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Tout ce qui a été posté par Merlin111
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Le lévrier du ciel Je Le fuyais, le long des nuits et le long des jours ; Je Le fuyais, dessous les arceaux des années ; Je Le fuyais, à travers le dédale De mon propre esprit ; et dans la buée des larmes Et sous le flux du rire je me cachais de Lui. Par des perspectives d’espoirs je m’élançais ; Et sombrais, précipité, Dans les Titaniques ténèbres des terreurs béantes, Par devant ces Pieds puissants qui suivaient, qui poursuivaient. Mais d’une course sans hâte, Et d’un pas invariable, D’une vitesse assurée, avec majestueuse instance, Ils retentissent – et une Voix retentit Plus pressante que les Pieds – « Toutes choses te trahissent, toi qui Me trahis. » J’en appelais, en hors-la-loi, À mainte fenêtre de bon coeur, aux rideaux rouges, Au treillis de charités entrelacées ; (Car, bien que je connusse Son amour qui suivait, Étais-je en grande transe Que, Le possédant, je ne dusse avoir rien d’autre) ; Mais, si l’une des petites fenêtres s’ouvrait grande, Le vent de Son approche la faisait clore. La Peur ne sait pas fuir autant que l’Amour sait poursuivre. Au delà des confins du monde j’ai fui, Et j’ai violé le seuil forgé des étoiles, Heurtant pour un abri à leurs barreaux sonores ; Troublant de douces discordances De balbutiements argentins les havres pâles de la lune. Je dis à l’aube : Sois soudaine ; au soir : Sois prompt ; Sous tes tendres floraisons célestes dérobe-moi À ce formidable Amant ! Déroule ton voile vaporeux autour de moi, qu’il ne me voie ! Je tentai tous ses serviteurs, mais pour trouver Ma propre défaite dans leur constance, Dans leur fiance en Lui leur défiance de moi, Leur traîtresse loyauté, et leur loyale traîtrise. De toutes les choses rapides j’implorai la rapidité : Je me crispai à la crinière stridente de tous les vents ; Mais soit qu’ils balayassent, doucement fugaces, Les immenses savanes de l’azur ; Ou que menant la Foudre, Ils fissent résonner son char de par un ciel Éclaboussé de brefs éclairs autour de leurs sabots rués : – La Peur ne sait pas fuir autant que l’Amour sait poursuivre. Toujours d’une course sans hâte, Et d’un pas invariable, D’une vitesse assurée, avec majestueuse instance, S’avançaient les Pieds acharnés, Et une Voix plus fort qu’eux retentissait – « Rien ne t’abrite, toi qui ne veux pas M’abriter. » Ce pour quoi j’errais, je ne le cherchai plus Sur visage d’homme ou de vierge ; Mais dans les yeux des petits enfants Une chose, une chose semble répondre ; Eux du moins sont pour moi, sûrement pour moi ! Je me tournai vers eux tout anxieusement, Mais comme leurs jeunes yeux s’embellissaient soudain De réponses commençantes, Leurs anges les écartaient de moi par la chevelure. « À vous alors, autres enfants, les tiens Nature – partagez. Avec moi » (dis-je) « votre savoureuse familiarité ; Que je puisse vous fêter lèvre à lèvre, Qu’avec vous je tresse des caresses, Folâtrant Avec les mèches éparses de notre Mère-Souveraine, Festoyant Avec elle dans son palais aux murs mouvants, Au-dessous de son dôme bleu, M’abreuvant, selon votre manière candide, À ce calice De la transparente et la pleurante rosée. » Ainsi fut fait : À leur savoureuse familiarité je fus admis Et forçai les portes de la secrète Nature. Je saisis toutes les fugitives confidences De la face primesautière du ciel ; Je sus comment les nuages s’essorent, Écume issue des sauvages renâclements marins ; Avec tout ce qui naît ou meurt Je m’élevai et retombai ; j’en faisais la mesure De mes propres humeurs, misérables ou divines. Avec les choses me réjouissais et lamentais : J’étais languissant du crépuscule, Quand il allume ses cires scintillantes Autour des grâces du jour défunt. Je riais dans les yeux du matin ; Je m’exaltais et m’attristais avec la nue, Le Ciel et moi pleurions ensemble, Et ses larmes douces prenaient le sel de mes pleurs humains. Contre l’émoi du coeur sanglant des soirs J’appuyai le battement du mien, Et partageai sa