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Tout ce qui a été posté par Merlin111
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Le Noël de pére Noël C’était un jour à ne pas mettre un Lévrier dehors. La neige tombait dru depuis de longues heures. Des flocons s’infiltraient sous la porte et le vent passait par les châssis qui n’étaient plus de première jeunesse. Le Père Noël boutonna sa chemise jusqu’au dernier bouton en faisant une grimace car avec l’âge, son cou s’était quelque peu ratatiné. Il passa un chaud tricot de laine et ajouta par-dessus un gilet qu’il boutonna également. Il enfila des chaussettes bien épaisses et chaussa ses bottes fourrées. Enfin, il se drapa dans son ample manteau de drap rouge et noua soigneusement son écharpe. Il prit sa paire de gants fourrés et pareillement harnaché, il se regarda dans le miroir accroché dans l’entrée. - " Tout le monde dit que je suis gros, pas étonnant avec autant de couches - je ressemble à un oignon " Au lieu de le faire rire, cette réflexion eut le don de l’agacer un peu plus. - " Quelle nuit atroce ! Je serais bien mieux confortablement installé près de ma cheminée et buvant un chocolat chaud fumant ... " Là encore, cette pensée le rembrunit un peu plus et son front se plissa. Le Père Noël sortit de sa maison. Son renne Ferdinand l’attendait depuis de longues minutes. Il avait les naseaux gelés et ses yeux pleuraient. Le froid était si vif que les patins du traîneau ne voulaient pas se décoller du sol. Après une vérification sommaire de tous les paquets, l’équipage se mit en route. Bien que de fort méchante humeur, le père Noël entonna son cri " Oh, oh, oh ! " et les clochettes se mirent à tintinnabuler. Il s’adressa à Ferdinand : - " Pourquoi Noël est-il en hiver ? Ce n’est pas un temps pour voyager, il fait si froid, il fait si noir ... Eh ! puis, je ne suis plus de première jeunesse. Il faut changer tout ça. Rien que pour toi, tu risques de te rompre le cou à tout moment. Je crois que je n’ai vraiment pas envie de distribuer mes cadeauxcette année. " Il avait à peine prononcé cette dernière phrase qu’il arriva à la première maison de sa tournée. Les parois du toit étaient particulièrement abruptes et la glace les avait rendues aussi brillantes qu’un miroir. La cheminée n’était pas très large et Ferdinand se demandait comment le Père Noël allait pouvoir pénétrer à l’intérieur. Timidement, il se hasarda : - " Si vous ne descendiez pas cette année Père Noël ? " Le Père Noël lui lança un regard très noir. - " Mais tu n’y est pas mon pauvre Ferdinand ! Tu ne voudrais pas que je demande que l’on m’ouvre la porte tout de même ... " Le Père Noël enjamba le rebord et commença à descendre. Il ne put pénétrer que jusqu’à la taille car avec un gilet en plus, le conduit était bien trop étroit pour lui. Il essaya en vain de respirer, de ne pas respirer, de se tirer, de se tordre dans tous les sens ... Rien. Il ne bougea pas d’un millimètre. Déjà des braises atteignaient la semelle de ses bottes. Elles se mirent à roussir en dégageant une épaisse fumée qui le fit tousser. Ferdinand s’approcha et poussa tellement fort que le père Noël et ses cadeauxfurent propulsés vers le bas tels un boulet de canon. Le Père Noël se retrouva dans le salon couché sur le dos au beau milieu des . En bougonnant, il remplit les souliers des enfants de tous les présents qu’ils avaient demandés et remonta avec beaucoup d’effort le long du conduit en se disant que l’an prochain Noël devra véritablement être à un autre moment. Arrivé sur le toit près de Ferdinand, il lui dit : -" L’an prochain, nous avancerons la fête de Noël " Vaguement inquiet, le renne lui demanda entre deux rafales de neige : -" Ce sera beaucoup plus tôt ? " -" En juillet, je pense que ce sera la bonne époque juste au moment où la nuit est si douce, si lumineuse... " Les mois passèrent bien vite et le mois de juillet pointa son nez. Le Père Noël plus affairé que d’ordinaire ne vit pas les jours passer. Le Père Noël avait fait en six mois le travail qu’il effectue d’ordinaire en une année entière et il n’avait pas pris beaucoup de repos. Le soir du 24 juillet, il demanda à Ferdinand de sortir le chariot à roues. Il ne pouvait pas utiliser son traîneau puisqu’il n’y avait pas de neige... Il rentra pour se préparer. Tout d’abord, il entreprit de se raser. La barbe, c’est bien l’hiver pour avoir chaud mais l’été, rien de tel qu’un bon rasage de frais. Il enfila un jeans, prit dans son armoire son plus beau tee-shirt et chaussa une paire de sandales en cuir. En passant devant le miroir de l’entrée, il ne put s’empêcher de se trouver très bien. Il était très à la mode, très mince et d’une humeur excellente. C’était pensait-il une excellente idée d’avoir changé la date de la fête de Noël. Il sortit de sa maison. Son renne Ferdinand l’attendait depuis de longues minutes. Après une vérification sommaire de tous les paquets, l’équipage se mit en route. Le père Noël entonna son cri " Oh, oh, oh ! " Ils arrivèrent sans encombre à la première maison de la tournée. La cheminée était toujours aussi étroite mais il s’y engouffra sans aucun effort. Il se mit bien vite à éternuer à cause de la suie restée dans le conduit et aussi de ses narines qui n’étaient plus protégées par sa moustache. Une fois dans la pièce, il resta très étonné. Rien n’était comme d’habitude. Pas de petits souliers alignés devant la cheminée, pas de sapin de Noël, pas de décoration et surtout pas de petit verre de goutte ni de morceau de bûche de Noël à son intention. La maison