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Max|mum-leterrarium

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  1. Le discoglosse d’Israël réapparaît… pour devenir un « fossile vivant » Surprise, le discoglosse d’Israël, un amphibien anoure, vient de réapparaître plusieurs décennies après avoir été déclaré éteint ! Mais ce n’est pas tout. L’animal était mal classé, car il appartient en réalité au genre Latonia, dont les seuls représentants connus sont des fossiles. Discoglossus nigriventer est donc le dernier représentant de son groupe. En 1966, le discoglosse d’Israël (Discoglossus nigriventer) a été le premier amphibien classé dans la catégorie «espèce éteinte » par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Depuis sa découverte en 1943, l’espèce était donc rattachée au genre actuel Discoglossus, qui est inclus dans la famille des alytidés (dont les crapauds accoucheurs font également partie). Elle était uniquement connue dans la vallée de la Houla, en Israël, et était la seule représentante de son groupe dans la région méditerranéenne orientale. En effet, toutes les autres espèces de discoglosses vivent actuellement en Méditerranée occidentale (péninsule Ibérique, Afrique du Nord, Corse, Sardaigne, Malte et Sicile).En octobre 2011, des individus vivants ont été découverts durant une patrouille effectuée par des agents de la réserve naturelle de la Houla. Parallèlement, des restes fossiles présentant une morphologie de type discoglosse ont été mis au jour dans plusieurs gisements archéologiques datant du Pléistocène et de l’Holocène (environ entre - 800.000 et - 10.000 ans), toujours dans la vallée de la Houla.Les caractères ostéologiques des exemplaires actuels et fossiles conduisent à reconsidérer le statut systématique et les relations de parenté du discoglosse d’Israël. Ils montrent que l’espèce n’est pas un discoglosse stricto sensu, mais qu’elle se rattache plutôt au genre Latonia que l’on croyait éteint. Jusqu’à présent, il ne comprenait que des espèces fossiles principalement décrites en Europe, qui ont vécu de l’Oligocène au Pléistocène inférieur (environ entre - 34 millions d’années et - 800.000 ans). Les analyses moléculaires réalisées sur de l’ADN nucléaire et mitochondrial d’individus vivants confirment une divergence génétique entre les souches israéliennes et Discoglossus. En 1966, le discoglosse d’Israël (Discoglossus nigriventer) a été le premier amphibien classé dans la catégorie «espèce éteinte » par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Depuis sa découverte en 1943, l’espèce était donc rattachée au genre actuel Discoglossus, qui est inclus dans la famille des alytidés (dont les crapauds accoucheurs font également partie). Elle était uniquement connue dans la vallée de la Houla, en Israël, et était la seule représentante de son groupe dans la région méditerranéenne orientale. En effet, toutes les autres espèces de discoglosses vivent actuellement en Méditerranée occidentale (péninsule Ibérique, Afrique du Nord, Corse, Sardaigne, Malte et Sicile).En octobre 2011, des individus vivants ont été découverts durant une patrouille effectuée par des agents de la réserve naturelle de la Houla. Parallèlement, des restes fossiles présentant une morphologie de type discoglosse ont été mis au jour dans plusieurs gisements archéologiques datant du Pléistocène et de l’Holocène (environ entre - 800.000 et - 10.000 ans), toujours dans la vallée de la Houla.Les caractères ostéologiques des exemplaires actuels et fossiles conduisent à reconsidérer le statut systématique et les relations de parenté du discoglosse d’Israël. Ils montrent que l’espèce n’est pas un discoglosse stricto sensu, mais qu’elle se rattache plutôt au genre Latonia que l’on croyait éteint. Jusqu’à présent, il ne comprenait que des espèces fossiles principalement décrites en Europe, qui ont vécu de l’Oligocène au Pléistocène inférieur (environ entre - 34 millions d’années et - 800.000 ans). Les analyses moléculaires réalisées sur de l’ADN nucléaire et mitochondrial d’individus vivants confirment une divergence génétique entre les souches israéliennes et Discoglossus. Une espèce à peine réapparue, mais déjà panchronique Le discoglosse d’Israël est donc une espèce relique (ou forme panchronique, auparavant plus connue sous le nom populaire de « fossile vivant »), seule survivante du genre Latonia que l’on croyait disparu. Il est le dernier représentant d’une lignée d’amphibiens anoures, dont certains pouvaient atteindre 20 cm de long, et qui a connu une large répartition en Europe et en Turquie durant l’ère tertiaire, avant de subir une forte régression. Il ne subsiste plus que dans la limite orientale de son ancienne aire de distribution. Les auteurs israéliens, français et allemands de l’article paru dans Nature Communications font également remarquer la grande capacité d’adaptation (résilience) montrée par cette espèce. Ainsi elle est capable de survivre aux grands changements climatiques et environnementaux du Quaternaire, et même à la forte dégradation de l’habitat liée aux activités humaines au cours des dernières décennies. En 1966, le discoglosse d’Israël (Discoglossus nigriventer) a été le premier amphibien classé dans la catégorie «espèce éteinte » par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Depuis sa découverte en 1943, l’espèce était donc rattachée au genre actuel Discoglossus, qui est inclus dans la famille des alytidés (dont les crapauds accoucheurs font également partie). Elle était uniquement connue dans la vallée de la Houla, en Israël, et était la seule représentante de son groupe dans la région méditerranéenne orientale. En effet, toutes les autres espèces de discoglosses vivent actuellement en Méditerranée occidentale (péninsule Ibérique, Afrique du Nord, Corse, Sardaigne, Malte et Sicile).En octobre 2011, des individus vivants ont été découverts durant une patrouille effectuée