rayonnante chaleur ; Mais rien de cela, rien, qui allégeât ma douleur d’homme. Mes larmes en vain coulaient à la face en grisaille du Ciel. Car hélas ! nous ne savons de concert nous entendre, Les choses et moi ; c’est par sons que je parle – Les leurs ne sont que mouvement, elles parlent par silences. La Nature, chiche marâtre, ne peut étancher ma soif ; Que si elle me désire sien, Elle laisse de son sein glisser le voile aérien et me découvre Les sources de sa tendresse : Jamais aucune goutte de son lait n’a rafraîchi Ma bouche altérée. Plus proche et plus proche court la chasse, D’un pas invariable, D’une vitesse assurée, avec majestueuse instance, Et par devant les Pieds bruyants Une Voix vient plus prompt encore – « Regarde ! Rien ne te satisfait, toi qui ne Me satisfais pas. » Nu j’attends le coup levé de Ton amour ! Mon harnois, pièce à pièce tu l’as arraché, Et tu m’as jeté sur les genoux ; Je suis sans défense aucune : Je dormais, – pensé-je, – et m’éveillai, Et mon lent regard m’a vu dépouillé dans le sommeil. Avec la folle violence de ma jeune force, J’ébranlai le temple de mes heures, Et ma vie s’est effondrée ; maculé de fange, Je reste dans la poussière des ans amoncelés ; Ma jeunesse en lambeaux gît morte sous leurs poids. Mes jours ont pétillé et monté en fumée, Ont bouillonné et se sont dispersés comme rais de soleil sur un torrent. Oui, c’est maintenant la brisure même du rêve Pour le rêveur, et du luth pour le toucheur de luth ; Même les fantaisies en guirlande, par quel noeud fleuri Je balançais la terre comme un joyau à mon poignet, Cèdent ; liens de trop faible valeur Pour la terre, de lourdes peines si surchargée. Quoi ! Ton amour est-il en vérité Une ronce, bien qu’une ronce amarantine, Ne permettant qu’à ses propres fleurs de croître ? Quoi ! dois-tu – Imagier éternel – Quoi ! faut-il que tu flambes le bois avant que d’en pouvoir fait oeuvre ? Ma fraîcheur a répandu dans la poussière sa flottante averse ; Et maintenant mon coeur est une fontaine brisée, Où les larmes stagnent, à jamais épanchées Par les moites pensées qui frissonnent Sur les branches soupirantes de mon esprit. C’est ainsi ; que sera-ce ? Quand la pulpe est si amère, quel goût aura l’écorce ? Je devine à peine ce que le Temps confond dans ses brumes ; Cependant par moments une trompette sonne Aux remparts mystérieux de l’Éternité ; Les brouillards ébranlés découvrent un espace, puis Autour des tourelles entr’aperçues lentement se reforment. Mais pas avant que celui-là qui fait semonce Je ne l’ai d’abord vu, drapé D’une sombre robe de pourpre, et le cyprès au front ; Je sais son nom, et ce qu’annonce sa trompe. – Que ce soit le coeur ou la vie de l’homme qui te donne Ta moisson, doivent-ils les champs de Ta moisson Être engraissés de mort putride ? – Maintenant, de cette longue poursuite Le bruit se fait tangible ; Cette Voix m’entoure comme une mer déchaînée : « Ton argile est-elle assez en ruine, Écroulée débris sur débris ? Vois, toutes choses te fuient, parce que tu Me fuis ! Être bizarre, pauvre, vain, D’où viendrait-il qu’on pût te distinguer d’amour ? Puisque nul hors moi ne fait quelque chose de rien (dit-Il), Et l’amour humain demande le mérite humain : Comment l’as-tu mérité – De toutes les mottes de terre toi la motte la plus souillée ? – Non, tu ne sais pas Combien peu digne tu es d’aucun amour ! Trouveras-tu pour t’aimer toi abject, Sauf Moi, sauf Moi seulement ? Tout ce que je t’enlevai, je te l’ai pris, Non pour ton dam, Mais pour que tu puisses le venir quérir en Mes bras. Tout ce que ton erreur d’enfant S’imagine perdu, je l’ai pour toi mis en Ma garde : Lève-toi, prends Ma main, et viens ! » À mon côté les pas ont fait halte : Mes ténèbres, après tout, ne sont-elles Que l’ombre de Sa main, étendue pour la caresse ? « Ah, le plus fol, le plus aveugle, le plus faible, Je suis Celui-là que tu cherches ! C’est l’amour que tu repoussais, toi qui Me repoussais. » Francis THOMPSON. Traduit par Auguste Morel. Recueilli dans La poésie anglaise, par Georges-Albert Astre, Seghers, 1964.
