sokol

Trouver un mentor sur un forum est aussi aléatoire que de trouver l'amour de sa vie dans les pages jaunes. Beaucoup donnent des conseils sans avoir l'expérience, d'autres généralisent avec la seule connaissance d'un oiseau..... il y a de tout! A en lire certains, on leur attribuerait une maîtrise qu'ils souhaiteraient mais qu'ils n'ont jamais eu ou n'auront jamais. Pour avoir un mentor utile et agréablee, il faut en rencontrer jusuq'à ce qu'on en ai trouvé un avec qui les choses passent naturellement. Pour avoir essayé de passé mon expérience à plusieurs personnes, je dois constater que peu d'entre elles ont compris ce que je tentais de leur faire passer. Apprès quelques incompréhensions, j'étais aussi loin d'eux. Après, il pasaient ailleurs et peut-être auront ils trouvé quelqu'un qui les soutient comme souhaité. Tant mieux pour tout le monde! Alors, se former sur un forum est encore pire!

Effectivement, la séparation nous affaiblit toujours!

Quand je dis que la vie à la campagne est plus dangereuse qu'en ville.....

C'est assez normal, peu de faucons copulent en captivité. 10% n'est pas trop loin de la vérité statistique. Et c'est très bien, ça permet d'inséminer pour faire des oiseaux "sur mesure".

Je n'ai qu'un couple qui se reproduisait naturellement, j'espère que leur nouvelle volière ne les a pas trop perturbés (le tioercelet chante déjà). Les autres (9) ne copulent pas et c'est mieux comme ça.

On arrive à l'époque de la poussée des hormones, la Saint Valentin des faucons qui fait le bonheur des reproducteurs. J'ai déménagé cet été et il me semble que les oiseaux se sont adaptés. Les premeirs couples chauffent vraiment, les suivant paradent un peu! Espoir, espoir....

Les escaps sont utiles vivants, pas congelés!

Des "lurchers" locaux! Je me réjouis de ne pas en avoir!

Au Mexique, j'ai rencontré un éleveur canadien qui a fait des hobby/pèlerins il y a 9 ans. Il prétend que ces oiseaux sont d'une élégance et d'une efficacité parfaite. J'espère en faire un (ou plus)cette année. Je vous tiendrai au courant....

Je me permets un petit bémol. A mes yeux, il est normal que tout un chacun puisse avoir un oiseau élévé en captivité. Le législateur européen, dans sa grande sagesse, le souhaite. Un rapace ne diffère en rien, si ce n'est émotionellement pour certains, des autres animaux. La caste des fauconniers "purs et durs" est morte et s'est même suicidée. Ils ne se voulaient que quelques uns, rejettaient les nouveaux qui risquaient des ne pas leurs servir, fermaient les portes des oiseaux en se les réservant, bref, se prennaient et se prennnent encore pour les seuls "bons".En Belgique, on les appelle les fossoyeurs de la fauconnerie. J'en ai reçu un dernièrement à la maison, c'est pathétique de prétention, d'expérience perdues et de culture digne d'un "has been" n'impressionnant que les débutants. des "petits maîtres". Ce qu'il leur manque est l'autodérision et la remise en question. Mettez leurs un képi de facteur et ils mettront un pv à leur mère! Pourquoi ne vouloir garder que les fauconniers capables d'être des chasseurs de haut-vol, ne volant que les grands faucons sur du gibier naturel dans régions hostiles? La fauconnerie peut aussi être une belle occasion de prendre un lapin entre amis, une petite sortie en famille avec une harrys, l'ambition de taquiner le lièvre avec une QR, .... La pêche n'est pas que la prise du gros en océan, que la pêche à la mouche en rivière ni que la prise de la carpe remise en étang. L'équitation n'est pas que Saumur non plus! L'autre excès est l'obtention par des presonnes incultes et passionnées d'un jour par un hiboux qui ne volera qu'en se jetant de sa longe. Le juste milieu est au milieu. L'obligation de la formation (comme en Allemagne et presque en flandres (à vérifier)) est une bonne base de réflexion. Le choix des formateurs ne doit pas être dans un camp ou dans l'autre. Je suis d'autant plsu à l'aise de le souligner que former des jeunes me lasse. L'effort est difficile pour un résultat médiocre, sauf exception! Ouvrir les portes enrichit l'avenir. Ceux qui ont des enfants et font des affaires le savent: c'est demain le projet! Un mur ne se construit pas qu'avec des ruines. La fauconnerie n'est pas un art, c'est une passion. Elle se construit et se partage. C'est chez son pire concurrent que l'on évolue ou avec des amis ouverts sur le monde, pas "entre soi". Pas simple d'accepter, pas simple de comprendre! Le Mahatma a dit "en fauconnerie, il est plus difficile de faire sentir que d'expliquer". On est en plein dans le débat, c'est ça qui fait avancer le monde. Je reviens du Mexique où j'ai découvert une autre approche de la fauconnerie et des relations sociales y relatives. La technique de formation d'un des clubs est remarquable et je compte l'appliquer. Entre gain de temps et sans frustration: le meilleur pour l'instant. On y reviendra.... Un autre point important: se réjouir de la perte d'énergie de ce forum au profit d'un autre est un aveu de faiblesse intellectuelle. Si l'objectif est le rejet, il ne doit pas faire partie des valeurs d'un fauconnier. Nous en arriverions à des extrémités connues! Mais admettre l'existence de deux forums souligne déjà l'égoïsme des pratiquants. Il ne devrait y en avoir qu'un et de qualité. La fauconnerie ne doit plus être une affaire de clans mais doit s'unir pour se renforcer, en vrai comme en informatique. Vive nous!

