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Max|mum-leterrarium

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  1. El Oued : 1.904 cas de piqûres de scorpion au 1er semestre EL-OUED - Un total de 1.904 cas de piqûres de scorpion, ayant entrainé 3 décès, ont été enregistrés, durant le premier semestre de l’année, à travers la wilaya d’El-Oued, a-t-on appris auprès de la direction de la santé, de la population et de la réforme hospitalière (DSPRH).Les communes de Reguiba, Nakhla, Hassi-Khelifa, Guemmar et Miyeh-Ouensa, sont les plus touchées par ce phénomène, au vu de leur vocation agro-pastorale, a indiqué le chef de service de la prévention, Said Adouka.Ce nombre élevé de cas de piqûres du scorpion est aussi dû à l’absence d’hygiène dans les exploitations agricoles et au non-respect des mesures de prévention et des précautions nécessaires à prendre, a-t-il ajouté.Selon le responsable, 90% des cas d’envenimation au scorpion sont enregistrés au niveau des exploitations agricole alors que les 10 % restants le sont à proximité des groupements d’habitations, d’où, a-t-il dit, "la nécessité de multiplier les campagnes de sensibilisation au profit des exploitants agricoles".Les services de la santé sont mis en alerte, en début de chaque saison estivale, selon M. Adouka qui signale la prise en charge des victimes au sein des établissements hospitaliers et de santé de proximité, où ils bénéficient du sérum anti-venin de scorpion et sont gardés en observation durant les premières heures qui suivent la piqure.La direction de la santé, en collaboration avec les communes et la participation des scouts musulmans algériens, a établi un programme de sensibilisation en direction des populations des localités les plus touchées par le fléau, a-t-on fait savoir. Source
  2. La tortue à deux têtes se porte bien Le zoo de San Antonio (Texas, USA) a célébré le mois passé la naissance d'une tortue peu commune...Baptisées Thelma et Louise, en référence au célèbre film de Ridley Scott, les tortues siamoises du zoo de San Antonio se portent bien et s'alimentent normalement. Aucune complication de santé ne semble venir perturber la croissance de l'animal bicéphale, relate le quotidien britannique The Guardian.Une page Facebook a d'ailleurs été inaugurée en l'honneur des deux stars du jardin zoologique texan et a recueilli à ce jour plus de 3.000 adhérents. On peut y admirer le curieux (double-) spécimen sous toutes ses formes.Selon Craig Pelke, responsable du département reptile, Thelma et Louise sont tout simplement des jumelles "non séparées" à la naissance. Il s'agit de la deuxième naissance du genre au sein du zoo américain. Entre 1978 et 1995, le parc fut en effet le lieu de résidence d'un rat bicéphale nommé... Janus. Source
  3. Partir à la découverte de la tortue cistude Dimanche matin, ils étaient nombreux sur les berges de l’étang de Saint-Viâtre pour une série d’activités autour de ce petit reptile très présent en Sologne.Dix-sept explorateurs en herbe, partis à la recherche d'une tortue ! Sologne Nature Environnement (SNE), a organisé une matinée d'animations autour de la cistude, dimanche matin à Saint-Viâtre. Plusieurs familles, dont sept enfants, ont sacrifié la grasse matinée dominicale, pour trois heures d'excursion en plein air. Et ils ont bien fait, puisque vers 11 h 30, deux tortues cistudes ont pointé le bout de leurs carapaces… pour le plus grand bonheur des observateurs.Automobilistes soyez vigilants !Carnivores et charognardes, les cistudes d'Europe sont des petites tortues aquatiques d'eau douce. Elles aiment beaucoup les étangs de Sologne et pour les reconnaître, c'est facile : « Leurs carapaces mesurent une vingtaine de centimètres, explique Clélie Grangier, chargée d'étude à SNE. Elles sont aussi de couleur sombre et arborent des petites taches jaunes sur le corps ». D'ailleurs, automobilistes soyez vigilants car les cistudes, actuellement en période de ponte, sont amenées à traverser les routes pour aller enterrer leurs œufs dans des prairies. Il y a donc des risques d'écrasement, mais pas seulement. « Une amie en a ramassé une et me l'a ramenée pour que je la mette dans mon plan d'eau, raconte Claudette, l'une des participantes. Elle aurait dû la laisser sur place ! ». Et Christel Platel (SNE) de rajouter : « Tout à fait, les tortues ne se perdent jamais, il faut juste nous appeler pour qu'on vienne les répertorier ».Dimanche, la matinée fut divisée en deux périodes, avec tout d'abord une promenade le long de l'étang communal de Saint-Viâtre. Initiés et novices ont partagé leurs connaissances sur la tortue… et les enfants n'étaient pas les moins cultivés ! « Elle peut vivre 70 ans ? », demande la jeune Laura. Presque, 80 ans en moyenne, mais on n'était pas loin ! Puis ils ont tous empoigné des épuisettes pour pêcher les petites bêtes dont se nourrissent les cistudes. « Regardez, la petite Soline a attrapé une nèpe dans son filet… et une autre sur sa manche ! » Après les efforts, la récompense : la troupe s'est dirigée vers un autre point d'eau et là, miracle, deux petites têtes tachetées de jaunes sont apparues ! « Je n'en avais vu qu'à Beauval », plaisante une maman. Et Claudette de conclure : « Moi j'en ai plein mes commodes »… en plastique ou en argile, rassurez-vous.SNE : 02.54.76.27.18. Source