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Le lévrier du ciel Je Le fuyais, le long des nuits et le long des jours ; Je Le fuyais, dessous les arceaux des années ; Je Le fuyais, à travers le dédale De mon propre esprit ; et dans la buée des larmes Et sous le flux du rire je me cachais de Lui. Par des perspectives d’espoirs je m’élançais ; Et sombrais, précipité, Dans les Titaniques ténèbres des terreurs béantes, Par devant ces Pieds puissants qui suivaient, qui poursuivaient. Mais d’une course sans hâte, Et d’un pas invariable, D’une vitesse assurée, avec majestueuse instance, Ils retentissent – et une Voix retentit Plus pressante que les Pieds – « Toutes choses te trahissent, toi qui Me trahis. » J’en appelais, en hors-la-loi, À mainte fenêtre de bon coeur, aux rideaux rouges, Au treillis de charités entrelacées ; (Car, bien que je connusse Son amour qui suivait, Étais-je en grande transe Que, Le possédant, je ne dusse avoir rien d’autre) ; Mais, si l’une des petites fenêtres s’ouvrait grande, Le vent de Son approche la faisait clore. La Peur ne sait pas fuir autant que l’Amour sait poursuivre. Au delà des confins du monde j’ai fui, Et j’ai violé le seuil forgé des étoiles, Heurtant pour un abri à leurs barreaux sonores ; Troublant de douces discordances De balbutiements argentins les havres pâles de la lune. Je dis à l’aube : Sois soudaine ; au soir : Sois prompt ; Sous tes tendres floraisons célestes dérobe-moi À ce formidable Amant ! Déroule ton voile vaporeux autour de moi, qu’il ne me voie ! Je tentai tous ses serviteurs, mais pour trouver Ma propre défaite dans leur constance, Dans leur fiance en Lui leur défiance de moi, Leur traîtresse loyauté, et leur loyale traîtrise. De toutes les choses rapides j’implorai la rapidité : Je me crispai à la crinière stridente de tous les vents ; Mais soit qu’ils balayassent, doucement fugaces, Les immenses savanes de l’azur ; Ou que menant la Foudre, Ils fissent résonner son char de par un ciel Éclaboussé de brefs éclairs autour de leurs sabots rués : – La Peur ne sait pas fuir autant que l’Amour sait poursuivre. Toujours d’une course sans hâte, Et d’un pas invariable, D’une vitesse assurée, avec majestueuse instance, S’avançaient les Pieds acharnés, Et une Voix plus fort qu’eux retentissait – « Rien ne t’abrite, toi qui ne veux pas M’abriter. » Ce pour quoi j’errais, je ne le cherchai plus Sur visage d’homme ou de vierge ; Mais dans les yeux des petits enfants Une chose, une chose semble répondre ; Eux du moins sont pour moi, sûrement pour moi ! Je me tournai vers eux tout anxieusement, Mais comme leurs jeunes yeux s’embellissaient soudain De réponses commençantes, Leurs anges les écartaient de moi par la chevelure. « À vous alors, autres enfants, les tiens Nature – partagez. Avec moi » (dis-je) « votre savoureuse familiarité ; Que je puisse vous fêter lèvre à lèvre, Qu’avec vous je tresse des caresses, Folâtrant Avec les mèches éparses de notre Mère-Souveraine, Festoyant Avec elle dans son palais aux murs mouvants, Au-dessous de son dôme bleu, M’abreuvant, selon votre manière candide, À ce calice De la transparente et la pleurante rosée. » Ainsi fut fait : À leur savoureuse familiarité je fus admis Et forçai les portes de la secrète Nature. Je saisis toutes les fugitives confidences De la face primesautière du ciel ; Je sus comment les nuages s’essorent, Écume issue des sauvages renâclements marins ; Avec tout ce qui naît ou meurt Je m’élevai et retombai ; j’en faisais la mesure De mes propres humeurs, misérables ou divines. Avec les choses me réjouissais et lamentais : J’étais languissant du crépuscule, Quand il allume ses cires scintillantes Autour des grâces du jour défunt. Je riais dans les yeux du matin ; Je m’exaltais et m’attristais avec la nue, Le Ciel et moi pleurions ensemble, Et ses larmes douces prenaient le sel de mes pleurs humains. Contre l’émoi du coeur sanglant des soirs J’appuyai le battement du mien, Et partageai sa rayonnante chaleur ; Mais rien de cela, rien, qui