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Lettre adressée à la Fédération Colombophile Française (Gravelines le 13 janvier 2007). En résumé le plaidoyer pour une demande de réforme fut le suivant : Constatant 1- Que la faune sauvage constitue un patrimoine collectif globalement circonscrit au niveau de chaque région qui nécessite une gestion adaptée aussi bien sur le plan local qu’au sein d’une approche d’ensemble cohérente, 2- Que toute réintroduction, ou toute politique de protection d’une espèce modifie l’équilibre écologique, entraînant d‘inévitables incidences sur l’activité pastorale et sur l’économie, 3- Que dans le cadre de ces mêmes politiques, les aspects de dangerosité, d’apport de perturbations des milieux des espèces en cause ne sont manifestement pas pris en compte ou bien largement minimisées, compromettant par là même leur crédibilité écologique, 4- Que ces mêmes politiques provoquent de nombreux conflits d’usage aggravés par une carence flagrante de concertation et de communication, 5- Qu’au demeurant, une espèce sauvage ne peut être valablement considérée comme intégrée à un milieu naturel que si son alimentation résulte majoritairement de ce dernier, notamment pour satisfaire sa subsistance d’une année sur l’autre. Demande - Que soit mis fin à l’hypocrisie de cette situation idéologique, soit disant écologique où sous le prétexte du mot nature on laisse se faire tuer des milliers d’animaux pour le bien être des rapaces qui se trouvent en tête de file de chaîne alimentaire. - Que les moyens de régulation et de prévention doivent être fixés par le Ministre de l’Ecologie et du Développement durable qui s’engage à trouver des solutions en rapport avec la situation que nous vivons. - Que soit tenu compte la chaîne alimentaire au niveau de la faune sauvage, de l’élevage de consommation et des animaux particuliers dont fait parti le pigeon voyageur. Préconise à cette fin Qu’il soit mis en place des mesures sélectives pour ces oiseaux de proie tout en assurant leur pérennité. Que pour les détenteurs de permis d’élevage de faucons, des contrôles soient plus fréquents pour vérifier les lâchers intempestifs. Que le rapace sédentaire doit faire l’objet d’un prélèvement s’il est spécialisé dans ses proies à proximité des garde-manger domestiques. Que si aucune mesure n’est envisagée, cela se traduira par une diminution du nombre des colombophiles et de fermetures de colombiers reconnus d'utilité publique. En conclusion: A vouloir défendre ses intérêts propres d'une manière égoïste, on devient toujours le problème de quelqu'un d'autre. Un problème ne se gère durablement que si il est traité dans son ensemble.

Il n'est pas question de nier la prédation du GD sur pélerin, mais pourquoi ces mauvaises paroles à son égard. Je ne comprends pas. On croirait entendre les éleveurs de volailles qui, il y à un peu plus d'1 an, voulaient inscrire certains rapaces sur la liste des nuisibles !!! Le GD n'est pas le seul nocturne à prédater d'autres rapaces, tout comme il peut lui arriver, quoique rarement, d'être prédaté de jour. Peut-être est ce le rôle des nocturnes que de réguler les diurnes? La disparition n'est pas à imputer au GD mais bien à l'Homme. L'Homme qui pollue, l'Homme qui désaire.... Le GD à lui aussi faillit disparaître, lui aussi à suivi des plans de relâcher, notamment en Allemagne, et tout comme le pélerin occupe une place à part chez les amateurs de faucons, il occupe une place à part chez les amateurs de nocturnes. Aujourd'hui, la difficulté de cohabitation résulte du fait que les pélerins aient du mal à réinvestir certains anciens territoires (littoral) et ne bénéficient pas de zones pour nicher en plaine, où leur gibier privilégié vit pourtant en masse. Des efforts sont faits par l'implantation de sites artificiels, que certains décrient. Les Gd et les pélerins se plaisent donc sur les mêmes parois rocheuses de nos massifs montagneux, où ils sont encore menacés l'un et l'autre par des activités humaines. Avec le même pourcentage de jeunes à l'envol, la prédation de l'un sur l'autre met clairement un frein au dévellopement du pélerin sur ces sites de reproduction. A nous de trouver la solution pour aider une population de faucons à se restabiliser sur nos côtes et dans de nouveaux territoires comme les grandes plaines céréalières. En n'espérant ne pas y croiser des gens qui diront qu'un bon pélerin est un pélerin dans une pelote de réjection !!!

http://www.ornithomedia.com/phorum/read.php?1,13613,15876

Entre un milieu naturel et un milieu "controlé" les risques sanitaires ne sont pas les mêmes. Entre un faucon qui mange seul sur son lardoir et 2 ou 3 faucons qui partagent le même gant, là encore les risques sanitaires ne sont pas les mêmes.

