les autorités parviennent à se saisir du lézard, car comme vous allez le voir sur ces images le varan s’est montré plutôt agressif à l’encontre de l’homme qui était en charge de sa capture.Et on peut féliciter ce dernier, car il lui aura fallu une bonne dose de sang froid et de courage pour mener à bien sa mission. Le lézard géant quant à lui aura fini son aventure au cœur d’une réserve naturelle où il a été remis par la suite en liberté.Ce genre d’incident reste cependant assez rare en Chine comparé à d’autres pays comme la Thaïlande où il ne se passe pas une journée sans qu’un varan s’approche un peu trop près des habitations.Avez-vous déjà eu l’occasion d’en voir en vrai ? Ne trouvez-vous pas ces bestioles vraiment effrayantes ? Source
  23. Philippe Lambillon : "J'ai toujours un brin de folie" Depuis vingt-trois ans, l'aventurier nous fait découvrir des trésors cachés au quatre coins de la planète. De retour du Togo, il se confie. Ce soir, nous allons vous retrouver sur une pirogue en plein cœur de la savane. En effet, à la rencontre notamment des crocodiles. C'est un animal imposant. Comme je joue la carte de l'aventure, j'essaie toujours d'être à proximité de la faune sauvage. C'est valorisant pour l’émission. Valorisant, mais aussi effrayant, non ? Non. Ces crocodiles de 5 mètres, pesant plus d'une tonne, cela ne m'a jamais tracassé. Par contre, j'ai été mordu par un bébé qui mesurait 20 cm. (Rires.) J'ai déjà trinqué avec des serpents et des éléphanteaux. Ce sont les petits qui sont difficiles à contrôler en général, car on ne les voit pas venir. Il paraît que vous avez mangé des œufs de crocodile ! Oui. Je goûte tout en général. Mais ici, c'était un croco qui était déjà mort dans l’œuf. Comme je dis toujours, je ne tue jamais les animaux, même si on peut le croire à l'image. C'est l'effet du montage. L'Afrique et vous, c'est une grande histoire d'amour.On peut dire ça comme ça. Ce continent m'a toujours fasciné, car c'est un des derniers far-west de la planète. C'est une espèce de no man's land où il n'y a pas vraiment de loi. Je parle ici de l'Afrique profonde. Là-bas, c'est le domaine des marginaux, des contrebandiers, des animaux sauvages vivant en semi-liberté. Jamais de stress dans ces contrées lointaines ? En 23 ans d'émission, ma plus grande angoisse, et je l'éprouve chaque année, c'est quand j'arrive dans un pays, sept jours avant l'équipe. Durant cette période, je dois tout mettre en place pour éviter des problèmes avec les autorités. Il faut aussi que les conditions climatiques soient bonnes. Je ne dors pas beaucoup car je me mets toujours la pression en me disant : « Et si ça ne marche pas ? » Et la maladie? J'ai peur de choper une crise de malaria ou une maladie incurable mais là, ce sont les impondérables du métier. Et comme j'ai toujours ce brin de folie qui frôle l'inconscience, j'avoue que je n'y pense pas.« Les carnets du bourlingueur », ce soir à 21 h 50 sur la Une. Propos recueillis par Fabrice Staal Source
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