Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Max|mum-leterrarium

Membres
  • Compteur de contenus

    12 143
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. À la recherche des cistudes, les tortues de la Durance Ces tortues-làne se sont pas échappées d'un aquarium après avoir mordu leur propriétaire. Sans doute, même, étaient-elles là, sur les rives de la Durance, bien avant l'Homme.Mais la cistude - Emys orbicularis, pour les intimes - est rare et farouche. Si cette espèce aquatique promène sa carapace un peu partout en France, notamment en Corse, en Camargue et dans le Var, on sait encore très peu de chose sur les populations qui vivent en Durance."Il y en a, c'est certain, notamment plus haut, dans la Durance, mais on ne sait pas combien,ni comment est répartie la population, car il n'existe pas de données scientifiques", explique Cédric Roy, responsable de l'étude des cistudes en Basse-Durance, pour le compte du Centre d'espaces naturels Paca (Cen).Mais la donne a changé : la discrète tortue fait désormais l'objet d'un "Plan national d'actions en faveur des espèces menacées".L'idée étant de savoir où se trouve l'animal et comment évoluent ses différentes populations, disséminées le long du cours d'eau, pour mieux les gérer et les protéger.Satellite et garde-chasseC'est là qu'interviennent Julia Cochet et Thibault Argouges, volontaire du Service civique et étudiant en école d'ingénieur. Ils sont chargés par le Cen de capturer, mesurer et marquer les cistudes de la Durance, selon un protocole strict.Pour cela, ils se sont d'abord basés sur des photos satellites afin d'établir des zones susceptibles de contenir des tortues. "Elle aime les eaux stagnantes. Plus l'eau est trouble, mieux c'est, sourit Thibault. Ce sont des zones où elle va prendre le soleil - car c'est un animal ectotherme - mais pour la ponte, elle va plutôt préférer des zones calmes, davantage dans les terres."Les environs de Caumont présentant toutes les conditions, l'équipe s'est alors rapprochée du Syndicat Mixte d'Aménagement de la Vallée de la Durance et du garde-chasse, Patrice Barraud, pour définir la meilleure zone a prospecter. "C'est l'occasion de sensibiliser les acteurs locaux, qui seront au premier plan pour protéger ces tortues", note Thibault."C'est un animal très craintif, qui peut rester en apnée pendant 20 minutes, explique Julia, en parcourant les berges marécageuses aux jumelles. D'autant que plus la saison de la reproduction approche - la ponte à lieu entre juin et juillet - plus il est difficile de les approcher."Dans la nassePas question, donc, de leur courir après. L'équipe dispose des nasses avec des appâts en plusieurs endroits, et revient chaque matin vérifier le contenu des pièges. "Elles chassent la nuit, poursuit Julia . Les cistudes juvéniles sont carnivores, elles se nourrissent de larves de coléoptères notamment, puis elles deviennent omnivores. On les appâte donc avec des morceaux de poisson" Après plusieurs jours de pêche vaine - ou presque (ci-dessous) - une cistude a enfin été capturée il y a 10 jours. "On en avait observé une, sans pouvoir l'approcher. Celle-ci, une femelle, porte des oeufs, il y a donc au moins un mâle, avance Cedric Roy.En tout cas, ce n'est pas une grosse population."La tortue capturée a fait l'objet de prélèvements biologiques, puis a été mesurée et marquée, pour être identifiée en cas de recapture. "Comme chaque tortue a le même nombre d'écailles, on a mis au point un code, explique Thibault, on attribue un chiffre à chaque écaille, et on fait une petite entaille dessus, pour donner un numéro à chaque individu". La première cistude de Caumont a depuis regagné les berges de la Durance. Tortues exotiques : la grande invasion Si la cistude ne court pas les rues, la tortue à tempes rouges, dite "tortue de Floride", elle, pullule. Et notamment dans la Durance.L'équipe du Cen n'a d'ailleurs pas manqué d'en capturer plusieurs spécimens à Caumont."Elle a été vendue pendant quinze ans en animalerie, souvent sous l'étiquette tortue naine", déplore Cedric Roy. Mais adulte, l'animal, qui peut atteindre deux kilos n'a plus rien d'un nain.Pire, certains individus peuvent devenir agressifs. "Ça mord et ça fait vraiment très mal", sourit le scientifique. Alors, beaucoup ont fini dans la nature. "Les gens pouvaient penser qu'elles seraient mieux dans une rivière que dans un aquarium devenu trop petit. Mais non".Les specimens capturés par les chercheurs ne sont donc jamais relâchés dans la nature, mais envoyés dans un "refuge"."La tortue à tempes rouges a un statut assez flou, note Cedric Roy. C'est une espèce envahissante, mais pas invasive - invasif étant le terme juridique - il n'y a donc pas d'arrêté de destruction."La cistude partageant le même habitant, reste à savoir si sa lointaine cousine de Floride est nuisible pour l'espèce. "C'est un grand débat entre naturalistes. Pour l'instant, il n'y a pas d'études qui démontrent la compétition entre ces deux espèces, indique le chercheur. Mais la tortue a tempes rouges n'est pas la seule tortue exotique que l'on retrouve dans le milieu naturel. Et d'autres espèces sont toujours vendues en animalerie." Source