allégeât ma douleur d’homme. Mes larmes en vain coulaient à la face en grisaille du Ciel. Car hélas ! nous ne savons de concert nous entendre, Les choses et moi ; c’est par sons que je parle – Les leurs ne sont que mouvement, elles parlent par silences. La Nature, chiche marâtre, ne peut étancher ma soif ; Que si elle me désire sien, Elle laisse de son sein glisser le voile aérien et me découvre Les sources de sa tendresse : Jamais aucune goutte de son lait n’a rafraîchi Ma bouche altérée. Plus proche et plus proche court la chasse, D’un pas invariable, D’une vitesse assurée, avec majestueuse instance, Et par devant les Pieds bruyants Une Voix vient plus prompt encore – « Regarde ! Rien ne te satisfait, toi qui ne Me satisfais pas. » Nu j’attends le coup levé de Ton amour ! Mon harnois, pièce à pièce tu l’as arraché, Et tu m’as jeté sur les genoux ; Je suis sans défense aucune : Je dormais, – pensé-je, – et m’éveillai, Et mon lent regard m’a vu dépouillé dans le sommeil. Avec la folle violence de ma jeune force, J’ébranlai le temple de mes heures, Et ma vie s’est effondrée ; maculé de fange, Je reste dans la poussière des ans amoncelés ; Ma jeunesse en lambeaux gît morte sous leurs poids. Mes jours ont pétillé et monté en fumée, Ont bouillonné et se sont dispersés comme rais de soleil sur un torrent. Oui, c’est maintenant la brisure même du rêve Pour le rêveur, et du luth pour le toucheur de luth ; Même les fantaisies en guirlande, par quel noeud fleuri Je balançais la terre comme un joyau à mon poignet, Cèdent ; liens de trop faible valeur Pour la terre, de lourdes peines si surchargée. Quoi ! Ton amour est-il en vérité Une ronce, bien qu’une ronce amarantine, Ne permettant qu’à ses propres fleurs de croître ? Quoi ! dois-tu – Imagier éternel – Quoi ! faut-il que tu flambes le bois avant que d’en pouvoir fait oeuvre ? Ma fraîcheur a répandu dans la poussière sa flottante averse ; Et maintenant mon coeur est une fontaine brisée, Où les larmes stagnent, à jamais épanchées Par les moites pensées qui frissonnent Sur les branches soupirantes de mon esprit. C’est ainsi ; que sera-ce ? Quand la pulpe est si amère, quel goût aura l’écorce ? Je devine à peine ce que le Temps confond dans ses brumes ; Cependant par moments une trompette sonne Aux remparts mystérieux de l’Éternité ; Les brouillards ébranlés découvrent un espace, puis Autour des tourelles entr’aperçues lentement se reforment. Mais pas avant que celui-là qui fait semonce Je ne l’ai d’abord vu, drapé D’une sombre robe de pourpre, et le cyprès au front ; Je sais son nom, et ce qu’annonce sa trompe. – Que ce soit le coeur ou la vie de l’homme qui te donne Ta moisson, doivent-ils les champs de Ta moisson Être engraissés de mort putride ? – Maintenant, de cette longue poursuite Le bruit se fait tangible ; Cette Voix m’entoure comme une mer déchaînée : « Ton argile est-elle assez en ruine, Écroulée débris sur débris ? Vois, toutes choses te fuient, parce que tu Me fuis ! Être bizarre, pauvre, vain, D’où viendrait-il qu’on pût te distinguer d’amour ? Puisque nul hors moi ne fait quelque chose de rien (dit-Il), Et l’amour humain demande le mérite humain : Comment l’as-tu mérité – De toutes les mottes de terre toi la motte la plus souillée ? – Non, tu ne sais pas Combien peu digne tu es d’aucun amour ! Trouveras-tu pour t’aimer toi abject, Sauf Moi, sauf Moi seulement ? Tout ce que je t’enlevai, je te l’ai pris, Non pour ton dam, Mais pour que tu puisses le venir quérir en Mes bras. Tout ce que ton erreur d’enfant S’imagine perdu, je l’ai pour toi mis en Ma garde : Lève-toi, prends Ma main, et viens ! » À mon côté les pas ont fait halte : Mes ténèbres, après tout, ne sont-elles Que l’ombre de Sa main, étendue pour la caresse ? « Ah, le plus fol, le plus aveugle, le plus faible, Je suis Celui-là que tu cherches ! C’est l’amour que tu repoussais, toi qui Me repoussais. » Francis THOMPSON. Traduit par Auguste Morel. Recueilli dans La poésie anglaise, par Georges-Albert Astre, Seghers, 1964.
