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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Le terrarium étant chauffé va s'occuper de chauffer naturellement son bassin d'eau
  2. Voici mon préféré parmi tous au niveau de la coloration. Je le trouve sublime. Les photos datent de son arrivé et il était en mue. D'autres photos suivront sous peu. L'une des bêtes les plus belles à mes yeux.
  3. Dans la transaction de mes nouveaux Lampro, on m'a suggéré ce petit serpent que je ne tenais pas trop pour être honnête. J'ai même failli le refuser, la seule raison, c'est un croisement. Pourtant, maintenant qu'il est ici, je suis totalement sous le charme au point que c'est mon préféré. On ne peut espérer mieux comme comportement d'un serpent. Je pourrais le laisser dans les mains d'environ n'importe qui sans même être inquiet. Voici le petit ange.
  4. Pour ceux qui ont vu le poste sur la femelle, voici maintenant le mâle qui est beaucoup plus joli que la femelle et avec un caractère plus calme.
  5. Voici une bête qui ne le sait pas qu'elle est petite. On se croit tout permis et croit qu'on fait peur à tous. Je l'aime bien avec son petit caractère. J'avais un bol d'eau un peu particulier que ce serpent aime bien puisqu'il réussit à aller se coucher en dessous et même y entrer à l'intérieur pour plus de tranquillité.
  6. En 2009, R. Alexander Pyron et Frank T. Burbrink ont étudié les Lampropeltis et retapé un peu la nomenclature. Ils se sont attardé aux Lampropeltis getulus. Depuis The Reptile Database ne reconnait plus aucune sous-espèce de Lampropeltis getula. Les sous-espèces suivantes ont été élevées au rang d'espèce entière : Lampropeltis getula californiae sous Lampropeltis californiae Blainville 1835 Lampropeltis getula holbrooki sous Lampropeltis holbrooki Stejneger, 1902 Lampropeltis getula niger sous Lampropeltis nigra (Yarrow, 1882) Lampropeltis getula splendida sous Lampropeltis splendida (Baird & Girard, 1853) Ces mêmes auteurs considèrent que les sous-espèces suivantes sont simplement des synonymes : de Lampropeltis getula pour : Lampropeltis getula floridana Lampropeltis getula meansi Lampropeltis getula goini Lampropeltis getula sticticeps et de Lampropeltis californiae pour : Lampropeltis getula nigrita Donc selon cette étude, le serpent-roi noir est en fait un serpent-roi de Californie. Ils ont aussi étudié les faux corails. C'est alors que les Lampropeltis triangulum perdent une sous-espèce. La sous-espèce Lampropeltis triangulum elapsoides a été élevée au rang d'espèce. Ce qui résulte que les espèces de Lampropeltis sont maintenant : Lampropeltis alterna (Brown, 1901) Lampropeltis californiae (Blainville, 1835) Lampropeltis calligaster (Harlan, 1827) Lampropeltis elapsoides (Holbrook, 1838) Lampropeltis extenuata (Brown, 1890) Lampropeltis getula (Linnaeus, 1766) Lampropeltis holbrooki Stejneger, 1902 Lampropeltis knoblochi (Taylor, 1940) Lampropeltis mexicana (Garman, 1884) Lampropeltis nigra (Yarrow, 1882) Lampropeltis pyromelana (Cope, 1866) Lampropeltis ruthveni Blanchard, 1920 Lampropeltis splendida (Baird & Girard, 1853) Lampropeltis triangulum (Lacépède, 1789) Lampropeltis webbi Bryson, Dixon & Lazcano, 2005 Lampropeltis zonata (Lockington, 1835)
  7. Pour ceux qui se disent, il a fait une erreur au niveau du nom, je peux vous annoncer que vous avez tort, En 2009, nous avions eu d'autres gens qui avaient à combler donc ce sont amusé dans la nomenclature des Lampropeltis. Pyron et Burbrink ont alors nommé les Lampropeltis getulus californiae à titre d'espèce à part entière, Lampropeltis californiae. Tout ça est pour vous présenter une petite bête nerveuse. Elle ne mord pas, mais musk à chaque manipulation, ce qui rend la chose désagréable. Depuis son arrivé, ce serpent a facilement doublé. C'est une vraie poubelle qui mangent sans même se questionner si c'est correct et que ça rentre encore.
