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Marine-perruche

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Tout ce qui a été posté par Marine-perruche

  1. Les gens sont tellement conditionnés à voir des oiseaux en cage que ça ne les choque pas. Il y a 5 ans quand j'ai dis à ma mère "tu trouves ça normal toi des oiseaux en cage" ? Elle m'a répondu "ce sont des oiseaux, c'est normal qu'ils soient en cage". C'est là que je me dis qu'on pense vraiment mal. naturellement, nous aurions nous dire "ce sont des oiseaux, ils n'ont rien à faire en cage, ils ont besoin de liberté pour voler pleinement". Il y a un monde entre ce à quoi les gens se résignent et se satisfassent de penser, et la réalité pour l'oiseau.
  2. Ne peux-tu pas l'habituer à une phrase spécifique qui lui fera comprendre que tu reviens rapidement avec les augets pleines, du genre "je reviens vite (ou tout de suite) avec ta gamelle" et tu pars, tout en l'observant, et quand elle s'est moins énervée, à force d'entrainement, tu renforces. Peut-être va-t-elle assimiler ta phrase au fait que tu vas rapidement revenir avec des aliments, et en parallèle le fait qu'elle ne soit pas agressive, à la récompense 'une friandise qui plus tard sera directement le contenu des augets). Ce n'est qu'une idée, peut-être cela t'inspirera à une autre solution.
  3. Elle est vraiment trop mignonne Rebecca !! Bravo pour tous ces beaux efforts avec elle, l'entrainement porte ses fruits, et votre complicité s'améliore
  4. C'est aberrant comme argument "perroquet en cage, ça se voit assez souvent, qu'un dauphin dans une piscine". Beaucoup de personnes violent des femmes ou des enfants, battent leur conjoint(e)s, etc, ce sont des phénomènes ultra courants (une femme battue toutes les dix secondes dans le monde, une femme morte sous les coups tous les deux jours en France...). Pourtant, le fait qu'ils se voient souvent, se perpétuent, ne JUSTIFIE en rien leur existence. Cela ne justifie en rien les actes. Cela reste absolument anormal, injustifiable et inacceptable. Un exemple parmi les milliers qui discréditent complètement cet argument étroit, stéréotypé. Les gens devraient plutôt se dire que l'un dans l'autre, ça n'est pas normal ni acceptable un dauphin dans une piscine ou un oiseau dans une misère de cage. Avec cette polémique des 27 morts animales (cheveux, moutons, poules, dindes) dans les coulisses du tournage de Hobbits, mon ami me rétorque : "j'ai moins de compassion pour une dinde que pour un cheval" Je trouve cette pensée immonde. C'est une preuve de spécisme, d'indifférence, d'incompréhension, de ce qui est si différent de nous, qui porte à être indifférent face à la maltraitance, à l'exploitation et au meurtre. Ces propos là me dégoutent.
  5. Je suis super contente que tu ai enfin retrouvé Holly et qu'elle s’épanouit de nouveau
  6. Je ne pense pas non plus que la rationner soit la solution. Déjà, elle doit s'habituer de passer des graines aux extrudés, en soi, c'est un énorme travail qui va prendre du temps pour bien que son organisme s'habitue et qu'elle puisse retrouver un moyen de s'épanouir sur le plan alimentaire. Si en plus elle est rationnée, c'est trop lui en demander sur le plan psychologique. Favorise ses envols et déplacements, ainsi qu'un apport en fruits et légumes, en plus des extrudés
  7. Bienvenue parmi nous Léa, Le bois et les pousses de Bambou ne sont pas toxiques, tu peux en offrir à tes oiseaux N'hésites pas à nous présenter tes oiseaux en photos si tu le veux, Bonne soirée.
  8. Aujourd'hui, le couple MoÏ et Nuage : Moï fait la cours : Soleil : Ladie : Moï, pas content qu'on le prenne en photo, le plumage hérissé :
  9. Les copeaux sont également toxiques pour les rats (détruit le système respiratoire). Pour les oiseaux, ils sont souvent utilisés dans le nid, cependant ceux vendu dans le commerce sont souvent poussiéreux et je me demande s'il n'y a pas de meilleures solutions finalement. En litière il est déconseillé, le chanvre est bien plus idéal (non poussiéreux et absorbe 5 fois mieux).
