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Marine-perruche

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Tout ce qui a été posté par Marine-perruche

  1. Bonjour Stéphanie, Contente de te lire ce matin, au moins ils sont allez voir le véto et avec l'antibio à large spectre toutes les infections respiratoires seront éliminés. En parallèle apportes leur une cure de vitamines d'au moins 15 jours 3 semaines car cela va fragiliser leur système immunitaire. En a-t-il profité pour un petit coup de vermifuge (une goutte d'ivomec, ivermectin ou sélamectine ?)pour éviter le risque de parasites des voies respiratoires ? Le mien ne manque pas ce petit rappel qui ne fait pas de mal. Si tu as l'occasion pour une prochaine fois, parles lui en
  2. J'appuie les dires d’Éric, il faut cesser de réflechir de manière aussi primaire et destructrice, à toujours vouloir éradiquer, touer, sans se soucier de la souffrance animale et de l'injustice que l'on engendre. Qui a décidé que la vie d'un animal ne valait pas autant qu'une vie humaine ? qui a décidé qu'un animal pourvu d'émotion et de conscience de soi ne méritait pas la vie et le respect que tout être humain a lui même envie de recevoir ? Il y a bien des humains dans la rue qui par contact pourrait te transmettre une maladie mortelle, ce n'est pas pour ça qu'on les capture et qu'on les gaz (comme on fait avec les pigeons des villes ou les rats), ce n'est pas pour cela qu'on dépose un poison qui va les faire agoniser durant des heures. Mais qui sommes nous pour nous permettre de décider de la mort et sde la maltraitance d'autrui? Il faut se réveiller, nous n'avons aucun des droits de mort et de souffrance que nous nous octroyons. Et personne ne voudrait que quelqu'un puisse les avoir sur nous et décider de notre sort. Brave décision Nelly Les ultrasons sot très polémiqué car les gens ne savent pas s'en servir et les mettent en continu, alors qu'il ne faut pas, les rats état difficiles à duper sur l long terme. Si vraiment tu es envahis par les rongeurs, prends contact avec une société qui vend des systèmes de répulsifs passifs, qu'il t'informe convenablement. Nos grands mère utilisent également des répulsifs naturels comme certains végétaux, mais je ne sais plus lesquels qui font fuir les rongeurs. Le système d'attraper rongeur est génial aussi, tu as raison mellie ils se vendent en grande surface mais principalement en animalerie. Il y a différentes tailles, la taille souris, mulots, etc et rats, voir plus gros.
  3. Le comportement des psittacidés et ses troubles Par Isabelle Christiane QUEMIN La thèse en entier : http://theses.vet-alfort.fr/telecharger.php?id=453 Je vous propose un résumé personnel de cette thèse qui est extrêmement enrichissante au sujet des comportements normaux de nos psittacidés dans leur état naturel, en comparaison avec les troubles du comportement typiques liés aux conditions de détention. Isabelle Christiane QUEMIN nous propose une thèse sur les troubles du comportement des perruches et perroquets liés à la captivité. Pour cela elle aborde dans une première partie les origines des psittacidés, les différents genres et espèces, la règlementation en vigueur ainsi que le choix d’un compagnon idéal et adapté à notre mode de vie, avec différents critères de sélection. Puis elle aborde le cœur du sujet en seconde partie avec les comportements normaux que nos perroquets ont à l’état sauvage. Ensuite elle aborde les troubles du comportement récurrents chez les perroquets captifs et elle met en avant les causes : des conditions de détention inappropriées, le comportement inadapté de l’humain envers son perroquet, etc. Dans une dernière partie elle aborde les axes d’amélioration des conditions de vie pour réduire voir faire disparaitre les troubles du comportement. Enfin, elle aborde la thérapie comportementale et en dernier recours le traitement médical. Le cadre de vie des hommes est bien différent de celui des oiseaux à l’état naturel, ce qui entraine beaucoup de contraintes environnementales et sociales sur nos animaux de compagnie et en particulier nos oiseaux. L’environnement captif que nous leur imposons devient pour le perroquet rapidement anxiogène, c’est-à-dire qui provoque l’angoisse, l’anxiété, en résumé, des émotions néfastes sur court et long terme, qui provoquent les comportements stéréotypés. I. les origines des psittacidés et le choix d’un compagnon de vie Le perroquet est hautement adaptable aux situations et à l’environnement, mais nos conditions de détention sont tellement difficiles et inappropriées à leurs besoins que leurs capacités d’adaptation sont rapidement dépassées. C’est pourquoi avec le temps nos perroquets développent des comportements déviants, un état de d’angoisse et de mal être. Ces états allant de mal en pire si l’humain ne se rend comte de rien ou n’y répond pas, et le perroquet ne trouve comme seule solution d’apaiser sur court termes ses angoisses un comportement souvent autodestructeur qui deviendra addictif. C’est le cas du picage. Sinon, il développera des comportements qui fonctionneront en terme de réponse attendue (de l’attention) de la part du maitre : c’est le cas de l’hyper-vocalisation et des morsures (ça vous fait réagir ça…). Nous aborderons en détail ces troubles en dernière partie. L’histoire des perroquets dans le monde de la captivité : le début des erreurs (Extrait de la thèse) C’est à partir de l’époque ptolémaïque (360 av. J.C.) que des hiéroglyphes représentant des perroquets sont apparus en Egypte. L’introduction des premiers perroquets vivants en Europe date de l’Antiquité, puisque c’est le pilote Onésicrite, de la flotte d’Alexandre le Grand, qui, le premier, rapporta des Perruches à collier, encore appelées Perruches d’Alexandre. Par la suite, Alexandrie devint un important marché aux perroquets. Les Latins les nommèrent Psittacus, car certains de ces oiseaux furent rencontrés près de Sittace, en Assyrie. Le naturaliste romain Pline l’Ancien (23-79 ap. J.C.), lui, décrivit une technique d’apprentissage de la parole aux Perruches à collier. L’intérêt des Européens pour les perroquets se réveilla ensuite au Moyen-Age, grâce aux Croisés qui rapportèrent des spécimens d’Afrique. Les rois, princes et courtisans les exposaient dans de somptueuses cages comme symboles de leur richesse et de leur pouvoir. A partir du XIIe siècle, les grands explorateurs, dont Marco Polo, rapportèrent des perroquets de plus en plus nombreux d’Afrique et d’Extrême-Orient. Avec l’exploration du continent américain, des espèces inconnues jusque-là, les Aras, furent importées en Europe. Au XVe siècle, de ses expéditions au Nouveau Monde, Christophe Colomb rapporta des Aras et des Amazones. Il offrit même à la reine Isabelle d’Espagne un couple d’Amazona leucocephala. Enfin, la découverte de l’Australie à la fin du XVIIIe siècle permit aux Européens de connaître la Perruche ondulée, les Cacatoès, et les nombreux autres perroquets australiens. Après son voyage en Australie débuté en 1938, le naturaliste John Gould écrivit un recueil richement illustré : « The Birds of Australia ». L’engouement pour ces superbes oiseaux ornementaux fut tel que les importations massives de perroquets sauvages sur les marchés européens participèrent à la disparition de certaines espèces et que d’autres sont menacées d’extinction. Le marché est aujourd’hui réglementé. De nombreux pays, dont l’Australie, ont interdit les exportations pour sauvegarder les espèces menacées. L’Europe, quant à elle, a limité l’importation de spécimens sauvages qui risqueraient d’être porteurs de maladies pouvant décimer les oiseaux d’élevage. Les oiseaux maintenant disponibles sur le marché sont pour la plupart issus de l’élevage. La règlementation autour des psittacidés : http://www.perruches.org/t186-la-convention-de-washington-cites Du perroquet sauvage au perroquet captif (Extrait de la thèse) De la liberté à la captivité Ces oiseaux sont sauvages. Ils sont nés et ont été élevés dans leur habitat naturel avec leurs parents. Ces derniers leur ont appris comment survivre : comment se nourrir, comment choisir un conjoint et s’occuper de sa progéniture, et comment se défendre des prédateurs (dont l’homme fait partie). Pour se retrouver dans une cage d’exposition en oisellerie, ils sont capturés plus ou moins brutalement par des « prédateurs », ce qui signifie bien souvent pour eux la mort à brève échéance. Ensuite, ils sont parqués et expédiés vers les pays importateurs avec de nombreux autres oiseaux d’espèces et d’origines différentes, dans des conditions telles (forte densité animale, stress, manque d’eau et de nourriture, emploi excessif d’antibiotiques), qu’un grand nombre d’entre eux décèdent avant l’arrivée. Par ailleurs, certains de ces oiseaux proviennent de la contrebande. En animalerie, on peut trouver deux sortes d’oiseaux sauvages. Les bébés capturés dans la nature puis nourris à la main, et les perroquets capturés adultes. Lors du transport, les adultes sont plus robustes que les bébés, mais ils s’apprivoisent rarement. Ce sont des oiseaux stressés, qui ne sont pas habitués à la présence humaine. Ils sont généralement très difficiles à apprivoiser, et demandent beaucoup de patience de la part du nouveau maître. Ils ont besoin de beaucoup de temps pour s’habituer à leur nouvel environnement. Psittacidés élevés en captivité L’alternative à la capture dans le milieu naturel est la production de Psittacidés destinés à vivre chez un particulier. Il existe de plus en plus d’élevages de ces oiseaux, certains produisant même d’excellents spécimens. Cependant, même apprivoisés, les oiseaux exotiques d’élevage restent des animaux sauvages, avec un instinct sauvage. Ce ne seront vraisemblablement jamais des animaux domestiques comme le sont la poule, le chien, ou le chat. Déroulement de l’élevage Dans un certain nombre d’élevages, les oisillons sont nourris par l’homme, à la main. Les parents des sujets commercialisés, eux-mêmes, sont souvent nés en captivité. Mais il est rare que la génération précédente l’ait été. Les oisillons sont ensuite retirés du nid, juste avant que leurs yeux ne s’ouvrent. Ainsi, l’empreinte se fera avec le premier être vivant qu’ils verront : l’homme. Par la suite, ces oisillons seront bagués et souvent manipulés. Ils seront nourris plusieurs fois par jour, à la main. Le nourrissage à la main des bébés perroquets doit être effectué par des personnes qualifiées, car un nourrissage traumatisant pourrait altérer définitivement les liens établis entre l’oiseau et son futur propriétaire. D’autres élevages privilégient, quant à eux, l’éducation parentale. Les oisillons sont laissés avec leurs parents, jusqu’au sevrage. Cependant, l’éleveur vient très régulièrement les manipuler, les parents devant être habitués à de fréquentes inspections. Une étude, concernant des perroquets d’Amazonie, a montré