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Max|mum-leterrarium

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Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Un python albinos retrouvé (mort) dans le Val d'Oise FAITS DIVERS L'hypothèse d'un abandon par un particulier de son animal, vivant ou mort est privilégiée par les enquêteurs. Le cadavre d'un python réticulé albinos de 4 m et 41,3 kg a été découvert mercredi en lisière d'un bois près d'Asnières-sur-Oise par deux gendarmes lors d'une patrouille, ont indiqué les gendarmes du Val d'Oise. "On a vérifié dans le voisinage et il n'y a pas de propriétaire de serpents. Il n'a pas pu s'enfuir de chez un particulier", a expliqué l'adjudant Arnaud Plisson, du groupement de gendarmerie de Viarmes. "On privilégie l'hypothèse d'un abandon par un particulier de son animal, vivant ou mort", a-t-il ajouté. Le serpent a été pris en charge par les services techniques de la mairie d'Asnières-sur-Oise et confié à un équarrisseur. Le python réticulé est originaire du sud-est asiatique. A l'âge adulte, les plus grands spécimens peuvent dépasser les neuf mètres de long. Source
  2. Fréquence grenouille : les rendez-vous en Ariège Organisée par les deux réseaux Fédération des Conservatoires et Réserves Naturelles de France, l’opération nationale Fréquence Grenouille a pour objectif de mettre en avant les zones humides. En effet ces milieux fragiles regroupent une extraordinaire diversité d’habitats naturels entre terre et eau. Les zones humides se font de plus en plus rares et avec elles disparaissent de nombreuses plantes et animaux sauvages dont les emblématiques amphibiens. L’ANA travaille à la préservation des zones humides et notamment des mares, depuis 20 ans. Pour cette 19ème édition de Fréquence Grenouille, l’ANA propose de découvrir les amphibiens, au cours deux soirées diaporamas et prospection nocturne ! Deux manifestations sont proposées en Ariège " A la découverte des amphibiens des mares" Mardi 2 avril à Pamiers (soirée) Avec Carole Herscovici. Diaporama suivi d’une sortie nocturne pour découvrir les amphibiens des mares RV 18h00 au Lycée agricole de Pamiers. Contact : carole.h@ariegenature.fr 05.61.65.80 54 " Des grenouilles au Souleilla" Vendredi 12 avril à Clermont (soirée) Avec Carole Herscovici. Diaporama suivi d’une sortie nocturne pour découvrir les amphibiens des mares Auberge espagnole au Souleilla. RV 18h00 au Souleilla (Bistrot de pays de Clermont) Contact : carole.h@ariegenature.fr 05.61.65.80 54 Source
  3. CHATEAUROUX Une mygale et un python à domicile La semaine dernière, la police de Châteauroux, en collaboration avec l'Office national de la chasse et de la faune sauvage, est intervenue chez un homme qui détenait des animaux non domestiques, sans autorisation. Passionné d'espèces sauvages, il avait en sa possession une mygale et un python dans son appartement, ce qui est formellement interdit. Pour le moment restées chez lui, ses bêtes pourraient être envoyées à " L'île au serpent ", un parc spécialisé dans la Vienne. L'homme sera poursuivi devant le tribunal en comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité. Dans ce genre de cas, la sanction peut atteindre six mois d'emprisonnement et 9.000 € d'amende. Source
  4. Stage libre été 2013 lézard vivipare Nous sommes à la recherche d’un stagiaire pour un travail de terrain durant la période de fin-juin à début-août. Terrain et objet d’étude : Le terrain se fait sur le Mont Lozère (Parc National des Cévennes) où se trouvent les populations de lézard vivipare étudiées. Il s’agit de participer à la maintenance d’un élevage de femelles en fin de gestation, aux mesures morphologiques des nouveau-nés et à leur sexage via le comptage d’écaille (les femelles ont plus d’écailles ventrales que les mâles), ainsi qu’aux sorties de terrain pour relâcher les femelles et les jeunes. Compétences demandées : De la méthode et de la rigueur sont demandées. Etre capable de regarder assez longtemps à la loupe binoculaire (comptage d’écailles), être apte à la vie en groupe (une dizaine de personnes seront présentes), ne pas être trop sensible aux petites routes de montagne (pour se rendre sur les terrains d’étude) Prise en charge financière : Financièrement, nous prenons en charge le voyage (train) et le logement, mais pas la nourriture. Si vous êtes intéressé, envoyer votre cv et précisez le cadre de votre stage (volontariat/stage libre ou stage lié à votre formation avec mémoire ?). Vous pouvez aussi nous joindre pour toute demande d’informations supplémentaires. Contact : thomas.brom@snv.jussieu.fr Laboratoire de tutelle : UMR 7625 Ecologie & Evolution Lieu du stage : Villefort (48) Source
