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Tout ce qui a été posté par Blaise
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L'ouverture récente de la route du col du Grand St-Bernard nous a permis de retrouver l'or blanc, certes un peu grisâtre, mais de qualité suffisante pour mes petits loups: voilà ce qu'il reste des 14m de neige tombés au cours de ce dernier hiver: c'est en-dessous de la moyenne et aussi 3m de moins que l'année dernière, mais tout de même impressionnant: je n'ai pas prévu de grande course dans cette neige trop molle, qui pourrait partir en coulées dans les pentes raides; nous nous contentons d'explorer les abords du lac encore gelé, en profitant au maximum des névés de jeu: le versant italien du col: un coup de chaud est annoncé après la pluie de demain... j'espère qu'il restera de la neige dans cette région pour les 8 ans de Saskia, sinon nous devrons monter au glacier 3000, ce qui est coûteux et réservé pour l'été, comme dernier recours...
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Pas si moche que ça… un pauvre névé: comme Saskia et Jiro vont se sont dépensés sur cette vieille neige pendant un grand moment, j'ai pu les surprendre dans des attitudes bien variées: Saskia semble "à plat": mais pas pour longtemps: il y a encore quelques beaux couloirs, tels des autoroutes de neige: mais, plus bas, le printemps avance inexorablement: et, après la neige et une bonne récolte d'épinards sauvages, cerises sur le gâteau, ou plutôt, morilles sur l'entrecôte: ce sont les plus belles, qui vont être séchées; les autres, (dont les limaces ont été privées de leur festin) consommées dès le retour...
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Le Moléson, et à droite, le Teysachaux, vus d'en face, depuis le Niremont: nous continuons à suivre cette longue arête en restant le plus possible sur la partie plate de la corniche: la combe que nous aurions dû descendre est trop raide sans neige, sur ce chemin caillouteux, je ne serais pas parvenu à freiner mes louloups: une pause, côté Jura: nous voilà au sommet: mais pas pour longtemps, avec le brouillard qui s'invite: le lac de Gruyère disparaît peu à peu: et bientôt la vue sur les Alpes: nous redescendons vers le resto et la station du téléférique: la benne est là, je n'ai pas l'intention de m'attarder dans cet endroit peu idyllique: c'était le bon choix, mes huskies ont du succès dans cette cabine: la station intermédiaire pour les skieurs: depuis ici, le Moléson paraît bien pointu: depuis le Petit Plané, la vue est déjà différente: encore un névé de jeu: puis le Gros Plané: et le Teysachaux au fond, au pied duquel nous devons revenir: il reste une centaine de mètres pour boucler la boucle: Saskia et Jiro vont bien dormir après cette journée...
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Tremetta-Moléson C'est en montant dans la combe de Tremetta, à la recherche des derniers jardins de neige, que j'ai appris par une personne qui redescendait du Moléson, que le téléférique venait d'ouvrir! je ne pensais pas faire un aussi grand tour aujourd'hui, avec le risque d'orages annoncé! c'était pourtant l'unique occasion avant l'arrivée du bétail sur les alpages… dès les premiers névés, c'est le délire: nous abandonnons la combe neigeuse pour prendre de l'altitude: et voilà à l'alpage de Tremetta, un jack russel pour jouer: un nouveau névé et c'est reparti: derrière les petits loups, c'est le Teysachaux et même un petit bout du Léman: nous regardons de haut les derniers restes de neige à moins d'une heure de la maison: et, déjà plus hauts que le col, la vue vers les Alpes s'ouvre: le long de la crête, il reste des névés pour les pauses: le Teysachaux s'éloigne de nous: mais il reste encore un bon bout jusqu'au sommet du Moléson: les cris stridents des marmottes attirent leur attention: et nous faisons une longue pause sur ce balcon enneigé: à suivre…
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Changement de décor... pour une fois, ce ne sont pas Saskia et Jiro qui les ont effrayés: mes petits loups n'ont pas vraiment apprécié cette balade au bord du lac; ils me conduisent maintenant à la place de jeu: voici Maya, la jeune huskie de 4 mois: Jiro va saluer tous les autres chiens: Saskia reste à l'écart, pendant que la chaîne s'organise: voici la petite vidéo dans le vent:
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Oui, si on se lève tôt! Chaux Ronde Nous partons de l'alpage du Lavanchy Poy: pour le petit col Vy Boveyre, sur une route parsemée de névés; depuis ce col, le massif des Tours d'Aï, qui domine Leysin et Le Sépey, et la Tour de Famelon apparaissent: nous allons maintenant traverser l'alpage de Conche: ici, nous ne serions pas les bienvenus en présence du bétail: le 15 juillet de l'année passée, nous avions passé par ici: et trouvé encore 4 névés... mais le but était avant tout le lac des Chavonnes: pour éviter le bétail des alpages, nous avions dû nous contenter des grands chemins de Bretaye: galérer pour passer Vy Bobeyre: et sur les arêtes inaccessibles au bétail, donc difficiles d'accès... sur la neige encore dure, nous remontons une piste de ski du domaine de Villars: mais le sommet au programme se trouve plus à gauche: l'imposant massif des Diablerets apparaît: le sommet est formé d'un large replat favorable aux jeux et au roule-neige de Saskia: le Mont Blanc est derrière les cumulus: des chamois ont passé par ici: nous descendons par l'arête Est, qui présente un court passage raide et étroit: nous descendons la plus belle pente de neige de toute la région: et c'est le dernier moment, la neige enfonce déjà beaucoup avant midi et plus tard, le risque de coulée n'est pas exclu: je contemple cette pente que nous venons de tracer, depuis l'alpage de Perche: plus bas, nous trouvons encore des belles plaques de neige: et voilà le dernier névé avant le retour à la voiture: je m'arrête un court instant à la Forclaz pour voir l'éducation des chiens de protection des troupeaux, actuellement dans des enclos pour s'habituer à la garde des moutons: lorsqu'ils seront de garde dans les alpages, il ne faudra pas s'y aventurer!
