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Max|mum-leterrarium

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  1. Espèces vulnérables: Protéger les tortues géographiques Peu de gens savent que des tortues géographiques vivent dans le Saint-Laurent, à l'ouest de l'île. Classée «vulnérable», cette espèce aquatique fait l'objet d'un plan de conservation sur cinq ans. Cette semaine, des grillages seront installés pour protéger les sites de pontes.La tortue géographique préfère les lacs et les rivières. Au Canada, elle n’est présente que dans le sud-est de l'Ontario et le sud du Québec, où elle est associée au bassin hydrographique des Grands Lacs et du fleuve Saint-Laurent. Ses effectifs reposent sur deux principales populations : celle du lac des Deux Montagnes et celle de la rivière des Outaouais.La tortue doit faire face à plusieurs menaces. Les sites de ponte de l’animal et son habitat sont détériorés par les constructions humaines. Dans l’eau, la tortue est fréquemment blessée par les hélices de bateaux. Ses œufs font le régal des ratons laveurs, des renards et des mouffettes.«Pendant deux ans, des émetteurs ont été installés sur les carapaces d’une soixantaine d’entre elles, raconte Denis Fournier, technicien en aménagement de la faune pour la direction des parcs et du verdissement. Cela nous permet de connaître leur déplacement, les endroits où elles passent l’hiver, où elles pondent leurs œufs et où elles prennent des bains de soleil, car ce sont des animaux à sang froid».Le plan de conservation consiste aussi à discuter avec des propriétaires de domaines privés sur lesquels des tortues viennent pondre. «Les gens ne savent pas toujours qu’il y a des tortues géographiques chez eux», note M. Fournier.Le nom de l'espèce fait référence, selon le ministère de la Faune, aux motifs de la partie supérieure de sa carapace qui rappelle les courbes de niveau d'une carte topographique. «Elle a une crête de la tête à la queue», décrit M. Fournier. Sa taille adulte varie entre 17 et 27 cm. «Elle est assez discrète, assure M. Fournier. Dès qu’on l’approche, elle plonge».Un observatoire sera ouvert cet automne au parc nature Cap-Saint-Jacques. Pour l’instant, il est recommandé de ne pas toucher ou déplacer un spécimen, mais de signaler sa présence au ministère de la Faune au 418 643-4680, poste 287, ou par courriel à capitale-nationale@mrnf.gouv.qc.ca. Source
  2. Première année de reproduction pour Lilith et Goliath. Eh oui, les mêmes qui se reproduisent en exposition devant lea yeux interrogatoires des enfants. Elle ne pond pas nécessairement aux bons endroits et elle tourne les œufs en plus mais quand pris live comme ça on peut réagir en conséquence
  3. Il faut sauver la tortue Cistude menacée de disparition dans le Var Oubliez le cliché de Franklin la Tortue, gentil avec tout le monde et fier de sa casquette rouge. Le - vrai - monde des - vraies - tortues ressemble plus à l'univers de Dallas. Impitoyable.Voilà quelques années, il suffisait de pousser la porte de n'importe quelle animalerie pour se procurer une tortue de Floride. Mais si, celles avec les bandes rouges sur les tempes. Elles étaient toutes petites, toutes mignonnes. Elles ne prenaient pas beaucoup de place et une bassine dans un coin de votre salon pouvait leur suffire. Seulement voilà, la petite tortue a - beaucoup - grandi. Elle est devenue vorace, ne tient plus dans la bassine et, en plus, elle peut facilement vivre jusqu'à 30 ans. Vous n'êtes donc pas sorti de l'auberge... Vos enfants aussi, entre temps, ont grandi. Et la tortue ne les intéresse plus ! Résultat : plein de bonne volonté, vous allez la relâcher dans la nature, en se disant qu'elle y sera bien mieux. Pas entièrement faux, soyons honnête. Mais il y a un hic, et de taille.Pousse-toi d'là que je m'y mette !Sur le territoire où vous remettez la bestiole en liberté, vit une autre espèce, endémique celle-là. La Cistule d'Europe. Aujourd'hui, elle est menacée de disparition et un programme européen a été mis en place pour lui venir en aide. Car la Cistule et la Floride vivent sur le même territoire, mangent la même chose, adoptent le même comportement. La différence : la Floride est beaucoup plus grosse et beaucoup plus agressive. Autrement dit, petit à petit, elle chasse la Cistude...Depuis 1997, l'importation des Floride est interdite. Pourtant, on en trouve régulièrement des très jeunes. Un constat inquiétant qui révèle que, en plus de mettre le bazar dans un écosystème qui n'est pas le sien, la tortue s'y est tellement bien adapté, qu'elle s'y reproduit.Stéphane Gagno, chef animalier au Village des tortues de Gonfaron accueille quasiment tous les jours de nouveaux spécimens. Son refuge arrive à saturation et il s'inquiète pour l'avenir.80 % d'hybrides chez les particuliers« Aujourd'hui, les lois sont contournées et on retrouve à l'importation des tortues d'Asie ou d'Afrique qui poseront exactement les mêmes problématiques que la Floride. Les animaux exotiques relâchés dans les milieux naturels sont la deuxième cause de disparition des espèces endémiques. »Un inventaire réalisé dans les Salins d'Hyères a démontré qu'en quelques années, la population de Cistudes est restée relativement stable. En revanche, celle de tortues exotiques a explosé. Et ce n'est pas tout. « Il y a toujours des particuliers qui rejettent leurs tortues dans la nature, souvent des tortues terrestres d'ailleurs. Ils se disent qu'ainsi, ils aident à protéger l'espèce. C'est faux, 80 % des tortues détenues par des particuliers sont des hybrides, qui représentent elles aussi un danger pour l'écosystème. » Source
