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Max|mum-leterrarium

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  1. NIEVRE : La tortue boueuse en animation Les primaires de Lucenay-lès-Aix vont bientôt chausser leurs bottes. Une cinquantaine d’élèves de CE2, CM1 et CM2, de l’école primaire de Lucenay-lès-Aix, enfileront leurs bottes à cœur joie ce jeudi 16 mai 2013. Ces naturalistes en herbe entendront parler, dans ses moindres détails, de la vie secrète de la Cistude d’Europe ; une discrète voisine et habitante de la commune. Sachez qu’Emys orbicularis est extrêmement rare dans la région et que la commune de Lucenay-lès-Aix héberge, dans un de ses étangs, la plus grande population en Bourgogne de cette petite tortue aquatique ! Cette espèce fait d’ailleurs l’objet d’un Programme Régional d’Action animé par la Société d’histoire naturelle d’Autun. Joël Alexandre, agriculteur et membre du conseil municipal de cette commune nivernaise, est depuis longtemps sensibilisé à la préservation de cette petite tortue d’eau douce. À tel point, qu’il a souhaité organiser une animation auprès des élèves de l’école primaire avec le concours de Damien Lerat, chargé d’études de la faune sauvage à la Société d’histoire naturelle d’Autun. Marie-Christine Brunot, directrice de l’école, a répondu favorablement à cette proposition. Ainsi, toute la journée du 16 mai sera consacrée à l’étude et l’observation de la Cistude d’Europe. « Cette journée a pour objectif de faire découvrir aux enfants la présence de cette petite tortue vivant à proximité de chez eux, de leur faire prendre conscience des menaces qui pèsent sur elle et des actions que l’on peut mener pour la préserver », explique Damien Lerat. La matinée sera réservée à la présentation de l’espèce en salle au travers d’outils pédagogiques, de photographies, d’un jeu - Miss Emys - créé par la Réserve Nationale Naturelle de l’Etang Noir en Aquitaine composé d’un puzzle, de questions ludiques, etc. « L’après-midi, quant à lui, permettra aux enfants d’observer avec un peu de chance la tortue « en vrai » et de les mettre en situation dans la peau de scientifiques qui réalisent un suivi de l’espèce », ajoute le chargé d’études. Pour ce faire, les élèves s’initieront à la capture d’une tortue en plastique, rempliront une fiche de terrain, prendront des photographies, effectueront des mesures, ... à la manière de véritables naturalistes ! Que ce soit à Lucenay-lès-Aix ou partout ailleurs dans la Nièvre et la Saône-et-Loire, portez un regard attentif à ces petites tortues n’excédant pas 20 cm de long ; il est bien probable que quelques individus aient élu domicile dans un étang à proximité de chez vous. Faites-nous parvenir vos observations en ligne sur E-Observations (www.bourgogne-nature.fr). Vos données participeront ainsi à protéger l’espèce et enrichiront l’inventaire régional de la nature. Renseignements au : 03 86 78 79 72. Ou à l'adresse : shna-autun@orange.fr. Source
  2. CAP d'AGDE - Une tortue remise en liberté ! Une tortue remise en liberté ! Ce matin, lundi 6 mai 2013, nos 3 classes de maternelle ont été invitées par l’Aquarium du Cap -avec qui nous sommes en projet depuis le début de l’année-à assister à la remise en liberté d’une tortue marine. Julie , l’animatrice, a expliqué aux enfants comment différencier les différentes tortues de terre, de rivière ou de mer ; et parmi ces dernières , reconnaître celles qui vivent en Méditerranée : la tortue luth-qui a une forme d’instrument de musique et du cuir en guise de carapace-, la tortue verte ou la caouanne que les enfants ont tout de suite reconnue grâce à ses 2 écailles sur la tête! Un pêcheur ayant pris une tortue dans ses filets l’a confiée le 12 janvier à l’aquarium. Elle a été soignée, pesée, mesurée et baguée. Ainsi, si par malchance elle se trouve à nouveau confrontée aux humains, on saura qui elle est, d’où elle vient et tous les renseignements utiles pour la soigner. Les enfants, sensibilisés à la protection de l’environnement ont souhaité que cette tortue ne prenne pas un sachet pour une méduse et qu’elle ne croise plus de bateaux ! - « Maîtresse il y a 3 bateaux amarrés à des bouées, juste devant, au large ! ». Nous sommes à la Plagette et il y a là un sentier sous-marin, un espace protégé où il est interdit de pêcher, de jeter des saletés, ou même de jeter une ancre pour les bâteaux. Rassurez-vous, ils ont hissé le pavillon bleu et blanc qui signifie que ce sont des plongeurs ! Ils vont avoir une belle surprise ! Au revoir jolie tortue, bon voyage ! Source