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La Pierre du Moëllé Voilà 5 jours de suite que nous profitons des saintes glaces, une aubaine pour des huskies dans la force de l'âge: Jiro provoque Saskia, dans un paysage magnifique: la neige a durci pendant la nuit, ce qui ne les empêche pas de jouer à fond: la Tour de Famelon n'est pas le but d'aujourd'hui: la forte bise est trop désagréable pour faire une grande course: et la neige croûtée, qui porte le poids des chiens, enfonce parfois jusqu'aux genoux: c'est bien beau le soleil, mais c'est la mort de ce petit manteau blanc: qui protège encore mes articulations des cailloux et irrégularités du terrain: un peu plus de deux heures de neige, ça suffit pour aujourd'hui, après cette semaine blanche! il faut songer aussi à diminuer l'effort, en prévision du retour de la chaleur... la route est déjà dégagée jusqu'ici: et le bétail ne va pas tarder à envahir les lieux... voici encore un petit plan du site: et celui de la région:
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Col de Verne encore un col frontalier inconnu de mes petits loups: nous venons de Miex, le petit village au soleil, au-dessus de Vouvry (dans la vallée du Rhône): ce chalet d'alpage (appelé le Coeur) est conçu pour n'être jamais détruit par les avalanches: la neige est encore très bonne: la pente s'accentue à l'approche du col: il restait quelques séracs, blocs de vieille neige durcie tombés de la corniche: et ce névé disloqué, heureusement recouvert par la neige fraîche: ici, j'ai dû monter avant les louloups pour pouvoir les aider: enfin arrivés au col, la vue du côté français: derrière ces rochers: il y a le lac d'Arvouin, que Saskia et Jiro connaissent: c'était le 5 décembre 2013... la pause au col: ils sont intéressés par les 5 bouquetins dans la pente sous les Cornettes de Bise: une forte rafale de bise nous chasse de cet endroit particulièrement exposé: la descente est très agréable dans cette neige: le retour au printemps:
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Je ne connais pas spécialement le comportement des samoyèdes, sinon qu'ils aboient au lieu de chanter, qu'ils sont moins fugueurs et chasseurs que les huskies et qu'ils vont bien à l'attelage. Personnellement, je ne prendrais pas un petit chien qui ne pourrait pas être attelé avec Iwok, le petit chien serait certainement un excellent compagnon de jeu, il serait promené sans laisse et empêcherait le Sam de tirer en voulant jouer... j'ai connu cette situation avec ma première huskie blanche Nykyt qui avait une amie, un berger norvégien Buhund, toujours détachée en accompagnant l'attelage auquel Nykyt participait: elle perturbait Nykyt et l'attelage n'avançait pas: Avec un Jack Russel ou un terrier, ça aurait été pire: le Buhund norvégien est plus proche des nordiques, un peu plus grand que le Jack Russel mais tout aussi gardien et vif. Mais il existe des Jack Russel qui font du cani-cross...
