Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Max|mum-leterrarium

Membres
  • Compteur de contenus

    12 143
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Max|mum-leterrarium

  1. Je serais curieux de savoir le résultat du test par la suite
  2. Quand préserver la biodiversité permet de protéger notre santé (AFP) - Barrière contre les épidémies, source de précieux médicaments et aide psychologique pour les malades ou même les bien portants: la diversité de la nature est la meilleure garante de notre santé, clament des médecins, vétérinaires et chercheurs dans un ouvrage qui paraît vendredi. "Aujourd'hui, on associe trop souvent la faune sauvage à des maladies comme le chikungunya, le paludisme ou la grippe aviaire. Pourtant, c'est en détruisant les écosystèmes, en perturbant le fonctionnement du vivant, en diminuant la biodiversité que nous mettons notre santé en danger", estiment les auteurs de cet ouvrage collectif initié par les associations Santé environnement France (Asef) et Humanité et Biodiversité. La diversité des espèces, en net déclin à l'échelle mondiale, est ainsi un "moteur puissant contre le développement des épidémies", affirmait cette semaine Benjamin Roche, chercheur en épidémiologie à l'Institut de recherche pour le développement (IRD), en présentant le livre au ministère de la Santé. A première vue, un appauvrissement du nombre d'espèces pourrait sembler bénéfique à la santé humaine en réduisant le nombre d'agents pathogènes d'origine animale. Or cela semble au contraire accroître le risque de transmission, dit ce chercheur. Il cite le cas de la fièvre du Nil occidental, pathologie qui cause 600 décès par an aux Etats-Unis: les comtés de Louisiane possédant la plus forte densité en oiseaux sauvages sont ceux où on observe le moins de cas humains. "Les animaux sauvages sont souvent pris pour des boucs-émissaires", estime le vétérinaire Michel Gauthier-Clerc, directeur de recherche à la fondation Tour du Valat, pour qui la peur de la faune sauvage, héritée des pestes du passé, n'est aujourd'hui pas fondée sur le plan sanitaire. Aujourd'hui, "moins de 2% des maladies infectieuses en France peuvent être attribuées à des zoonoses", c'est-à-dire aux maladies transmissibles des animaux aux hommes, confirme Gilles Pipien, codirecteur de l'ouvrage. Comme la grippe aviaire, les plus grandes zoonoses proviennent aujourd'hui des animaux domestiques, souvent en lien avec "des pratiques d'élevage industrialisées et mondialisées", relèvent les auteurs. Bon contre le stress La nature reste par ailleurs une précieuse mais fragile pourvoyeuse de médicaments, telle l'azidothymidine (AZT), un traitement anti-sida provenant d'une éponge de coraux des Caraïbes aujourd'hui en danger. Une bonne raison d'en prendre soin, insiste M. Pipien, qui raconte par exemple que la découverte dans les années 80 en Australie d'une grenouille particulière élevant ses nouveau-nés dans son estomac avait ouvert des perspectives pour un éventuel médicament contre les ulcères. Mais quand les chercheurs retournèrent sur place pour en savoir plus, la forêt avait été détruite et la fameuse grenouille éradiquée. D'autres coups de pouce thérapeutiques de la nature sont plus discrets mais tout aussi utiles, en réduisant le stress ou en aidant les malades atteints d'Alzheimer à retrouver la notion du temps avec l'évolution des saisons, explique le Dr Thérèse Rivasseaux-Jonveaux, neurologue au CHU de Nancy. Selon cette spécialiste, des études ont par exemple montré que, après une opération, "les patients prenaient moins d'antalgiques et restaient moins longtemps en soins intensifs" lorsqu'ils pouvaient voir un espace vert de leur chambre d'hôpital. Autant de liens entre biodiversité et santé qui font dire à Marie-Christine Favrot, ajointe du directeur général de la santé (DGS), que "préserver la biodiversité fait partie intégrante des actions de promotion de la santé". Encore faut-il, relève le cardiologue Pierre Souvet, président de l'Asef, "une vraie formation des médecins sur ces sujets". ("Notre santé et la biodiversité", sous la direction de Serge Morand et Gilles Pipien, éditions Buchet/Chastel, 240 pages, 20 euros). Source
  3. Je ne crois pas que ça porte problème puisque le terrarium ne sera pas dans ton lit. Ce que tu peux faire, c'est prendre un bac, mettre du substrat et voir l'impact avant d'acheter.
