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Tout ce qui a été posté par Blaise
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Voilà enfin la suite de cette magnifique journée de neige au Glacier 3000. Après le repas au restaurant Botta (2960m d'altitude), une belle éclaircie m'a motivé à remettre mes skis: du côté valaisan, le ciel est souvent moins chargé: mais nous sommes toujours les seuls utilisateurs de cette magnifique piste de fond: nous sortons un peu de la piste sur cette surface lisse et vierge: un coup de soleil brûlant nous force à faire une pause: mais heureusement, cela ne dure pas et nous poursuivons la balade sur ce glacier: pas besoin d'aller jusqu'au Groenland pour trouver une ambiance aussi polaire: il faut connaître les endroits sans crevasses pour tracer la neige vierge: voilà des baraquements qui pourraient faire penser à une base polaire ou à un refuge au milieu de nulle part: nous continuons en direction du sommet du massif (3210m d'altitude), malheureusement invisible: pour nous arrêter sur une place de jeu sans danger: et, sur le chemin du retour, un paysage extraordinaire nous attend: un peu plus tard, la visibilité sur une partie du glacier est revenue: même la Quille du Diable est visible: et la station d'arrivée du téléférique avec ses installations: encore une balade dans un endroit sûr: et nous entamons la remontée vers la station, avec son toboggan vu de face: en suivant une ligne de faible pente, nous passons à côté d'une misérable gouille: avec la fonte du glacier en 2003, un véritable lac était apparu à cet endroit: mais l'eau a fini par être libérée de la glace dès que celle-ci a suffisamment diminué pour qu'un ruisseau se creuse à sa surface... nous montons par la crête, hélas sans la vue plongeante sur la vallée: lorsqu'il n'y a pas de neige ici: je prends le télésiège, comme l'année passée le 25 août: voilà la dernière pause: que Saskia et Jiro auraient voulu prolonger: un retour rapide à l'été: malgré un saupoudrage des sommets de plus de 2400m d'altitude: il faisait 14°C à la station inférieure et 22°C à Aigle, à 400m d'altitude... La vidéo faite le matin dans le brouillard et la neige:
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Aujourd'hui, pas d'autres chiens mais l'or blanc est arrivé! Comme prévu, cette journée a été hivernale à 3000m d'altitude, avec -4°C le matin, 10 à 15cm de neige poudreuse soufflée, les pistes de fond étant ouvertes uniquement pour moi et mes huskies!! De la pluie jusqu'à 2300m d'altitude, puis la cabine a brusquement été envahie par une lumière blanche comme lorsqu'il commence à neiger. Malgré un épais brouillard jusqu'à la station d'arrivée, à 2960m, cette lumière, contrastant avec la sinistre grisaille d'en bas, était associée à une chaleur diffuse mais bien perceptible lors du deuxième tronçon de téléférique. Heureusement que les piquets rouges étaient visibles malgré le givre: nous venons de trouver la piste de fond pour en profiter jusqu'à l'autre bout du glacier: le vent se met à souffler et je cherche un abri vers ces rochers: puis la neige fine se met à tomber: ni le toboggan, ni le télésiège ne sont ouverts: il neige jusque dans les endroits abrités de la station d'arrivée: mais je compte sur une accalmie, et, au lieu de redescendre, je choisis de monter dans l'ascenseur qui mène au restaurant Botta: à la fin du repas, le brouillard se dissipe, ce qui me renvoie dans les immenses champs de neige pour une nouvelle aventure avec Saskia et Jiro… Des vidéos et d'autres photos plus spectaculaires vont suivre, mais, avec 22°C en bas, le contraste est tel que je suis trop fatigué pour continuer ce soir...
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Retour au parc de jeux à Vevey: le soleil envahit peu à peu l'aire de jeu: heureusement que l'immense cèdre fait de l'ombre sur le parc: deux couples se forment: Saskia fait bande à part, jouant toute seule avec la balle qu'elle a piquée à un autre chien: deux vrais copains de jeu: que Jiro vient perturber: Jiro semble protéger sa copine de jeu du jeune loup tchèque: avec les promenades au bord du lac et dans les environs de Vevey, cette place de jeu est la principale activité de Saskia et Jiro pendant la "mauvaise saison".