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Voilà une photo qui montre l'attache d'un chien: ici, on voit l'un des bouts de la cordelette verte qui fait office de ligne de cou (neck-line), qui mesure entre 1,5m et 2m et qui a une boucle à chaque extrémité pour fixer chaque mousqueton et l'attacher au harnais; le noeud en bas de l'image sert à stopper la course du mousqueton au bout de la laisse à enrouleur: la boucle de ce mousqueton peut ainsi coulisser entre les deux noeuds distants d'un mètre environ, sans se coincer près des harnais ou colliers des chiens. Pour le ski-joering, j'ai cette photo, qui montre tout l'assemblage, y compris le système d'attache à ma ceinture: L'avantage d'avoir deux chiens est la stimulation pour toutes les activités: le jeu, la traction; la nourriture aussi: lorsque l'un des deux est anorexique, l'autre attend le moment où il pourra finir sa gamelle, mais évidemment que celui qui n'a plus faim va se forcer à manger le plus possible pour laisser le moins de nourriture au gros mangeur, même si les deux chiens sont devenus des amis inséparables; lorsqu'on a deux chiens qu'on ne peut pas détacher, comme bien des nordiques, il suffit d'aller dans un parc fermé pour les faire courir: Ma première chienne Nykyt a commencé à décliner à partir de 10 ans et je lui avais offert Saskia comme cadeau d'anniversaire pour ses 11 ans; sa vie a été prolongée jusqu'à 13 ans et 2 mois alors que son foie était malade, Saslia a repris de la vigueur depuis qu'elle est avec Jiro; la plupart des gens qu'on rencontre croient que c'est elle la plus jeune et même que c'est la fille de Jiro, alors qu'elle a 5 ans de plus que lui. Pour moi, ce n'est pas beaucoup plus compliqué d'avoir deux chiens plutôt qu'un seul, comme je suis tout le temps avec eux... et que j'arrive à leur offrir tout ce dont ils ont besoin, même 200jours de neige et 4000km (marche et course) par année.
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Ils ne peuvent pas s'emmêler parce que le point d'attache n'est pas fixe, le petit mousqueton coulisse entre deux noeuds bloquants; il arrive qu'un chien se prenne la laisse entre les pattes, mais ils savent comment se tourner pour libérer la laisse, pour cela, il est important que la laisse ne traîne pas au sol, ce qui est possible grâce au ressort de l'enrouleur.
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La neige fraîche au rendez-vous… Chaque année, comme d’ailleurs en 2014, les saints de glace ont lieu les 11, 12 et 13 mai 2014, et cette fois, le retour de l'hiver a été ponctuel dans ma région: 10cm de belle neige fraîche à partir de 1500m d'altitude, de quoi ravir Saskia: ce petit lac n'existe qu'au printemps: la végétation commençait à démarrer: non, Jiro, ici, il n'y a pas de bouquetins: par chance, je profite d'une trouée dans le brouillard qui me laisse quelques minutes pour apercevoir le lac et ma région: à droite, la face rocheuse de la Dent de Jaman: au fond, les montagnes où nous étions il y a quelques jours pour voir les bouquetins: de l'autre côté, le contraste net entre la verdure et la neige: mais une nouvelle bourrasque arrive: et tout va disparaître dans les tourbillons de neige soufflée et le brouillard: un moment après, les huskies veulent remonter: pourtant il n'y a aucun animal sauvage ici, seul le bouvier de la buvette de Jaman peut les attirer! les conditions de visibilité s'améliorent pour la descente: et la couche de nouvelle neige suffit à rendre agréable cette descente: jusqu'au petit lac: sous le col de Jaman, il n'y a pas de neige en-dessous de 1300m environ: l'année passée, le 27mai, mous avions profité du grand beau temps dans cette région:
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Les bouquetins se moquent de nous! Repartis pour la neige en face de Vevey, que je vois diminuer peu à peu depuis mon appartement, nous nous rendons du côté français depuis St-Gingolph à Novel: puis La Planche: mon projet initial est le col de Neuva, encore bien enneigé: et le retour par Trépertuis, dans une magnifique combe enneigée... mais les rochers de Rianda sont aussi un magnifique but de course, avec une pente qui a même été skiée il n'y a pas si longtemps: il y a un certain nombre d'années, j'organisais des randonnées à skis dans cette région, éloignée du tourisme de masse... la montée au col passe par la corniche ou la pente raide en bordure de névés éclatés: la vue sur le Léman depuis le col: finalement, je choisis le sommet des rocs de Rianda plutôt que la traversée vers le deuxième col: le lac Léman apparaît dans la région de Montreux-Villeneuve: la pente ne dérange pas mes huskies, qui ont certainement une piste en tête: il faudra bien quitter la neige pour atteindre le sommet: la Dent d'Oche est dans le brouillard: mais pas le bouquetin, bien visible: ce grand mâle semble se rapprocher de nous: mais disparaît sous le rocher tandis qu'un jeune attire l'attention des petits loups: son va-et-vient entre les crêtes abruptes excite surtout Jiro: je parviens à me caler dans une fente rocheuse recouverte de