  10. Voulez-vous créer une fiche espèce ? Nos conditions Afin de pouvoir créer une fiche espèce qui repose sur des informations correctes et au plus proche des besoins réels de l'espèce abordée, nous vous demandons d'utiliser notre trame, et d'appliquer nos recommandations sur les sources d'informations (le tout détaillé ci-dessous). Dans un premier temps, envoyez au préalable votre texte brut (pas de mise en page et de photos) à notre administratrice et correctrice Christiane, que vous pouvez contacter par MP de préférence (ou par mail) : Ensuite, Elle vous retournera votre texte relu et corrigé. Vous pourrez ainsi créer votre article en respectant la trame et nos recommandations. Une fois la mise en page correcte, les photos et les sources intégrées, sans oublier la mention [EN COURS DE VALIDATION] dans le titre, vous pouvez envoyer votre message. Enfin, notre équipe viendra valider votre article : la mention disparaitra et il sera intégré à la liste des fiches espèces. Notre trame Nous offrons la possibilité aux membres qui le souhaitent de créer une ou plusieurs fiches espèces, pour celles qui manquent, selon notre dossier : Liste des espèces de perroquets (psittaciformes) La trame Titre (ex Grand Éclectus (eclectus roratus roratus)) > titre, en arial black rouge, centré > nom vernaculaire puis nom latin entre parenthèses > mettre "EN COURS DE VALIDATION" avant le nom dans le titre, en attendant que la fiche soit validée (ex : EN CONSTRUCTION Grand Éclectus (eclectus roratus )) Photo illustrant l'oiseau en dessous du titre, centré Corps (texte) en justifié > Fiche technique : Nom scientifique : Nom anglais : Étymologie : Convention de Washington : Taille: Poids : Longévité : > Partie "à l'état sauvage", arial black, noir (ex : Vie à l'état naturel)et abordez d'où il vient géographiquement et comment il se comporte > Partie "en captivité", arial black, noir (ex : Vie en captivité) et abordez-y l'environnement, l'alimentation et le comportement. Sources photos et textes, italiques Nos recommandations : 1. Appuyez-vous systématiquement sur des sources fiables, comme par exemple le larousse (en ligne), oiseaux.net, des livres du genre "perroquets du monde", "parrots of the word" (Joseph M.), "le grand livre des perroquets" (Mario D.), "le guide ornithologue" (delachaux et niestlé), et de certaines fiches internet disponibles (le site de Johanne Vaillancourt, Wikipédia). 2. Favorisez toujours les magnifiques photos des membres qui se proposent plutôt qu'internet. Citez le site où vous empruntez la photo, et pas seulement "google image", qui n'est pas une source première. 3. Ne faites pas d'anthropomorphisme, restez objectifs et professionnel. Appuyez vos dires sur des comportements rapportés à ceux de l'état naturel. N'oubliez pas que la captivité et ses conditions de détention altèrent les comportements de nos oiseaux, et donnent une interprétation erronée de leurs besoins ou actions. 4. l'éthymologie, nom scientifique et nom Anglais, vous la trouverez dans le larousse encyclopédie en ligne : http://www.larousse.fr/encyclopedie/ Tapez dans google le nom de l'espèce et "larousse" et ce sera le premier lien 5. Soumettez-nous l'article en le postant, et une fois qu'il est révisé par un membre de l'administration, il est validé dans la session fiche technique. 6. et surtout et enfin, un grand merci pour vos recherches, vos écrits et votre travail pour nous aider à construire notre fichiers d'espèces, pour une meilleur compréhension de leurs comportements et leurs besoins.
  11. Ils sont adorables !!!!!! J'adore leur environnement, c'est splendide, et j'adore pouvoir les observer dans leur intimité, ils sont si confiants et à l'aise, c'est touchant !
  12. Merci Martin !! Mêmes recommandations, je te laisse compléter la fiche
