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Tout ce qui a été posté par Carakoçan
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(Mélanie soigne tout à la bootie ) J'ai vidé en quelques jours mon flacon de frontline spray sur la salukia : succès mitigé : les aoutats semblaient en diminution, mais ce soir j'en vois se balader sur ses pattes. Sur le saluki, le dettol ne semble pas avoir beaucoup d'effet. En fait je crains que la maison soit infestée aussi (ce qui fait qu'ils reviennent sur les chiens). J'ai changé ma literie, mais il y a des choses que je ne peux pas laver (canapé...). C'est la période sans pluie (qui dure depuis facilement une semaine et qui devrait encore continuer, rare dans le Nord) qui a fait apparaître ces saloperies dans l'herbe. Je crois que je vais passer le week-end à - faire le ménage avant de - désinfecter les pièces à l'insecticide. - Laver l'intégralité de mon linge aussi. - Traiter les turbochiens - me traiter moi aussi - arroser le jardin aussi (ces sales bestiole n'aiment pas l'herbe humide)
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Lorsque ça arrivait, je passais mes index derrière les canines supérieures et inférieurs et je maintenais la gueule ouverte quelques secondes (comme on ferait avec un serpent venimeux avec des baguettes à la place des doigts). Du coup l'animal se retrouvait bloqué gueule ouverte dans une position inconfortable. Un "Non !" sonore peut aussi faire son effet.
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En ce moment la mode chez mes saluki, c'est de se coucher dans l'herbe... Conséquence, les deux embarquent des aoutats entre les doigts de toutes leurs pattes (surtout à l'avant). J'ai testé le vinaigre d'alcool sans grand succès. Depuis deux jours, je teste des bains de pattes dans du Dettol d'une part et la pulvérisation de frontline spray d'autre part (j'applique les traitements sur des pattes différentes pour tester l'efficacité). Pour l'instant les larves oranges sont toujours là. Quelqu'un a une autre idée ?
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Avec un tel chien, je comprends mal l'intérêt de s'inscrire en compétition pour l'instant. Autant rester à l'entrainement et économier de l'argent jusqu'à ce que l'execution soit parfaite (ou alors l'inscription est comprise dans la cotisation de ton club ?). Je réessaierai bien l'agility avec Carakoçan à l'occasion, par contre je crois que les pseudo refus me gonfleraient assez rapidement et que je finirais par faire le circuit de façon fluide sans trop m'occuper des obstacles que le saluki passerait (du moment qu'il cavale, il est content, et moi aussi ). La classe absolue, ce serait un lévrier qui connaîtrait le parcours par coeur et utiliserait sa vitesse pour mettre la misère aux borders, rois incontestés de la discipline.
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Il est surtout bien fatigué (c'est vers la fin du parcours) et même complètement perdu le pauvre. En temps normal il essaierai rapidement de descendre (et je prendrai un coup de patte dans la figure au passage). Découvrir autant d'épreuves à la suite sans pouvoir prendre le temps de les appréhender, c'est assez dur pour un lévrier. Heureusement son caractère très ouvert (exceptionnel pour un saluki) et la confiance globale qu'il a en moi (je l'ai depuis l'age de 9 semaines) nous ont bien aidé.
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où acheter du matériel?
Carakoçan a répondu à un(e) sujet de Kinya-passioncanicross dans le matériel
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J'ai fini par me retrouver : les photographes étaient très bien organisé et shootaient avec du matériel pro. Je regrette d'avoir été bien trop fatigué pour faire moi-même des clichés (je dois en avoir deux trois pris comme tests, sans plus) Un très grand whippet (ou un petit greyhound ?) qui attaque le plan premier incliné. Un photographe a utilisé un objectif fisheye : le résultat est assez extraordinaire. Les photos sont protégées par un antilink en java, j'ai été obligé de les capturer à la sauvage (par imprime écran) pour les réhéberger ailleurs. Je vais voir si je ne peux pas carrément tout récupérer (la galerie est beaucoup trop grande et on s'y perd facilement). Le "Kids for Uganda", c'est pour rappeller que le bénéfice de l'événement est reversé à une ONG d'aide aux enfants Ougandais.
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Je ne comprends déjà pas le flamand, alors en patois... Je suis arrivé relativement tôt pour ce troisième jour (9H30, puis 30 min de perdue pour trouver à me garer et me préparer), pour une balade bien plus fraiche que précédemment (il y a même eu quelques gouttes de pluie et j'ai terminé avec mon blouson comme coupe-vent et un foulard noué en bandeau pour me protéger les oreilles de la brise). J'ai cessé de courir après 10 km, mes genoux commençant à me faire souffrir. Le temps devrait s'éclaircir demain (samedi), je ne vais donc pas prendre de risque et laisser encore les saluki à la maison.