  8. Eh oui, je suis revenu à mes anciens amours. Espèces et mutation génétique dont j'avais fais des pieds et des mains pour acquérir il y a quelques années. J'avais dut m'en départir pour des raisons très personnelles à l'époque. Quand les choses étaient rentré dans l'ordre, j'avais recontacté la personne qui m'a annoncé les avoir revendu très rapidement après me les avoir acheté. Cette fois ci, ils me sont tombé du ciel. Un beau petit couple avec un mâle qui a un caractère adorable et une femelle qui est très nerveuse. Cette dernière est même un peu moins coloré que son partenaire de sexe masculin. Je l'aime tout de même et elle deviendra aussi sympathique que son homologue avec le temps, j'en suis certain.
  9. Voici une bête pratiquement plus commune en mutation génétique albinos que sous sa forme régulière quand on parle d'animal maintenu en captivité. Il reste tout de même que la bête a un charme que j'aime bien mais de là vient la question, existe-t-elle sous forme régulière en captivité au Québec?
  10. Il y a longtemps que je ne me suis pas gâté réellement pour les espèces que je voulais vraiment plutôt que de recueillir un autre rescue. Je me suis lâché lousse dernièrement. Voici l'une des bêtes que j'ai acquise dernièrement. Ceux qui me connaissent savent qu'à la base, je suis réellement plus un gars de serpent et que j'ai un très gros faible pour tout ce qui est du genre Lampropeltis. Voyez comment j'ai du goût
  11. Elle trouve un serpent dans sa voiture à Nice Une jeune femme a eu la mauvaise surprise de retrouver un serpent dans sa voiture, mardi après-midi, rue Papon, à Nice. L'animal - une couleuvre d'Esculape qui mord mais n'est pas venimeux - s'était glissé sous son capot pendant qu'elle faisait ses courses. Les pompiers ont passé quatre heures à extraire le reptile du véhicule. Source
  12. Un alligator arrêté à mains nues par un agent de police Des riverains d'un quartier résidentiel à Lutz, en Floride (Etats-Unis), ont appelé en renfort deux agents de police pour un alligator qui errait dans la rue. L'un d'entre eux va prendre son courage à deux mains et va arrêter l'animal à mains nues. Il n'y est pas allé de main morte avec le petit alligator heureusement qu'il ne faisait pas la taille de se mangeur de pastèque ! via Videobuzzy.com Source
  13. Balma. Une expo pour préserver les tortues L'an dernier, de nombreux enfants ont découvert les tortues présentées pendant l'exposition. Ici avec Agnès Barthe, membre de l'Acb./Photo DDM, E. V. Demain, l'Association chéloniophile balmanaise (Acb) présente son exposition annuelle salle Marie-Laurencin. Baptisée «La Tortue en danger», cette manifestation a pour objet de mettre l'accent sur la disparition des tortues dans de nombreux pays, dont la France. Pollutions, trafics, coutumes, incendies, voire même tourisme, sont quelques-unes des causes de l'extinction progressive des multiples espèces de tortues. Il arrive aussi que ces animaux placides et leurs propriétaires soient victimes de trafiquants sans scrupule ou de commerçants ignorants. «Les tortues sont parfois vendues comme des adultes quand elles mesurent une vingtaine de centimètres, alors qu'elles ne sont en fait âgées que de quelques mois. Devenues vraiment adultes, elles peuvent peser jusqu'à 100 kg», précise en 2012 Gaël Frazier, président de l'Acb. Cette exposition met en lumière le travail de l'association qui œuvre toute l'année pour la préservation et la protection des tortues. Demain samedi, l'Acb présentera plusieurs tortues aquatiques et terrestres. Les propriétaires de tortues pourront obtenir conseils en alimentation et entretien. L'Acb précise qu'aucune tortue ne sera vendue. «Expo tortues», samedi de 9 heures à 12 h 30 et de 14 à 19 heures, salle audio de l'école Marie-Laurencin à Balma. Source
