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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Heureux batraciens de Saint-Sernin du Bois (71) Chaque soir de redoux, entre 19 et 21 h, plusieurs centaines d' amphibiens ( grenouilles, crapauds et tritons) peuvent tranquillement effectuer leur migration printanière vers leur lieu de reproduction, l’étang de la Noue, protégés des voitures par une vingtaine de bénévoles Le soir de notre visite, ce sont 596 batraciens qui ont ainsi profité de la bienveillance des humains, avec une traversée de route sécurisée en début de soirée, là où la circulation automobile est la plus importante Si l'on y ajoute tous ceux qui traversent sans être vus, plus tous ceux qui le font ensuite tout au long de la nuit et sans escorte, c'est sans doute plus d'un milier d'amphibiens qui, chaque nuit, effectuent en ce moment leur migration de printemps. Ils ont passé l'hiver à l'abri dans la forêt et se rendent à l'étang pour effectuer leur reproduction. Sept espèces ont été recensées sur ce lieu de passage situé sur la commune de Saint-Sernin du Bois : grenouille rousse, verte, agile, crapaud commun, triton palmé, triton ponctué et triton alpestre. Cette méthode est très efficace et l'on estime que 90% des batraciens peuvent ainsi réaliser leur migration en échappant à l'écrasement. Elle est toutefois très astreignante pour les bénévoles; En 2012, première année de l'opération sauvetage initiée par Daniel Magnin, un photographe naturaliste, ceux-ci ont été à pied d'oeuvre durant 37 soirées, sur un intervalle de deux mois et demi. En fin de campagne, les résultats avaient alors montré que fermer la route seulement 10 soirées aurait permis de sécuriser 80% de la migration observée pendant ces 37 soirées de sauvetage. D'où l'espoir de voir cette solution retenue pour 2014, qui nécessiterait simplement la prise de deux arrêtés municipaux conjoints (Antully et Saint-Sernin) instaurant une déviation les soirs annoncés comme propice à la migration des amphibiens. En attendant, c'est encore sur les bons yeux et la bonne volonté des bénévoles que ceux-ci doivent compter cette année pour assurer leur descendance. Une action pour la bio-diversité toute simple, mais concrète, conviviale et bigrement efficace. Source
  2. As tu des photos Jonatsimard?
  3. Ce serpent? C'est mon serpent vert rugueux, c'est un serpent insectivore. Ce gecko? C'est un Uroplatus phantasticus
  4. Toujours agréable comme sortie Yohan a dût tripper!
  5. Fenouillet. Sauver les grenouilles ! Samedi 9 mars les gilets jaunes seront de rigueur au lac du Bocage. Ne pouvant s'affranchir de l'eau pour se reproduire, plusieurs espèces de crapauds et grenouilles franchissent chaque année de nombreux obstacles pour rejoindre le lac du Bocage de Fenouillet et ses abords où ils s'accouplent et déposent leurs pontes. Pour rejoindre ce site, les amphibiens traversent, essentiellement la nuit, la route qui borde le lac au péril de leur vie. Dans le cadre de l'«Opération Fréquence Grenouille» la ville de Fenouillet organise une Soirée consacrée à l'univers fascinant des diverses espèces qui peuplent notre région (grenouille : verte, sonneur à ventre jaune, rainette et crapaud…). Les participants pourront apprécier un diaporama en salle animé par le groupe herpéto de Nature Midi-Pyrénées. Petits et grands pourront ensuite partir aux abords du bocage pour une «action sauvetage de crapauds» afin de les empêcher de se faire écraser sur la route. Rendez-vous à 20 heures au local de l'aviron du Bocage. Renseignements et inscriptions au 05 62 75 89 61 ou culture@mairie-fenouillet.fr Source
  6. Voici la première partie des photos, le reste suivra un peu plus tard aujourd'hui ou demain :