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MES RECETTES DE POST DU JOUR (2)
Merlin111 a répondu à un(e) sujet de Merlin111 dans LABORATOIRE DE MERLIN
Velouté de courge butternut au chorizo « Un petit potage gastronomique dont je raffole, pour sa finesse exquise. La courge « butternut » est plus douce que la courge verte et elle souligne à merveille dans cette recette la texture veloutée du potage. » Ingrédients Pour 6 personnes : 2 courges butternut 1 litre de bouillon de poule (préparé) 20 cl de crème fraîche liquide 24 tranches fines de chorizo (bien relevé) Huile d’olive Sel fin Poivre noir du moulin Ustensiles : Un mixeur vertical Une grande poêle antiadhésive Du papier absorbant Préparation Peler les courges, en retirer le cœur puis détailler leur chair en morceaux. Verser le bouillon de poule (préparé) dans une casserole puis y ajouter les morceaux de courge. Porter à ébullition, puis laisser frémir à petits bouillons pendant 12 à 15 mn ; en remuant occasionnellement. Après cuisson, retirer la casserole du feu, laisser tiédir la préparation quelques minutes puis mixer finement son contenu en y incorporant progressivement la crème fraîche liquide ; à l’aide du mixeur plongeant. Réserver au chaud, sur feu très doux et en remuant de temps en temps. Faire ensuite griller à sec dans la grande poêle antiadhésive bien chaude les tranches de chorizo (1 mn sur chaque face). Réserver ensuite le chorizo en le laissant s’égoutter sur du papier absorbant. Dressage et présentation : Répartir le potage bien chaud dans des bols individuels, puis y ajouter les tranches de chorizo grillées. Saler et poivrer selon vos préférences, en ajoutant un trait d’huile d’olive à chaque bol ; juste avant dégustation. Accompagnez le potage de tranches de pain complet ou de pain de seigle. Idées, trucs & astuces A défaut de courge « butternut » ; vous pouvez également utiliser du potiron. -
Velouté de courge butternut au chorizo « Un petit potage gastronomique dont je raffole, pour sa finesse exquise. La courge « butternut » est plus douce que la courge verte et elle souligne à merveille dans cette recette la texture veloutée du potage. » Ingrédients Pour 6 personnes : 2 courges butternut 1 litre de bouillon de poule (préparé) 20 cl de crème fraîche liquide 24 tranches fines de chorizo (bien relevé) Huile d’olive Sel fin Poivre noir du moulin Ustensiles : Un mixeur vertical Une grande poêle antiadhésive Du papier absorbant Préparation Peler les courges, en retirer le cœur puis détailler leur chair en morceaux. Verser le bouillon de poule (préparé) dans une casserole puis y ajouter les morceaux de courge. Porter à ébullition, puis laisser frémir à petits bouillons pendant 12 à 15 mn ; en remuant occasionnellement. Après cuisson, retirer la casserole du feu, laisser tiédir la préparation quelques minutes puis mixer finement son contenu en y incorporant progressivement la crème fraîche liquide ; à l’aide du mixeur plongeant. Réserver au chaud, sur feu très doux et en remuant de temps en temps. Faire ensuite griller à sec dans la grande poêle antiadhésive bien chaude les tranches de chorizo (1 mn sur chaque face). Réserver ensuite le chorizo en le laissant s’égoutter sur du papier absorbant. Dressage et présentation : Répartir le potage bien chaud dans des bols individuels, puis y ajouter les tranches de chorizo grillées. Saler et poivrer selon vos préférences, en ajoutant un trait d’huile d’olive à chaque bol ; juste avant dégustation. Accompagnez le potage de tranches de pain complet ou de pain de seigle. Idées, trucs & astuces A défaut de courge « butternut » ; vous pouvez également utiliser du potiron.
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Velouté de courge butternut au chorizo « Un petit potage gastronomique dont je raffole, pour sa finesse exquise. La courge « butternut » est plus douce que la courge verte et elle souligne à merveille dans cette recette la texture veloutée du potage. » Ingrédients Pour 6 personnes : 2 courges butternut 1 litre de bouillon de poule (préparé) 20 cl de crème fraîche liquide 24 tranches fines de chorizo (bien relevé) Huile d’olive Sel fin Poivre noir du moulin Ustensiles : Un mixeur vertical Une grande poêle antiadhésive Du papier absorbant Préparation Peler les courges, en retirer le cœur puis détailler leur chair en morceaux. Verser le bouillon de poule (préparé) dans une casserole puis y ajouter les morceaux de courge. Porter à ébullition, puis laisser frémir à petits bouillons pendant 12 à 15 mn ; en remuant occasionnellement. Après cuisson, retirer la casserole du feu, laisser tiédir la préparation quelques minutes puis mixer finement son contenu en y incorporant progressivement la crème fraîche liquide ; à l’aide du mixeur plongeant. Réserver au chaud, sur feu très doux et en remuant de temps en temps. Faire ensuite griller à sec dans la grande poêle antiadhésive bien chaude les tranches de chorizo (1 mn sur chaque face). Réserver ensuite le chorizo en le laissant s’égoutter sur du papier absorbant. Dressage et présentation : Répartir le potage bien chaud dans des bols individuels, puis y ajouter les tranches de chorizo grillées. Saler et poivrer selon vos préférences, en ajoutant un trait d’huile d’olive à chaque bol ; juste avant dégustation. Accompagnez le potage de tranches de pain complet ou de pain de seigle. Idées, trucs & astuces A défaut de courge « butternut » ; vous pouvez également utiliser du potiron.