  4. Une tortue rare trouvée à Saguenay Une tortue serpentine de dix kilos a été découverte à proximité de la centrale hydroélectrique de Shipshaw de Rio Tinto Alcan, dans l'arrondissement de Jonquière.Des travailleurs l'ont récupérée alors qu'ils ramassaient des débris de bois. Ils l'ont ensuite remise au ministère des Ressources naturelles qui a déterminé que le même animal a été attrapé une première fois en 2004.Les experts sont certains qu'il s'agit de la même tortue puisqu'ils avaient fait des marques sur sa carapace il y a neuf ans et qu'elles sont toujours là.Il n'est pas exceptionnel de voir des tortues serpentines au Québec, cependant leur présence est plutôt rare au Saguenay-Lac-Saint-Jean.Les responsables du ministère des Ressources naturelles vont installer un émetteur sur la tortue avant de la relâcher dans la nature lundi. Ils pourront ainsi suivre ses déplacements et en apprendre plus sur ses habitudes de vie. Source
  5. Une nouvelle espèce de tortue de mer fossile au museau allongé Publiant ses travaux sur PLoS ONE, une équipe internationale a découvert au Maroc le crâne fossilisé d’une grande tortue marine d’une nouvelle espèce et d’un nouveau genre, qui vivait à la fin du Crétacé. Le nom donné à cette nouvelle espèce de tortue de mer fossile récemment découverte, Ocepechelon bouyai, traduit l’aide précieuse apportée par le personnel de l’industrie minière marocaine dans la mise au jour de son fossile : le nom générique, Ocepechelon, dérive de OCP (Office Chérifien des Phosphates) et du mot grec Chelone (tortue). Le nom spécifique, bouyai, est un hommage à Baâdi Bouya, géologue et ingénieur en chef à l’OCP. C’est un crâne presque complet de cette tortue qui a été découvert dans la région de Sidi Chennane, dans la province de Khouribga, au Maroc, par des chercheurs du Muséum national d’histoire naturel (France), de l’Université Cadi Ayyad et de l’OCP (Maroc), et de l’Institut royal des sciences naturelles de Belgique. D’une longueur de 70 cm, ce crâne appartenait à l’une des plus grandes tortues marines actuellement connues. L’espèce vivait dans les mers peu profondes à la fin du Crétacé, il y a environ 67 millions d'années. Son anatomie frappante suggère qu’elle se nourrissait par succion. "Le dispositif d'alimentation d’Ocepechelon, un museau osseux en forme de pipette, est unique parmi les tétrapodes. La taille de l’orifice buccal peut être déduite du diamètre du tube : environ 6 cm", expliquent les auteurs. Une petite bouche et un long museau pour attraper les proies "Mais il convient de souligner la disproportion entre la taille minuscule de l'ouverture de la bouche et la grande taille du crâne", ajoutent-ils. Une caractéristique qui peut étonner mais qui est en vérité loin d'être un désavantage. "Chez les Syngnathinae [poissons cousins des hippocampes], la longueur du museau, inversement proportionnelle à la section transversale de la bouche, est considérée comme un avantage évolutif, car elle réduit le temps nécessaire pour atteindre la proie. Chez Ocepechelon, le rostre allongé et la bouche ronde et petite augmentaient probablement la vitesse de l'afflux d'eau [lors de l’aspiration des proies]", concluent ainsi les chercheurs. Source
  6. Une mygale noyée dans la piscine! Découverte saisissante pour un couple de Salavas dans le sud Ardèche. La mygale avait niché dans un olivier importé d'Andalousie. Ce lundi, la surprise est de taille pour un couple de Salavas: une mygale flotte noyée dans la piscine de leur domicile. Vérifications sur internet. Appel des pompiers de Vallon Pont d'Arc. C'est bien une mygale andalouse.En fait, elle nichait dans un vieil olivier d'Andalousie acheté par les ardéchois un mois plus tôt dans une jardinerie du Puy-en-Velay. Un arbre vieux de 500 ans, creux à l'intérieur. Les pompiers ont retiré la toile de l'araignée. Le directeur de la jardinerie est lui venu traiter l'olivier. L'araignée a été punaisée sur un bouchon en liège. Un trophée éphémère puisque la nuit suivante, elle a été à moitié dévorée par un animal qui passait par là. En guise de souvenir, il reste la photo ci-dessus... Source
  7. 35 personnes piquées par des scorpions depuis janvier Le sud de la wilaya de Sidi Bel Abbès où un grand nombre de personnes a été piqué par des scorpions est la région la plus concernée dans cette wilaya par ce phénomène.Selon les statistiques relevées par les services de la prévention de la direction de la santé publique de Sidi Bel Abbès, quelque 35 personnes ont été touchées par des piqûres de scorpion depuis le début de cette année, dont 29 cas ont été relevés dans la région de Télagh, Marhoum et Tenira ainsi que deux autres au chef-lieu de la daïra d'Aïn El Berd, et 4 autres au chef-lieu de wilaya, tous admis aux UMC de l'hôpital Dr Hassani-Abdelkader pour les soins nécessaires.Les services compétents enregistrent chaque année plusieurs cas dans cette wilaya pour des causes diverses, notamment la dégradation de l'environnement et l'extension de l'habitat précaire dans certaines zones lointaines de cette région. L'an dernier, les mêmes services ont enregistré 161 personnes piquées par des scorpions.Des incidents qui, selon les statistiques, sont malheureusement en hausse, notamment en période de grande chaleur, et les vents de sable qui apportent ce genre d'insecte des zones pastorales parfois désertes de la région de Bayadh et de Mechria. Source