  2. Les 3 000 dents des alligators inspirent la recherche Les chiffres parlent d’eux-mêmes : au cours d’une vie toute simple, les crocodiles peuvent avoir jusqu’à 3 000 dents. Le reptile remplace chacune de ses 80 dents près de 50 fois au cours de son existence. Une belle différence avec l’homme qui n’a jusqu’alors pas trouvé de solution à la perte des dents définitives autrement que par la pose d’un matériel prothétique.La dentition reptilienne comprend des dents fonctionnelles, des dents de transition et une « lame dentaire ». Chaque fois qu’une dent tombe, des protéines relarguées dans la circulation sanguine reptilienne activent les cellules souches qui initient la formation d’une nouvelle dent.Ces données n’ont pas échappé aux chercheurs. Cheng-Ming Chuong de l’Université de Taïwan et ses collègues ont été tentés d’identifier les protéines et les activateurs de cellules souches qui sont mobilisés lors des remplacements répétitifs des dents d’alligator, en provoquant lors d’extractions artificielles l’activation des progéniteurs odontogéniques de la lame dentaire.Une meilleure compréhension de ces mécanismes pourrait, selon cette équipe, aider au renouvellement des dents dites définitives chez l’homme. Source
  3. Un amphibien trouvé en cohabitation avec un reptile mammalien au Trias Une extinction massive de la biodiversité a marqué la transition de l'ère géologique du Permien au Trias voilà 250 millions. Il s'agit d'ailleurs probablement de la plus grave des extinctions, car on estime que 95 % des espèces marines et 70 % des espèces terrestres ont alors disparu. À ce jour, les causes de cette catastrophe ne sont pas élucidées. Mais pour beaucoup, il est probable qu'elle soit liée à une succession d'événements d'origines astronomiques et géologiques, tels que des collisions entre la Terre et des météorites et d'intenses éruptions volcaniques.Faune et flore ont mis du temps pour développer une nouvelle biodiversité. Les conditions climatiques étaient rudes et la nourriture manquait. Les paléontologues pensent que c'est précisément pour survivre à ces conditions que beaucoup d'animaux, les reptiles mammaliens par exemple, ont commencé à creuser des terriers. Au début de l'ère triasique, ce que l'on connaît aujourd'hui comme l'Afrique du Sud était à l'époque à la partie sud de la Pangée, nommée Gondwana. Le climat était extrêmement chaud et sec, et fluctuait avec des périodes d'intenses moussons. Dans ce contexte, les animaux ont développé une phase d'estivation, basée sur le même principe que l'hibernation mais en réponse aux mois chauds et rudes. Cette image 3D révèle la présence dans un même nid d'un reptile mammalien à gauche et d'un amphibien primaire à droite. Vincent Fernandez, ESRFDans le bassin du Karoo, en Afrique du Sud, nombre de terriers fossilisés ont été découverts, datant pour la majorité de 250 millions d'années. Il en existe une collection de moulages, stockée à l'Evolutionary Studies Institute de Johannesburg. Récemment, une sélection de moulages des terriers a été analysée par l'European Synchrotron Radiation Facility (ESRF, Grenoble). Cet institut est le seul au monde à pouvoir scanner aux rayons X le contenu d'un terrier de manière non intrusive et à fournir des images 3D stupéfiantes. Par cette méthode, les chercheurs ont découvert un site dans lequel nichait un amphibien Broomistega et un reptile mammalien Thrinaxodon. Une cohabitation inhabituelle entre amphibien et reptile Cette découverte, dont l'analyse est publiée dans la revue Plos One, est la première du genre. Elle constitue le premier cas de partage d'un terrier entre deux espèces non liées. Elle vient infirmer les suppositions des paléontologues sur le fait que ce comportement d'estivation pourrait bien être à l'origine de la survie des espèces. « C'était un moment passionnant, commente le chercheur Vincent Fernandez. Il s'agissait du premier terrier que nous analysions à l'ESRF. L'imagerie progressait très lentement, ligne par ligne, et nous avons d'abord identifié la tête du reptile mammalien. Puis, beaucoup plus tard, nous avons commencé à voir de petites dents et une seconde mâchoire nichées dans l'épaule du premier animal. C'était incroyable ! »À notre époque, on peut rencontrer des partages de terriers, si les animaux arrivent à vivre en symbiose. Un petit animal ne s'invitera pas chez un hôte plus grand, en revanche, un plus gros animal sera accepté dans le terrier s'il peut fournir de l'aide, comme éloigner les prédateurs. Mais au début du Trias, de telles relations symbiotiques n'existaient sûrement pas. Alors comment ces deux animaux se sont-ils retrouvés ensemble ?Les images 3D révèlent que l'amphibien avait quelques côtes cassées. Il n'aurait pas été attaqué par le reptile mammalien, puisque sa blessure est le signe d'un coup unique. Les chercheurs suggèrent dans Plos One que l'animal blessé a profité du nid du Thrinaxodon pour s'y reposer. Ses os montrent d'ailleurs des signes de convalescence. En outre, le reptile adoptait une position qui laissait à penser qu'il dormait paisiblement, il devait donc probablement être en estivation. L'étonnante conservation des os des deux corps indique qu'ils sont morts tous les deux enterrés vivants, sûrement des suites d'intempéries qui auraient sédimenté le terrier.Par Delphine Bossy, Futura-Sciences, Futura-Terre Source