  13. Merci beaucoup Cathy pour les photos Martin, Bon boulot pour la fiche !! j'ai fait mes révisions, voici mes recommandations : 1. Appuis-toi systématiquement de sources fiables, comme par exemple le larousse (en ligne), oiseaux.net, des livres du genre "perroquets du monde", et de certaines fiches internet disponible. 2. Favorise toujours les magnifiques photos des membres qui se proposent plutôt qu'internet. 3. Structure la fiche espèce en fonction des nôtres, c'est-à-dire : - titre en arial black centré rouge, - photo qui illustre - texte en justifié - fiche technique - à l'état sauvage - en captivité - sources 4. Je t'ai corrigé des erreurs de vocabulaire : (ton mot > le mien) sujet > individu : les oiseaux sont des individus, les sujets étant des êtres vivants sur lesquels on se donne tout pouvoir et on applique des expériences (sujets de laboratoire). maitre > humain ou propriétaire, dans la perception de l'oiseau, il n'y a ni ''maitre", ni "dominé", mais congénère, ou intrus. Nous sommes propriétaire, mais pas maitre. dressage > apprentissage (renforcement positif) ou éducation. Dresser c'est domestiquer, dompter, et ça ne sera jamais possible avec les psittaciformes. donner la douche > proposer la possibilité de se doucher. On ne fait pas d'anthropomorphisme, on donne la douche à son enfant, pas à son oiseau, à lui, on lui offre la possibilité de se doucher, il est indépendant, et le fera seul. 5. J'ai donc restructuré ta fiche et fait quelques révisions, penses à bien compléter la partie technique que je t'ai mis
  14. Je suis sincèrement désolé pour vous et titi. Seul une nécropsie t'éclairera le plus justement sur la cause du décès.
  15. Conure à cape noire (Pyrrhura rupicola) Nom scientifique : Pyrrhura rupicola, par Tschudi en 1844 Nom anglais : Black-Capped Parakeet, Rock Parakeet Étymologie : du grec purrhos = le feu, oura = la queue, du latin rupes = le rocher, du suffixe –cola = qui habite. Convention de Washington : Annexe II/B (CW/CE), globalement non menacée, "peu concerné, risque faible" par l'IUCN depuis 1988. Taille: 25 cm Poids : 75 grammes Longévité :25 - 30 ans A l'état naturel La Conure à cape noire occupe les plaines humides et les lisières de forêts jusqu'aux contreforts des Andes, jusqu'à 300 mètres d'altitude dans le centre-ouest de l'Amérique du Sud, dans l'est du Pérou, le nord de la Bolivie et l'extrême ouest de l'Amazonie brésilienne. C'est une espèce commune, les effectifs semblent stables, son habitat est relativement bien conservé et elle ne subit pas de pressions particulières. Dans le Manu National Park au Pérou sa densité est de 3 à 5 couples par km². Bien que relativement fréquent au sud-ouest du Pérou, il est pratiquement inconnu de la population. Pour cette raison, elle est très peu pourchassée. Les adultes atteignent 25 cm de longueur pour un poids de 75 grammes. Leur plumage est vert sombre avec le dessous des ailes rouge vif. Le plastron et cou sont gris sombre à noir avec une marge blanche sur chaque plumes. Le sommet de la tête est noir, aux joues vertes, le bec noir, et un petit cercle orbital blanc. La Conure à cape noire est représentée par deux sous-espèces : - Pyrrhura rupicola rupicola que l'on trouve au centre du Pérou. - Pyrrhura rupicola sandiae que l'on trouve au sud est du Pérou ainsi qu'au Brésil et dans une partie de la Bolivie. Captivité : Elle n'est pas rare en captivité, surtout en Amérique et en Europe, cependant, elle est plus régulièrement vu en collection publique qu'en zoo. Elle est reproduite assez régulièrement. Elle se reproduit volontiers, dans de bonnes conditions de détention, et pond de 4 à 8 œufs qu'elle incube durant 23 jours. Les jeunes prennent leur envol à 50 jours environ. En captivité, elles sont vives mais timides. Il sera nécessaire de leur offrir un apport régulier de branchages frais provenant de saule, noisetier ou arbres fruitiers. l'alimentation devra contenir un mélange équilibré de graines, de germinations, de fruits et légumes et de végétaux. En groupe, leur comportement est affectueux et social entre tous les congénères, comme avec le partenaire. Ce sont des oiseaux grégaires qui nécessites ainsi de vivre avec leurs compagnons, et qui ont besoin d'un environnement riche et libre. Sources : http://passionconure.forums-actifs.com/t13-conure-black-cap-pyrrhura-rupicola http://fr.wikipedia.org/wiki/Conure_à_cape_noire http://www.psitta.info/Psittacinae/Pyrrhura/rupicola/ http://www.larousse.fr/encyclopedie/article/Laroussefr_-_Article/11020917 http://www.oiseaux.net/oiseaux/photos/conure.a.cape.noire.html http://pyrrhuras.free.fr/?go=prupicola
  16. Super Tanguy, je rajoute ton reportage photo à notre article sur les idées recettes
  17. Marine-perruche

