lblpro

Aïe Pascal.... je ne suis pas d'accord avec toi.... de bonnes discussions en vue pour cet hiver aux retours de chasse..... Dire que la balance et le poids n'ont aucun intérêts pour les harris çà me scie les jambes à ras le cou..... Il y a plusieurs éléments de décisions incontournables en fauconnerie ( au sens large) et le poids et sa surveillance en font partie. Par contre il est exact que le poids, s'il n'est pas interprété en fonction d'autres paramètres, n'a qu'une valeur indicative. Que vaut l'indication d'un poids : - si on ne sait pas si on l'a obtenu en remontant ou en abaissant l'oiseau, mais aussi et surtout quel est le rythme de cette montée ou de cette descente. - si on ne sait pas à quelle période de la journée on se réfère - si on est en début ou en fin d'affaitage ou de saison, - si on est sur un site habituel à l'oiseau ou un site qu'il découvre, - si on est sur des biotopes ou des climats auxquels l'oiseau est habitué, - si on ne définit pas la difficulté de la chasse ( lièvre,ou lapin la loutte en'est pas la même...) - si on change les créances ... - si on ne précise pas les conditions climatiques ( T°; Vent; humidité...) Contrairement à ce que j'entends souvent le poids n'est pas une constante, il évolue tout au long de la saison et toute au long de la vie de nos oiseaux. la science du fauconnier est, entre autres, l'art d'adapter par anticipation le poids de son oiseau aux conditions de chasse qu'il va rencontrer. Comme les harris sont des oiseaux particulièrement intelligents elles développent rapidement des comportements acquis ( comme le reclam par exemple ) ce qui permet de faire évoluer le ratio poids rond/poids de vol tout au long de l'année en conservant le même efficacité à la chasse. Il me parait logique pour un oiseau relativement jeune, et s'il fait très chaud, de démarrer la saison, en sortie de mue, très proche du poids de la primo introduction.... mais çà va aussi dépendre du caractère propre de l'oiseau.... la discussion reste ouverte

Bjr, Y a t il un des membres de ce forum qui aurait perdu une Harris dans le Sud du Lot, le Nord du Lot et Garonne, ou du Tarn et Garonne??????

les aplos ont volé sur perdrix, ils ont pris régulièrement ( un seul manqué je crois). Des oiseaux calmes et non criards ( ce qui est remarquable pour cette espèce !!!!!!!!) et une capacité de poursuite et un yarak impressionnants. Bref, Des oiseaux bien mis félicitations à Jean loup et Olivier

avis: comme christian et moi étions un peu "pris" par l'organisation on reste preneurs de photos et merci à ceux qui ont dejà pensé à nous en envoyer. Il manque quelques oiseaux sur la photo de FLO86... les gars étaient encore à refaire le monde près de la fontaine à café...... c'est pas sérieux.... Ceci dit j'ai trouvé que nos faisans avaient du gaz..... Il ne reste plus qu'à recommencer ..... bientot...... si çà vous à plu. Lionel

Salut Cantalou !! Une coulée basaltique, une ancienne aire de grand corbeau, de fientes blanches sur le noir du basalte..... et le roi au milieu.... tout y est !!! c'est quand même un beau pays.

Albi (81) était connu pour le couple de pélerins de sa cathédrale...... mais aujourd'hui ils ont des concurrents sérieux pour le pigeons dont ils se nourrissent. Visitez le site de la dépêche du midi et surtout ....... regardez la video associée à l'article. voici le lien : http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/07/1508520-albi-quand-les-silures-du-tarn-mangent-des-pigeons.html On connaissait les chasses de haut et de bas vol, la pèche avec des cormorans.... il ne reste plus qu'à inventer une nouvelle discipline: l'affaitage des silures !!!!

Bonsoir à Tous, Je confirme à ceux qui l'attendaient, et qui l'ont déjà appréciée, que la réunion biennale de chasse au vol de LAPLUME (47) est programmée le premier Week End de Février 2013... à vos agendas....

je pense que c'est en train de bouger.... il devrait y avoir du nouveau sous peu ! Celà dit avec christian, et depuis quelque temps, nous formons a peu près un nouveau tous les ans ( bas vol) ... Une seule déception par une personne qui poursuit tout près de chez nous et avec des oiseaux reproduits chez nous mais qui nous a oublié..... C'est la vie....mais à part elle nous n'avons eu que de bons et agréables fauconniers que nous retrouvons souvent avec un plaisir partagé Quand je compte le nombre de fauconniers qu'il y avait il y a 30/40 ans dans le Sud Ouest. je trouve qu'il y a quand même du mieux dans l'effectif, même si je ne connais pas tout le monde.... il faut positiver Au fait....la chasse biannuelle à Laplume est programmée pour cette année....

de nouveaux, ou futurs pratiquants..... dans le sud ouest.... des anciens : Pascal et Richard en : première ligne çà fait plaisir de voir du dynamisme pour notre SUD OUEST. à bientot à tous