  3. Un iguane en balade (07/05/2013) Un habitant de la rue des Sarts à Couillet a fait une drôle de rencontre, ce mardi après-midi, en se baladant dans son quartier COUILLET Un iguane d'une bonne vingtaine de centimètres a en effet croisé sa route. Le Couilletois a pu capturer le reptile inoffensif et appeler les pompiers de Charleroi. Ces derniers ont envoyé leur équipe spécialisée dans le traitement des NAC (Nouveaux Animaux de Compagnie) et ont pris en charge l'animal. Ce dernier a été immédiatement transféré à la Société Protectrice des Animaux de Mont-sur-Marchienne. L'iguane a été placé temporairement dans une terrarium spécialement conçu pour son bien-être. Il sera par la suite confié au parc Pairi Daiza. Chaque année, la SPA de Charleroi recueille de nombreux "NAC" comme des serpents, des iguanes ou encore des mygales. La détention de ces animaux (ceux qui ne sont pas protégés par la convention de Washongton) est soumise à une autorisation délivrée par la commune après une enquête commodo incommodo. Source
  4. Un python extirpé d'une poubelle à Winnipeg Un python de 1,5 mètre retrouvé dans une poubelle derrière un immeuble à condos du croissant Wellington à Winnipeg y aurait été abandonné, selon le chef de l'agence des services animaliers de la ville. Leland Gordon ajoute que la ville tentera de lui trouver une famille d'accueil. Ce type de découverte est extrêmement rare, selon M. Gordon qui estime que la ville reçoit environ 10 appels par année au sujet de serpents. Un passant a fait la découverte après avoir entendu un bruit provenant de la poubelle mardi soir. Il a averti la police qui a à son tour téléphoné à la ville. Source
  5. Australie: un crocodile décapité La moitié du saurien a été abandonnée sur une plage près de Cairns, à l'extrême nord du Queensland. C'est le patron d'une flotte de bateaux de pêche de loisir, Jim Millar, qui a retrouvé samedi matin le corps mutilé de l'animal, un spécimen de 3.30 mètres de long. «Je connaissais ce crocodile depuis plus de dix ans, je le voyais au moins une fois par semaine quand j'amenais mes touristes dans ce coin», précise Jim Millar, qui attribue le meurtre du crocodile à un ou des chasseurs de trophées, qui vont vider la tête du saurien, pour conserver son crâne. Les autorités ont ouvert une enquête. Source
  6. Tuerie de crocodile à Koudassi Gare : Le Colonel Félix Kadanga pointé du doigt par les populations Le village de Koudassi Gare, localité située à 60 km à l’ouest de Lomé ne décolère toujours pas une semaine après une partie de chasse conduite par deux éléments des forces de défense dans la localité qui s’est mal terminée. Une descente de l’Agence Afreepress à Joudassi Gare a permis de recueillir les réactions des populations et notables du village sur cet incident. Dans la nuit du dimanche 21 au lundi 22 avril 2013, deux éléments des forces de défense ont été interpellés par les populations appuyées dans leur démarche par la gendarmerie après avoir tiré plusieurs coups de feu sur un crocodile vivant dans le seul point d’eau de Koudassi Gare. D'après ces deux militaires auteurs de ces tirs, le crocodile visé aurait été atteint par plusieurs balles et se serait tordu de douleurs au-dessus de l’eau avant de s’échapper. « Nous étions couchés le lundi quand aux environs de 2 heures du matin, le responsable de notre CVD est arrivé chez moi à la maison. Il nous dit qu’il y avait des soldats qui sont arrivés dans le barrage et eux, ils ont réussi à récupérer leur moto. C’est en ce moment que nous avons entendu le bruit des coups de feu. Nous avons