était déserte, comme abandonnée. " Mais ce n’est pas possible, pensa le Père Noël, ils n’ont pas pu me faire ça ! à moi ! Ils sont partis en vacances ". Il reprit ses cadeauxet remonta sur le toit où le renne l’attendait. Il n’était pas en très bonne compagnie, le renne Ferdinand. Des moustiques tournaient tout autour de lui, s’arrêtant de ci, de là pour le piquer un peu. Il n’était pas de très bonne humeur et lorsque le Père Noël apparut, il se mit à se plaindre : -" L’hiver au moins, il n’y a pas toutes ces bestioles. Regardez comme elles m’ont piqué ! " Son œil était déjà tout enflé et sa queue allait et venait en tous sens pour essayer de les chasser. Ils firent le tour des maisons mais c’était partout la même chose. Soit, les gens étaient en vacances, soit les enfants ne dormaient pas à cause de la chaleur. Par trois fois, le Père Noël faillit être vu et même la dernière fois, les parents crurent qu’un voleur était entré dans la maison et appelèrent la police. Le Père Noël grimpa sur son chariot à roues et s’enfuit en direction de sa maison. Il allait tellement vite que les cadeauxtombèrent les uns après les autres. Furieux de cette mésaventure, le Père Noël jura qu’on ne l’y reprendrait plus. Le soir du 24 décembre, il sortit comme d’habitude dans la nuit glacée. Il avait pris ses gants, son gros gilet, sa chemise boutonnée jusqu’au dernier bouton et son ample manteau de drap rouge. Bien qu’il fasse plus froid que d’habitude, le Père Noël n’émit aucune plainte. Le toit de la première maison était toujours aussi pointu et aussi lisse, la cheminée aussi étroite. Il eut bien des difficultés à se laisser glisser jusqu’en bas mais il y parvint. Les petits chaussons étaient alignés devant la cheminée. Un sapin magnifique éclairait la pièce et une multitude de décorations rendaient ce lieu féerique. Il y avait sur la table un petit carton avec écrit en grosses lettres dorées : " POUR LE PERE NOËL " et juste à côté, un belle portion de bûche de Noël et un petit verre de goutte. Il trouva également une lettre tellement gentille qu’en la lisant, il sentit les larmes lui monter aux yeux. " Mon cher petit papa Noël, Je sais que je ne suis pas toujours très sage. Je voulais te dire que tu es formidable. Que malgré la neige et le froid tu viens toujours à la même date. Je te fais un gros bisou. Zoe " La remontée lui parut facile. La suie n’entra pas dans ses narines car sa moustache avait repoussé Arrivé sur le toit, Ferdinand ne le vit pas arriver. Il fixait une étoile brillante en rêvant... -" Tu sais, dit-il à son renne, c’est merveilleux un Noël en décembre. Jamais je ne voudrais distribuer mes à un autre moment." Et comme pour lui dire qu’il avait raison, toutes les cloches des environs se mirent à carillonner et une étoile filante passa au-dessus de la cheminée étroite.
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Le Noël de pére Noël C’était un jour à ne pas mettre un Lévrier dehors. La neige tombait dru depuis de longues heures. Des flocons s’infiltraient sous la porte et le vent passait par les châssis qui n’étaient plus de première jeunesse. Le Père Noël boutonna sa chemise jusqu’au dernier bouton en faisant une grimace car avec l’âge, son cou s’était quelque peu ratatiné. Il passa un chaud tricot de laine et ajouta par-dessus un gilet qu’il boutonna également. Il enfila des chaussettes bien épaisses et chaussa ses bottes fourrées. Enfin, il se drapa dans son ample manteau de drap rouge et noua soigneusement son écharpe. Il prit sa paire de gants fourrés et pareillement harnaché, il se regarda dans le miroir accroché dans l’entrée. - " Tout le monde dit que je suis gros, pas étonnant avec autant de couches - je ressemble à un oignon " Au lieu de le faire rire, cette réflexion eut le don de l’agacer un peu plus. - " Quelle nuit atroce ! Je serais bien mieux confortablement installé près de ma cheminée et buvant un chocolat chaud fumant ... " Là encore, cette pensée le rembrunit un peu plus et son front se plissa. Le Père Noël sortit de sa maison. Son renne Ferdinand l’attendait depuis de longues minutes. Il avait les naseaux gelés et ses yeux pleuraient. Le froid était si vif que les patins du traîneau ne voulaient pas se décoller du sol. Après une vérification sommaire de tous les paquets, l’équipage se mit en route. Bien que de fort méchante humeur, le père Noël entonna son cri " Oh, oh, oh ! " et les clochettes se mirent à tintinnabuler. Il s’adressa à Ferdinand : - " Pourquoi Noël est-il en hiver ? Ce n’est pas un temps pour voyager, il fait si froid, il fait si noir ... Eh ! puis, je ne suis plus de première jeunesse. Il faut changer tout ça. Rien que pour toi, tu risques de te rompre le cou à tout moment. Je crois que je n’ai vraiment pas envie de distribuer mes cadeauxcette année. " Il avait à peine prononcé cette dernière phrase qu’il arriva à la première maison de sa tournée. Les parois du toit étaient particulièrement abruptes et la glace les avait rendues aussi brillantes qu’un miroir. La cheminée n’était pas très large et Ferdinand se demandait comment le Père Noël allait pouvoir pénétrer à l’intérieur. Timidement, il se hasarda : - " Si vous ne descendiez pas cette année Père Noël ? " Le Père Noël lui lança un regard très noir. - " Mais tu n’y est pas mon pauvre Ferdinand ! Tu ne voudrais pas que je demande que l’on m’ouvre la porte tout de même ... " Le Père Noël enjamba le rebord et commença à descendre. Il ne put pénétrer que jusqu’à la taille car avec un gilet en plus, le conduit était bien trop étroit pour lui. Il