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Voilà enfin les images de la suite de cette journée de fête: nous quittons la place de jeux idéale, dont nous aurions aimé profiter tous les jours: nous traversons le vaste champ de neige en direction du Mont Mort: pour retrouver un nouveau coin de paradis: ce sera l'endroit idéal pour finir les friandises lors du retour du col: un ancien refuge de pierres, placé à un endroit tellement exposé au vent qu'il n'est jamais recouvert de neige: et nous voilà arrivés au col ouest de Barasson: la vue inédite du Mont Blanc depuis l'Est, avec la pointe Walker des Grandes Jorasses, qui paraît presque aussi haute que le Mont Blanc, pourtant 600m moins élevée: c'est la première fois que la visibilité est si nette depuis que je viens ici, en voyant aussi bien le Gran Paradiso (4061m), derrière le petit nuage: le vent du nord très sec chasse la brume du val d'Aoste: Nykyt est venue plusieurs fois ici, par exemple lors d'un spectaculaire retour du froid en août: mes petits loups veulent galoper à la descente, croyant que je suis à skis: Saskia a déjà choisi son coin, où la neige est la plus blanche: les dernières friandise sont meilleures dans la neige propre: ce n'est pas une gouille, ici l'eau est retenue par la neige et dès que cette eau est libérée, la neige qui était sous l'eau, protégée des poussières, paraît plus blanche: ce n'est pas facile de les retenir: la boucle de mon harnais a pété, libérant les chiens: pas grave, ils n'ont pas envie de chercher des marmottes, bien qu'on ait entendu leurs cris; ce petit problème est vite résolu, j'ai du matériel de rechange dans mon sac... nous nous arrêtons à la dernière aire de jeu: la route apparaît, la fête touche à sa fin: le chemin caillouteux est consciencieusement évité: il y a une année, le 24 juin, à une centaine de mètres du petit parc: par curiosité, je monte encore vers l'Hospice (en réparation actuellement) pour voir l'état du lac: il n'avait pas fait aussi beau temps pour l'anniversaire des 7 ans de Saskia: voilà la "vue" depuis le même endroit: les murs de neige étaient encore immenses: la seule éclaircie après notre misérable tour du lac: cette année, la neige a fondu énormément pendant la semaine caniculaire, exceptionnelle, du 7 au 14 juin! lors du retour en voiture, nous nous sommes arrêtés vers 2000m d'altitude, pour faire un "palier" avant la grande chaleur de la plaine, les petits loups dormant dans l'herbe, à l'ombre d'un nuage bienvenu et profitant du vent frais... c'était aussi l'occasion de faire ma provision d'orties pour les soupes, et d'épinards sauvages... dans presque deux mois, Jiro fêtera ses 3 ans; son besoin de neige n'étant pas aussi fort, il ne sera pas impératif de monter au glacier 3000 le jour même de son anniversaire, mais je compte bien retrouver l'or blanc cet été.
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Saskia a fêté ses 8 ans! Comme prévu, nous partons depuis la route du col du Grand St-Bernard: le tunnel reliant l'Italie à la Suisse passe précisément sous cette cheminée de ventilation: la neige n'est pas loin: Jiro n'a toujours pas trouvé de plaisir à se rouler dans la neige mouillée: ils sont fiers, devant le Mont Mort: et encore, encore: ça fond très vite dans la combe de Barasson: et c'est même dangereux de passer au-dessus du torrent: un chien détaché pourrait disparaître sous le névé s'il se fait entraîner par le courant: vers 2500m, le vent du nord bien rafraîchissant nous motive à monter plus haut que prévu: derrière les petits loups, on aperçoit la crête rocheuse que Nykyt avait escaladée: nous avions longé la frontière entre le col Ouest et le col Est de Barasson c'était le 31 juillet 2008: nous apercevons la pointe Est du Mont Mort: comme nous sommes montés plus haut que le petit lac, la vue est magnifique: ce lac est visible sur la carte agrandie: et c'est dans cet endroit idyllique que j'ai décidé de faire la fête à Saskia: voilà les friandises: le huit est maintenant vide, nous poursuivons la balade: il reste à monter au col, et à finir les friandises, ce sera la suite de cette belle journée...