  7. Des animaux vivants comme porte-clés Sur les marchés de Pékin, on vend depuis peu des animaux vivants dans des sacs hermétiquement fermés. Salamandre, tortues ou poissons sont enfermés dans des porte-clés contenant de l’oxygène et une substance nutritive. Grâce à cette mixture, les bestioles peuvent rester en vie durant deux mois. La chose coûte environ un euro la pièce. Les Chinois pensent que ce sont des porte-bonheurs. Du coup, ces morbides porte-clés, où les animaux meurent à petit feu, deviennent de plus en plus populaires. Source
  8. Un serpent capturé dans les rues de Pont-Farcy Certains habitants du village de Pont-Farcy dans le Calvados n’en ont sans doute pas cru leurs yeux. Ce mercredi vers 13 h 30, certains ont vu déambuler dans les rues du bourg un serpent exotique de 60 cm de long et 3 cm de diamètre. Il s’est avéré finalement que le reptile était un serpent constrictor, donc pas venimeux. L’animal s’est-il échappé ? Son propriétaire s’en est-il débarrassé ? Toujours est-il que les pompiers de Saint-Sever ont dû s’employer pour le capturer et en ont fait don au zoo de Jurques. Source
  9. Recherche volontaires pour compter les crapauds ! ENVIRONNEMENT Natureparif lance un appel au public pour l'aider à compter les amphibiens en Ile-de-France, en cette période de migration de leurs lieux d'hivernage vers leurs lieux de reproduction. Petite annonce originale de Natureparif. L'agence de la biodiversité de la région Ile-de-France, lance un appel au grand public pour prendre part pendant le mois de mars à une enquête sur les migrations nocturnes d'amphibiens, notamment exposés lorsqu'ils traversent les routes. "Dès que les températures remontent, les amphibiens, qu'ils soient grenouilles, crapauds, tritons ou salamandres migrent de leur lieu d'hivernage vers des mares ou des étangs pour se reproduire", a expliqué à Maxime Zucca de Natureparif. La tâche particulièrement importante pour la région. "En Ile-de-France, le maillage des infrastructures est tel que pour faire quelques centaines de mètres à plus d'un kilomètre, ils vont forcément traverser une route et auront de bonnes chances de se faire écraser", poursuit le naturaliste. Pour participer, Natureparif invite à s'inscrire sur son site afin de localiser sur une carte les amphibiens lorsqu'ils sont repérés. Plus qu'une simple observation, ce recensement des amphibiens a pour but de récolter le maximum d'informations sur la présence de la population des crapauds en Ile-de-France. Grâce aux données, Natureparif pourrait envisager, selon les zones, de construire quelques aménagements pour les aider à faire leur migration sans risquer de rencontrer un véhicule. Au choix, l'agence la biodiversité pourrait décider de construire des crapauducs, des petits tunnels creusés sous les axes routiers ou des crapaudromes, une sorte de barrière temporaire construite le long d'une route sur laquelle vont venir buter les animaux avant d'être récupérés et transférés vers leur lieu de reproduction. L'ile-de-France compte une dizaine de ces dispositifs. Source
  10. Avez-vous déjà vu une boule de couleuvres? Vous voulez dégoûter le Québécois moyen? Il vous suffit de prononcer le mot «reptile», «serpent» ou le mot «couleuvre» et le résultat est pratiquement garanti! Araignées, limaces, sangsues, couleuvres et crapauds sont généralement des mots qu’on aimerait voir bannis du vocabulaire courant et pourtant… si vous saviez les innombrables services que ces bêtes rendent aux humains! On ne devrait pas les sacrifier sur le bûcher de l'ignorance, mais plutôt les exposer sur l’autel de la reconnaissance! Pourquoi ai-je décidé de vous parler de serpents en plein mois de février? C’est qu’un événement à saveur herpétologique se prépare au Collège Maisonneuve les 2 et 3 mars prochain. On parle ici du Salon des reptiles! Chaque année, depuis maintenant 14 ans, une cinquantaine