  5. La vie sauve aux amphibiens La douceur s’installe peu à peu sur la région et les amphibiens sortent gentiment de leur torpeur pour amorcer un voyage à haut risque. Dès que le mercure prend des allures printanières, grenouilles et crapauds entament une longue marche pour rejoindre leur lieu de ponte. Une migration qui s’effectue parfois sur plusieurs kilomètres et qui comporte de nombreux dangers, à commencer par les traversées de routes. Pour sauvegarder ces animaux, quelque 2000 actions de protection sont mises en place à travers le pays. Elles permettent chaque année de sauver environ 120'000 grenouilles et crapauds. Dans le canton du Jura, le Service des Ponts et Chaussées met chaque année en place des barrières mobiles en plusieurs endroits, notamment à Damphreux et Rebeuvelier. Des crapauducs, petits tunnels sous les routes, ont par ailleurs été construits près de l’étang des Royes à Saignelégier, l’étang Corbat à Porrentruy et la place d’armes de Bure. Source
  6. Des crapauds protégés menacent le club de trial de Lyon POLEMIQUE - Le Trollsports Trial pourrait être rayé de la carte au 1er juillet prochain. Le Grand Lyon a en effet décidé de ne plus renouveler la convention d'occupation temporaire dont bénéficiait la structure depuis vingt ans. C’est un terrain de deux hectares placé au cœur d’une polémique. Situé à Chassieu, il est occupé depuis vingt ans par le Trollsports Trial, club de moto/vélo trial (130 adhérents). Le propriétaire, le Grand Lyon, souhaite quant à lui récupérer le terrain pour y installer des espèces animales protégées comme le crapaud calamite. La convention d’occupation temporaire ne sera donc pas renouvelée au-delà du 30 juin prochain et le Trollsports Trial devra en conséquence quitter les lieux. "Dans le cadre de la création de la voie nouvelle LY12, qui constituera un accès par le Sud à Eurexpo en 2015, nous devons déplacer ces espèces protégées avec des mesures compensatoires. Or, après une longue réflexion, le terrain de Chassieu est celui qui correspond le mieux à ce que le code de l’Environnement nous impose", explique David Lherm, chef de projet voirie au Grand Lyon. Du côté du club de trial, la décision a du mal à passer. Pas d’autres terrains adaptés "Ce terrain est unique dans l’agglomération lyonnaise. Si nous le perdons, le club disparaitra, s’inquiète son président Jacques Lefort. Nous savions que tôt ou tard nous devrions partir, mais nous demandons simplement à bénéficier d’un autre endroit où exercer notre passion." Cet autre terrain, le Grand Lyon affirme l’avoir recherché, en vain. "Rien ne nous y obligeait, mais nous avons essayé de trouver un autre espace adapté à la pratique du trial. Il n’en existe malheureusement pas sur notre territoire", nous fait-on savoir. Si la situation reste en l’état, le Trollsports Trial est donc voué à mourir au 1er juillet. Une pétition a été lancée pour tenter de sauver le club. "Je déplore un manque de reconnaissance. Mais si nous devons disparaître, ce ne sera pas sans avoir tout donné pour nous en sortir", conclut Jacques Lefort, dépité. Source
  7. La CITES élève la protection de la tortue du lac Hoàn Kiêm La Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES) vient de conférer un statut de protection plus élevé à la tortue du lac Hoàn Kiêm à Hanoï, ou lac de l'Epée restituée, une espèce rare au Vietnam et dans le monde. Lors de la 16 e conférence de la CITES tenue à Bangkok du 3 au 14 mars, 200 participants ont convenu de relever le niveau de protection de la tortue du lac Hoàn Kiêm ( Rafetus swinhoei ) de l'Annexe III à l'Annexe II. L'Annexe III est la liste des espèces inscrites à la demande d'un pays qui en réglemente déjà le commerce et qui a besoin de la coopération des autres pays pour en empêcher l'exploitation illégale ou non durable. L'Annexe II