  4. Etats-Unis: Une tortue à deux têtes voit le jour dans un zoo ANIMAL - Il s'agirait d'une femelle baptisée Thelma et Louise... Quatre pattes, une carapace et... deux têtes. Une tortue un peu particulière a vu le jour, le 18 juin, au zoo de San Antonio(Texas), aux Etats-Unis. Il s'agit en fait de deux «siamoises», dont la séparation dans l'œuf n'a pas eu lieu.Baptisé Thelma et Louise, l'animal souffrirait d’ailleurs d'un dédoublement de la personnalité, selon le responsable des reptiles du Friedrich Aquarium cité par France Télévisions. «La partie droite regardait avec curiosité autour d'elle tandis que la partie gauche essayait de me mordre», explique-t-il. D’après l'expert, la partie gauche serait donc dominante.Mais l’animal, déjà capable de marcher et de nager, pourrait tout de même vivre, sans trop avoir à subir de complications, estiment les experts du Zoo. Source
  5. Ecosse: Elle découvre un scorpion dans son lit ANIMAUX - A son réveil, une étudiante écossaise s'est retrouvée face à face avec l'animal... Ce n'était pas un cauchemar. Une étudiante écossaise a eu un réveil légèrement stressant, vendredi dernier à Aberdeen, en Ecosse, en découvrant un scorpion dans son lit, rapporte le Telegraph.L'étudiante en zoologie de 23 ans, qui était revenue depuis cinq jours d'un voyage à Bornéo, pense que l'animal a pu se glisser dans sa valise à cette occasion. Celle-ci avait été endommagée et un trou aura pu permettre au scorpion de s'y introduire.L'animal, dont la piqûre n'est pas mortelle mais peut causer de vives inflammations, a donc dû vivre à proximité de l'étudiante jusqu'à ce réveil un peu brutal. Après avoir bondi hors de son lit, la jeune femme a pu saisir un tube en plastique pour capturer la bestiole, qui a ensuite été confiée à lasociété protectrice des animaux locale. Source
  6. Non ça devrait bien fonctionné
  7. Le Gecko malgache menace ses voisins mauriciens Les geckos endémiques de Maurice seraient fortement menacés par la présence massive de lézards verts originaires de Madagascar. Une association écologique de l’île hausse le ton. "Là où il y a des geckos malgaches, les geckos endémiques ( de Maurice, ndlr) disparaissent", a déploré Vikash Tatayah, de l’association de protection de la faune et de la flore, le Mauritius Wildlife Foundation (MWF). A l’entendre, cette espèce originaire de la Grande île n’est pas à sa première invasion qui s’avère être très nocive pour l’écosystème mauricien. Des antécédents auraient bien eu lieu mais les autorités locales ont pris dans les années 90 les mesures nécessaires pour arrêter le fléau. Seulement, le gécko malgache fut réintroduite sur l’île par des passionnés de la nature, 20 ans plus tard. Les tracas ont ainsi recommencé pour ses voisins mauriciens, dix fois plus petits que lui et qu’il dévore à volonté. Actuellement, plusieurs régions de l’île seraient déjà envahies par cet invité inconvenant dont Floréal, Baie-du-Tombeau, Grand-Gaube, Grand-Baie et Rivière-Noire, selon Indian Ocean Times. Une nouvelle fois, le MWF interpelle les autorités. Source
  8. Planète Grenouille : L’expo qui fait croa Voilà une exposition qui ne va pas arranger la réputation des français amoureux des grenouilles. Jusqu’au 15 septembre 2013, Le Jardin des Plantes présente une exposition de photographies consacrées aux batraciens du monde entier.Loin d’être un chemin de croa, l’exposition "Planète Grenouille" propose de très belles photographies signées Cyril Ruoso. L’artiste s’est découvert une passion pour les batraciens depuis une petite mare bourguignonne où toutes sortes d’animaux bondissants venaient naître et patauger. Depuis, le photographe a fait le tour du monde et imprimé en plein vol les gestes, attitudes et instants de vie de centaines de batraciens de toutes les espèces, depuis les salamandres géantes du Japon jusqu’aux grenouilles de l’Oregon.« L’exposition montre cette "Planète Grenouille" dans tous ses états : naturels comme culturels, scientifiques et sociétaux, spectaculaires et poétiques. L’on y découvre un monde riche en variétés et couleurs, en saisons et climats, en milieux et latitudes ; mais aussi un monde d’histoires, comme celle, étonnante, réalisée avec la Bourse professionnelle Photo par Nature : la Grenouille et le Prisonnier ». Source
  9. Les scientifiques ont reproduit avec succès une minuscule grenouille bleue qui est si toxique qu'elle peut tuer dix hommes Une invasion de milliers de ces minuscules créatures peut devenir une plaie capable de mettre à mort tout un village. Une arme de guerre ? Des experts britanniques ont reproduit une espèce rare de grenouille qui est extrêmement toxique. La grenouille bleue à dard mesure 2,5 cm de long et se trouve généralement dans les forêts tropicales du Costa Rica et du Brésil. Des experts des Collèges North Shropshire et Walford ont reproduit un amphibien mortel dans leur laboratoire. Le technicien animalier qui a dirigé le projet a déclaré: "Bien que les œufs ont été pondus à plusieurs reprises, les élèves n'avaient pas réussi à obtenir des œufs progressant jusqu'à devenir des têtards". Après avoir étudié les conditions environnementales requises et l'environnement de reproduction, quelques ajustements ont été faits. Le premier bébé génétiquement créé s'est finalement déplacé hors de l'eau et sur la terre ferme, sa métamorphose est maintenant terminée. Source