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Pourtant Saskia est trop légère, elle est entre 15 et 16kg et devrait faire 2kg de plus! Jiro fait 25kg, ce qui correspond à son gabarit... Il faut dire que les chiens qui jouent avec eux sont très jeunes: 5 mois pour le chien loup tchèque et 9 mois pour la chienne berger blanche, ils sont donc beaucoup plus maigres que les miens, musclés aussi par leur 200jours de neige de l'hiver dernier et la faim qui en résultait me poussait à bien les nourrir! J'ai déjà essayé de nager avec Saskia, mais c'était infernal, elle s'agrippait à moi en me griffant, il aurait fallu lui mettre un gilet de sauvetage!! De plus, elle s'est arraché la peau à cause des puces de canards, ce qui lui a causé une grave infection: elle attendait ici les soins! résultat: antibiotiques, gros frais véto et: après plus de 2 mois de traitement, les dernières croûtes brunes commençaient à se détacher: par chance elle n'a pas perdu sa jolie voix pendant cette longue période:
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Merci pour Saskia! Pour certains, Jiro a plus de succès avec ses yeux... Nous allons presque tous les jours au parc pendant la saison sans neige: il n'y a pas de tiques et on peut se rafraîchir au lac et à la rivière, situés à 100 ou 200m du parc. Les promeneurs que je croise sont souvent étonnés de voir qu'il existe des huskies aussi sympas avec les autres chiens. Aujourd'hui, Jiro s'est mis sur le dos pour jouer avec le chien loup tchèque, ce dernier se faisant grimper dessus par le petit berger des Pyrénées croisé: après le parc d'ébats, le lac: demain, pour Saskia qui n'aime pas l'eau, et qui aura 8 ans, nous retrouverons son vrai paradis… à suivre...
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Mes connaissances sont très limitées dans le domaine du cinéma... Jeux de chiens dans le parc d'ébats à Vevey Chaque jour, des chiens de toutes races se retrouvent pour courir, jouer, lutter, s'affirmer et se bousculer, complétant ainsi les promenades quotidiennes insuffisantes pour certains: le chien-loup tchèque s'approprie la gamelle d'eau: Saskia fait la curieuse et aussi l'arbitre ronchonneuse: le nouveau venu est parfois ignoré: mais il arrive aussi que les chiens déjà présents dans le parc l'accueillent en provoquant une ruée et une belle bousculade, sous l'oeil attentif de leurs maîtres! Je n'ai vu qu'un début de dispute sérieuse nécessitant une reprise en main d'un chien par son propriétaire: l'exclusion du parc est alors ressentie comme une punition...
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Je ne peux pas prendre de photo sur la trottinette, mais sur les skis et le yooner j'arrive à tenir l'appareil dans la main droite sans tomber ou perdre le contrôle de l'engin; je n'ai pas de gopro car cette caméra attachée au casque ou ailleurs donne des images déformées et de moins bonne qualité. Voisi Saskia attachée à la trottinette: Près de chez moi, il n'y a que très peu d'endroits sans tiques où on peut l'utiliser, il faut trouver des chemins non goudronnés pas trop raide et au-dessus de 1400m, si possible à l'ombre... en plus sans les bovi-stop ou passages canadiens comme celui-là qui est infranchissable sans porter les chiens un à un, donc dételer et atteler, et il y en a partout, sans compter les vaches en liberté avec leurs veaux. Pendant la mauvaise saison, c'est-à-dire sans neige, les marches et jeux dans les parcs publics, les promenades dans les vignes tôt le matin et les tours habituels en zones habitées leurs suffisent: entre 5 et 10km par jour, sans doute bien plus en comptant les jeux dans les parcs, comme celui de Vevey, qui est petit mais convient parfaitement aux ébats des chiens rencontrés. Je vais mettre encore des photos de cette activité qui les fatigue en les sociabilisant... Je n'ai jamais entendu parler de Lionel Baier, ni Bayer...