  4. Jû-Belloc. A la découverte d'une tortue aquatique Le fleuve Adour et ses bras morts abritent un animal méconnu, rare et protégé, reptile amphibien nommé emys orbicularis ou cistude d'Europe. La Maison de l'eau invite, le dimanche 7 avril, de 14 heures à 17 heures, petits et grands à venir observer ces animaux dans leur milieu, en compagnie de Brice Laborde, animateur environnement au CPIE Pays gersois. Après une marche à travers pelouses sèches et forêts alluviales, Brice présentera cette petite tortue friande d'eaux calmes et de soleil. Cette animation est gratuite. Réservations obligatoires (nombre de places limité) ; inscriptions au 05.62.08.35.98 ou par mail (maisondeleau@institution-adour.fr). Source
  5. La tortue disparue n'a jamais existé Le cercle des tortues disparues se restreint. Officiellement considérée comme éteinte, la tortue des Seychelles Pelusios seychellensis n'a en réalité jamais existé, ont révélé des analyses génétiques publiées jeudi dans une étude. | Alberto Pizzoli Le cercle des tortues disparues se restreint. Officiellement considérée comme éteinte, la tortue des Seychelles Pelusios seychellensis n'a en réalité jamais existé, ont révélé des analyses génétiques publiées jeudi dans une étude. Les tortues comptent parmi les vertébrés les plus menacés d'extinction. Parmi les quelque 320 espèces recensées, les tortues endémiques aux îles sont les plus vulnérables, exposées à la fois à la prédation d'autres espèces et surtout aux impacts des activités humaines. La Pelusios seychellensis, une tortue d'eau douce, figurait depuis 2003 sur la liste des espèces éteintes de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Seuls trois spécimens de cette tortue seychelloise, collectés en 1895 dans une zone indéterminée de l'archipel de l'Océan indien, étaient connus. Ils sont toujours conservés au Muséum d'histoire naturelle de Vienne ainsi qu'au Musée zoologique de Hambourg, en Allemagne. Aucune autre tortue appartenant à cette espèce n'ayant été trouvée depuis lors, "on est parti du principe qu'elle avait été exterminée", explique Uwe Fritz, directeur du Musée zoologique des Collections d'histoire naturelle Senckenberg à Dresde (Allemagne). Les biologistes ont tout bonnement pris une tortue pour une autre, révèle une étude publiée jeudi dans la revue scientifique PLOS ONE. "Nous avons examiné l'ADN du spécimen conservé à Vienne et découvert que ces tortues ne constituent pas une espèce à part", déclare le Pr Fritz dans un communiqué. La tortue seychelloise appartient en réalité à une autre espèce de tortue, Pelosius castaneus, très largement répandue en Afrique de l'Ouest et même introduite par l'homme en Guadeloupe en 1820. Décrite en 1906, "l'espèce Pelusios seychellensis n'a donc jamais existé", conclut le biologiste allemand. "En fait, pendant longtemps, les chercheurs s'étonnaient des similitudes trompeuses que ces tortues des Seychelles présentaient avec les tortues ouest-africaines. Mais avec un tel éloignement géographique, on pensait qu'il devait s'agir d'une espèce différente", explique Uwe Fritz. La tortue africaine a pu être introduite par l'homme aux Seychelles mais la confusion pourrait aussi provenir d'une erreur d'étiquetage lorsque les spécimens ont été prélevés en 1895. "Il y a un certain nombre d'espèces de vertébrés qui ont été décrites à tort comme étant nouvelles à partir de spécimens d'espèces déjà bien identifiées mais portant des données géographiques erronées", souligne l'étude. Ce fut notamment le cas de deux autres espèces de tortues. En 1905, un naturaliste avait ainsi décrit à la fois un genre et une espèce tout nouveaux pour la science, "Devisia mythodes", à partir d'un unique spécimen prétendument découvert en Nouvelle-Guinée. Plus tard, on s'est rendu compte qu'il s'agissait d'une bête tortue serpentine (Chelydra serpentina) d'Amérique du Nord, mal étiquetée. Quant à la Testudo hypselonota, une tortue terrestre décrite en 1941, elle avait bel et bien été observée à l'époque dans le sud du Vietnam. Mais la nouvelle venue était en réalité une tortue étoilée de Madagascar (Astrochelys radiata) qui avait échappé à son propriétaire. Source