par des agents de la réserve naturelle de la Houla. Parallèlement, des restes fossiles présentant une morphologie de type discoglosse ont été mis au jour dans plusieurs gisements archéologiques datant du Pléistocène et de l’Holocène (environ entre - 800.000 et - 10.000 ans), toujours dans la vallée de la Houla.Les caractères ostéologiques des exemplaires actuels et fossiles conduisent à reconsidérer le statut systématique et les relations de parenté du discoglosse d’Israël. Ils montrent que l’espèce n’est pas un discoglosse stricto sensu, mais qu’elle se rattache plutôt au genre Latonia que l’on croyait éteint. Jusqu’à présent, il ne comprenait que des espèces fossiles principalement décrites en Europe, qui ont vécu de l’Oligocène au Pléistocène inférieur (environ entre - 34 millions d’années et - 800.000 ans). Les analyses moléculaires réalisées sur de l’ADN nucléaire et mitochondrial d’individus vivants confirment une divergence génétique entre les souches israéliennes et Discoglossus. Source
  2. Les pompiers gantois à la recherche d'un varan en cavale Les pompiers gantois sont à la recherche d'un varan en cavale. La présence du reptile, qui ressemble à un gros lézard, a été signalée il y a quelques jours dans le centre-ville. "Toute personne qui aperçoit l'animal est priée d'appeler le 100", ont indiqué les pompiers de Gand lundi après-midi dans un tweet. Le varan avait déjà été aperçu le week-end dernier par quelques jeunes dans les hautes herbes à proximité d'un des canaux du centre-ville. Il aurait été abandonné par son propriétaire. Le centre d'accueil pour oiseaux et animaux sauvages de Merelbeke a également reçu un appel signalant qu'un reptile avait été aperçu dans le centre de Gand. Pour l'heure, l'animal n'a pas encore été capturé. (Belga) (Belga) Source
  3. La menace des serpents jetés dans la nature Le serpent corail est très vénimeux mais la réglementation interdit ce type d'espèces de toute entrée sur le territoireLe phénomène que constituent les nouveaux animaux de compagnie séduit certains et en effraie d'autres. Pas rares sont les rencontres de Réunionnais avec des serpents en pleine nature. La DEAL aura bien du mal à rassurer, même si l'ensemble des "reptiles vendus dans la filière légale sont non venimeux". Le boom de la commercialisation de reptiles en guise d'animaux de compagnie ne plaît pas à tout le monde. Les messages d'alerte sont épisodiques. Un serpent retrouvé dans la cour, un autre sur un sentier fréquenté par les marcheurs, comme la semaine dernière dans la savane de Plateau Caillou. En l'état actuel de la réglementation, notre territoire est couvert par l'arrêté préfectoral du 12 juillet 2005 qui liste les espèces animales interdites à la Réunion. D'autres, comme les serpents non venimeux, restent commercialisables. "Les espèces dangereuses sont strictement interdites d'entrée sur le territoire", informe Catherine Julliot, chargée de mission "Espèces exotiques envahissantes" à la DEAL (direction de l'Environnement). Difficile, cependant, sur le moment, de détecter si une espèce est venimeuse ou ne l'est pas. Mais ce qui inquiète le plus les autorités réside toujours dans l'existence "d'un trafic parallèle", concède-t-elle, ce qui ne déroge finalement pas à la règle concernant toutes les espèces animales. Malgré la présence de la brigade nature océan Indien, en cas d'observation d'un reptile, les premiers appelés sont encore et toujours les pompiers. Bien que les serpents ont une mobilité impressionnante, les services de l'Etat ont mis sur pied un outil de recensement en cas d'observation, que ce soit pour les espèces invasives végétales ou animales. Un précédent : La couleuvre péi Du côté des animaleries, le frémissement se fait sentir."Nous ouvrirons en août un espace vente de serpents", témoigne ce magasin implanté dans le Sud. Un autre professionnel, qui ne vend pas encore de reptiles mais qui en possède dans sa collection personnelle, nous aiguille après quelques questions sur le sujet vers un vendeur amateur de ces bestioles. Devant la multiplication des points de vente et de la demande, nul doute que les cas d'observations devraient suivre la tendance. Un autre précédent doit faire réfléchir. C'est celui de nos couleuvres bien connues de la Réunion, qui pourtant "ne sont pas du tout originaires de la Réunion", rappelle la spécialiste. La couleuvre loup, c'est son nom, fait pourtant partie du décor de nos maisons. Elle a débarqué sur l'île pour ne plus jamais en repartir. Un exemple à méditer. Source
  4. Brugelette: Wally l'alligator de Pairi Daiza a passé un scanner Branle-bas de combat à Pairi Daiza, le parc animalier de Brugelette, où depuis quelque temps, on s’inquiète pour une femelle alligator, Wally. Elle a donc passé un scanner dans une clinique du pays, et pour cela il a fallu la transporter. Pas une sinécure, quand on sait qu’on ne peut pas endormir ce type d’animal… 2m40, 51 kilos de muscles. Un museau plus large que la plupart des crocodiles et une puissance de morsure exceptionnelle. Voici quelques-unes des caractéristiques de Wally, l’alligator du parc animalier brugelettois Pairi Daiza.Autant dire que pour approcher la bête afin de lui faire passer des tests médicaux, il vaut mieux s’accrocher.Car comme l’explique Laurent Grolet, inspecteur principal au service Environnement de la Police Fédérale et chargé de capturer le dit animal vendredi, « endormir un reptile, c’est très difficile et les risques sont très importants. Nous allons donc contorsionner l’animal afin de le fixer sur une planche ». Un challenge qui s’annonçait sportif selon le policier, qui se rappelle avoir saisi l’animal il y a quelques années, avec trois autres comparses.« Heureusement, l’alligator, s’il peut être massif, n’est pas aussi agressif que les caïmans ou crocodiles du Nil », remarque Laurent Grolet. Et en effet, l’immobilisation et le transport de Wally à la clinique vétérinaire Brasseur à Manage – spécialisée dans les animaux en tout genre – se sont bien passés, même si la femelle alligator était « un peu nerveuse » selon le parc.Les premiers résultats de son scanner, qui sont transmis pour analyse aux Universités de Gand, laissent d’ailleurs supposer la présence d’un bouchon intestinal, qui pourrait expliquer pourquoi le reptile s’alimentait plus difficilement ces derniers temps. Quoi qu’il en soit, Wally a rejoint son bassin à Pairi Daiza en attendant de possibles manipulations ou opérations.Du côté du parc de Cambron-Casteau, on suit avec la plus grande attention l’évolution de sa santé. D’ailleurs il est peu fréquent de déplacer un animal du parc pour suivre des examens médicaux. La dernière fois selon Steffen Patzwahl, directeur zoologique, c’était l’année dernière pour un guépard. Il s’était fait une fracture de la jambe. Source
