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Oui... très probablement et déconcertant... mais parfait sur la plume introduite bien plus tôt que le poil.. Sa soeur prise la veille (par plus chanceux que moi) n'a toutefois pas eu la même destiné, ni le même comportement du tout les premiers jours. Elle s'est nourri tout de suite au poing, elle est d'une agressivité sans pareil et tire sur tout ce qui bouge. Il est probable que j'aurais pu avoir de meilleurs résultats en introduisant le lapin plus tot, mais une Harris qui se pend comme une gourde encore au bout d'une semaine et qui ne veut pas se nourrir, ça laisse songeur quand même... La perte de temps sur des exercices simple est certaine, mais elle avait une cause... A savoir maintenant si c'est réversible, je n'y crois guère... @ suivre donc... je la laisse déjà finir sa saison dans une région qui foisonne de lapins avant un retour à la maison prévu d'ici peu.. Merci en tout cas de tous ces bons conseils...

A vrai dire, le problème date, et elle avait un comportement de "tarée" dès le départ (oiseau non imprégné, prélevée à 3 mois). Elle se jetais en permanence sans même essayer de revenir au poing, sans la remonter elle restait pendue.. comme une tarée, c'est bien le mot qui convient... elle ne se nourrissait pas... que ce soit au poing ou en volière... Acclimatation a donc quelque peu dépasser la semaine et les débuts furent compliqués... Le lapin est donc arrivé tardivement, et elle en avait une peur bleue... quant à la plume, une faisane ne lui pose aucun problème.. Quant à la poursuite dont je parle, il n'y en a eu que deux, puis, plus aucune.. le fauconier chez qui je l'ai déposé n'a personnellement pas d'espoir de la voir s'intéresser au lapin.. Je me suis donc trop attaché à effacer son comportement d'attardée en la mettant trop tard face à sa proie de prédilection, c'est probable.. Pour ce qui est d'introduire le lapin en volière, (au debut uniquement), le but était de lui faire prendre conscience que le lapin se tue et se mange... car jusque là, elle fuyait à tire d'ailes devant un lapin... En situation de chasse, elle n'en a absolument rien à xxxxx, mais déjà elle n'en a plus peur... Elle n'a pas été mis à la chasse il y a 3 mois, mais réellement en début de saison, mais comme je l'indiquait, avec une peur bleu du lapin, et aucun intérêt pour ce qui a 4 pattes hormis petits rongeurs... Avant sa mue le problème était le même , on m'a indiqué de ne pas m'inquiéter, qu'une mue peut changer un oiseau du tout au tout... il n'en a rien été... Voici donc ou j'en suis aujourd'hui avec elle, j'ai passé la main en désespoir de cause, après l’avoir fait travaillé au traineau pour calmer ses peurs, ... une belle perte de temps, qui a failli en plus me couter mon emploi....

Bonjour, Merci Etienne, j'ai bien conscience de la chose, mais l'occasion et ... le prix on fait que.... Il est effectivement probable que je ne puisse jamais chasser avec, ce qui serait fort dommage, mais l'oiseau est magnifique, ce sera mon premier oiseau de haut vol ce qui me permettra à minima d'avoir l'approche de ce type d'oiseau, de la télémétrie, etc... Les raisons de la séparation je les connaissais, on ne me l'a pas caché; et je vais donc suivre vos conseils à la lettre et on verra bien si il déclenche ou pas, ça me laissera le temps déjà de me familiariser et de préparer tranquillement la saison de chasse s'il y a. Au plaisir de vous donner des nouvelles.

Aie AIe Aie les fautes... j'ai honte... ceci dit, merci de ne pas m'en tenir rigueur, je n'ai pas relu (

Bonjour, d'ici un petit mois je vais me procurer un hybride qui a fait uniquement de la volerie jusqu'ici mais que sont propriétaire a tout de même fait travaillé au leurre. il s'en sépare entre autre parce-que ce dernier a tendance à partir sur du pigeon quand il en voit, sans toutefois avoir fait prise. le but est maintenant d'essayer d'en faire un oiseau de chasse et de le créancer sur de la corneille. Quelle importance a le leurre sur la créance ? j'en vois à droite et à gauche des noir avec des petites ailettes ridicules, ou bien des noir simples... ou bien des ailes de corneilles seules... Que conseillez vous d'utiliser ? Quelle méthodologie ensuite ? Leurre , puis 1 spécimen mort ou blessé en volière, puis escape en vol libre ? Merci d'avance de vos avis et expériences diverses en la matière.