  4. La tortue verte se porte mieux, mais sa protection reste vitale À Hawaï, la tortue verte se refait une santé. Protégée depuis plus de 30 ans, elle réinvestit les îles pour pondre. Cependant, des écologues montrent que l’on est bien loin des niveaux historiques, antérieurs au XXe siècle.La tortue verte (Chelonia mydas) a longtemps été chassée pour sa chair, ses œufs réputés aphrodisiaques et ses écailles. Classée comme espèce en voie de disparition, elle est protégée depuis 1978. Si le braconnage ne s’est jamais réellement arrêté, l’espèce reprend tout de même peu à peu ses droits. La tortue vit dans toutes les eaux tropicales, et fait l’objet d’une surveillance rapprochée sur l’archipel d’Hawaï. La NOAA a en effet mis en place un programme de suivi de l’espèce qui montre que ces 30 dernières années, la quantité de tortues vertes à Hawaï a considérablement augmenté.Bonne nouvelle donc pour ce reptile, mais il est encore largement en sous-effectif par rapport aux niveaux historiques. Une équipe d’écologues basés à Hawaï montre que si le stock local de tortues se reconstitue, il ne justifie en rien l’allégement de la protection de l’espèce. En effet, les chercheurs ont comparé l’écologie de l’animal pour les périodes 1250-1950 et 1973-2012. L’étude suggère qu’entre les deux périodes, 80 % des sites de ponte sur les îles de l’archipel d’Hawaï ont disparu. Les bébés tortues vertes sont les proies des crabes, des oiseaux marins et de tout autremammifère qui s'aventure sur les plages. Sur les îles de l’archipel d'Hawaï, il n'y a plus qu'un seul gros site de ponte pour les tortues vertes. Le braconnage a fait fuir l'espèce. Manuel Heinrich Emha, cc by sa 2.5 L’équipe a rassemblé des données issues des carnets de bord de pêcheurs, des sites archéologiques et des archives locales pour étudier l’évolution de l’espèce. Ils se sont aussi servis des données récentes du Pacific Islands Fisheries Science Center de la NOAA, chargé du programme de surveillance. Toutes ces informations ont permis de déterminer l’abondance de l’espèce, sa distribution géographique et l’évolution du braconnage en fonction du temps. Leurs résultats sont publiés dans la revue Ecography.Avancée dans la conservation des tortues vertesLa majorité des sites historiques de ponte ont disparu. Parmi ceux qui restent, la taille a largement diminué. En outre, le seul grand site de ponte restant sur l’île, le banc de sable de la Frégate française, est menacé par la hausse du niveau de la mer. Il compte pourtant pour 90 % de la reproduction.« Les Hawaïens ont su cohabiter avec les sites de nidification des tortuesvertes jusqu’au début du XXe siècle, lorsque les sites de nidification pouvaient encore être trouvés sur les principales îles hawaïennes », commente l’auteur John Kittinger.Peu à peu, la pêche traditionnelle a régressé et le stock de tortues a chuté drastiquement. Les tortues ont été abattues sur les sites de nidification, l’habitat a été détruit et le braconnage des nids et des œufs a perduré jusqu'au début des années 1960. L'augmentation de l'abondance de la nidification des tortues est une avancée dans la conservation de l’espèce. Elle s'est produite malgré l'augmentation relativement récente des cas de fibropapillomatose, une maladie tumorale très répandue chez les tortues vertes qui résident à Hawaï. Mais avant de revenir aux quotas historiques, il y a encore du chemin à parcourir. Source
  5. La mygale rose du Chili, nouvel animal de compagnie Cette espèce d'araignée géante est docile, frugale, et n'a pas besoin de promenade. Même si elle est inoffensive, les arachnophobes vont hurler. Cette araignée géante est devenue le dernier animal de compagnie exotique à la mode et s'exporte comme des petits pains dans le monde entier. Pour une vingtaine d'euros et une alimentation composée essentiellement de cafards et de vers de terre vivants à donner une fois par semaine, la mygale rose du Chili peut devenir un animal de compagnie à la portée de tous. Et pour longtemps, la femelle pouvant vivre jusqu'à 25 ans."Tout le monde ne peut pas s'occuper d'un chien ou d'un chat. Les mygales sont plus économiques et n'ont pas besoin d'attention constante. Aujourd'hui, le monde a changé et avec les nouvelles technologies et la télévision, les gens découvrent ce type d'animaux exotiques et veulent en avoir à la maison", explique le vétérinaire chilien Juan Gonzalez.30 000 mygales exportéesChaque année, Juan Pablo Orellana élève, dans sa ferme située au nord de Santiago, cette tarentule géante trapue et velue, mais inoffensive malgré sa quinzaine de centimètres de diamètre. Ce passionné exporte quelque 30 000 mygales, qui sont transportées en avion dans de petites boîtes spéciales et munies d'un certificat officiel."Le plus fascinant pour moi est de partir à la découverte de nouvelles espèces d'araignées", confie Orellana. Il précise qu'au Chili seulement 11 espèces de mygales ont été répertoriées scientifiquement, bien que lui en ait capturé une vingtaine de variétés, dont certaines à abdomen rouge, d'autres rayées ou de couleur cuivrée ou rose, plus ou moins velues. Après des études d'agronomie, Orellana, dont la maison était déjà remplie d'araignées qu'il vendait avec succès sur Internet, a décidé d'en faire son métier et de créer la compagnie Andespiders, dans laquelle travaille presque toute sa