  5. Combien d'araignées mangez-vous réellement durant votre sommeil? 7, 3, 12, les nombres varient quant au nombre d'araignées que l'on ingérerait durant notre sommeil. Alors, légende urbaine ou fait établi ? Selon un spécialiste des petites bêtes à 8 pattes, les conditions seraient trop dures à réunir pour réellement avaler des araignées dans son sommeil. Le "vous mangez un nombre X d'araignées" change en fonction de celui à qui vous demandez. D'aucuns disent que c'est trois, d'autres huit, et certains encore disent que ça tire plus sur plusieurs douzaines. Mais si vous demandez à quelqu'un qui connaît vraiment les araignées, le nombre de bestioles ingérés descend directement à 0. Ainsi, Rod Crawford, conservateur des Arachnides au Burke Museum de Seattle et détracteur dédié de mythes d'araignée, explique au site Mental Floss pourquoi cela ne risque pas de vous arriver : - Premièrement, il faut que votre bouche soit ouverte. Bien sûr, certaines personnes dorment comme ça, mais pas tout le monde. Pas de bouche ouverte, aucune araignée ingérée. - Deuxièmement, les araignées doivent atteindre votre lit. "Un lit tout à fait normal et parfaitement fait a peut-être une ou deux araignées en visite par an." Ajoutez quelques humains au lit, et les araignées ne voudront vraiment rien avoir à faire avec eux. "La plupart des gens roulent et bougent dans leur sommeil", écrivent les médecins Aaron Carroll et Rachel Vreeman dans leur livre N'avalez pas votre chewing-gum : mythes, demi-vérités et des mensonges au sujet de votre corps et la santé. "Ce laminage serait probablement effrayant pour les araignées et les dissuaderais d'errer n'importe où près de votre visage." - Troisièmement, Crawford explique que l'araignée aurait du mal pour réussir à traverser votre corps jusqu'à votre bouche et il est peu probable qu'elle ait l'audace d'entrer dans un orifice qui exhale un souffle chaud. "Juste essayez de souffler sur une araignée et regardez comment elles réagissent à ça!", Dit Crawford. "Ce n'est pas attrayant pour elles!". - Enfin quatrièmement, vous auriez à avaler l'araignée en dormant, et Carroll et Vreeman soulignent que "nous n'allons pas avaler automatiquement à chaque fois que quelque chose se passe dans notre bouche." "Les chances sont [...] incroyablement faibles" Les chances d'avaler une araignée en dormant sont donc très très faibles. "Les chances que toutes ces choses se passent ensemble, qu'il y ait une errance arachnoïde, une araignée potentiellement suicidaire à proximité immédiate de votre bouche et qu'elle soit déterminée à se risquer dans l'espace humide d'une respiration sombre et un déclenchement de votre réflexe de déglutition sont vraiment incroyablement faibles", écrivent Carroll et Vreeman. Aussi, si cela avait le malheur d'arriver, vous n'auriez aucune preuve... puisque vous dormez ! Et la probabilité que votre voisin de lit ait les yeux rivés sur votre bouche à ce moment précis est quasi-nulle... Qui plus est, dit Crawford, chaque fois que vous entendez cette histoire, le narrateur a un nombre différent d'araignées et un laps de temps différent où elles sont censés être avalées. Donc, même si une seule version avait été correcte, presque tous les autres conteurs seraient toujours en train de "mentir". Source
  6. Christophe Voisin, taxidermiste pour prolonger la vie Le "doyen des Français" s'est éteint le 1er décembre 2009 à la ménagerie du Jardin des plantes, un des établissements du Muséum national d'histoire naturelle. Tortue mâle géante des Seychelles (Dipsochelys elephantina), Kiki était âgé de 146 ans. Il était arrivé à Paris en 1923, en provenance de l'île Maurice, alors qu'il n'avait que 60 ans. Il passait ses hivers au chaud dans le bâtiment des reptiles et prenait ses quartiers d'été sur la pelouse de la rotonde, où il était transporté autrefois en brouette avant que ses 250 kg ne le soient ensuite par un chariot élévateur. Sa taille et... ses ébats amoureux démonstratifs et sonores en avaient fait la star de la ménagerie.A partir du 19 juin, il va connaître une autre vie avec son installation dans la Grande Galerie de l'évolution, où un espace de 100 mètres carrés, retraçant son histoire, lui sera consacré. Sa résurrection aura demandé plus de trois ans d'un patient travail à l'un des quatre taxidermistes du muséum, Christophe Voisin, physique de jeune M. Propre, en plus costaud, le bras tatoué de motifs tribaux.Le lundi qui a suivi la mort de Kiki, son chef, Christophe Gottini, l'appelle : "Tu vas faire une tortue." "Et je la vois arriver dans une charrette, explique Christophe Voisin. Il a fallu que je réfléchisse vite. C'était seulement ma seconde tortue après une d'une autre espèce de l'île d'Aldabra, de 150 kg. Je n'avais pas droit à l'erreur car il s'agissait de la plus vieille répertoriée dans le monde." Source
