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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium
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Un 4 et demi devient un centre d’hébergement pour animaux
Max|mum-leterrarium a répondu à un(e) sujet de Max|mum-leterrarium dans Nouvelle
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Pessac : une famille se fait dérober onze tortues !
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Pessac : une famille se fait dérober onze tortues ! La famille Villechalane, installée à Pessac, s’est fait volé onze tortues d’Hermann et tortues grecques dans la nuit du 31 mai au 1er juin à son domicile. Sur les douze tortues terrestres qu’elle possédait, seule une est encore présente. «Les onze autres n’ont pas pu partir d’elles-mêmes, car elles étaient installées dans un enclos protégé par un muret et un grillage. De plus, nous avons retrouvé une jardinière cassée», explique Chloé Villechalane, qui pense que «les voleurs ont escaladé le grillage pour les prendre». Ces tortues sont des espèces protégées «en voie de disparition» qui intéressent les voleurs car «elles peuvent coûter chères ; on peut compter environ100€ par tortue». Si la vente de ces animaux était interdite dans les années 80, depuis quelques années leur commercialisation est autorisée sous certaines conditions : chaque spécimen vendu nécessite un certificat intracommunautaire garantissant qu’il est issu de parents vivant en captivité et n’a donc pas été prélevé dans la nature. Par ailleurs, pour élever ces tortues, il faut aussi détenir une autorisation d’élevage d’agrément et leur mettre une puce électronique. 20 ans à PessacCe vol n’est pas sans attrister la famille Villechalane, d’autant plus que celle-ci détenait ces tortues« depuis près de quinze ou vingt ans pour certaines d’entre elles», raconte Chloé. Dans un premier temps, un collègue de Gérard Villechalane, le père de famille, avait d’abord donné deux tortues à la famille, puis quelques années plus tard, une voisine partant en maison de retraite lui avait aussi fait don des siennes. «Trois tortues sont ensuite nées ici, dans notre jardin», raconte Chloé. Parmi les tortues disparues, une possède un signe distinctif : « C’est une tortue adulte qui s’est fait mordre par un chien et qui a donc la carapace un peu grignotée», explique- t-elle.Pour tenter de retrouver ses animaux, la famille Villechalane a fait le maximum: elle a porté plainte au commissariat de Bordeaux, alerté plusieurs organismes et associations (dont les fondations Brigitte Bardot et 30 millions d’amis, etc.). Des initiatives malheureusement restées vaines jusqu’à présent.• EM Pour plus d’infos ou si vous avez aperçu ces onze tortues, vous pouvez contacter Chloé Villechalane au 06 65 67 05 25 Source -
Un serpent repêché dans la baie des Anges à Nice Ce n'était qu'une vulgaire couleuvre inoffensive qui a été emportée jusqu'à qu'à la mer en raison du débit anormalement élevé du ruisseau le Magnan dans lequel elle évoluait. Mais, ce joli serpent d'1,20 mètre a occasionné une belle frayeur aux personnes qui se baignaient ce mardi vers 12h45 sur la promenade des Anglais à hauteur de Magnan.Appelés par un témoin ayant vu le serpent dans l'eau, chose plutôt rare, les policiers municipaux et les sapeurs-pompiers ont immédiatement dépêché des équipes sur place y compris une embarcation.Le reptile a été attrapé par des policiers municipaux et confiés aux sapeurs- pompiers qui en bons protecteurs de la nature l'ont remis dans son milieu naturel. Source
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L’Île-Rousse: une tortue de Floride découverte dans un jardin
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
L’Île-Rousse: une tortue de Floride découverte dans un jardin La tortue d’eau douce a été récupérée et placée dans un carton, direction A Cupulatta à Vero.Photo B.I.-L.Une grande tortue de Floride a été découverte dans un jardin de L’Île-Rousse, quartier du Sémaphore. Habituée aux marécages, le reptile carnivore était bien loin de son habitat naturel.La tortue d’eau douce a été récupérée avec soin, avant d’être placée dans un carton, direction A Cupulatta, en express, par la micheline…Pour contacter le centre d’élevage et de production de la tortue, situé à Vero : Tél. : 04.95.52.82.34. Source -
"Georges la tortue" reviendra embaumé aux Galapagos en mars 2014
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
"Georges la tortue" reviendra embaumé aux Galapagos en mars 2014 PUERTO AYORA (Equateur) (AFP) - "Georges le Solitaire", une tortue centenaire originaire des Galapagos un temps considérée comme le dernier représentant de son espèce, morte il y a un an, reviendra en mars 2014 sur l'archipel équatorien après son embaumement aux États-Unis."Georges" avait été découvert en 1971 à Pinta, une des principales îles de l'archipel, situé à un millier de kilomètres des côtes. Il était mort le 24 juin 2012, de causes naturelles, après des dizaines d'années d'effort infructueux pour tenter de le faire se reproduire.Le Parc naturel des Galapagos (PNG), où il sera exposé dans un musée consacré aux tortues, lancera en 2014 un projet pour ressusciter la lignée, après avoir découvert des gènes identiques aux siens dans l'ADN d'une tortue hybride d'une autre île de l'archipel, Isabela."Début mars 2014, le corps préservé et prêt à être exposé reviendra" des États-Unis à expliqué à l'AFP Washington Tapia, chercheur un PNG.Le corps congelé de la tortue géante avait été envoyé mi-mars à New York pour être embaumé au Musée américain d'histoire naturelle, "par le meilleur taxidermiste de tortues au monde", selon M. Tapia.Entre 30.000 et 40.000 tortues d'une dizaine d'espèces différentes, dont certaines peuvent atteindre 1,80m et vivre jusqu'à 180 ans, peuplent les îles Galapagos.Cet archipel, classé au patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco depuis trois décennies, est célèbre pour avoir inspiré la théorie de l'évolution des espèces au naturaliste britannique Charles Darwin. Source -
Une nouvelle espèce de scorpion découverte dans les Andes