que quinze à trente minutes de manipulation quotidienne des bébés de plus de douze jours, élevés par leurs parents, produisait de jeunes perroquets bien apprivoisés. Avantages de l’élevage Ces oisillons, issus de l’élevage, seront apprivoisés et bien adaptés à un environnement domestique. Ils seront, de plus, très bien habitués à l’homme, et ne le craindront pas, puisqu’ils se prendront eux-mêmes pour des hommes (suivant le phénomène d’imprégnation). Ils donneront donc moins de coups de bec pendant le dressage. Ces oiseaux d’élevage feront généralement de meilleurs compagnons que leurs congénères sauvages. Leurs habitudes alimentaires sont fondées sur l’imprégnation : ils mangent ce que les parents leur donnent, ou ce qu’ils mangent eux-mêmes. Par conséquent, il est plus facile, dans un élevage, de leur faire goûter des aliments variés, contrairement aux oiseaux provenant du milieu naturel, qui ont été habitués à un certain type d’aliment, et qui se méfient de ce qu’ils ne connaissent pas. En ce qui concerne la reproduction, on pourrait croire que l’imprégnation à l’homme pose quelques problèmes (désir d’accouplement avec l’homme, notamment), mais la plupart du temps, les influences physiologiques sont dominantes, et ces oiseaux peuvent avoir un comportement reproducteur tout à fait normal. Certaines performances sont parfois même meilleures chez ces oiseaux élevés à la main, car ils ne sont pas dérangés par la présence humaine. Inconvénients de l’élevage Moins craintifs, ils poseront cependant d’autres problèmes, certaines caractéristiques nuisibles de l’espèce s’extériorisant davantage : destruction du mobilier, hurlements, poursuites vindicatives et morsures. L’imprégnation, dont il est question plus haut, possède certains effets pervers. Quelques oiseaux, élevés à la main, souffrent de divers vices, dont l’anxiété de séparation, la masturbation, ou encore la ponte chronique, etc. Ces oiseaux, certes plus faciles à manipuler pendant leur jeunesse, peuvent toutefois devenir très agressifs lorsqu’ils atteignent la maturité sexuelle, ainsi que pendant la saison de reproduction qui lui fait suite. Les oiseaux élevés par leur parents, quant à eux, deviennent généralement de meilleurs reproducteurs que les autres, peut être parce qu’ils ont profité, justement, de l’enseignement prodigué par les parents. Aux Etats Unis, ce phénomène est problématique car de nombreux perroquets de compagnie, devenant indésirables, sont placés dans des centres de reproduction où leurs performances en tant que reproducteurs ne sont malheureusement pas meilleures que leurs performances en tant qu’animaux de compagnie. Les gens qui acquièrent des perroquets comme des perruches n’ont pas conscience du besoin d’espace des espèces et les spécificités environnementales et alimentaires ainsi que la perpétuelle nécessité d’enrichissement du milieu. Le choix de l’espèce est essentiel et souvent trop négligé. Car en fonction de l’avenir que l’on souhaite offrir à nos oiseaux, en volière externe ou en oiseau de compagnie d’intérieur, certains critères seront indispensables : la capacité de vocalisation et la portée des cris pour le voisinage par exemple. Certaines espèces ne seront pas faites pour la vie en intérieur, ayant trop de besoins d’espace et d’éléments naturels, avec moins de capacité d’adaptation. Il faut également réfléchir au budget disponible, car la détention de psittacidés est très couteuse, ainsi que certaines espèces seront extrêmement exigeantes et onéreuses. Ensuite, il faut penser à votre disponibilité car ils nécessitent de beaucoup de soins et d’attention, car trop de vos perroquets souffrent de l’ennui et de problèmes de comportement, dû à la négligence. Il faut aussi penser à l’espérance de vie du perroquet. Certains vivront 60 à 80 ans et se verrons changer plusieurs fois de propriétaires, autant de deuils et de difficultés d’adaptations à subir. Il faudra donc songer à organiser une relève après vous. Enfin, pensez aux cohabitations et au peu d’espace dont vous disposez, privilégiez peu d’espèces et peu d(‘individu pour maximiser leur bien être, et non l’inverse. Toutes les espèces ne sont pas compatibles pour cohabiter ensemble, et trop de blessures et mises à mort surviennent à cause de l’ignorance de leur propriétaire. II. le comportement naturel du perroquet à l’état sauvage La vidéo « l’Australie, le pays des perroquets » vous illustrera cela à merveille, ainsi que l’extrait de la thèse sur les comportements naturels Ce lien vous démontrera leurs conditions de vie ainsi que leurs besoins : www.perruches.org/t578-perruches-et-perroquets-d-australie-a-l-etat-naturel?highlight=australie Le sevrage ne correspond pas systématiquement pour les jeunes au départ du nid. Chez plusieurs espèces de perroquets, en effet, et notamment celles de grande taille, les petits peuvent rester jusqu’à deux ans avec leurs parents. Cette longue période de vie en famille, destinée à socialiser les jeunes, est mise à profit pour l’apprentissage de la vie en société, et de tout ce qu’ils ont besoin de savoir des soins à apporter a leurs futures nichées, ainsi que des règles de survie. Cependant, chez les espèces très prolifiques, comme les Perruches ondulées, les petits sont rapidement chassés du nid après le sevrage. Les mâles adultes peuvent même être particulièrement agressifs envers les jeunes mâles. III. Les troubles du comportement liés à la captivité A suivre...