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Deuxième jour : j'ai couru tout seul dans un cagnard pas possible (heureusement que les saluki sont resté au frais à la maison). Contrairement à la première marche située à Oostduinkerke (charmante petite station balnéaire), offrant énormément d'ombre (en particulier une longue ligne droite sur le front de mer à l'ombre des immeubles, puis de nombreux passages dans les rues richement plantées en arbres des deux côtés), la deuxième, ayant lieu à Poeringe (près d'Ypres), passait en majorité au milieu des champs en plein soleil (1 km seulement dans une fort belle forêt de pins). Toujours très bien organisé en dépit d'une chaleur en principe incompatible avec ce genre d'activité sportive. A noter, sur les nombreux stands disséminés sur le parcour (où on pouvait acheter des glaces, à manger et des boissons), il y avait presque toujours une gamelle d'eau prévue pour les chiens (ça ne change rien au fait qu'emmener un chien marcher longuement par plus de 30°C alors qu'il vit à moins de 25 depuis des semaines, c'est franchement risqué).
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Le départ était entre 8H30 et 10H30. A cause de travaux sur l'autoroute, je suis arrivé à 10H30. Pas de problème pour s'inscrire, mais la fin de la marche s'est transformé en interminable cauchemar dans l'après-midi : je poussais les saluki dans chaque coin d'ombre (nombreux heureusement) et multipliait les longues pauses à l'ombre (jusqu'à vingt minutes à la fin) tant il était évident qu'il souffraient de la chaleur (surtout la femelle, je me rend compte que ce genre d'activité n'est plus de son âge). La journée sans doute la plus chaude de l'année pour la région, n'a pas arrangé les choses. (vive la clim dans la voiture, surtout pour eux). Demain, j'y retourne seul et de bonne heure (les saluki restent à la maison au repos). Eventuellement j'irai vendredi ou samedi avec Carakoçan uniquement (et toujours de bonne heure) pour faire les 16 km en canicross (et a priori en 1-2 heures contre 5 aujourd'hui), contre (autre détail qu'a reconfirmé l'expérience d'aujourd'hui : se promener avec Carakoçan est un calvaire si on ne courre pas (arrêt tous les trois mètres pour lâcher trois gouttes ici et là, mâle entier oblige). Les 32 km me semblent dangereux à tenter avec un chien à cette (chaude) époque de l'année (et pourtant j'en ai vu).
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Je suis classé, c'est déjà ça Par contre je me demande si le temps relevé tiens compte des deux pénalités de 20 min. Je suis parti à 13H20 et arrivé à 14 heures quelque chose (au moins 14H20 logiquement), ce qui impliquerait que j'ai fait le parcours en 1H si ils ont rajouté les pénalités (pourquoi pas après tout, s'il y a bien un truc que nous avons su faire sans problème, c'est cavaler, plutôt vite d'ailleurs (sauf à la fin où mes genoux me faisaient souffrir le martyr), à un moment le lévrier s'est même emballé et j'ai tracé la route entre deux obstacles en sprint en laissant dépassant plusieurs autres concurents, épuisant pour l'endurance... :yx: ). Ou alors j'ai réellement fait le parcours en 1H39 et ils n'ont pas compté les pénalités
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(Aaahhh mais tu ne nous avais pas dit que tu étais tombé sur la tête ) A la rigueur, tu pourrais exiger un casque pour passer l'ensemble des obstacles (surtout ceux où tu te retrouves en hauteur), mais prendre quelques risques et réaliser des choses qu'on imaginait pas faisable fait à mon sens partie de l'esprit de l'épreuve. De plus, le bike-jo arrivait vers la fin du parcours, à un moment où le chien était loin d'être tout frais (il a déjà trois quart d'heure de course dans les pattes). Ceci combiné au circuit très court sur herbe reduisait les risques (la vitesse est très réduite sur herbe et vu qu'on tournait en rond, il n'était pas vraiment envisageable de rouler beaucoup plus vite qu'au pas...). Si le chien faisait n'importe quoi, soit le concurent lâchait la laisse (rares étaient ceux dont la longe était reliée à un baudrier/une ceinture), soit il tombait presque à l'arrêt sur de l'herbe. Rien de dramatique. Jusqu'au moment de monter sur le vélo, je me suis dit que ce n'allait pas être possible... et puis je l'ai fait. Et maintenant je n'attends qu'une chose : le refaire.