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Une nouvelle espèce de scorpion découverte dans les Andes Décrite dans la revue ZooKeys, une nouvelle espèce de scorpion, Tityus crassicauda, a été découverte dans les Andes équatoriennes par des chercheurs français. La portion tropicale et subtropicale des Andes, à cheval sur le Pérou, la Colombie et l’Équateur, est un immense foyer de biodiversité qui n’a pas fini de régaler les scientifiques. C’est dans la partie équatorienne de cette étendue que le Dr Wilson R. Lourenço, du Muséum national d'Histoire naturelle de Paris, a découvert une nouvelle espèce de scorpion de la famille des Buthidae, qu’il a baptisée Tityus crassicauda. Avec ses 5 centimètres de long, T. crassicauda est considéré comme étant de taille moyenne pour le genre Tityus - qui compte plus de 200 espèces mesurant de 3 à 12 centimètres. De couleur brun-rougeâtre, il est orné de 3 bandes longitudinales brunes, séparées par des zones jaunes. Comme ses congénères scorpions, le nouveau spécimen est équipé de glandes à venin qui produisent une substance puissante qui peut être mortelle pour l'humain. "Bien que les scorpions puissent être considérés comme des animaux fascinants, l'intérêt manifesté par le public est en général uniquement lié à la (mauvaise) réputation de ‘tueurs d'hommes’ de ces animaux. Cependant, seul un nombre limité d'espèces, probablement, est réellement responsable d'incidents graves ou mortels", a relevé le Dr Lourenço. "Initialement, la recherche sur les scorpions a porté principalement sur la taxonomie descriptive et l'anatomie générale, suivie par une recherche médicale sur la biochimie du venin. Plus récemment, toutefois, la recherche sur les scorpions s’est développée considérablement pour englober de nombreux aspects de la biologie évolutive de ces espèces fascinantes", a t-il expliqué. (crédits photo : Elise-Anne Leguin) Source -
VILLARS-SOUS-ECOT : L’INVITÉ SURPRISE ! Lundi 27 mai, des habitants de Villars-sous-Écot ont découvert un scorpion mort dans leur maison. Comment est-il parvenu jusqu’aux terres comtoises ? Le mystère n’est toujours pas éclairci… Mais l’histoire reste étonnante. Elle a lieu dans le village de Villars-sous-Écot lundi 27 mai. Ce jour-là, un habitant, Ghislain Messagier effectue une tâche ménagère des plus banales : le balayage de son sous-sol. Mais soudain, que voit-il sur une dalle ? Une bébête avec huit pattes, deux pinces, la queue remontée vers le haut et légèrement recourbée… Ghislain Messagier se frotte les yeux… L’habitant est face à un scorpion : « Il était impeccable, beau, on a cru qu’il était vivant », raconte son épouse Laetitia, passionnée comme l’ensemble de la famille, par cette découverte. L’homme a immédiatement le réflexe d’interdire aux deux garçons du couple, âgés de 2 et 5 ans, de mettre les pieds dans le garage. Puis, il va chercher un récipient et, très prudemment, y place l’arachnide, qui, en fait est mort. Serait-ce le chien, un petit fox-terrier qui l’aurait écrasé ? Dans ces cas-là, les coussinets du toutou sont peut-être abîmés : « On a emmené notre chien chez une vétérinaire, à L’Isle-sur-le Doubs pour voir s’il était blessé mais elle n’a rien remarqué de particulier », ajoute Lætitia. Curieux de nature et amis des bêtes, les époux Messagier en profitent pour récolter des renseignements sur l’arachnide. « La vétérinaire nous a dit que les scorpions de France vivaient dans le sud, notamment dans la Drôme. Les piqûres ne sont pas dangereuses. Elles font l’effet d’une piqûre de moustiques », indique Laetitia qui a également pioché des informations sur Internet. Quant à la présence du scorpion à Villars-sous-Écot, dans un lotissement rue de Méliveau, plusieurs explications sont avancées. « Ces bêtes ne vivent pas en captivité. Une personne l’a peut-être ramenée, sans le savoir, de ses vacances, dans sa valise », sourit Laetitia. Si les scorpions jouent les passagers clandestins, où va-t-on ? À cause du réchauffement climatique ? La bestiole a même pu rester plusieurs mois dans la maison des Messagier (ça, il vaut mieux l’apprendre après)… Autre possibilité : elle a pu se camoufler dans des caisses de fruits et légumes importées du sud. Enfin, le réchauffement climatique pourrait pousser certaines espèces à « émigrer » vers le nord : « J’en ai parlé à de très lointains parents, Thomas Messagier qui est taxidermiste et à son frère, Simon, entomologiste amateur et artiste. Ce sont des spécialistes. Eux penchent plutôt pour la thèse du réchauffement climatique même si celui-ci n’est pas très visible depuis quelques mois ». Avis à la population : il est probable, dès lors, d’en voir d’autres poindre le bout de leurs pinces sur le Pays de Montbéliard. Le scorpion « des Messagier » ne se serait pas installé par hasard dans leur maison. L’habitation est située plein sud, sur un site très sec, où poussaient des vignes avant la construction du lotissement. Lætitia et Ghislain ont gardé « leur » scorpion (jeune, de deux à trois centimètres), dans un bocal. Naturalisé, il fait toujours l’objet de toutes les attentions dans le foyer. Source
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Un python en fuite sème la panique FENTANGE - Les parcs, les jardins et les terrains de jeu ont été fouillés toute la journée par les secours. Et pour cause, un serpent se serait échappé de l'appartement de ses propriétaires.«J'étais dans le parc avec mes enfants et ceux de ma voisine lorsque deux agents de police sont venus me voir pour me demander d'évacuer les lieux car un "serpent dangereux pour les enfants" était en fuite», témoigne Sam, une Mobile Reporter deL'essentiel qui habite à Fentange.Un jeune python non venimeux se serait échappé de l'appartement de ses propriétaires durant le week-end. Mais rien n'est sûr. Car selon la police il est peu probable que le serpent est réussi à descendre du premier étage. Mais, informés ce mardi de cette disparation, les secours sont tout de même partis à sa recherche.Les parcs, les jardins, et les terrains de jeu ont été activement fouillés. Mais en vain. À l'heure qu'il est le serpent d'1 mètre est toujours introuvable. D'ailleurs, les agents ont été clairs avec Sam: «Enfermez-vous chez vous!». Source
