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Tout ce qui a été posté par didy551
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Le club des reveuse de Western (futur cow girl !) ^^
didy551 a répondu à un sujet dans Discussions Libres
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Le club des reveuse de Western (futur cow girl !) ^^
didy551 a répondu à un sujet dans Discussions Libres
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Le club des reveuse de Western (futur cow girl !) ^^
didy551 a répondu à un sujet dans Discussions Libres
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Etant future agricultrice, je peux vous dire que parfois les agriculteurs sont prets à tout pour recuperer un lopin de terre dont faire de fausses dénonciations Mais il n'y pas que les agriculteurs, certaines personnes qui ne connaissent rien en chevaux croient que les chevaux au pré l'hiver sont maltraités. Par exemple, y'a une dame qui venu dans mon club pour dire que les chevaux qui étaient au pré étaient maltraités et que l'on ne leur donnait pas à manger alors qu'ils ont du foin tous les jours et que certains sont même trop gras... Elle a même pris un hongre pour une jument pleine Il est juste un peu gros...
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Reine ma percheronne de 5ans !
didy551 a répondu à un(e) sujet de lachtitefifine dans Vos Chevaux & Poneys
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[img][/img] [img][/img] Je vous présente Bourbon, un p'tit gars de 11 ans. C'est un des chevaux western de mon club et il est biensur mon préféré. C'est mon Bourbichou... Désolé les photos ne sont pas de superbe qualité (je suis pas douée), donc petite description: il est d'origine appalosa, il a une robe isabelle capée et un oeil vairron sinon coté caractère : il est pas spécialement très acceuillant quand on vient le voir, en fait il utilise beaucoup ses dents mais à part ça et quand il nous accorde sa confiance c'est un amour et il est extra à monter C'est le meilleur!!!!! Alors qu'en pensez-vous?
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Chapitre 3 Spoiler: Laura et Lou se précipitèrent dehors. - Madame Roche, commença Lou, j’allais justement vous téléphoner, il y a… Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase. Madame Roche fonça droit sur elle. - Louise Fleming, j’ai un mot à vous dire ! Lou garda son calme. - Madame Roche, laissez-moi vous expliquer… Mais Mme Roche n’était pas d’humeur à l’écouter. - Je suis venue chercher mon cheval cet après-midi convaincue qu’il était guéri ! Mais à peine l’ai-je sorti sur la route qu’il a failli passer sous un car. C’est peut-être ce que vous appelez guérir un cheval, mais ce n’est pas ce que j’attendais ! - Madame Roche, vous ne comprenez pas… - Oh que si ! Vous vous êtes servies de la réputation de votre mère, mais vous n’avez pas son expérience ! - C’est une erreur ! explosa Laura. Ce n’est qu’un regrettable malentendu. Swallow n’aurait jamais du quitter Heartland ! Nous voulions vous téléphoner. - Laura a raison, renchérit Lou. Nous sommes désolées. Si vous voulez bien nous ramener Swallow, nous continuerons à le soigner à nos frais. - Le ramener ? Il n’en est pas question ! Je vais le confier à des gens qui connaissent les chevaux ! Ses yeux lançaient des éclairs. Elle tourna les talons et jeta par-dessus son épaule : - Je ne vais pas en rester là ! Croyez-moi, vous pouvez dire adieu à votre centre ! Plus personne ne prendra le risque de vous confier des chevaux ! Furieuse, elle monta en voiture, claqua la porte et démarra en trombe. - Génial ! lança Lou. - Comment rattraper le coup ? se lamenta Laura. - Aucune idée. Que veux-tu faire ? Je vais lui écrire une lettre d’excuses et lui expliquer le quiproquo. Mais je doute qu’elle change d’avis… Quelle tuile ! C’est bien le moment ! - Je suis désolé, Lou, ajouta Ted. J’aurais du réfléchir. Laura le fusilla du regard. - Je n’arrive pas à croire que tu aies laissé faire ça ! Le visage de Ted se crispa. Lou vola à son secours. - Hé ! Ce n’est pas sa faute, Laura ! C’est moi qui est eu Mme Roche au téléphone, et ce matin tu as tout de même laissé