  10. Moulin-Neuf. Il trouve un serpent rare sur la route Dans sa jeunesse, André Bonnes a porté le maillot de plusieurs clubs de rugby du Languedoc. Pour des raisons professionnelles, il s’est fixé à Moulin-Neuf. Son fils Florian occupe le poste de troisième ligne au sein de l’équipe de Mirepoix. Le père fait partie des membres du bureau du RCM, en charge des relations avec la presse et aussi du recrutement. La couleuvre de Montpellier Ce jour-là, il revenait de contacter des joueurs dans la sous-préfecture audoise voisine.Pour son retour il emprunte la route départementale 626 qui relie Limoux à Mirepoix et là, surprise, dans le col de Saint-Pierre il remarque un serpent de taille impressionnante qui ne bougeait pas sur la chaussée.Il descend de voiture, constate qu’il était mort et le met dans la malle.De retour à Mirepoix, où il devait rendre compte des contacts qu’il avait pris, il ouvre le coffre et fait voir aux dirigeants du club ce serpent d’une longueur de 1,60 m.Dans le bassin de Mirepoix on appelle ce reptile la couleuvre de Montpellier. Il est plutôt rare. Source
  11. Un crocodile attaque une personne sur la rive de Catumbela Chinjenje (Angola) – Un crocodile a attaqué jeudi sur la rive de la rivière Catumbela, au village de Lossole dans la province de Huambo, un citoyen Estevão Tchissimo, 48 ans.Ce reptile, indique-t-on, lui a causé de blessures graves.Se confiant à la presse à l’hôpital municipal de Chinjenje, la victime affirme avoir été surprise par le crocodile alors qu’il s’était rendu à cette rivière pour boire de l’eau. Il a été secouru par les habitants, signale-t-on. Source
  12. La tortue Lina retrouve l’océan Lina, une jeune tortue verte, a été relâchée hier par l’association Te mana o te moana, après plus d’un an de soins intensif en clinique. En huit ans, c’est la 130e tortue qui regagne l’océan grâce à l’action de l’association. Hier l’association Te mana o te moana a relâché Lina, la jeune tortue verte arrivée à la clinique des tortues marines le 20 avril 2012. À l’époque elle pesait à peine 13 kg pour 53 cm. Cette jeune tortue verte avait été trouvée par un moniteur de plongée de Moorea prénommé Lino, (d’où le surnom de Lina) elle a ensuite été ramenée à la clinique pour des soins intensifs. Blessée par fusil harpon dans la carapace, la tortue avait ses deux nageoires et son cou entourés et coincés par du fil de nylon. Après plus d’un an de séjour à la clinique, Lina a retrouvé hier l’océan. Pour l’occasion, elle a été relâchée en compagnie de la classe lauréate du 2nd prix du concours “Tohora, baleine à bosse qui es-tu” et de l’équipe de tournage de l’émission diffusée sur France 3 Des racines et des ailes. Les élèves de la classe de CE2-CM1 de Papetoai ont chanté une chanson en l’honneur de Lina, lui souhaitant un bon retour dans l’océan, espérant qu’elle puisse vivre très longtemps, elle qui fait partie de notre “natura”. Aujourd’hui Lina pèse plus de 24 kg pour 59 cm. Sa relâche a été rendue possible grâce au soutien de la compagnie Mahana Tours.À ce jour, Lina est la 130e tortue adulte relâchée par l’association Te mana o te moana en huit ans existence. L’association rappelle que la clinique des tortues marines est autorisée par arrêté ministériel et qu’elle recueille des tortues malades, blessées qui sont ensuite soignées et relâchées lorsque leur état le permet. Elle insiste sur le fait qu’il ne faut pas hésiter à les contacter en cas de découverte de tortue malade ou blessée. Contactez la Clinique des tortues marines : 715.344 56.40.11 temanaotemoana@mail.pf Source
  13. Chez cette araignée, pour le mâle, copuler c'est mourrir Publiant leur étude en ligne dans Biology Letters, des chercheurs américains ont observé l’espèce d'araignée Dolomedes tenebrosus, chez laquelle le mâle meurt dès qu’il a transmis son sperme à la femelle, 14 fois plus lourde que lui. Dolomedes tenebrosus, une araignée nord-américaine, a une sexualité un peu spéciale : le mâle, 14 fois plus léger que la femelle, ne copule qu’une fois dans sa vie, puisqu’il expire juste après avoir implanté son sperme dans le corps de sa partenaire. Laquelle, au demeurant, ne semble pas impliquée dans ce trépas. C’est du moins ce qu’ont constaté des scientifiques de l’Université de Lincoln (Nebraska). Pour cela, les chercheurs ont collecté plusieurs de ces arachnides dans des parcs du Nebraska et ont observé 25 accouplements. Chaque fois, le mâle a introduit sa semence dans le corps de sa partenaire à l’aide de ses pédipalpes (sortes de mandibules), lesquelles restent gonflées même après l’acte, contrairement à ce qui se passe chez la plupart des araignées. Néanmoins, juste après, tous les mâles se sont affaissés, morts. Des décès confirmés en mesurant le rythme cardiaque dans l’abdomen de l’animal. Selon une théorie évolutionnaire, la monogamie masculine est de règle lorsque les femelles sont plus grandes que les mâles. Et, les petits animaux étant plus susceptibles de survivre jusqu’à l'âge de la reproduction que les gros, les mâles de D. tenebrosus, petits et nombreux, doivent se contenter de rares (et grandes) femelles. Source