Bonjour Jean, As tu essayé de la mettre à la longe, sur la perche basse ( ou un bloc au sol) dans un endroit sécurisé et près de ta voiture et la laisser plusieurs jours comme cà ( peut-être en approchant le véhicule un peu plus chaque jour) . Et en la nourrisant au leurre ( ou mieux au sol) dans ces conditions ( et si elle refuse de se nourrir .... attendre et être plus tétu qu'elle.... un oiseau ne se laisse pas mourir de faim !) ceci jusqu'à quelle se calme. bonne chance

Bonjour, je crois qu'il est difficile de répondre a une question aussi abrupte. La réponse ne me semble pas être oui ou non. Il y a longtemps aucun fauconnnier ne se serait interessé a un oiseau impregné. Mais nos pratiques ont changé et finalement elles ont suivi les évolutions de la "définition" (ou de la connaisance des mécanismes ) de l'imprégnation( cf Mac dermott par ex..); Cette évolution est marquée chez Laurenz lui même entre ses premières publications et sa définition de 1984. (prenant en compte plusieurs paramètres notamment l'environnement et la nature même du comportement, voire la fonction elle même) D'après moi le problème n'est pas de savoir si cet oiseau est impregné donc volable ou pas, mais bien de savoir COMMENT il a été imprégné. C'est ce qui définira son comportement futur (c.a.d l'ontogenèse du futur comportement) . Comme aucun oiseau n'est imprégné de la même manière cela explique que certains s'affaitent bien et d'autres pas..... . attention: Cette théeorie n'engage que moi ! Par contre je te conseillerai de ne pas laisser cet oiseau sans tuer et se nourrir du vif régulièrement (voire tout le temps juqu'à son affaitage rapide et sa mise en chasse). Car il y a la le risque de generer une "dépendance " qui sera un comportement acquis de dépendance ( dans sa phase de socialisation c.a.d de mise en plce de ses comportemets sociaux) sans liaison directe avec l'impregnation ( bien que celà en soit la suite logique) Bonne chance

Bonjour, la réponse est toujours la même : va sur le site de l'ANFA et contacte le délégué regional. Il y a de nombreux fauconniers dans la région de Toulouse, sinon tu peux passer nous voir, nous volons au Sud d'Agen en limite du Gers, contacte la FDC 47 qui te donnera nos coordonnées. Bon courage t bonne chance

ma petite contribution pour la longueur de l'antenne: Si l'antenne ne dépasse pas au delà du balai de l'oiseau ( soit au harnais, soit au support sur queue) çà limite le riqsue d'arrachage des plumes. Pour le GPS: J'ai vu il y a 2 ou 3 ans un système interessant mais qui ne semble pas avoir eu un grand succès commercial. l'equipement était basé sur le constat que le GPS ne sert pas à grand chose dans les premières phases d'une recherche. En effet soit l"oiseau est resté asez près soit il continue à voler ( cas des vols thermiques.... surtout en fin d'hiver). Donc le système permettait de traquer en mode "traditionnel" puis de demander par teléphone la position GPS, les coordonnées entrées sur un support cartographique déjà installé sur le cellulaire ( Mappy, Google pour autre...) permettait de localiser l'oiseau. L'emetteur n'etait pas très encombrant, pour économiser la batterie le signal GPS n'était pas emis en continu mais à période régulière. En option une photocellule peremettait de recharger la batterie après qu'elle soit vide, pour l'obtention d'un position GPS par jour plusieur jours après la perte de l'oiseau. Ce système me paraissait ideal, et j'attendais un retour d'expérience mais je n'en ai pas eu de nouvelles.

Bjr, va sur le site de l'ANFA ( 3 w anfa.net ) onglet contact public. Le secrétaire national te donnera les contacts avec le délégue régional qui te guidera localement. Il y a pas mal de fauconniers dans le Sud Ouest.... et dans la région de Bordeaux ! A l'occasion passe nous voir dans le 47 ( c'est à 1 h 30 de voiture) On y chasse en haut vol et bas vol, et on y fait aussi de la repro, ......pas besoin de désairage . la saison de chasse touche à sa fin, alors à l'année prochaine peut être.

Alors, nebli, quelle est la solution ? .....................ou d'autres photos !!!!!

oserais-je: une marouette ?

Tu as raison Pascal mais çà fait au moins 2 gars qui feront pas de bétise, on doit aider mais on doit aussi décourager si on sent que les gars n'ont pas la passion c'est notre role d'anciens...... que veux tu on est vieux !!!! à bientôt et passe nous voir

OH !!!! collègues !!! on chambre les fauconniers du Sud Ouest ????? alors j'interviens.... C'est vrai qu'on ne laisse pas beaucoup de messages sur le site, mais c'est parcequ'il fait beau chez nous et on préfère rester dehors avec nos oiseaux..... Au dessus de la Garonne il fait froid, gris et il pleut tout le temps... c'est le NOOORRRD ! voire l'essssstrèèèème Nord, alors les gars du Nord se rabattent sur la toile . trève de plaisanterie: je suis d'accord avec zelkova.... on est assez nombreux, on ne ferme jamais la porte aux nouveaux mais il faut nous chercher au bon endroit, le net ne fait pas tout.