  4. Vraiment mignonnes !! Cependant leur plumage n'est pas dans un état adéquat. Elles manquent visiblement d'espace, ta volière intérieur n'est pas adaptée aux croupions qui ont besoin de beaucoup d'espace, de branches à gruger et fouiller (des les verdures) ainsi que la lumière naturelles. Ce sont des espèces qui ont vraiment besoin d'espace, de lumière et de "nature" on va dire, c'est pourquoi les éleveurs expérimentés leurs construisent des volières extérieurs dont elles savent pleinement profiter et ils les rentrent en volière intérieur l'hiver. C'est dommage une si belle espèce dans une petite volière.
  5. Je tenais à reprendre quelques éléments : 1 - quelque soit l'espèce, les oiseaux ont été conçu pour voler, c'est peut être rétro, mais c'est génétiquement et éthologiquement vrai. Comme nous te le précisions, Les Gould ont besoin d'espace pour pouvoir voler plusieurs battements d'ailes d'un perchoir à l'autre, c'est bien une volière qui leur faut. 2 - Les Goulds ne sont pas fait pour cohabiter avec des Touis ou n'importe qu'elle autre espèce, même si c'est avec une séparation. Ils ont besoin d'une large volière à eux tous seul, et de calme, et de constance, ainsi qu'une hygiène impeccables. Ils sont sujets au stress et ont donc besoin de calme et de sécurité. Je pense que nos conseils t'aiderons à comprendre la qualité d'environnement que tu te dois de leur fournir, pour leur bien être Bonne soirée.
  6. L’apprentissage référentiel des mots chez le gris du Gabon L’apprentissage référentiel des mots chez le gris du Gabon Par Franck Péron - La thèse complète : http://theses.vet-alfort.fr/telecharger.php?id=1214 Je vous propose un résumé sur la thèse concernée, reprenant chaque partie. Dans un premier temps nous aborderons la communication et le langage dans le monde animal. Puis nous entamerons le choix du modèle (Gris du Gabon, sur l'exemple d'Alex) et l'approche expérimentale avec les méthodes d'apprentissage. Enfin, nous aborderons les résultats de l'expérience, nous ferons un différentiel avec ceux de Irène Pepperberg, en observant les limites et explications possibles. M. Péron commence la thèse avec une définition de la communication et une approche de celle-ci à travers différentes espèces. Certaines espèces animales sont capables de renseigner à travers leurs techniques de communication (gestes, postures, cris d’alertes, vocalisations spécifiques) leurs congénères sur différents sujets possibles : l’approche ou la présence d’un prédateur, la découverte d’un point d’eau ou d’alimentation et combien, etc. C’est le cas chez les chiens de prairies, les suricates, les marmottes, les singes vervets, els corbeaux et les perroquets par exemple. Des expériences ont pu révéler l’apprentissage du langage, comme l’utilisation du langage des signes chez les singes (chimpanzés ou singes anthropomorphes), ou comme l’utilisation et l’évolution d’un langage culturel (spécifique au groupe) chez les psittacidés. De plus, on constate une catégorisation des éléments du langage, ce qui se révèle être une conduite adaptative (et cognitive) fondamentale. Cela consiste à regrouper des éléments (objets, aliments) en fonction de leurs caractéristiques communes : caractéristiques perceptibles (similarité de couleur, forme, texture), fonctionnelle ou conceptuelle. C’est le cas des abeilles, des babouins, des primates anthropomorphes et des perroquets (révélé grâce à Alex le Gris du Gabon de Irène Pepperberg, et ses nombreuses études). Cette catégorisation se fait plus aisément à travers les mots, ainsi il s’avèrerait que le langage facilite cette capacité cognitive. Aspect neuroanatomique du comportement vocal Les perroquets sont aptes à apprendre tout au long de leur vie. Tout comme le langage humain, les perroquets présentent dans leur apprentissage des phases de babillage où ils émettent de nombreuses vocalisations. Ces entrainements et vocalisations sont renforcés par les stimulations et interactions avec les congénères et l’environnement. Les espèces de perroquets aptes à l’apprentissage des mots partagent des structures du cerveau similaire. Le syrinx joue un rôle essentiel dans l’émission des sons, mais les mouvements de leur lange également. Les capacités cognitives du Gris du Gabon avec Alex, de I. Pepperberg Le site de la Fondation I. Pepperberg : http://www.alexfoundation.org/dr_irene_pepperberg.html Irène Pepperberg et son équipe ont réalisé bon nombre d’études sur les capacités cognitives des psittacidés, avec Alex (et d’autres), un Gris du Gabon, à travers l’apprentissage des mots pour communiquer. Il a ainsi su nommer des objets et aliments et faire le lien entre le mot et sa fonction. Il avait su catégoriser les objets par texture, couleur forme, utilité, etc. De plus, il avait acquis