immédiatement appelé le CB de la gendarmerie et le préfet de l’Avé. Les militaires ont été appréhendés et leurs matériels récupérés par les jeunes. Dans leurs propos ils nous ont confié qu’ils étaient envoyés par leur chef, le Colonel Katanga Félix », a relaté à Afreepress Togbui Galley Komlan, chef du village de Koudassi Gare. « C’était notre seul point d’eau et les pompes du village sont toutes en panneLes femmes ont du mal à s’approvisionner en eau de boisson », s’indigne le représentant des populations qui s’interroge sur l’heure choisie pour cette partie de chasse. « Ils ont raconté qu’ils avaient tiré sur un crocodile et l’ont touché. Malgré nos recherches, l’animal n’a pas été retrouvé. Pourquoi c’est à 2 heures du matin qu’ils ont choisi pour venir chasser ? Pourquoi ne sont-ils pas passés se signaler au CB, au préfet ou même aux autorités locales avant de procéder à la chasse des crocodiles dans le village ? », se demande Togbui Galley. L’indignation et la colère sont les sentiments qui se lisent sur tous les visages dans cette localité. Dieudonné Akpa, la trentaine laisse éclater son mécontentement. « Nous n’avons pas de pompe dans le village, c’est dans ce barrage que nous nous abreuvons et faisons la lessive. Les crocodiles sont nombreux dans le barrage et ne nous ont jamais dérangés. Nous les côtoyons en bonne entente ici. Comment savaient-ils qu’il y avait des crocodiles dans ce petit barrage si caché ? A cette question les jeunes militaires ont répondu qu’ils avaient l’habitude de venir tuer des crocodiles ici. Le Colonel Katanga chasse toujours les crocodiles à Yodo et dans d’autres barrages de la région alors que les crocodiles sont des animaux protégés. Nous avons appris qu’il se donne aussi à cette pratique à Tokpli et partout ailleurs sur le territoire national », a-t-il laissé entendre. Les populations de Koudassi comptent désormais saisir les premières autorités du pays pour exprimer leur indignation et désarroi. Source
  7. Des pythons géants envahissent la Floride ! Après avoir été envahie par des pythons birmans au début des années 2000, la Floride est en proie à une nouvelle invasion. Le python de Seba, le plus gros serpent d’Afrique est en train de coloniser l’Etat américain, au grand dam des autorités qui se préparent à un désastre écologique. Et c’est l’homme qui serait responsable. Les écologistes et les habitants du sud de la Floride sont sous le choc. Une étude publiée dans une revue scientifique américaine est formelle : les pythons géants se sont bel et bien installés dans la région des Everglades. Pouvant mesurant jusqu’à 6 mètres de long, ce serpent des montagnes africaines représentent un réel danger pour l’écosystème. Des nombreux mammifères ont ainsi disparu des zones d’habitat du serpent. Depuis 2002, un peu moins d’une dizaine de pythons adultes ont été trouvés en Floride. Récemment, une femelle portant des œufs et deux petits ont été découverts, signifiant que le reptile s’est acclimaté à son nouvel habitat. De quoi confirmer les inquiétudes. Au début des années 2000, la rumeur de pythons birmans dans les marais proches de Miami avait déjà agité les locaux, même si elle avait été traitée un peu à la légère par les autorités. Aujourd’hui, plusieurs espèces différentes de pythons se côtoient en Floride, et leur nombre total est estimé à près de 10000 spécimens. Selon différents experts, l’homme serait responsable de ce désastre annoncé. Ces serpents, importés à partir des années 80 comme animaux de compagnie, auraient été relâchés par leurs propriétaires car trop encombrants. Conséquences : certaines espèces de lapins, de biches ou de raton-laveur s’éteignent peu à peu dans le parc national des Everglades. Si les pythons représentent une menace avérée pour les animaux, les scientifiques se montrent plus nuancés quant au danger qu’il représente pour les humains. Néanmoins, différentes mesures sont mises en place pour empêcher sa prolifération. Une chasse au python a même été ouverte au public dans le parc des Everglades. Le gouvernement américain a décidé d’interdire toute importation de serpents. Source