  6. UNE NOUVELLE MYGALE TISSE SON ÉTOILE Une nouvelle espèce de mygale a été observée au Sri Lanka. Chaque année, des milliers d’espèces sont découvertes par les scientifiques dans les coins les plus reculés du monde. Mais, en règle générale, il s’agit d’animaux de taille modeste –en majorité des insectes- dont le caractère spectaculaire ne saute pas forcément aux yeux du néophyte. Mais il peut arriver que des biologistes tombent sur des bestioles dont on se demande bien comment elles avaient pu passer inaperçues jusqu’à présent. C’est le cas de la Poecilotheria rajaei, une mygale grande comme une assiette débusquée au Sri Lanka, dans le parc d’un hôpital de Maankulam, un village du nord de l’île. Cette araignée arboricole appartient au genre Poecilotheria, -Pokies pour les intimes- répandu en Inde et au Sri Lanka. Mais la rajaei se distingue de ses cousines par des motifs spécifiques jaunes sur ses quatre pattes postérieures et une bande orangée sous l’abdomen (Photo ci-contre, Ranil Nanayakkara/British Tarantula Society). Autant dire qu’il faut examiner la bête d’assez près pour remarquer ces caractéristiques inhabituelles, ce qui explique sans doute qu’elle ait pu demeurer dans l’anonymat jusqu’à ces derniers mois. TROIS ANS DE TRAQUE AU SRI LANKA POUR DÉNICHER DES SPÉCIMENS VIVANTS La mise au jour de cette nouvelle espèce s’est apparentée à une véritable chasse au trésor. Ses prémices remontent à octobre 2009 quand des villageois ont apporté à l’équipe d’arachnologues dirigée par Ranil Nanayakkara un cadavre présentant ces traits distinctifs. Mais il aura encore fallu trois ans de traque dans un Sri Lanka émergeant à peine d’une terrible guerre civile pour dénicher des spécimens vivants. Son nom, rajaei, a d’ailleurs été choisi en hommage à un officier de police qui a guidé les chercheurs à travers le pays à la recherche d’autres mygales. Toutefois, les spécialistes des araignées sont exigeants et les nouvelles espèces doivent montrer patte blanche (et poilue) avant de se voir octroyer une place dans les ouvrages de taxinomie. Interrogé par le magazine Wired, l’arachnologue Robert Raven, du Queensland Museum en Australie, reconnaît bien volontiers la qualité du travail effectué par l’équipe sri lankaise. «Mais, ajoute-t-il, pour dissiper tous les doutes et les risques de confusion, nous avons besoin d’un échantillon d’ADN pour le comparer à celui des autres espèces de Poecilotheria.» Car, comme le soulignait Gandhi, «la vérité porte l’évidence en soi. Dès qu’on la débarrasse des toiles d’araignée de l’ignorance, elle brille avec éclat.» Source
  7. Une espèce de lézard, disparue depuis plus d’un siècle, refait surface Parfois, les nouvelles en matière de protection de l’environnement sont bonnes. Alors, nous essayons de vous les faire partager. Geckoella Jeyporensis, petit lézard pouvant mesurer jusqu’à dix centimètres, était déclaré disparu depuis plus de cent ans. Il est de retour. Aperçu dans l’Est de l’Inde, il fait le bonheur des scientifiques, qui sont davantage habitués à constater la disparition d’espèces que leur résurrection. On ne l’avait pas vu depuis 135 ans (un scientifique de Bombay avait alors découvert un spécimen mâle en 1877), et c’est le travail acharné d’un groupe d’environnementalistes, démarré en 2009, qui a permis de retrouver sa trace. Ce petit lézard de la famille des Gekkonidae est donc unique ! C’est un travail commun du Centre des Sciences Écologiques et de l’Institut Indien des Sciences de Bangalore que l’on doit cette redécouverte, officialisée par la revue Hamadryad. C’est avec très peu d’informations que les environnementalistes sont partis à la recherche de notre ami Geckoella Jeyporensis. Tout ce qu’ils savaient en démarrant leurs travaux était qu’on l’avait initialement découvert à plus de 1.000 mètres d’altitude, caché sous un rocher, dans une forêt, sur la colline de Patinghe, dans la région de Jaipur. Cette espèce vient donc s’ajouter aux quelques 190 espèces de lézards déjà recensées en Inde. Espérons que d’autres espèces seront découvertes, ou redécouvertes, dans les prochaines années. Source