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Floride : un python géant en liberté Un python géant a été aperçu dans un un centre de vacances dédié au golf, en Floride. L'animal s'est installé dans la végétation des marais du parc. "Trois ou quatre mètres au total" Des membres de la Florida Fish and Wildlife Conservation Commission, experts de la faune locale, ont confirmé qu'il s'agissait d'un python birman, l'une des plus grandes espèces de serpents du monde.Nancy Davis et son fils Brad, 16 ans, passaient le week-end du Memorial Day, jour de congé national aux États-Unis,au Vinoy Golf Club, lorsqu'ils ont aperçu le serpent. "Nous avons vu quelque chose d'environ 2 mètres qui dépassait de l'eau, et qui continuait en profondeur", rapporte-t-elle à USA Today. "Il fait au moins 3 ou 4 mètres au total." "Il pourrait probablement avaler mon chien" Interrogé par le quotidien américain, le directeur du centre de vacances, Randy Mosley, estime que le python serait suffisamment dangereux pour s'attaquer à un adolescent de petite taille."Je suis sous le choc", confie Marion Whalen, une autre résidente. "Nous n'avons jamais vu quoi que ce soit de semblable ici." Tant que le python est en liberté, celle-ci n'ose plus sortir son chien : "Il pourrait probablement l'avaler."Les pythons birmans sont un problème récurrent en Floride, au point que la Florida Fish and Wildlife Conservation Commission a organisé entre janvier et février 2013 un "Python Challenge" au parc des Everglades. Les participants entraînés étaient autorisés à le chasser dans certaines zones du parc, avec à la clé des récompenses pouvant atteindre 1.500 dollars (environ 1.140 euros). En un mois, les compétiteurs ont capturé 68 serpents. Source
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Le propriétaire de «Pépère» l’iguane a été démasqué
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Le propriétaire de «Pépère» l’iguane a été démasqué Le jeune homme qui avait prétendu trouver un iguane vert dans une forêt de Marly est en réalité son propriétaire. C’est en avril dernier qu’un couple de Fribourgeois avait raconté leur histoire incroyable. En promenade avec leur chien, il était tombé par hasard sur un iguane vert en pleine forêt. Il l’avait alors recueilli chez eux, mais le reptile avait méchamment attaqué le jeune homme au pouce.Une histoire rocambolesque qui trouve son épilogue. De source judiciaire, le jeune homme est en réalité le propriétaire de cet iguane, il n’avait alors aucune autorisation de détenir l’animal.Que risque donc le propriétaire démasqué ? «Le prévenu, qui demeure présumé innocent, pourrait s’être rendu coupable de délit contre la loi fédérale sur la protection des animaux, qui punit l’infraction d’une peine pécuniaire», répond la procureure Liliane Hauser. Il appartiendra à l’enquête de déterminer comment l’homme a fait entrer l’iguane en Suisse et s’il l’a fait de manière illégale.(Le Matin) Source -
Le retour de la grenouille que l’on croyait disparue
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Le retour de la grenouille que l’on croyait disparue Elle a été le premier amphibien déclaré officiellement "éteint" par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), mais voilà que la "grenouille peinte du Hula", ou "Discoglosse d’Israël", a été redécouverte dans le nord d’Israël.La grenouille peinte du Hula (Discoglossus nigriventer) avait été découverte dans la vallée de la Houla, en Israël, au début des années 1940. On la pensait disparue depuis les années 50, à la suite du drainage des marais, pour lutter contre le paludisme. En 1996, elle avait été classée espèce éteinte par l’UICN.Une équipe de chercheurs israéliens, allemands et français montre cependant mardi dans la revue Nature Communications, que non seulement cette grenouille existe toujours, mais aussi qu’on peut la considérer comme un "fossile vivant".En octobre 2011, une patrouille a trouvé un spécimen en vie dans la réserve naturelle de Houla. "Depuis, nous avons enregistré 10 autres individus (au total cinq mâles, une femelle et cinq petits), tous dans un espace restreint d’environ 1,25 hectare", ont indiqué les chercheurs.L’analyse génétique de ces individus a montré que Discoglossus nigriventer était assez différente des autres grenouilles peintes. Elle est en fait apparentée au groupe des grenouilles Latonia, dont les autres représentants ont disparu il y a environ un million d’années.Selon les chercheurs, "la survie de ce fossile vivant est un exemple frappant de la résistance d’un amphibien à la dégradation de l’habitat au cours du siècle dernier".Ils estiment que ses chances de survie sont renforcées par les programmes de remise en eau de la vallée de la Houla et de restauration des marais d’origine.Près d’un tiers des espèces de grenouilles et de crapauds figurent sur la Liste Rouge de l’UICN des espèces menacées d’extinction. Source -
Mellassine : Un homme décédé mordu par une vipère
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Mellassine : Un homme décédé mordu par une vipère Un adulte a trouvé la mort, à Mellassine, après avoir été mordu par une vipère qu’il a achetée. La victime est décédée deux jours après avoir été mordu par une vipère qu’il a achetée en contre partie de 10 dinars.La victime a été attaquée par la vipère après l’avoir fait sortir de la bouteille dans laquelle elle était introduite. Le venin injecté par la morsure a causé la mort de cet adulte.Une patrouille sécuritaire a procédé à la saisie de la vipère qui s’est avérée une espèce venimeuse et potentiellement dangereuse pour l'homme Source -
Bonne nouvelle : le python qui avait disparu depuis vendredi d'un appartement de Fentange a été retrouvé. La disparition du reptile, un python d'un an et d'un mètre de long, avait provoqué, lundi, le lancement d'une opération de recherches dans la petite localité. Les sapeurs-pompiers volontaires de Hesperange avaient fouillé aire de jeux et bosquets près de l'appartement et n'avaient rien trouvé. Et pour cause! Le serpent se trouvait toujours dans le logement et a finalement été retrouvé hier. L'animal est en bonne santé. Source
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UNE AUTOROUTE DE MIGRATION DES TORTUES VERTES IDENTIFIÉE
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