  14. Kiki, la tortue géante des Seychelles, entre à la Grande Galerie de l’Évolution Après 86 années passées à la Ménagerie du Jardin des Plantes, Kiki, la tortue géante des Seychelles, entre à la Grande Galerie de l’ÉvolutionKiki, l’un des animaux les plus emblématiques du Jardin des Plantes, Né sur l’archipel des Seychelles vers 1873, s’est paisiblement éteint dans sa 146ème année, il rejoint aujourd’hui un espace d’exposition de 100 m2 spécialement aménagé pour lui au niveau 2 de la Grande Galerie de l’Évolution, dans le prolongement de la salle des espèces menacées et disparues. Représentant d’une des plus grosses espèces terrestres de tortue, il a été naturalisé par l’équipe de taxidermie du Muséum national d’Histoire naturelle. Kiki, tortue mâle géante des Seychelles, arrive en 1923 à la Ménagerie du Jardin des Plantes, zoo historique au cœur de Paris, grâce au don de M. Carrié, érudit et naturaliste mauricien. Il est alors admiré par des générations de visiteurs. Lorsqu’il disparaît en 2009, il est naturalisé dans la perspective de lui faire rejoindre la Grande Galerie de l’Évolution, au sein d’un espace muséographique dédié.Destinée à un public familial, cette exposition sur deux salles évoque tout d’abord l’histoire de Kiki, sa singularité et son quotidien à la Ménagerie où des milliers de personnes, visiteurs et personnels du Muséum, ont pu accompagner la vie de cette gigantesque tortue.Plusieurs axes sont abordés, du métier peu connu de taxidermiste à la question de la protection de cette espèce. En effet, après avoir frôlé l’extinction en 1840, trop exploitée par les activités humaines (commerce maritime, consommation), la tortue des Seychelles reste une espèce menacée, à présent protégée dans son habitat naturel. La population in situ, sur l’atoll d’Aldabra, est estimée à 100 000 ; on en compte 375 dans les parcs zoologiques mondiaux dont une vingtaine en France.Le visiteur traversera ensuite la galerie des portraits pour arriver dans la deuxième salle, consacrée au gigantisme. Des dispositifs spécialement dédiés aux enfants permettront de découvrir de manière ludique cette espèce ainsi que son histoire.De la Grande Galerie de l’Évolution à la Ménagerie du Jardin des Plantes, il n’y a qu’un pas pour que le public (re)découvre les trois tortues géantes des Seychelles, en ce moment dans leurs quartiers d’été : les deux mâles Périclès, 100 ans et Lecata, ainsi que la femelle Platine, tous deux âgés d’une trentaine d’années.Infos Pratiques:Grande Galerie de l'EvolutionJardin des Plantes- 36, rue Geoffroy Saint Hilaire 75005 Paristous les jours de 10:00 à 18:00 Plein Tarif: 7 €Tarif Réduit: 5 € MNHN/ Patrick Lafaite Source
  15. Galapagos: des espèces éteintes de tortues prêtes à ressusciter Puerto Ayora — On les avait cru disparues à jamais, mais la science veut faire ressusciter des espèces de tortues géantes dans les îles paradisiaques des Galapagos, à 1.000 kilomètres des côtes de l'Equateur.De nouvelles techniques de reproduction en captivité vont peut-être redonner vie à ces reptiles qui ont inspiré la théorie de l'évolution au célèbre naturaliste britannique Charles Darwin, lors de sa visite dans l'archipel en 1835.Réserve naturelle isolée dans l'océan Pacifique, les îles Galapagos, sont célèbres pour les espèces endémiques qui s'y sont développées protégées par l'isolement: chaque île renferme sa faune spécifique.Des recherches récentes ont permis de découvrir dans l'île Isabela, aux alentours du volcan Wolf, 17 tortues géantes hybrides ayant un patrimoine génétique très proche (jusqu'à 80% de gènes en commun) de l'espèce éteinte de l'île Pinta, ainsi que quelque 280 tortues ayant un patrimoine génétique proche (jusqu'à 90% de gènes en commun) de la tortue de l'île Floreana, elle aussi disparue."Cela nous ouvre la possibilité de ressusciter, littéralement, des espèces qu'on considérait comme éteintes", affirme à l'AFP Washington Tapia, responsable de l'unité de recherche appliquée au sein du Parc national des Galapagos (PNG).Ces îles, classées au Patrimoine mondial de l'humanité de l'Unesco, abritent pas moins de 1.500 espèces végétales et 500 animales, dont près de 30.000 à 40.000 tortues géantes, pouvant atteindre un 1m80 de diamètre et vivre jusqu'à 180 ans."Georges le Solitaire", une tortue centenaire de l'île Pinta, décédée le 24 juin 2012, était considérée comme le dernier survivant de son espèce (Chelonoidis abigdoni), avant qu'une étude de l'université américaine Yale ne démontre, six mois plus tard, l'existence d'autres animaux de la même ascendance près du volcan Wolf.Parti aux Etats-Unis pour y être embaumé, "Georges" reviendra en mars 2014 aux Galapagos comme la pièce majeure d'un musée dédié aux tortues. Avant le décès de cet animal, découvert en 1971, les chercheurs avaient tenté en vain d'obtenir sa reproduction pendant des dizaines d'années et contacté tout aussi vainement des zoos du monde entier pour trouver un spécimen similaire.Les scientifiques font ainsi mentir la théorie de Darwin sur la sélection naturelle en redonnant vie, par la science, à des espèces, qui ne se sont