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Tout ce qui a été posté par kti
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Mathieu est passé m'annoncer qu'il avait été reçu en seconde année de droit. Je l'ai cherché, comme d'hab : je voulais voir le papier officiel. C'était des mots qu'il prononçait mais sans diplôme. Il m'a sorti sa calculette et a additionné : 13 en droit civil 18 en droit constitutionnel 17 en droit pénal SUR VINGT ? — oui Lol! Qu'il la boucle ! Facile de fabuler. Moi, j'veux le papier ! Du coup il est reparti. J'ai pas donné ses cent euros du mois pour qu'il revienne. J'attends son retour et le papelard.
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Simon a passé son bac de français hier (l'écrit) Je lui donne douze sur vingt minimum. Ah c'était bon, d'en parler avec lui ! Un texte d'Alphonse Daudet qu'il a commenté. Il a choisi l'option «commentaire» et ses idées, j'y crois. Oui, oui, j'suis quasi sûre qu'il a pigé l'intérêt du texte. Bises à vous , j'attends maintenant l'oral et les notes PS Carlla veux-tu que je t'envoie la suite du «soleil rose» en mp ?
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Lol mes amis ! Je n'écris plus sur ma jolie Pépita (mon beau Pépito), car je suis très prise par d'autres textes. Je vous prie de m'en pardonner, j'ai moins de temps actuellement à consacrer au forum, mais je lis chaque jours les nouveaux envois. Je mets mon grain de sel, à l'occasion. Que vous dire, sinon que tout va bien ! Ils sont chous, adorables, Pépita ne se jette plus à ma figure et accepte non seulement les baisers mais également la main, depuis peu. Calypso a changé de maître. Et oui, ils ne sont pas si monogames que ça et je m'en réjouis. Il a maintenant jeté son dévolu sur Simon, qui le prend beaucoup plus souvent que moi. Pas qu'il m'encombre, le pauvre bidule, je travaille à la maison et mon épaule pourrait être idéale si je ne fumais pas tant. De peur de le voir décéder avant l'âge, les heures passées à bosser d'arrache-pied derrière mon ordi, je préfère déléguer. Alors hop ! Calypso m'aime moins ? Moi ça m'arrange drôlement ! Sitôt qu'il voit Simon, il lui fonce dessus et on se paie de bonnes tranches de rigolade, car Simon, le filou, s'amuse à esquiver. Soit il se penche, et l'oiseau poursuit son trajet, soit il s'enfuit, l'oiseau le cherche partout... Comic à donf !!! Le jeu d'hier ? Simon se cachait derrière les rideaux. L'oiseau ne le voyait plus. Alors il tournait, tournait devant les rideaux et si Simon pointait sa tête, la p'tite bestiole s'y agrippait à la verticale ! De la varape qu'il nous faisait ! Ouh...... Qu'on rigole !!! Calypso vole maintenant parfaitement, sait prendre les virages mais là où il est vraiment tordant, c'est lorsqu'il nous poursuit (c'est aussi sur moi que ça tombe). Il est têtu pas possible ! Simon s'amuse à lui apprendre le rappel. Il l'envoie sur le toît de sa cage («vole !»), se pose à distance et crie : «Couillou !» (ou siffle) : le Calypso fonce pour se poser sur son épaule. Dix fois, vingt fois, il recommence, sans se lasser. Je parle du Simon, car le Calypso pige vite. Au bout que quatre à cinq envolées, il ne se donne plus le mal d'atterrir sur sa cage, non non, il rebrousse poil directement ! Simon n'a pas même le temps de se déplacer. Bref, ce sont mes deux amours, et même si j'ai moins de temps à leur accorder, nous restons tous heureux, complices et soudés. Les calops,
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Ah ma pov'choute !!! Tu me fais revivre des tas de souvenirs de chiottes ! Marie avait de l'eczéma (depuis sa naissance : dermatite atopique, traitée au Dexeril). Donc lorsque la varicelle s'est déclarée, j'ai refusé tout contact avec l'école : la quarantaine, de rigueur, qui s'est éternisée encore un mois, vu que la varicelle sur son eczéma lui avait complètement défiguré les jambes. Je l'ai donc gardée deux mois à la maison, ma p'tite chounette (en seconde année de maternelle). Et je me suis fait engueulée !!!! Menacée de retrait et tout et tout !!!! Mais Marie n'a pas de cicatrice sur les jambes ! Et pis j'étais toubib, lol! Une ordonnance et la dirlo pouvait aller se faire voir ! Lol!