est la liste des espèces qui, bien que n'étant pas nécessairement menacées actuellement d'extinction, pourraient le devenir si le commerce de leurs spécimens n'était pas étroitement contrôlé. Rafetus swinhoei est une espèce très rare. Selon les scientifiques, elle ne compte plus que quatre individus dans le monde – deux mâles à l’état sauvage dans deux lacs vietnamiens (Hoàn Kiêm et Dông Mô), et un couple en captivité en Chine. Début mars, le D r Hà Dinh Duc, professeur assistant à l’Université nationale de Hanoi, a proposé à la ville de Hanoi de reconnaître la torture du lac Hoàn Kiêm comme trésor national. Car, selon lui, cet animal n'a pas seulement une valeur historique pour le peuple vietnamien, mais aussi culturelle et spirituelle. Le Service de la culture, des sports et du tourisme a été chargé par la ville de Hanoi d’évaluer ces propositions. Outre la tortue du lac Hoàn Kiêm, 11 autres espèces de tortues au Vietnam ont aussi vu leur niveau de protection relevé, dont les tortues endémiques du Centre – tortues feuilles d'Annam ( Mauremys annamensis ). Lors de cette réunion, le Vietnam a recommendé l'inscription des tortues boîtes ornées et des tortues feuilles d'Annam dans la liste d'évaluation périodique de l'annexe I de la CITES. Cette annexe comprend les espèces menacées d'extinction. Leur commerce doit être soumis à une réglementation stricte afin de ne pas continuer à menacer leur existence et peut être autorisé dans des conditions exceptionnelles. Selon les experts, les tortues terrestres et tortues d'eau douce du Vietnam sont capturées pour la consomation, la médecine traditionnelle ou pour être transformées en animaux de compagnie. L’augmentation du niveau de protection est une étape très importante pour aider les autorités à renforcer la gestion du commerce de ces animaux. – AVI Source
  8. Il y a 65 millions d'années, le caméléon a pris la mer pour quitter l'Afrique Le débat pour savoir si les caméléons viennent d'Afrique ou de Madagascar divise depuis longtemps les scientifiques. Une récente étude estime qu'ils ont émigrés de l'Afrique vers Madagascar par la mer. Les caméléons sont-ils apparus en Afrique avant de se répandre ailleurs dans le monde, à Madagascar en particulier ? Ou à l'inverse, ont-ils essaimé leur multitude d'espèces à partir de cette grande île de l'Océan indien ? Le débat divise depuis longtemps les scientifiques. Une étude publiée mercredi tente de trancher. Selon elle, les caméléons ont pris la mer pour migrer d'Afrique vers l'île de Madagascar voici quelque 65 millions d'années. S'il est si difficile de remonter jusqu'au lieu de naissance originel de ces reptiles à l'extraordinaire faculté de camouflage, c'est que l'écrasante majorité des 195 espèces de caméléons identifiées à ce jour sont partagées entre l'Afrique et Madagascar, qui faisaient toutes deux partie d'un supercontinent appelé Gondwana avant de se séparer il y a 120 millions d'années environ. Après cette rupture, l'Afrique continentale et l'île ont lentement dérivé pour être aujourd'hui séparées par 400 kilomètres d'océan. Et comme des fossiles indiquent que le grand-père de tous les caméléons n'est apparu que bien après cette séparation, les scientifiques se querellent de longue date pour savoir de quel côté de la mer. Une étude basée sur la direction des courants océanique Une nouvelle étude, fondée sur l'analyse génétique de 174 espèces de caméléon différentes, conclut qu'ils proviennent d'Afrique. "Nous avons estimé la période à laquelle différentes espèces de caméléons, vivant en Afrique et à Madagascar mais liées entre elles, ont divergé", explique Krystal Tolley, de l'Institut national de la biodiversité sud-africain, auteur principal de l'étude. "Nous avons découvert que cela s'est produit pour la première fois voici 65 millions d'années, au Crétacé supérieur, puis encore il y a 45 millions d'années, durant l'Oligocène", indique-t-elle à l'AFP. Conclusion : ces deux épisodes de dispersion ont "très probablement eu lieu d'Afrique en direction de Madagascar", une tendance confirmée par la direction des principaux courants océaniques pour les deux périodes concernées, résume la chercheuse. Car contrairement à aujourd'hui, les courants dominants coulaient à l'époque de l'Afrique vers les côtes malgaches, une découverte qui est "pour nous la cerise sur le gâteau", déclare Krystal Tolley. Une autre étude de grande envergure sur le caméléon, publiée en 2002, avait quant à elle conclu qu'il était malgache d'origine. A l'époque, les auteurs estimaient que les reptiles avaient quitté Madagascar en traversant le canal du Mozambique pour poser la patte en Afrique, avant de subir une série de spéciations, évoluant différemment en fonction du climat et de l'environnement de leur milieu d'adoption. Source