d'exposants présentent ces fascinantes créatures dans le but premier de bien les faire connaître et ensuite de présenter tous les avantages à posséder un tel animal. Vous en doutez? Allez-y… vous verrez bien! Voilà une bonne façon de commencer cette semaine dite «de relâche» avec et pour vos tout-petits. C'est quoi, un reptile? Tout d’abord, c’est quoi un reptile? Il s'agit d'un vertébré ovipare, poïkilotherme, possédant une peau sèche et écailleuse. Ovipare veut dire qu'il pond des œufs et poïkilotherme, ou ectotherme, veut dire que sa température interne n'est pas constante comme c'est le cas des oiseaux et des mammifères. On dit souvent que les reptiles sont des animaux à sang froid. Cette expression veut tout simplement dire que l'animal ne produit pas lui-même sa chaleur, mais dépend du soleil pour se réchauffer et va à l'ombre pour se refroidir. La classe des reptiles, qui compte 7984 espèces connues à travers le monde, comprend plusieurs «ordres», comme les crocodiles, les lézards, les iguanes, les caméléons, etc. Parmi tous ces groupes, il n’y en a que deux que l'on peut observer à l'état naturel au Québec: ce sont les chéloniens (tortues) et les squamates (serpents). Y a-t-il des lézards en nature au Québec? La réponse est NON! Si un jour vous observez un lézard dans votre maison, dites-vous qu'il vient probablement d'un pot de fleurs acheté d'un marchand qui lui, a probablement fait venir ses plantes de pays du sud où les lézards sont abondants. Tortues Pour ce qui est des tortues, le Québec en compte neuf espèces. La Tortue luth est marine tandis que la Tortue des bois est plutôt terrestre. Les deux espèces les plus observées dans les cours d'eau du Haut-Richelieu sont la Tortue peinte et la Tortue serpentine. Pour en savoir davantage sur nos tortues, je vous suggère de consulter le site de l'Atlas des amphibiens et reptiles du Québec. Vous y trouverez photos et informations très complètes et d'actualité! C'est au http://www.atlasamphibiensreptiles.qc.ca./ C’est de ce site que provient la magnifique photo qui accompagne ce texte. Serpents ou couleuvres? Les couleuvres sont-elles des serpents? La réponse est absolument et catégoriquement OUI! Le nom «serpent» n'est pas nécessairement associé aux espèces venimeuses, comme les crotales et les cobras. Nos mignonnes et sympathiques couleuvres, tout aussi inoffensives qu'utiles aux écosystèmes naturels, sont de petites espèces de serpents, faisant partie d'une famille appelée «colubridé». Sur les 2900 espèces de serpents que compte notre planète, seulement huit se retrouvent au Québec. La plus abondante dans le Haut-Richelieu serait très probablement la Couleuvre à ventre rouge, mais celle qui est, de loin, la plus observée de toutes, est la Couleuvre rayée. Passant l'hiver en hibernation sous la surface de la terre, son réveil printanier, s'effectuant vers la fin avril, peut permettre de nous faire découvrir une facette tout à fait exceptionnelle de ses mœurs... les boules d'accouplement! Les mâles, ayant détecté l'odeur d'une femelle qui vient de sortir de son hibernacle, se ruent littéralement sur elle, essayant de l'accoupler, ce qui laisse voir une véritable boule vivante et grouillante se former, rouler sur le sol de la forêt. Il faut être particulièrement chanceux pour être le témoin privilégié de cet extraordinaire phénomène qui est, somme toute, assez éphémère. Lorsque l'un d'eux réussit à l'accoupler, la boule se défait jusqu'à ce qu'une nouvelle femelle sorte de sa longue inaction hivernale. Quel réveil pour madame couleuvre! Pour en savoir davantage sur le merveilleux monde des reptiles, je vous invite à visiter le Collège Maisonneuve à Montréal où un important salon des reptiles s’y déroule ce samedi 2 mars ainsi que le dimanche 3 mars. C’est au 2700, rue Bourbonnière, entre les rues Sherbrooke, Hochelaga, Pie IX et Nicolet. J'y animerai un kiosque de la Sépaq avec, en vedette, quelques petites bêtes vivantes... c'est un rendez-vous! Pour informations, contactez le 514 264-9603 ou le 514 593-5538. Si vous avez des suggestions de sujets pour des chroniques à venir, n’hésitez pas à me contacter par courriel à henri.denis@sepaq.com Source