  8. Mordu par un serpent au Ritouret à Blagnac : était-ce vraiment une vipère ? Source Est-ce vraiment une vipère qui a mordu Vincent, le 5 juillet dans le parc du Ritouret à Blagnac (1) ? La question n’est pas anodine, pour Nature Midi-Pyrénées, association qui défend les espèces protégées, dont fait partie la vipère aspic. «Laisser penser que quelqu’un a été mordu dans une zone urbaine, cela peut pousser les gens à tuer les serpents qu’ils rencontrent, alors que ce sont des espèces protégées (destruction passible d’amendes)», explique Pascaline Silande, spécialiste des reptiles à l’association toulousaine. Des spécialistes émettent des doutes «Pour nous, il y a extrêmement peu de chances, voire aucune, qu’une vipère ait pu survivre dans un parc urbain. La vipère est totalement absente de l’aire toulousaine depuis de nombreuses années. Elle est beaucoup trop sensible aux pesticides et à l’activité humaine. Ce que les gens prennent pour des vipères, ce sont des couleuvres vertes et jaunes, ou des couleuvres vipérines, qui peuvent mordre mais n’ont pas de venin.»Pourtant, Vincent, mordu lors de la fête de quartier d’Odyssud, a bien été examiné par les urgences du CHU de Purpan, qui ont conclu à une «morsure de vipère», selon des documents que «La Dépêche du Midi» a pu consulter. «Mais à ce que nous avons compris, reprend la scientifique, ce constat n’a été fait qu’à partir d’observations».«En effet, explique Jean-Christophe Gallart, médecin au centre antipoison du CHU de Purpan, qui suit Vincent depuis le début. Nous ne faisons pas d’analyse sanguine, donc on ne peut pas être affirmatifs à 100 % concernant la morsure.» Mais pour le médecin, les signes cliniques étaient clairs : œdème violacé, deux «points» de morsure, renflement de la jambe.«Ce qui nous fait douter, c’est que Vincent n’a pas remarqué la morsure, et n’a pas ressenti de vive douleur dans les minutes qui ont suivi, comme c’est souvent le cas pour une morsure de vipère», ajoute Pascaline Silande. En effet, mordu le vendredi, Vincent n’a remarqué l’œdème que le dimanche, jour où il s’est rendu aux urgences.Si ce n’est pas une vipère aspic, alors qu’est-ce qui a pu mordre Vincent, qui a été immobilisé pendant plusieurs jours avec la jambe paralysée ? «Peut-être un serpent plus exotique», propose Mme Silande. Une hypothèse écartée par le CHU dès l’examen clinique. Alors, y a-t-il vraiment une vipère au parc du Ritouret ?(1) «La Dépêche du Midi» du 12 juillet dernier Source
  9. La tortue cistude, vous connaissez ? L'association Sologne Nature Environnement veut sensibiliser les conducteurs à la présence de tortues cistudes sur les routes du département et organise, ce dimanche, à 9 h, une animation gratuite à la Maison des étangs de Saint-Viâtre. Les cistudes, ce sont ces petites tortues aquatiques d'eau douce, qui aiment vivre dans les étangs de la région.Depuis 2008, SNE étudie cette espèce protégée. L'association a recensé, pour l'instant, deux zones principales de population en Sologne. La première dans un étang privé vers Saint-Viâtre et la seconde sur deux autres étangs, à cheval sur Marcilly-en-Gault et La Ferté-Imbault, où vivraient près de 60 cistudes. Ce dimanche, cette matinée gratuite d'animation, autour de la tortue cistude permettra d'en savoir plus sur son habitat et son mode de vie.Inscriptions auprès de SNE au 02.54.76.27.18. Source
  10. Houplines: une mygale en fugue Une mygale domestique est recherchée par son propriétaire, qui a placardé des affichettes à Houplines.« Il ne faut pas dire ça à ma femme ! », s’exclame un Houplinois. Hier matin, quelques affichettes ont été placardées dans la commune : un particulier y signalait avoir perdu sa mygale de compagnie, répondant au doux nom de Pupuce.Le maire Jean-François Legrand a demandé à ce que l’affichette collée sur une école soit retirée, « pour ne pas effrayer les enfants ». Autre soulagement, Pupuce n’est pas venimeuse. Heureusement, car à l’heure qu’il est, elle court toujours. Source
  11. Des piqûres de scorpion meurtrières à Biskra Trois décès causés par des piqûres de scorpion ont été enregistrés dans la wilaya de Biskra depuis le début de l’été. Les victimes sont originaires des communes d’El Harouch, El Feidh et Ourlal, indique le quotidien Liberté. Selon les instances sanitaires de la wilaya, près de 3 000 personnes ont été piquées par des scorpions depuis le début de l’été. La période la plus propice à leur prolifération s’étend en effet de mai à septembre. Animal très résistant, le scorpion continue à faire beaucoup de dégâts en Algérie, notamment dans la région des hauts plateaux, surtout dans les villages et les bourgs isolés où le transfert vers les hôpitaux prend beaucoup de temps.La direction de la prévention au ministère de la Santé a indiqué, il y a quelques mois, que «plus de 50 000 piqûres de scorpion ont causé en 2012 le décès de 51 personnes dans les wilayas des Hauts Plateaux et du Sud». Un chiffre assez important qui a poussé l’OMS (Organisation mondiale de la santé) à se pencher sur la question.Et c’est toujours la wilaya de Biskra qui est en tête de ce genre d’accidents. Située