Un prélèvement pour une analyse est fortement conseillé pour savoir si c'est bactérien ou parasitaire. Le matériel trop humide (bloc ou perches) surtout constitué de cuir ou d'astroturf peut être un nid à germes ou à parasites. En préventif, désinfection au Virkon du matériel et des bâtiments plus apport d'iode dans l'eau du bain. Et traitement si nécessaire après retour d'analyse.

Il n'y a aucun risque de choc thermique dans la mesure ou l'oiseau est parfaitement capable de résister aux 2 températures. Tout les animaux l'homme y compris peut résister au chaud ou au froid mais pas aux chocs thermiques. Sinon on pourrait très bien mettre nos oiseaux dans des pièces à 10°c et les faire voler ensuite par 40°c; en général ils souffrent très vite du chaud (choc thermique). Pareil pour le froid, je me vois pas tenir mes oiseaux à 20°c et les faire voler par -15°c. Nous on se couvre pour sortir, eux ils accusent le choc. Je veux bien croire qu'un cas existe, mais etienne disait de ne pas prendre en exemple ceux qui n'ont jamais eu de problème. Je suis dans le milieu animalier depuis 15 ans et ça bien la premiere fois que j'entends dire qu'il n'y a pas de risque de chocs thermiques pour un oiseau. Les gerfaut destinés aux pays arabes ont d'ailleurs étaient acclimatés par étapes successives dans différents élevages toujours un peu plus au sud; pourquoi? Parce qu'un gerfaut qui arriverait directement d'Islande le lundi mourrait de chaud dans le désert le mardi. Pourtant il peuvent résister aux deux extremes de temperatures.

Et les risques de chocs thermiques dans cette méthode ?

Est ce que l'état de plumage peut avoir une conséquence par grand froid ? Le tube d'une plume entière est une protection contre les écarts de température, une plume brisée (ou plusieurs) offre alors un tube qui conduit le froid jusque dans la chair. Cela pourrait expliquer une engelure plus rapide.

http://www.fdsea08.fr/toutes-les-thematiques/votre-entreprise/chasse/articles/120825_dispositif_classement_nuisibles

Je n'aurais pas mieux dit ! Alors autant se taire !

Toujours selon M. Mossoux et ses amis, «la fauconnerie est avant tout une technique de chasse pour passionnés, ou un outil d’effarouchement utile, mais elle ne sera jamais un divertissement. Si la fauconnerie est reconnue en tant que patrimoine immatériel de l’Unesco, elle ne doit en tout cas pas légitimer les spectacles et les détentions de rapaces en volières». «La fauconnerie moderne s’axe aujourd’hui sur l’utilisation d’oiseaux de proie pour des spectacles de démonstration appelés voleries. Bien sûr, on peut se targuer de pédagogie, mais ces spectacles s’ancrent plus dans une idée commerciale et financière. Les personnes qui se produisent sont d’ailleurs plus souvent des artistes que de véritables fauconniers».

Citer le Puy du Fou comme exemple de pédagogie et de culture est une hérésie. Le Puy du Fou est surtout un "show bird" sans aucun commentaires pédagogiques. Les gens ressortent avec des images d'oiseaux plein la tête mais sans connaitre aucun nom d'espèce ni avoir pu différencier un vautour d'un aigle. Comment expliquer l'ascencion en thermique quand les oiseaux sont lachés depuis un ballon? Si chaque professionnel doit rester dans sa branche de prédilection, je ne'y vois aucun souci, mais pourquoi alors le Puy du Fou se met-il à l'effarouchement. Profit personnel??? Vous dites de plus qu'un vrai spectacle moyenageux présenterai des autours scillés ? Je crois que c'est barbare et arriêré.

http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20130124_00259595

Est ce qu'ils en ont peur tout le temps ou seulement lorsqu'un humain s'en sert? Ils ont peut etre du mal à le dissocier de la silhouette humaine qui ne correspond plus à ce qu'ils connaissent? Ce problème de dissociation nous est parfois utile, comme la possibilité d'approcher de plus près un animal sauvage à cheval ou à 4 pattes. Mes oiseaux ont un peu de mal quand je suis à vélo, mais n'ont jamais eu peur du vélo posé dans un coin ou au milieu du jardin. Mon chien également à toujours une petite réticence avec les gens en béquilles ou qui ont une canne; rarement vu d'humains à 3 ou 4 jambes !!!