  8. Un promeneur découvre un boa géant Un homme s'est retrouvé nez-à-nez avec un serpent de 3 mètres de long lors de sa promenade dominicale à Allschwil (BL). Le reptile a été placé chez un spécialiste. Avec ses 22 kilos, le serpent présente une légère surcharge pondérale. (photo: Police cantonale Bâle-Campagne) Un promeneur a fait une drôle de découverte, dimanche après-midi à Allschwil (BL). Il a aperçu un grand boa dans un buisson. Possédant plusieurs serpents, le Bâlois a emporté l'animal chez lui avant d'appeler la police cantonale. Un expert en reptiles de la police a finalement confirmé qu'il s'agissait bien d'un boa constrictor d'une longueur impressionnante de 3,1 mètres et d'un poids de 22 kilos. Le reptile a été placé chez un spécialiste en attendant de trouver un endroit qui pourra l'accueillir définitivement. On ignore à qui le serpent appartient et comment il a pu atterrir dans un buisson. L'animal est en bonne santé, mais présente une légère surcharge pondérale. Source
  9. Un robot rampe comme une tortue pour sauver l’espèce Pour la robotique, la nature est une source sûre d’inspiration. C’est pourquoi des chercheurs américains ont créé un robot imitant le déplacement des tortues nouveau-nées se frayant un chemin dans le sable pour rejoindre l’océan. L’intérêt d’une telle invention est d’aider les scientifiques à comprendre la mécanique des mouvements de la tortue marine sur terre ferme. Cela devant in fine permettre de prendre les mesures adéquates pour mieux protéger cette espèce en voie de disparition. Baptisé Flipperbot, le robot a été développé par une équipe de physiciens et d’ingénieurs de Georgia Tech. C’est un petit automate de 19 cm de long pour un poids de 970 grammes environ. Il dispose de deux palmes entraînées par des servomoteurs. Tout comme l’animal, le robot possède des pattes-nageoires souples qui lui permettent d’effectuer des mouvements variés. Les chercheurs ont donc testé ses mouvements sur une piste remplie de graine de pavots avec le soin d’enregistrer l’aventure avec une caméra embarquée. Au final, le robot a certaines difficultés en terrain brouillé. En phase de prototype, les chercheurs misent sur ce robot pour sauver d’autres espèces comme les poissons grenouilles dans l’avenir. Source
  10. Une nouvelle espèce de grenouille découverte à Boma au Bas-Congo par un chercheur nommé Mbuangi Un chercheur de Boma dans la province du Bas-Congo répondant au nom de Mbuangi annonce avoir découvert une nouvelle espèce de grenouille dotée de propriétés curatives sur lesquelles il recommande des études approfondies pour leur intérêt évident M. Mbuangi, chercheur à l’Université de Boma, dans la province du Bas-Congo, vient de découvrir une nouvelle espèce de grenouille poilleuse qui pourra porter son nom, selon la presse locale (Boma). Cette grenouille n’hiberne qu’en saison sèche, indique le chercheur qui juge la nécessite de poursuivre la recherche pour connaître les origines de cette grenouille vivant dans la rivière de Mayombe. La grenouille « Mbuangi » possède de vertus médicinales et biologiques à mettre à la disposition de l’humanité, précise le chercheur qui invite les scientifiques du monde à appuyer la recherche sur cette espèce unique au monde. La RDC est un pays riche en biodiversité et en espèces rares. Source
  11. Côte d’Ivoire : Un serpent s’invite dans les vestiaires du stade de Yamoussoukro Un mamba vert- Abidjan, le 28 avril 2013 koaci.com – Insolite pourrait le paraître ce fait qui est arrivée au stade municipal de Yamoussoukro, le samedi 27 Avril, à l’occasion de la 20è journée de ligue1 ivoirienne, lors du match entre la Société Omnisports de l’Armée (SOA) et le Club omnisports de Korhogo (COK). En effet au moment où les deux équipes regagnaient les vestiaires à la mi-temps, un reptile (Mamba Vert) s’est infiltré dans les vestiaires du stade, créant du coup un vent de panique. Dans la débandade, le joueur de la Soa, Cissé Mohamed va se heurter au cadre de la porte du vestiaire B du stade municipal, se blessant au genou. Mais ce dernier finira par reprendre la partie après l’apaisement de la douleur. Le Mamba vert sera abattu par un employé du stade. Cette frayeur orchestrée par la présence de ce serpent aura plusieurs interprétations dans le milieu sportif ivoirien, parce que cela suscite toujours des commentaires de fétiches envoyés par l’une deux équipes. La Soa s’est imposée 1-0 devant Korhogo. Source