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Bientot... première naissance
kti a répondu à un(e) sujet de Emilie111 dans Discussions sur l'élevage:
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voici la voliére spéciale été de mes amours
kti a répondu à un(e) sujet de pitchounette718 dans Galerie photos:
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femelle couve sans mâle! au secours!
kti a répondu à un(e) sujet de fred17260 dans Discussions sur l'élevage:
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Je donne la suite du Soleil Rose Parce que j'ai du mal à respirer De plus en plus de mal C'est mort, c'est vain, j'suis écrivain Sans oxygène. J'étouffe LA SUITE DU SOLEIL ROSE GRATIS : Je décidai de lui faire lâcher ses bouquins l'espace de quelques jours. Mes arguments : «Oh, oh, pour le quinze août, tu peux bien t'arrêter un peu, non ? Ca te dit pas, de retourner chez le châtelain ? Marc nous y invite de nouveau... Allez, allez, le Périgord, ça ne se refuse pas !!! Souviens-toi, la piscine ensoleillée, les cocktails, la fiesta sous la lune, le foie gras, les croutons, nos fous rires !!! Et le luxe... Me dis pas que t'aimes pas en croquer, du luxe, les tentures dix-huitième, la salle de bain en marbre, le lit à baldaquin !!! Ca ne se refuse pas !» Je sus la convaincre : Lisa finit par accepter, au détail près qu’elle ne me rejoindrai pas avant dimanche. Il fallait qu’elle s’avale encore quelques polys avant de s’accorder un break : «J'en profiterai mieux la conscience tranquille... », s'expliqua-t-elle. Marché conclu ! je l’attendrai là-bas et viendrai la cueillir à la gare. Sur le quai, à 20 h 45, je récupérai une Lisa boudeuse. J’étais avec Marc, elle le salua à peine. Pour moi, un rapide baiser. Sitôt assise à l’arrière de la voiture, son bagage dans le coffre, elle s’exclama : — c’est quoi «ça» ? — ben c’est Spirou, tu ne le reconnais pas ? — oui, j’ai bien vu... Mais que fiche-t-il là ? — Frédo ne pouvait pas l’emmener à Tanger, alors il me l’a confié. On s’entend bien tous les deux, pas vrai Spirou ? — Ouarf ! opina le chien. En grimaçant, Lisa ramena ses jambes sous elle pour esquiver les puissants battements de queue (et les léchouilles, car Spirou la retrouvait avec plaisir, lui). Tout en conduisant, je jettais de temps à autre un oeil sur elle grâce au rétroviseur. Ramassée contre la portière, elle regardait défiler le paysage, visage fermé et front buté. J’étais fou de joie à l’idée de la revoir mais en même temps inquiet. Depuis deux jours que je me prélassais au bord de la piscine, à siroter du Get 27 avec la jet-society (les mêmes hommes que la première fois mais pour la plupart accompagnés d’une femme différente), je m’ennuyais ferme. Marc aussi et nous attendions son arrivée avec impatience. L’ambiance générale n’était pas terrible. Le soleil éclatait dans un ciel sans nuage mais j’avais la pénible sensation d’être légèrement de trop. Problème de place. J’avais été parqué dans un réduit sous les combles, sans rapport avec la chambre bleue à l’immense salle de bain carrelée de mon précédent séjour, et j’y cohabitais en bonne intelligence avec Spirou. Je ne savais pas comment Lisa le vivrait : cette brutale chute de classe, imprévue de moi, mon plan vacances s’avérait foireux. Si, de surcroît, elle n’aimait pas la compagnie des chiens ! Sans desserrer les dents, Lisa évitait soigneusement de croiser mes yeux. J’aurais peut-être dû l’installer à l’avant... Me prenait-elle pour un goujat ? Non, elle était au dessus de ce genre de considérations débiles... Que s’était-il donc passé depuis vendredi matin, lorsque je l’avais laissée au lit, encore ivre de sommeil et pourtant si reconnaissante ? Marc semblait déçu et moi, qui me refusais à entrer dans son