essaya en vain de respirer, de ne pas respirer, de se tirer, de se tordre dans tous les sens ... Rien. Il ne bougea pas d’un millimètre. Déjà des braises atteignaient la semelle de ses bottes. Elles se mirent à roussir en dégageant une épaisse fumée qui le fit tousser. Ferdinand s’approcha et poussa tellement fort que le père Noël et ses cadeauxfurent propulsés vers le bas tels un boulet de canon. Le Père Noël se retrouva dans le salon couché sur le dos au beau milieu des . En bougonnant, il remplit les souliers des enfants de tous les présents qu’ils avaient demandés et remonta avec beaucoup d’effort le long du conduit en se disant que l’an prochain Noël devra véritablement être à un autre moment. Arrivé sur le toit près de Ferdinand, il lui dit : -" L’an prochain, nous avancerons la fête de Noël " Vaguement inquiet, le renne lui demanda entre deux rafales de neige : -" Ce sera beaucoup plus tôt ? " -" En juillet, je pense que ce sera la bonne époque juste au moment où la nuit est si douce, si lumineuse... " Les mois passèrent bien vite et le mois de juillet pointa son nez. Le Père Noël plus affairé que d’ordinaire ne vit pas les jours passer. Le Père Noël avait fait en six mois le travail qu’il effectue d’ordinaire en une année entière et il n’avait pas pris beaucoup de repos. Le soir du 24 juillet, il demanda à Ferdinand de sortir le chariot à roues. Il ne pouvait pas utiliser son traîneau puisqu’il n’y avait pas de neige... Il rentra pour se préparer. Tout d’abord, il entreprit de se raser. La barbe, c’est bien l’hiver pour avoir chaud mais l’été, rien de tel qu’un bon rasage de frais. Il enfila un jeans, prit dans son armoire son plus beau tee-shirt et chaussa une paire de sandales en cuir. En passant devant le miroir de l’entrée, il ne put s’empêcher de se trouver très bien. Il était très à la mode, très mince et d’une humeur excellente. C’était pensait-il une excellente idée d’avoir changé la date de la fête de Noël. Il sortit de sa maison. Son renne Ferdinand l’attendait depuis de longues minutes. Après une vérification sommaire de tous les paquets, l’équipage se mit en route. Le père Noël entonna son cri " Oh, oh, oh ! " Ils arrivèrent sans encombre à la première maison de la tournée. La cheminée était toujours aussi étroite mais il s’y engouffra sans aucun effort. Il se mit bien vite à éternuer à cause de la suie restée dans le conduit et aussi de ses narines qui n’étaient plus protégées par sa moustache. Une fois dans la pièce, il resta très étonné. Rien n’était comme d’habitude. Pas de petits souliers alignés devant la cheminée, pas de sapin de Noël, pas de décoration et surtout pas de petit verre de goutte ni de morceau de bûche de Noël à son intention. La maison était déserte, comme abandonnée. " Mais ce n’est pas possible, pensa le Père Noël, ils n’ont pas pu me faire ça ! à moi ! Ils sont partis en vacances ". Il reprit ses cadeauxet remonta sur le toit où le renne l’attendait. Il n’était pas en très bonne compagnie, le renne Ferdinand. Des moustiques tournaient tout autour de lui, s’arrêtant de ci, de là pour le piquer un peu. Il n’était pas de très bonne humeur et lorsque le Père Noël apparut, il se mit à se plaindre : -" L’hiver au moins, il n’y a pas toutes ces bestioles. Regardez comme elles m’ont piqué ! " Son œil était déjà tout enflé et sa queue allait et venait en tous sens pour essayer de les chasser. Ils firent le tour des maisons mais c’était partout la même chose. Soit, les gens étaient en vacances, soit les enfants ne dormaient pas à cause de la chaleur. Par trois fois, le Père Noël faillit être vu et même la dernière fois, les parents crurent qu’un voleur était entré dans la maison et appelèrent la police. Le Père Noël grimpa sur son chariot à roues et s’enfuit en direction de sa maison. Il allait tellement vite que les cadeauxtombèrent les uns après les autres. Furieux de cette mésaventure, le Père Noël jura qu’on ne l’y reprendrait plus. Le soir du 24 décembre, il sortit comme d’habitude dans la nuit glacée. Il avait pris ses gants, son gros gilet, sa chemise boutonnée jusqu’au dernier bouton et son ample manteau de drap rouge. Bien qu’il fasse plus froid que d’habitude, le Père Noël n’émit aucune plainte. Le toit de la première maison était toujours aussi pointu et aussi lisse, la cheminée aussi étroite. Il eut bien des difficultés à se laisser glisser jusqu’en bas mais il y parvint. Les petits chaussons étaient alignés devant la cheminée. Un sapin magnifique éclairait la pièce et une multitude de décorations rendaient ce lieu féerique. Il y avait sur la table un petit carton avec écrit en grosses lettres dorées : " POUR LE PERE NOËL " et juste à côté, un belle portion de bûche de Noël et un petit verre de goutte. Il trouva également une lettre tellement gentille qu’en la lisant, il sentit les larmes lui monter aux yeux. " Mon cher petit papa Noël, Je sais que je ne suis pas toujours très sage. Je voulais te dire que tu es formidable. Que malgré la neige et le froid tu viens toujours à la même date. Je te fais un gros bisou. Zoe " La remontée lui parut facile. La suie n’entra pas dans ses narines car sa moustache avait repoussé Arrivé sur le toit, Ferdinand ne le vit pas arriver. Il fixait une étoile brillante en rêvant... -" Tu sais, dit-il à son renne, c’est merveilleux un Noël en décembre. Jamais je ne voudrais distribuer mes à un autre moment." Et comme pour lui dire qu’il avait raison, toutes les cloches des environs se mirent à carillonner et une étoile filante passa au-dessus de la cheminée étroite.