Faire le gairo me parait important, celà recentre l'attention de l'oiseau au bon moment sur l'action de chasse, alors qu'il peut éventuellement être distrait par tout autre chose au moment du départ du gibier. Le gairo doit, d'après moi, être très spécifique au moment du levé du gibier et pas utilisé pour un rappel ou un recentrage (réservé au sifflet ou au gant selon le cas) . J'avais, il y a une quinzaine d'année, une forme de Brokei qui s'entendait à merveille avec le braque allemand d'un ami autousier. Quand le chien était à l'arrêt il tendait discrètement de voir ou se situait le faucon de manière à le servir au mieux, en réciproque dès que je criais le faucon décrochait pour attaquer et....... si le gibier ne partait pas....... il faisait un passage au ras de la tête du chien, ressourçait et reprenait rapidement son plafond. Je me suis, par la suite, essayé à plusieurs reprises à déclencher ces fausses attaques devant quelques amis fauconniers du Sud Ouest, et celà marchait bien, mais je n'ai pas insisté pour ne pas donner de mauvaises habitudes à l'oiseau. Celà a fini de me convaincre de l'importance du Gairo dans l'action de chasse.

C'est, d'après moi une avancée majeure, grand merci à ceux qui y ont contribué. Beaucoup de chemin parcouru . Mais, outre l'inscription au patrimoine de la fauconnerie elle même, il y a reconnaissance par un organisme international majeur (et finançant de nombreux programmes de protection de la nature) : 1- d'une tradition sociale respectueuse de la nature et de l’environnement 2- et d'un impact sur "...... la conservation des espèces de faucons". Les associations de fauconniers devraient donc aussi s'appuyer sur ces deux attendus, pour renforcer/développer leurs actions de protection et s'imposer, à ce titre, comme une alternative incontournable au quasi monopole des protecteurs "anti fauconnerie".

bonjour Pascal, Bien que lecteur assidu je n'écris jamais sur les forums mais si je peux t'aider je vais faire une exception. Comme tu l'as vu toi même dans notre labo il y a une vingtaine d'années on inséminait déjà des autours avec christian! Content que tu essayes à ton tour. Pour traire le male fais un massage sur le dos de la base des cotes vers la queue pour "remplir" les déférents, puis insiste de part et d'autre de la base de la queue (coté ventre) pour finir de remplir le glomus séminal qui est situé derrière le cloaque. Puis pince (à la manière de la traite d'un pis de vache, la main sur le dos de l'animal, les doigts de chaque coté du croupion) de part et d'autre du cloaque en relevant la queue de l'oiseau. Tu te trouveras alors dans la situation de la photo de perruche (lien donné par collègue précédent ) pour récolter le sperme (avec une seringue à insuline modifiée, armée d'une paille à inséminer de canard ou de dinde). Le sperme d'autour est clair, transparent et visqueux s'il blanchit ou rosit c'est que tu as de la contamination (fientes ou sang), évites d'inséminer si c'est trop contaminé. Les capillaires en verre des laboratoires ne fonctionnent pas bien en raison de la viscosité du liquide séminal et tu récolteras plus de sperme en aspirant légèrement avec ce système. Il faut inséminer la femelle rapidement après l'oeuf précédent idéalement entre (+ ou -) 8 à 15 h après l'oviposition. Faute d'endormir l'oiseau tu as 2 techniques: par éversion de l'oviducte ou pas . Je ne te conseille pas l'éversion de l'oviducte car çà peut poser des problèmes. La meilleure solution semble être d'appuyer légèrement de part et d'autre de l'anus, le cloaque s'éverse légèrement (pour faire un bourrelet de l'ordre de 5 mm de hauteur). Ce bourrelet présente des plis/fissures radiales dont l'une, située vers "10 heures moins 10", est un peu plus grande. C'est l'entrée de l'oviducte, place délicatement la canule dans cette fissure à une profondeur de 3 cm (+/- 1 cm) et dépose le sperme. Renouvelle l'opération plusieurs fois pour remplir les nids spermatiques, mais ne dépasse pas 24 h après l'oviposition car çà ne n'est plus très efficace et çà peut mettre en danger l'oeuf qui suit. Cette technique donne de bons résultats chez les faucon et plus aléatoires chez les autours. Bonne chance, pense aussi à l'hygiène pour ne pas infecter la femelle. Par ailleurs, j'espère que tu as retiré le male d'avec la femelle, sinon......très grand danger à plus ou moins long terme !!!! et c'est plus difficile d'avoir un male donneur qu'une femelle qui pond. Si tu as besoin d'aide..... on est voisins !!!!!! amitiés lionel