Pour faire suite à cet épilogue sur le comportement de la Harris face au lapin, j'ai rencontré un fauconnier qui chasse exclusivement le lapin, celà fait plusieurs mois que la mienne est donc en pension chez lui, avec d'autres harris, et en volière avec un tiercelet. ce dernier est nourrit exclusivement avec du lapin et ne chasse que ça. Au début il lui déposait donc des lapins vivant en volière, le tiercelet le tue, fais sa gorge et ma harris ensuite vient derrière faire la sienne. En sortie chasse avec les autres, 2 poursuites timides, aucune tentative de prise. ça doit faire deux mois maintenant, et toujours aucune attirance pour le poil... Pensez vous qu'il faut persévérer ou que sa place est dans un poulailler ? Merci d'avance de vos avis quels qu'ils soient

Merci pour ces magnifiques images... au pire une petit escape et personne ne le saura, une Harris sur du faisan ça fera forcément une belle poursuites et de belles images.. Probablement plus sympas qu'avec un autour qui ne lui laisse même pas le temps de décoller d’ailleurs... Au plaisir d'en revoir encore et encore....

nonon, pas un autour... une Harris...

Un bien beau retour des choses, et j'en suis heureux pour toi... La mienne a fait bien pire que ça... elle en a peur !!!! Même après sa première mue et après l'avoir nourri au traineau.. elle va sur le poussin attaché au traineau après 10 minutes d’hésitation et même en étant bien abaissée.. et si j'ai le malheur de faire bouger ce dernier, elle se jette en arrière en criant et en déployant les ailes.. j'ai donc décidé de la laisser en pension chez un ami qui a des harris et chasse exclusivement le lapin, elle est en volière avec un tiercelet qui je l'espère se chargera de lui apprendre la vie...

sinon il y a beaucoup plus simple et moins onéreux ... http://www.ldlc.com/fiche/PB00092697.html?gclid=CP6knZ6ivbQCFe7MtAodpy4Agg#utm_source=Google%2BShopping&utm_medium=cpc&utm_campaign=LDLC%2B-%2BGoogle%2BShopping il n'y a en effet rien de plus réaliste que du faux

Bon, et bien là je crois que c'est le témoignage qui tue J'ai donc bien peur de devoir m'y résoudre...à moins de débuter avec un émerillon dont tout le monde vente ici les qualités (mais adieux lapins, lièvres, ramiers.. ) Merci en tout cas de vos témoignages, et si d'aventure il y en avait des contradictoires, n'hésitez pas, ç am'intéresse

Je n'en ai jamais douté, et sans pour autant me targuer d'en faire partie, j'ai tout de même une certaine approche. Néanmoins, ces derniers, comme toute personne plus ou moins sociable en ce jour, sont soumis à certaines contraintes les obligeant par exemple, pour reprendre l'exemple de l'autour, à ne jamais rentrer l'oiseau à la maison, à chauffer cette dernière plus que de raison, et à en pas les voler forcément aussi souvent que bon leur semblerait. Il est alors évident que même avec toute l'attention du monde la télémétrie est une obligation dans de telles conditions. J'espérais recueillir des témoignages de fauconniers allant en ce sens et n'étant pas soumis à ces contraintes là. Ceci dit, il est tout à fait possible que cela n'y suffirait pas pour bien des espèces. Vous même qui l'utilisez par exemple, vous a t elle dejà permis de retrouver votre oiseau parti sur une proie un peu trop lointaine ? J'ai lu également des méthodes de rappel au poing conditionnées par un signal sonnore, de façon à pouvoir rappeler ce dernier lorsqu'il est hors du champ de vision (dans les 2 sens), qu'en pensez vous ?

je m'attendais à telle réponse.. toutefois, certains ouvrages moyenageux décrivent par exemple l'autour comme docile alors que ce n'est vraiment pas le cas sur ce forum.. certes, à l'époque il n'était pas chocant d'avoir un tel animal à l'intérieur alors que maintenant on se ferait lincher en tenant de tels propos ici même. "en fauconnerie on lui donne le nom de cuisinier, soit parcequ'il profite à la cuisine, soit parcequ'on le garde généralement à la cuisine, où il y voit continuellement du monde; sa docilité le rend d'un affaitage très facile. Il est employé avec succès pour le vol de la perdrix, du faisan, et pour le vol des oiseaux de rivière" (Ne vous inquiétez pas pour ma cuisine,j'ai la chance de ne pas avoir de grande prédatrice qui viendrait l'en déloger ou jalouser une telle proximité ^^) Et donc effectivement, je vous rejoins , mais en me disant que la réponse est en partie dans le Titre.. Avec de telles méthodes, une telle proximité entre l'homme et l'oiseau (qui ne semble plus faire partie des coutumes aujourd'hui), un retour au poing conditionné et accompagné d'un signal sonnore, un abaissement suffisant lors de chaque vol,et les précautions d'usage quant au relief, ne pensez vous pas que l'absence de télémétrie pourrait alors s'étendre à quelques espèces supplémentaires ?