  7. La tortue Ariti poursuit son périple en direction des Samoa Quelques nouvelles de notre tortue Ariti. La tortue caouanne relâchée à Teahupoo le 24 mai dernier, à la presqu’île de Tahiti, poursuit son périple vers l’ouest en direction des Iles Samoa. Espèce rare dans nos eaux, Ariti a été équipée de deux balises satellites avant d’être relâchée. Son suivi, organisé par la Direction de l’Environnement, entre dans le cadre du programme de conservation des tortues marines. Connaître le comportement migratoire des tortues marines permet aux scientifiques de mieux adapter les stratégies de protection de ces animaux. Le suivi de son cheminement est réalisé en partenariat avec la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) d’Hawaii, le Programme Régional Océanien pour l’Environnement (PROE), basé aux îles Samoa, et l’association Te mana no te moana. Source
  8. Fidji fait appel à des chasseurs de prime La tête des iguanes américains est mise à prix. Ces iguanes dits « américains » auraient été introduits clandestinement dans les années 80 et ne sont pas très bien vus par les habitants en général et les écologistes en particulier.Ces iguanes raffolent des champs de taro, posent une menace aux écosystèmes et se multiplient très rapidement.Des chefs ont essayé de les mettre sur leur menu mais cela n'a pas eu le succès escompté.Le gouvernement a maintenant promis une prime de 5 dollars pour toute personne qui ramène aux autorités un iguane adulte au cours de ces 4 prochains mois. Source
  9. Une couleuvre américaine retrouvée dans une pelouse à Verviers Une couleuvre américaine d'environ un mètre a été découverte samedi vers 15h45 à Verviers, ont indiqué les pompiers locaux.Le long serpent rouge a été découvert dans une pelouse à proximité d'un immeuble à appartements, avenue Alexandre Duchesne à Verviers. Les pompiers ont capturé l'animal."Ce reptile n'est heureusement pas venimeux", a précisé le service incendie.L'animal dont le propriétaire n'est pas connu sera transféré vers un centre de revalidation spécialisé. Source
  10. Taizé. Pipette la tortue de 44 ans dérobée dans un jardin Dans la nuit de dimanche à lundi, une habitante du village de Taizé s’est fait voler sa tortue, baptisée Pipette et âgée de 44 ans. La disparition du reptile a rendu sa propriétaire bien malheureuse. Plainte a été déposée à la gendarmerie, qui mène l’enquête. Le fils de la victime en appelle au civisme du voleur : « Si ce personnage a encore un peu de bon sens et des regrets, il peut encore ramener Pipette où il l'a trouvée ». Il laisse aussi son numéro de téléphone (06 08 54 10 32) pour quiconque aurait des informations sur la tortue quadragénaire, récompense à l’appui. Source
  11. Boas et reptiles à La Pyramide Près d'une centaine de reptiles divers et variés issus d'une trentaine d'espèces différentes font le show depuis hier sur l'esplanade de La Pyramide. Ophiophobes s'abstenir… « Je représente la cinquième génération d'une entreprise familiale. Pour satisfaire l'alimentation de nos pensionnaires, tous les vingt jours nous sommes livrés par un éleveur spécialisé belge qui nous fournit 100 rats, 50 souris et entre 80 et 100 lapins. Des proies qui doivent être ingérées vivantes par nos reptiles »,explique Johnny Muller, exploitant de l'animalerie basée à Cergy-Pontoise,Une cinquantaine de villes ont accueilli l'exposition itinérante durant l'année. Maxime, 8 ans, et Lou Ann, 5 ans, n'ont pas hésité à poser pour la postérité en exhibant fièrement un boa constrictor imperator, bien rassasié heureusement. « Je préfère d'abord les serpents, puis les tortues géantes », confie le petit garçon, sa sœur avouant que les reptiles lui font toujours un peu peur…Exposition visible, aujourd'hui de 14 h à 20 h, sur l'esplanade de La Pyramide de Romorantin. Tarifs : 7 et 5 euros. Source
  12. La grenouille dite "rieuse" excède les riverains à Draguignan Depuis 2008, une variété de grenouilles, plus grosse et plus bruyante a pris ses quartiers dans certains étangs de la cité dracénoise. Photo Louise Audibert»Depuis 2008, une variété de grenouilles, plus grosse et plus bruyante a pris ses quartiers dans certains étangs de la cité dracénoise. Nuisant ainsi aux batraciens locaux et sommeil des riverains.Baptisée "grenouille rieuse", cette nouvelle venue a été constatée depuis 2008 par Thierry Dejean, résident du quartier de la Garrigue à Draguignan. Originaire des pays de l’est, ce batracien aurait mauvaise réputation.Elle serait porteuse de bactéries nocives à ses cousines locales et terrible vorace, elle dévorerait leurs œufs et têtards. Cela aboutirait, de fait à une disparition progressive de la grenouille estampillée « origine France » en certains points d’eau.Les griefs contre elle s’arrêtent pas là. Son chant qualifié de strident représenterait également un véritable calvaire pour le sommeil des Dracénois. En témoigne François Fourmy, habitant lui aussi, quartier de la Garrigue. « Dernièrement, ma femme et moi n’avons pu fermer l’œil de la nuit à cause de l’une d’elle. C’était la première année que l’on était vraiment dérangé, d’habitude on les entend de loin », reconnaît-il.D’après les experts du Cnrs de Montpellier et du Centre espaces naturels Paca (Cen), la seule robe de la grenouille ne permet pas de déterminer son identité. L’unique solution serait donc de procéder à une analyse génétique ou sonore de l’animal. Source