  12. Man vs Wild : la terrifiante morsure de serpent postée par Bear Grylls sur Twitter Dans Man vs Wild, le présentateur assure faire face aux dangers seul, dans des milieux très hostiles. Voilà une photo qui prouve que ses équipes souffrent tout de même avec lui... Voilà un homme qui n'a pas froid aux yeux, et qui le prouve. On a souvent reproché à l'émission Man vs Wild d'etre truquée. Son héros-présentateur, Bear Grylls, qui se retrouve dans des zones naturelles dangereuses et doit affronter les forces naturelles pour survivre, est censé être seul face au danger. L'aventurier a prouvé qu'il prenait de réels risques... mais qu'il n'était pas le seul à en pâtir. Il a en effet posté une photo d'une grande violence sur Twitter, représentant une très vilaine morsure de serpent reçue par le producteur de Bear Grylls. Elle s'accompagne de ce commentaire "Notre producteur de Man vs Wild souffre d'une morsure brutale de serpent. Il combat courageusement la blessure." Attention les yeux, cachez les enfants ! Source
  13. Les reptiles s'exposent à Grenoble La preuve qu'ils nous fascinent, les reptiles et même les araignées sont de plus en plus "domestiqués". Serpent, iguane, insectes, tarentule sont exposés et expliqués à l'occasion d'une petite exposition qui se tient en ce moment à la Caserne de Bonne de Grenoble Une mini forêt tropicale au coeur d'une jungle commerciale. Une exposition à vocation pédagogique, pour casser les clichés et les peurs. Une initiative de l'association de Loire atlantique Inf-Faune, qui oeuvre depuis 17 ans pour la compréhension du monde animal, particulièrement les faunes méconnues comme les reptiles, les amphibiens ou les insectes. "Apprendre à découvrir ces animaux, c'est savoir qu'ils existent, c'est déjà commencer à protéger notre environnement", explique Philippe Gillet, herpétologue. "Si nous voulons que notre descendance survive, commençons à apprendre à vivre en symbiose avec les animaux que nous ne connaissons pas". Philippe Gillet sillonne les centres commerciaux de l'hexagone pour aller à la rencontre du public et leur faire découvrir ses "bêtes" à sang froid. Herpétologue, c'est quoi ? Le mot désigne le spécialiste de l'herpétofaune, les reptiles et les amphibiens. L'étude de cette population est un excellent et terrible indicateur de la dégradation de l'environnement. Lieu de tournage : Grenoble. Intervenants : Philippe Gillet, herpétologue. Une petite exposition de reptiles à voir jusqu'au 11 mai à la Caserne de Bonne, à Grenoble. Source
  14. Qui veut participer au recensement des crapauds du littoral pour une étude universitaire ? À l’occasion d’une étude menée en partenariat avec l’université de Lille 1, le Conservatoire d’espaces naturels du Nord et du Pas-de-Calais, le Groupe ornithologique et naturaliste ainsi que le CPIE Chaîne des terrils sont à la recherche de bénévoles souhaitant participer à des prospections nocturnes sur le littoral, à la recherche de crapauds. Jusque début juin, l’objectif de ces prospections est de recenser le crapaud calamite et le pélodyte ponctué, ou crapaud persillé, depuis Berck jusqu’à Bray-Dunes. L’étude porte en effet sur le processus de colonisation des friches industrielles afin de décrire la diversité et la structuration génique entre les populations natives (celles du littoral) et les populations ayant récemment colonisé les sites du bassin minier, comme par exemple le Pays à part à Ruitz-Haillicourt où a été observée la présence du crapaud calamite. En clair, il s’agit de comprendre comment s’établissent les flux géniques entre les populations de ces deux espèces d’amphibiens présents dans notre