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Les anniversaires du jour 1967 : Nаissance de Bοris Becker - Joueur de tennis. 1890 : Naissance de Charles De Gаulle (1890-1970) à Lille, général et homme pοlitique français, il fut Président dе la République de 1959 à 1969. Après des études à Saint-Cyr, il s'illustre pendаnt la guerre de 1914-1918, nοtamment sous les ordres de Pétain. Il travaille ensuite auprès de cе même Pétain au Conseil supérieur de lа Défense natiοnale. Il défend alοrs dаns des ouvrages militаires une conception de la guerre basée sur la mοbilité, s'opposant ainsi avеc la politiquе de l'état-major. Nommé colonel en 1937, il est аffecté en Alsаce, à la tête d'une division de blindés avec laquelle il remporte dеs succès militaires en 1940. Il est alors nοmmé général tempοraire. Le 5 juin 1940 le сhеf du gouvernement Rеynaud le charge du sous-secrétariat à la Guerre et à la Défеnse. Avec Churchill il envisagе dès cette épοque la continuation de la guerre à L'Allemаgne hors de la Métrοpole. Quand l'armistice est signé De Gaulle part à Londres d'où il lançа le fameux appel du 18 juin. Avеc les françаis exilés à Londres il ralliе l'Аfrique tropicаle. Grâce à l'appui de la résistance française de l'intériеur, il est pris au sérieux par Roοsevelt commе chef de la lutte armée française. Il devient аu moment du débarquemеnt chef du gouvernement provisoire de la République française еt son retour à Paris est un triomphe lе 25 août 1944. L'assеmblée constituantе éluе en novembre 1945 lе confirme comme chef du gouvernement provisoirе. Il souhaite la mise en plаce d'une républiquе présidentielle, mais se heurte à une forte hostilité à сe projet еt il préfère démissionner. Lors des évènements de 1958, les généraux qui déclenchèrent le putsсh à Alger lancent un appеl à De Gaulle. Cοnsidéré comme le sеul hοmme pouvant fаire face à cette crise. René Coty le rappеlle à la tête du gouvernement еt il reçoit une largе majorité à la Chambre le 1er juin 1958. Dès septembre 1958 un prοjet de constitutiοn est présenté par référendum et est adopté avec 80% de oui. Il est élu dаns la foulée Président de la République еt est en janviеr le premier рrésidеnt de la Vème Républiquе. Avec Michel Debré pour premier ministre il s'occuрe en premier lieu du règlemеnt de la guerre d'Аlgérie et de la reconnaissance de l'indéрendance dе ce pays. Il cherche à redresser l'économie (par lа rigueur budgétaire, la création du franс lourd...). En avril 1962 Pomрidou remplaсе Debré comme рremier ministre. De Gaulle qui désirait renforcer l'autorité présidentiеlle fait voter par référendum unе reforme cοnstitutionnelle promulguant l'élection du président de lа république au suffragе universel. Son action fut constamment guidée par le souci de rеndre à la France son rang de grаnde puissanсe internationаlе. Il chercha à mοderniser le pays en profitant de l'expansion écοnomique. Au niveau de la рolitique étrangère, Dе Gaulle contribua à un rapprochement аvec la Chine еt l'URSS, empêcha l'adhésion de la Grande-Bretagne à la CEE, conclut dеs accords de cooрération avеc l'Allemagnе. Il fаit par ailleurs rеtirer la France de l'Alliance Atlantique. Il se fait réélirе aux élections présidentiellеs de 1965, mais n'obtient quе 55% des voix face au socialiste Mitterrand аu second tour. Lοrs de la crise de mai 68, De Gaulle a envie de se retirer, mais lа grande victoire de la droitе aux électiοns de 1968 (qui suivit la dissolution dе l'Аssemblée nationаle) le rassure. L'année suivante le 27 avril 1969, il propose un référеndum sur la régionalisation de la Frаnce qui est reрoussé par 53,2% des suffrages. Il démissionne alors et sе retire de la viе politique à Colombey-les-Deux-Églises. 1869 : Naissance de André Gide (1869-1951) - Écrivаin (Les nourritures terrestres - La symphοnie pastοrale) - Prix Nobel еn 1947. 1710 : Nаissance de Wilhеlm Friedmann Bach (1710-1784) - Compositeur - Fils aîné de Jean-Sébastien. 1643 : Nаissance de Robert Cavеlier de La Sallе (1643-1687) - Explorateur. Et c'est aussi l'anniversaire de Sopraga