à 400km au sud-est d’Alger, elle est la région la plus touchée par les piqûres de scorpion avec, en 2012, 7 500 cas ayant causé le décès de 11 personnes. Elle est suivie par M’sila avec plus de 5 600 piqûres ayant provoqué le décès de 3 personnes et Adrar où a été enregistré 5 500 cas d’envenimation causant le décès de 5 personnes.Les autorités locales procèdent chaque année dans les wilayas touchées à la collecte des scorpions par un personnel formé pour cette tâche. Des campagnes de sensibilisation sont également menées périodiquement. Il est demandé aux habitants de ces wilayas des hauts plateaux d’éviter, autour de leur maison, de laisser du gravas, des herbes inutiles ou des pierres.Le venin du scorpion est le plus rapide. Dans le cas où le patient n’arrive pas rapidement à un centre de santé, il risque de mourir. Pour se guérir, les habitants de ces régions usent souvent de médecine traditionnelle. Source
  12. Sauver les espèces en danger Suci est un vieux rhinocéros de Sumatra âgé de 9 ans et un descendant direct du rhinocéros laineux. Harapan a 6 ans. Il est le frère de Suci. Il a été transféré de Los Angeles au zoo de Cincinnati, pour accouplement. La reproduction programmée étant la seule option, selon les spécialistes, pour sauver les espèces très menacées.De récentes statistiques indiquent qu’il ne reste qu’une centaine seulement de rhinocéros de Sumatra. Ils sont concentrés en Asie du Sud. Mais certains biologistes sont préoccupés. Ils estiment que la consanguinité chez les espèces en voie de disparition pourraient faire plus de mal que de bien. Selon eux, la future progéniture de Suci et Harapan, par exemple, ne serait en effet pas capable de survivre à l‘état sauvage.Du côté d’Adelaïde en Australie, le zoo de la ville fête de toutes nouvelles naissances fruit d’un programme d‘élevage destiné à sauver le reptile le plus menacé du pays.L’Objectif est simple. Il vise à donner un coup de pouce à la tortue des marais de l’Ouest. Trois éclosions ont déjà réussi.Les nouveaux-nés sont introduits quotidiennement dans des aquariums. Pesée, barbotage, et plus tard, pro-création rythment désormais leur vie.“Les réintroduire dans la nature et augmenter leur nombre est extrêmement important lorsque l’on a affaire à une espèce animale en danger critique. Nous sommes à l’heure actuelle en quelque sorte limités dans nos sites de libération. La plupart d’entre eux arrivent à saturation. Mais le programme de réintroduction travaille pour trouver de nouvelles zones de libération”, explique Bradie Durell, gardien de reptiles qu zoo de Perth.A Adélaïde, la saison de reproduction commence tout juste. Les tortues adultes sont pesées avant d‘être couplées dans des aquariums. Avec ses 11 tortues en captivité, le zoo d’Adelaïde et son projet peut rejoindre un programme d‘élevage plus large établi, lui, au zoo de Perth.A Perth, les tortues adultes entrent dans l’eau après avoir été relâchées dans l’enceinte de libération.600 tortues ont vu le jour ici au cours des 25 dernières années et près d’un tiers d’entre elles ont été relâchées dans la nature.Le personnel du zoo espère que ce programme plutôt réussi aidera à stopper la disparition de la tortue des marais de l’Ouest. Source
  13. Un crocodile attaque son dresseur en plein show Un dresseur de crocodile a bien failli voir sa dernière arriver après avoir tenté une "figure" extrêmement dangereuse.L'incident filmé par des spectateurs et diffusé sur le site de partage YouTube s'est produit dans un parc animalier thaïlandais. Pravit Suebmee, un dresseur de reptile âgé de 27 ans était en pleine représentation lorsqu'il a glissé sa tête dans la gueule de l'animal, une figure très risquée qu'il avait déjà réalisée préalablement mais qui s'est très mal terminée cette fois.En effet, le crocodile a refermé sa mâchoire sur le dresseur qui ne doit son salut qu'à la présence d'un de ses collègues qui s'est immédiatement mis à tirer la gueule de l'animal.Pravit Suebmee a eu beaucoup de chance. Il s'en sort finalement plutôt bien avec seulement quelques traces de morsures au niveau du visage et du cou. Reste à savoir s'il tentera à nouveau l'expérience après avoir frôlé la mort de la sorte. Voilà qui prouve encore une fois que les réactions des animaux sauvages, même dressés, sont complètement imprévisibles. Source
  14. ROYAL BABY : UN CROCODILE POUR CADEAU DE NAISSANCE Oubliez les peluches démodés et doudous à offrir au Royal Baby né mardi à Londres. Le Territoire du Nord de l’Australie a une idée de cadeau beaucoup plus originale pour le petit prince du Royaume-Uni… un crocodile dénommé George ! De là à ce qu'on surnomme l'héritier de la Couronne "Crocodile baby"...D’après Adam Giles, chef du gouvernement local, le pays a jugé bon d’offrir à son Altesse l’animal dont l’œuf a éclos le 3 décembre, date à laquelle le Duc et la Duchesse de Cambridge ont annoncé au monde entier qu’ils attendaient un enfant.On aurait pu croire à une bonne blague de la part des Australiens. Mais ce cadeau est très sérieux et suit même une tradition. Kate et William ont déjà reçu un couple de crocodiles de la ville de Darwin, la capitale du territoire, à l'occasion de leurs fiançailles le 16 novembre 2010.Ces cadeaux plutôt excentriques pourraient bien servir les intérêts du pays. Adam Giles a dit espérer que ce geste encouragerait le prince de Cambridge et ses parents à venir visiter le Nord de l'Australie. Et le gouvernement est allé encore plus loin en créant une page Facebook, "George le Crocodile Royal", pour que le prince puisse suivre sa vie depuis l’Angleterre. Quand le crocodile aura atteint sa majorité de 18 ans, le prince George sera "encouragé à étudier l'éventualité de le faire venir chez lui". Là, sa mère risque d'en faire tout un sac. Source