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Il a fallu beaucoup d'expériences, en améliorant à chaque fois ce qui pouvait l'être, comme aussi la qualité des vidéos. Mais pour l'hiver prochain, je crains que Saskia commence à courir moins vite. La seule possibilité pour équilibrer le duo sera de faire comme dans la vidéo et les deux suivantes: Jiro ne tire presque plus lorsqu'il est attaché au collier, alors que le harnais de promenade de Saskia lui permet de garder le rythme et de le devancer par moments; j'avais trouvé cette solution pour éviter qu'il tire trop dans les descentes raides.
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Je ne crache pas sur les compétitions, mais j'explique pourquoi je n'y participe pas, c'est tout, puisqu'on est arrivé sur ce sujet! Pour moi, il y a plus d'inconvénients que d'avantages à y participer, en ayant connu un certain nombre de participants à des compétitions qui finissaient par oublier la beauté des chiens dans les paysages vierges pour ne rechercher que les pistes damées, la vitesse, avec la montre en main! Bien sûr, on dit que l'essentiel est de participer, même en finissant après le dernier, comme tu le dis si bien! A la limite, pourquoi faire tout le parcours, ne pas prendre des raccourcis si les chiens ne sont pas en forme, s'arrêter pour prendre des photos? Mais si tu t'inscris, tu paies, tu as un dossard, un règlement à respecter, des contrôles etc. C'est super pour ceux qui aiment, mais pas forcément pour les chiens qui ne sont pas bien entraînés, et encore moins pour ceux qui ne font que les courses de compétition (le manque de possibilités de s'entraîner existe pour certains) C'est vrai, j'ai la chance de pouvoir profiter des innombrables possibilités de faire courir mes huskies sur la neige, même de temps en temps sur des glaciers en été! Je compte environ 200 jours de neige par an et 4000km de marche pour eux (un peu moins pour moi grâce aux skis et au yooner!) Avec ça, le monde de la compétition m'est évidemment étranger. De plus, je n'ai pas la corvée de devoir entraîner mes chiens sur terre, ce qui ne leur plaît pas du tout; j'avais acheté une trottinette kickbike exprès pour cela, que je n'utilise pratiquement pas!
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Je ne comprends pas... nous profitons pleinement de la vie, les chiens ne sont jamais déçus des activités que je leur offre! je ne m'attends pas toujours au pire, même très rarement, en choisissant presque toujours la sécurité! mais je suis plutôt du genre aventurier, comme le montre la vidéo réalisée dans une pente dissuasive: dans les courses de compétition, cette "dimension" est généralement absente, sauf pour les plus grandes comme l'Iditarod ou la Yukon Quest, ou même la Grande Odyssée, mais il faut beaucoup de chiens et d'argent pour y participer! et je ne suis pas sûr que les chiens qui y participent y vivent les meilleurs moments de leur vie! J'aime les "petites aventures" d'un jour pour retrouver le confort le soir et je ne pense pas que Saskia et Jiro me contrediraient!!! Certaines fois, rien ne se passe comme prévu, nous abrégeons la course à cause des mauvaises conditions de neige ou de la météo mais il arrive aussi que nous parcourons plus du double de ce qui était prévu, avec des chiens motivés, en forme, et des bonnes conditions. Si ce n'est pas ça, profiter de la vie, alors c'est quoi???
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Entièrement d'accord, comme par exemple les pistes de fond qui sont ouvertes aux courses; autre avantage, celui de profiter de l'organisation de la course, de la sécurité tout au long du parcours, comme des traversées de routes etc. Comme toujours, les avantages sont accompagnés d'inconvénients, par exemple le coût, les contraintes, la nécessité d'entraîner ses chiens en-dehors des courses, et là, il y a un gros problème, le manque de pistes préparées à cet effet: combien de mushers doivent aller entraîner leurs chiens de nuit sur des pistes de fond? Pour moi, l'essentiel est de profiter des meilleures conditions, que ce soit tracé ou non, de pouvoir rentrer lorsqu'on en a fait assez, d'être libre et indépendant etc. Quant aux rencontres, j'en fais aussi, certes moins que lors d'une course officielle.