Autant , à lire vos conseils avisés et retour d'expérience il semble envisageable de voler sans télémètrie pour certaines espèces, autant cela semble totalement exclu pour d'autres.. J'aimerais essez connaitre vote avi sur le sujet et savoir s'il existe parmis vous des personnes n'en faisant pas usage (précisez alors l'espèce et le type de vol) Croyez vous qu'avec un territoire de chasse adapté, sans réelles prises de risques à ce niveau, & un retour au poing systématisé lors de l'affaitage il soit possible de s'en passer ?

Je vous remercie de toutes ces précisions bien que ce n'était pas la question, ces réponses sont tout à l'image du reste du contenu du forum : Comment osez vous parler de "retour du pélerin", et dans un même temps affirmer qu'il "n'a pas failli disparaitre"... Fort heureusement d'autes éleveurs ne tiennent pas forcément le même discours, et bien que , localement je vous l'accorde, en certaines régions, le pélerin a pu être réintroduit. Et vous qui vous targuez tous que ce dernier a été sauvé grace aux foconniers, combien d'entre vous on gentiement relaché le fruit de leur élevage ? Certains centres soigneurs ont effectivment menés ce type d'action, avec succes, notamment en dordogne, mais arrétez de vous autoproclammer sauveur d'une espèce que vous utilisez à tout sauf à la réintroduction. Le fait que vous voliez les même espèces ne vous octroie pas d'office le droit de vous attribuer les lauriers d'actions menées par d'autres. En tout cas, merci de supprimer si vous le pouvez ces échanges puérils, et continuez de montrer à tout le monde cette image déplorable & hautaine en dénigrant telles ou telles espèce ou tel type de vol, d'un cercle que vous voulez fermé , on se croirait vraiment dans une court de récréation pour gosses de riches.. Je m'en vais donc sous vos conseils me munir d'un filet à papillon. Au plaisir de ne jamais vous revoir, et un grand merci à ceux qui ont eu des mots aimables.

Je me doutais un peu que la première partie du post allait passionner les débats et occulter la question d'origine. L’approche d’un chasseur sera effectivement de choisir son oiseau après avoir préalablement ciblé un territoire ou un gibier, celle d’un naturaliste sera plutôt de s’intéresser à l’oiseau avant tout et non à ce qu’il peut lui rapporter. Effectivement les faucons que vous utilisez sont issus d’élevages et non de prélèvement sur les souches sauvages, toutefois, et je le maintiens, au moins en France, le pèlerin a pratiquement disparu, et pour apporter plus de précision quant à mes sources et aller au-delà de mes observations propres et des « manuels obsolètes », un centre soigneur de renom tient le même discours à ce sujet. (En tout cas, je suis ravi d'entendre de telles déclarations quant à son retour en Belgique, en espérant qu'il se propage à la France...) La réglementation en France, et ailleurs je le pense aussi, devrait avoir pour seule restriction quant au animaux sauvages, l’interdiction pure et simple de leur reproduction ou détention à d’autre fins que la réintroduction. Ainsi, au bout de quelque temps, si l’environnement le permet, la population serait reconstituée et l’utilisation de l’oiseau autorisée et les efforts de tous utilisés à une cause commune : la sauvegarde des espèces, et non celle de satisfaire un pur plaisir égoïste. Le plaisir venant avant tout de celui qu’on a à voir voler son oiseau et non celui de voir un animal de plus se faire massacrer ou finir sur la table. Quand on parle de respect de l’animal et de ne pas faire n’importe quoi avec un oiseau, ne devrait on pas commencer par là ? Maintenant, et puisque nous parlons tout de même de fauconnerie, que dire du crécerelle et du Milan ? Certes le Crécerelle est un animal de petite taille qui côtoie au quotidien sans même les taquiner, ramiers et autres tourterelles. Est-ce pour autant qu’il ne pourra les chasser ? Idem pour le lapin. Avez-vous autour de vous des amis ou connaissances ayant utilisé cet oiseau pour la chasse… ou pour l’élevage ? Qu’en est-il du gibier à cibler ? de son caractère et « facilité » d’affaitage ? Quant au Milan, j’ai personnellement observé de grosses concentrations de cet oiseau sur bordeaux, & dans le massif central, et maintenant chez moi en limousin ou il commence à se répandre. Il est de taille respectable, plutôt opportuniste en milieu naturel, le rocher des aigles en utilise beaucoup, mais qu’en est-il en fauconnerie ? Je ne vois personne en parler. Pour quelle raison ? est-il inefficace ? Inintéressant quant à ses caractéristiques ? Ou est ce seulement par pure tradition d’utilisation des autres espèces ? En remerciant par avance ceux qui voudront bien m’éclairer sur cette partie là.