famille.Un personnel féminin, car plus douxLe personnel de la ferme d'élevage d'araignées, désormais éloignée de la maison est essentiellement féminin. "Nous avons besoin de beaucoup de main-d'oeuvre très spécialisée et je préfère travailler avec les femmes, car les araignées sont très fragiles et si on leur casse une patte ou les laisse tomber, elles peuvent mourir", indique Orellana.Le processus d'élevage doit se dérouler avec précaution, compter avec une alimentation à base de grillons ou de vers et veiller à maintenir les araignées séparées. "Pour parvenir à une taille commerciale, il faut de deux ans et demi à trois ans, donc, ce n'est pas rentable d'investir dans des espèces moins rares qui se vendent bon marché", explique-t-il."Les araignées doivent vivre seules, elles ont ça dans leur ADN, elles ne peuvent même pas vivre en couple. Quand elles sont jeunes, elles commencent à se disputer et il faut les séparer pour éviter tout cannibalisme", indique le vétérinaire González, qui conseille Orellana.Cadeau de fiançaillesLe gros des exportations se fait vers les États-Unis, plus intéressés par le volume que la variété, les clients étant généralement des "grossistes". Les clients européens sont plus spécialisés et demandent moins de quantité d'araignées, mais davantage de variétés. Récemment, Orellana a également fourni en araignées le département de technologie médicale de l'université d'Antofagasta (nord), qui fait des recherches sur les propriétés anticancéreuses et antibactériennes du venin d'araignée et de scorpion.Vêtues de blouses blanches, portant masques et gants de latex, deux employées de la ferme s'activent à préparer un colis de 3 000 araignées en partance pour l'Allemagne et de nouveaux maîtres. Une araignée pourtant n'est pas à vendre : il s'agit de "Rufina", une énorme bête velue couleur café et grande comme la paume de la main, le précieux cadeau qu'Orellana a fait à son épouse lorsqu'ils se sont fiancés. Source
  6. Une nouvelle tortue blessée par fusil harpon Une nouvelle pensionnaire est arrivée à La Clinique des tortues marines de Moorea le samedi 1er juin. Tuffy est jeune tortue verte de 8 kg pour 45 cm qui a été trouvée dans le lagon de Tikehau. Blessée par fusil harpon au niveau du cou et présentant de multiples plaies sur la tête la carapace et les nageoires, elle fait maintenant l’objet de soins vétérinaires en attendant sa guérison puis sa relâche. L’équipe de Te mana o te moana tient à remercier l’ensemble des personnes qui ont permis son rapatriement à la Clinique de Moorea : le Ninamu Resort et Chris O Callaghan qui ont découvert et placé la tortue dans un endroit sûr, la Direction de l’Environnement qui a coordonné le transport et fourni les autorisations nécessaires, Air Tahiti qui permis le transport de la tortue dans le cadre de la convention de partenariat avec Te mana o te moana et le centre écologique du Méridien de Bora Bora. Tuffy est la deuxième tortue blessée par flèche qui arrive depuis début 2013 à la Clinique des tortues. Sammy, une jeune tortue imbriquée d’à peine 1,5 kilos, dont la chair est toxique, avait été trouvée quelques mois plus tôt par des collégiens de Moorea. L’association Te mana o te moana rappelle la réglementation en vigueur : En l’état actuel, et conformément aux dispositions du code de l’environnement de Polynésie française, toutes les espèces de tortues marines sont protégées. A ce titre, leur destruction, mutilation, perturbation intentionnelle, capture ou enlèvement, la naturalisation de spécimens vivants ou morts et de leurs oeufs, leur transport, colportage, utilisation, détention, mise en vente, vente ou achat sont strictement interdits par le code de l’environnement qui réprime sévèrement de tels agissements. Depuis sa création en septembre 2004, la Clinique des tortues de Moorea a accueilli plus de 300 tortues provenant de tous les archipels dont une part importante a été blessée par l’homme. Autorisée par arrêté ministériel et située au sein de l’InterContinental Moorea Resort and spa, elle est gérée par l’association Te mana o te moana et composée d’une équipe de vétérinaires, biologistes, techniciens et bénévoles. Pour joindre la Clinique des tortues : La Clinique des tortues de Moorea , tel : 56 40 11 ou 71 53 44 temanaotemoana@mail.pf www.temanaotemoana.org https://www.facebook.com/pages/Te-mana-o-te-moana/337315459621623 Source
  7. Les scientifiques découvrent l’origine de la carapace des tortues La carapace des tortues a subit une évolution des millions d’années durant pour finalement avoir la forme actuelle qui permet au reptile de se protéger des dangers extérieurs.La carapace de tortue est une curiosité du monde vivant. Constituée d’une cinquantaine d’os différents, elle comprend un fond plat, le plastron, et une dossière convexe, réunis par des ponts osseux. Contrairement aux autres animaux à carapace, chez lesquels elle se forme à partir d’écailles présentes dans la peau, la carapace des tortues dérive directement de leur squelette.La manière dont l’étonnante carapace des tortues est apparue au cours de l’évolution fait depuis longtemps débat parmi les spécialistes des reptiles. Pour éclaircir la question, ceux-ci n’avaient jusqu’à récemment à leur disposition que des fossiles vieux de 215 millions d’années. Or, les tortues étaient déjà équipées d’une carapace parfaite à cette époque.La découverte en 2008 en Chine des restes d’une espèce disparue appelée Odontochelys semitestacea et datant d’il y a 220 