  11. Les crocodiles d’Afrique, entre braconnage et protection Les crocodiles sont les plus grandes espèces survivantes de la classe des reptiles. Les ancêtres des crocodiles actuels existaient déjà du temps des dinosaures, il y a 65 à 135 millions. Aujourd’hui, toutes les espèces ont vu rétrécir leur aire de répartition et quelques-unes sont au bord de l’extinction. En Afrique, on n’observe que trois espèces de crocodiles, qui vivent dans l’eau douce : le crocodile du Nil, le crocodile africain à museau étroit et le crocodile nain. La survie des crocodiles est menacée par plusieurs facteurs : la déforestation, le braconnage, la conversion à l’agriculture et les pollutions agricoles dues à l’utilisation abusive des pesticides, notamment dans la culture du cotonnier au nord du Bénin. Les crocodiles sont fortement braconnés pour la consommation de sa viande, pour faire des produits et sous-produits pour la médecine traditionnelle et pour sa peau, vendue en maroquinerie. De nombreux produits à base de crocodile La viande de crocodile est consommée et appréciée localement, par exemple, au Bénin par tous les groupes socioculturels à l’exception des Peulhs. Les Peulhs ne consomment pas cette viande à cause d’une tradition ancienne, qui dit que « tout éleveur peulh qui tue cet animal et le mange verra son troupeau de bovins réduire en nombre soit par perte ou par mort ». Par ailleurs, la viande est consommée même par ceux qui vénèrent les crocodiles, mais à condition que le crocodile ne soit pas prélevé dans la mare sacrée du village. Kpéra et al. (2004) ont inventorié sur les marchés 17 produits et sous-produits de crocodiles. Il s’agit de : la peau (dorsale et ventrale), du museau, des pattes, des os, de la graisse, de l’œuf entier, des coquilles d’oeuf, de l’anus, des crottes, des dents, de la bile, du foie, des poumons, du cœur, du pénis, des gastrolithes (pierres contenues dans l’estomac du crocodile) et de l’animal vivant. Les produits et sous-produits de crocodile sont utilisés en médecine traditionnelle comme remèdes pour guérir des maladies dont l’asthme, l’hernie inguinale, l’ictère, la rougeole, le rhumatisme, l’otite, le panaris, la douleur, etc. Ils sont aussi recherchés pour se doter de certains pouvoirs surnaturels comme les mauvais sorts, la sorcellerie, etc. L’utilisation de la peau pour la maroquinerie est variable selon les pays. En parallèle, des peuples les protègent… Les crocodiles sont vénérés par certains groupes socio-culturels (Bariba, Boo, Mokolé) et l’on note à travers ce rôle culturel, une cohabitation pacifique entre les crocodiles et les populations rurales des zones où ils sont vénérés. À cause de leur rôle culturel et de l’anecdote qui dit : « une mare qui abrite des crocodiles ne tarit jamais », les crocodiles font l’objet d’une certaine assistance apportée par les populations locales. Cette assistance se manifeste par le dragage régulier des mares pendant la saison sèche, le nettoyage de la berge, la protection des animaux par l’interdiction de les tuer, et le transport des bébés crocodiles vers la mare après éclosion des œufs. Cette méthode de conservation appelée conservation endogène est l’une des meilleures formes de conservation des crocodiles au Bénin. Quelle est la population de crocodiles africains ? Avec une population d’environ 250 000 à 500 000 individus et en considérant sa distribution, le crocodile du Nil, Crocodylus niloticus, n’est pas