  13. Les bébés tortues bougent dans l'œuf pour rester au chaud Des expérience de laboratoire montrent que les embryons de tortues peuvent se déplacer pour se rapprocher ou s'éloigner d'un point chaud.Les embryons de tortues peuvent se déplacer à l'intérieur de l'œuf pour réguler leur température. C'est ce que montre une expérience de laboratoire avec une centaine de d'œufs de tortues d'eau douce asiatiques (Chinemys reevesii). Dans le milieu naturel, les femelles de cette espèce déposent habituellement leurs œufs dans un sol où la température avoisine 33°C. En les plaçant à l'intérieur de pots remplis de vermiculite (un minéral isolant) et en faisant varier leur température, les chercheurs ont constaté que les embryons vont vers les points chauds quand le pot est refroidi de quelques degrés. A l'inverse, ils se déplacent vers le froid s'il est trop chauffé (Biology Letters, en ligne le 13 juin 2013).«Les embryons naviguent à l'intérieur de l'œuf. L'expérience est tout à fait concluante», commente Xavier Bonnet, duCentre d'études biologiques du CNRS à Chizé(Deux-Sèvres). L'expérience est techniquement très simple mais il fallait avoir l'idée de la monter». Comme les embryons de serpent Chez les animaux à sang froid (les ectothermes), la thermorégulation qui conditionne la survie n'est donc pas un comportement seulement réservé aux adultes, il se pratique déjà dans l'œuf. «Les biologistes ont toujours supposé que les tout petits embryons n'ont aucun contrôle sur ce qui peut leur arriver et que les conditions qu'ils peuvent rencontrer au cours de l'incubation sont contrôlées seulement par la mère qui choisit le lieu de ponte. Mais notre étude montre que l'embryon peut intervenir directement sur les conditions de son incubation», explique au Figaro Richard Shine, de l'université de Sydney, qui a conçu les tests conduits par des chercheurs chinois de l'université de Hangzhou. L'expérience confirme les observations faites par la même équipe avec une autre espèce de tortue à carapace molle, la tryonix de Chine.«Dans beaucoup de nids, les écarts de température sont minimes»Richard Shine, université de SydneySelon Richard Shine, les embryons de serpents peuvent avoir les mêmes mouvements que les tortues à l'intérieur de l'œuf. «Aussi longtemps qu'ils peuvent bouger, ils le font», souligne le chercheur australien qui se garde de toute conclusion hâtive sur ce qui se passe sur le terrain. «Dans beaucoup de nids, les écarts de température sont minimes et les embryons n'exercent certainement pas beaucoup de contrôle sur leur propre température. Mais pour les nids enterrés peu profondément et exposés au soleil, ils ont plus d'occasions de choisir les conditions qu'ils préfèrent».Chez les reptiles, l'environnement du nid doit toujours être très bien choisi et adapté au contexte car la température détermine le sexe des individus, rappelle Xavier Bonnet. Si les femelles sont expertes dans l'art de ne donner naissance qu'à des mâles ou qu'à des femelles ou à un mélange des deux, nous voilà maintenant amenés à nous demander si les embryons peuvent eux mêmes choisir leur sexe. «Nous ne le savons pas si ça arrive réellement, reconnaît Richard Shine, mais notre étude montre que cela pourrait être possible». Décidément, les ectothermes ne font jamais rien de pareil aux endothermes, les animaux à sang chaud. Source
  14. Police de la faune sauvage: «On a saisi un alligator sans papiers dans une cave» ANIMAUX – Adjointe au directeur de la police au sein de l’Office de la faune sauvage, Marion Olagnon nous explique comment se déroulent les saisies d’animaux… Ce jeudi, les propriétaires de Zouzou ont décidé de se pourvoir en cassation car ils contestent toujours la confiscation de leur renard adoptif prononcée, mardi, par la cour d’appel de Bordeaux. «Nous avons signé les papiers ce matin, confie ainsi Ana-Paula Delanes, qui a recueilli l’animal voilà deux ans alors qu’il n’était encore qu’un renardeau abandonné après la mort de sa maman. Cela suspend la décision de confiscation. En attendant que notre pourvoi soit examiné, ils ne peuvent pas nous enlever Zouzou.»Sangliers, reptiles ou chevreuil: d’autres animaux sauvages n’ont pas eu la même chance par le passé. Adjointe du directeur de la police au sein de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), Marion Olagnon explique à 20 Minutescomment se déroulent les saisies d’animaux sauvages. Les propriétaires de Zouzou refusent de se séparer de leur renard. Cela arrive-t-il fréquemment? Tout part bien souvent d’une bonne intention. Les gens recueillent un animal sauvage alors qu’il est petit et/ou blessé mais ne se rendent pas compte des dangers pour eux et pour l’animal. Nous menons régulièrement des campagnes de sensibilisation pour expliquer aux gens qu’il ne faut pas héberger les animaux sauvages. On est souvent confrontés à la méconnaissance de ce que j’appelle les «néoruraux»… C’est-à-dire?… Dans les campagnes, on trouve souvent du bon sens paysan. Les habitants historiques ne se risquent pas à recueillir ce genre d’animaux. Mais les néo-ruraux, ceux qui ne connaissent pas la nature, se disent que c’est une bonne idée de sauver un renard ou un chevreuil. Alors qu’il ne faut surtout pas y toucher. Pour les animaux blessés, il y a effectivement un fort risque de mortalité. Mais c’est le cycle immuable de la vie sauvage. Etes-vous souvent confrontée à des particuliers qui hébergent des animaux comme le renard? Nous faisons une vingtaine de saisies d’animaux sauvages par an. Et la plupart concernent des renards, des sangliers, des chevreuils ou des écureuils. La plupart du temps, les animaux sont adoptés après une collision ou une découverte lors d’une chasse. Ces animaux peuvent vraiment être dangereux? Oui car ils peuvent être porteurs de maladies et les transmettre. Ensuite, ils restent des animaux sauvages. Je me souviens d’une intervention après un appel reçu de la gendarmerie. Ils avaient dû se déplacer dans une forêt ou une dame promenait son sanglier en laisse. Dans une forêt, ça peut paraître normal. Sauf qu’au passage d’un joggeur, le sanglier lui a attrapé le mollet… Saisissez-vous aussi des animaux plus exotiques? Cela arrive. Nous avons notamment dû intervenir après la découverte d’un alligator dans une cave car il n’avait pas papier. Les reptiles sont aussi très à la mode. On ne compte plus les serpents, iguanes… Sinon,il existe une grosse problématique autour des singes car il y a un gros trafic en provenance du Maghreb. Et puis, enfin, les tortues et les mygales marchent pas mal. Comment se déroulent les saisies chez les particuliers? Nous intervenons toujours dans le cadre d’une procédure judiciaire. Quand il y a un danger pour l’animal et/ou son propriétaire, nous pouvons confisquer l’animal et le placer dans un refuge dans l’attente du procès. Ce n’est pas toujours évident car il faut trouver les refuges et surtout organiser logistiquement le transport de l’animal.Quel a été le cas le plus difficile à saisir?Un éléphant dans un cirque. En termes de logistique, c’était énorme. Il a fallu trouver un transporteur agréé et surtout un endroit où le placer en quarantaine. Source