  8. Un crocodile dans le Rec Grand ! FERRALS-LES-CORBIERES Depuis quelque temps, on constate que l'inconscience de quelques-uns de nos concitoyens n'a plus de limites. En effet, lassés par certains animaux familiers adoptés tout petits et qui deviennent encombrants une fois adultes, ils n'hésitent pas à les abandonner dans la nature. Le cas des tortues californiennes jetées dans l'Orbieu et qui se révèlent de redoutables prédateurs pour les poissons avait déjà été évoqué dans ces colonnes l'année dernière. Cette année, un cran supérieur a été franchi. En effet, quelle ne fut pas la surprise d'un promeneur d'apercevoir dernièrement un crocodile dans le Rec Grand ! Le temps de le prendre en photo, et l'animal s'était enfui. Le maire, aussitôt prévenu, fit intervenir les spécialistes de la réserve africaine de Sigean, qui menèrent une battue aux abords du ruisseau. Hélas, celle-ci devait s'avérer infructueuse. Il est donc recommandé à la population d'éviter le secteur tant que le saurien n'a pas été capturé. Source
  9. Les propriétés des fils d'araignées enfin égalées artificiellement Pour la première fois, des fibres synthétiques possédant des propriétés mécaniques identiques à la soie d'araignée, qui leur confèrent ainsi une résistance à la traction et une extensibilité élevée, ont été commercialisées. Ce nouveau type de fibre ultra résistant, déposé sous le nom de "BioSteel", est un produit de la société AMSilk, qui repose en grande partie sur le travail de recherche et de développement du professeur Thomas Scheibel, du département des biomatériaux de l'Université de Bayreuth (Bavière). Le fruit du travail de l'équipe de M. Scheibel a été présenté lors d'une conférence de presse par Martin Zeil, Ministre bavarois de l'économie, des infrastructures, des transports et de la technologie. La combinaison des propriétés du fil d'araignée n'avait encore jamais pu être recréée avec des fibres artificielles. Ainsi, des caractéristiques, comme par exemple l'énergie nécessaire avant rupture, qui est trois fois plus importante dans la soie naturelle que dans le nylon, ont pu être égalées. La production est également durable, les anciennes fibres étant de surcroît recyclables et, surtout, leur composition est inoffensive pour le corps humain (absence de réaction immunitaire). "BioSteel" a été développé pour des applications dans le secteur médical et pharmaceutique, mais aussi pour une utilisation dans les matériaux composites et le textile technique. En outre, la société AMSilk a développé une méthode de production industrielle pouvant être adaptée selon l'usage final désiré. Une seconde étape vise le développement de nouveaux matériaux "haute performance" pour des revêtements et des mousses, ainsi que de nouveaux types de fibres. Le développement de ce nouveau matériau représente une percée scientifique et technologique importante, qui est le résultat d'un partenariat public-privé et de nombreuses années de recherche, dont une partie portant sur des organismes génétiquement modifiés. Source