pas adaptées à leur environnement.Pour ce nouveau projet de renaissance de sa lignée, les scientifiques de l'archipel vont sélectionner parmi les tortues hybrides qui ont été découvertes celles dont l'ADN est le plus proche des espèces rares, mais, à cause de la lenteur qui caractérise les tortues pour la reproduction autant que pour la marche, il faudra s'armer de patience."Nous ne serons pas là pour le voir", sourit M. Tapia, en soulignant que l'éventuel succès du processus ne pourra être évalué avant au moins un siècle, puisqu'une tortue géante de ce type n'atteint sa maturité sexuelle qu'entre 20 et 25 ans pour les femelles et entre 25 et 30 ans pour les mâles.La méthode de reproduction artificielle vise à obtenir des tortues ayant un ADN identique à 95% aux anciennes espèces. Pour le cas précis de "Georges", le chercheur équatorien n'exclut pas "la possibilité, même lointaine, d'obtenir un père pur", c'est-à-dire doté du même patrimoine génétique.Dans des conditions naturelles, une tortue ne pond que deux fois par an et l'éclosion des oeufs intervient huit mois après leur conception. En captivité, il est possible de réduire ce délai de moitié en contrôlant la température, qui a, en outre, un effet direct sur le sexe de l'animal. Il faut les conserver à 28 degrés pour un mâle, contre 29,5 degrés pour les femelles.Mais depuis plus d'un an, 92 spécimens d'une autre espèce de tortue de l'île de Floreana sont ainsi nées en captivité. L'objectif est de les réintroduire ensuite dans leur milieu naturel afin de rétablir la dynamique de l'écosystème qui a pâti à la fois de leur absence et de l'introduction d'autres espèces animales.Après avoir constitué un mets de choix pour les pirates qui écumaient la région durant les XVIIIe et XIXe siècles, nombre de tortues vivant en liberté ont été chassées par des prédateurs naturels, dont des milliers de rongeurs s'attaquant à leurs nids.Outre les espèces rares, objet de ce projet spécial de reproduction, l'archipel des Galapagos a impulsé dès les années 60 un programme d'élevage de reptiles en captivité, notamment à Puerto Ayora, la capitale de l'île Santa Cruz. Source
  16. Le robot sauveur de tortues Le robot Flipperbot se déplace comme les bébés tortues et aide à leur sauvegarde. Pour mieux comprendre comment la petite tortue des mers se déplace sur le sable, des scientifiques américains ont fabriqué un robot qui s'appelle Flipperbot. Cette tortue mécanique a été conçue grâce à des vidéos et des photos de tortues de mer après leur éclosion.Flipperbot mesure 19 cm et pèse 970 grammes. Ses pattes avant sont des nageoires aplaties qui bougent en même temps et pivotent autour d'articulations flexibles.À quoi sert Flipperbot? Ce robot pourrait être envoyé sur les plages, en repérage, afin de voir si le sable est idéal pour le déplacement des bébés tortues. En effet, certains types de sable sont un piège pour les petites tortues : les grains de sable forment un trou autour d'elles, les empêchant d’avancer.C’est pourquoi il est important de mettre le bon sable sur les plages où les tortues naissent. Plus vite elles atteignent la mer, plus leurs chances de survie augmentent. Les scientifiques estiment qu'environ un oeuf sur 1 000 réussit à atteindre l'âge adulte. Source
  17. La grosse tortue essayait de découper le grillage Découverte insolite, ce jeudi, à Saint-Clair-de-la-Tour (Nord Isère). Une impressionnante tortue d’environ 50 cm de long pour quelque 5 kg a été récupérée sur une pelouse en train d’essayer de découper un grillage. Elle a été confiée par le représentant local de la Frapna à l’association environnementaliste Lo parvi, dans l’après-midi, afin d’en identifier l’espèce, semble-t-il exotique. Source
  18. Élever un serpent chez soi s’est démocratisé Au lendemain du décès de l'Audois Dieter Zorn tué par une vipère aspic, le point sur ces animaux de compagnie exotiques.Pas une semaine sans qu’on lui amène fièrement une inoffensive couleuvre vipérine à demi-morte qu’un père de famille a "éclatée croyant sauver sa famille". Vétérinaire exerçant exclusivement sur les Nac (nouveaux animaux de compagnie), à Montpellier, Pierre Ronot rappelle que tous les serpents français sont protégés. Il ajoute que des vipères aspic - "rarement mortelles" - comme celle qui a tué, mardi, Dieter Zorn, originaire de La Redorte (Aude), lors d’un spectacle présenté à Faugères, dans l’Hérault, il n’y en a que dans les Hauts cantons. 100 euros le terrarium La couleuvre de Montpellier ? "Il faudrait qu’elle vous “mâche” dix minutes pour vous inoculer un peu de venin..." Pour le vétérinaire, "élever un serpent chez soi, ce n’est plus confidentiel. Ça s’est démocratisé. Il y a de vraies marques de matériels spécialisés". Il appelle bien sûr à la prudence. Et surtout à ne pas succomber "à l’achat coup de cœur", lors d’un salon, comme bientôt à Nîmes ou en septembre à Palavas. "Il ne faut pas hésiter à demander conseil auprès d’un vétérinaire, acheter des revues spécialisées. Car, si on peut acquérir un serpent - non venimeux - pour 25 à 30 €, l’installation, elle, peut chiffrer vite : 100 € le terrarium, autant pour les lampes et le thermostat..." Et puis, dit-il, attention à l’excès de soin, par exemple, chez