    Balade des rats

    Voici les dernières photos de Tit Bounty Un beau portrait chaleureux : Un gros dodo :
  18. Marine-perruche

    Grenade

    J'ai fais un article de ton post Christiane (du coup Margaux tu es tranquille) : http://www.perruches.org/t4008-toxicite-des-noyaux-et-graines-fruits-et-legumes-qui-produisent-du-cyanure
  19. Merci Martin pour ta fiche espèce Je relierai tout ça demain pour compléter et corriger s'il y a besoin. Faudra trouver une photo de mâle pour comparer le dimorphisme sexuel
  20. Marine-perruche

    Grenade

    Penses-tu pouvoir faire un article Margaux sur la toxicité des noyaux et pépins ? Je sais que tu manques de temps, donc quand tu auras un peu de disponibilités, et si tu veux, je t'aide à fournir des photos, et quelques explications (je ferai des recherches).
  21. Marine-perruche

    Grenade

    Tant mieux alors, sais-tu Margaux quels pépins sont toxiques et lesquels ne le sont pas (selon les fruits), et comment le savoir sans erreur possible (l'erreur ou le doute dans ce cas serait dangereux) ?
  22. Ara de Lafresnaye ou Ara à front rouge (Ara rubrogenys) Nom scientifique : Ara rubrogenys, par Lafresnaye en 1847 Nom anglais : Red-fronted Macaw Étymologie : mot tupi, du latin ruber = rouge, genys = la joue Convention de Washington : annexe 1/A (demande d'autorisation de détention) : danger d'extinction Taille: 60-66 cm Poids : 450-650 grammes Longévité : 80 ans A l'état naturel : L'Ara de Lafresnaye a un plumage à dominante verte avec le front, la couronne, les épaules et les culottes rouges. Les rémiges sont bleu azur. Le bec et les pattes sont entièrement noirs. Le cercle orbital de peau nue est clair. Cette espèce ne présente pas de dimorphisme sexuel. L’ara de Lafresnaye vit dans une zone très restreinte en Bolivie, sur le versant Est des Andes dans le centre-sud de la Bolivie, dans les zones montagneuses semi-arides, où poussent des cactus, des arbres épineux et des arbustes. Ils sont visibles de 1000 à 2500 mètres d’altitude, et ils peuvent se disperser localement jusqu’à 3000 mètres. Ils ont besoin de falaises près de l’eau pour pouvoir nidifier et dormir. L’ara de Lafresnaye vagabonde chaque jour en recherche de nourriture, et peuvent détruire les cultures locales, ce qui leur fait être la cible des agriculteurs. On les voit habituellement en couples ou en groupes familiaux, mais des groupes importants peuvent se rassembler. Ils dorment, en couple ou en groupe familiaux, dans des dortoirs communs, qu'ils abandonneront à l'aube, la nuit sur les façades des falaises. Au matin ils se posent sur des arbres proches de la zone de nourrissage pour émettre des vocalises et lisser leurs plumes puis ils volent d’un arbre à l’autre pour atteindre un lieu de nourrissage où ils sont actifs le matin et en fin d’après-midi. Ils boivent ensemble au bord des cours d’eau, après s’être nourris, avant de repartir se reposer durant les chaudes heures de la mi-journée, perché à l’ombre des arbres. En captivité : Ils sont peu courant en captivité, mais ciblé par un programme de reproduction très efficace en Europe et en Amérique. Ils sont très rare en Asie. Quant à l'alimentation, ils devront accéder à un mélange de graines qui convient. Il leur faut également des graines germées. Offrez leur des graines sauvages et mi-mûres, des verdures et des graminées sauvages. Ensuite, il est indispensable de leur fournir quotidiennement des fruits et légumes comme des pommes, des poires, des carottes, des épinards, de la mâche, etc. Enfin, pour leur environnement, il va de soir qu'il leur faut avant tout un ou des congénères. Puis, s'ils vivent en intérieur, une cage d'au moins un mètre cinquante sur 1 mètre, avec des sorties quotidiennes pour pouvoir voler. Ils ont un vol excellent et sportif, ils font des piquets, des voliges et des courses de longue durée. En extérieur, il leur faudra une volière d'au moins 3 mètres de long sur 2 mètres de large pour un couple. Cages et volières idéales pour nos perruches et perroquets Un environnement riche et libre pour votre perroquet Parcs et aires de jeux pour perruches et perroquets Sources : http://www.oiseaux-birds.com/fiche-ara-lafresnaye.html http://passion-perruche.lebonforum.com/t37-le-ara-de-lafresnaye http://fr.wikipedia.org/wiki/Ara_de_Lafresnaye http://www.oiseaux.net/oiseaux/ara.de.lafresnaye.html