considéré comme un taxon menacé au niveau international, bien qu’il soit menacé de disparition dans certaines régions comme, par exemple, au Sud- Bénin. Très peu d’information est disponible sur le crocodile africain à museau étroit, Mecistops cataphractus. La plus grande population existe dans les parcs nationaux du Gabon, tandis que d’autres régions ont montré la baisse de leur population en particulier l’Angola et le Tchad. Ce déclin est dû principalement à la surexploitation, qui s’est intensifiée une fois que les populations sont devenues épuisées dans ces régions. Au niveau international un effectif de 25 000 à 100 000 individus de crocodile nain, Osteolaemus tetrapis, le classe dans la catégorie VU. Le problème principal avec cette espèce repose sur le manque de données fiables. Sans une telle information, le statut de l’espèce ne peut pas être déterminé. Bien que les experts classent l’espèce comme une préoccupation mineure (LR) au niveau international à cause de sa distribution et des tailles de population saines dans quelques régions, la liste rouge la classe depuis 1996 dans la catégorie VU pour refléter l’incertitude de son statut dans la nature. Alimentation et reproduction Les crocodiles sont carnivores. Chez les jeunes, le menu est composé de batraciens, d’escargots, de larves de libellules, de criquets et autres insectes et, avec le temps, de crustacés, de petits oiseaux et rongeurs. Les adultes sont armés pour s’attaquer aux grands poissons et mammifères (jeunes hippopotames, girafes, antilopes, buffles, etc.). Du fait de leur petit estomac, si la victime est de grande taille, plusieurs repas seront nécessaires et la carcasse de la proie est dissimulée sous l’eau, près d’un rocher ou entre les racines d’un arbre, le temps de la laisser se décomposer. Indépendamment de la température du corps, les crocodiles n’acceptent pas d’aliments s’ils ont peur ou si des manipulations ou autres interventions les ont stressés. Ainsi peuvent-ils vivre pendant des mois sans se nourrir, mais perdent progressivement du poids et s’affaiblissent. La croissance et la taille sont beaucoup plus fonction de l’alimentation que de l’âge. Les crocodiles maintiennent leur température corporelle à 30°C. Lorsque la température du corps est plus basse, les crocodiles ne se nourrissent plus et tombent dans un état de torpeur. Pour se chauffer, ils s’exposent au soleil ou sur une surface chaude ; pour se rafraîchir, ils se mettent à l’ombre ou entrent dans l’eau. Lorsqu’ils ont trop chaud, ils gardent la gueule ouverte, afin de laisser la chaleur s’échapper. Les crocodiles sont ovipares et atteignent leur maturité sexuelle vers l’âge de 10 ans. La femelle pond entre 20 et 70 oeufs et parfois 90 oeufs chez Crocodylus niloticus. Selon les espèces, la femelle creuse un nid dans le sable ou prépare un nid de débris végétaux pour y déposer ses oeufs. Souvent la femelle protège attentivement son nid des prédateurs sans couvrir, à proprement parler, les oeufs. Après 60 à 90 jours d’incubation, les bébés crocodiles sont prêts à éclore ; ils émettent alors des cris aigus, qui s’entendent même à travers une couche de terre de 30 cm d’épaisseur et à une distance de 4 m. La femelle les ramasse dans sa gueule et les transporte dans l’eau. Les bébés crocodiles ont une mortalité élevée : 90 sur 100 n’atteindront pas l’âge adulte. Les crocodiles ont une taille variant entre 1 et 7 m et parfois plus avec un poids vif corporel d’une tonne au plus. Les mâles ont une taille plus grande que les femelles. Ils ont des mâchoires puissantes avec de nombreuses dents identiques, coniques, légèrement incurvées, sans racines, qui sont renouvelées tout les deux ans. Source