millions d’années a apporté de nouveaux éléments à l’enquête. Cette tortue ancienne n’était en effet munie que d’une demi-carapace ventrale.Tyler Lyson, chercheur à l’université de Yale, explique que dans les embryons de tortues, ce sont d’abord les côtes puis la colonne vertébrale qui s’élargissent, puis se fusionnent. Ils sont ensuite complétés par une espèce de peau.Dès lors que les côtes jouent un rôle primordial dans le système respiratoire, les tortues ont dû trouver un autre moyen de respirer, avance M. Lyson. « Elles ont réussi cela en développant un nerf unique dans la région ventrale. Ce nerf enlace le poumon et les autres organes de la tortue et l’aide à respirer », dit-il.La présence de fer, potassium, magnésium et acide lactique dans la carapace de la tortue lui permet aussi de rester plus longtemps sous l’eau que les autres reptiles, ajoute M. Lyson. Source
  8. D'ici 20 ans, plusieurs espèces d'amphibiens pourraient avoir disparu de la moitié des habitats qu'elles occupent actuellement aux Etats-Unis. C'est la conclusion d'une étude de l'Institut d'études géologiques des Etats-Unis (United States Geological Survey - USGS) publiée le 22 mai [1]. Les espèces d'amphibiens, dont certaines étaient considérées comme ayant un habitat stable et largement répandu, déclineraient en réalité à un rythme alarmant.Les déclins de populations d'amphibiens sont particulièrement inquiétantsLes menaces de disparition des amphibiens à travers le monde sont assez bien connues mais on parle généralement de risques d'extinction sans nécessairement mesurer le rythme auquel cette extinction a lieu en ce moment-même. Les équipes de l'USGS ont mesuré, entre 2002 et 2011, sur 34 sites répartis sur le territoire américain, le niveau de changement de la présence de 48 espèces d'amphibiens dans leurs habitats potentiels (étangs, lacs, marécages...) [2]. Cette estimation de la vitesse d'extinction des grenouilles, des crapauds et des salamandres se révèle assez alarmante. En moyenne, la population de l'ensemble des amphibiens étudiés décline à un taux de 3,7% par an. Plus alarmant encore, les espèces listées sur la liste rouge de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (International Union for Conservation of Nature - IUCN) déclinent à un rythme de 11,6% par an. Aucune zone ne semble épargnée : des déclins ont été observés de la Louisiane à la Floride ainsi que dans les montagnes de la Sierra Nevada et les montagnes Rocheuses. Même parmi les populations vivant dans des parcs naturels ou des wildlife refuges (refuges fauniques), les populations semblent menacées. Selon Michael Adams, écologiste à l'USGS "même si ces déclins peuvent sembler faibles, ils sont importants. Ces petits nombres s'accroissent avec le temps et conduisent à des déclins dramatiques [3]". Par ailleurs, au-delà de l'attachement des promeneurs sur les sentiers pluvieux au coassement des grenouilles, les amphibiens sont une espèce importante dans les réseaux trophiques et dans les écosystèmes aquatiques, notamment pour la régulation des parasites.Des changements trop importants ou trop rapides pour que les amphibiens s'adaptent ?D'après les scientifiques de l'USGS, les amphibiens sont pourtant des espèces résistantes aux changements. Ils semblent avoir été présents sans interruption dans les milieux aquatiques depuis 350 millions d'années, surmontant les changements qui ont causé l'extinction de nombreuses autres espèces. Cette nouvelle étude laisse donc penser que les changements actuels, par leur importance ou leur vitesse, ne permettent plus aux amphibiens de s'adapter [4] mais elle n'explique pas les causes de ce rapide déclin. Les auteurs évoquent plusieurs pistes régulièrement évoquées, outre la destruction d'habitat, notamment, les maladies, les espèces invasives, la pollution ou les sécheresses [5]. Source
  9. Découverte d’une nouvelle espèce d’amphibien vieille de 130 millions d'années Selon la BBC, des chercheurs britanniques ont découvert sur une île du sud de l’Angleterre les restes fossilisés d’une espèce disparue d’amphibien jusque-là inconnue, le wesserpeton, redoutable combattant malgré sa petite taille. C’est sur l'île de Wight, située sur la côte sud de l’Angleterre, connue pour ses gisements fossilifères, que les chercheurs de l’Université de Portsmouth (Angleterre) ont découvert les restes d’un animal ayant côtoyé les dinosaures au Crétacé inférieur, il y a 130 millions d'années. Bien que fragmentaires, ceux-ci étaient suffisamment nombreux et variés pour se faire une idée globale du squelette et déterminer qu'il s'agit d'une nouvelle espèce. Nommé wesserpeton (ou plus familièrement Wessie), l'animal est un amphibien aujourd’hui disparu et appartenant à la famille des albanerpétontidés. De la taille d'un petit triton, wesserpeton était un "bagarreur" selon le Dr Steve Sweetman, qui a observé sur les os de la mâchoire de l'animal les signes probables de combats acharnés pour la reproduction et la défense du territoire. Les dents pointues, en forme de ciseaux indiquent qu'il s’agissait d’un prédateur. D’autres indices suggèrent également des habitudes de fouisseur. "Jusqu'à la découverte de wesserpeton, il semblait y avoir une transition abrupte entre les os frontaux plus primitifs, allongés et en forme de cloche, des premiers albanerpétontidés, et ceux en forme de triangle des membres plus récents [de cette famille]. Les os frontaux du wesserpeton sont allongés, mais ils sont également triangulaires, comblant adéquatement le fossé entre les deux" conclut le Dr Sweetman. Même si tout le squelette n'a pas été retrouvé, les élément en présence devraient pour le moment suffire. Et les spécialistes continuent d'ailleurs d'explorer l'île de Wight qui a depuis gagné le surnom de "l'île aux dinosaures" à cause du nombre de fossiles qui y ont été retrouvés. (crédits photo : University of Portsmouth) Source