entendre que Swallow était guéri. Laura ne voulut pas en démordre. - Comment as-tu pu être aussi stupide, depuis le temps que tu travailles ici, Ted ! Ted pâlit et tourna brusquement les talons. Laura regretta aussitôt ses paroles. - Ted ! s’écria-t-elle. - Bon, le mal est fait. Tu ferais mieux d’aller lui parler, soupira Lou. Laura courut à l’écurie. - Je suis désolée, Ted, dit-elle en posant la main sur son épaule. - Laisse tomber, grommela-t-il. - Je ne pensais pas ce que je disais ! - Possible, mais tu l’as dit. Laura se tut. - Je vais panser Jasmine, ajouta Ted froidement. Et il la planta là. Laura le suivit du regard. Ce n’était pas la première fois qu’elle se mettait en colère. Mais là, elle avait blessé Ted. Troublée, elle revint lentement vers la maison. - Qu’est qu’on va faire, Lou ? gémit-elle en s’asseyant face à sa sœur. - Si Mme Roche ébruite cette histoire, ça ne va pas arranger les choses. Attendons que l’orage passe. Je crois vraiment que nous devrions apporter quelques changements à Heartland. - Quel genre ? Laura redoutait les propositions de sa sœur. Malgré ses 23 ans, Lou avait un esprit de femme d’affaires. Mille fois Laura avait contesté ses suggestions ! Certaines s’étaient pourtant révélées bénéfiques. - Pour commencer, continua Lou, on devrait mettre un peu d’ordre dans la pagaille de la cour. Ranger les fourches qui traînent par terre, enlever la paille qui jonche le sol, entasser le fumier ailleurs. Tout ça donne mauvaise impression aux clients qui débarquent ici. - C’est parce que grand-père n’est pas là qu’on a trop de travail ! - D’accord, mais ce n’était guère mieux avant. Les portes des box ont besoins d’être repeintes et l’écurie mieux entretenue. Laura fronça les sourcils ; Elle aimait les lieux tels qu’ils étaient. - Peut-être, marmonna-t-elle sans conviction. - Puisque tu es d’accord, nous allons nous y mettre pendant le week-end. Mary nous donnera un coup de main. Nous devrions aussi penser à un peu de publicité. Elle se tourna vers Laura. - Tu te souviens de mon idée de distribuer de brochures ? Cela pourrait nous apporter quelques pensionnaires en plus. On aurait alors les moyens d’engager un palefrenier à mi-temps, par exemple. - Oui, mais quelqu’un qui sache à la fois s’occuper des chevaux et les soigner selon nos méthodes. - Ça Tombe sous le sens ! Où est le problème ? Laura fit la moue. Ce ne serait pas si simple de trouver la personne idéale. Dans le monde équestre, rares étaient ceux qui prenaient en compte la détresse des chevaux. D’ailleurs, il ne s’agissait pas d’engager un nouvel employé, mais de trouver de nouveaux clients. Ted et elle s’en tiraient très bien seuls. Laura se lava. - Je ferais mieux de retourner à l’écurie. Elle trouva Ted occupé à entasser les bottes de foin. Lui avait-il pardonné ? Elle prit une fourche et se mit à l’aider. - Lou a une idée pour attirer d’autres clients, avança-t-elle, mal à l’aise. Ted ne répondit pas - Elle veut distribuer des brochures publicitaires aux selliers et à nos fournisseurs. Il ne leva même pas la tête. - Elle trouve aussi que nous devrions rendre la cour plus attrayante. Qu’est-ce que tu en penses ? demanda-t-elle d’un ton enjoué. Cette fois, il la regarda. - Je m’occupe d’une quinzaine de chevaux et la journée n’a que 24 heures. Je nettoierai la cour dès que je le pourrai. - Ce n’était pas une critique, Ted ! De toute façon ça fait aussi partie de mon travail ! Ted enfonça rageusement sa fourche dans le foin. - Parfait ! Eh bien, je vais commencer à balayer. - Ted ! attends ! cria-t-elle. Elle hésita, puis décida de le rattraper. - Je suis désolé… Je te l’ai déjà dit… C’est ma faute, ce matin je ne pensais qu’à finir mes devoirs. Elle le retint par le bras. - S’il te plait… Je ne veux pas qu’on se dispute. Tu es trop important pour moi… et pour Heartland. A ces mots, Ted se détendit un peu. Laura lui lâcha le bras et ajouta avec un rire nerveux pour cacher son trouble : - On dirait que mes mais ne peuvent pas faire autrement que de s’accrocher à toi ! - Je fais toujours cette effet aux filles, marmonna-t-il avec un sourire ; - Oui, dans tes rêves ! gloussa-t-elle, comprenant qu’elle était