  15. Cassius, le plus gros crocodile du monde, a fêté son 110e anniversaire ! Cassius est le plus gros et grand crocodile du monde. Il mesure 5, 27 mètres et pèse 1 tonne. Il a fêté son 110ème anniversaire mardi 11 juin. AFPCassius, le plus gros crocodile du monde, mesure 5, 27 mètres et pèse 1 tonne. Il a fêté son 110ème anniversaire mardi. Son propriétaire, du Marine Land en Australie, lui a offert comme cadeau un énorme gâteau de 20 kilos, exclusivement composé de viande, du bœuf et du poulet essentiellement. Le crocodile s’est régalé. Son propriétaire lui s’appelle Craig, il est chasseur de crocodiles depuis 1969 et détient Cassius, qu’il dit devenir très agressif avec l’âge, depuis 1987. Cassius est officiellement le plus gros crocodile du monde depuis la mort en février dernier du crocodile des Philippines, Lolong, qui mesurait 6, 17 mètres. Source
  16. Pour que la couleuvre vipérine ne disparaisse pas de Franche-Comté La LPO Franche-Comté vient de publier une plaquette consacrée à la couleuvre vipérine afin de sensibiliser le grand public à ce reptile. Ce petit serpent peu connu en Franche-Comté est en effet à sauvegarder car il y est menacé de disparition. PUBLICITÉ En Franche-Comté, la couleuvre vipérine atteint sa limite nord-est de répartition. Elle fait l’objet d’un plan de conservation depuis 2010 tant elle est menacée de disparition en région.Réalisée par la LPO Franche-Comté avec la participation de la Réserve naturelle régionale de la Côte de Mancy, et financée par l’Union Européenne dans le cadre du Fond européen de développement régional (FEDER) et par la DREAL Franche-Comté, cette plaquette a pour but de sensibiliser le grand public à la protection de cette espèce vulnérable tout en lui fournissant les informations pratiques qui lui permettront de contribuer à sa préservation. Source
  17. La PETA recherche celui qui a massacré une tortue à coups de clubs de golf La PETA offre 5000 dollars à celui qui retrouve l’auteur des coups de clubs de golf qui ont tué cette tortue. Comme le raconte Sud Info, cette tortue se trouvait sur le parcours de golf de Delavan dans le Wisconsin. Cette femelle recherchait un endroit pour déposer ses œufs. Elle se dirigeait donc la parcelle de sable à proximité d’un bunker. Comme le montre la photo relayée par lecompte Facebook du Département des ressources naturelles du Wisconsin, la tortue a été massacrée à coups de clubs de golf. Fortes récompenses Le Département des ressources naturelles et l’association PETA recherchent donc l’auteur de ce massacre et offrent respectivement une récompense de 1000 et 5000 dollars. Les faits se sont déroulés lundi entre 7h30 et 9h30 du matin. L’animal a été retrouvé et a subi une opération, mais il a succombé à ses blessures. Appel à témoins Sur la page Facebook, les internautes ont posé des questions sur les œufs. Des membres des associations ont tenté de les localiser, mais ils n’ont pas réussi à les retrouver. Une enquête a donc été ouverte et ils souhaitent retrouver l’auteur. Un appel à témoins a même été effectué sur les réseaux sociaux. Source
  18. La pollution lumineuse, une embûche de plus pour les tortues marines Publiée dans la revue Biological Conservation, une étude internationale high-tech montre que les tortues de mer venant pondre sur les plages israéliennes sont désorientées par la lumière excessive émanant des installations humaines. Des études antérieures avaient déjà montré qu’à certains endroits, les bébés tortue de mer, sortant de l’œuf fraîchement éclos sur le rivage, pouvaient, lors de leur ‘sprint’ immédiat (et vital !) vers les vagues, être perturbés par la lumière artificielle urbaine, interférant avec l’ambiance lumineuse naturelle qui participe à leur mode d’orientation. Mais qu’en est-il pour les spécimens adultes ? Pour le savoir, une équipe internationale dirigée par la doctorante australienne Tessa Mazor a conjugué les données de deux domaines scientifiques différents. D’une part, celles recueillies (sous forme d’imagerie) par le satellite argentin Sac-C et par la Station spatiale internationale (ISS), qui ont permis aux chercheurs d’évaluer la pollution lumineuse sur certains littoraux méditerranéens en Israël. D’autre part, celles recueillies, sur les mêmes zones, par la Nature and Parks Authority d’Israël : recensement et taux de ponte des tortues caouannes (Caretta caretta) et des tortues vertes (Chelonia mydas) qui fréquentent ces lieux de nidification (normalement, les tortues marines reviennent pondre chaque année sur la plage où elles ont vu le jour, ou sur une plage très proche). Le rapprochement de ces éléments révèle ainsi que ces tortues cherchent à éviter de pondre sur les plages trop impactées par la pollution lumineuse, changeant s’il le faut de site de ponte. Car la lumière excessive non seulement désoriente les nouveaux-nés, mais risque d’attirer sur eux leurs prédateurs. Ces résultats permettront de définir des aires de protection en adéquation avec cette réalité biologique, conclut les auteurs. Source