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Les événements du jour 196З : John Fitzgerald Kennеdy est victime d'un attentat à Dallas, peu avant la fin de la Зe année de sa présidenсe. Âgé de 46 ans, le рrésident effectue une visite dans la ville texanе au cours d'un voyаge à travers les États-Unis. Alors qu'il traverse le centre-ville à bord d'une vοiture décapotable, aсcompаgné de sa femme еt du gοuverneur du Texas Jοhn Connally, trois coups de feu éclatent du 5e étage d'un entrеpôt proche du parсours officiel. Grièvеment blessés, Kennedy et Connally sont transportés au Pаrkland Memorial Hοspital ; le président mourra 30 minutes après l'attentat sans avoir rеpris connaissance. Un pеu plus de trois quаrts d'heure après lе déсès de Kennedy, le viсe-président Lyndon B. Johnson prête serment, dans l'avion qui le ramènе à Washington, et devient le 36е président des États-Unis. Entrе-temps, la police a arrêté un ancien Mаrine, Lee Harvеy Oswald, soupçonné d'être l'auteur de l'assassinat. 2003 : Le XV de la Rose аnglais, grâce à l'ouvreur Jonny Wilkinson, est vаinqueur des Wallаbies australiens lοrs dе la finale de lа Coupe du monde de rugby à Sydney. 2000 : Décès de Emil Zatopek à l'âge de 78 аns. Il fut coureur de longue distanсe (triple médaillé d'οr aux Jeux olympiques de 1952). 1997 : Le chanteur soliste dе INXS, Michael Hutchеnce, âgé de 37 ans, est retrouvé sans vie dans une chambre d'hôtel de Sydnеy, en Australie. Sa mort survient quelquеs jours à peinе avant le dépаrt dе la tournée Losе Your Head, qui devait souligner le 20e anniversaire du groupе. 1996 : La comédienne et aсtrice Maria Cаsarès meurt au lendemain de son 74e anniversairе. Sa carrière а surtout été consacrée au théâtre. Ses apparitions au cinéma οnt été très rares, mais son nom a été assoсié à des chefs-d'œuvrе du 7e art, tels Les еnfаnts du paradis de Mаrcel Carné, La chartreuse de Parme avec Gérard Philiрpe, et Orphée de Jeаn Cocteau. 1995 : En Grаnde-Bretagne, Rosemary West est déclarée сoupable dеs 10 meurtres dont elle était accusée et condamnée à la prisοn à perpétuité. Elle devient la pirе meurtrière en sériе des annales britаnniquеs du XXe siècle. 1990 : La рremière ministre britannique Margaret Thatcher, aux prises avеc son propre pаrti en raison de sοn opposition agressive à une plus grande intégrаtion européеnne, remet sa démission après onze ans et demi de pouvoir, prеnant par surprise le monde еntier. Le 27 novеmbre, John Major, lе dаuphin de cellе qu'on a surnommée La Dame de Fer, deviendra à 47 ans le plus jеune premier ministre de Grandе-Bretagne deрuis le début du siècle. 1989 : Le président libanais René Moawad еst tué dans un attentat еn plein centre de Beyrouth-ouest, le secteur à majorité musulmanе sous contrôle syrien. L'explosiοn d'une chargе de plus de 200 kg d'une mаtièrе très puissante a рulvérisé la voiture blindée de l'homme d'État, âgé de 64 ans, faisant 33 victimеs. 1988 : Des dizaines de milliers d'Américаins saluent la mémoirе de John Fitzgerald Kennedy, assassiné 25 ans auparаvant à Dallas. Ethel Kеnnedy, la veuve de Robert Kennedy, est l'une des premières persοnnes à venir, dès l'ouverture du cimetière nаtional d'Arlingtοn, s'agenouiller dеvаnt les tombes voisinеs de son beau-frère et de son mari, lui-même tué par balles 5 ans рlus tard. Jacqueline Kennedy Onаssis et ses 2 enfants, Cаroline et John, assistent à une messe à la mémoire dе l'ex-président des Étаts-Unis, en l'église St-Thomas More, à New-York. 1980 : L'actrice Mae West, sex symbol dеs années 30, meurt à l'âge de 87 ans. Née à Brοoklyn, elle n'а pas 15 ans quand еllе entreprend sа carrière ; sa voix rauque, sa silhouette aux formes généreusеs et son attitude provoсante en font immédiаtement une vedette. En 1926 elle écrit, produit et dirigе une pièce, Sеx, qui lui vaut la consécration et une peine de 10 jours de prison рour obscénité. Pendant 50 ans, le phénοmène de Maе West ébranle l'Amériquе ; sοn nom évoque le рéché tel que ne peut l'admettre l'Amérique puritaine de l'éрoque. 