jeu devant un tiers, je roulais, vite, en blaguant avec le-dit tiers, histoire de détendre l’atmosphère. — Tu conduis trop vite ! J’ai peur !... daigna-t-elle enfin articuler. Un rapide coup d’oeil au rétro et son rictus crispé m’énerva davantage que le ton sec de sa voix. J’appuyai sur le champignon, riant plus fort, serrant mes virages. Je la surveillais en douce : livide, cramponnée à son siège, Lisa ne releva pas le défi, préférant s’obstiner dans son silence. Lorsqu’elle vit la mansarde à la maigre lucarne, elle ne fit aucun commentaire et s’affala sur le lit, toute essoufflée après l’escalade des hautes marches de pierre. Je voulus l’embrasser mais elle me repoussa : — Pas maintenant, j’ai faim ! Nous descendîmes à la cuisine. Le dîner était fini depuis longtemps mais un buffet patientait à l’intention des invités retardataires attendus pour la nuit. Négligeant les amuses-bouches, Lisa se tartina d’énormes tranches de pain et but du vin, ne disant rien, mâchant seulement. Si petite derrière son coin de table qu’on la voyait à peine. Les quelques autres fraîchement arrivés, rejoints par nous dans la cuisine, n’avaient pas insisté après le rapide bonsoir d’usage. Sur sa personne entière était écrit : «prière de ne pas déranger» et moi qui la connaissais bien ne m’y risquai pas non plus. Cependant, une fois au lit, lumière éteinte, l’un contre l’autre à poil, je tentai une approche. Elle consentit, bien entendu. Enfin, elle répondit «oui» de la bouche, mais sous mes caresses, tout son corps s’enraidit : impénétrable par derrière et c’est son dos qu’elle m’offrait. Exaspérant : j’avais envie, pas elle. — Il est indispensable, ce chien ? me lança-t-elle soudain — Spirou ? ... Pourquoi ?... Il te gène ???? — ... — Tu veux virer Spirou ? Et où veux-tu qu’il aille, le pauvre ? ... Frédo me l’a confié, je ne peux pas le laisser dormir dehors ! Lorsqu’elle prit mon vit dans sa bouche, comme pour s’excuser, ce fut sans conviction, douloureux même. Lisa s’appliqua un instant, studieuse, puis releva la tête et la secoua, dégageant son visage de ses mèches : — Non, décidément, je ne peux pas. Elle se décolla pour s’installer à distance. La mort dans l’âme, je me levai pour sortir de chien, mais sitôt la porte fermée, Spirou se mit à la gratter, le malheureux, de toutes ses pauvres forces, au risque de réveiller le château. Je cédai. Après tout, Lisa exagérait : ce berger Allemand était très bien élevé, un peu encombrant, certes, mais lorsqu’il s’allongea sur son tapis, le museau enfoui sous la patte, il disparut dans le décor. Lisa ne dormait pas. J’écoutais les silences de sa respiration. Etendue sur le dos, yeux grands ouverts, elle fixait le plafond. Perturbé moi aussi, j’étais partagé : entre l’envie de lui en vouloir, pour la frustration immédiate qui parachevait ma déception, après ces longues heures à l’attendre...... Cette fille agacée, étrangère, imprévisible, que venait-elle faire dans ma vie, dans mes vacances et dans mon lit ? Je me savais de mauvaise foi. Bien sûr, je l’avais dans la peau, je la voulais, dans ma vie, mes vacances et mon lit ! Peut-être était-elle excusable, avait-elle une raison valable de me malmener ainsi... Mais elle restait obstinément silencieuse, ne s’expliquait pas, les yeux impertubablement rivés au plafond. J’étais partagé, disais-je, entre l’envie de lui taper dessus et celle de comprendre d’abord. Je la pris dans mes bras. J’aurais souhaité qu’elle s’y love, voire éclate en sanglots. Je ne demandais que ça, la consoler, écouter ses misères, lécher ses larmes... Je me sentais prêt à la meilleure volonté du monde, à toutes les patiences, si au moins, elle acceptait de se confier. Soudain, Lisa se dégagea et rompit le silence : — j’ai recouché avec lui Aie ! L’uppercut !!!! Eh merde !!! Tout, tout, tout, mais pas ça !!! Et pis lequel d’abord ? L’ex ou Skander ??? Je n’eus pas besoin de poser la question. Contre toute attente, le reste vint facilement. Le coup avait été donné, le pas franchi, l’abcès crevé, il ne lui suffisait plus qu’à désinfecter, panser la plaie, ou revenir en marche arrière, fermer la porte : «Mais non, je blague !!!» — Ecoute, continua-t-elle... Je n’étais pas d’accord, crois-moi... Tu me crois, dis ??? Enfin... la première fois. (Ah ! parce qu’il n’y a pas eu qu’une fois), pensai-je au bord de l’attaque d’apoplexie... Garde ton sang-froid Martin, calme-toi... Inspire, expire, résiste à cette envie géante de lui tordre le cou. — Tu te souviens quand tu m’as déposée devant chez moi, rue des Saules, le premier jour ? ... Tu n’es pas monté... Eh bien, tu aurais dû... (ça va être ma faute) — ... parce qu’il était là, ce traître... Il ne partait que le lendemain, il m’attendait ! (Bon, un guet-apens... Peut-être pouvais-je passer l’éponge, pour CETTE FOIS du moins.) — ... Et il m’a fait la comédie toute la nuit ! Bien sûr, très gentleman d’emblée, il m’a laissé le lit et s’est installé sur le canapé du salon. Mais dès la lumière éteinte, il s’est mis à m'appeler, à geindre... Tu vois ce que je veux dire... Un homme qui cherche par tous les moyens à parvenir à ses fins, t’as pas besoin de détails... Moi, j’ai bien résisté une heure ou deux mais quand il a doublé la dose, quand il est venu carrément s’allonger contre moi... Je l’interrompis, la suite m’aurait été insoutenable : — Bon, cette fois OK. Mais tu l’as jeté le lendemain, j’espère ?... Tu pouvais oublier, tirer un trait, ne pas même m’en parler... — Je ne t’en ai pas parlé. Ca n’avait aucune importance... Je ne pensais qu’à toi, je n’avais pas l’impression de te tromper : il me violait, un point c’est tout ! — Et alors ? — Alors il a quitté les lieux le lendemain, comme prévu sur son planning. Je t’avouerai que son départ m’a soulagée. — OK, OK, tu vas me faire pleurer. La suite ? Je ne parlais plus, j’ordonnais. Mâchoires serrées, je n’étais plus capable de comprendre, j’attendais. Des mots qui allaient suivre, je savais que dépendrait notre futur. Les lèvres de Lisa tremblaient, ses mains aussi. Elle s’était redressée pour me raconter son aveu, le drap remonté sur son corps nu qui frissonnait. Je croyais voir perler des microlarmes au coin de ses yeux mais qui ne m’émouvaient pas. J’avais presqu’aussi honte qu’elle mais pour une toute autre raison : je me sentais soudain capable du pire, plus que de la tuer, l’envie de lui faire mal m’oppressait. D’arracher son drap, de lui cracher dessus, de la griffer, de la mordre, de la couvrir de coups, de la trucider, de la massacrer, de la lapider, de lui décalquer sa jolie tronche. Une espèce de spirale infernale, un tourbillon qui m’emportait vers la démence. — Et alors ? relançai-je, bandé comme un arc. — Et alors... je me suis plongée dans mes polys, comme tu sais... (Oui, ça, je savais : elle n’avait accepté de me voir que trois fois en dix jours.) — Et puis ?... Je n’en pouvais plus. Au FAIT, qu’elle en vienne au FAIT ! Qu’elle la finisse, son histoire !!! Je ne souffrais pas encore assez, je pressentais le coup mortel qui allait m’achever. — Et puis il est revenu le week-end dernier... (donc hier, si j’ai correctement suivi). — Il avait écourté son séjour, sauté dans un avion, comme ça, d’un coup de tête, sans même prévenir ses hôtes !... Parce qu’elles étaient trop dures, ces vacances en famille, tandis que je m’éloignais pour de bon... Parce qu’il ne pouvait pas attendre sous le soleil que le destin nous sépare, sans tenter de jouer sa dernière carte. Il fallait qu’il revienne, qu’il me prouve que tout était encore possible. Il