UNE AUTOROUTE DE MIGRATION DES TORTUES VERTES IDENTIFIÉE A deux jours de la journée mondiale des océans le 08 juin prochain, le WWF France fait un point sur le plan de restauration des tortues marines de Guyane . Entre mars et mai 2012, 16 tortues vertes avaient été équipées de balises Argos/GPS. L’objectif : mieux comprendre les déplacements côtiers et océaniques de ces espèces entre leurs pontes. Près de 15 mois après le démarrage de ce programme, les informations collectées permettent de mettre en évidence une véritable « autoroute de migration ».16 balises Argos ont été déployées au total entre mars et mai 2012 par le CNRS IPHC, via le projet CARET2. 8 tortues vertes (Chelonia mydas ) ont été équipées de ces émetteurs télémétriques au sein de la réserve naturelle de Galibi, située à l’embouchure du fleuve Maroni (frontière avec la Guyane française), au Suriname. 8 autres individus bénéficiaient de ce même suivi sur les plages de la réserve naturelle de l'Amana (Guyane). Ces régions sont particulièrement importantes pour cette espèce pendant la saison des pontes. Ces mêmes eaux demeurent particulièrement sujettes aux pressions de pêche illégale. > La côte guyano-brésilienne : une « autoroute de migration » Principal résultat de cette étude : les 16 tortues vertes ont emprunté un parcours unique, longeant la côte de Guyane, à très faible distance du rivage (moins de 30km), contrairement à la tortue luth (Dermochelys coriacea ), qui quitte la Guyane en empruntant de nombreuses voies maritimes différentes.L’ensemble de ces tortues vertes a franchi la frontière franco-brésilienne de l’estuaire de l’Oyapock entre avril et aoû t 2012. Par la suite, ce groupe a continué son voyage côtier, partiellement modifié par le passage de l’estuaire de l’Amazone (dans cette zone, certaines tortues vertes ont augmenté leur distance à la côte). Mais au-delà de cet estuaire au courant exceptionnel, le groupe a repris un parcours proche du littoral, pour successivement croiser les côtes brésiliennes de l’Amapá, du Pará, du Maranhão, du Piauí, pour finalement stationner au large de l’État du Ceará. > Un voyage périlleux Mais ce déplacement au long court ne s’est pas toujours fait sans embuches : selon les signaux reçus, il semble que la tortue « Wori », équipée le 10 mars 2012 à Galibi au Suriname, ait été victime d’une capture accidentelle lors de son passage au large de l’Amapá, comme le suggèrent les émissions reçues à partir d’un village de pêche du littoral amapaense.Par ailleurs, le dernier signal détecté provient de la tortue baptisée « Yaèle », équipée à Awala Yalimapo le 22 mai 2012, et repérée au large de la localité d’Itarema (Ceará, Brésil) le 13 février 2013, soit après avoir parcouru environ 3 400 km !Grâce à cet effort coordonné de suivi de la tortue verte à partir des plages de ponte du Suriname et de Guyane, le projet CARET2 a permis de mettre en évidence une véritable « autoroute de migration ». Ces éléments appellent à la mise en place de nouvelles initiatives de coopération régionale, avec le Brésil cette fois. Source -
Tunisie : dans un geste inédit, des pêcheurs sauvent une tortue
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Tunisie : dans un geste inédit, des pêcheurs sauvent une tortue Ça s’est passé à l’île de Djerba, dans la nuit du lundi au mardi 4 juin 2013. Des pêcheurs ont découvert une tortue de mer prise au piège dans leurs filets.Une fois n’est pas coutume, les marins ont décidé de la sauver. Mieux, ils ont attendu le lendemain, lors de la montée de la mer pour lâcher la tortue dans une eau plus profonde, afin qu’elle retrouve facilement son chemin.Même si la dépêche, qu’a rapportée le quotidien Achourouk, explique que ce geste noble est dû au fait que la tortue en question est une espèce de dimension inhabituelle, mesurant plus d’un mètre et demi et pouvant peser 250 kg, et non pas parce que "toutes" les tortues de mer sont protégées, et leurs pêches est interdite par la loi en Tunisie; on ne peut qu’applaudir la clémence de nos marins.Malheureusement, chez nous, la capture de la tortue de mer et sa consommation se remarquent de plus en plus. L’été dernier, par exemple, au marché municipal de la ville sahélienne de Moknine, au vu et au su des autorités, le kilo de la tortue marine se vendait à huit dinars le kilo. Source -
Sortie en famille dans le village des tortues de Gonfaron
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Sortie en famille dans le village des tortues de Gonfaron Depuis 1988, le village des tortues de Gonfaron (Var) informe le grand public sur la protection de cet animal sauvage, trop souvent considéré comme un compagnon domestique « Il faut avoir de bons yeux et être patient. » Perché sur une barrière, Cyril, 12 ans, guette l’apparition d’une tortue de Grèce. Pas facile de repérer sa carapace jaune et vert, et l’aileron qui recouvre ses pattes arrière dans les épaisses touffes d’herbe. « Là, il y en a une ! », s’écrie ce jeune garçon à l’adresse de ses parents. Sa sœur Célia, 15 ans, plissera, elle aussi, les yeux pour discerner une tortue russe placide, qui croque de la salade et des pommes. Au village des tortues de Gonfaron (Var), la visite tourne invariablement au jeu de piste familial pour trouver les animaux cachés dans leurs abris en bois ou nichés au fond des bassins. Pas moins de 1 200 tortues, représentant une quarantaine d’espèces, vivent dans ce parc de deux hectares, né en mai 1988 pour protéger la tortue varoise d’Hermann, et, par extension, ses congénères. « Les gens considèrent à tort les tortues comme des animaux sympathiques pour les enfants. Or ce sont des reptiles sauvages qui doivent rester dans leur environnement. On n’a pas idée d’élever un crocodile chez soi. Pour une tortue, c’est pareil », martèle Bernard Devaux. Cet énergique ancien cinéaste animalier a fondé en 1986 la station d’observation et de protection des tortues et des milieux (Soptom), qui gère le parc dont les recettes financent les actions de conservation de la tortue d’Hermann, espèce classée en danger dans le Var. 110 000 visiteurs s’y rendent chaque année. Depuis 1997, un centre y élève ces tortues à la carapace noir et jaune orangé dont les effectifs (50 000 environ) ont fondu de moitié en vingt-cinq ans, sous l’effet des ramassages sauvages, de l’urbanisation et des incendies. « SUR 260 ESPÈCES RECENSÉES, PLUS DE 150 SONT EN DANGER » Dans le parc, toutes les tortues ont été données par des particuliers ou saisies par les douanes. « Les propriétaires, qui les ont achetées petites dans les animaleries les ont abandonnées car elles devenaient grosses », explique Audrey Lafaye, écovolontaire en préambule d’une visite.Laquelle débute par la clinique des tortues, structure unique en Europe. Chaque année, 300 animaux par an, blessés par des voitures ou lors de débroussaillages, y sont soignés. Dans un enclos de convalescence, une tortue à trois pattes se déplace avec énergie, une autre affiche une carapace blanchie, reconstituée avec de la résine de polyester. Au fil du parcours arboré se dessine la diversité des espèces. Les petites tortues lépreuses aquatiques côtoient les imposantes tortues de Madagascar aux carapaces étoilées. « Elles sont grosses ! », s’étonne Éthan, 7 ans, devant ces animaux herbivores qui pèsent jusqu’à 18 kg.