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Blaise

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Tout ce qui a été posté par Blaise

  1. Blaise

    Saskia dans la neige en octobre 2011

    Et voici les restes de cet épisode neigeux, toujours entre 1600m et 1700m d'altitude, où l'on mesurait hier matin jusqu'à 40cm: Saskia ne s'est roulée qu'une fois dans ces 2 à 5 cm de neige détrempée après cet incroyable redoux de 24 heures, faisant remonter l'isotherme 0°C de 1500m à 3500m tout en arrosant copieusement le manteau blanc! mais cela valait quand même la peine de monter pour retrouver un peu de fraîcheur: et pour le paysage: au soleil couchant, la Cape au Moine (1941m): et encore quelques myrtilles:
  2. Blaise

    Saskia dans la neige en octobre 2011

    Nous voici de retour à la neige le lendemain, et avec le soleil en prime! Mais vers un autre col, entre le Sépey et le lac de l'Hongrin. A voir ça, à 1400m à peine, il a encore bien neigé depuis hier: dès la sortie de la voiture: au fond, le lac de l'Hongrin, qui, à 1255m, est déjà en-dessous de la limite de la neige: Saskia doit faire des bonds pour se sortir des 30 à 40 cm: et, en retombant, elle disparaît presque entièrement sous la neige: un petit passage de brouillard... puis la fatigue nous pousse à quitter la neige profonde et à suivre la route d'alpage des Charbonnières, qui avait été tracée hier: que c'est moins pénible! mais il y a toujours des choses intéressantes à côté: au soleil, la neige s'est déjà transformée: et, 100m plus bas, il y a déjà beaucoup moins de neige! encore des feuillages d'automne, eh oui, nous sommes au début octobre: et il fait vraiment chaud au soleil: derrière Saskia, le Gros Van culmine à 2189m: et les Grandes Charbonnières (1655m): le chemin du retour jusqu'au col du Moëllé est encore long: surtout si Saskia sort de la trace souvent: et si elle se roule sans arrêt: et nous voici de retour; le resto est encore ouvert:
  3. Nous voici vers le col de la Croix, entre les Diablerets et Villars. Vers 1400m d'altitude, les arbres encore en feuilles supportent de plus en plus mal cette neige mouillée: Vers 1600m, les sapins n'ont pas de problème, et il fait –1°C: Et vers 1800m, avec –2°C, des glaçons se sont bien formés: Saskia s'est éclatée pendant deux heures: sur le chemin du retour: ... pendant ce temps, à Vevey, il a plu toute la matinée.
  4. Blaise

    Quelle race ????

    Pour moi, le plus endurant est certainement le groenlandais, mais il supporte mal la chaleur. ces deux ne sont jamais fatigués! et celui-ci, non plus: mais il est moins rapide qu'un husky! et voilà deux groenlandaises qui ont parcouru des milliers de km:
  5. Voici la grand-maman, âgée de bientôt 12 ans: c'est la plus âgée des potes à Saskia, elle était surtout attelée avec Nykyt, ma regrettée huskie toute blanche qui a parcouru des milliers de km... la grand-maman, qui est groenlandaise, a eu plus de 20 chiots et se porte bien: ce n'est pas de la neige, hélas, mais une nappe de brouillard au ras du sol, qui s'est formée à la tombée de la nuit! Saskia pose sur un tronc: un peu de creusage dans cette combe jurassienne située à 1400m d'altitude: Quelques portraits des copains d'attelage de Saskia dans les parcs: le bel husky blanc à poil dense: les deux jeunes chiennes croisées border et groenlandais que j'ai réussi à photographier ensemble! un exploit, tellement elles sont agitées! leur père: leur mère: le beau mâle groenlandais solitaire:
  6. Blaise