la notion d’absence, et de la durée de cette absence (5mn, quelques heures ou une journée d’absence de son humain par exemple), notion repris et travaillé par Johanne Vaillancourt afin de permettre à nos perroquets de compagnie d’anticiper nos actions et de mieux supporter nos absences. Il a su compter jusqu’à 6, et a comparer les objets entre eux (en terme de taille par exemple). Enfin, il pouvait en plus de catégoriser les objets/aliments, les décrire, mais également décrire un évènement. Grâce aux différentes approches expérimentales, nous savons désormais que le langage et son évolution n’est plus une exclusivité de l’être humain. Les chimpanzés communs et les pygmées ont appris à se servir du langage des signes, les perroquets ont appris à se servir des mots. D’autres études ont révélé la capacité de plusieurs espèces à comprendre le langage humain, comme chez le chien et le dauphin. Les méthodes d'apprentissage des mots Il apparait que les interaction et l’enrichissement de celles-ci comme du milieu sont essentiels dans l’apprentissage des mots et l’évolution du langage. La présence d’un modèle est important, tout comme la possibilité de visualiser des erreurs et leurs conséquences, tout comme les réussites et leurs conséquences (renforcement, méthode essai/erreur ou « modèle-rival » de I. Pepperberg). Tout cela permet au perroquet d’assimiler le mot et la fonction de celui-ci (un objet, un aliment, une émotion, un besoin) : c’est l’apprentissage référentiel. L’étude de M. Péron utilise l’apprentissage des mots de manière référentielle. Les méthodes utilisé reposent sur le Behaviorisme, qui dit que le langage est issu d’un processus de conditionnement. L’étude utilise donc le renforcement, à travers 4 méthodes d'apprentissage : - La méthode « modèle-rival » d’Irène Pepperberg - La méthode « intuitive » - La méthode « répétition-association » - La méthode de « diffusion » La méthode « modèle-rival » d’Irène Pepperberg Un expérimentateur joue le rôle de l’enseignant, l’autre , l’élève, se fait interroger sur le nom de l’objet et sa prononciation correcte, celle-ci, récompensé par des félicitations et l’item lui-même (aliment, objet) (renforcement). Cela lui permet également de comprendre la valeur fonctionnelle de l’objet. Le perroquet est sollicité par l’enseignant mais a également la possibilité de spontanément se manifester. Enfin, les contacts visuels sont renforcés, pour apporter une interaction importante lors de ces exercices. La méthode « intuitive » Il faut désigner l’item avec qui le perroquet et l’expérimentateur interagissent. Tout d’abord le perroquet observe l’expérimentateur agir avec l’item, puis le perroquet accède à l’item, ce qui permet d’obtenir plus fortement le caractère référentiel de l’objet mais les interactions sont moins riches puisqu’un seul expérimentateur est impliqué. La méthode « répétition-association » Cela se produit en deux étapes. Tout d’abord, l’expérimentateur répète plusieurs fois le mot sans que le perroquet voit l’item, afin de s’assurer que le perroquet est concentré. Il y a un fort contact visuel, mais également des intonations et des changements de rythmes dans la voix. Les aspects référentiels et fonctionnels sont absents. Ensuite, le perroquet qui a assimilé le « mot » le répète. A chaque fois qu’il reproduit le bon mot, il reçoit l’item (aliment ou objet, donc renforcement) et reçoit également des félicitations (renforcement). Cela permet de faire l’association entre le mot et l’objet, les caractères référentiels et fonctionnels sont établis, et les interactions plus nombreuses. La méthode de « diffusion » Cette méthode est également en deux étapes. La première consiste en un enregistrement des mots familiers sur une bande son, avec ou sans intonations, qui est diffusée chaque soir durant une heure au perroquet. Il n’y a aucune interaction interspécifique. Ensuite, le perroquet qui répète un mot de l’enregistrement se voit recevoir l’item et reçoit également des félicitations (renforcement). Cela permet de faire l’association entre le mot et l’objet, les caractères référentiels et fonctionnels sont établis, et les interactions plus nombreuses. Résultats de l’expérimentation Suite aux expériences, il s’avère qu’il n’y a pas que la technique de Pepperberg (modèle-rival) qui permet l’apprentissage référentiel des mots chez le Gris du Gabon. Il s’avère que la méthode « répétition-association » fonctionne également. Cependant, cette expérimentation globale n’a pas permit le même succès que l’expérience d’Irène Pepperberg. Les résultats ont été moins concluants et les mots validés moindre. Cela peut s’expliquer par rapport aux conditions de détention et l’environnement des Gris du Gabon concernés par l’expérience. M. Péron a offert aux trois