« Elles sont très rares car les gens les tuent pour les manger ou faire commerce de leur carapace », reprend Audrey Lafaye.Une carte du monde localise la vingtaine de centres de conservation existants. L’occasion pour Marilène de faire réviser sa géographie à Jade-Éva, 8 ans. « Où se trouve Madagascar ? », lui demande-t-elle, avant de lire la légende. « Sur 260 espèces recensées dans le monde, plus de 150 sont en danger ou en voie d’extinction. C’est énorme », s’alarme cette infirmière scolaire de 37 ans. DES ANIMAUX PLUS VIEUX QUE LES DINOSAURES QUI ONT SU S’ADAPTER Lors du « parcours paléolithique », elle mesure un peu mieux, maquette grandeur nature à l’appui, les différentes évolutions de l’espèce, apparue il y a 210 millions d’années, avec Proganochelys, un ancêtre doté d’épines sur la tête et de protubérances osseuses sur le cou, la queue, les pattes. « Ces animaux sont plus vieux que les dinosaures et ils ont su s’adapter », réalise Mickaël, le mari de Marilène.Dans les serres exotiques, chauffées à 25 degrés, le couple assiste au spectacle d’une tortue d’Afrique qui creuse avec énergie un gros trou.« Même si elle a l’air molle, elle est très puissante », note Jade-Éva, qui s’étonne à la vue d’une tortue d’eau, dotée de pattes palmées, d’un long cou souple et qui respire grâce à un museau étiré. À la sortie, elle observe, sous de fins filets, les nouveau-nés qui grandissent en nurserie, jusqu’à 3 ans, avant de passer cinq ans dans l’enclos des « sub-adultes », puis d’être relâchés. « Contrairement à une sortie dans le parc, on apprend des choses tout en dialoguant avec les enfants, c’est très interactif », apprécie Julien, professeur d’histoire géographie, venu avec Lena, 5 ans et Maxime 3 ans. Camille, 8 ans, originaire de Grasse, conclut : « La tortue n’est pas un animal domestique. Avant, je pensais que c’était comme un chien car une amie en a dans son jardin. » -------------------------------------------------- À la recherche d’écovolontaires À l’année, le village des tortues ne fonctionne qu’avec sept permanents. « Grâce aux 140 bénévoles, nous pouvons consacrer plus d’un tiers des recettes du parc aux actions de conservation », souligne Bernard Devaux, cofondateur du village des tortues. Ce dernier cherche régulièrement des bénévoles majeurs et disponibles pendant une durée minimale de deux semaines pour nourrir les animaux, nettoyer les enclos…Ouvert toute l’année et tous les jours.Renseignements et réservations : tél. 04.94.78.26.41,www.villagetortues.com CORINNE BOYER, à Marseille Source -
Paris : les tortues géantes ont déménagé Les tortues géantes du jardin des Plantes, à Paris, ont pris jeudi leurs quartiers d’été. Après avoir passé l’hiver au chaud dans le pavillon des reptiles du zoo, se nourrissant de carottes et de bananes, Périclès, Lecata et Platine, gigantesques tortues des Seychelles, se sont installées jeudi sur la pelouse du parc de la rotonde du jardin des Plantes. Les faire quitter leur abri hivernal n’a pas été une mince affaire. Les trois tortues ont été transportées à l’aide d’un chariot élévateur. La star du déménagement est sans conteste Périclès, tortue mâle qui a fêté ses 100 ans en mai dernier. La bestiole pèse aujourd’hui près de 160 kg. Elle est devenue le doyen du jardin des Plantes en novembre 2009 après le décès de Kiki, autre tortue mâle décédée à l’âge de 146 ans. Source
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Aider un crapaud à traverser la rue pour préserver la biodiversité
Max|mum-leterrarium a posté un sujet dans Nouvelle
Aider un crapaud à traverser la rue pour préserver la biodiversité DOSSIER - Chaque année, lors de leur migration, les crapauds risquent leur vie sur les routes. Un danger pour les automobilistes qui glissent dessus, mais aussi pour l'espèce sauvage pourtant protégée par la loi. Les crapauds, les grenouilles ou les tritons sont utiles à l'élimination de certaines espèces d’insectes et d’invertébrés (moustiques, limaces…), propriété qui fait de ces petites bêtes une espèce protégée par la loi. Or, chaque année pendant leur migration, ces animaux sont exposés à la raréfaction de leurs espèces sauvages. En effet, écrasés par millions sur la route, les crapauds disparaissent avant de rejoindre leur lieu de reproduction. Une espèce d'amphibiens sur cinq serait en voie de disparition en France.Entre outre, leur présence sur la route est un danger pour les automobilistes, dont les pneus peuvent glisser et être déviés d'une trajectoire. L’Association pour les Animaux Sauvages (ASPAS) propose donc aux particuliers de "les aider à aider les crapauds". L’association diffuse gratuitement un guide de conseils et propose des panneaux signalétiques adaptés, à placer aux abords des routes. Pour éviter leurs écrasements, il faut aider les crapauds à traverser "Vous constatez des écrasements de crapauds, et vous ne savez pas comment agir ? Voici différents degrés d’action", informe le site internet de l'ASPAS : - Le plus simple et le plus immédiat : ramassez-les et faites-les traverser. Leur venin n’est absolument pas toxique pour l’homme, il faut juste ne pas se frotter les yeux. Pour ne pas abîmer leur peau fragile, mouillez-vous les mains avant de délicatement les saisir. Votre seul matériel sera une torche, un seau et un gilet fluo. Théoriquement, il est interdit de transporter des espèces protégées sans autorisation. Mais il vaut mieux aider les amphibiens à traverser sur quelques mètres, plutôt que d’assister, impuissant, à leur destruction, tout aussi illégale.