  9. C'est de la fibre de noix de coco et non pas de problèmes de parasites
  10. J'utilise la fibre de noix de coco depuis des années sans problème. Ce qu'on t'a conseillé n'est pas mauvais non plus même si je ne l'ai jamais essayé
  11. C'est une décoration seulement, c'est un crâne d'animal en platre
  12. A Montpellier, les nouveaux animaux de compagnie ont leur vétérinaire Le quotidien de Pierre Ronot : soigner des python royal, chinchilla, furet, couleuvre des blés, varan arboricole... (FRANCK VALENTIN) La liste des nouveaux animaux de compagnie (Nac) est très diversifiée et parfois inattendue. À Montpellier, ils ont leur vétérinaire. Les nouveaux animaux de compagnie (Nac) - il y en aurait environ 5 millions en France - galopent aussi vite que les légendes, bien entretenues par l’attrait du sensationnel. Sont-ils légion les amateurs d’exotisme à faire barboter un caïman dans leur baignoire, proliférer les mygales dans leur studio ou ramper de charmants boas sur leur balcon ? Arrêtons de faire peur aux enfants ! Et de limiter ces animaux aux reptiles en tous genres, qui font davantage le bonheur des terrariophiles, avides de reconstituer un bout de nature. "Le trafic, il y en aura toujours" Steeve Gilly, pompier gardois, est l’un de ces terrariophiles satisfaits des contraintes réglementaires - notamment le certificat de capacité - qui régissent sa passion. "L’arrêté de 2004 donne le nom des espèces et le nombre de spécimens adultes qu’on peut détenir", dit-il. Tenez, pour le python royal, on peut en avoir jusqu’à vingt-cinq en captivité, mesurant entre 1,20 m et 1,50 m. Et pour le boa constrictor, on a le droit à trois spécimens. Désormais, le venimeux est interdit à domicile. En sachant que "du trafic, il y en aura toujours". Législations différentes en Allemagne et en Belgique Steeve Gilly estime qu’il y a plusieurs centaines de propriétaires de reptiles dans la région. Dont une bonne dizaine avec des collections conséquentes. Le sud de la France n’est pas un lieu de prédilection pour la terrariophilie. Les différences de législation en Allemagne et en Belgique facilitent l’acquisition d’animaux. Du coup, c’est dans le Nord ou l’Est que de très belles collections sont basées. Pierre Ronot, vétérinaire spécialisé À Montpellier, les Nac coulent aussi des heures paisibles. Et ont même... leur praticien. Pierre Ronot, un jeune vétérinaire, a choisi cette spécialité. "On est une vingtaine à ne faire que cela en France. Des ovnis !", lance-t-il. "Les Nac, c’est un vrai fourre-tout. Les gens pensent aux serpents. Mais, nombre de citadins possèdent des lapins, des cochons d’Inde, des furets, voire des visons ou encore des tortues", fait-il observer. Un faisan doré mal en point Son activité au chevet de ces espèces “nouvellement médicalisées” suppose l’emploi de matériel spécialisé : vidéo-endoscope miniature, instruments de dentisterie pour lapins et tapis chauffants pour les interventions chirurgicales. Ce matin, à la clinique, un client est arrivé avec un faisan doré, mal en point. Hospitalisation nécessaire après une injection d’anti-inflammatoires et un gavage en règle. Après l’oiseau, place aux couleuvres des blés apportées par leur propriétaire dans des boîtes en plastique. Un vermifuge administré par une sonde spéciale fera l’affaire. Varan, agame, python, chinchilla Le quotidien de Pierre Ronot ne manque pas d’exotisme. Après des soins dispensés à un varan arboricole, puis à un agame barbu, il jette un coup d’œil sur ses patients hospitalisés : un python qui s’est brûlé en s’enroulant autour d’une lampe chauffante ou un chinchilla fugueur qui s’est fracturé le talon en se coinçant sous un meuble. Le spécialiste des Nac n’est pas prêt de chômer ! Source