pardonnée. Dis, je suis vraiment désolée… - Bon, n’en parlons plus. J’ai mal réagi, moi aussi. Mais la charge de travail est lourde depuis que ta mère n’est plus là. Le visage de Laura s’assombrit. - Hé ! reprit-il doucement. Ne fais pas cette tête, on s’en tirera ! - Oui, soupira-t-elle. Il était l’heure de nourrir les chevaux. Laura partit chercher Pegasus dans le pré. Ce dernier remonta lentement le chemin ; il avait maigri et semblait épuisé. La médecine douce ne donne pas des résultats immédiats, et l’huile de bergamote n’avait pas fait grand effet. Laura le ramena dans son box. - Je vais lui préparer une bouillie de son, dit-elle à Ted en le rejoignant au fond de l’écurie. Il faut qu’il mange. - Propose-lui aussi une banane et du miel, c’est plein d’énergie, suggéra-t-il. Elle eut beau ajouter à la préparation de la poudre de menthe qu’il adorait, Pegasus demeura indifférent. - Qu’est-ce que je peux faire pour toi, Pegasus ? murmura-t-elle, angoissée. On voyait ses côtes saillir. Son regard était morne. Il hennit faiblement. Laura appuya la joue contre son encolure. Le voir aussi mal en point lui déchirait le cœur. Elle quitta le box et annonça à Ted : - Je vais appeler Scott. - Bonne idée. Laura téléphona au centre vétérinaire. - Ce n’est pas vraiment urgent, Scott, mais nous sommes inquiets. - Dans ce cas je passerai ce soir après ma tournée, promit-il. A 6h30, la vielle Chevrolet de Scott remonta la piste. - Donc, Pegasus refuse toute nourriture ? demanda-t-il tandis que Laura l’accompagnait jusqu’à l’écurie. - Oui… Je crois que maman lui manque toujours. Scott lui pressa affectueusement la main. Il était grand, avec de larges épaules et un beau visage. - Je ne décèle rien d’anormal, mais il a perdu beaucoup de poids, dit-il en examinant Pegasus. Il s’agit peut-être d’un virus. Est-ce que d’autres chevaux présentent les mêmes signes ? - Non. Scott sortit une seringue de sa sacoche pour effectuer une prise de sang. - Tu crois que c’est à cause de maman ? demanda Laura. - Certains en doutent mais d’après moi les chevaux éprouvent du chagrin quand ils perdent leur maître. Les symptômes de Pegasus peuvent aussi bien être de nature émotionnelle que résulter d’un virus ou d’une maladie plus grave. - Une maladie plus grave ? répéta Laura, inquiète. Elle n’avait pas envisagé que Pegasus puisse tomber malade. - Ne t’affole pas, Laura. Nous aurons les résultats des analyses dans un jour ou deux. Laura caressa Pegasus et poussa un soupir. - J’espère que ce n’est rien… Lou arriva à cet instant. - Salut, Scott ! Il se retourna, et son regard s’illumina. - Comment ça va ? - Bien. Et Pegasus ? Il lui répéta ce qu’il avait expliqué à Laura. Lou lui ouvrit la porte du box. - Vous… vous voulez boire quelque chose ? proposa-t-elle timidement. Laura regarda sa sœur et la vit rougir. - Avec plaisir, répondit Scott en souriant. Troublé, il oublia la présence de Laura. - Tu viens avec nous ? lança Lou. - Non, je préfère rester avec Pegasus. Elle les suivit des yeux. Lou et Scott commençaient-ils enfin à s’apprécier ? Laura entoura le cou de Pegasus et lui chuchota à l’oreille : - Ils vont bien ensemble, tu ne trouves pas ? Pegasus redressa la tête comme pour acquiescer. Laura sourit. - Je t’aime, murmura-t-elle en lui posant un baiser sur les naseaux. Pour toute réponse, Pegasus hennit doucement. Bonne lecture
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Je ne savais pas qu'ils faisaient de la monte western à Pixérécourt j'ai failli aller au lycée là-bas ! Et oui il y a des cours western à Pixérecourt ça fait 8 ou 9 ans maintenant, j'en ai fait quelque temps quand j'était au lycée et en bts puis j'ai arreté car j'habite assez loin de pix (120km) et je viens seulement de reprendre après 6 ans (pendant lesquels je n'ai pas du tout monté à cheval) et c'est génial Le western une fois que t'as commencé tu reviens plus au classsique
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Saison 1 episode 5 " premiers doutes"
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didy551 a répondu à un(e) sujet de dragibus55 dans Votre Club d'Equitation
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