- Un peu plus collectif : rassemblez des volontaires et organisez des roulements. Vous pouvez également coller des affiches chez les commerçants pour sensibiliser les gens. Pour une action efficace et à plus fort impact, il faut contacter une association locale de protection de la nature et l’ASPAS pour vous aider dans vos démarches. Écrire au Conseil général et à la mairie, obtenir leur aide, leurs autorisations, etc. Des panneaux de signalisation L’ASPAS propose également aux particuliers, aux mairies et aux associations des panneaux de signalisation, réfléchissants, en PVC, semblables aux panneaux routiers. Leur présence oblige les automobilistes à ralentir pour ne pas engager leur responsabilité en cas de dérapage. À noter que leur pose sur la voie publique est soumise à autorisation accordée par les Conseils généraux ou les mairies. L’idéal est bien sûr d’obtenir la réalisation d’un crapauduc, la plus efficace des protections. Il s'agit de tunnels aménagés qui laissent les petites bêtes passer directement sous les voies, à l’abri des pneus des voitures. Il en existe quelques-uns en France, mais trop peu face à l’ampleur du problème. En attendant, l’urgence reste de limiter concrètement les hécatombes de crapauds. Source -
Une araignée géante dans les bananes du Lidl à Londres
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Une araignée géante dans les bananes du Lidl à Londres Un quadragénaire, qui faisait ses courses dans un magasin Lidl situé près de Londres, a eu la désagréable surprise de trouver une énorme araignée dans une caisse de bananes.Selon Mark Drinkwater -le client toujours sous le choc- l'arachnide ressemblait à une mygale et était aussi grande que la paume de sa main. C'est en s'emparant d'une main de bananes dans ce supermarché de Sydenham, à quelques kilomètres de Londres, que cet homme a découvert l'araignée bien accrochée à l'un des fruits."Elle était poilue et vraiment effrayante", confie-t-il au Metro. "J'ai secoué la banane et la 'mygale' est tombée dans la boîte". "A cet instant je n'ai pas vraiment paniqué", avoue-t-il. "Mais plus tard, je pouvais sentir mon coeur battre dans ma poitrine".L'araignée a été placée dans un tupperware et des experts ont été appelés sur les lieux. Le magasin Lidl n'a pas fermé ses portes pour autant. Seule la caisse de bananes concernée à été mise à l'écart. Source -
Un lézard géant baptisé Jim Morrison «Je suis le Roi Lézard. Je peux tout», écrivait Jim Morrison dans son poème «The celebration of the Lizard». Par AFPDes paléontologues ont annoncé mercredi avoir baptisé un lézard géant qui vivait il y a 40 millions d’années «Barbaturex morrisoni», en hommage au chanteur des Doors, Jim Morrison, célèbre pour sa fascination pour les reptiles et le chamanisme.«Je suis le Roi Lézard. Je peux tout», écrivait Jim Morrison dans son poème «The celebration of the Lizard». «Barbaturex morrisoni» est l’un des plus gros lézards connus à avoir jamais vécu sur terre, selon les paléontologues qui décrivent mercredi dans une revue de la Royal Society britannique un fossile découvert en Birmanie. Il mesurait environ 1,80 m du museau à la queue et pesait jusqu’à une petite trentaine de kilos. Il était herbivore.Le fossile a été daté de l’éocène moyen-supérieur, une période où la terre était tellement chaude qu’il n’y avait pas de glace aux pôles.«Nous pensons que le climat chaud pendant cette période a permis l’évolution de lézards de grande taille, herbivores, capables de rivaliser efficacement avec les mammifères», a déclaré Jason Head (Université du Nebraska-Lincoln, Etats-Unis) qui a conduit l’étude.«Barbaturex» signifie «roi barbu», car l’équipe a trouvé des crêtes sur la face inférieure de la mâchoire du lézard qui font penser à une barbe. «Morrisoni» fait référence au chanteur des Doors, mort à 27 ans en 1971 à Paris.«J’ai pas mal écouté les Doors pendant mes recherches», a déclaré Jason Head. «Leur imagerie musicale inclut des reptiles et des sites archéologiques, et Jim Morrison était bien sûr le Roi Lézard, de sorte que ça colle bien», a-t-il ajouté. Source
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Martel. Reptiland accueille de nouveaux spécimens rares
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Martel. Reptiland accueille de nouveaux spécimens rares Le vivarium de Martel abrite de nouveaux pensionnaires tout à fait exceptionnels comme un «varan de King» ou un «boa Canin». Des animaux très rares à découvrir.A la veille de la saison estivale, de nouveaux pensionnaires sont arrivés au vivarium de Martel. Des invités d'exception qui valent le détour. «C'est tout à fait exceptionnel. Nous avons l'habitude de placer les bébés nés ici dans d'autres parcs et de faire des échanges. Et cette année, nous avons en retour des animaux relativement rares» souligne avec bonheur le directeur de Reptiland, Antoine Gouygou. Un «varan de King», le seul exposé en France Le site vient d'accueillir des reptiles peu communs comme le «varan de King», l'un des plus petits varans du monde et le seul exposé à ce jour dans un parc en France. Endémique en Australie, ce varan est un chasseur ingénieux. Si un insecte est localisé dans un trou inaccessible, il se servira de sa longue queue pour le débusquer. Autre spécimen rare fraîchement arrivé à Martel : un boa canin (ou boa émeraude) qui possède une dentition impressionnante ce qui lui permet notamment de traverser l'épais plumage des oiseaux. D'autres nouveaux venus comme un python vert, un ratier des mangroves ou encore un serpent taureau susciteront la curiosité des visiteurs.Plusieurs centaines de reptiles sont ainsi présentés à Reptiland tout au long de l'année. «C'est la plus grande collection de reptiles d'Europe présentés en lumière du jour, en particulier en venimeux» résume le directeur qui n'est autre que le fils du fondateur, Pancho Gouygou. Reptiland dont l'ambition depuis sa création en 1990 est de donner une autre vision des reptiles permet aux familles de se balader librement autour des animaux. «Les gens tournent autour d'hexagones d'une façon tout à fait sécurisée, plus sécurisée que dans la