  13. Je fais des mélanges de toutes sortes de choses personnellement. Avocat, carotte, brocoli, etc...
  14. Hot-dog d’iguane, testicules de taureau et soupe de tatou pour Pâques au Nicaragua Soupes d’iguane, consommés de tortue ou plats à base de tatou sont les recettes exotiques dont se délectent les Nicaraguayens à Pâques pour détourner l’interdiction religieuse de la viande rouge. Soupes d’iguane, consommés de tortue ou plats à base de tatou sont quelques-unes des recettes exotiques dont se délectent les Nicaraguayens à Pâques pour détourner l’interdiction religieuse de consommer de la viande rouge, malgré les risques que cela fait peser sur des espèces animales en voie d’extinction. Une des spécialités du carême est le «Pinol d’iguane», un plat élaboré avec du maïs grillé et moulu (le «pinol»), des légumes ainsi que de la viande et des œufs de ce reptile, servi dans un pain à hot-dog. «C’est très savoureux, c’est un plat traditionnel», assure à l’AFP Manuel Zamora, qui vient d’acheter deux iguanes au Marché Oriental, un marché populaire du nord de la capitale, Managua. «C’est excellent», confirme Emilio Aleman, un avocat pour lequel la consommation de ces animaux fait partie de la tradition culinaire locale, malgré son interdiction. «Les petits œufs d’iguane sont très bons» «J’aime la saveur de l’iguane, les petits œufs sont très bons», renchérit Pedro Espinoza, un Nicaraguayen qui réside au Costa Rica, de passage au pays. Afin d’avoir plus d’énergie, de virilité et de se «nourrir» le cerveau, les restaurants proposent la soupe aphrodisiaque «Levanta Muerto» (A réveiller les morts), confectionnée à base de viande de «garrobo», un reptile semblable à l’iguane, de cervelle, de moelle, de testicules de taureau et dans certains cas, de fruits de mer. «J’adore les testicules de taureau», clame Jose Cordoba, friand de cette soupe, très demandée par les hommes âgés et dans le quartier d’affaires de la capitale. «Ils la mangent pour se nourrir le cerveau», explique Miriam Sirias, patronne d’une cantine dans le marché Roberto Huembes, à l’est de Managua, mais ils l’utilisent aussi beaucoup «comme aphrodisiaque», ajoute une autre cuisinière, Cristina Gutierrez. La viande de tatou est également prisée, malgré les avertissements d’experts affirmant qu’elle peut être porteuse de la bactérie de la lèpre. Mais le «garrobo» reste la préférée des Nicaraguayens, qui lui attribuent des vertus pour lutter contre le cancer, le diabète ou l’anémie, entre autres. Malgré l’interdiction La tortue, de son côté, protégée depuis 2005, est consommée sur la côte Atlantique et entre dans la composition de plats typiques comme cette soupe comprenant de la tortue, du poisson, du taureau, du lait de coco et des légumes. Mais la forte demande engendre des captures massives de ces animaux natifs des zones tropicales, ensuite acheminés sur les marchés pour y être tués et vendus, malgré l’interdiction de chasse les concernant au cours de leur période de reproduction, de septembre à avril. «Il n’y a aucune raison» qui justifie le sacrifice de ces animaux, proteste le président de la Fondation environnementale air, mer, terre (Amarte), l’Uruguayen Enrique Rimbaud, dont l’ONG recueille des signatures pour demander au Congrès qu’il déclare au patrimoine national 187 espèces en voie d’extinction. Une douzaine de ces animaux sont chassés au Nicaragua pour être mangés, parmi lesquels le poisson Gaspar, dont «on pêche des tonnes pendant le carême», regrette le défenseur de l’environnement Fabio Buitrago. Source
  15. Un crocodile manque de peu un photographe imprudent Un photographe voulait prendre des clichés rapprochés des crocodiles. Lors d’un moment d’inattention, il a failli se faire happer par la mâchoire acérée de l’un d’entre eux. Un compagnon jetait des morceaux de viande aux reptiles pour les faire venir près de la caméra. Mais le photographe n’avait pas repéré un crocodile caché dans les hautes herbes et a bien failli lui servir de dîner. Source
  16. J'ai fais la recherche finalement. /t6774-tortue-lonesome-george-n-etait-peut-etre-pas-le-dernier-descendant-de-son-espece?highlight=George
  17. Ce n'est pas la première fois que c'est observé et sûrement pas la dernière. C'est un lézard qui peut se reproduire par parthénogenèse. Il y a le zoo de Londres et le zoo du comté de Sedgwick à Wichita, au Kansas qui ont pu remarquer ce phénomène.