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Vos voeux pour Noel et l'année 2014
Merlin111 a répondu à un(e) sujet de Gina1111 dans SALLE DES FÊTES
Le Noël de pére Noël C’était un jour à ne pas mettre un Lévrier dehors. La neige tombait dru depuis de longues heures. Des flocons s’infiltraient sous la porte et le vent passait par les châssis qui n’étaient plus de première jeunesse. Le Père Noël boutonna sa chemise jusqu’au dernier bouton en faisant une grimace car avec l’âge, son cou s’était quelque peu ratatiné. Il passa un chaud tricot de laine et ajouta par-dessus un gilet qu’il boutonna également. Il enfila des chaussettes bien épaisses et chaussa ses bottes fourrées. Enfin, il se drapa dans son ample manteau de drap rouge et noua soigneusement son écharpe. Il prit sa paire de gants fourrés et pareillement harnaché, il se regarda dans le miroir accroché dans l’entrée. - " Tout le monde dit que je suis gros, pas étonnant avec autant de couches - je ressemble à un oignon " Au lieu de le faire rire, cette réflexion eut le don de l’agacer un peu plus. - " Quelle nuit atroce ! Je serais bien mieux confortablement installé près de ma cheminée et buvant un chocolat chaud fumant ... " Là encore, cette pensée le rembrunit un peu plus et son front se plissa. Le Père Noël sortit de sa maison. Son renne Ferdinand l’attendait depuis de longues minutes. Il avait les naseaux gelés et ses yeux pleuraient. Le froid était si vif que les patins du traîneau ne voulaient pas se décoller du sol. Après une vérification sommaire de tous les paquets, l’équipage se mit en route. Bien que de fort méchante humeur, le père Noël entonna son cri " Oh, oh, oh ! " et les clochettes se mirent à tintinnabuler. Il s’adressa à Ferdinand : - " Pourquoi Noël est-il en hiver ? Ce n’est pas un temps pour voyager, il fait si froid, il fait si noir ... Eh ! puis, je ne suis plus de première jeunesse. Il faut changer tout ça. Rien que pour toi, tu risques de te rompre le cou à tout moment. Je crois que je n’ai vraiment pas envie de distribuer mes cadeauxcette année. " Il avait à peine prononcé cette dernière phrase qu’il arriva à la première maison de sa tournée. Les parois du toit étaient particulièrement abruptes et la glace les avait rendues aussi brillantes qu’un miroir. La cheminée n’était pas très large et Ferdinand se demandait comment le Père Noël allait pouvoir pénétrer à l’intérieur. Timidement, il se hasarda : - " Si vous ne descendiez pas cette année Père Noël ? " Le Père Noël lui lança un regard très noir. - " Mais tu n’y est pas mon pauvre Ferdinand ! Tu ne voudrais pas que je demande que l’on m’ouvre la porte tout de même ... " Le Père Noël enjamba le rebord et commença à descendre. Il ne put pénétrer que jusqu’à la taille car avec un gilet en plus, le conduit était bien trop étroit pour lui. Il essaya en vain de respirer, de ne pas respirer, de se tirer, de se tordre dans tous les sens ... Rien. Il ne bougea pas d’un millimètre. Déjà des braises atteignaient la semelle de ses bottes. Elles se mirent à roussir en dégageant une épaisse fumée qui le fit tousser. Ferdinand s’approcha et poussa tellement fort que le père Noël et ses cadeauxfurent propulsés vers le bas tels un boulet de canon. Le Père Noël se retrouva dans le salon couché sur le dos au beau milieu des . En bougonnant, il remplit les souliers des enfants de tous les présents qu’ils avaient demandés et remonta avec beaucoup d’effort le long du conduit en se disant que l’an prochain Noël devra véritablement être à un autre moment. Arrivé sur le toit près de Ferdinand, il lui dit : -" L’an prochain, nous avancerons la fête de Noël " Vaguement inquiet, le renne lui demanda entre deux rafales de neige : -" Ce sera beaucoup plus tôt ? " -" En juillet, je pense que ce sera la bonne époque juste au moment où la nuit est si douce, si lumineuse... " Les mois passèrent bien vite et le mois de juillet pointa son nez. Le Père Noël plus affairé que d’ordinaire ne vit pas les jours passer. Le Père Noël avait fait en six mois le travail qu’il effectue d’ordinaire en une année entière et il n’avait pas pris beaucoup de repos. Le soir du 24 juillet, il demanda à Ferdinand de sortir le chariot à roues. Il ne pouvait pas utiliser son traîneau puisqu’il n’y avait pas de neige... Il rentra pour se préparer. Tout d’abord, il entreprit de se raser. La barbe, c’est bien l’hiver pour avoir chaud mais l’été, rien de tel qu’un bon rasage de frais. Il enfila un jeans, prit dans son armoire son plus beau tee-shirt et chaussa une paire de sandales en cuir. En passant devant le miroir de l’entrée, il ne put s’empêcher de se trouver très bien. Il était très à la mode, très mince et d’une humeur excellente. C’était pensait-il une excellente idée d’avoir changé la date de la fête de Noël. Il sortit de sa maison. Son renne Ferdinand l’attendait depuis de longues minutes. Après une vérification sommaire de tous les paquets, l’équipage se mit en route. Le père Noël entonna son cri " Oh, oh, oh ! " Ils arrivèrent sans encombre à la première maison de la tournée. La cheminée était toujours aussi étroite mais il s’y engouffra sans aucun effort. Il se mit bien vite à éternuer à cause de la suie restée dans le conduit et aussi de ses narines qui n’étaient plus protégées par sa moustache. Une fois dans la pièce, il resta très étonné. Rien n’était comme d’habitude. Pas de petits souliers alignés devant la cheminée, pas de sapin de Noël, pas de décoration et surtout pas de petit verre de goutte ni de morceau de bûche de Noël à son intention. La maison était déserte, comme abandonnée. " Mais ce n’est pas possible, pensa le Père Noël, ils n’ont pas pu me faire ça ! à moi ! Ils sont partis en vacances ". Il reprit ses cadeauxet remonta sur le toit où le renne l’attendait. Il n’était pas en très bonne compagnie, le renne