nature même car nos animaux sont désensibilisés au stress», indique le responsable.L'accueil régulier de nouveaux pensionnaires permet au vivarium de se renouveler. De fidèles visiteurs reviennent pour découvrir les nouveaux animaux et apprécier les changements apportés au site. La saison s'annonce bien avec une fréquentation au printemps comparable à l'année dernière. Reste à espérer un meilleur été qu'en 2012. Une équipe de trois personnes œuvre au bon fonctionnement du site qui a su se relancer après un très grave incendie survenu en 2011. La passion est intacte pour des animaux encore mal connus mais toujours fascinants.Reptiland est ouvert du mardi au dimanche de 10 heures à 12 heures et 14 heures à 18 heures (hors juillet et août) et du lundi au dimanche de 10 heures à 18 heures (en juillet et août). Contact : 05 65 37 41 00 ; www.reptiland-le-renouveau.fr 213 naissances Preuve du bien-être des animaux hébergés et choyés à Reptiland, les quelque 213 bébés nés l'an dernier au cœur du vivarium. «Les reptiles sont tranquilles, calmes. Ils mangent, se baladent et se reproduisent même», confirme le directeur Antoine Gouygou qui précise que les incubateurs sont actuellement tous pleins. «Nous avons déjà 26 œufs…».Après la naissance de petits caméléons récemment, le carnet rose et bleu vient de s'allonger avec l'arrivée de deux bébés anacondas ce week-end. Les petits sont ensuite donnés à d'autres sites et parcs situés en France ou à l'étranger. «C'est important de faire circuler les animaux notamment pour protéger les espèces», explique le responsable. Source -
Découverte de deux nouvelles espèces de mini-salamandre en Colombie
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Découverte de deux nouvelles espèces de mini-salamandre en Colombie Les biologistes ont découvert deux nouvelles espèces de salamandre dans le parc national naturel de Tamá en Colombie. Bien que cette découverte doive être source de célébration, la nouvelle a été atténuée par le fait que les deux espèces soient déjà infectées par la maladie fongique mortelle, connue sous le nom de Batrachochytrium dendrobatidis (Bd), qui a anéanti des espèces d’amphibiens à travers le monde. Les nouvelles salamandres appartiennent toutes deux au genre des Bolitoglossa, qui sont des salamandres aux pattes palmées trouvées dans les Amériques tropicales. "La découverte d'une nouvelle espèce est quelque chose que beaucoup d'entre nous, qui travaillons avec des espèces animales ou végétales, désirent silencieusement," avoue à mongabay.com l'auteur principal Aldemar Acevedo à l'université de Pampelune en Colombie. «La découverte la plus importante de notre étude a eu lieu en 2010, lorsque nous avons trouvé deux espèces de salamandres [...] car les espèces de ce groupe n’étaient pas signalées dans cette région." Découverte sur le flanc est de la cordillère des Andes, Acevedo et son équipe ont nommé l'une des nouvelles espèces la salamandre Tama (Bolitoglossa tamaense) d’après le nom du parc national naturel de Tamá, et l'autre salamandre Leandra (Bolitoglossa leandrae) inspiré du nom d’une fille de la région, Leandra Mojica. Leandra a grandi fascinée par le monde des amphibiens," Acevedo a déclaré dans un communiqué de presse. "Elle souhaitait ardemment en savoir plus sur notre travail et elle est devenue une excellente porte-parole pour la conservation de la nature au sein de la communauté." Les salamandres sont minuscules : la salamandre Tama peut atteindre une longueur de 5 centimètres (2 pouces) alors que la salamandre de Leandra fait la moitié de cette taille : 2,5 cm (1 po), soit environ la taille d'un quart américain (pièce de 25cts de dollars). Les deux espèces semblent également être rares. La salamandre Tama a été trouvée dans deux localités, alors que la salamandre de Leandra a été trouvée dans une seule. Plus inquiétant, les scientifiques ont découvert que les spécimens des deux espèces sont infectés par le Bd. Le champignon conduit à la chytridiomycose, une maladie qui provoque une insuffisance cardiaque chez les amphibiens en empêchant l'écoulement de sodium et d'autres électrolytes sur leur peau. La maladie est tenue responsable d’un certain nombre d'extinctions d’espèces au cours des dernières décennies. «C'est la première fois que Bd est signalé dans cette région de Colombie, nous sommes inquiets car un grand nombre de spécimens de Bolitoglossa sont contaminés, ainsi que 24 des 34 autres espèces d'amphibiens sont infectés,» dit Acevedo. «Nous devons mettre en place un suivi plus approfondi pour évaluer la véritable menace dans cette région." La disparition de son habitat est une autre menace pour la salamandre, d’après les auteurs qui écrivent que «tous les spécimens de Bolitoglossa tamaense et Bolitoglossa leandrae ont été trouvés dans de petites parcelles de forêt secondaire entourées par de vastes pâturages utilisés pour l'élevage et l'agriculture, deux activités à l’origine d’une déforestation de plus en plus prononcée des forêts restantes». En dépit de la déforestation et de la maladie, Acevedo a informé mongabay.com qu'il pourrait y avoir d'autres nouvelles espèces dans la région, attendant d’être découvertes. "Le parc Tama dispose d'une grande diversité cachée d'espèces d'amphibiens, notre projet a signalé plusieurs espèces qui n'étaient pas connus dans cette région auparavant, deux nouvelles espèces et plusieurs autres non décrites», dit-il. Actuellement, la région accueille plusieurs programmes sociaux et éducatifs travaillant avec la population locale sur des questions de conservation. Acevedo déclare que la prochaine étape sera de «développer un plan de gestion pour les habitats menacés" afin de réaliser à long terme des projets de restauration des forêts. Source -