  10. Tournai sauve le boa de la Jamaïque L’exposition «Des serpents et des hommes» organisée au Musée d’Histoire naturelle de Tournai jette un éclairage particulier sur un important programme de sauvegarde du boa de Jamaïque dont la coordination européenne est assurée par le vivarium de Tournai.«Il s’agit d’une espèce endémique à la Jamaïque mais qui est aujourd’hui en voie d’extinction car son habitat est de plus en plus menacé, explique Christophe Remy, conservateur du Musée d’Histoire naturelle. Nous nous sommes rendu compte qu’il existe, en Europe, une population captive d’une soixantaine d’individus. Notre rôle consiste à étudier et à réaliser les meilleurs croisements entre différents spécimens dans le but de préserver le patrimoine génétique de l’espèce». L’exposition explore également la biologie des serpents en général, la manière dont ils sont évoqués dans la mythologie et, enfin, les rapports qu’entretiennent ces animaux et les hommes.«Des serpents et des hommes» au Musée d’Histoire naturelle de Tournai, Cour d’honneur de l’hôtel de ville. Jusqu’au premier septembre, tous les jours sauf le mardi, de 10 à 17h30. Source
  11. Côte-d'Or: Il trouve un serpent derrière le pare-soleil SURPRISE - Le reptile, une couleuvre selon les secours, a été retrouvé par les pompiers, qui ont dû démonter la garniture de l'habitacle... Une rencontre dont il se serait bien passé. Alors qu’il circulait en direction de Saint-Rémy, en Côte d’Or, au volant de son fourgon, mardi après-midi vers 16h30, Gino Lombard, 23 ans, a tout à coup vu surgir un serpent de derrière son pare-soleil,rapporte Le Journal de la Saône-et-Loire.«J’ai vu sortir au même moment la tête et la queue du serpent», a-t-il raconté au quotidien local. Pris de panique -il souffred’ophiophobie, la peur des serpents-, il freine brutalement, et quitte le véhicule en compagnie de son père, qui occupait sur le siège passager. «J’ai une énorme phobie de ces bêtes, et mon père, c’est encore pire», explique-t-il. Une couleuvre Le jeune homme a ensuite appelé les gendarmes. Mais, le temps qu’ils arrivent, le reptile avait disparu. Les pompiers ont alors été appelés sur les lieux. Ils ont démonté la garniture de l'habitacle pour déloger le reptile du pavillon du fourgon, où il avait trouvé refuge. Les secours l'ont ensuite relâché dans un champ. Il s’agirait d’une couleuvre, non-venimeuse, selon les secours.Selon Gino, le reptile a pu se retrouver dans son fourgon lorsqu’il a chargé, plus tôt dans l’après-midi, plusieurs vieux objets de la ferme de sa grand-mère. L’animal aurait ensuite été attiré dans l’habitacle par la chaleur du chauffage.Bérénice Dubuc Source
  12. Y a-t-il un lézard sur Mars ? Une photo intrigante de ce qui ressemble à un petit animal prise par le rover Curiosity déchaîne les passions sur le net. Une « paréidolie » décryptée par Sciences et Avenir. ILLUSION. On appelle ça une « paréidolie ». Un mot complexe pour un phénomène banal et naturel qui consiste à reconnaître des formes diverses et variées (visage, voiture ou clé à molette) dans un nuage, une tâche d’encre ou l’écorce d’un arbre. Alors évidemment, ça marche aussi avec les photos martiennes prises par Curiosity grâce à sa caméra MastCam, placé sur le « mât » du rover à 2,1 mètres du sol.Sur l’une de ces images, un internaute japonais a cru reconnaître un lézard (ou un rat selon les versions) crapahutant dans les reliefs de la planète rouge. Le site ufosightingsdaily.com, qui collectionne les « preuves » photographiques de l’existence des E.T., a relayé cette image qui déchaîne depuis quelques heures les passions de certaines internautes."VISAGE". L’illusion d’optique vous convint-elle ?… Elle en rappelle en tout cas une autre : le fameux « visage » de Mars. Autrement dit un relief photographié dans la région de Cydonia par la sonde Viking 1 il y a une trentaine d’années. La faible définition de la prise de vue et son angle d’éclairage pouvaient donner l’illusion d’un visage, qui alimenta longtemps la machine à fantasmes des amateurs de science-fiction. Mais le charme était rompu par le cliché, plus précis, pris des années plus tard par la sonde Mars Global Surveyor comme Sciences et Avenir le racontait déjà dans son édition de juillet 2001.Le fameux lézard martien n'est donc rien de plus qu'un caillou dont la forme et les jeux d'ombre nous évoque une forme familière... Déçu ? Source