  12. LA VIPÈRE DES PYRAMIDES « La vipère des pyramides » est une espèce de serpents qui appartient à la famille des Viperidae. Cette espèce de vipère porte plusieurs noms communs : Echide carénée, vipère d’Égypte, vipère des pyramides ou vipère à écailles carénées. Elle mesure 65 cm de long et certaines peuvent atteindre les 80 cm, elle a de grands yeux ou les angles sont arrondis. Elle fréquente surtout les régions désertique et semi désertiques, on peut la trouver dans les oueds et les oasis. Vivipare, elle a de 3 à 12 petits. Cette vipère est capable de vivre jusqu’à 2000 m d’altitude. Elle est active le jour et se déplace par reptation latéral. Elle se nourrit de petits mammifères, d’oiseaux de lézards avec de grenouilles. Elle possède un venin hémotoxique qui conduit toujours à des complications rénales, avec des saignements du nez, des oreilles, des yeux, des gencives et des ongles. Une seule morsure est capable de tuer un homme, son venin est même considéré comme étant cinq fois plus toxique que celui du fameux cobra. Quand elle est excitée, la vipère des pyramides forme un huit avec son corps et se frotte les flancs. Ce cliquètement de défense est produit cas de situation de danger se caractérise par le bruit strident causé par la texture de son revêtement écailleux. Source
  13. Un reptile très discret à Ramillies RAMILLIES - Les pompiers de Jodoigne ont été sollicités mardi vers 13h30 pour capturer un serpent dans la rue de la Frête, à Ramillies. Ils ne l'ont finalement jamais trouvé. C'est une mystérieuse histoire qui s'est déroulée à Ramillies ce mardi. Les pompiers ont été appelés pour capturer un serpent en liberté. Le serpent n’a pas été retrouvé. Les pompiers ont par contre trouvé des mues sur les lieux, attestant bel et bien de la présence du reptile. Source
  14. Un scorpion venimeux retrouvé dans une résidence de Winnipeg Un Winnipégois a retrouvé un scorpion venimeux vendredi dernier dans son nouveau logement. James Vandal se trouvait dans la chambre au sous-sol de sa résidence citadine lorsqu'il a aperçu du mouvement de l'autre côté de la pièce. Pensant tout d'abord qu'il s'agissait d'un banal insecte, il s'en est approché et a vu que la bête remuait ses pinces et soulevait sa queue. Il a ramassé l'animal à l'aide d'un bout de papier et d'un bocal en vitre. Une entreprise d'extermination a par la suite identifié l'intrus comme étant un scorpion d'écorce de l'Arizona, l'espèce de scorpion la plus venimeuse de l'Amérique du Nord. Un représentant de l'agence d'extermination croit que l'indésirable aurait voyagé jusqu'à Winnipeg en se réfugiant dans des matériaux de construction et qu'il se serait retrouvé chez M. Vandal lors de rénovations. Source
  15. Les routes d'Ile-de-France, ces ennemies mortelles des crapauds ENVIRONNEMENT - Chaque année, des milliers de batraciens décèdent écrasés par des voitures en d'Ile-de-France, faute de pouvoir éviter les axes routiers. Pour établir des moyens d'action, l'agence Natureparif lance une enquête participative pour suivre les migrations nocturnes des crapauds, grenouilles et salamandres. La fin de l'hiver approche tranquillement, les températures amorcent leur lente remontée et le temps des amours arrive. Surtout pour les crapauds, grenouilles, tritons et autres salamandres. En effet, ces jours-ci, les amphibiens commencent à sortir de leurs cachettes hivernales pour aller courir la gueuse dans la mare la plus proche (celle-la même qui les ont vu naître). Des milliers de victimes chaque année Mais voilà, avant de convoler en juste noces avec une de leurs congénères, les crapauds et les grenouilles (et les autres) doivent affronter un parcours semé d'embûches. Parmi ces obstacles mortels, les routes. L'Ile-de-France voit chaque année des milliers de crapauds et grenouilles fauchés dans la fleur de l'âge par une automobile, avant même qu'ils n'aient eu le temps de rejoindre la mare tant convoitée