Ferdinand. Des moustiques tournaient tout autour de lui, s’arrêtant de ci, de là pour le piquer un peu. Il n’était pas de très bonne humeur et lorsque le Père Noël apparut, il se mit à se plaindre : -" L’hiver au moins, il n’y a pas toutes ces bestioles. Regardez comme elles m’ont piqué ! " Son œil était déjà tout enflé et sa queue allait et venait en tous sens pour essayer de les chasser. Ils firent le tour des maisons mais c’était partout la même chose. Soit, les gens étaient en vacances, soit les enfants ne dormaient pas à cause de la chaleur. Par trois fois, le Père Noël faillit être vu et même la dernière fois, les parents crurent qu’un voleur était entré dans la maison et appelèrent la police. Le Père Noël grimpa sur son chariot à roues et s’enfuit en direction de sa maison. Il allait tellement vite que les cadeauxtombèrent les uns après les autres. Furieux de cette mésaventure, le Père Noël jura qu’on ne l’y reprendrait plus. Le soir du 24 décembre, il sortit comme d’habitude dans la nuit glacée. Il avait pris ses gants, son gros gilet, sa chemise boutonnée jusqu’au dernier bouton et son ample manteau de drap rouge. Bien qu’il fasse plus froid que d’habitude, le Père Noël n’émit aucune plainte. Le toit de la première maison était toujours aussi pointu et aussi lisse, la cheminée aussi étroite. Il eut bien des difficultés à se laisser glisser jusqu’en bas mais il y parvint. Les petits chaussons étaient alignés devant la cheminée. Un sapin magnifique éclairait la pièce et une multitude de décorations rendaient ce lieu féerique. Il y avait sur la table un petit carton avec écrit en grosses lettres dorées : " POUR LE PERE NOËL " et juste à côté, un belle portion de bûche de Noël et un petit verre de goutte. Il trouva également une lettre tellement gentille qu’en la lisant, il sentit les larmes lui monter aux yeux. " Mon cher petit papa Noël, Je sais que je ne suis pas toujours très sage. Je voulais te dire que tu es formidable. Que malgré la neige et le froid tu viens toujours à la même date. Je te fais un gros bisou. Zoe " La remontée lui parut facile. La suie n’entra pas dans ses narines car sa moustache avait repoussé Arrivé sur le toit, Ferdinand ne le vit pas arriver. Il fixait une étoile brillante en rêvant... -" Tu sais, dit-il à son renne, c’est merveilleux un Noël en décembre. Jamais je ne voudrais distribuer mes à un autre moment." Et comme pour lui dire qu’il avait raison, toutes les cloches des environs se mirent à carillonner et une étoile filante passa au-dessus de la cheminée étroite. -
Le Noël de pére Noël C’était un jour à ne pas mettre un Lévrier dehors. La neige tombait dru depuis de longues heures. Des flocons s’infiltraient sous la porte et le vent passait par les châssis qui n’étaient plus de première jeunesse. Le Père Noël boutonna sa chemise jusqu’au dernier bouton en faisant une grimace car avec l’âge, son cou s’était quelque peu ratatiné. Il passa un chaud tricot de laine et ajouta par-dessus un gilet qu’il boutonna également. Il enfila des chaussettes bien épaisses et chaussa ses bottes fourrées. Enfin, il se drapa dans son ample manteau de drap rouge et noua soigneusement son écharpe. Il prit sa paire de gants fourrés et pareillement harnaché, il se regarda dans le miroir accroché dans l’entrée. - " Tout le monde dit que je suis gros, pas étonnant avec autant de couches - je ressemble à un oignon " Au lieu de le faire rire, cette réflexion eut le don de l’agacer un peu plus. - " Quelle nuit atroce ! Je serais bien mieux confortablement installé près de ma cheminée et buvant un chocolat chaud fumant ... " Là encore, cette pensée le rembrunit un peu plus et son front se plissa. Le Père Noël sortit de sa maison. Son renne Ferdinand l’attendait depuis de longues minutes. Il avait les naseaux gelés et ses yeux pleuraient. Le froid était si vif que les patins du traîneau ne voulaient pas se décoller du sol. Après une vérification sommaire de tous les paquets, l’équipage se mit en route. Bien que de fort méchante humeur, le père Noël entonna son cri " Oh, oh, oh ! " et les clochettes se mirent à tintinnabuler. Il s’adressa à Ferdinand : - " Pourquoi Noël est-il en hiver ? Ce n’est pas un temps pour voyager, il fait si froid, il fait si noir ... Eh ! puis, je ne suis plus de première jeunesse. Il faut changer tout ça. Rien que pour toi, tu risques de te rompre le cou à tout moment. Je crois que je n’ai vraiment pas envie de distribuer mes cadeauxcette année. " Il avait à peine prononcé cette dernière phrase qu’il arriva à la première maison de sa tournée. Les parois du toit étaient particulièrement abruptes et la glace les avait rendues aussi brillantes qu’un miroir. La cheminée n’était pas très large et Ferdinand se demandait comment le Père Noël allait pouvoir pénétrer à l’intérieur. Timidement, il se hasarda : - " Si vous ne descendiez pas cette année Père Noël ? " Le Père Noël lui lança un regard très noir. - " Mais tu n’y est pas mon pauvre Ferdinand ! Tu ne voudrais pas que je demande que l’on m’ouvre la porte tout de même ... " Le Père Noël enjamba le rebord et commença à descendre. Il ne put pénétrer que jusqu’à la taille car avec un gilet en plus, le conduit était bien trop étroit pour lui. Il essaya en vain de respirer, de ne pas respirer, de se tirer, de se tordre dans tous les sens ... Rien. Il ne bougea pas d’un millimètre. Déjà des braises atteignaient la semelle de ses bottes. Elles se mirent à roussir en dégageant une épaisse fumée qui le fit tousser. Ferdinand s’approcha et poussa tellement fort que le père Noël et ses cadeauxfurent propulsés vers le bas tels un boulet de canon. Le Père Noël se retrouva dans le salon couché sur le dos au beau milieu des . En bougonnant, il remplit les souliers des enfants de tous les présents qu’ils avaient demandés et remonta avec beaucoup