  14. Alpes de Haute-Provence : vaste opération pour retrouver une tortue Alpes de Haute-Provence - Une campagne de piégeage inventaire a débuté ce mercredi sur le lac de l’Escale. Cette opération a pour objectif de retrouver la trace de la cistude, une espèce de tortue autrefois très répandue, mais aujourd’hui menacée. Elle rentre dans le cadre du programme d’action national en faveur de la cistude menée par le ministère de l’Ecologie. Cette campagne doit permettre de voir si l’espèce existe encore et si elle se reproduit le long du bassin de la Durance. « La cistude est une tortue indigène en France. Une petite tortue aquatique qui vit dans des étangs et des marécages. Plusieurs foyers de population existent un peu partout en France, notamment, en Isère ou en Camargue. Il y a aussi une belle population en Corse. D’autres foyers isolés existent aussi. Le long de la Durance, il y a des populations qui étaient connues autrefois. Le but de notre opération est de voir si la cistude y est encore présente et où exactement ». A noter que l’opération doit se dérouler jusqu’à dimanche. Vendredi soir à 18h30, au cinématographe de Château-Arnoux, une projection autour de la Cistude est proposée dans le cadre des soirées Objectif nature en Haute-Provence. Source
  15. Gauré. La couleuvre inquiétait les promeneurs… Dans nos campagnes, les rondes de gendarmerie sont parfois l'occasion d'interventions inédites. Ainsi, dimanche matin, l'attention des militaires de la brigade de Lanta s'est portée sur la silhouette d'un serpent qui s'étalait immobile sur toute sa longueur au milieu de la D77. La voie n'étant pas très large, cette découverte était susceptible d'inquiéter cyclistes ou promeneurs qui sont nombreux à emprunter ce parcours sous le soleil dominical. Il s'agissait en fait d'une couleuvre de près d'un mètre cinquante. L'animal a vraisemblablement succombé au passage d'un véhicule qui l'aurait écrasé. Source
  16. Le fugitif se jette dans la gueule du crocodile Jeudi, un homme, qui a tenté de fuir la police, a couru tout droit dans les mâchoires d'un reptile, selon les autorités de l'état de Floride. Un jeune homme de 20 ans aurait mieux fait de se rendre à la police au lieu de fuir et de se faire attaquer par un crocodile, selon le mirror.uk. Bryan Zuniga a été stoppé par la police après que des agents ont repéré sa voiture qui zigzaguait tôt jeudi matin. Mais ce dernier a sauté par la portière passager et a couru à travers champs. Il a ensuite escaladé une clôture et s'est échappé. Mais quelques heures plus tard, il a été retrouvé dans un hôpital local où il était traité pour de multiples blessures par morsure. Zuniga a raconté aux agents qu'il avait été attaqué par un alligator près d'une usine de traitement d'eau. Il a subi des blessures au visage, au bras et aux aisselles. Il a été inculpé de délit de fuite, conduite sans permis et résistance à un agent sans violence. Source
  17. Un serpent dans le supermarché Les clients d'un supermarché de la Ville-aux-Dames sont tombés nez à nez avec un serpent vendredi dernier. Heureusement, le serpent était inoffensif Une grosse frayeur vendredi pour les clients du Leclerc de la Ville aux Dames. Un serpent a été découvert dans les rayons de l'hypermarché. Les pompiers ont du intervenir pour le maitriser. Mais plus de peur que de mal, la bête était finalement inoffensive. Source