une tortue, peut mener au pire. "Le furet, à la mode, est plus facile qu’un chien" Le pire, Annie Bénézech, de la SPA de Montpellier, l’a vécu. Elle se souvient des néopropriétaires de singes Magot, du massif de l’Atlas. Vendus sous le manteau, élevés en couches-culottes comme un bébé (!) puis vite ultraviolents, "capable d’arracher un œil. Heureusement que l’on a un zoo pour les récupérer". Elle se souvient jadis de deux boas et d’un python échappés du domicile d’un Montpelliérain. Et de ces "passionnés" qui finissent par se délester d’une salamandre ou d’un capucin, notre cousin de singe si germain qu’il ressemble incroyablement à l’homme en gardant son mystère exotique .Le furet plus citadin que le chien Le furet est un "animal plus citadin qu’un chien et plus facile d’entretien pouvant se passer de promenade. Et domestiqué avant le chat", rappelle Pierre Ronot, vétérinaire. Lapins, rongeurs, chinchilla, serpents voire scinques à langue bleue, lézard rarissime hors de prix, ou encore des tortues léopards : les terrariophiles aiment à observer un morceau de nature reconstituée comme dans un aquarium. Exotisme très partagé, selon Fred Millier, à la tête de quatre centres d’élevage de reptiles à Lyon : à côté des 36 millions de poissons en aquarium, de 11 millions de chats et 8 millions de chiens, "il y a plus de deux millions de Nac en France issus d’animaleries", dit-il. Plus sûrement le double.Marché noir sur le siteConsultant pour le salon de Palavas, Fred Millier formule : "Presque chaque ville moyenne a son salon. Mais c’est comme la drogue ou le tabac : il existe des réseaux qui font du fric." Même si le serpent le plus dangereux au monde, le mamba noir, par exemple, se négocie à 80 €... Terrario Store, qui se revendique seul spécialiste du genre de Montpellier à Perpignan, a été créé en août dernier au Crès, répondant à une demande "croissante surtout depuis un trimestre". On insiste sur l’accompagnement du client, qui va de l’ado au trentenaire. "Sera-t-il en capacité d’assumer les meilleurs soins d’un animal original ?" En déplorant “le marché noir” sur le net où des tortues d’Hermann, théoriquement hyperprotégées, s’y vendent pour un billet contre 120 € à 160 € pour une tortue, “pucée”, née en captivité par un éleveur professionnel. ET LA PHOBIE ? "La phobie de certains animaux est un trouble anxieux qui, au lieu de se concentrer sur une situation ou un lieu, se focalise, le plus souvent sur une araignée, un serpent, une guêpe. Ces animaux-là sont associés à une situation dangereuse et/ou un endroit sale. Ce sont des animaux que l’on ne peut pas contrôler. Ils piquent ou mordent quand ils sont eux-mêmes surpris", explique Brigitte Cooper-Royer, psychologue pour l’association E-Enfance. Il ne faut pas s’inquiéter quand un enfant de 4 à 7 ans exprime cette phobie. Mais si celle-ci persiste adulte et "gâche le quotidien, il faut consulter". Source
  19. Hehe félicitations tu vas pouvoir en fournir bientôt
  20. On parle de quelle espèce de king snake exactement?
  21. Une couleuvre dans la rue Un petit serpent de moins de 15 cm a traversé la chaussée devant le véhicule de Frédéric, un lecteur, Chemin du Pâtis a Abbeville... Un petit serpent de moins de 15 cm a traversé la chaussée devant le véhicule de Frédéric, un lecteur, Chemin du Pâtis a Abbeville et s’est buté dans la bordure de trottoir. “Celle-ci ci étant trop haute pour lui je suis allé voir. Il s’agit sûrement d’un bébé couleuvre à collier. Je savais qu’il y en avait dans la région mais c’est la première fois en 43 ans que j’en vois, ” témoigne Frédéric qui l’a attrapée et relâchée dans l’herbe pour la mettre en sécurité “car en plus je crois qu’il s’agit d’une espèce protégée. Il doit y avoir un nid dans le secteur. J’espère que si d’autres personnes en croisent, elles auront l’intelligence de ne pas leur faire de mal, ” conclut le sauveteur de ce petit animal. Source
  22. Une grenouille invasive observée à Vallet Le Xénope lisse est un batracien qui colonise les mares et les étangs. L'espèce invasive a été observée à Vallet. La LPO et Bretagne Vivante lancent une campagne de prospection. Il faut se méfier des apparences. Cette grenouille n’est pas un batracien comme les autres. Le Xénope lisse (Xenopus laevis), c’est son nom, est un amphibien originaire d’Afrique du Sud. Utilisée comme cobaye dans les laboratoires, l’espèce s’est échappée il y a plus de vingt ans. Son introduction accidentelle dans la nature pose problème. La grenouille s’ajoute à la longue liste des espèces invasives.