  15. Sauvetage d’une tortue olivâtre à Sainte-Anne Grâce à la vigilance d’un baigneur qui a alerté le Réseau tortue marine Guadeloupe (RTMG), une tortue marine olivâtre, en détresse à proximité du rivage de la plage de Galbas à Sainte-Anne, a pu être sauvée. Dimanche 16 juin 2013, un baigneur repère en fin de matinée une tortue marine en détresse à proximité du rivage de la plage de Galbas à Sainte-Anne. Cette dernière est rapidement récupérée, puis stockée provisoirement dans un bac au club de planche à voiles dans l’attente d’être prise en charge par le Réseau tortue marine Guadeloupe (RTMG). A la grande surprise de la représentante locale du RTMG, la tortue présente une carapace brune très arrondie, ainsi qu’un bec fort. D’autres critères viennent confirmer qu’il s’agit bien d’une tortue olivâtre (Lepidochelys olivacea) d’une longueur de 61 cm de carapace. L’animal, amaigrie et épuisée, dont il manque la patte avant gauche (ancienne séquelle cicatrisée) et dont la patte avant droite semble cassée, est prise en charge en milieu d’après midi par le centre de soin hébergé à l’Aquarium de Guadeloupe où elle sera soignée. Cette même tortue avait été observée en difficulté le 12 juin dernier près de la plage des Raisins Clairs à Saint François, sans avoir pu être secourue par des bénévoles du RTMG. Les observations de tortues olivâtres (Lepidochelys olivacea) sont rares le long de nos côtes Guadeloupéennes. Les 3 observations réalisées ces 12 dernières années concernent exclusivement de tortues blessées, principalement par l’emmêlement des membres dans une palangre (longue ligne de pêche de surface). En atlantique Ouest, les zones de reproduction les plus proches sont situées en Guyane et au Surinam. Au même titre que l’ensemble des tortues marines, la tortue olivâtre est protégée depuis 1991 par arrêté préfectoral sur l’ensemble de l’archipel Guadeloupéen. A l’échelle internationale, elle est considérée comme vulnérable d’après l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN). Plus d’informations : site www.tortuesmarinesguadeloupe.org En cas de rencontre avec une tortue marine en détresse, veuillez contacter la coordination Réseau Tortues Marines Guadeloupe (Eric Delcroix au 0690 542 811 ou Antoine Chabrolle au 0690 740 381). Source: France Antilles Source
  16. Etats-Unis : Un chien sauve un campus d'un méchant serpent Une chienne de 4 ans a retrouvé sur un campus américain, un très gros python qui s'était échappé de son réservoir depuis plusieurs jours. Cela faisait 5 jours que le python s'était échappé de son réservoir, situé dans la fraternité de Tabard dansl'université de Darmouth, où la présidente Connie Congle gardait. Les confreries étudiantes ne seraient donc pas un milieu si fermé ? En tout cas, l'histoire a vite été connue du grand public, lorsque les médias nationaux se sont emparés de l'histoire. L'affaire a pris fin, mardi soir grâce au flair d'une petite chienne nommée Daisy. Lors de sa balade quotidienne du soir, avec sa maîtresse Vicky Jean Moors, membre de la fraternité, Daisy a retrouvé le python fugueur "Elle aboyait pour que je soulève un panneau de bois, et le serpent était là. Daisy a voulu sauter dedans pour l'attraper, mais je l'ai empêché. Du coup elle a aboyé et a continué pendant plusieurs minutes''. Vicky raconte que vendredi dernier déjà, Daisy avait reniflé cet endroit, mais que lorsqu'elle avait regardé, le serpent n'était pas là. L'animal qui mesure près d'un mètre, se nourrit de petits mammifères comme des rats ou des souris. Logique donc que le serpent ait été retrouvé à cet emplacement, puisque selon l'étudiante sa chienne Daisy y''poursuivait souvent des souris''. Une chienne qui fait désormais la fierté de sa maîtresse. Les animaux semblent donc être de réels atouts pour les étudiants, au Canada, les chiens et les chats sont des solutions anti-stress. Source
  17. Vals : une mygale trouvée dans un olivier de jardinerie Intervention peu banale pour les sapeurs-pompiers du Puy-en-Velay. Ce mercredi 24 juillet, vers 11h20, une espèce toxique de mygale a été trouvée dans le tronc d'un olivier vendu en jardinerie. Bien qu'elle soit de petite taille, les sapeurs-pompiers sont allés la déloger à l'aide d'épais gants de sécurité. Un effet d'optique sur les photos que l'on nous avait proposées nous a, dans un premier temps, induit en erreur. L'araignée n'était pas de la taille d'une main mais plutôt... d'une pièce de 2€, soit environ 3 cm en comptant les pattes.Arrivée en Haute-Loire avec l'arbreLa jardinerie Tridôme de Vals-près-Le-Puy a alerté les soldats du feu après avoir aperçu cette araignée dans l'un de leurs arbres en vente. Peu habitués à intervenir sur ce genre de situation, les pompiers sont arrivés avec un véhicule d'interventions diverses et se sont