Gris du Gabon de l'expérience une grande volière où ils disposaient libre entre eux, avec une enrichissement tant sur le plan alimentaire que sur le plan environnemental (des jeux et surtout du foraging lors des repas). Il n'a pas taillé leurs ailes et les expériences se passaient dans la volière sur la partie réservée, ainsi les gris gardaient le libre arbitre de s'envoler et quitter un exercice. Il aurait pu y avoir des défauts d’attention.. Pour Alex de Irène Pepperberg et ses autres Gris, c'est tout de même plus stricte et à mon gout un peu triste. Ils avaient les plumes d'ailes coupées, ils dépendaient ainsi de l'humain pour se déplacer et obtenir quelque chose. Ils étaient séparés chacun dans une cage et n'avaient aucune possibilité d'interactions entre eux. De plus, pour pouvoir manger ou obtenir quelque chose (objet, une sortie etc) ils devaient le demander. les séances ont également été plus intensives. Les Gris avaient moins de possibilités de se déconcentrer. Enfin, elle répétait moins souvent mais permettait plus d’interactions. Également, l’absence de résultats pour Zoé peut s’expliquer par son âge et ses perturbations hormonales, elle atteignait l’âge de maturité et avait un taux élevé de certaines hormones sexuelles. L’âge des sujets n’a pas été remis en cause dans les résultats. De plus, l’intérêt des gris pour les items (objets et alimentation) s’est avéré être décroissant au fil des séances d’exercices. Alors que dans les premières dizaines de séances ils essayaient bon nombre de fois de répéter le nom de l’item, au fil de séances ils furent de moins en moins intéressé et n’essayaient plus de dire le mot, n’y voyant surement plus grand intérêt. Enfin, il y avait peut être un défaut d’intérêt sur les items représentés. Le mot agrume était représentait par un citron en plastique par exemple. Les gris ne recevait pas tellement de renforcement positif par l’objet lui-même si celui-ci ne leur paraissait pas intéressant. Et surtout, certains items apportaient un renforcement négatif, comme le mot semoule. Shango recevait de la semoule quand il le disait, cependant, il n’a pas aimé la semoule et vivait difficilement de recevoir cet item, il a donc cessé d’évoquer ce mot. Résultat sur la catégorisation des mots Shango a réussit à catégoriser les mots qu’il a appris et cela de manière spontanée.. Il a su regrouper ses vocalisations dans des catégories : aliments, objets et neutre (coucou, bonjour, ca va). Il a pratiqué la sur-extension des mots, c’est-à-dire un aliment comme « raison » pour demander un autre aliment dont il ne connaissait pas le nom. Cela apparait comme une économie d’efforts de la part du perroquet d’utiliser la sur-extension quand il connait le mot (entendu). Alex savait utiliser différents mots de vocabulaires adaptés à l’objet pour le désigner quand il ne connaissait pas son nom. Par exemple, s’il voyait une amande qu’il désirait sans savoir comment cela s’appelait, il disait « noix » (pour la forme), « marron » (pour la couleur) ou « rugueux » (pour la texture). Il avait donc su catégoriser les mots et faire le lien entre les mots et la fonction ou le caractéristique.
  7. Je ne connais pas du tout les espèces tu vois (ou race) mais elles sont élégantes. Ou as tu eu l'occasion de prendre ces belles photos ? Je lui ferai bien des grattouilles à celle toute blanche sur la dernière photo !
  8. Superbe l'article Margaux !! J'ai adoré Merci d'avoir pris le temps de le faire. Quant il s’agit d'admettre des capacités cognitives, surtout en ce qui concerne l'intelligence mais aussi la conscience de soi, alors là souvent les études sont dénigrés et controversé, on trouve toujours à redire... Ça me sidère... Par contre je n'accède à aucune vidéo
  9. Les poisons sont des anticoagulants qui peuvent chez les rongeurs comme les rats et les souris bloquer leurs voix respiratoires, modifier leurs flux sanguins et les faire saigner et s’étouffer, agonisant ainsi durant des heures, parfois les rats peuvent mettre plus de 10 heures à mourir d'une souffrance insoutenable, leur sang se vidant de tous les orifices et agonisant des troubles de la respirations et des spasmes nerveux. Vous avez un minimum d'éthique et de respect pour la vie d'êtres dotés d'émotions et de conscience, alors arrêtez d'utiliser des méthodes aussi primaires, violentes et criminel. Il, existe les répulsifs aux ultrasons. Le plus efficace, c'est les pièces-cage, qui attrapent l'animal, il suffit de le re-libérer plus loin. Mais surtout, c'est l'aménagement de la maison et le calfeutrage des lieux d'infiltrations qui est durablement efficace.
  10. Merci pour vos mots de soutien et pour votre tendre compassion. Je n'ai pas la force d'écrire de nouveau pour Lucie, je reviendrais au résultat de l'autopsie...