  18. La salamandre aux mœurs crépusculaires et nocturnes cohabite si bien avec l’homme A Pérignat-ès-Allier, la famille Brémond collabore avec Laurent Longchambon. Une à une, les salamandres sont comparées aux précédents clichés grâce aux tâches de leur livrée (). - Photos S. Grand et P Ribeyre Pline l’Ancien pensait la salamandre capable d’éteindre le feu ! Créature étonnante que les légendes ont aussi rattachée à l’alchimie, cet amphibien est avant tout un animal proche de l’homme et très présent dans le département. Salamandra salamandra terrestris… Même son nom ressemble à une formule magique. La salamandre terrestre d'Auvergne a prêté sa livrée aux mythes, comme d'autres leurs pelages aux canons de la haute couture. Mais elle, au moins, elle n'a pas encore reculé sous la pression humaine jusqu'à intégrer la liste des animaux en voie de disparition. À l'exception de la grande Limagne, elle reste installée presque partout dans le département. Et elle est réputée survivre jusqu'à 1.500 mètres. Offrez-lui un point d'eau (mare, rigole ou puits) pas trop loin d'une friche ou d'un vieil appentis, et vous risquez de la retrouver pendant vingt ans… Enfin, sans certitude sur l'espérance de vie des salamandres. Mais on en saura sans doute bientôt plus : depuis septembre 2011, l'Observatoire des amphibiens d'Auvergne suit l'espèce dans le cadre d'un état des lieux financé par la Région, l'État et l'Europe. Science participative À Saint-Maurice-es-Allier, toute une famille s'est prise au jeu depuis que le papa a découvert une colonie dans un vieux puits. « On dit à nos amis qu'on a des dragons dans notre jardin », expliquent Noé, 11 ans, Robin, 9 ans, et Coline 5 ans. Ce jour-là, il y a comptage. Au fur et à mesure que les bestioles sont sorties par Laurent Longchambon, écologue chargé de mission à l'observatoire, les enfants comparent leur livrée avec celles des individus photographiés en 2011, puis début 2013. « Celle-là, elle est nouvelle, on ne l'avait pas encore vue ! » Chaque livrée est unique, ce qui permet à l'observatoire de suivre chaque salamandre. « Le travail que l'on fait ici nous sert à estimer la fluctuation des espèces dans différents milieux, d'avoir des statistiques sur la longévité, sur les phases de croissance… », explique Laurent Longchambon. Ailleurs, l'observatoire veille à l'état de colonies bien intégrées dans le tissu urbain. Ainsi, à Corent, dans le cadre d'un chantier d'insertion, la communauté de commune Gergovie Val d'Allier a rénové un ancien lavoir en conservant ses vieilles pierres et son gros mortier. Un travail qui a permis aux salamandres de continuer à utiliser l'ouvrage pour leur reproduction. Rénovations et colonies Dans les algues de la partie basse, toute une nouvelle génération tortille des pattes et de la queue. Maladroites dans cette phase aquatique, les larves promènent entre deux eaux leur tête de dessin animé japonais. « Nous essayons de valoriser ces restaurations-là, qui ne sont pas déconnectées du vivant. Ici, dans un environnement plutôt sec, un lavoir permet de perpétuer une colonie ». À l'inverse, il suffirait que l'on coupe l'eau dans un vieil abreuvoir de coteau sec - où que l'on rase un mur en bord de rivière - pour qu'elle disparaisse. Les deux milieux indispensables à ses cycles aquatique et terrestre ne doivent pas être déconnectés. Formule magique Laurent Longchambon plaide donc pour la rénovation raisonnée de tout le petit patrimoine bâti dont la salamandre sait faire bon usage. Cet animal aux m'urs crépusculaires peut même hiverner pendant des années à l'abri d'une vieille maçonnerie ou d'une réserve de bois. C'est d'ailleurs ainsi qu'est née la croyance populaire voulant que les salamandres vivent dans les flammes : à la Saint-Jean, on sortait les fagots que l'on jetait directement dans le feu ; réveillées en plein hivernage, et parvenant à s'extraire du bûcher grâce au mucus protecteur qui recouvre leur peau, les salamandres apparaissaient à la lueur du brasier. Salamandra salamandra terrestris ! Presque par magie… Dimanche prochain. Les mouflons. Anne Bourges anne.bourges@centrefrance.com Source