région, c’est-à-dire le lien entre ceux qui peuplent le littoral et ceux qui se sont installés dans le bassin minier. Les sorties sur le terrain sont programmées jusque début juin. Les bénévoles intéressés par cette opération auront pour mission de collecter l’ADN des crapauds selon une technique fondée sur des prélèvements de salive à l’aide d’écouvillons. Ils devront par ailleurs être équipés de bottes et d’une lampe de poche. Pour en savoir plus et pour participer à l’étude, il suffit de contacter Alexandra Janczak ou Loïc Coquel au Conservatoire d’espaces naturels, tél. 03 21 54 75 00. SR : B. Q./photo: Gaëtan Rey URL courte : www.echo62.com/actu3582 Source
  15. Redécouvrez… l’araignée la plus venimeuse au monde ! La Phoneutria nigriventer est une machine à secréter la mort : 0,05 mg de son poison suffit pour un homme de 80 kg tandis que le venin de la veuve noire n’est mortel qu’à partir de 0,16 mg… Elle a été répertoriée par le Guiness des records comme l’araignée la plus venimeuse au monde. Il n’est pas impossible que vous trouviez une de ces Phoneutria, un jour dans votre cuisine car certaines de ces araignées, dont les pattes sont grandes de 130 à 150 mm pour un diamètre de 17 à 48 mm2, parviennent parfois à se cacher dans les régimes de banane qui arrivent en Europe… La bestiole appartient à la famille des Cnetidae, originaire du brésil. Dans ce genre, la phoneutria est considéré comme l'une des variantes les plus dangereuses car son agressivité est sans limites. Une araignée viagra Seul élément de consolation : quand un homme est piqué par la Phoneutria nigriventer, la morsure de l'araignée provoque une érection qui tourne au priapisme. L'élément responsable se trouve dans le venin de l'araignée. Il s’agit de la toxine Tx2-6. Elle produit un effet vasodilatateur. Il détend les muscles souples du pénis en permettant aux corps caverneux de se gorger de sang ! Les autres composantes du poison de l’araignée sont moins aimables. On trouve un neurotoxique extrêmement puissant, qui entraine une perte sévère du contrôle musculaire pouvant amener à la suffocation, puis à l'asphyxie. Pour améliorer sa performance, le poison de la phoneutria provoque une inflammation des nerfs sensitifs qui augmente la production d’une substance décuplant la sensation de douleur. L’araignée à pour coutume de se cacher à l’intérieur des maisons, des vêtements, des bottes, et des voitures… Aussi, la prochaine fois que vous manger une banane, prenez garde à ce que rien n’en tombe… Capture d'écran Source
  16. Drôles de bêtes dans la galerie Insolite La Caserne de Bonne accueille une exposition de reptiles et insectes vivants Depuis quelques jours, de drôles de visiteurs ont investi la galerie commerciale de la Caserne de Bonne : serpents, iguanes, lézards, tortues, caméléons, grenouilles, mygales, scorpions... Des animaux qui suscitent la crainte autant que la fascination. Cela tombe bien, le but de cette exposition pédagogique, proposée par l'association Inf-faune, est justement de «lutter contre les préjugés et la peur par la connaissance, explique Philippe Gillet, son président et fondateur. On amène une communication gratuite sur les animaux méconnus qui ont mauvaise réputation.» Depuis 16 ans, Inf-faune sillonne ainsi les galeries marchandes avec ses reptiles, «nés chez nous en captivité ou confiés par l'administration. Les commerçants se cotisent pour louer l'exposition pendant deux semaines, et en échange, on est présents en tant que bénévoles pour renseigner le public et répondre à toutes les questions.» Attroupement Les 70 animaux présentés, représentant une quarantaine d'espèces, sont répartis en huit modules thématiques. Objet de tous les regards, «l'oasis», le plus grand d'entre eux, est un enclos à ciel ouvert de 7 mètres de diamètre. «Iguanes, lézards, tortues, caméléons et orvets géants y cohabitent sans jamais de bagarre, souligne Philippe Gillet. Cela permet d'expliquer la tolérance.» On trouve aussi le «module son» où le visiteur peut, en appuyant sur un bouton, écouter le chant du gecko ou le coassement