  13. Traçabilité obligatoire des peaux Pour la levée du moratoire sur l'exportation de peaux et dérivés de crocodile, des actions sont lancées. Elles visent, entre autres, à prouver l'abondance de l'animal.Un système d'étiquetage. Pour éviter l'exploitation et la vente illicite de peau de crocodile sur le marché, le ministère de l'Environnement et des forêts a mis en place des mesures de contrôle et de traçabilité, notamment, pour la peau issue de l'élevage sauvage, la plus utilisée par les artisans. Des étiquettes seront placées sur les peaux qui parviennent auprès des tanneurs ainsi qu’une deuxième série pour les produits finis. Cette disposition est effective à partir de ce jour.« À partir de maintenant, nous allons répertorier les peaux de crocodile qui entrent sur le marché. Des étiquettes seront déposées auprès des tanneurs de la capitale qui reçoivent les peaux en provenance des chasseurs. Ces derniers doivent, pour leur part, avoir une autorisation de chasse et de contrôle. Une fois les produits transformés par les confectionneurs, ils porteront une nouvelle étiquette. Cela va nous permettre de faire le contrôle de l'exploitation et de la traçabilité », a expliqué Eric Robson, responsable de la faune auprès du ministère de l'Environnement et des forêts. C’était hier, à l'Olep, Ambatobe, lors d'une rencontre avec les artisans. Suivi de la populationCette mesure figure dans la réalisation des recommandations émises par la Cites, au mois de mars, lors de la conférence des parties à Bangkok. La mise à jour de la législation propre à la filière est en vue. Un cahier des charges par acteur sera mis en place. La taille des crocodiles autorisée sera limitée et régie par des normes. Une étude sur les populations sauvages de crocodile sera, par ailleurs, lancée dans quatre sites, à savoir les rivières Mahavavy, Mampikony, Ankavandra sur la rivière Manombolo et Manam­bolomaty et Besalampy. Cette étude a comme finalité de repérer les nids et les traces de crocodiles afin d'avoir des indices d'abondance de l'animal. « Nous allons procéder à l'inventaire des nids, à la collecte des informations sur les conflits causés par les crocodiles et à l'identification des chasseurs dans chaque zone visitée, ainsi qu’à la mise en place de gestion communautaire », soutient, pour sa part, Sahondra Rabesianaka, chef de service de la gestion de la faune et flore du ministère de l'Envi­ron­nement et des forêts. Cette étude vise à prouver que l'animal est en abondance et que Madagascar pourrait prétendre à une hausse du quota pour le domaine sauvage, limité à 200 peaux par an avant le moratoire. Le rapport de la mise en œuvre des activités devra être remis à la Cites, au mois de novembre. La levée de l'interdiction des exportations se fera par voie postale après cette date. Source
  14. Une couleuvre dans la salade ! Ma maman a cru voir un serpent dans sa salade. Vous pourriez regarder ? Dès l'ouverture de son magasin de reptiles, Jeziel Carvalho a accueilli cette dame qui tenait à bout de bras un sac. A l'intérieur, une boîte plastique qu'il a ouverte avec précaution. Entre deux feuilles de laitue, une petite couleuvre s'était lovée. « Votre mère a bien vu, c'est un bébé couleuvre à collier, natrix natrix. Elle est de l'année, d'après la taille qu'elle fait. » La couleuvre, qui fait actuellement 20 cm, peut atteindre 2 m à l'âge adulte. Le reptile est une espèce protégée courante en France. « J'ai prévenu les services vétérinaires de Loir-et-Cher et je vais relâcher la couleuvre au bord d'un plan d'eau. Non dangereuse pour l'homme, c'est la couleuvre commune de nos étangs et de nos rivières. Je devine à ses yeux blancs qu'elle devait chercher l'humidité pour muer. Cela faisait plus de dix ans que je n'en avais pas vu de si jeune », explique Jeziel Carvalho.Rassurée, la femme lui a confié le reptile et est repartie chez elle pour confirmer à sa mère la présence du serpent dans sa salade. « La salade, je peux vous la laisser pour des animaux de votre magasin ? » demande-t-elle avant de repartir. « Non, vous pouvez la ramener chez vous, la laver et la manger, comme si vous aviez eu un escargot ou une limace qui serait passé dessus », la rassure le spécialiste des reptiles. Jeziel Carvalho conclut avec un sourire en conseillant de faire attention à ce qu'on mange. Source
  15. Seconde attaque de vipère en une semaine sur des soldats de Tsahal Un soldat âgé de 18 ans a été piqué hier soir par un serpent alors lorsqu’il se trouvait dans la vallée de Jezreel, proche du Moshav hayogev. Il a été emmené dans un état grave dans un hôpital de la ville d’Afula. Le directeur de l’unité des soins intensifs à l’hôpital a déclaré que le soldat avait été hospitalisé dans le service suite à une morsure. Il a dit que le soldat a apparemment été piqué par une vipère. Il a ajouté qu’au cours de cette période, il y a une augmentation des morsures de serpent dans tout le pays. D’habitude, les serpents ne cherchent pas à s’attaquer aux humains. » Ils cherchent de la nourriture, mais quand ils se sentent menacés, ils mordent aux jambes » selon le Directeur de l’unité. Il faut préciser que le week-end dernier, un autre soldat israélien a été mordu par une vipère, blessé légèrement, il a été transporté à l’hôpital yoseftal, mais le lendemain son état s’est aggravé, il a été évacué par hélicoptère vers l’ hôpital, Hadassah Ein Kerem, à Jérusalem. Source
  16. Des pythons dans le coffre de la voiture Les gardes-frontière jurassiens de la région VIII JU-NE ont découvert des serpents pythons royaux soumis à la protection des espèces.Dans le cadre d’un contrôle inopiné du trafic frontalier, les agents du poste mobile de Porrentruy ont effectué une saisie surprenante la semaine passée au point de passage de Goumois.Lors de la vérification approfondie de l’habitacle et du coffre d’un véhicule immatriculé en France, une boîte en sagex a attiré leur attention. En vérifiant son contenu, ils ont découvert 4 pythons royaux vivants. L'Administration fédérale des douanes lutte activement contre les infractions à la convention de Washington 1973 (CITES) dont fait partie cette espèce de l’ordre des squamates.Ces animaux destinés à une revente illégale en Suisse ont été séquestrés et placés dans un vivarium en Suisse. Une enquête douanière a été ouverte par la section antifraude douanière de Bâle. Source