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Il y a quelques années, mais je ne veux pas revenir sur cette histoire, un musher brutalisait ses chiens pour gagner du temps lors d'une course dans la région, au point que même la Presse locale avait relaté ce fait, car des témoins horrifiés avaient réussi à prendre des images de ces actes qui déshonorent le sport de mushing... Il y a bien longtemps aussi, les mushers voulaient conquérir une région afin d'y laisser leur nom dans l'histoire, comme par exemple Amundson dans la conquête du Pôle Sud: http://www.noatuk.fr/expeditions-polesud-amundsen-noatuk.html il exécuta une bonne partie de ses chiens pour nourrir les autres et en manger aussi! C'était une question de survie, j'en conviens, rien à voir avec les mushers qui ne peuvent actuellement qu'engueuler et éventuellement fouetter ou maltraiter leurs chiens pour glaner quelques minutes précieuses lors d'une course. J'ai beaucoup d'estime pour ceux qui arrivent à faire de la compétition en motivant leur chiens sans que leur envie de gagner passe avant le bonheur ou la santé de leurs chiens. Je suis aussi exigeant avec mes chiens, lorsque je les fais passer dans la neige profonde: En résumé , pour moi, qui ne porte plus jamais de montre depuis que je suis retraité, j'applique aussi à la lettre la devise du forum: ensemble dans l'effort avec son chien ou ses chiens...
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Quand Saskia se roule dans la neige, je ne veux pas que Jiro la traîne comme un sac, puis être obligé de les démêler chaque fois... Elle a le droit de jouir de ce plaisir qui lui permet aussi de conserver une si belle fourrure, qui fait que les personnes que je rencontre croient qu'elle est la plus jeune des deux! Nous ne faisons pas de compétition, l'essentiel est de profiter de la neige, de la nature et de se défouler! La vie des chiens est si courte qu'il faut en profiter à chaque instant, pleinement. Ceux qui forment leurs chiens pour la compétition ont d'autres objectifs, que je respecte, sauf en cas d'abus...
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Non, cela empêcherait Saskia de se rouler dans la neige pendant les pauses et leur limiterait la liberté de mouvement: ils ne pourraient plus inverser leur position au cours d'une descente; de toute façon ils courent bien lorsque Jiro se place en avant et légèrement décalé, la ligne de trait ne les dérange pas lorsqu'ils ont leurs harnais de trait. Avant, j'utilisais ce système, plus encombrant lorsque Saskia tirait trop peu:
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Saskia et Jiro ont 5 ans de différence et Jiro presque 10kg de plus que Saskia, donc il faut que Jiro puisse aller devant dans la neige qui n'enfonce pas et suivre la trace de Saskia dans la neige profonde, or lors d'une randonnée, il y a souvent des passages tracés, par exemple en raquettes ou motoneige, et des passages en neige vierge; la ligne de cou (neckline) doit être assez longue pour que leurs rôles puissent s'inverser facilement. Le point d'attache de la laisse à enrouleur doit coulisser sur la ligne de cou, ce qui est également la meilleure solution pour les descentes en yooner: dans la vidéo les chiens peuvent facilement échanger leur position, mais Jiro est toujours devant parce qu'il n'enfonce pas sur cette piste. S'il y a encore des à-coups, c'est parce que je n'utilise pas d'amortisseur élastique (bungee) qui alourdit la ligne de trait, ce qui la fait toucher le sol et là, les chiens peuvent trébucher dans la ligne de trait... Pour les simples promenades au bord du lac Léman par exemple, j'utilise une laisse à enrouleur attachée à ma ceinture avec Jiro, qui a le plus de force et que je dois pouvoir retenir si un chat part devant nous, alors qu'une laisse normale suffit pour tenir Saskia; il me reste encore une main libre, utile pour démêler les laisses etc.
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