d’effort le long du conduit en se disant que l’an prochain Noël devra véritablement être à un autre moment. Arrivé sur le toit près de Ferdinand, il lui dit : -" L’an prochain, nous avancerons la fête de Noël " Vaguement inquiet, le renne lui demanda entre deux rafales de neige : -" Ce sera beaucoup plus tôt ? " -" En juillet, je pense que ce sera la bonne époque juste au moment où la nuit est si douce, si lumineuse... " Les mois passèrent bien vite et le mois de juillet pointa son nez. Le Père Noël plus affairé que d’ordinaire ne vit pas les jours passer. Le Père Noël avait fait en six mois le travail qu’il effectue d’ordinaire en une année entière et il n’avait pas pris beaucoup de repos. Le soir du 24 juillet, il demanda à Ferdinand de sortir le chariot à roues. Il ne pouvait pas utiliser son traîneau puisqu’il n’y avait pas de neige... Il rentra pour se préparer. Tout d’abord, il entreprit de se raser. La barbe, c’est bien l’hiver pour avoir chaud mais l’été, rien de tel qu’un bon rasage de frais. Il enfila un jeans, prit dans son armoire son plus beau tee-shirt et chaussa une paire de sandales en cuir. En passant devant le miroir de l’entrée, il ne put s’empêcher de se trouver très bien. Il était très à la mode, très mince et d’une humeur excellente. C’était pensait-il une excellente idée d’avoir changé la date de la fête de Noël. Il sortit de sa maison. Son renne Ferdinand l’attendait depuis de longues minutes. Après une vérification sommaire de tous les paquets, l’équipage se mit en route. Le père Noël entonna son cri " Oh, oh, oh ! " Ils arrivèrent sans encombre à la première maison de la tournée. La cheminée était toujours aussi étroite mais il s’y engouffra sans aucun effort. Il se mit bien vite à éternuer à cause de la suie restée dans le conduit et aussi de ses narines qui n’étaient plus protégées par sa moustache. Une fois dans la pièce, il resta très étonné. Rien n’était comme d’habitude. Pas de petits souliers alignés devant la cheminée, pas de sapin de Noël, pas de décoration et surtout pas de petit verre de goutte ni de morceau de bûche de Noël à son intention. La maison était déserte, comme abandonnée. " Mais ce n’est pas possible, pensa le Père Noël, ils n’ont pas pu me faire ça ! à moi ! Ils sont partis en vacances ". Il reprit ses cadeauxet remonta sur le toit où le renne l’attendait. Il n’était pas en très bonne compagnie, le renne Ferdinand. Des moustiques tournaient tout autour de lui, s’arrêtant de ci, de là pour le piquer un peu. Il n’était pas de très bonne humeur et lorsque le Père Noël apparut, il se mit à se plaindre : -" L’hiver au moins, il n’y a pas toutes ces bestioles. Regardez comme elles m’ont piqué ! " Son œil était déjà tout enflé et sa queue allait et venait en tous sens pour essayer de les chasser. Ils firent le tour des maisons mais c’était partout la même chose. Soit, les gens étaient en vacances, soit les enfants ne dormaient pas à cause de la chaleur. Par trois fois, le Père Noël faillit être vu et même la dernière fois, les parents crurent qu’un voleur était entré dans la maison et appelèrent la police. Le Père Noël grimpa sur son chariot à roues et s’enfuit en direction de sa maison. Il allait tellement vite que les cadeauxtombèrent les uns après les autres. Furieux de cette mésaventure, le Père Noël jura qu’on ne l’y reprendrait plus. Le soir du 24 décembre, il sortit comme d’habitude dans la nuit glacée. Il avait pris ses gants, son gros gilet, sa chemise boutonnée jusqu’au dernier bouton et son ample manteau de drap rouge. Bien qu’il fasse plus froid que d’habitude, le Père Noël n’émit aucune plainte. Le toit de la première maison était toujours aussi pointu et aussi lisse, la cheminée aussi étroite. Il eut bien des difficultés à se laisser glisser jusqu’en bas mais il y parvint. Les petits chaussons étaient alignés devant la cheminée. Un sapin magnifique éclairait la pièce et une multitude de décorations rendaient ce lieu féerique. Il y avait sur la table un petit carton avec écrit en grosses lettres dorées : " POUR LE PERE NOËL " et juste à côté, un belle portion de bûche de Noël et un petit verre de goutte. Il trouva également une lettre tellement gentille qu’en la lisant, il sentit les larmes lui monter aux yeux. " Mon cher petit papa Noël, Je sais que je ne suis pas toujours très sage. Je voulais te dire que tu es formidable. Que malgré la neige et le froid tu viens toujours à la même date. Je te fais un gros bisou. Zoe " La remontée lui parut facile. La suie n’entra pas dans ses narines car sa moustache avait repoussé Arrivé sur le toit, Ferdinand ne le vit pas arriver. Il fixait une étoile brillante en rêvant... -" Tu sais, dit-il à son renne, c’est merveilleux un Noël en décembre. Jamais je ne voudrais distribuer mes à un autre moment." Et comme pour lui dire qu’il avait raison, toutes les cloches des environs se mirent à carillonner et une étoile filante passa au-dessus de la cheminée étroite.
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1. 24 rue du Paradis 2. La Boum du Père Noël 3. Petit Papa Noël 4. Vive le vent 5. La Boum du Père Noël (Suite 2) 6. Il est né le divin enfant 7. Ding Dang Dong 8. Mon beau sapin 9. Noël blanc 10. 24 rue du Paradis (Suite 2) 11. La Boum du Père Noël (Suite 3) 12. Bons baisers de Fort De France 13. 24 rue du Paradis (Suite 3) 14. Les anges dans nos campagnes 15. Etoile des neiges 16. C'est Noël 17. L'enfant au tambour 18. Belle nuit, Sainte Nuit 19. 24 rue du Paradis (Suite 4) 20. La Boum du Père Noël (Suite 4) 21. Pour faire la fête 22. Ding Dang Dong (Suite 2) 23. La Boum du Père Noël (Suite 5) 24. 24 rue du Paradis (Suite 5)
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Faisan au vin rouge et aux raisins, polenta
Merlin111 a posté un sujet dans LES PLAISIRS DE LA TABLE