“Elle perturbe fortement l’écosystème où elle s’installe”, souligne Alexis Viaud. Aux points d’eau à la forte présence piscicole, le batracien préfère, les étangs, les mares ou les stations de lagunage.Campagne de prospectionDepuis les années 1990, l’amphibien de couleur marron et noire colonise le nord des Deux-Sèvres, le sud-est du Maine-et-Loire. La grenouille a même été découverte au sud-est de la Loire-Atlantique. “Dans le vignoble nantais, au nord-est de Vallet, il y a deux ans”, précise le chargé d’études à Bretagne Vivante. Une présence qui a conduit la LPO Anjou et Bretagne Vivante à mettre sur pied une action efficace pour limiter son extension. Les deux structures viennent de lancer “une campagne de prospection afin de recenser les secteurs géographiques de colonisation de l’espèce”, indique le spécialiste de la faune. Afin de connaître sa répartition actuelle, le front de colonisation de l’espèce doit être étudié. Un front assez lent car le Xénope lisse envahit le territoire à la vitesse d’un kilomètre par an. Toute information concernant le Xénope est importante afin d’accélérer la lutte contre cette espèce invasive. En cas d’observation, le chargé d’études conseille de “ne jamais déplacer l’espèce et de ne pas mener soit même d’opération de destruction de l’espèce”. Toutes observations “suspectes” doivent être communiquées à Bretagne Vivante Nantes, si possible avec un cliché de l’espèce.Contact : alexis.viaud@bretagne-vivante.org ou 02 40 50 13 44. Source
  23. Hérault : il meurt mordu par sa vipère en plein spectacle Dieter Zorn, spécialiste des reptiles, s’est effondré à 53 ans en plein spectacle à Faugères dans l'Hérault, victime des morsures d'une vipère Aspic. Dieter Zorn, était un herpétologue expérimenté. Passionné de reptiles, il aidait le public à surmonter la peur des serpents.Mardi, vers 19 h, en plein spectacle à Faugères, au nord de Béziers, et alors qu’il manipulait une vipère aspic, il a été mordu. Il est décédé quelques minutes plus tard d’un arrêt du cœur.Dieter Zorn faisait la tournée des villages des hauts cantons de l’Hérault. À 53 ans, il vouait son temps aux serpents et aux reptiles en général, qu’il présentait comme des animaux inoffensifs.Il n’est pas sûr que mardi soir il soit parvenu à ses fins. C’est presque en direct qu’une salle pleine de curieux a assisté à sa mort.Mordu plusieurs foisAlors qu’il manipulait, comme il le faisait tous les soirs, une vipère aspic, cette dernière s’est retournée contre lui.Dieter a été mordu à plusieurs reprises par l’animal qui avait toujours ses crochets à venin. L’homme a alors eu le temps de poser l’animal en sécurité dans son vivarium pour qu’il ne blesse personne.Puis les pompiers sont arrivés sur place. Dans un premier temps, tout allait bien pour l’herpétologue. Mais devant le nombre de morsures de ce serpent qui reste un serpent dangereux quoi qu’on en dise, le Samu est intervenu pour placer la victime sous héparine. Un produit qui liquéfie le sang et empêche la constitution de caillots.C’est là que Dieter a fait un premier arrêt cardiaque, puis un autre. Les médecins sur place n’ont rien pu faire pour le ramener à la vie malgré un long massage.Mardi soir, il montrait ses bestioles aux curieuxL’herpétologue Dieter Zorn montrait toutes sortes de reptiles. Des crocodiles aux scorpions en passant par des mygales ou encore des serpents tels que des pythons, dont l’un d’eux faisait plus de six mètres.Mardi, en fin d’après-midi, le public composé de jeunes et de moins jeunes participait à la manipulation des animaux. Pour apprivoiser les peurs, les plus téméraires pouvaient s’avancer et toucher les bêtes maintenues sous bonne garde par le spécialiste. Source
  24. UN CROCODILE DÉCOUVERT DANS UN ÉTANG FRÉQUENTÉ PAR DES ENFANTS RAYONG – 16 Juin 2013 [PDN]; A 15h00, les journalistes et les reporters de Rayong ont été informés par des habitants qu’un crocodile se trouvait dans un étang public. Les journalistes se sont alors précipités vers l’étang signalés. L’étang lui-même fait 50 mètres de large sur 100 mètres de long. Les habitants ont entouré l’étang regardant le crocodile.Un adolescent de 14 ans, qui a sauté dans l’étang a dit à la police, qu’il avait sauté dans l’étang avec 4 autres amis. Mais comme ils jouaient dans l’eau, ils ont vu une bûche de bois qui flottait dans l’eau. Par curiosité, un des garçons a plongé vers le fond et a vu avec stupéfaction un crocodile marin. Le garçon a alors alerté tous ses amis et se précipita hors de l’eau.Le crocodile fait 2 mètres de long et l’on pense que ce crocodile s’est échappé d’un élevage de crocodiles local. Le propriétaire d’une ferme aux crocodiles, non loin de là, a admis que 5 spécimens manquaient dans sa ferme. Le crocodile qui a été trouvé aujourd’hui a été déplacé vers un endroit où il pourra vivre en toute sécurité. Source
  25. Varan en cavale recherché: un animal empaillé? Le varan recherché depuis quelques jours par les pompiers de Gand est probablement un animal empaillé, a indiqué mardi la porte-parole des pompiers gantois Griet De Waele.Le varan, qui ressemble à un gros lézard, avait été aperçu le week-end dernier par des jeunes à proximité d'un des canaux du centre-ville. Lundi, les pompiers de Gand avaient lancé un appel sur Tweeter, demandant aux témoins potentiels d'appeler le 100 pour signaler la présence de l'animal."Un homme l'a aperçu et nous a envoyé des photos, affirmant que le varan que l'on recherche est probablement un animal empaillé", explique Mme De Waele. "Au moment où il a été vu, le reptile avait une patte en moins et ne bougeait plus. Mais lorsque que notre témoin est revenu sur les lieux, une demi-heure plus tard, le varan avait disparu. Il s'agit certainement d'une mauvaise blague", poursuit-elle. "Cependant, le centre d'accueil pour oiseaux et animaux sauvages de Merelbeke n'exclut pas que le reptil feignait d'être mort". Source
×
×
  • Créer...