  19. Peau contre peau « On est nombreux à avoir créé un groupe sur facebook pour protéger ces reptiles. » Passionnée de serpents, la Châlonnaise Ingrid Leplay possède elle-même trois reptiles à son domicile. « Un boa constructor d'un mètre, il n'a qu'un an. Un thammophis de 40 cm, c'est un serpent qui mange les poissons et une couleuvre de 4 ans, un élaphe d'1,40 m. » D'après elle, aucun n'est dangereux, même s'il faut toujours faire attention avec les espèces domestiques, y compris celles ées en captivité comme c'est le cas ici. « Il faut les manipuler régulièrement pour qu'ils restent habitués à l'homme. » F.N.-H. Source
  20. Du crocodile à vendre dans les supermarchés de Guangzhou Des morceaux de crocodile servis dans un supermarché de Guangzhou. Photos prises le 5 mai. A titre d'information, les pattes et la queue du crocodile sont vendues 115 yuans le demi kilo, la chair est vendue 82 yuans le demi kilo, et le crâne 35 yuans le demi kilo. En fait, il semblerait que toutes les parties du crocodile soient très nutritives pour l'homme. Par exemple, la chair, les os, la peau et les organes internes seraient riches en protéines de qualité, en aminoacide, en acide aliphatique, en vitamines et en divers oligo-éléments. En Thaïlande, grand pays éleveur de crocodile, la population considère cette viande comme un aliment précieux. Source
  21. Quand un Gecko s’invite dans la cuisine d’une Pujaulaine… Ce petit filou aura bien fait des frayeurs… En début d’après-midi, les sapeurs-pompiers de Fournès sont alertés pour une intervention des plus atypiques : une habitante de Pujaut, a vu ses poils se hérisser, lorsqu’elle tomba nez à nez avec ce qu’elle pensait être un iguane tranquillement installé dans sa cuisine. La bestiole, d’une longueur de 40 cm, est un adulte très costaud, vif, et résistant. D’ailleurs, il n’a visiblement pas apprécié la visite des hommes en uniforme, venus le capturer. Après tout, le courant ne peut pas passer avec tout le monde ! Après avoir envoyé des photographies au zoo de Montpellier, les sapeurs-pompiers ont eu la confirmation qu’il s’agissait bien d’un Gecko, de la famille des lézards, et non d’une espèce exotique originaire d’Amérique du Sud. Après un passage chez le vétérinaire des Angles, il a été immédiatement relâché dans la nature. A bon entendeur… Source
  22. L’Hermitage. Des sapeurs-pompiers interviennent pour un serpent près d’une école Que s’est-il passé, ce mardi en début d’après-midi, devant l’école Saint-Joseph rue de la Poste à l’Hermitage, petite commune à une dizaine de kilomètres de Rennes ? Des parents ont pu s’alarmer en voyant, vers 14 h 40, trois véhicules de sapeurs-pompiers stationner près l’établissement. En fait, plus de peur que de mal. La directrice de l’établissement, ayant aperçu un reptile devant son école, apparemment un serpent, a préféré prévenir les pompiers qui ont dépêché sur place les grands moyens : les pompiers de l’Hermitage, l’équipe animalière des pompiers de Rennes, le vétérinaire des sapeurs pompiers de Montfort… À cette heure-ci, les pompiers sont toujours à la recherche du fameux reptile qui pourrait être une couleuvre ! Source
  23. Surprise : le dragon de Komodo est venimeux ! Le plus grand lézard du monde, alias Dragon de Komodo, n'est pas seulement terrifiant. Contrairement à ce que l'on croyait, sa morsure est venimeuse et le poison injecté à la victime, proche des venins de serpents, est très efficace. Habitant l'archipel indonésien, le grand varan Varanus komodoensis, dit Dragon de Komodo, du nom d'une des îles indonésiennes qu'il occupe, s'est installé au sommet de la chaîne alimentaire de son écosystème insulaire. Avec ses 2 à 3 mètres de longueur et son régime carnivore, il se nourrit de charognes mais aussi de multiples animaux, mammifères compris, puisque, sur son île, tous sont plus petits que lui. Pour chasser, le