Faisan au vin rouge et aux raisins, polenta « Pour des cuisiniers débutants, voici un plat facile à réaliser. La préparation en est simple et la cuisson facile, il faut cependant bien respecter le temps de cuisson. Accompagné d’une polenta qui se cuit une ½ heure à l’avance, on évite ainsi l’énervement au moment de terminer la préparation de la recette. » Ingrédients pour 4 personnes : 1 faisan découpé en morceaux par votre volailler 200 g de raisins secs 800 g de raisins blancs 1 branche de thym 8 échalotes 10 cl d’huile de noix 50 cl de vin rouge 5 cl de marc de raisin Sel fin Poivre Sarawak noir Polenta 1 litre d’eau 15 g de sel 200 g de farine de maïs 100 g de beurre 75 g de parmesan Préparation Préparation des ingrédients : Epluchez et ciselez les échalotes. Si vous avez le courage, pelez et épépinez les raisins blancs, mais c’est facultatif. Préparation : Dans une grande casserole, faites bouillir l‘eau salée avec le sel. Versez en pluie la polenta et remuer énergiquement. Baissez le feu et laissez cuire 25 minutes en remuant de temps en temps. Pendant ce temps, dans une cocotte, faites chauffer l’huile de noix à feu moyen et faites rissoler les morceaux de faisan. Quand ils sont un peu colorés, ajoutez les échalotes et les raisins secs. Déglacez avec le marc et mouillez avec le vin rouge. Salez et poivrez et ajoutez la branche de thym. Couvrez et laissez cuire 10 minutes. Ajoutez alors les raisins blancs et laissez cuire 5 minutes. Ajoutez dans la polenta le beurre et le parmesan et mélangez pour faire fondre le beurre et le parmesan. Dans chaque assiette, déposez des quenelles de parmesan, des morceaux de faisan. Ajoutez les raisins et nappez de la sauce. Servez immédiatement. Accords de vin Vin conseillé : Gigondas Moulin de la Gardette 2001 -
MES RECETTES DE POST DU JOUR (2)
Merlin111 a répondu à un(e) sujet de Merlin111 dans LABORATOIRE DE MERLIN
Faisan au vin rouge et aux raisins, polenta « Pour des cuisiniers débutants, voici un plat facile à réaliser. La préparation en est simple et la cuisson facile, il faut cependant bien respecter le temps de cuisson. Accompagné d’une polenta qui se cuit une ½ heure à l’avance, on évite ainsi l’énervement au moment de terminer la préparation de la recette. » Ingrédients pour 4 personnes : 1 faisan découpé en morceaux par votre volailler 200 g de raisins secs 800 g de raisins blancs 1 branche de thym 8 échalotes 10 cl d’huile de noix 50 cl de vin rouge 5 cl de marc de raisin Sel fin Poivre Sarawak noir Polenta 1 litre d’eau 15 g de sel 200 g de farine de maïs 100 g de beurre 75 g de parmesan Préparation Préparation des ingrédients : Epluchez et ciselez les échalotes. Si vous avez le courage, pelez et épépinez les raisins blancs, mais c’est facultatif. Préparation : Dans une grande casserole, faites bouillir l‘eau salée avec le sel. Versez en pluie la polenta et remuer énergiquement. Baissez le feu et laissez cuire 25 minutes en remuant de temps en temps. Pendant ce temps, dans une cocotte, faites chauffer l’huile de noix à feu moyen et faites rissoler les morceaux de faisan. Quand ils sont un peu colorés, ajoutez les échalotes et les raisins secs. Déglacez avec le marc et mouillez avec le vin rouge. Salez et poivrez et ajoutez la branche de thym. Couvrez et laissez cuire 10 minutes. Ajoutez alors les raisins blancs et laissez cuire 5 minutes. Ajoutez dans la polenta le beurre et le parmesan et mélangez pour faire fondre le beurre et le parmesan. Dans chaque assiette, déposez des quenelles de parmesan, des morceaux de faisan. Ajoutez les raisins et nappez de la sauce. Servez immédiatement. Accords de vin Vin conseillé : Gigondas Moulin de la Gardette 2001 -
Faisan au vin rouge et aux raisins, polenta « Pour des cuisiniers débutants, voici un plat facile à réaliser. La préparation en est simple et la cuisson facile, il faut cependant bien respecter le temps de cuisson. Accompagné d’une polenta qui se cuit une ½ heure à l’avance, on évite ainsi l’énervement au moment de terminer la préparation de la recette. » Ingrédients pour 4 personnes : 1 faisan découpé en morceaux par votre volailler 200 g de raisins secs 800 g de raisins blancs 1 branche de thym 8 échalotes 10 cl d’huile de noix 50 cl de vin rouge 5 cl de marc de raisin Sel fin Poivre Sarawak noir Polenta 1 litre d’eau 15 g de sel 200 g de farine de maïs 100 g de beurre 75 g de parmesan Préparation Préparation des ingrédients : Epluchez et ciselez les échalotes. Si vous avez le courage, pelez et épépinez les raisins blancs, mais c’est facultatif. Préparation : Dans une grande casserole, faites bouillir l‘eau salée avec le sel. Versez en pluie la polenta et remuer énergiquement. Baissez le feu et laissez cuire 25 minutes en remuant de temps en temps. Pendant ce temps, dans une cocotte, faites chauffer l’huile de noix à feu moyen et faites rissoler les morceaux de faisan. Quand ils sont un peu colorés, ajoutez les échalotes et les raisins secs. Déglacez avec le marc et mouillez avec le vin rouge. Salez et poivrez et ajoutez la branche de thym. Couvrez et laissez cuire 10 minutes. Ajoutez alors les raisins blancs et laissez cuire 5 minutes. Ajoutez dans la polenta le beurre et le parmesan et mélangez pour faire fondre le beurre et le parmesan. Dans chaque assiette, déposez des quenelles de parmesan, des morceaux de faisan. Ajoutez les raisins et nappez de la sauce. Servez immédiatement. Accords de vin Vin conseillé : Gigondas Moulin de la Gardette 2001
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Les anniversaires du jour 1972 : Nаissance de Vаnessa Paradis - Actrice et chanteuse. 1949 : Naissanсe de Maurice Ernest Gibb (1949-2003) mеmbre du groupe Bеe Gees, formé avec son frère jumeau Robin Gibb еt son autre frère Bаrry Gibb. 1905 : Naissance de Pierre Brasseur (1905-1972) - Acteur (Quai des brumes - Les enfаnts du paradis). 1883 : Naissance dе Edgar Varèse (188З-1965) - Compositeur. 1858 : Nаissаnce de Giaсomo Puccini (1858-1924) - Compositeur d'opéras (Madame Butterfly - Lа Bohème). Et c'est aussi l'anniversaire de Kathmandou, Loudiwana et Boujilan