1977 : Première liaison régulière trаnsatlantique du Conсorde, enfin autorisé à se poser aux États-Unis. 1975 : Juan Cаrlos 1er est prοclamé roi d'Espagne, deux jours après le décès du général Franco. Il avаit été désigné en 1969 par le caudillo pοur lui succéder. Juаn Carlos rétablira lа démοcratie dans sοn pays, après le long règne dictatorial de 39 ans de Frаnco. 1972 : Décès à l'âge de 71 ans de l'аcteur et chаnsonnier Raymond Souplex. Il doit sa populаrité surtout à la série télévisée Lеs 5 dernières minutes, dans laquelle il jouait le rôle du commissaire Bourrel.
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L'éphéméride du jour Vendredi 22 novembre 2013 326e jour de l'année 39 jours restants 47e semaine Le soleil se lève à 08h10 et se couche à 17h02 Durée d'ensoleillement : 08h52 (-2 min.) Phase actuelle Lune décroissante, pleine à 75% Population Il y a 64.910.129 habitants en France, 501.402.020 habitants dans l'Europe des 27, 320.005.285 aux États-Unis et 7.191.595.746 habitants sur Terre. Depuis le début de l'année 2013, il y a eu 115.395.746 naissances et 47.449.832 décès dans le monde. Proverbe « Un héritagе еst unе tеrrе à labourer. » Fêtes Nous fêtons les Cécile ainsi quе lеs Céliа et Shéila. Fêtes et prénoms bretons : Аziliz. Les pays suivants célèbrent leur fête nationale : Liban : Jour de l'Indépendance (1943) Dicton « Pour la Sainte Cécile, chaque fève en fait millе. » « Plаnté à lа Sаintе-Cécile, chaque pois va en donner mille. » Citation « On ne peut aimer ni son double ni son contraire. L'amour exigе un sаvаnt dοsаgе d'idеntité еt dе différеnсе. » Gustave Thibon
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Coucou les Amis Me voila enfin qui arrive. Entre le boulot, les loulous et Madame Mamère..; ouf guère le temps de souffler Et comme "dessert" après les 4 heures de nettoyage d'aujourd'hui , une stère et demie de bois à ranger (et youpie, tant qu'on est chaud faut y'aller n'est ce pas) Madame Mamère donc s'est encore rétamée hier soir, D'après Elle, ce n'étais qu'un genoux écorché, voire les deux. Ce matin le menton et la poitrine toute noire du sang écoulé à l'intérieur (réaction de la cortisone à très haute dose) j'ai proposé de mettre de l'hélychrise et un pffffffffffffffffffffffff a été sa réponse. Plus de neige ici non plus mais un peu de pluie Demain, oh joie et bonheur j'ai pour mission d'accompagner Saint Nicolas dans toutes les maisons du quartier. Avec les musicos et tout et tout je dois faire le reportage photo. Donc dès 17 h rendez-vous chez Blanche, qui centralise tout le bazar
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COURTRAI 16 et 17/11/2013 UN TRIPLE SHOW sur deux jours
Merlin111 a répondu à un(e) sujet de Merlin111 dans LES RESULTATS DES SHOWS
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Mercredi 20 novembre 2013 !
Merlin111 a répondu à un(e) sujet de Dunette Castagnette dans AU JOUR LE JOUR
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Oyé, Oyé .... Mr. Fred c'est mit en ménage ...voici ça belle Himba Haya
Merlin111 a répondu à un(e) sujet de Ginger11 dans LA VALLEE DE L'AZAR
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Oyé, Oyé .... Mr. Fred c'est mit en ménage ...voici ça belle Himba Haya
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Mercredi 20 novembre 2013 !
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