Une tortue marine dépecée à Teahupoo TAIARAPU OUEST, lundi 3 juin 2013. Deux hommes comparaîtront le 12 novembre prochain devant le tribunal correctionnel pour avoir capturé, tué et dépecé une tortue marine afin d’en consommer la viande. Les faits se sont déroulés au cours du week-end dernier à Vairao sur la commune de Taiarapu Ouest. Selon les premiers éléments recueillis par les gendarmes un homme est sorti en kayak dans le lagon en face de chez lui pour aller capturer une tortue marine. Le lendemain, la tortue est vendue 15 000 Fcfp à un autre homme pour sa viande. Les gendarmes sont prévenus par une autre personne qui a vu deux hommes en train de dépecer la tortue. Une patrouille de la gendarmerie de Taravao se rend dimanche à la mi journée vers Teahupoo, côté montagne, et découvrent deux hommes en train de conditionner la viande de tortue. L’un est celui qui a acheté la tortue à un pêcheur, le second est son beau frère. A leur domicile 9 kg de viande de tortue et 3 kg d’abat et de carapace sont découverts. Ils sont détruits immédiatement. Chez le pêcheur qui avait capturé la tortue, les gendarmes saisissent la somme 13 000 Fcfp en numéraire et le kayak utilisé pour se rendre à la chasse. Rappelons que les tortues marines sont une espèce protégée en Polynésie française depuis 1990. Selon le code de l’environnement sont interdits le transport, la détention, la collecte, la commercialisation, l’importation ou l’exportation de toute tortue marine. Les contrevenants s’exposent à une peine de prison de 3 mois à in an de prison et/ou à une amende allant de 100 000 à 980 000 Fcfp ; ainsi qu’à la saisie immédiate des moyens de transport et engins de pêche utilisés pour ces captures illicites de tortues. Source
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Le Python qui porte chance La police et l'administration forestière sont dans l'embarras depuis depuis que les villageois se réunissent à la maison d'un fermier pour prier et recevoir les bénédictions d'un python.Chan Tha , agriculteur de 40 ans est devenu une célébrité locale depuis qu'il a trouvé un python de trois mètres de long, vingt kilos, et ses 39 bébés près de son domicile, en allant chercher des grillons . Ce serpent posséderait des pouvoirs magiques et des centaines de villageois viennent depuis quelques jours lui rendre visite par centaines, dans la demeure de l'agriculteur, où séjourne le python et sa nombreuse famille.Prier le python pour la bonne chance est synonyme de don aussi l'histoire porte avant tout chance et réussite financière à son détenteur. Pas question donc pour Chan Tha de libérer le python aux œufs d'or, quant à l'administration elle préfère laisser couler l'histoire pour le moment, espérant que le python finira par perdre de sa popularité , plutôt que de s'attirer la colère des croyants, en le rendant à la nature.Si vous souhaitez, vous aussi bénéficier de la bonne chance, c'est à Phsar Chnang que vous pourrez le rencontrer. R.B Source
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Un 4 et demi devient un centre d’hébergement pour animaux
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Un 4 et demi devient un centre d’hébergement pour animaux Ian Paquette et Mélanie Desfosses vivent à Longueuil avec 147 colocataires qui mangent énormément, font des dégâts et ne payent rien. Malgré tout cela, le couple les aime d’un amour inconditionnel.Leurs colocataires sont des serpents, lézards, geckos, iguanes, gerbilles, poissons, oiseaux, chiens et chats. Tout ce beau monde dans un 4 et demi à Longueuil, transformé en centre d’hébergement pour animaux.«On travaille dans une animalerie et les gens nous appellent affectueusement les deux mère Teresa», raconte Ian Paquette.L’histoire d’amour pour les animaux a débuté pour M. Paquette, lorsqu’il était enfant.«Je me rappelle lorsque j’étais petit et que je fouillais dans la terre pour rapporter des couleuvres à la maison.»Pour Mme Desfosses, rescaper les animaux fait partie intégrante de sa vie.«Sauver des animaux est une habitude. Si j’avais beaucoup d’argent, je construirais un vrai refuge, surtout pour les reptiles abandonnés», déclare Mme Desfosses.Le couple, qui s’est rencontré dans une animalerie, dépense 250 $ par mois pour la nourriture.L’appartement contient des aquariums, des terrariums humides et désertiques, des cages, des bocaux et des litières.«À tour de rôle, on se relaie pour le ménage. Habituellement, Mélanie s’occupe des terrariums désertiques et moi, des terrariums humides et des aquariums», explique Ian Paquette.Abandon des animauxSelon le couple, les Québécois ont la fâcheuse habitude d’abandonner leurs animaux.De l’avis de M. Paquette, les clients ne sont pas assez informés lorsqu’ils font l’acquisition d’un animal domestique.«Les gens se débarrassent vite des animaux. Ils peuvent trouver un lézard mignon, mais ne savent pas qu’il mesurera 7 pieds à l’âge adulte», avance M. Paquette.Selon Mme Desfosses, une partie de la population ne saurait même pas à qui s’adresser pour signaler un animal abandonné ou à donner.«J’ai adopté une chatte abandonnée devant la porte de l’animalerie qui grelottait, pendant une journée d’hiver à moins 40 degrés», raconte Mme Desfosses.Dépressif et dangereuxPlusieurs animaux ont une histoire attachante qui les distingue.C’est l’exemple de Cookie, une perruche qui aurait perdu la moitié de ses plumes, à la suite d’une grosse dépression.«Cookie a commencé sa dépression en perdant son meilleur ami. Le piquage (l’action de s’arracher les plumes) est très commun chez les oiseaux dépressifs», soutient Mme Desfosses.Dans un des aquariums se trouve le prédateur Sneak Head, un poisson provenant de la Thaïlande.«Le poisson mesure 8 pieds et se nourrit de poissons rouges. Il est maintenant interdit aux animaleries d’Amérique du Nord d’en posséder. Il est devenu, aux yeux de la loi, trop dangereux», confirme M. Paquette.► 500 000 animaux domestiques sont abandonnés chaque année au Québec.LA LISTE COMPLÈTE DES ANIMAUXAQUARIUM 129 congos2 barbus gris rouge1 requin tricolore3 cory sterbai4 glass catfishAQUARIUM 28 boesemani arc-en-ciel2 parkinson arc-en-ciel8 barbus dorés6 tetras serpea hifin2 valentinas2 anges1 green ghost pleco1 betaAQUARIUM 34 oranges devils2 Jack Dempsey rouges3 Jack Dempsey bleus3 black convict1 albinos convict4 jewel1 pleco albinosAQUARIUM 41 snakehead empereur1 catfishAQUARIUM 53 poissons rouges2 grenouilles1 kribensisAQUARIUM 62 polypterus endilcheriBOCAL1 beta3 chats1 chien2 cockatiels2 tourterelles1 pacman (en pension)1 white’s tree frog2 basilics verts1 dragon des montagnes4 dragons barbus8 geckos léopards1 fat-tailed gecko2 varans des savanes1 iguane rouge1 vinegaroon3 desert skink1 hognose (couleuvre)7 corn snakes1 rosy boa1 boa des sables5 gerbilles1 degus Source