  10. Un crocodile dévore une adolescente de 14 ans à Kuando-Kubango Menongue - Une adolescente de 14 ans a été mortellement attaquée le week-end dernier, par un crocodile dans la rivière Kubango, située dans la municipalité de Kangar, dans la province de Kuando Kubango (sud-est). Une source officielle parvenue lundi à l'Angop, indique que l'incident a eu lieu lorsque la victime, qui est allée chercher de l'eau au bord de la rivière, a été surprise par l'animal qu'il l'a dévoré complètement, laissant seulement la jambe gauche. Des cas pareils ont eu lieu dans les municipalités de Kuangar, Kalai et Dirico, à la frontière avec la République de Namibie et la République de Zambie, précisément dans la municipalité de Rivungo. Outre les crocodiles, souligne la même source, les hippopotames aussi ont causé plusieurs contraintes à la population de ces localités, endommageant leurs cultures, outre les attaques contre les personnes qui souhaitent traverser la rivière Kubango en pirogue, à la recherche de produits en terriroire namibien. Source
  11. Partir à la découverte des amphibiens Soulaines-Dhuys - Le centre permanent d'initiatives pour l'environnement (CPIE) du pays de Soulaines propose de découvrir les batraciens tout au long de la soirée du vendredi 5 avril. Le rendez-vous est fixé à 19 h devant l'accueil du CPIE. Les amphibiens, grenouilles, tritons et salamandres, sont des animaux fascinants tant leur cycle de vie est complexe. Les adultes se reproduisent dans l'eau mais ils passent la majorité de leur vie sur terre. Les larves sont, quant à elles, exclusivement aquatiques dans notre région. Sur le domaine de Saint-Victor et dans ses environs proches, la diversité des milieux aquatiques est telle que les espèces d'amphibiens que l'on trouve sont nombreuses : la grenouille rousse et la grenouille agile, les tritons palmés et alpestres, le crapaud commun et le sonneur à ventre jaune ou encore les grenouilles vertes. Ces espèces ne se reproduisent pas toutes au même moment mais la plupart sont d'ores et déjà présentes dans les plans d'eau. Pratique Entrée libre et gratuite Les locaux du CPIE se situent sur le domaine de Saint-Victor sur la D 960 entre les communes de Soulaines-Dhuys et La Chaise. Prévoir vêtements et chaussures adaptés. Renseignement auprès d'Emmanuelle Fradin au 03 25 92 28 33. Source
  12. L’horrible grenouille poilue qui se casse les os pour produire des griffes en cas d’attaque Des biologistes de l’université Harvard ont décrit une étrange grenouille velue avec des griffes extensibles. La Trichobatrachus robustus brise activement ses propres os pour produire des griffes qui percent ses ventouses, probablement lorsqu’elle est menacée. David Blackburn et ses collègues de l’Université d’Harvard (Museum of Comparative Zoology), pensent que cet effroyable comportement appartient à un mécanisme de défense. Il y a bien des salamandres qui forcent leurs côtes à traverser leur peau pour produire des barbes de protection sur commande, mais rien d’un tel mécanisme n’a été vu auparavant. La caractéristique se retrouve également dans neuf des 11 grenouilles appartenant au genre Astylosternus, dont la plupart vivent au Cameroun. Selon Blackburn : Certaines grenouilles font croitre des épines sur leur pouce pendant la saison de reproduction, mais ici, c’est tout à fait différent. Le Guru avait d’ailleurs décrit une grenouille japonaise qui peut sortir les griffes. Au repos, les griffes de la T. robustus, seulement trouvées sur ses pieds postérieurs, sont nichées à l’intérieur d’une masse de tissu conjonctif. Un morceau de collagène forme une liaison entre la griffe pointue et un petit morceau d’os à la pointe de l’orteil de la grenouille. L’autre extrémité de la griffe est reliée à un muscle. Blackburn et ses collègues supposent que lorsque l’animal est attaqué, il contracte ce muscle, ce qui tire les griffes vers le bas. La pointe acérée se détache alors de la pointe osseuse et coupe à travers le coussinet de l’orteil, débouchant sur la face inférieure. Le résultat final pourrait ressembler à une griffe de chat, mais le mécanisme de rupture et de coupe est très différent et unique chez les vertébrés. Ce qui est également unique est le fait que la griffe est uniquement osseuse et n’a pas de revêtement