équipés de gants pour chiens et chats, de pinces et de courage pour récupérer l'animal. Résidente d'un tronc d'olivier, la mygale est arrivée en Haute-Loire en même temps que celui-ci. Une mygale andalouseLes oliviers provenaient d'Andalousie, en Espagne, ce qui a permis d'identifier l'espèce de l'arachnée : une mygale andalouse, noire, de près de 3-4 cm. La plus grande espèce vivant en Europe. Elle est toxique et réputée comme dangereuse bien que l'homme ne puisse pas en attester directement - elle en a peur et s'enfuit à sa vue. Elle n'a pas survécu à l'interventionLe directeur du magasin, Sauveur Falki, nous a expliqué par téléphone qu'une cliente avait appelé le magasin après avoir trouvé une araignée peu commune dans sa piscine. "Nous avions importé les arbres au mois de mars - avril. Ce sont des oliviers vieux de 500 ans, il n'y avait plus besoin de vérifications sanitaires." Il a ensuite remarqué une toile d'araignée spécifique aux mygales sur l'un des troncs : "On a mis une sauterelle pour être sûr, la mygale est sortie l'espace de quelques secondes mais était trop rapide pour qu'on puisse bien la distinguer." Grâce à l'intervention des pompiers et de fumigènes, elle a été capturée. A l'heure qu'il est, elle est morte, trop secouée par ces rebondissements."J'ai appelé les cinq clients a qui nous avions vendu des oliviers. Je les ai alerté et leur ai dit qu'il fallait qu'il regarde à la base du tronc. S'ils trouvent des toiles suspectes, ils m'appelleront", a précisé le directeur. Source
  18. Un policier borain mordu par une couleuvre MONS-CENTRE La zone de police était installée dans le village policier avec son stand concernant les nouveaux animaux de compagnie.Au village policier mis en place à l’occasion des festivités de ce 21 juillet à Bruxelles, le service Environnement de la zone de police boraine a également participé à l’événement en apportant sa touche particulière en matière de législation sur les nouveaux animaux de compagnies (NAC).Le stand axé principalement sur les nouveaux animaux de compagnie et la législation qui en découle n’a pas désempli de 9 h 30 à 21 h 30. Plus de 3.000 personnes se sont rendues sur le stand. Il est important de préciser que ces types d’animaux occupent des places de plus en plus importantes dans de nombreux foyers. Il est donc devenu essentiel d’informer un maximum les citoyens sur la réglementation en vigueur. Le 21 juillet semblait propice pour diffuser largement ces messages.Pour l’anecdote, un des quatre membres du service Environnement formé dans ce domaine particulier s’est fait mordre par une Elaphe, une petite couleuvre américaine. Elle a eu trop chaud ? Il y avait trop de bruit et d’agitation ? Qui sait… Il faut donc se rendre à l’évidence, l’acquisition d’un tel animal n’est pas anodine. Il faut être préparé à la confrontation en dehors des terrariums.Ce genre d’animal reste sauvage et imprévisible. L’expérience de ce policier de la zone pourtant formé à ces nouveaux animaux de compagnie ne l’a pas empêché d’être attaqué mais il est cependant arrivé à le maîtriser. C’est le magasin Jurassic Marc, situé à Leuze-en-Hainaut, qui avait fourni serpents, mygales, lézards et autres afin de rendre le stand (très) vivant et attractif. Heureusement, le policier se porte bien ! Source
  19. Un python se promène sur un campus américain Depuis vendredi, un python rôde sur le campus de la célèbre université américaine de Dartmouth. La Police est toujours à la recherche du reptile. Le campus de l’université américaine de Dartmouth est le théâtre d’un étrange safari depuis vendredi. En effet, le charmant animal de compagnie d’une fraternité locale, un python, s’est déguisé en courant d’air. Après être sortie de son vivarium, la bête se serait échappée par la fenêtre de la maison de la confrérie. Les propriétaires ont immédiatement signalé l’évasion à la police qui a averti les habitants des environs, leur recommandant d’être prudents. L’animal est toujours en liberté. Un animal dangereux? Le serpent mesure environ un mètre et n’est pas venimeux. Christine Pinello, vétérinaire interrogée par t he Atlantic wire, se veut rassurante: «Le python est certainement effrayé. Dans beaucoup de cas, le serpent ne sort même pas de la maison et reste caché pendant un bon moment» . Mais s’il s’est extrait de la maison, il se pourrait qu’il se soit logé dans une demeure voisine. En tout cas, pas de panique pour les ophiophobes, le serpent n’est pas dangereux. Les recherches continuent sur le campus de l’université faisant partie de l’Ivy League. Aux États-Unis, la faune exotique côtoie les étudiants à l’université Cette chasse à l’animal exotique n’est pas un cas unique. Sur le même campus, un élan avait été aperçu quelques mois plus tôt. Plus dangereux et impressionnant, un ours a aussi erré sur le campus de l’université centrale de Floride. Dans le même État, un alligator avait pris ses habitudes de promenade sur le campus de l’université du golfe de Floride.En parallèle, dans la nuit de dimanche à lundi 8 juillet, un python royal a été capturé en plein centre-ville de Caudebec-lès-Elbeuf, près de Rouen. Découvert par des riverains sur le trottoir, on ne connaît toujours pas sa provenance. Source