Dragon de Komodo poursuit sa victime et lui inflige plusieurs morsures avant de la laisser filer. Le lézard géant attend alors qu'elle agonise. Pour expliquer cette efficacité, une double hypothèse avait été formulée. La puissance des morsures inflige des blessures quasiment mortelles et, de plus, la salive est rendue toxique par la présence de bactéries. Les zoologistes appuyaient cette explication sur le fait que la gencive remonte très haut sur les dents, les enrobant d'un tissu qui se déchire facilement. Le milieu salivaire serait ainsi propice à la multiplication bactérienne. Malgré sa popularité, cet animal, découvert seulement en 1910, n'avait semble-t-il pas été étudié d'assez près... Une équipe australienne l'a fait. Menée par Bryan Fry, passionné d'animaux venimeux, du Venomics Research Laboratory de l'université de Melbourne, elle réunit des spécialistes des venins animaux, une discipline prise au sérieux en Australie, où les travaux sont coordonnés par l'AVRU (Australian Venom Research Unit). Varanus komodoensis, alias Dragon de Komodo, atteint trois mètres de longueur. Personne ne s'était encore aperçu que sa morsure était dangereuse. Chris Kegelman Le premier travail de ces zoologistes a été de simuler la morsure du Dragon de Komodo. L'informatique peut en effet aujourd'hui déterminer la force d'une mâchoire à partir de la forme des os et la taille des muscles. Dans le cas de V. komodoensis, le verdict est sans appel d'après les auteurs de l'étude, publiée dans les Pnas. Ce varan est incapable de produire les puissantes morsures qu'on lui prête actuellement. Leur force est par exemple bien inférieure à celle d'un crocodile. En revanche, la mâchoire semble plus efficace pour résister à une traction vers l'arrière (pour arracher un morceau de chair à un animal vivant ou déjà mort). Un poison qui a fait ses preuves depuis longtemps... Les zoologistes ont ensuite inspecté par RMN (résonance magnétique nucléaire, une technique utilisée en imagerie médicale) le crâne d'un animal vivant en captivité et ont découvert ce que l'on n'attendait pas : des glandes à six compartiments semblant capables de produire des protéines et bonnes candidates pour une production de venin. L'animal qui, expliquent les chercheurs, était malade et en fin de vie, a été sacrifié et la sécrétion de ces glandes a pu être analysée au spectromètre de masse. Il s'agit bien d'un venin, similaire à celui de nombreux serpents mais aussi à celui du Monstre de Gila (Heloderma suspectum), une des deux seules espèces de lézards venimeux. Ses glandes venimeuses sont installées dans la mâchoire inférieure (et non dans la supérieure comme chez les serpents). Cette décoction, capable de tuer un animal de la taille d'un chien, comprend un cocktail de toxines dont l'une provoque chez la proie une brutale chute de pression artérielle. Cette propriété a été retrouvée par l'équipe australienne qui a étudié le venin du Dragon de Komodo. Enfin, dernier travail, les zoologistes ont comparé ce grand varan avec Varanus prisca (anciennement appelé Megalania prisca), un lézard fossile géant qui pouvait atteindre huit mètres. Cet animal impressionnant vivait en Australie au Pleistocène il y a 40.000 ans, c'est-à-dire il y a peu de temps. Sa proximité avec le Dragon de Komodo, récemment montrée (d'où le changement de nom du genre pour en faire un Varanus) et des études précédentes des auteurs montrant la parenté des venins de lézards et de serpents amènent ces chercheurs à conclure que ce géant disparu était lui aussi venimeux. Il ne reste plus qu'à imaginer ce varan géant à la blessure sans doute mortelle hantant l'Australie à l'époque où des êtres humains venaient d'y débarquer il y a environ 50.000 ans... Source
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