externe de kératine, ce que l’on retrouve habituellement dans la majorité des autres griffes du règne animal. Comme Blackburn a seulement étudié des spécimens morts, il ne sait pas ce qui se passe quand les griffes se rétractent, ou même comment elles se rétractent. Il ne semble pas y avoir de muscle pour la replacer à l’intérieur, ainsi l’équipe pense qu’elles pourraient passivement se replacer dans le tampon de ses orteils lorsque son muscle se détend. Les mâles de l’espèce, qui peuvent atteindre environ 11 centimètres, produisent également de longs cheveux brins, qui sont en faite un type de peau et d’artères, quand elles se reproduisent (voir image d’entête). On pense que les "poils" leur permettent de récupérer plus d’oxygène à travers leur peau pendant qu’ils prennent soin de leur progéniture. Au Cameroun, elles sont rôties et mangées. Les chasseurs utilisent de longues lances et des machettes pour tuer les grenouilles, apparemment pour éviter d’être blessés par leurs griffes. La première description des grenouilles à griffes érectiles (comme les chats) a été décrite par le zoologiste belge George Boulenger, en 1900, chez les grenouilles trouvées dans le Congo français, aujourd’hui la République du Congo. L’étude publiée sur Biology Letters : Concealed weapons: erectile claws in African frogs. Source
  13. Dijon : un alligator dans le Suzon ? Selon plusieurs témoignages, un alligator aurait été aperçu dans le Suzon. Une dépouille de sanglier repêchée dans le cours d’eau présente des traces ­suspectes. PARTAGER Romain et Bernard n’en reviennent toujours pas. Alors qu’ils étaient en train de pêcher sur les bords du Suzon, vendredi dernier, ils ont aperçu une forme inhabituelle à la surface de l’eau. L’espace de quelques secondes, ils ont nettement distingué « une carapace vert sombre ». À une dizaine de mètres du ­rivage. « Une véritable boucherie » « On surveillait nos lignes, on n’a pas eu le temps de prendre une photo. C’est la première fois que je vois une telle forme dans le Suzon, et ça ressemble fort à un alligator. J’en ai déjà vu lors d’un voyage en Floride il y a cinq ans. Je peux me tromper, mais ça y ressemble beaucoup », indique Romain. Son acolyte, Bernard, s’inquiète pour la faune locale. Inconditionnel du brochet, il a remarqué que ses protégés se faisaient rares depuis quelques mois. De là à penser que l’alligator en a fait son apéritif, il n’y a qu’un pas que le pêcheur fontainois n’hésite pas à franchir. Les deux amis, pêcheurs chevronnés, ne sont pas les seuls à suspecter la présence d’un monstre marin dans le petit cours d’eau côte-d’orien. Marcel Guignard, garde-pêche dans les environs de Messigny-et-Vantoux, a repêché en début de semaine un cadavre de sanglier « déchiqueté » selon ses dires. Le nonagénaire raconte : « J’ai déjà repêché des cadavres d’animaux, mais là, c’était une véritable boucherie. Le sanglier a été éventré, sa tête a été broyée. Dans un premier temps, je n’ai pas pensé à un crocodile, mais mon voisin m’a dit que de telles blessures ne pouvaient être causées que par un requin ou un ­crocodile ». Contactée sur le sujet, la Société nationale des animaux aquatiques non identifiés (Snaani) a indiqué avoir fait, récemment, des recherches dans des bassins qui, a priori, ne sont pas fréquentés par les crocodiliens. Ces dernières ne se sont pas révélées concluantes… hormis quelques traces, considérées comme « suspectes ». Michel Deunedit, président du collectif, affirme que la présence d’un alligator aux abords d’un environnement urbain « est tout à fait possible dans la mesure où certaines personnes achètent des sauriens au marché noir et les relâchent dans la nature une fois devenus adultes ». Il recommande aux riverains « la plus grande prudence » et conseille de ne pas promener les chiens sans laisse, en particulier sur les sentiers qui bordent la rivière qui ­conflue avec l’Ouche. Plus d’informations dans nos prochaines éditions. Romain et Bernard n’en reviennent toujours pas. Alors qu’ils étaient en train de pêcher sur les bords du Suzon, vendredi dernier, ils ont aperçu une forme inhabituelle à la surface de l’eau. L’espace de quelques secondes, ils ont nettement distingué « une carapace vert sombre ». À une dizaine de mètres du ­rivage. Source