*pratiquement disparu PPS : j'habite en france, et que celui qui a déjà vu du pélerin à l'état sauvage en France lève le doigt

Bonjour, Une chose m'a frappé en harpentant ce forum, c'est la non diversité des espèces utilisées en fauconnerie et principalement le fait que des espèces que je croise chaque jour à foison ne semblent pas faire l'objet d'afaitage A l'inverse, une espèce déclarée comme ayant disparu de nos contrés dans tous les bons manuels (le faucon pélerin), fait l'objet de citation toutes les 3 lignes et semble être utilisée par grand nombre d'entre vous ? A mon sens, toute espèce rare ou menacée devrait purement et simplement être interdite à la détention pour quelque raison que ce soit hormi la réintroduction. Ma question est donc la suivante : qu'en est il de ces espèce si communes dans nos régions et que pourtant personne ne site ? faucon crécerelle, et milan noir ou royal par exemple ? Connaissez vous le comportement de ces oiseaux? quel gibier chasser pour chacun ? sont ils utilisés en fauconnerie ? et si oui, connaissez vous des éleveurs ou des chasseurs utilisant ces oiseaux ? Merci d'avance de votre contribution. Vincent

bonjour, voici qui est une extraordinaire et providencielle coincidence .... ^^ En réalité, j'étais d'ambazac, j'ai d'ailleur moi même un certain passé en tant que militaire, je travaille sur limoges, mais j'habite guéret. Toutefois, je m'apprete à acheter un petit coin de paradi à ambazac ou tout va enfin devenir potentiellement possible... Je me suis permis de rajouter votre adresse msn dans mes contacts... Au plaisir de faire votre connaissance. Vincent .

Merci @ tous de vous être prétés si spontanément à ce petit questionnaire en espérant d'autre réponses apres le 15 Aout

Bonjour et Merci de cet accueil, je n'ai aucune certitude sur la faisabilité du projet, et puis ce dernier pourrait prendre différentes formes... comme par exemple suivre les formations en parallèle à mon activité actuelle et réaliser le grand saut si l'opportunité se présente... Une chose est certaine, votre accueil me va droit au coeur et je compte bien avoir une approche volontaire et sérieuse de la fauconnerie. Des choix difficiles devront sans doute être faits, mais ils ne le seront qu'en toute connaissance de cause, et grace à votre aide à tous, et à mes lectures ici même.. Au plaisir d'échanger, et peut être qui sait un jour de se rencontrer, )

Bonjour, Avant tout dans un souci de bien faire, plus que conscient des contraintes imposées par cette activité à part entière, conscient également que les facteurs temps et financiers ne sont pas à négliger, j'aimerais en savoir plus sur vous tous. A défaut d'être rassurant, cela aura le mérite d'être enrichissant et me permettra (ou pas) de mieux me positionner. Ainsi, serait il envisageable de répondre à un petit questionnaire (en privé ou sur le forum) du type : - âge - profession - avez-vous déjà pratiqué ou suivi une activité ou formation en rapport avec les animaux au cours de votre vie ? - temps complet ou partiel ? - distance entre votre lieux de travail et dommicile - statu marital - avez-vous des enfants en bas-âge ? - depuis combien de temps pratiquez-vous la fauconnerie ou l'élevage ? - êtes vous en mesure de vous absenter plusieurs jours sans votre oiseau, et si oui, de quelle manière ? - de quels équipements ou infrastructure disposez vous ? - utilisez-vous un système de positionnement de l'oiseau ? et si oui, gps ou radio ? Vous remerciant par avance de votre indulgence et de vos réponses qui peuvent au besoin m'apporter bien plus de précisions, Cordialement, Vincent G.

Bonjour, depuis bien des années passionné par le sujet, mais malheureusement informaticien et non soigneur animalier, habitant le limousin, 35 ans.. Je n'ai pas eu possibilité de pratiquer sérieusement ,parcours professionnel et personnel oblige, si ce n'est passer des journées au rocher des aigles à regarder sans mot dire... Je vais enfin avoir dans peu de temps la première pierre indispensable à l'édifice : l'environnement propice à l'épanouissement de l'homme et de la bête... Loin de moi l'idée de me précipiter et d'aller acheter un oiseau , je suis pour l'instant dans une démarche de documentation... d'observation... peut être bientôt de préparation de l'habitat... avec suite ou pas... cela dépendra de bien des choses... L'idéal étant de pouvoir exercer un jour en tant que soigneur animalier ,dans un parc, et ainsi de pouvoir pratiquer, d'acquérir de l'expérience et d'avoir une activité professionnelle en rapport & avec des horaires me laissant la latitude nécessaire à une pratique "confortable" de la fauconnerie... En espérant très bientôt communiquer avec l'un ou plusieurs d'entre vous et vous remerciant par avance de votre indulgence... Vincent.