    Saskia et Jawa

    Au bord du lac Léman, Saskia a rencontré des tas de petits copains, car il y avait foule, par cette belle journée chaude d'automne: Voici Jawa, 3 mois, dont la race est facile à déterminer: plouf, le petit caillou qui est tombé dans l'eau intéresse Saskia: encore un? Jawa trouve plus drôle de retenir Saskia par sa laisse: mais il ne faut pas trop l'encourager à faire cela et Saskia s'est retournée: les adieux:
  7. L'entrainement au sens large, comme lorsqu'on dit "il a de l'entrainement", OK, il en a assez fait pour faire encore un peu plus... Mais l'entrainement pour avaler des km, pour faire travailler ses muscles, pour se mettre en forme, ça a un sens pour l'homme, mais pas pour le chien. Pour le chien, il faut une autre motivation, comme le jeu, la chasse etc. Je connais des mushers qui ont fait de la randonnée lorsqu'ils avaient 4 chiens, puis se sont tournés vers la compétition et ont pris de nouveaux chiens de course... Eh bien, quel changement de mentalité, avec un plan d'entrainement nécessitant des longs déplacements pour pouvoir utiliser les pistes spécialement pour les chiens de traineau, évidemment pas gratuites, des chiens stressés qui laissaient des longues trainées de diarrhée... au lieu d'utiliser la neige tout près de chez eux mais qu'il fallait d'abord tracer! Je connais aussi des mushers qui ne font qu'une ou deux courses par saison, mais qui ont gardé le contact avec la randonnée, la neige non damée. A mon avis, leurs chiens paraissaient mieux équilibrés...
  8. Si c'est pas de l'entrainement, tu appelles ça comment? Ce que tu décris c'est aussi le type d'entrainement utilisé pour préparer de chiens a de la mid ou de la LD. Après la compétition c'est un choix personnel du musher. Mais c'est crois moi une bonne école qui évite de faire bien des conneries avec les chiens. Alors, pourquoi ce n'est pas de l'entrainement, pour moi : l'entrainement est conçu en général en vue d'un objectif, celui de faire une performance, soit une très grande course, soit une compétition, sans même viser une première place, en bref d'améliorer un résultat; c'est donc une étape préparatoire à une course. Quand j'ai attelé mes chiennes, ce n'était jamais pour des entrainements, mais bel et bien pour faire des courses, appelons ça des randonnées, dont le but principal était de découvrir des nouveaux paysages, de rassembler les chiens pour en faire un attelage plutôt que de les promener en laisse. Comme ces chiens ne peuvent être détachés, ils parcourent la même distance que la personne qui les promène, donc mieux vaut les faire tirer que marcher au pas, et courir si la neige et l'inclinaison du terrain le permettent. Pour moi, une course est un but en soi et toutes les sorties dans la neige en sont, donc je ne fais aucun entrainement, mais je choisis les buts pour un dosage progressif du temps et de l'intensité de l'effort, en faisant des pauses souvent! Voilà pourquoi je parle d'une autre manière d'être ensemble dans l'effort avec son chien ! " ensemble dans l'effort avec son chien " est d'ailleurs écrit sous le nom du forum et c'est ce qui m'a inciter à m'inscrire au forum, maintenant, j'essaie de faire comprendre ma conception de l'effort avec son chien tout en n'excluant pas la compétition, qui reste la principale motivation pour les bipèdes, mais certainement pas pour tous les chiens.
  9. Il faut bien un leurre pour motiver les lévriers! Là, c'est le musher qui est motivé par les chiens: etc. Dans le post "Mes plus belles images de traîneau", j'ai montré l'énorme travail qu'il faut accomplir pour tracer des pistes, faire passer des attelages en terrain difficile, si c'est pas du sport, ça... Mais ce n'est ni de la compét, ni de l'entrainement! Et pas besoin de motiver les chiens!! Ils m'ont toujours suivi, car le traçais devant avec mes skis de fond. Il fallait choisir une progression dans le dosage de l'effort: première course de moins d'une heure, de 2 à 4km suivant l'épaisseur de la neige, puis des courses de plus en plus longues, jusqu'à 4 ou 5 heures et 15 à 35km selon l'état de la neige en fin de saison, mais aussi une réduction en toute fin de saison, déjà à cause de la chaleur en avril. Pas d'entrainements préparatoire à part de la marche avec les chiens en laisse et le kart dès que le thermomètre descend en-dessous de 10°! Jusqu'à 52 courses en un hiver, y compris les nocturnes, avec des chiens toujours motivés par la variété des itinéraires, les mushers parfois moins lorsque la neige collait. Pas de chien blessé à part une ou deux égratignures aux coussinets à cause des barbelés. Et des paysages qui restent gravées dans les souvenirs: Ainsi que les traces: cette dernière image montre la piste tracée dans un dévers incontrôlable car il y avait une couche de neige très dure en surface, qu'il a fallu casser à la pelle pendant plus de 2 heures et à deux, ceci à 2km du lieu de départ, sans quoi nous n'aurions pas pu faire de traîneau, c'était le seul parcours de la région où il y avait encore assez de neige... sans compter la neige rajoutée à certains endroits! ça, c'est l'entrainement des mushers pour la course En bref, il s'agit d'une autre philosophie, d'une autre conception du sport avec les chiens, qui n'aboutit à aucun podium, mais laisse des souvenirs d'aventures extraordinaires. Sans jeter la pierre aux compétiteurs! Mais j'aimerais qu'ils arrêtent de croire et de répéter à toutes les sauces que le sport, c'est la compétition (même sans viser une première place au classement!) et que c'est le seul moyen de faire travailler les chiens et l'unique plaisir des chiens bien entraînés !