souffrait trop sans moi, il ne pouvait vivre sans moi. Il allait changer, m’aimer comme il fallait, comme je le lui demandais depuis cinq ans... Il était prêt, mûr, assagi, il voulait enfin qu’on construise, qu’on reprenne la vie commune. — Et toi ? — ... — ET TOI ? — Moi ?... Je crois qu’on a encore une chance. Voilà. Message reçu. Bizarrement, je me senti soulagé... Après tout, présentée comme cela, la vie semblait si simple, aussi triviale qu’un problème de robinetterie sur une copie de CM1 : «un homme et une femme s’aiment mais se déchirent. Lassée, la femme s’en va, et rencontre un autre homme. Le numéro un, d’abord confiant, s’inquiète tout-à-coup de cette nouvelle romance. Et réapparaît, humblement. Quel est le poids du numéro deux, dans la balance de cette femme ?» Cinq ans contre deux mois, le calcul était vite fait. J’étais presque prêt à lui donner raison, ma haine volatilisée. Je ne répondis rien. Lisa ne renchérit pas. Le sommeil vint nous surprendre alors que pour la première nuit, je ne la serrais pas dans mes bras. Je me réveillai avec une question : si tout était si évident, si Lisa repartait sur de nouvelles bases avec l’homme de sa vie, s’il était prêt à la reprendre, malgré moi, à cause de moi, ou grâce moi, si elle y croyait de nouveau, pourquoi m’avoir rejoint ici ???? A peine levée, Lisa avait replié bagages, téléphoné à la gare pour s’enquérir de l’horaire du dernier train, remercié nos hôtes. Je ne tentais même pas de la retenir. La version officielle, aux yeux de sa conscience et pour rester honnête vis-à-vis de lui et de moi, c’était venir proprement me dire les choses en face. La mission accomplie, elle pouvait s’en retourner. Journée faisant, je réfléchissais en fléchissant mes positions. Du réveil glacial que je lui avais réservé jusqu’à la laisser choir à midi pour déjeuner en ville avec Marc, je commençais par ne rien lui épargner : elle m’avait salement cocufié, elle se barrait, bon vent ! Sous le zénith, j’étais encore terriblement monté contre elle. Puis, peu à peu, tandis que le soleil déclinait, la question se clarifia jusqu’à devenir l’évidence : la jalousie n’était pas de mise, fallait la jouer plus fine. Je refusais de souffrir, cette fille était à moi et l’autre schnock avait fait son temps, non mais sans blague ! Je n’allais pas m’avouer vaincu devant un locdu qui espérait me la voler en deux coups de queue, quelques gérémiades et une floppée de promesses, certainement vaines... Je connais les mecs, et pour cause. Pour récupérer ma Lisa, fallait seulement que je la joue fine, que je me fasse plus roublardos que lui. Deux mois contre cinq ans !!! Pfuitt..... Balivernes ! Entre le vieux marathonien et le bel outsider, le temps ne comptait plus. Cette adorable gueuze me filait entre les doigts, venait de jouir dans les bras d’un autre, prenait le dernier train pour courrir s’y frotter de nouveau, cette fille trop bonne à croquer, à nourrir, à respirer, à bercer, partait cette nuit rejoindre mon rival, si dangereux du passé partagé. Je n’avais que mon charme pour le contrer. Le charme de la nouveauté. Je décidai de rentrer à paris, le soir-même, avec elle.
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la reconnaissance des oiseaux !!!
kti a répondu à un(e) sujet de poulette11 dans Discussions sur le comportement des perroquets:
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Moi non plus je ne mets pas mes oiseaux au contact de ma salive. Je garde toujours la bouche fermée quand Pépita me bécotte. Par hygiène et dans les deux sens. En revanche, je connais une jeune femme qui élève des perroquets et qui le fait depuis toujours (plus de 20 ans qu'elle leur propose des friandises entre ses dents). Elle me dit ne jamais avoir eu de problème...