et d'y assurer leur descendance. Alors pour mettre fin à cette hécatombe batracienne, Natureparif (l'agence régionale pour la biodiversité en Ile-de-France), lance un site participatif pour recenser les batraciens franciliens. La démarche est on ne peut plus simple : si sur votre trajet en voiture vous apercevez un ou plusieurs amphibiens (bien vivants ou restés sur le carreaux après une collision fatale), rendez-vous sur le site http://amphibiens.natureparif.fr Rainette verte ou grenouille agile ? Là, il vous suffit de localiser sur la carte la portion de route sur laquelle vous avez observé des amphibiens. Si vous êtes particulièrement calés côté animaux, vous avez la possibilité de renseigner les noms d’espèces observées (crapaud commun, grenouille agile, grenouille rousse, grenouille verte, rainette verte, voire le rare sonneur à ventre jaune). Cette enquête n'est bien sûr pas un simple recensement. L'objectif est de recenser les portions de routes traversées par les amphibiens et d’évaluer l’abondance de ces déplacements afin de mettre en place des dispositifs de franchissement adaptés : crapaudromes ou crapauducs. Comme à Auffargis, aux abords de l’étang des Vallées, où un crapaudrome existe depuis 1994 ! Grâce à lui, pas moins de 6000 amphibiens sont sauvés chaque printemps. Source
  16. Environnement - La grenouille, porte-parole des zones humides en danger PARIS, 28 fév 2013 (AFP) - Ecouter, observer et compter les grenouilles et autres tritons palmés... En trois mois et 400 animations, Conservatoires d'espaces naturels et Réserves naturelles veulent sensibiliser les Français à l'importance des zones humides dont les deux tiers ont disparu depuis le début du XXe siècle. Du 1er mars au 31 mai, "Fréquence Grenouille 2013" propose, en vrac, de venir avec des bottes en caoutchouc et écouter le chant des "bruyants mâles de grenouilles et crapauds en quête de compagnes" en Languedoc-Roussillon, compter les batraciens qui ont traversé un "crapauduc" dans la nuit en Isère, ou encore leur fabriquer des cachettes dans la Manche. L'ambition est de "sensibiliser à la protection des zones humides", explique à l'AFP Christophe Lépine, le porte-parole de l'opération, dont c'est la 19ème édition. "C'est assez ludique, et en prenant ces initiatives autour des animaux, on attire l'attention des gens sur tout le reste. Car derrière, le message est sur la gestion de la nature", explique M. Lépine, également président du Conservatoire d'espaces naturels de Picardie. Lacs, tourbières, marécages, estuaires... jouent un rôle majeur pour la qualité de l'eau, biodiversité, et aussi le climat, mais 67% des zones humides en France ont disparu depuis le début du XXe siècle en raison de l'intensification des pratiques agricoles, l'urbanisation, etc... "On estime qu'elles continuent actuellement à disparaître au rythme d'environ 10.000 hectares par an, avec un cortège extraordinaire d'animaux et de plantes", précisent les organisateurs de l'opération.Et le constat au niveau mondial est tout aussi alarmant: un rapport présenté à l'occasion de la journée mondiale des zones humides, le 2 février, indiquait que 50% de leur surface avaient disparu depuis 1900 et 6% rien que sur les 15 dernières années.Les 29 conservatoires d'espaces naturels de France gèrent et valorisent 130.000 hectares, répartis sur 2.500 sites, et le pays compte près de 290 réserves naturelles soit 2,86 millions d'hectares, dont 2,60 millions en outre-mer. Source