  10. Je suis d'accord avec ta dernière phrase, et avec des hivers de moins en moins enneigés, cela ne va pas s'arranger... En revanche, je connais des mushers qui continuent à ne faire que des courses, sans jamais terminer parmi les premiers au classement, seulement pour utiliser les pistes bien préparées! Et avec des chiens hyper-motivés après les entrainements sur terre!! Tant mieux pour eux, si chacun y trouve son compte. Si leurs chiens ne connaissent que ce mode de travail, ils ne pourront pas manifester de préférence, tout comme un chat d'appartement, ne connaissant pas le monde extérieur, est heureux dans son appartement!
  11. et bah je vais être vulgaire, mais ça fait mal au cul d'entendre des choses pareilles quand on sait combien de km on fait pour trouver de nouveaux chemins, combien de fois on se perd parce qu’on prend a droite a la place de continuer droit comme d'habitude... Blaise, tu n'aimes pas la compèt, soit, mais ne dénigre pas ceux qui en font, là tu nous fait passer pour des barbares... Je dénigre seulement ceux qui font presque toujours les mêmes entraînements et qui privent leurs chiens d'exercice deux à trois jours (voire une semaine entière) avant une compétition, pour que toute leur énergie se dépense lors de la course; de cette façon, les chiens vont être sur-motivés! Ils s'agit aussi de mushers qui travaillent la semaine et attendent le week-end pour faire courir leurs chiens, certains ne font que les courses, par manque de pistes préparées pour l'entraînement des attelages, dans ce cas, les chiens ne connaissent que l'entraînement au kart, et vont se sentir tellement mieux sur la neige...
  12. Quand je dis nourrir spécialement pour la compétition, ça ne veut pas dire mal nourrir en vue d'une randonnée! Il existe des compléments alimentaires nécessaires pour des efforts intenses, comme pour les grands froids et un aliment conçu pour les expéditions polaires, le pemmikan, que l'on ne va pas donner à des chiens qui font 5 km de randonnée en traîneau, même dans la neige profonde! Ce serait pour en faire des chiens en surpoids... Si le musher fait en sorte que les entraînements soient monotones, peu variés, il est clair qu'une compétition leur apportera plus de plaisir! Pour ce qui est du podium, un banc peut suffire à ma Saskia pour être fière:
  13. Dire que les chiens sont fiers d'eux, c'est de l'anthropomorphisme! C'est le maître qui est fier d'eux et non le contraire. Je connais l'histoire du chien qui a gagné chaque course de cani-cross pendant un certain temps et qui, lorsqu'il est arrivé deuxième, a sauté sur le podium de la première place; est-ce par habitude ou par fierté d'avoir simplement participé à la course? Si le chien devait choisir entre une compétition, que ce soit n'importe laquelle, et une activité dans la nature, par exemple le creusage pour certains, ou une promenade avec son maître avec des jeux ou encore une baignade pour un labrador, le choix serait vite fait! Pour moi, la compétition est plus le plaisir de l'homme que du chien, la preuve est claire: il faut motiver le chien pour la compétition, l'entraîner méthodiquement, le nourrir spécialement en fonction de l'effort qu'il devra accomplir, alors que, pour le défouler en lui offrant des activités physiques dans la nature, rien de tout cela n'est nécessaire. Je ne suis pas contre la compétition, mais je pense que ce n'est pas l'unique façon de faire travailler son chien, et j'entends souvent dire qu'il n'y a que ça de valable pour son (ses) chien(s). J'admire tout autant le musher qui gagne des courses que celui qui utilise ses chiens pour tirer du bois au lieu d'une motoneige (pour autant que les chiens soient bien traités dans les deux cas!).
  14. Je n'ai pas non plus dit que la compét, c'est hypernégatif, mais que si tous les entraînements sont orientés vers la compét, alors oui! Pour moi, le chien est au centre, donc: 1) il est le compagnon idéal pour les activités sportives (j'ai évité ici le mot sport), que ce soit des randonnées dans la nature, ou l'entraînement sur des pistes préparées, ou la compét. 2) il doit être préparé à toute activité qui pourrait le dégoûter si sa préparation pour cette activité est insuffisante, voire le blesser physiquement. 3) il doit être affecté à des tâches compatibles avec sa race, en tout cas lorsqu'il s'agit de compétitions.
  15. Je n'ai jamais dit qu'un croisé doit rester sur un divan toute la journée, il ne faut pas interpréter mes propos!!! Encore moins qu'il n'est à la base prévu pour aucun sport. C'est quoi, un sport????? Pour certains, sport = football Pour d'autres, sport = compétition J'ai bien l'impression que vous appartenez presque tous à cette seconde catégorie!!! Faire des balades en traîneau dans la neige non damée, du ski-joring hors des pistes bien préparées, des marches en montagne, pour vous, ce n'est donc pas du sport. Alors là, je me pose des questions...
  16. Blaise