  19. Une tortue originaire d’Amérique du Nord a été observée non loin du bourg. Une tortue serpentine a été observée route de l’Arnaoust, à proximité de la station d’épuration, près du bourg, le 26 mai dernier. La taille de l’individu observé est de l’ordre de 40 cm de long et son poids est estimé à 10 kg.Aime les fonds vaseuxCette tortue invasive s’adapte parfaitement au milieu lacustre girondin et affectionne les plans d’eau profonds où elle passe son temps dans les fonds vaseux et de préférence à végétation dense.Selon le guide « Amphibiens et reptiles d’Aquitaine », « la tortue serpentine est originaire d’Amérique du Nord. Par le passé, elle était commercialisée au même titre que la trachémyde écrite. Il était de ce fait facile de se procurer de petits individus dans les animaleries ».Cette espèce est aujourd’hui interdite à la vente, car considérée comme dangereuse. Cet animal, reconnu comme agressif, peut atteindre une taille impressionnante.D’après les informations recueillies dans le guide « rien ne permet de savoir si la reproduction est effective ou même possible en Aquitaine », mais il convient toutefois de rester vigilant, puisque deux individus viennent d’être découverts coup sur coup dans un marais du nord de la Gironde et d’autres individus pourraient être présents sur le site.Réactions agressivesIl est recommandé de ne pas la toucher ou d’essayer de l’attraper, car cette espèce peut avoir des réactions agressives. Cette tortue ne peut être confondue avec une autre espèce. Son bec en forme de crochet, sa queue ornée d’écailles pointues et sa carapace lui donnent un physique remarquable. Elle atteindrait 60 kg dans son aire de répartition d’origine. La manipulation de ces individus requiert donc une extrême vigilance.En cas d’observation, il convient de prévenir l’Office national de la chasse et de la faune sauvage, ONCFS, au 05 56 59 94 98 ou la police municipale de Carcans au 06 08 70 90 09. Source
  20. La salamandre régénère les parties endommagées de son corps. Et vous ? La salamandre est capable de régénérer ses organes et tissus. Une capacité que les scientifiques comptent bien reproduire chez l’homme…Lorsqu’une salamandre est amputée ou que l’un de ses organes est endommagé, il lui est possible de les régénérer. Une capacité propre à l’amphibien qui intéresse de plus en plus les biologistes de l’Institut australien de Médecine Régénérative de Monash. Ces derniers sont parvenus à démontrer quel rôle déterminant jouent les macrophages, cellules immunitaires des amphibiens. Ces cellules sont également présentes chez les mammifères et permettraient la régénération des tissus.Par contre, cette si précieuse cellule reste inactive pour la grande majorité des vertébrés… Lors d’une étude, les chercheurs ont constaté qu’en éliminant les cellules macrophages de l’organisme d’un axolot, les membres de celui-ci ne repoussaient plus et se contentaient de cicatriser.Cette cellule offre beaucoup d’espoir aux biologistes qui espèrent trouver un moyen de rendre ces cellules actives chez l’Homme. Source
  21. Un chat sauvé d'un boa constricteur - Video insolite
  22. Des toiles d'araignées à l'usine: des fibres bio-inspirées C'est en étudiant les toiles d'araignée que la compagnie japonaise Spiber a réussi à développer une nouvelle technique de production de soie d'araignée. Cette nouvelle technique utilisant des micro-organismes est en effet très intéressante en raison de l'impossibilité démontrée de domestiquer les araignées comme peuvent l'être les vers à soie.Cette nouvelle technique repose sur une modification des gênes codant pour l'expression de la protéine fibroïne et permet de produire un matériau bio-sourcé appelé "Qmonos". Une fois le designdes nouvelles séquences réalisé, leur expression a pu être effectuée grâce à des micro-organismes qui permettent une production satisfaisante. La mise en place d'une boucle de retour d'information a permis d'améliorer progressivement le procédé de production par le développement de plusieurs générations successives de gènes (6 au total).Cependant, le "Qmonos" pose un problème de sécurité important en raison de sa faible solubilité, ce qui impose le recours à des solvants organiques (Hexafluoroisopropanol et hexafluoroacétone) à la fois nocifs pour l'environnement et pour l'homme. Afin de pallier ce problème, la compagnie a développé un procédé incorporant un solvant organique d'une nocivité moindre. "Qmonos" pourra, comme l'a annoncé Spiber, se décliner en une gamme de produits, des fibres aux gels et aux poudres.Spiber a annoncé vouloir produire "Qmonos Fiber" en quantité industrielle via une alliance avec le Kojima Industries, un sous-traitant de l'industrie automobile en formant une joint-venture. Cette dernière prendra en charge la construction d'une usine permettant la production de 100kg de "Qmonos Fiber" par mois dans le courant de l'année 2013. Cette usine sera le premier pas vers la construction d'une seconde usine à l'horizon 2015. D'une capacité de production supérieure, elle pourra fournir 10t de "Qmonos Fiber" par an. Source
  23. Vif succès des animaux exotiques Les amateurs de créatures de toutes sortes en ont pour leur argent ce week-end à l’aréna de l’Université du Québec à Chicoutimi, alors que de nombreux exposants sont réunis pour la deuxième édition du Salon des animaux exotiques.Cette deuxième édition du Salon est un franc succès. Plus de 10 000 personnes ont franchi les tourniquets. Les deux premières journées laissent présager le meilleur pour le promoteur de l’événement, Johnny Doré.«Hier après-midi, il y avait tellement de monde, on se pilait sur les pieds et c’était difficile de circuler. C’est très encourageant, parce que les gens viennent même s’il fait très beau à l’extérieur», mentionne-t-il.De nombreuses espèces de reptiles, d’oiseaux, de chiens et même un lémurien et un dromadaire font le plaisir des visiteurs.