  14. SCANDALE: Le chéri de Kourtney Kardashian assassine un alligator devant les caméras(VIDEO) Dans le dernier épisode de "Kourtney et Kim Take Miami", Scott Disick, le chéri de Kourtney Kardashian assassine froidement un alligator. Un spectacle macabre qui a profondément choqué la PETA ainsi que l'association International Reptile Rescue! L'émission de télé-réalité des Kardashians est considérée comme étant "trash" mais aujourd'hui, il semblerait que la famille la plus célèbre des USA est franchie un nouveau cap. En effet, dans le dernier épisode de Kourtney et Kim Take Miami, le chéri de Kourtney a dépassé les limites en abattant froidement un alligator devant les caméras de télévision. Mais il ne s'est pas arrêté là puisqu'un peu plus tard dans l'épisode, on peut le voir dépecé et vidé l'animal. Ces images ont profondément choqué l'association International Reptile Rescue. La représentante a déclaré : "Il n’a pas tué un alligator, il a assassiné cet alligator."La PETA et Tori Spelling ont rapidement réagi et critiqué Scott pour le spectacle macabre qu'il a proposé aux téléspectateurs. Sur Twitter, le geste du jeune homme n'a pas laissé indifférent les internautes qui crient au scandale! Unfortunately your browser does not support IFrames. Scott Disick RIPPED by Reptile Org For Alligator Murder - Watch More Celebrity Videos or Subscribe Source
  15. Tout comme moi mais je l'affiche quand même pour les intéressés.
  16. Petit cours 101 sur comment on fait les bébés! Pour commencer, on goûte la queue. On peut ensuite, lui caresser la queue pour démontrer de l'intérêt à passer à l'acte! On peut aussi lécher le dos afin de donner des frissons à notre partenaire On se rapproche tranquillement de notre but On s'installe devant le regard impressionné des enfants Les yeux nous informe qu'il a réussit à trouver le bon emplacement Et le regard du mâle qui y prend plaisir Et maintenant le regard de du mâle satisfait qui vient de connaitre les 30 secondes les plus palpitantes de sa vie. Et le tout s'est déroulé sans pudeur durant un exposition devant le regard de questionnement des enfants dont les parents ont dût avoir une discussion avec eux le soir venu
  17. SALON DES BESTIOLES et REPTILES SAMEDI ET DIMANCHE LES 13 ET 14 AVRIL 2013 DE 10H À 17H Soyez des nôtres pour ce salon tant attendu. Plus d'une quarantaine d'espèces variées dont: serpents, lézards, alligators et plusieurs bestioles. Vous pourrez vous faire prendre en photo avec "MONGO" un serpent python de Birmanie de plus de 4 mètres. ET des tours de poney dans le stationnement!!! L'Association herpétologique de Québec sera des nôtres avec la plus grosse tortue au Québec. L'équipe de M. Reptile sera sur place pour vous faire partager leur passion.ET BEAUCOUP PLUS... Le tout se déroulera aux Galeries du vieux fort à Lévis situé au 7777 boulevard de la Rive-Sud Pour les photos de l'an passé : /t6020-salon-des-reptiles-bestioles
  18. Montreal Reptile Expo Holiday Inn Pointe Claire, QC 6700 Trans-Canada Highway, Pointe-Claire, QC, Dimanche 7 avril de 9h à 16h Admission Adulte 8$ Enfants de 7 à 14 ans 5$ Âge d'or 5$
  19. Voici les photos Il y a eu quand même pas mal de monde (comme sur la photo) du début jusqu'à la fin!
  20. Aujourd'hui, en faisant de la recherche sur le net. Je suis tombé sur un site où ils parlaient d'oeil d'iguane. C'est à ce moment que je me suis rendu compte que l'oeil d'un iguane est tellement différent des autres lézards. J'en avais même douté donc je suis allé voir mes iguanes pour comparer.