des grenouilles, la «promenade souterraine » où l'on voit les araignées dans leur galerie, et bien d'autres choses. Enfin, l'espace pédagogique présente crânes et squelettes et donne des informations sur la façon d'élever reptiles ou mygales. L'attroupement visible devant les modules, toutes générations confondues, témoigne du franc succès de l'opération. Parmi les nombreux enfants présents, Théo, 9 ans, semble aussi craintif qu'admiratif : «Je n'avais jamais vus de serpents et lézards d'aussi près. Au départ, ça me faisait un peu peur mais quand le monsieur a pris l'iguane noir dans ses bras, j'ai vu qu'il était gentil.» Mathilde, 34 ans, qui avoue une certaine «phobie des reptiles», se dit «un peu plus rassurée maintenant», même si elle «préfère ne pas trop s'approcher. Mes filles ont trouvé ça génial en tout cas !» Manuel Pavard Source
  17. Concert amphibien à la montagne Les jours se réchauffent et les amphibiens (grenouilles, rainettes et crapauds) sortent de leur engourdissement hivernal. Ce réveil printanier marque le début d’une saison de reproduction bruyante, animée par les vocalises des mâles qui tentent d’attirer les femelles. Pour en savoir un peu plus sur ces petites bêtes, vous êtes invités à participer à l’activité d’interprétation Concerts printaniers, le samedi 11 mai à 13 heures. Une naturaliste de CIME parlera des amphibiens : leurs caractéristiques,les causes de leur déclin dans le monde. À cela s'ajoutera une leçon de chants de grenouilles pour aiguiser notre oreille à la reconnaissance de quelques espèces de la région. Les coûts avant taxes pour participer à l’activité d’interprétation sont de 6,65 $ pour les adultes et 3,80 $ pour les enfants (rabais pour les membres). L’activité dure environ 90 minutes et s’adresse à tous (âge suggéré de 6 ans et plus). L’inscription obligatoire par téléphone au 450-346-0406 ou par courriel à services@cimehautrichelieu.qc.ca. Source
  18. VÉZÉNOBRES Serpents, grenouilles, mygales… Une exposition pour mettre à mal les préjugés Georges Maurris (à gauche), Pascal Nardi (à droite) et leur python royal accueillent jusqu'à dimanche soir les plus curieux dans la salle Charles-Pagès à VézénobresPhoto DR/S.Ma Ce week-end, c’est une exposition bien particulière qui s’est installée dans la salle Charles-Pagès à Vézénobres. Sur le fond d’une part parce que ce sont des serpents, des mygales, des grenouilles, des lézards, des iguanes mais aussi des scorpions qui sont présentés au public grâce l’initiative de La Cicindèle. Cette association a pour objectif l’initiation et la découverte de la faune exotique et régionale et notamment les insectes, les arachnides, les reptiles et les amphibiens. Sur la forme maintenant. Car il ne s’agit pas d’une expo-vente mais bien d’une exposition pédagogique. Ainsi, spécimen après spécimen, Georges Maurris, président de l’association et Pacal Nardi, animateur, accompagnent les visiteurs qui, il faut bien le dire, ne cachent pas leur peur, devant ces petits animaux vivants. “Ici, ce ne sont pas que des animaux dans des boîtes avec des étiquettes. Nous amenons les visiteurs à comprendre ces spécimens. Certains d’entre eux sont d’ailleurs présents sur notre territoire” explique Pascal Nardi. Comme la Veuve Noire à Marguerittes, ou bien la mygale Macrothele Calpeiana avec ses 7 centimètres d’envergure, venue tout droit d’Andalousie suite à l’exportation d’oliviers pour s’installer à Boisset-et-Gaujac par exemple ou encore la Chiracantum Pentorium, vue à Anduze, dont le venin est puissant. “Mais ce ne sont pas des dévoreuses d’hommes comme on veut bien le faire croire dans certains films.” D’ailleurs l’action de l’association va dans ce sens : Mettre à mal les fausses idées que l’on peut se faire sur les arthropodes. “Une dame qui a certainement trop regardé le film Un Indien dans la ville, m’a demandé si lorsqu’on criait la mygale nous suivait. C’est faux bien sûr. Elles ne sautent pas non plus sur les gens” s’amuse l’animateur de l’association. Serpents, grenouilles, mygales, ce ne sont pas des animaux de compagnie “Et puis, notre objectif est d’informer les gens pour éviter qu’ils fassent n’importe quoi.” Car il n’est pas rare que Pascal Nardi reçoive un coup de téléphone de telle ou telle personne qui souhaite se débarrasser d’un python royal ou autre espèce de reptile. “Nous nous battons contre le slogan commercial Nouveaux animaux de compagnie. Une mygale, un serpent, un iguane ou un serpent, ce ne sont et ne seront jamais des animaux de compagnie. On nous fait croire qu’on pourrait créer un lien affectif avec eux mais ce n’est pas vrai. Alors les gens achètent sans vraiment se rendre compte de l’intérêt qu’il faut leur porter et surtout sans savoir qu’un python royal par exemple vit jusqu’à trente ans.” À voir et à toucher… Samedi 4 et dimanche 5 mai de 10 heures à 19 heures à la salle Charles-Pagès à Vézénobres. Tarifs : 6€ adulte/3€ enfant et gratuit pour les moins de 6 ans. Renseignements au 04 66 83 69 55 ou au 06 85 20 98 96. Source
  19. La couleuvre a retrouvé son propriétaire L'histoire se termine bien pour ce serpent retrouvé mercredi, errant et rampant seul dans un appartement lorientais (Le Télégramme d'hier). Le propriétaire de cet appartement et un possible futur locataire avaient fait la surprenante découverte alors qu'ils visitaient ce logement. La couleuvre américaine, un Nac (nouvel animal de compagnie) avait été prise en charge par la cellule risque animalier des pompiers de Lorient et transportée au centre de secours. Le reptile n'y sera pas resté longtemps : son propriétaire est venu le récupérer, hier matin. Il a expliqué que son serpent s'était fait la belle... à la suite d'un cambriolage dont il avait été victime, dans son appartement, voisin de celui dans lequel le reptile a été retrouvé. Source
  20. LA VILLE-AUX-DAMES Un serpent au rayon poisson ! Drôle de rencontre pour une cliente de l'hypermarché Leclerc de La Ville-aux-Dames... Vendredi après-midi, alors qu'elle se trouvait au rayon poisson, la dame a failli marcher sur un serpent… D'autres clients ont assisté, médusés, à la scène. Les pompiers ont été appelés pour capturer l'animal. Selon nos informations, le serpent a donné du fil à retordre aux intervenants. Mais il a finalement été fait prisonnier et transporté au Muséum d'histoire naturelle de Tours. Selon le musée, il s'agit d'une jeune couleuvre, de type Panthérophis Guttatus, originaire d'Amérique du Nord. « C'est un serpent totalement inoffensif, expliquait hier le responsable de l'animalerie du Muséum. Il peut faire jusqu'à deux mètres de long à l'âge adulte. Il est très fréquemment vendu en animalerie. » L'hypothèse que ce serpent se soit échappé d'une animalerie est la plus plausible. A moins qu'il ait été déposé par son propriétaire dans le magasin, soit par accident soit volontairement. La direction de l'hypermarché n'a pas pu être jointe hier par la NR. Source
  21. Boa de 3m dans un buisson: il a tout inventé! Le promeneur qui a affirmé avoir trouvé un boa constrictor dans un buisson le 28 avril à Allschwil (BL) a inventé toute l'histoire. Il avait en fait acheté ce serpent, mais effrayé par sa grandeur (3,1 m), il a voulu s'en débarrasser, a indiqué vendredi la police de Bâle-Campagne. L'homme avait indiqué à la police qu'il avait découvert un boa constrictor dans un buisson. Comme il a des serpents à la maison, il avait pris l'animal avec lui avant d'alerter les agents. Ceux-ci sont venus chercher le serpent et l'ont confié à un spécialiste en attendant de trouver le propriétaire. L'enquête a toutefois permis d'établir que c'est le promeneur qui avait acquis le boa constrictor. Le serpent n'a jamais quitté l'appartement de l'acheteur. Celui-ci a inventé la découverte du boa dans un buisson pour se débarrasser de l'animal. L'animal mesure 3,1 m de long. Il pèse environ 22 kilos. Le serpent se trouve toujours chez un spécialiste. Source
  22. Ne dépasse jamais le 1h avec le 10.0 de UV parce que sinon le gecko va muer continuellement. Il va attraper en quelque sortes des coups de soleil en continue
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