«C’était important d’avoir une belle diversité pour que ce ne soit pas pareil comme l’année passée. Je veux que ça sorte de l’ordinaire», confie M. Doré.Amoureuse des reptiles, Émilie Gaudry est très heureuse de pouvoir présenter un petit échantillon de son zoo, le Repti-Zone. «J’en fais le plus possible. Les reptiles sont une passion pour moi depuis que j’ai huit ans. J’aime vraiment montrer aux gens ce que je fais et en même temps, ça me donne de la visibilité», soutient la jeune femme.Le promoteur du Salon traite d’ailleurs tous les exposants comme des invités d’honneur. «Aucun exposant ne débourse un montant pour avoir un kiosque et je défraie même l’hébergement pour ceux qui viennent de l’extérieur. C’est quelque chose qui ne se fait pas ailleurs», affirme Johnny Doré.Fresque de 1000 espècesM. Doré a lui-même créé la plus grosse fresque d’animaux exotiques du monde. «C’est une des attractions les plus populaires jusqu’à maintenant. C’est la plus grosse de la planète qui présente une symétrie parfaite qui comprend plus de 1000 espèces différentes, dont des pièces très prisées des collectionneurs», souligne-t-il.Celui qui s’intéresse aux animaux, aux insectes et créatures de différentes espèces depuis plus de 25 ans assure que le Salon reviendra l’année prochaine et il ne ferme pas la porte à l’idée d’organiser un événement encore plus impressionnant dans la ville de Québec. Source
  24. Mimétisme : un papillon de nuit ‘déguisé’ en araignée Plusieurs sites Internet publient ces jours-ci des photos d’une espèce thaïlandaise de papillon de nuit décrite pour la première fois en 2005 et dont les ailes sont ornées d’un motif rappelant la forme d’une araignée - ce qui est sûrement très dissuasif pour les prédateurs de l’insecte. Fragile et… arachnéen (c’est le mot !) : tel est Siamusotima aranea, un papillon de nuit originaire de Thaïlande, découvert en 2005 et décrit dans les annales de la Société entomologique américaine. Les ailes de ce minuscule papillon arborent en effet, lorsqu’elles sont déployées, un motif évoquant une araignée aux huit pattes étendues. Différent du camouflage (qui consiste à se confondre sur le milieu ambiant) et du mimétisme cryptique (qui consiste à ‘brouiller’ la vue des ennemis par des combinaisons de couleurs), cette forme de mimétisme permet à ce papillon de dissuader ses prédateurs - les (vraies) araignées, notamment - de l’attaquer. Mais ce motif évoquant une araignée pourrait aussi surprendre l’adversaire, laissant au papillon le temps de s’échapper. Se nourrissant de fougères, Siamusotima aranea possède d’autres caractéristiques étonnantes. Sa chenille ressemble à la larve d’un coléoptère, et l’adulte possède à l’arrière du corps des segments blindés semblables à ceux de ces insectes - un trait unique chez les papillons de nuit. Source
  25. Le couple de Longueuil qui accueille 147 animaux dans son 4 1/2 risque d’être obligé de se débarrasser de la majorité de ses petites bêtes. Des plaintes de citoyens auraient mené la police de la Ville de Longueuil à ouvrir une enquête.«Quand la police est arrivée à l’animalerie pour questionner mon conjoint et moi sur nos animaux, ça a été angoissant. De plus, lorsqu’ils nous ont dit que nous devions nous défaire de nos animaux, mes jambes ont cédé. Pour moi, c’est comme enlever à une mère ses enfants», dit avec émoi Mélanie Desfosses.Comme nous le rapportions dans le Journal, elle et son conjoint Ian Paquette ont créé un véritable refuge dans leur appartement.M. Paquette raconte que la police de la Ville de Longueuil est arrivée à l’improviste sur leur lieu de travail. On les aurait alors informés que les gens n’ont droit qu’à deux animaux par foyer.«Les policiers nous ont dit que les plaintes sont arrivées à la suite de la parution de l’article dans le Journal. Après la visite d’un inspecteur, on nous donnait un mois pour vider l’appartement», explique Mme Desfosses.Le couple soutient que si le chiffre de 147 animaux paraît élevé, il comprend dans les faits une centaine de poissons.«Dans le règlement municipal, les poissons ne sont pas pris en compte. Pour mon chien et mes trois chats, je suis en règle, car le règlement stipule le droit à deux chiens et trois chats par habitat. Pour les autres que je sauve, on pourrait avoir le bon sens de me les laisser», déplore Mme Desfosses.Le couple confie avec tristesse qu’abandonner ses animaux équivaut à en condamner une bonne partie à l’euthanasie.Des voisins témoignentPourtant, les voisins immédiats du couple ne se plaignent pas de la présence de la ménagerie.«Je ne sens et je n’entends rien. C’est tranquille malgré la présence des animaux. Je n’ai rien à dire», confirme Caroline Desautels.Sylvain Lefèbvre, son conjoint, trouve que rescaper les animaux est une action louable. Il lève son chapeau au couple qui consacre temps et argent à sauver des petites bêtes abandonnées.«Je ne sais pas qui se plaint, mais ceux qui se plaignent sont des gens qui n’ont rien à faire. C’est chialer sans savoir», exprime M. Lefèbvre.Aucune loiIl y a un grand manque de protection pour les animaux exotiques. La loi provinciale T42 qui protège tous les animaux, exclut les animaux exotiques et leur commerce. Il y a beaucoup de lacunes pour protéger les reptiles», explique Alanna Devine, directrice de la défense des animaux à la SPCA.Selon Mme Devine, le problème n’est pas dans la quantité d’animaux par habitat, mais plutôt la qualité des soins prodigués à ces animaux.«La SPCA est contre le fait de limiter le nombre d’animaux sauf s’il y a nuisance, négligence ou violence faite aux animaux», conclut Mme Devine.La police de Longueuil n'a pas répondu à nos nombreuses demandes de renseignements sur d'éventuelles poursuites dans ce dossier.► Il est obligatoire d’obtenir une licence de la Ville de Longueuil pour la garde d’un chien.► La Ville de Longueuil interdit la possession de plus de 5 animaux de compagnie dans une propriété.► La Ville de Longueuil stipule le droit à deux chiens et trois chats par habitat.► La Ville de Longueuil ne comptabilise pas les poissons.► La Ville de Longueuil interdit la possession d’un animal exotique en territoire québécois tels qu’un tigre, un léopard, un lion, une panthère ou un crocodile.► 500 000 animaux sont abandonnés chaque année au Québec. Source
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