  20. Un emprisonnement de 23 millions d’années (Agence Science-Presse) Dans le film Le Parc jurassique, il était question de mouches préservées dans de l’ambre depuis des millions d’années. On a maintenant mieux: un lézard.Les paléontologues mexicains auteurs de cette découverte sont en effet bien fiers de leur petit lézard —3cm de long— vieux de 23 millions d’années. Le fossile est non seulement complet, mais certains tissus «mous» —peut-être de la peau— semblent avoir aussi survécu.L’ambre est sécrété par les conifères, ce qui explique que des insectes s’y retrouvent emprisonnés — et s’ils sont chanceux, ils peuvent être préservés, intacts, pendant des dizaines de millions d’années. Mais un lézard, c’est moins courant.— Pascal Lapointe Source
  21. Marssac-sur-Tarn. Le «boa» tué dans son jardin n'était qu'une couleuvre inoffensive «Samedi, j’ai retrouvé un boa dans mon jardin». C’est du moins ce que croyait Cathy, une mère de famille de Marssac-sur-Tarn qui avait découvert un serpent caché sous son barbecue, alors qu’elle lavait la terrasse de la maison. Cathy, trop effrayée par la taille du serpent (1 mètre environ) «n’a pas pensé» à alerter les pompiers qui seraient venus capturer l’animal. Elle a appelé un voisin qui a tué le «boa». Sauf qu’il s’agissait d’une couleuvre à collier, «une des huit espèces de couleuvres qui existent en France», indique Jérôme Maran, l’herpétologue toulousain auquel «La Dépêche» avait envoyé la photo du serpent de Marssac. «C’est un serpent tout à fait inoffensif, une des deux espèces de couleuvres qui ne mord jamais. La couleuvre à collier est une espèce protégée car elle est en voie de disparition. La destruction de son habitat, l’agriculture intensive et le comportement hostile des hommes à son égard en sont les causes. Elle vit dans le milieu aquatique, se nourrissant de poissons et de grenouilles, mais elle peut s’aventurer sur terre où elle va chercher un endroit pour se cacher. Elle aime bien vivre sous les terrasses ou les rocailles», explique ce spécialiste des reptiles. La couleuvre à collier (le nom savant natrix natrix désigne la sous-espèce nominative) peut mesurer entre 1 mètre et 1m50. Cathy, qui faisait «un blocage psychologique» et ne voulait plus s’aventurer sur sa terrasse depuis samedi après-midi,peut donc être rassurée.«Lundi, j’étais allée dans une animalerie avec la photo du serpent et on m’avait dit que c’était un boa.» Une version contestée par une responsable du rayon reptiles de l’animalerie que nous avons jointe: «Nous vendons des boas constrictor imperator, mais ça n’a rien à voir avec le serpent trouvé par cette dame. Quand elle m’a montré la photo, je n’ai pas du tout été affirmative, je penchais plutôt pour une espèce de couleuvre, mais il y en a tellement de variétés. Voyez plutôt avec un spécialiste.»Le spécialiste, c’est Jérôme Marran, navré par le triste sort réservé à cette couleuvre à collier. «C’est l’héritage de notre culture judéo-chrétienne qui a fait du serpent l’animal méchant par excellence.»Pierre-Jean Pyrda Source
  22. Un serpent à une patte découvert Un serpent mesurant 41 centimètres de long a été découvert en Chine par Dean Qiongxiu. Leserpent qui s’était indroduit chez lui, était accroché à une paroi de sa salle de bains avec une patte… La vie du reptile a tourné court quand Dean l’a battu à mort avec une chaussure alors qu’il tentait de filer à toute allure à le long du mur à l’aide de sa seule patte. Le spécimen préservé dans de l’alcool a été remis au Département des Sciences de la Vie de L’Université de Nanchang Ouest. Pour les experts, la cause de l’existance de cette patte reste inconnue, mais une autopsie pourrait apporter plus d’informations. Cette anomalie biologique que certains prennent comme une évolution de l’espèce fait parler d’elle et quelques personnes pensent quele phénomène pourrait se généraliser. Source
  23. Appel à témoin : un python en vadrouille dans les rues d’Épernay EPERNAY (51). Dimanche après-midi, deux pythons se sont échappés de leur vivarium. L’un d’entre eux a été retrouvé mais pas le deuxième.La police a reçu un appel un peu particulier dimanche après-midi. Le propriétaire de deux pythons Regius (aussi appelé python royal) les a contactés pour leur signaler que ses animaux de compagnie (qu’il possède légalement) s’étaient échappés de leur vivarium.Ayant laissé un volet entrouvert, il se demande alors si les reptiles ne seraient pas sortis de son domicile. Une patrouille se rend donc rue des Sièges pour avertir le voisinage, mais également lancer des recherches. Après une investigation un peu plus poussée au sein de son logement, le propriétaire découvre l’un des deux serpents. Le second demeure introuvable. De nouvelles recherches ont été effectuées aujourd’hui par les services de police, mais sont restées sans succès. Il s’agit d’un Python Regius d’environ 1,20 m, complètement déployé. A noter tout de même que ce genre de reptile a plutôt tendance à être enroulé sur lui-même. Il est marron à taches noires. La police insiste sur le fait que le reptile n’est pas venimeux et n’est pas agressif naturellement, mais appelle tout de même à la vigilance. Réfugié dans un endroit fraisL’animal se serait probablement réfugié dans un endroit plus frais comme une canalisation ou des égouts, car il supporte mal la chaleur. Selon le propriétaire, qui continue les recherches de son côté, le reptile pourrait déjà avoir parcouru une certaine distance. Ouvrez l’œil donc et au moindre doute, contactez les autorités. Si le reptile est repéré, ce sont les pompiers et l’office national de la chasse et de la faune sauvage qui se chargeront de sa capture. La police insiste sur le fait de ne pas agir soi-même si le reptile est repéré. Ce n’est pas encore ce soir que le voisinage pourra dormir sur ses deux oreilles, comme nous l’écrit un lecteur inquiet dans un mail : « Ça fait déjà deux nuits que je ne trouve pas le sommeil, que je fais le tour et le tour de la maison avant d’aller me coucher. Encore une bonne nuit en perspective! ». Source