Ca n'est pas en empêchant un autre de faire pareil que ça résoudra le problème du premier. Tout le monde à la même enseigne sinon rien !!! Empêcher le premier de mal faire passera peut être l'envie à d'autre d'essayer. C'est un peu le problème en France, on tape sur ceux qui font pas grand chose de mal voir rien, et on laisse faire des choses inimaginables à des gens sous pretexte qu'ils sont très connus où qu'ils ont pignon sur rue. Il serait sûrement plus courageux de dénoncer le premier et ça ferait avancer un peu plus le schmilblick.

ça sent le gag ...oui ... sauf que dans la région je connais une personne qui a pignon sur rue dans le monde de la fauconnerie et qui détient illégalement cette bestiole ...donc si ce petit gars l'a vue, et qu'il a trouvé le petit duc très mignon, on n'est pas loin de la boulette ... La boulette est déjà faite alors. Pourquoi s'en prendre à la personne qui pose la question si vous connaissez déjà quelqu'un qui fait des choses dans l'illégalité???

Un de mes faucons, né en allemagne m'a était fourni équipé de bracelets et d'une simple longe. Je me suis inquiété de la possibilité de chevauché le bloc et que le faucon se coince. Est-ce que ceux qui l'utilise ont déjà eu ce genre de problème? Serait-il possible, au bloc, de mettre une boule serre cordon qui empecherai la longe de pendre et de faire une boucle?

Pour moi le plus simple niveau matériel, ce sont les magasins d'accastillage. Anneaux, mousquetons....tout est en inox, éprouvé à de fortes tractions et dans un milieu difficile....ce qui résiste à la mer, résiste sans problème à nos oiseaux.

Alliance d'espèces en chasse au vol = chasse des corvidés avec un grand duc en appelant et un faucon pour le vol. Vol du héron sous Louis XI avec 3 faucons, pas forcèment de la même espèce, avec chacun son rôle. En effarouchement a était testé avec de très bons résultats un vol mixte faucon/buse. Harris sur les toits pour lever les goélands, pèlerin en haut-vol pour les disperser.

Désolé je ne pensai et ne voulais pas être agressif. Je soulignai juste la réponse à je ne les affame pas, allusion au fait de faire jeuner j'imagine. Mais l'action de chasse du furet se fait bien (en partie) par faim, sinon on les nourriraient abondamment avant la mise aux trous. De plus l'effort ouvre l'appétit. Il est donc normal que le furet en sentant le poussin sur les doigts finissent par mordre si il est habitué a consommer du poussin, bien nourris ou pas.

Et vous ne chassez pas au vol non plus, faites l'essai et on en reparle. Moi je parle par expérience.

Pour entraîner une furette un peu trop douce, j'avais fabriqué un parcours en tuyau pvc avec plusieurs embranchements que je lavait après chaque utilisation. Au moment de m'en servir, je faisai passer une peau de lapin suivant un chemin et je mettai la furette. Si elle empruntait le bon chemin, au bout il y avait des croquettes. Le poussin c'est bien sauf qu'en chasse au vol on nourrit nos oiseaux avec du poussin, donc durant la chasse nos doigts sentent le poussin. Si le furet connait l'odeur parce qu'il en mange aussi, bonjour les coups de dents à chaque fois qu'on veut le reprendre.

Prise d'une perdrix rouge avec une forme de lanier d'une mue.

Je m'intéresse également à choisir un chien de chasse ces derniers temps et mes recherches vont vers l'épagneul français. Décrit par gaston phoebus comme l'ancêtre des chiens d'oysel il semble très polyvalent. Quete courte, marque l'arrêt, broussaille, chasse en milieu aquatique et rapport. Ces qualités à la maison en feraient de plus un tres bon chien de compagnie. Je n'en connais malheureusement que très peu et je suis preneur de vos infos et impressions sur ce chien si certains le connaisse.

la sélection sur le gabarit pour la compagnie est le total opposé de ce que vous selectionnez Donc vous sélectionnez les furets: non chasseurs de souche, mordeurs, que les plus gros et les moins suiveurs !!!!