  11. Les diamants de Gould dont des oiseaux réputés comme très difficiles pour la reproduction, les éleveurs avertis doivent même faire intervenir à l'occasion des moineaux du japon pour sauver la couvée. Je le déconseillerai aux amateurs de se lancer dans la reproductiond es Goulds. C'est une espèce très calme, qui vie en communauté sur de grands espaces, ils doivent donc être détenus en volière à minima, avec plusieurs couples pour renforcer le sentiment d'appartenance à un groupe, ce qui est essentiel chez eux je pense pour les rassurer et leur apporter un sentiment de sécurité, et donc plus de stabilité. Je déconseillerai la cohabitation, ceux sont des oiseaux calmes qui sont facilement stressé et se laisseront violenter par une autre espèce 'pas de cohabitation même avec une séparation). Donc je préconiserai une grande volière, où en effet ils doivent pouvoir voler obligatoirement. ils sont sujets à l'embonpoint, surtout en captivité. Il faut un enrichissement du milieu avec des végétaux régulièrement. Les éleveurs utilisent souvent la technique de cage de reproduction, pour isoler chaque couple, qu'ils soient plus calmes et concentrés. Cela n'empêche pas les échecs et abandons des petits. Il faut également respecter leur horloge biologique et les saisons visiblement.
  12. Elles sont jolies, tes touis (je ne parlais pas de leur sexe ) c'est bien un couple en principe, au vu de leur dimorphisme sexuel. Qu'est-ce que c'est trop CHOUX !!!
  13. Excellente vidéo !!! Je l'a décrit pour Martin qui ne peut la voir : Il me semble que c'est une corneille qui est chez un particulier avec des congénères, un parc d'enrichissement, et une table avec posée dessus un verre shooter long transparent, dessus une pierre, et dans le verre fin un anneau de plastique qui est attaché à un poids, et une tige en fer fin posé dessus à plat. La corneille prend dans son bec le fil de fer (tige fine et longue) qui est posé au dessus du verre, et s'envole avec surement pour mettre cette brindille droite convenablement dans son bec. Puis évidemment il s'en sert pour aller à l'intérieur du verre et tirer l'anneau avec. Cependant la tige ne parvient pas à tenir assez longtemps l'anneau qui porte le poids et cela retombe deux à trois fois. L'oiseau fait donc le tour du verre avec son aiguille et utilise la pierre pour tordre l'aiguille en crochet, retourne dans le verre et parvient à soulever l'anneau et son poids aisément avec cette tige "en crochet".
  14. La punition chez perruche et le perroquet La punition n’existe pas dans le bagage génétique des perruches et perroquets, elle ne peut donc pas être comprise, et pire encore, en plus de n’apporter aucun apprentissage, elle effraie l’oiseau et lui fait perdre toute confiance, puisqu’elle est perçue comme une agression, de la part d’un prédateur (EPP, MAN) ou d’un congénère (EAM). Avec le principe de punition, vous ne pourrez jamais rien faire apprendre à votre perroquet, jamais. Arrêtez dès que possibles vos comportements punitifs. La punition appauvrie le répertoire comportemental du perroquet en supprimant des comportements sans les remplacer par d’autres, il est donc subit comme une interdiction de s’exprimer et de se faire comprendre et écouté, il sera donc de plus en plus agressif pour se faire comprendre et surtout malheureux car angoissé et incompris. De plus, la plupart du temps, le perroquet puni l’est pour une raison qu’il ignore, ou se trompera sur la « faute », ce qui est dévastateur. Il ne reliera pas la punition à son propre comportement mais l’associera à la colère et au comportement de l’humain, ce qui lui fera perdre confiance. Donc les punitions, en plus de n’avoir aucune prise sur votre perroquet, lui ajouteront des sentiments d’insécurité et d’anxiété. Le risque est qu’il renforce ses comportements « fautifs » (morsure, cries) puisque ce sont ses derniers qui semblent vous faire réagir (même négativement, au moins, vous réagissez, vous lui accordez de l’attention, même si c’est désagréable). Vous risquez surtout de lui apporter de l’incompréhension, il associera la punition à une personne ou un objet, un acte, qu’il craindra ou évitera en tout temps (il va généraliser la punition) et n’évitera pas pour autant l’acte « fautif » parce qu’il se sera canalisé sur tout autre chose. Enfin, sanctionner son perroquet, en plus de risquer de renforcer les mauvais comportements, la crainte et l’insécurité, peut vous faire détester votre perroquet, vous ne vous focaliserez plus que sur les comportements « fautifs » et même plus sur les bons actes. Votre perroquet ressentira votre frustration et votre colère et le cercle vicieux s’aggravera. C’est parce que la punition est inefficace que l’on offre l’alternatif idéale t positif qu’est le RENFORCEMENT. C’est le fait d’encourager une bonne action ou un comportement voulu en apportant une récompense (gourmandise, câlins, encouragements, excès de zèles affectifs, compliments, lui « faire la fête » etc). Plus votre perroquet recevra des attentions et des récompenses lors de ses comportements voulus, plus il se focalisera pour communiquer avec ceux-ci et plus il évitera et oubliera les autres