  17. Finis les anacondas et les hybrides de pitbulls à Lévis (Québec) La Ville de Lévis durcit son règlement sur les pitbulls et interdira dorénavant même ceux de races croisées «pour assurer la sécurité des personnes sur le territoire». Les élus lévisiens ont accepté lundi de modifier le règlement municipal sur les nuisances, car depuis quelque temps, il est devenu pratiquement impossible pour les policiers de donner des constats d'infraction aux propriétaires de pitbulls. Ni les policiers ni le mandataire de la Ville, l'entreprise Contrôle des animaux domestiques (CAD) ne sont en mesure de prouver hors de tout doute raisonnable devant la Cour municipale qu'il s'agit bel et bien d'un pitbull pure race, écrit la direction du service de police. «Quand on arrivait à la Cour et que le propriétaire venait dire que son chien n'était pas un pitbull pure race, les causes tombaient», explique Christian Cantin, porte-parole du service de police. À partir de maintenant, le règlement lévisien couvrira tous les chiens de la race des Staffordshire Bull Terrier, soit les pitbulls, ainsi que les hybrides et même les chiens d'une autre race, de race croisée «qui possèdent des caractéristiques physiques substantielles» d'un chien pitbull. À l'image de Lévis, plusieurs villes au Québec interdisent la possession de pitbulls. La Ville de Québec a pris un chemin différent; elle a adopté en 2010 un règlement qui contrôle les chiens dangereux, sans égard à la race. Pas de serpent de plus d'un mètre Avis aux herpétologues amateurs, il est maintenant interdit à Lévis de posséder un serpent dont la longueur à maturité excède un mètre. Le règlement sur les nuisances a aussi été modifié lundi pour proscrire, en plus des serpents venimeux, les serpents de grande taille, incluant les boas, pythons et anacondas. Dans le document soumis aux élus municipaux, on indique que «les policiers ont rapporté un cas où un citoyen possédait un boa de plus de six mètres, ce qui constitue une menace certaine et dangereuse pour la sécurité, et ce, malgré qu'il ne soit pas venimeux». Vérification faite auprès du corps de police, le dernier boa identifié par les policiers de Lévis, chez un résidant de Pintendre, mesurait entre six et neuf... pieds. «C'est peut-être plate d'avoir un petit serpent de juste trois pieds, mais on essaie de sécuriser davantage le citoyen avec ce nouveau règlement», explique Christian Cantin, de la police de Lévis. Source
  18. Aujourd'hui, je suis allé faire une présentation dans un centre communautaire de milieu défavorisé. J'allais présenter des reptiles à 4 groupes différents. Le tout s'est bien passé. Il y a seulement une petite fille qui m'a fait bien rire. Elle a posé une question que jamais on m'avait demandé auparavant. J'ai présenté une femelle python royal juvénile. J'ai expliqué qu'elle était encore jeune et qu'elle allait encore doublé. La jeune fille m'a dit hein, ton serpent va à l'école? J'ai répondu que les serpents ne vont pas à l'école comme les enfants. Elle a ajouté bien là, tu dis qu'elle va doubler. Nous l'avons bien ris. Je voulais simplement raconter l'anecdote.
  19. Non, que ça soit un mâle ou une femelle, ça sera pareil
  20. J'opterais alors pour quelque chose dans le genre de python royal dans ce cas là. Tu aurais aussi le boa des sables mais il est fouisseur donc pas ce que tu recherches. Certaines sous-espèces de boa constrictor reste plus petites mais il faut t'attendre à payer plus cher donc le python royal est vraiment le meilleur choix pour toi
  21. Tu aimes le corps gros ou peu importe? Tu aimes que ça grouille un peu ou espère que ça soit très relaxe?
  22. Max|mum-leterrarium

    boa ou python royal?

    Non, pas du tout! Aussitôt que j'ai mes photos de ce weekend, je te montrerai. En attendant, voici une fiche sur l'espèce : /t288-python-regius-python-royal Ou pour t'aider à faire un bon choix, tu peux toujours répondre à ce questionnaire : /t1272-aide-de-choix-de-serpents
  23. Max|mum-leterrarium

    boa ou python royal?

    Tu avais vu ma femelle python royal? Elle va faire cette taille adulte!
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