  17. La tortue géante de Cantor : retour vers le Mekong C'est en 2007, qu'une tortue femelle géante dite de Cantor avait été identifiée . Cette découverte avait redonné espoir aux écologistes qui pensaient cette espèce condamnée à l'extinction voire disparue.Cette tortue d'eau douce qui fut l'une des moins étudiées au monde fut trouvée dans une partie préservée du bassin du bas Mékong, un secteur qui fut longtemps inaccessible aux scientifiques car il fut l'un des derniers bastions tenu par les khmers rouges. Depuis la levée, à la fin des années 1990, des restrictions de déplacements sur ce territoire, des études approfondies de la biodiversité y sont menées , et de nombreuses espèces principalement végétales ont été découvertes, c'est dans ce contexte que la tortue de Cantor fût redécouverte.La tortue géante de Cantor possède une peau caoutchouteuse et ce sont ses côtes qui, fusionnées, tiennent lieu de carapace et constituent une couche protectrice enveloppant les organes internes. Pour se défendre des prédateurs, ce reptile passe le clair de sa vie, caché dans le sable ou la boue, seul sortent à la surface, son nez et ses yeux.Ses mâchoires sont suffisamment puissantes pour broyer un os. Adulte, elle peut atteindre deux mètres et peser plus de 50 kg.Depuis 2007 , on peut mesurer le chemin parcouru .Des moines cambodgiens et des défenseurs de l'environnement ont lancé, le mercredi 8 juin 2011 à Kratie , un projet de sauvegarde de la tortue de Cantor, l'espèce la plus grosse et la plus rare des tortues d'eau douce, fortement menacée d'extinction.Deux ans plus tard, pour marquer l'anniversaire du Mékong Conservation Center Tortue (MTCC) , une tortue de 16 kg et environ 100 nouveau-nés ont été relâchés dans le Mékong dans la province de Kratie. "Nous avons organisé une cérémonie avec les moines et béni les tortues avant de les libérer", a déclaré M. Sun, ajoutant que les nouveau-nés étaient âgés de 3 mois seulement. Il ne reste plus qu'à leur souhaiter longue vie et d'avoir de nombreux enfants . R.B Source
  18. Bienvenue Fanny! Bien content que tu te joignes à nous. C'est sûrement moi à qui tu as parlé au salon des reptiles
  19. Chez le dendrobate fraise, la femelle choisit tout simplement le mâle le plus proche Des chercheurs allemands ont montré que chez le dendrobate fraise, une grenouille du Costa-Rica, les femelles choisissent le partenaire sexuel… le plus proche. Une stratégie pas si simpliste qu’il n’y paraît. L’apparence physique du prétendant, sa force, la puissance de ses vocalises : tous ces critères n’ont aucune importance. Tout du moins aux yeux de la femelle dendrobate fraise (Oophaga pumilio), une petite espèce de grenouille à la peau toxique, à la recherche d’un partenaire sexuel. Car, lorsque les mâles se rassemblent dans un coin de la jungle du Costa-Rica pour lancer leur appel d’amour, chaque belle n’a qu’une idée en tête : s’accoupler avec le prétendant situé le plus près, un point c’est tout ! C’est ce qu’a constaté dans la nature l’équipe d’Ivonne Meuche, de l'Université de médecine vétérinaire de Hanovre (Allemagne), et c’est ce qu’ont confirmé ses expériences . Mise en présence de plusieurs haut-parleurs diffusant les chants de mâles divers et variés, la femelle, se moquant éperdument de la fréquence ou de la puissance de ces appels, accourt vers le diffuseur le plus proche d’elle. Une stratégie bien différente d'autres espèces, chez lesquelles il est de mise "d’essayer" plusieurs partenaires avant de choisir "le bon numéro", génétiquement parlant. Source
  20. Grenouille agile contre béton armé La lutte des naturalistes contre le projet d'aéroport à Notre-Dame-des-Landes.Depuis le début de l’année, plusieurs dizaines de botanistes, ornithologues, herpétologues et savants inventorient la faune et la flore du secteur. Objectif : reconnaître la richesse des bocages, futur terrain d’atterissage supposé pour le bétonneur Vinci. De l’herbe jusqu’aux genoux, nous avons choisi de parcourir un bout de la zone du projet d’aéroport avec les naturalistes « herpétologues ». Un moment riche d’informations et impressionnant en rencontres reptiliennes. Ça grouille dans les bosquets, du lézard vert, gris, de l’orvet, des vipères, des grenouilles… un véritable défilé sous nos pieds ! Question : A-t-on vraiment envie de bétonner ce « safari humide » ? Pour ma part, je n’avais pas vu autant de bêtes depuis une ballade au zoo en 2006… Conclusion : Vinci ferait sans doute mieux d’aller brouter ailleurs. Plus d’infos sur : http://naturalistesenlutte.overblog.com Source
  21. Thaïlande: Un varan caché dans un plafond du parlement à Bangkok INSOLITE - Un varan long de deux mètres a été délogé de sa cachette: le plafond d'une salle du parlement thaïlandais... Découverte pour le moins surprenante, voire effrayante à entendre les cris des spectateurs. Jeudi 23 mai, un varan long de deux mètres a été retrouvé dans un des plafonds du parlement thaïlandais, à Bangkok. Repéré la veille, les vétérinaires ont apparemment mis plusieurs heures pour déloger l'animal impressionnant de sa cachette au milieu des câbles dans la doublure du plafond.La vidéo, effectuée par Reuters et relayée par France TV Info, montre les spectateurs apeurés et les difficultés des agents pour récupérer le varan sans le blesser. Descendu à l'aide de cordes A l'aide de cordes, le varan a été immobilisé et traité pour de légères blessures. Puis il a retrouvé son habitat naturel, autour du parlement thaïlandais. Ce varan, qui est un animal semi aquatique, avait visiblement perdu son chemin. Source