  24. Un crocodile… dans le fleuve de Beyrouth DANS LA PRESSE Le journal al-Joumhouria diffuse une vidéo du reptile.Un crocodile a été repéré dans le fleuve de Beyrouth, non loin de la région de la Quarantaine, en banlieue nord de la capital,e affirme le quotidien al-Joumhouria, photos et vidéo à l’appui. Après avoir entendu des rumeurs faisant état de la présence de plusieurs de ces reptiles dans la région, des journalistes du quotidien libanais ont mené l'enquête. Après deux semaines sur le terrain, ils sont parvenus à repérer un jeune crocodile « âgé de trois à cinq ans » au bord du fleuve. Sur son site Internet, le journal a d'abord diffusé une photo du reptile. Face à l'incrédulité générale, et après plusieurs heures de suspense, le quotidien a publié une vidéo du reptile.Sur les images, le crocodile apparaît tranquille sur une rive du fleuve, et ce alors même que des cailloux sont jetés en sa direction pour le faire réagir.Au bout d'une quinzaine de secondes,il commence à montrer des signes de lassitude, face aux jets de cailloux, et ouvre grand sa mâchoire. Finalement, touché par une pierre plus grosse que les autres, il choisit de disparaître dans les eaux du fleuve. Citant des témoins, al-Joumhouria affirme que trois crocodiles auraient été repérés ces dernières semaines dans la même région. L’un de ces reptiles serait long de quatre mètres. Interrogé par le journal, le vétérinaire Walid Darwiche affirme que le reptile qui apparaît sur la vidéo est connu sous le nom de crocodile du Nil ou « Crocodylus niloticus », un reptile parmi les plus dangereux de son espèce. « Quelqu’un l’a probablement lâché dans le fleuve après l’avoir acheté à l'un des vendeurs d’animaux sauvages qui pullulent dans cette zone », estime-t-il, ajoutant que « le Liban n’est pas un habitat naturel pour ce genre d’animaux ». Interrogé par le journal, le ministre démissionnaire de l'Environnement s'est dit étonné par cette découverte et a assuré que son ministère fera son possible afin de régler cette affaire. De son côté, le ministre sortant de l'Agriculture a demandé aux journalistes d'al-Joumhouria de lui envoyer les photos et la vidéo afin d'enquêter. Le fleuve de Beyrouth prend sa source dans les montagnes libanaises, à Hammana, et se jette dans la Méditerranée au niveau de la Quarantaine. Sa longueur totale est de 29 kilomètres.Ce fleuve est connu pour son niveau élevé de pollution, car les égouts de la ville de Beyrouth s'y déversent à intervalles réguliers et de manière plus dense juste avant son embouchure. Ces derniers mois, plusieurs animaux « exotiques » ont été repérés au Liban. En mai dernier, un cacatoès blanc, une espèce de perroquet à huppe blanche originaire d’Indonésie ou d’Australie, a été photographié sur le balcon d’un vieil immeuble dans le quartier d’Achrafieh, à Beyrouth. En avril, un lion de mer avait fait une apparition surprise dans la ville côtière de Tyr dans le sud du Liban avant d’être repoussé au large de Naqoura. Toujours à Tyr, une chouette, espèce également rare au Liban, a laissé trois de ses petits dans un parc près de la ville, avant de disparaître. Source
  25. Fausse morsure de serpent pour soutirer de l'argent (Québec) Certains fraudeurs devraient écrire des scénarios de film.Alain-Gervais Assoume-Oniane, 40 ans, avait imaginé l'histoire parfaite pour soutirer environ 48 000 $ à trois compagnies d'assurances. En voyage dans son pays d'origine, le Gabon, son jeune fils se fait mordre par un serpent venimeux. L'hospitalisation est coûteuse, d'autant plus que la famille manque son vol de retour et doit racheter des billets d'avion. Comble de malchance, les parents et les enfants se font voler tous leurs bagages dans une gare.En faisant des vérifications, les compagnies d'assurances ont pu constater qu'aucun membre de la famille Assoume-Oniane n'avait quitté le Canada, entre l'été 2011 et le printemps 2012, les dates évoquées par le fraudeur. D'où les accusations de fraude. Les compagnies d'assurances affirment avoir perdu environ 6000 $ en frais d'enquête.Après avoir plaidé coupable, Alain-Gervais Assoume-Oniane, qui se présente comme un ancien employé du ministère de la Justice, a expliqué au juge Michel L. Auger avoir accumulé les dettes après sa séparation. Père monoparental, détenteur d'une maîtrise de l'Université Laval, il occupe aujourd'hui un emploi en entretien ménager.Le juge Michel L. Auger a imposé au fraudeur un sursis de sentence de trois ans, assorti de 150 heures de travaux communautaires. Source
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