  23. Perruche à masque écarlate - Conure mitrée (Aratinga mitrata) Nom scientifique : Aratinga mitrata par Tschudi 1844 Nom anglais : Mitred Parakeet, Chapman's Parakeet Étymologie : tiré du tupi arucatinga qui désigne une perruche. Du latin mitratus = couronné, qui porte une mitre Convention de Washington : annexe II de la CITES Taille: 38 cm Poids : 200 à 260 grammes Longévité : 20 ans La conure mitrée a son front rouge foncé allant former un masque englobant ses yeux, ses joues, son cou et ses lores rouge clair jusqu’au vert sur le reste de son crâne. Puis, la couleur générale du corps est verte. Sous-espèces : A. m. alticola (Chapman 1921) - Conure mitrée de Chapman Répartition: les environs de Cusco au Pérou. Taille: 37 cm. Ressemble à la forme nominale, mais la couleur générale du plumage est plus foncée surtout sur la couverture alaire. Le rouge est plutôt rouge foncé mais est limité au front avec quelques petites plumes rouges dans les environs des lores, autour des yeux et sur les côtés de la tête. A. m. mitrata (Tschudi 1844) - Conure Mitrée Répartition: Le centre du Pérou sur le versant Est de la cordillère des Andes, le sud du centre de la Bolivie jusqu’à l’ouest de l’Argentine. Nom et caractéristiques: forme nominale A l'état naturel : On la trouve dans les forêts humides, à leurs lisières et dans les zones cultivées des Andes, entre 1000 et 2600 mètres d'altitude dans l'ouest de l'Amérique du Sud, au Pérou, en Bolivie et dans le nord-ouest de l'Argentine, pour la sous-espèce mitrata, et dans les Andes péruviennes, entre 2800 et 3400 mètres d'altitude pour la sous-espèce alticola. En captivité : L'espèce était autrefois commune et désormais extrêmement rare en captivité, présentée dans moins de dix collections, principalement en Europe. La sous-espèce tucumana semble être la plus commune. Ce sont des oiseaux solides qui supportent même le froid léger, vivants et joueurs de nature, mais restent néanmoins farouches et peu confiants. Les jeunes oiseaux s’habituent assez vite au soigneur et deviennent assez confiants avec le temps. Ils sont très fidèles en couple, et entreprennent tout ensemble (voler, se nourrir, s’abreuver, et se baigner. Ils dorment à l'année au nid. Ils ont des tendances à mordiller et seront naturellement bruyants. Quand à la reproduction, elles ne se reproduisent pas avant d'avoir 2 ans minimum. La femelle pondra entre 3 et 5 œufs qu'elle couvera seule pendant 23 jours. Les jeunes resteront au nid pendant 7 à 8 semaines et seront indépendants trois semaines après la sortie du nid. Alimentation Pour commencer elles devront accéder à un mélange de graines qui convient, dans lequel nous trouvons du blé, de l’orge, de l’avoine, du riz paddy, du dari rouge et blanc, du millet blanc, du niger, du sarrasin, du chanvre, du safran, de l'alpiste, du gruau d'avoine, du sésame, et du lin. Il leur faut également des graines germées. Offrez leur des épis de maïs, des épis de blé et d’avoine, des graines sauvages et mi-mûres, et des graminées sauvages. Ensuite, il est indispensable de leur fournir quotidiennement des fruits et légumes comme des pommes, des poires, des carottes, des épinards, de la mâche, des sortes de baies d’aubépines, et des baies de rosiers du Japon. Environnement : Elles doivent pouvoir vivre en communauté, c'est-à-dire avoir au moins un ou plusieurs congénères. S'ils sont en intérieur, consacrez-leur une cage d'au moins un mètre de long sur 60 cm de large pour un couple, avec des sorties quotidiennes dans une aire de jeux pour explorer et s'épanouir. Si elles vivent en extérieur, consacrez-leur une volière d'au moins deux mètres de large sur deux mètres de long, pour 2 à 4 congénères. Cages et volières idéales pour nos perruches et perroquets Un environnement riche et libre pour votre perroquet Parcs et aires de jeux pour perruches et perroquets Sources : http://www.larousse.fr/encyclopedie/article/Laroussefr_-_Article/11020996 http://www.psittaciformes.nl/docs/fran/andere/La perruche � masque �carlate ou conure mitr�e.htm http://les-animaux-du-monde.wifeo.com/conure-mitree.php http://www.photozoo.org/main.php?g2_itemId=19271
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