  22. Deux nouvelles espèces d'araignées minuscules découvertes en Chine Deux nouvelles espèces d’araignées longues d'à peine un mm ont été découvertes par des chercheurs chinois dans les provinces du Sichuan et de Chongqing, en Chine. Les résultats ont été publiés dans la revue ZooKeys. Trogloneta yuensis (1,01 mm de longueur) et Mysmena wawuensis (0,75 mm) ont en commun, outre l’aspect sphérique et disproportionné de la partie postérieure de leur corps, d’être endémiques des provinces du Sichuan et de Chongqing, en Chine. Sans parler, bien sûr, de leur taille minuscule, caractéristique des Mysmenidae, la famille d’araignées à laquelle elles appartiennent. Des araignées difficiles à repérer Dotées de 8 yeux, les Mysmenidae sont représentées par un nombre relativement faible d’espèces. D’espèces connues, du moins, car leur taille minuscule rend ces araignées tropicales et subtropicales très difficiles à trouver. Ajoutez à cela leur habitude de vivre dans les lieux humides et obscurs tels que mousses ou grottes, et elles sont presque impossible à repérer. Le Parc national forestier de Wawu, où Mysmena wawuensis a été découverte, abrite également une petite population sauvage d’une dizaine de pandas géants. Une enquête récente montre que 1.206 de ces mammifères, soit 76 % de la population totale, vivent actuellement dans le Sichuan. Grands pandas, petites araignées et compagnie… : cette région du sud-ouest de la Chine offre donc une large biodiversité. Source
  23. La tortue Ariti "satellisée" à Teahupoo Récupérée il y a deux mois par un pêcheur au large de Teahupoo, la tortue Ariti semblait tourner en rond. Elle a donc été recueillie par le pêcheur et envoyée à la clinique des tortues de Moorea où elle a été placée en observation. Sa santé paraissant bonne, il a été décidé de la relâcher là où elle avait été découverte mais munie, cette fois, de deux émetteurs satellite qui permettront de suivre ses déplacements jour après jour. Cette opération a été orchestrée par la Diren et la commune de Teahupoo. Il s’agit d’une tortue Caouanne (Caretta caretta), ou tortue à grosse tête, qui est relativement rare dans les eaux de la Société. Les émetteurs satellite permettront peut-être d’en savoir plus sur les habitudes de cet animal. Jeudi 23 mai, c’était la fête à Teahupoo où les enfants de l’école primaire ont activement participé à cette remise en liberté avec la collaboration de la municipalité qui avait affrété pour cela deux embarcations. Ils ont ainsi pu apprendre comment mesurer une tortue et lui poser une bague d’identification. L’animal a ensuite été rendu à son élément, la mer, et n’a pas demandé son reste pour s’éloigner à grands coups de nageoires du bonitier. Les enfants pourront suivre ses déplacements jour après jour sur internet. Espérons qu’elle ira loin dans son périple. Source
  24. Le plus grand python birman capturé en Floride Un python birman long de 5.8 mètres a été capturé dans le parc national d’Everglades, en Floride.Il pèse 58 kg et il mesure 5.8 mètres. Le géant python capturé dans le parc national d’Everglades, en Floride, est le plus grand python jamais vu. L’an dernier, un python de 5.4 mètres de longueur avait été capturé.L’importation de ce reptile a été interdite en Floride. Et des campagnes de capture ont été lancées, mais cela n’a pas empêché le python de Birmanie d’envahir le parc naturel d’Everglades. Au moins 1.825 reptiles ont été capturés entre 2000 et 2011. Source
  25. Morbihan. Les pompiers prennent la pose au zoo pour leur calendrier En vue de réaliser leur calendrier 2014, les pompiers d’Hennebont (Morbihan), près de Lorient, se sont fait photographier avec des animaux du zoo de Pont-Scorff. Une séance joviale, qui devrait donner des images sympathiques.Python autour du bras« Il commence à me serrer le bras. Dommage, j’en avais besoin ! » Même en manipulant une bestiole impressionnante comme un python molure, le pompier garde son sens de l’humour. Et les habitués des gros tuyaux n’ont pas manqué de vannes, durant leur tour du zoo de Pont-Scorff, hier. À l’instigation de l’amicale des pompiers d’Hennebont, une douzaine de professionnels et de volontaires se sont prêtés à une séance photos insolites.Pour le calendrier 2014« On a choisi le thème du zoo pour notre prochain calendrier, explique Patrice Gouadec, le président. Les Nac, ou Nouveaux animaux de compagnie, rentrent dans nos champs de compétence. Notre équipe spécialisée « risques animaliers » s’entraîne régulièrement au zoo de Pont-Scorff. »Lors de ces formations, ils côtoient parfois des serpents ou des iguanes. Mais les otaries ou les girafes, comme ce fut le cas hier, c’est plus rare ! D’autres animaux ont accompagné les pompiers devant l’objectif mais, chut, « on veut faire la surprise aux gens qui découvriront le calendrier », glisse Patrice.Plus de 10 000 exemplairesL’édition 2014 sortira en fin d’année, pour la traditionnelle distribution. Proposée dans les neuf communes que couvre le centre de secours d’Hennebont (Lanester, Caudan, Inzinzac-Lochrist, Nostang, Kervignac, Pont-Scorff, Cléguer, Brandérion, Hennebont), elle sera imprimée à plus de 10 000 exemplaires.Laurent NEVEU. Source
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