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Excellente activité. Je ne regrette pas d'avoir roulé 450 bornes pour y aller et en revenir. Unique reproche à l'organisation par ailleurs quasi-parfaite : le parking public (dans le village sur une sorte de petite place) était bondé et bien trop petit (et je suis arrivé à 11h15 et j'ai créé une place de fortune en encastrant le capot de la voiture dans un fourré, Toutourock vers midi a dû aller se garer dans une rue plus loin). Sinon pour les 20 euro de l'inscription on avait droit à un T-shirt et deux grands verres de ce qu'on voulait (bière comprise, on est en Belgique). Très correct en regard du parcours proposé (je n'avais pas pensé à demander la durée du parcours sur le forum : j'imaginais 5 minutes : je suis tombé de haut lorsque le secrétariat m'a dit 1H J'ai dû le boucler 1H20 au final (sans compter 2x20 min de pénalité pour deux refus d'obstacles). Sans entrainement particulier ni pour moi (bon je suis sportif quand même et j'ai une constitution qui me permet quelques excentricités) ni pour le saluki (qui a littéralement découvert la plupart des obstacles). Je suis plutôt content de nous, d'autant plus qu'avec une race réservé comme le saluki, arriver à prendre le départ est déjà une victoire. Réussir à franchir la majorité des obstacles (seulement deux refus catégoriques) ni plus ni moins qu'un exploit (la sensibilité du lévrier persan peut lui valoir de bloquer face à une situation... définitivement). J'ai fait des choses avec mon chien que je n'imaginais pas possible (surtout pour lui, mais aussi un peu pour moi). J'ai découvert de nouvelles perspectives en bike-joering (preuve que même si on y crois pas, il faut toujours essayer au moins une fois). J'ai appris de mes erreurs (mauvais harnais, j'avais choisis de l'utiliser en me disant que l'autre (le manmat) gènerait le saluki... en tout cas il n'aurait pas pu l'enlever ; le ring de Brussel est plus rapide au Nord qu'au Sud ; etc). En somme, une journée très enrichissante J'ai trois jours pour récupérer avant les marches de l'Yser que je ferais avec les saluki s'il ne fait pas trop chaud, tout seul ou pas du tout si mes genoux cessent de me faire mal d'ici-là (par solidarité avec ceux de mélanie sans doute ? ) De mémoire, les obstacles (à Toutourock de me dire si j'en oublie ?) : Tunnel à quatre-pattes (type conduit d'aération dans les films américains ou les jeux vidéos) Barrières type Dessous-dessus-dessous : Dans l'enthousiasme du départ, je l'ai abordé trop vite. Je connais très bien cet obstacle... et j'ai oublié que ce n'était pas de cas du saluki. J'ai taclé sous la première barrière sans problème mais le saluki l'a fait tomber (il est très haut sur pattes), ensuite il n'a pas compris qu'il fallait sauter par dessus la deuxième. J'ai du recommencer en le faisant passer lentement sous la première barrière en le forçant à se baisser et à sauter la deuxième plus calmement. Plan incliné à échelons pleins : très abrupt, et les "échelons pleins" étaient minuscules (des plinthes). Mais le saluki s'est lancé tout seul dessus et en le poussant tant bien que mal (25 kg quand même, mais je n'étais pas fatigué), nous avons réussi à arriver en haut. Il y avait une sorte de longue planche pour redescendre que la saluki n'a pas voulu tout de suite emprunter Tir à l'arc : Mettre la flêche dans une zone au sol délimitée par de la rubalise. J'ai appris à tirer il y a quinze ans, en une fois qu'on sait... J'ai mis la première flêche dedans en tir tendu (ben oui, c'est comme ça qu'on tire à l'arc pour être précis), mais ils ont tenu absolument à ce que j'en tire une deuxième en cloche pour qu'elle passe au dessus des rubalises. Pas de problème de concentration avec un saluki : ce genre de race reste calme quand on ne la stimule pas (par contre s'il avait vu un lièvre... Passage sous un filet de camouflage étendu au sol : Refus de l'obstacle au première abord (visiblement il ne comprenait pas trop où aller), puis il a suivit lorsque je me suis engagé dessus en créant l'espace pour avancer en soulevant le filet. On a passé d'une traite. Lancer de balles dans des pots suspendus à quelque mètres : J'ai presque mis dedans (comme au basket) à la première ou à la deuxième balle. Apparement c'était suffisant puisqu'alors que je continuais d'essayer de mettre une balle dans le (petit) pot, puisque l'animateur de l'épreuve est venu