mousse pour éviter tout risque de chute, et prendre ces photos: après une longue attente dans une position inconfortable, dans l'espoir que Jiro se calme et que la curiosité du bouquetin l'emporte sur la méfiance, je me résigne à faire demi-tour, en assurant chaque pas et en m'agrippant à tout ce qui tient... si l'un des quatre a eu peur, c'est bien moi... et, à peine arrivé en lieu sûr, revoilà le bouquetin, exactement à l'endroit où nous étions il y a quelques minutes: bien sûr, Saskia et Jiro veulent remonter: je les entraîne de force dans la grande pente de neige et ils se retournent sans arrêt, comme si le jeune bouquetin les rappelait pour jouer: avec Nykyt, il y a des chances que le bouquetin soit venu plus près, peut-être même se seraient-ils reniflés... nous faisons encore une pause sur ce névé avant la grande descente: devant le Pic Boré qui nous cache le lac et les rochers de Mémise: fatigués, ils ne pensent plus à tirer et la descente est très agréable dans la neige juste "à point": Pendant la longue observation du jeune bouquetin, j'ai pu faire des vidéos; voici le montage des meilleurs extraits:
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Nous profitons des conditions excellentes pour les passages les plus raides de la descente: quelques longues minutes d'observation: la neige va vite manquer ici: c'était le dernier moment pour passer ici: sans la neige, cette pente est glissante et il faut assurer chaque pas: sous le sommet, on trouve une petite gouille dans une dépression: quoi de mieux que ce balcon avec vue sur le Léman et les Cornettes de Bise: le 24 avril dernier, nous étions juste derrière ce sommet encore blanc, car assez haut (2432m): devant les Cornettes de Bise, nous retrouvons la Pointe de Bellevue, où nous étions le 5 juin 2013: la vue sur le Léman y est bien différente: retour sur notre grand balcon de jeu: la deuxième partie de la descente va devenir très raide: on aperçoit la station des Crosets depuis ici: nous plongeons sur Monthey, dans de la neige qui enfonce bien assez pour retenir les louloups: le resto est encore fermé car inaccessible par la route: la voiture a pu monter presque jusqu'à 1500m d'altitude aujourd'hui: Saskia et Jiro rentreront propres dans la voiture, c'est super!! à part qu'ils n'ont vraiment pas envie de rentrer...
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La Dent de Valerette c'est le sommet devant les Dents du Midi, que nous allons atteindre depuis la crête à droite de l'image, puis en traversant jusqu'à la pointe de gauche, sur lequel il y a une croix: Saskia et Jiro étaient venus à Chindonne le 24 mai 2013 pour profiter d'une petite chute de neige poudreuse: et avaient rencontré la chienne du restaurant: cette fois, le sol était trop glissant pour gravir la Dent de Valerette, avec une petite couche de neige fraîche sur le pâturage. Aujourd'hui, c'était probablement le dernier jour pour profiter d'une neige idéale, bien stabilisée après deux nuits de regel: que c'est pénible, même dans ces conditions parfaites: le plus raide est fait, il faut continuer sur une magnifique arête: avec une vue aérienne: nous sommes tout près des Dents du Midi: la neige tombée il y a quelques jours tient bien au sol, tout en enfonçant juste ce qu'il faut: je vois ma maison depuis ici: de l'autre côté, au fond, c'est le Grand Combin, l'un des plus hauts sommets des Alpes (4314m): le sommet des Diablerets est derrière les petits loups: voilà le cairn, avec les Tours d'Aï au fond: le moindre replat est une place de jeu: nous arrivons sur la pointe avec la croix: la suite sera consacrée à la descente, déconseillée pour ceux qui ont le vertige...
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Une petite avalanche... Avec toute la nouvelle neige tombée depuis le 27 avril, Saskia et Jiro continuent d'en profiter: soudain, le bruit d'une coulée de neige intrigue les petits loups: nous sommes hors de portée des avalanches, dans un endroit idéal pour jouer: la coulée de neige est bien visible d'ici: nous restons dans la zone sûre: évitant les pentes trop raides: c'est très amusant de poursuivre ces petits rouleaux de neige: nous arrivons plus près de la coulée: c'est une petite plaque d'ancienne neige qui a glissé: il n'y a aucun risque d'en voir une autre, et pour trouver la meilleure neige, nous allons au fond de la combe: à cette saison, une brève et timide apparition du soleil et la neige est loin: il reste encore un névé de jeu: le 19 mai 2013, il y avait encore beaucoup plus de neige ici: et même encore le 2 juin:
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Ouf... ça faisait si longtemps, plus d'un mois, que nous n'avons plus revu de neige fraîche dans les hauts de Vevey. L'ancienne neige était devenue si sale, dans les rares endroits où il en restait, que les petits loups s'intéressaient plutôt à ce qu'il y avait dessous ou à côté. Aujourd'hui, c'est une nouvelle page de bonheur qui s'ouvre: Demain, un nouveau service est annoncé au-dessus de 1300m d'altitude...
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