Dans mon "ancien" cas, il s'agit d'un éleveur qui chasse aussi. La suite judiciaire est attendue. Le prévenu est toujours considéré comme innocent, laissons lui le bénéfice du doute! Je ne manquerai pas de vous tenir au courant, promis!

Etienne, tu attrapes la grosse tête?

C'est idiot de comparer un poisson rouge mort à un faucon. Partout dans le monde on mange des poissons morts mais rarement les faucons. Ca fait aussi partie de l'éducation sentimentale et gastronomique! Le prochain poisson mort, tu la forceras un peu; après il y a de fortes chances pour qu'elle l'enterre elle même.

http://cgi.befr.ebay.be/guide-Gastinne-Renette-dressage-amateur-/110330501497 Il y a chez Gastine Renette quelques excellents livres sur le dressage des spaniels et autre cockers. Ils sont très agréables à lire et positivement orienté pour la chasse, le chien et son conducteur. j'en ai au moins un mais il est encore dans les caisses de déménagement en attendant la livraison de la bibliothèque!

"Et j'ai crié, criééé é, Aline pour qu'elle revienne" Christophe était-il fauconnier? Avait-il des problèmes de réclame ou de leurre?

Coupe leurs d'abord les dents pour ne prendre aucun risque. Je n'y mettrais pas un de mes oiseaux, trop dangereux!

Ca dépend! Il y en a dont je me débarasserais volontier tandis que d'autres terminent leurs vieux jours en harmonie avec moi. En générale, les vieux avec qui je me suis entendu durant leur vie la termine chez moi. Les autres, sans regret, peuvent faire le bonheur de jeunes fauconniers. Le vrai cap est celui de la seconde année. Une fois passé, ils sont adoptés.

A la place du "down", beaucoup d'anglais les mettent au "steady". C'est un "assis" qui permet au springer de rester immobile en ragardant le gibier tomber pour le rapporter ensuite. Dans notre cas, le down peut être meilleur, le rapport étant interdit!

Il doit connaître peu de choses mais les exécuter parfaitement à distance: le rappel le down immédiat et prolongé la marche au pied C'est tout. La quête peut être raccourcie par le down, il comprendra très vite qu'il doit quêter sous l'oiseau. La sagesse à l'envol est aussi apprise avec le down. Important pour ne pas bousculer l'oiseau. La passion de chasse, il en débordera dès sa première mise en contact avec le gibier. Attention à la sociabilisation, ils ont souvent la dent facile.

Super! En bas-vol, tu as fait le meilleur choix à mes yeux. Une seule règle: DISCIPLINE. Rien n'est pire qu'un springer pas ou mal dressé, ils vident une chasse en moins de temps qu'on le pense!

C'est étonnant, j'en connais beaucoup qui ne pensent qu'à partager leur passion (même en France). Chez nous, les jeunes passent boire un coup puis sur le terrain on fait vite le tri....

Je ne sais pas la géographie française mais il me semble qu'il doit être possible de trouver un fauconnier ou autoursier qualifié à moins de 240km de chez soi en France. La France est grande mais pas à ce point. Peut-être est ce une question de présentation du problème.....

Je me réjouis de pousser une tête au sky trial de Queretaro. Il parait que le haut-vol y est des plus corrects et qu'une leçon de simplicité ne me fera pas de tort. A découvrir sans modération.....

[quote. la chasse au vol est réellement un mode de vie, non un loisir. [/quote] La chasse au vol DOIT être un loisir. Si l'on en fait un mode de vie, on risque vite de tourner au profiteur, au gigolo ou au clochard. Il faut se donner les moyens de sa passion. La chasse au vol, si elle est bien faite peut être auto-financée mais dans des limites financières vite atteintes. Si l'on souhaite évoluer: il faut avoir un peu de moyens et beaucoup de temps donc n'avoir pas que ça dans la vie. Je ne connais que peu de gens qui en font un mode de vie et/ou qui en vivent correctment. Beaucoup en rêvent mais peu le vivent! Le débutant qui n'a pas les moyens intellectuels et financiers pour rencontrer des anciens et les suivre régulièrement se condamne à la médiocrité. En faire un mode de vie n'est pas avoir un oiseau dans son salon lorsqu'il y a du monde, c'est une peu plus que d'avoir des hiboux dans son jardin et de "les aimer bien". Je comprends Martial dans son fond et ose développer sa pensée. Qu'il me corrige si je me suiis trompé.

Sachons que de toutes façons: la fauconnerie est l'école de l'ingratitude! A la première prise, les débutants se sentent l'égal de celui qui leur a appris. Celui qui a de l'expérience critique ses maîtres et proclame sa fauconnerie instincive. Presque à croire que ce qu'on lui a transmis pourrait lui nuire dans sa qualité naturelle. J'ai prêté une forme de harris à une gardienne d'enfant pendant une saison. Le seul merci que j'ai eu était un dédain prétentieux qui ne volait pas plus haut que les couches qu"elle changeait. C'est un exemple parmi d'autres et ils sont nombreux. Pour avoir essayé de mettre dans une direction certains, je peux dire que peu sont reconnaissants, moins sont respectueux et inexistants sont les redevables. La devise des escrimeurs est "Honneur aux armes, respect aux maîtres". On en est vraiment éloigné. Décidément, la fauconnerie est tombée bien bas......