répertorié comme non désirés, qu’il faut ignorer lorsqu’ils surviennent. IGNORER un comportement « fautif » et non pas le punir. Les actes répertoriés comme PUNITION doivent être SUPPRIMES et arrêtés à tout prix ou vous risquez d’aggraver les problèmes. Ces comportements punitifs sont : - Exclusion dans sa cage - Corrections physiques (coups, tapettes etc) - Couvrir la cage (hors dodo) - Arroser (comme punition, un coup fort de jet d’eau ou même vaporisateur) - Secouer la cage, ou la taper avec un objet - Secouer son perroquet, crier Mieux vaut prendre son perroquet sur le fait en train de BIEN AGIR et le RÉCOMPENSER. Il sera ainsi plus attentif à la non attention que vous lui accordez quand il fait une « bêtise », s’il est ignoré, il n’aura pas de réponse à sa demande, il essayera ainsi une autre méthode, renforcez sans en manquer une seule l’action que vous souhaitez. Alors pour conclure, valorisez les bons comportements, mettez y tous les moyens qui lui ferons plaisir et l’inciterons à continuer, ignorer les mauvais comportements, il apprendra en expérimentant à travers l’essai-erreur de ces deux comportements alternés, et à force d’entrainement, il ne restera que les bons comportements. Le renforcement positif : Le fonctionnement du perroquet : http://www.perruches.org/t592-le-comportement-du-perroquet-valeur-adaptative-et-experience-subjective - Des exercices pour les perroquets qui mordent : http://www.perruches.org/t1065-solutions-rapides-pour-un-perroquet-qui-mord - L'entrainement à l'apprivoisement : http://www.perruches.org/t365-lentrainement-a-lapprivoisement-des-perruches
  15. Superbe nouvelle !!!! Puis-je t'emprunter une photo de tes belles "galeuses" pour illustrer l'article sur la gale ? Un très bon rétablissement à elles qui vont vite se remettre et sans encombres
  16. J'y penses, tu as mis des cales en bois pour ne pas qu'elle gruge le mur en crépis n'est-ce pas? N'y aurait-il pas un risque d'empoisonnement ? As tu su charbon aux oiseaux? Leur en donner un peu ce soir et demain par sécurité ne serait pas un mal, le charbon inhibe l’absorption des molécules toxiques, cela évite ou diminue un empoissonnement. Ou peut être na-t-elle rien grugé ? Dans ce cas là je serai rassuré
  17. J'ai la même phylosophie que toi Nelly je pense, je considère qu'elles doivent se sentir bien et en sécurité dans leur cage, comme sur leur parc de jeux d'ailleurs, et qu'il faut les importuner le moins possible, surtout les EPP. Pour moi il est important de respecter leurs capacités en terme d'acceptation de la présence humaine et ne jamais forcer (ne jamais être intrusif et forcer la zone sociale, distance d'apaisement). C'est ainsi qu'on apprivoise activement une perruche, avec le renforcement positif à travers le respect de ses besoins et émotions. Je suis comme toi, je n'aime pas les embêter quand elles sont dans leur cage, d'autant plus que les miennes sont totalement en confiance en dehors du parc, et apprécient ma présence, tandis qu'une fois dans la cage elles semblent plus méfiantes. Je considère donc pour les miennes que la liberté les sécurisent, et la hauteur que cela apporte également.
  18. Ca peut être symptôme d'une infection parasitaire des voies respiratoires, d'un essoufflement, de la chaleur, d'un manque d'humidité ambiant, d'une infection bactérienne, etc c'est à dire tout et rien... Vérifies qu'il n'y ait aucun autre signe alarmant, s'il y a plus, une petite visite chez le véto ne fera pas de mal.
  19. L'ivomec est également un anti-parasitaire Nelly donc excellent contre les acariens de peau et des voies respiratoires. Mais c'est le vétérinaire qui doit l'appliquer et non nous même, le risque de surdose étant important. C'est pour cela qu'on privilégie pour les particuliers le stronghold, (la sélamectine) sans risque de surdosage avec une seule goutte (moins invasif) et plus facile à trouver.
  20. Tout simplement abominable ces cages !! Bon dieu, arrêtez de nous les fabriquer, on n'en veux pas !!!!!!
  21. Tu as raison Maroussia, cela peut également être un signe d'amitié (et d'excitation) entre deux compagnons. Kaira semble apprécier ces visites ou reste-t-elle prostrée ?
  22. pour ma part, tant qu'ils se respectent entre eux, je les laisserai faire. Si pitchou va chercher ta calo et faire oui oui oui de sa tête, c'est bien que ce petit coquin est intéressé!! Il semble lui faire la cours. Tant que ta calo n'est pas effrayé il n'y a pas lieu de s'inquiéter. Bon je sais c'est loin d'être un comportement naturel et dit ''normal'' qu'une ondulée envers une calo, mais vu comment ils sont dénaturés dans nos appartements, ca ne peut que leur apporter distraction et affection supplémentaire. Comment réagit ta calo? Et lily en attendant?
  23. Elle accepte le harnais au fait ou tu es en apprentissage avec elle ?
  24. Je n'avais pas vu ton post Gautier, elle est vraiment mignonne, mais alors j'ai perdu un tympan en écoutant la vidéo visiblement bien réussit le rappel et repart, mais il va falloir qu'elle veuille partout et pas uniquement la chambre donc le salon aussi. Quand est-ce que tu lui trouve un copain?
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