me taper sur l'épaule en me disant que c'était bon. Apparement il n'était pas nécessaire de ramasser ses balles (mais j'en ai rapporter cinq pour la forme) Passage sur une poutre : le saluki monte... puis saute avant la fin (il faut dire que la poutre était bien branlante). Je l'ai porté pour le remettre dessus puis nous avons avancé ensembles, moi penché sur lui avec une main sur chacun de ses flancs pour le stabiliser et l'inviter à aller tout droit. Passage sous un réseau de branchage dans un ruisseau boueux (hauteur disponible : 50 cm, dont 20 cm de boue visqueuse) : refus de l'obstacle, à priori parce que monsieur n'appréciait pas du tout de s'enfoncer dans la boue (moi non plus d'ailleurs). On a essayé trois fois. J'ai lâché l'affaire et pris une pénalité de 20 min pour éviter de traumatiser l'animal (avec un lévrier, c'est un risque réel si on force). Au passage le saluki a réussi à sortir de son harnais à un moment :/ (heureusement attrapé par l'animateur de l'épreuve) Course en sac : Pas de problème avec le saluki qui avançait à mon rythme. L'animateur conseillait de marcher, mais ça me faisait faire de petit pas et je m'emmêlais les pieds dans le font du sac. J'ai fini par faire de grands bonds, épuisants mais rapides. Il parait que la solution pour marcher était de se lancer dans une sorte de moonwalk (vous savez que ce mouvement a été récupéré par monsieur jackson et qu'il ne l'a pas inventé ?). Alors que je rendais le sac, la laisse du saluki m'a échappé et j'ai regretté de ne pas savoir dire "attrapez-le" en flamand (Vadrouille ? Pour la prochaine fois ?). Alors que personne ne bougeait, j'ai taclé vers le bout de laisse, avec à la clef le rattrapage effective de celle-ci et une belle contusion dans la glissade. Franchissement d'un réseau de cordes tendues dans le passage (sur cinq mètres). Le saluki cherchait à sortir sur le côté, mais j'ai pu lui montrer le chemin en poussant les cordes au fur et à mesure. Passage dans un fossé inondé (longueur 10 m, profondeur 1 m). Refus de l'obstacle et alors que je commençais à descendre dans l'eau, le saluki sort encore de son harnais. Toutourock est venu m'aider à lui remettre. A partir de ce moment, j'ai fixé la longe à mon cuissard de traction sur son conseil (au début je ne le faisait pas parce que je savais que le saluki ne tractait pas, mais c'est finalement très utile pour avoir les mains plus libres) Finalement je ai porté le saluki (qui n'a que très peu d'expérience de la baignade) au dessus de l'eau (qui m'arrivait à la taille). Franchissement de bottes de foin empilées (hauteur 1 puis 2 m) Le saluki n'étant pas décider à sauter sur la première botte, je l'ai pris sur mes épaules en me demandant je j'arriverai à franchir avec ce lest équivalent à la moitié de mon propre poids. Finalement j'ai pu le déposer en haut, devant l'objectif d'un photographe qui m'attendais de l'autre côté. Nous sommes descendu séparément. Déplacement sur un vélo (simili bike-joering). Je n'ai jamais essayé le bike-jo, persuadé que c'était un coup à se casser la gueule dès les premiers mètres, le saluki semblant avoir du mal à comprendre les directions en cani-cross. Surprise, l'animal avançait à mon rythme et suivait mes ordres pour les virages sans problème (au pire je tirais un petit peu sur la laisse). Il m'a même tracté de temps en temps. Excellente surprise. Transport du chien dans une brouette : Refus du saluki de s'assoir dans la brouette (et d'y rester lorsqu'il a compris qu'elle allait se mettre à rouler). Deuxième pénalité. Plan incliné recouvert d'un filet (puis descente d'un plan incliné lisse). Contre toute attente, le saluki a grimpé l'obstacle sans problème. J'ai même du le retenir de se lancer immédiatement dans la descente pour nous permettre de la faire ensemble (j'ai glissé sur les fesses, en me retenant au bord d'un bras au départ, pour bien descendre simultanément avec l'animal et le rattraper en cas de problème.) Franchissement de trois bottes de foin (1 m) avec saut d'une botte à l'autre : J'ai du porter le saluki sur la première botte, ensuite il a superbement sauté d'une botte à l'autre (et moi aussi). Franchissement d'un labirynthe debout en aveugle : la dernière épreuve : il suffisait de suivre la barrière. Je n'ai pas eu à m'occuper du saluki qui marchait calmement à côté de moi (il n'était pas aveugle lui).
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