  18. L'histoire, c'est comme c'est un burm adulte, c'est possiblement quelqu'un qui a de l'expérience. C'est alors possiblement quelqu'un qu'on connait également malheureusement. Par contre, personne ne se manifeste et personne ne se manifestera non plus...
  19. Si tu cherches un peu, j'ai mis un autre nouvelle qui nous apprend que finalement, George n'était pas le dernier de son espèce.
  20. Ça peut arriver une mauvaise journée. C'est nouveau d'aujourd'hui donc j'attendrais avant de m'alarmer
  21. Le crapaud accoucheur ouvre la saison de la Pointe-à-la-Bise Au menu de cette 14e édition de la fête de réouverture du Centre Pro Natura: activités pour se mettre dans la peau d'une grenouille, conférence et marionnettes. Pour la traditionnelle fête de réouverture de la réserve naturelle de la Pointe-à-la-Bise ce samedi, les enfants ont pu se glisser dans la peau d'un crapaud accoucheur, animal de l'année 2013 choisi par Pro Natura. L'association a mis sur pied diverses activités, dont un parcours parsemé de troncs, que les petits devaient franchir d'un bond, à la manière d'un batracien, un cheptel d'oeufs autour de la taille. Autres activités: un spectacle de marionnettes racontant l'histoire du "Prince charmant en voie de disparition", projection d'un film, conférence. Et un buffet du terroir pour régaler la soixantaine de visiteurs. "L'an passé nous avions accueilli 320 personnes, mais il faisait 26 degrés...!", rapporte Delia Fontaine, coordinatrice de l'éducation en environnement à Pro Natura. La réserve de la Pointe-à-la-Bise fêtait sa réouverture mais également un petit lifting: nouvelles tables et bancs de pique-nique, nouveaux panneaux signalétiques. L'étang devrait également faire l'objet de travaux durant le courant de l'année. "C'est un lieu extraordinaire, rapporte Michèle Künzler, magistrate en charge du Département de l'Environnement. Un endroit poétique mais également riche en enseignements." Source
  22. Pretoria - Traque d’un serpent venimeux Les employés du zoo de Pretoria, en Afrique du Sud, se sont rendu compte la semaine dernière qu'un serpent de l'espèce des Mamba noir avait disparu de son vivarium, révèle le quotidien britannique The Guardian. "Le Mamba noir est connu pour se cacher sur le sol d'un bâtiment de service derrière le terrarium" explique Craig Allenby, employé du zoo. Devant les craintes du public face au risque d'attaque mortelle, tout le zoo s'est lancé à la poursuite du serpent. Les employés le pourchassent, équipés de lunettes infrarouges. Le Mamba noir est connu pour être l'un des serpents venimeux les plus grand : celui-ci mesure près de deux mètres. lefigaro.fr Source
  23. UNE ARAIGNÉE SÈME LA TERREUR À CARDIFF D'après la presse galloise, une tarentule chilienne contaminée à l’amiante serait en fuite dans Cardiff. Dans un scénario digne d’un film d’horreur, la presse locale rapporte qu’une «peau» issue de la mue a été retrouvée dans une vieille maison du 19e siècle. La morsure de cette tarentule présente peu de danger mais la peau découverte présente une très haute concentration d'amiante. Source
  24. Première chose à savoir, il ne faut jamais retourner l'oeuf. Sinon personnellement, je les incube dans le substrat du terrarium que je laisse dans un plat troué avec un couvercle dans ma pièce à reptiles
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