    Saskia dans la neige en septembre 2011

    De la neige de printemps, 6 jours plus tard: http://youtu.be/YaxDGQF5Xg8 Mais il fallait remonter vers 3000m d'altitude pour en trouver: Avant de quitter cette région pour longtemps (installations fermées pour réparations et entretien avant la saison de ski), nous sommes montés au point de vue pour un portrait de Saskia devant le sommet des Diablerets: et pour revoir la région où nous avons rencontré les bouquetins il y a 6 jours: entre les nuages, on aperçoit le col de Seron (2150m): il ne reste plus rien de la dizaine de cm de neige...
  17. Faire des courses pour l'ambiance, je le comprends, c'est surtout le musher qui s'y retrouve! Piste bien damée et balisée, rapide, incitant les chiens à la performance et le musher à les préparer en conséquence, donc à les entrainer... Ce n'est pas du tout mon objectif, ni d'ailleurs de déranger les animaux sauvages en pleine nature! Il existe des parcours balisés ou tracés, sinon à tracer soi-même, qui permettent de promener ses chiens sans s'astreindre à la logique de la compétition, et qui ne demandent pas d'entrainement préparatoire!!! Pour découvrir ces itinéraires, il faut un peu d'imagination et de lecture de cartes...
  18. Blaise

    Saskia dans la neige en septembre 2011

    Oui, et je ne prends pas toujours mon appareil de photo, car certaines balades ne méritent aucun reportage. Le but est de rechercher l'aventure, sans devoir parcourir des centaines de km!
  19. Tout à fait! Un border bien habitué peut faire du traineau, mais le soumettre à un entrainement intensif va, à mon avis, à l'encontre de ce que la nature l'a habitué, génétiquement! J'ai suivi de nombreuses fois un border au traîneau et je suis arrivé à la conclusion qu'il peut prendre du plaisir à cette activité à condition de respecter le fait qu'il va se comporter différemment dans certaines situations: là, il me suit au lieu de rester sur la trace... ceci n'est qu'un exemple qui montre qu'un border, même bien entrainé, n'est pas un husky, tant mieux, le border sait faire d'autres choses bien mieux que le husky... Peut-être que d'autres borders ont perdu leurs traits de caractère et sont devenus de bons chiens de traineau de compétition, d'accord! Mais je pense que les éleveurs ont développé des aptitudes propres à chaque race et que c'est contre-nature d'entrainer un border ou un labrador à des courses de traineau!!! De toute manière, l'entrainement intensif, même en vue d'une compétition, ne doit pas se faire dans le stress, et, je le répète, j'ai vu des mushers qui insultent leurs chiens, renoncent à entrainer ceux qui ne sont pas au top de leur forme... je le comprends, tout en le désapprouvant: c'est là, le problème fondamental: peut-on légitimer le plaisir égoïste du musher qui veut faire de ses chiens des bêtes de course? Mon avis est tout autre: refus du stress, de la volonté de dépasser ses concurrents etc. Volonté de passer un obstacle naturel, de se mesurer aux éléments naturels, d'accord. Mais choisir un itinéraire en fonction de la préparation physique de l'attelage et du musher. Je préfère cette formulation à celle de l'entrainement qui est , à mon avis, orienté vers la compétition et représente les inconvénients liés aux courses. En d'autres termes, c'est une certaine philosophie que je défend, celle de la randonnée bien préparée.