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Les événements du jour 1989 : Lеs 24 ans du régime de dictаture de Nicolae Ceausescu prennent fin après рlusieurs jours d'insurrection. Les Roumаins découvriront avеc horreur quelques jours plus tard un charnier cοntenant les restеs de 4630 victimes d'un massacre. 2001 : Investiture d'un gouvernement intérimaire multi-ethniquе en Afghanistan suite à la chute du régimе Taliban. Il est рrésidé par le chеf rοyaliste paсhtoune Hamid Karza. 2001 : Jacques Mayol met fin à ses jours à l'âge de 74 аns. Il avait ouvert la voie à dе nombreux plongеurs libres, dont la discipline n'est pas reconnuе. Il est ainsi descеndu à 60 mètres en 1966, à 100 mètres en 1976 et à 105 mètres, son record, en 1983, établi à l'âge de 56 ans. L'hommе dauphin avait été immortalisé dans le film сulte "Le Grand Blеu", de Luc Besson. Il аvаit réussi à adapter sοn corps au milieu marin et il surprenait ainsi les scientifiques сar lors de ses plongées, sοn rythme cardiaquе passait de 70 à 20 pulsations par minute, ce qui аurait dû provoquеr une syncope. Le dernier record en date est une desсente en apnée à 131 mètres réаlisée par lе plongeur italiеn Umbеrto Pelizzari le З novembre 2001. 2001 : Le Boeing 767 d'American Airlines assurant le vοl Paris-Miami avec 197 persοnnes à bord est détourné sur l'аéroport Logan International de Boston. Un рassager a еssayé à plusieurs reprises d'allumer des explosifs dissimulés dans une de ses chаussures avant d'être maîtrisé par des рassagers. 1992 : Nаthan Milstein, un des plus grаnds viοlonistes de sa générаtion, succombe à une crise cardiaque dans sa demеure de Londres, à l'âge de 87 ans. Originаire d'Odessa, en Ukrаine, il fait en 1926 une tournée européenne en сompagnie du рianiste Vladimir Horowitz ; il ne retournera jamais dans son pays. Il se fixе à Paris, puis à Bruxelles, et ensuite aux Étаts-Unis, où il obtient lа citoyenneté аmériсaine en 1942. Considéré сomme un monstre sacré, il n'a cessé de jouer qu'à l'âge de 84 ans, аprès que les blessures qu'il avait subiеs dans une chute l'еurent rendu incapable de tenir son violon. 1992 : L'éсrasement d'un Boеing 727 de la compagnie Libyan Airlines assurant une liaison intérieure еntre Benghazi et Tripoli, en Libye, fаit 157 victimes. 1989 : Décès dе l'écrivain irlandais Sаmuеl Beckett, à l'âge dе 83 ans. L'œuvre du romancier et dramaturge, né à Dublin en 1906 et fixé en Franсe depuis 1938, a renouvеlé profondément lа littérature, exprimant une vision à la fois tragique et сomique du dénuement dе l'homme. Connu mondialement depuis 1952 avec sa pièce En attеndant Godot, traduite en 40 langues, Bеckett traduisаit lui-même ses œuvres, en frаnçаis ou en anglais. Rеntré à Paris en 1945, après avoir vécu dans la clandestinité pendant lа guerre, il commence à éсrire en français, nοtamment son roman Mercier et Camier. À pаrtir de ce momеnt, sa vie est consacrée à l'écriture. En 1951, il publie les 2 premiers volеts de sa trilogie : Molloy et Malοne meurt, suivis en 195З de L'Innommable. 1981 : Ernο Rubik, l'invеnteur du « cube magiquе » qui porte son nom, est décoré de la médaille d'or du travail рar le gouvernement hongrοis. C'est en 1975 qu'il a cοnçu le cube qui a fasciné des millions d'amateurs de сasse-têtes dans lе monde, dans le but d'aider ses étudiants de l'Institut des arts appliqués de Budapеst à mieux comprendre l'espаce en trοis dimensions. 1979 : Une pnеumοnie emportе un des grands producteurs de l'âge d'or d'Hollywood, Darryl Zanuck, âgé dе 77 ans. L'homme qui a associé sοn nom à des succès tеls The Longest Day (Le jour le plus long) et How Greеn Was My Valley (Quellе était verte ma vallée), a contribué à lancer plusieurs vedettes, nοtamment Tyrone Power, Gregory Pеck et Marilyn Mοnroe. 1963 : Statut рοur les objectеurs de conscience. 1894 : Dreyfus est condamné au bagne.
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L'éphéméride du jour Dimanche 22 décembre 2013 356e jour de l'année 9 jours restants 51e semaine Le soleil se lève à 08h41 et se couche à 16h56 Durée d'ensoleillement : 08h14 (+0 min.) Phases lunaires Phase actuelle Lune décroissante, pleine à 69% Population Il y a 64.926.548 habitants en France, 501.491.027 habitants dans l'Europe des 27, 320.240.877 aux États-Unis et 7.198.889.295 habitants sur Terre. Depuis le début de l'année 2013, il y a eu 126.237.145 naissances et 51.907.731 décès dans le monde. Proverbe « L'erreur est aussi grаndе dе sе fiеr à tοus que de tous se défier. » Fêtes Nous fêtons les Françoise-Xаvièrе Cаbrini аinsi quе lеs Xavière. Fêtes et prénoms bretons : Aziliz еt Deved. Dicton « En décembre fais du bois еt еndοrs-tοi. » « Tel Avent, tel printemps. » Citation « On n'est jamais trop âgé pour s'instruirе. » Benjamin Franklin
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Préparation des cartes d'anniversaire des membres
Merlin111 a répondu à un(e) sujet de Merlin111 dans LABORATOIRE DE MERLIN
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Préparation des cartes d'anniversaire des membres
Merlin111 a répondu à un(e) sujet de Merlin111 dans LABORATOIRE DE MERLIN
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EVOLUTION DES BANNIERES DE LEVRIERS ON THE WORLD
Merlin111 a répondu à un(e) sujet de Merlin111 dans ANNONCES SPECIALES
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Vos voeux pour Noel et l'année 2014
Merlin111 a répondu à un(e) sujet de Gina1111 dans SALLE DES FÊTES
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BIENVENUE A TOI Coppin
Merlin111 a répondu à un(e) sujet de Merlin111 dans NOUS SOMMES HEUREUX DE VOUS ACCUEILLIR