  21. Ivre, il achète un python volé de trois mètres et quatorze kilos INSOLITE - Dwayne Matthews a été condamné à huit semaines de prison avec sursis, et a également écopé d'une amende et a dû dédommager le propriétaire du reptile... Very bad Trip, en vrai. Imaginez: vous vous réveillez un matin avec une monstrueuse gueule de bois, et vous vous rendez compte qu’un python de trois mètres s’apprête, gueule grande ouverte, à attaquer l’un de vos amis, assoupi sur le canapé. C’est ce qu’ a vécu Dwayne Matthews, un Britannique de 29 ans, dont le Daily Mail raconte la mésaventure. Celle-ci a eu lieu en janvier dernier. Dwayne Matthews buvait un soir avec des amis dans une maison de Willenhall. Une camionnette s’est arrêtée, et un inconnu leur a alors proposé de leur vendre un Python de Seba, une bestiole de 14kg répondant au doux nom de Bruce. Ce que Dwayne Matthews a accepté. Une idée de génie lui était en effet venue à travers les vapeurs d’alcool: revendre l’animal pour financer l’entreprise de gouttières qu’il était en train de lancer. Le lendemain matin, il s’est rendu compte que ce n’était pas une si bonne idée. Volé chez un particulier Après ce réveil pour le moins inhabituel, Dwayne Matthews a eu la présence d’esprit de jeter une couverture sur l’animal, et a réussi à l’enfermer dans une cage en verre. Le lendemain, il a tenté de le revendre à un magasin spécialisé de son quartier. Mais le responsable a prévenu la police. Il avait en effet été avisé par les forces de l’ordre que neuf reptiles avaient été volés chez un particulier à Hillfields, près de Coventry. Bruce faisait partie du lot. Vendredi dernier, Dwayne Matthews a comparu devant le tribunal de Coventry, où il a plaidé coupable de recel de biens volés. Il a été condamné à une peine de huit semaines de prison avec sursis. Il a également écopé d’une amende de 85 livres (environ 100 euros) et 80 livres (environ 95 euros) de dédommagement à David Chance, le propriétaire de Bruce. Ce dernier a expliqué qu’il le nourrissait habituellement d’un lapin ou d’un rat mort une fois par semaine. «D’habitude, il est très doux, mais la personne qui l’a volé s’en est mal occupé. Il avait deux trous dans la tête et semble avoir été frappé.» Le Python de Seba, le troisième plus gros reptile au monde et le plus grand serpent africain, fait partie des constricteurs, et se nourrit de rongeurs, de volailles ou même de mammifères de grandes tailles, comme des antilopes. Bérénice Dubuc Source
  22. Fréquence Grenouille au chevet des zones humides Donner du ressort à la préservation des zones humides : c'est le but de l'opération Fréquence Grenouille. Une 19ème édition marquée par 500 animations partout en France jusqu'à la fin du mois de mai. Des moments nature organisés avec les Conservatoires d'espaces naturels, les réserves naturelles et cette année, les Agences de l'eau. Alors, comment se portent nos mares et autres nappes phréatiques ? Donner du ressort à la préservation des zones humides : c'est le but de l'opération Fréquence Grenouille. Une 19ème édition marquée par 500 animations partout en France jusqu'à la fin du mois de mai. Des moments nature organisés avec les conservatoires d'espaces naturels, les réserves naturelles et cette année, les agences de l'eau, Alors comment se portent nos mares et autres nappes phréatiques. Source
×
×
  • Créer...