  20. C'est clair qu'on ne va pas faire 25 km en traîneau la première fois que les conditions sont bonnes, les chiens seraient "cassés" pour toute la saison! Il faut évidemment respecter une progression dans les efforts. Si c'est ça que vous appelez entraînement, je suis entièrement d'accord! Mais il y en a qui confondent "entraînement" et "entraînement intensif" et sont capables d'insulter leurs chiens s'ils ne tirent pas assez, en bref d'ajouter une note de stress aux sorties... Ce que je veux dire, c'est que si ça se fait en vue d'une compétition avec des alaskans huskies, c'est scandaleux de le faire avec des chiens comme des border collies ou autres races non prédisposées à l'attelage de compétition, puisqu'il était question de cela!!!
  21. En fait, c'est le terme d'entraînement qui me gêne, car il est lié à une progression dans les performances. Et le but n'est pas de faire des performances, mais de faire travailler ses chiens, comme ils seraient obligés de le faire s'ils devaient chasser pour survivre! Là, c'est pour le plaisir uniquement, de découvrir des paysages, de parcourir des km, ou de la dénivellation, sans avoir à battre un concurrent, sans devoir faire un temps record, sans devoir être meilleur... La performance est ailleurs, c'est de faire le meilleur parcours, le mieux adapté à la forme de ses chiens, offrant un plaisir maximal à tous, y compris au musher!!!
  22. Ceci est valable pour ceux qui pensent aux courses, à la compétition! Si un border collie a du plaisir à tirer un traîneau avec ses copains, il faut lui accorder ce plaisir sans penser tout de suite à un entraînement en vue d'une course. Une belle balade dans la neige lui sera tout autant profitable qu'au musher! A mon avis, l'esprit de compétition est contreproductif dans ce cas précis. Regardez ce border: http://youtu.be/NZbgDAyF1LQ http://youtu.be/QWRzY8QOKCw Il a du plaisir à ramener le frisbee et comme chien de tête dans la neige non damée! Ce ne sera ni un champion pour attraper le frisbee en plein vol, ni un chien de compétition de courses de traîneau!!! Il a du plaisir à pratiquer ces activités, c'est l'essentiel, non?
  23. Voici les autres chiens qui ont été attelés avec Saskia: Bingo, le border collie qui joue aussi bien avec un frisbee: http://youtu.be/NZbgDAyF1LQ Kiwanik, la groenlandaise lécheuse: Kiwok, le puissant groenlandais: Saskia avec Kiwok: Saskia et Kiwok, avec, derrière, la plus petite, chienne buhund norvégienne, qui aboie beaucoup et suit les attelages partout, détachée: ici, la différence de taille est bien visible: enfin, Saskia sans collier ni harnais, libre, dans le grand parc au Val de Travers (Jura):
  24. Une aventure périlleuse qui mérite un nouveau post! Saskia, que vois-tu là-haut? Regarde devant toi! Saskia, devant!!! Devant, devant!!!!! C'est bien, Saskia! Je devais être de plus en plus attentif, au cas où elle me tirerait en bas, avec ce sentier de plus en plus étroit... Plus près, doucement: Avec le zoom, sans tricher avec l'inclinaison: Ils bougent! Ils partent... Je veux les suivre! Où ont-ils passé? Je les sens bien! Ils redescendent! Mais il y en a encore un! Ah, celui-là, je l'ai eu: Je continue sous le chemin, c'est moins raide! Tu as bien raison, Saskia! J'en profite pour prendre un peu d'avance... Après une brève pause: Il y en a encore! Saskia rejoint le chemin: En voilà d'autres! Elle détourne le regard, est-ce une véritable stratégie? Quelle vue! Il y en a encore beaucoup, plus loin! Plus haut, ils ont aussi marqué leur passage: Donc avec Saskia, impossible d'en voir un de vraiment près, comme c'était le cas avec ma regrettée Nykyt: Elle les attirait au lieu de les faire fuir: Et si Saskia arrivait à en approcher un de trop près, je pense qu'elle se ferait encorner...
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