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Concours Vos meilleures photos drôles ou insolites !(fini)
kti a répondu à un(e) sujet de enzototi-paradis-bec-crochu dans Perroquet café:
Là Vini je vais te faire ton affaire !!! MES CALLOPS SONT SUPER BELLES ET VIENS PAS FAIRE LE MARIOLLE CHEZ MOI CAR JE T'ENVOIE MES DEUX OISEAUX QUI VONT TE BOUFFER LES OREILLES !!! AH AH AH TU NE CONNAIS PAS PEPITA ! DÉFIGURÉE QUE JE SUIS, PAR AMOUR ! ELLE EST TRÈS AFFECTUEUSE, VEUX-TU UN AUTRE SUCRE DANS TON THÉ ? OHO OH OH Y'A PAS QUE LES GRIS OU LES VERTS OH OHO OH ON T'ATTEND POUR LE THÉ ! -
Pour te répondre Coui-Coui, je n'ai pas hâte que mes deux oiseaux m'offrent une descendance. Je préfèrerais que ce soit deux mâles, en fait, je n'en sais rien. Je n'y pense pas plus que ça, Pépita est trop jeune. Là où j'ai quelques convictions, c'est que je persiste à croire que Calypso est un mâle et Pépita une femelle. Pourquoi ? Je ne sais. L'un est pataud là ou l'autre est très fine. Ca se voit à leur façon de manger, de chanter, de nous approcher, de nous séduire. Je me plante peut-être à cent pour cent, mais pour moi, Calypso est un mâle (un bourrin affectueux) et Pépita une femelle (une messaline). J'ai tout mon temps, pas prête du tout pour l'élevage. Calypso ne peut être une femelle, oulahhhhhhh lui, une femelle ??? Pépita je ne sais pas..... Mais je pense que c'en est une. Elle est très fine, physiquement, très délicate. Et puis, y'a son comportement. Calypso est un véritable camionneur. Il quémande son amour, à peine s'il détruit pas les vitres pour les traverser. Pépita attend qu'on vienne la chercher. Et elle mimique, beaucoup. Bref, on verra Mais au total, je ne suis pas prête pour la repro.
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Si j'avais su !!! (merci Coui-Coui, pour les suivants) Je n'ai qu'une anecdote sur la varicelle. Bof, elle vaut ce qu'elle vaut : Mon petit frère l'attrape à l'école, il a onze ans. Moi douze, et nos parents avaient tout réservé pour des vacances d'été en Grande-Bretagne. Mon frère guéri, ils priaient le ciel dans le ferry-boat Dunquerke-New Heaven. Pas de bol, j'éruptionne dès mon arrivée sur le sol british. Tout le périple, minutieusement prévu par mon papa, de ville en ville, on cache mon état et on me demande de laisser mes cheveux pendre devant mon visage. Plus de raie au centre, en somme, les cheveux dans les yeux en permanence. OK je visite mal le Royaume-Uni. (Mais je m'en fiche vu que j'ai onze ans) On rentre enfin en France. J'étais guérie. Et là, on apprend quoi (véridique) : «la reine d'Angleterre soignée de la varicelle »....... Sur TOUS les tabloïds !!! Putain! j'avais fourgué mon virus à la Reine !!! Balaise quand même !!! (enfin, j'ai pas trop trop crâné, vu que c'était le virus de mon p'tit frère)
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Moi, mon secret, c'est que je les attrape la bouche pleine (Mes deux oiseaux) Je ne me nourris que de saletés (junk food) = cacahuettes, pistaches, microbout de gruyère, salade verte... Bref, je picore tel un oiseau, Pépita s'intéresse à chaque fois que je mastique. Elle me vole dessus et suit les mouvements de ma bouche fermée avec vachement d'attention. J'adore comme elle est concentrée ! J'avale, mais me reste l'odeur de tous ces mets d'oiseau, alors elle monte à l'attaque, me vrille les lèvres pour que je les ouvre !!! Elle m'embrasse tant et tant partout que j'ai : - des griffures sur mes deux épaules - des traces de bec au dessus de la bouche (ça cicatrise mais comme elle recommence tous les jours, j'ai une petite moustache rouge permanente) - l'oeil, oui, elle m'a fait péter un vaisseau sur la paupière sup ! Quand je me suis promenée tout à l'heure, j'ai réalisé que j'étais couverte de ses balafres. Hihi, mon mari me bat !!! Calypso, non, jamais. Il ne me colle jamais ainsi.
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Pas en médecine, mais à l'école, la directrice m'a dit qu'il y avait un produit ???? Pour qu'ils se grattent moins, dans l'objectif d'éviter les cicatrices. Car ce sont des cicatrices de grattage, surtout. Mais je ne sais lequel. En médecine, on en parle pas. Y'a le vaccin maintenant, mais quand l'éruption est en cours, le vaccin ne sert plus à rien. Faut éviter qu'ils se grattent. Moi, j'occupais les mains de Marie le plus possible.
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Mes trois enfants l'ont eue !!! Mat et Sim, peu de souvenir (y'a quinze ans) Mais Mariquette, comme j'ai pleuré sur ses boutons !!! Il me reste perso des cicatrices indélébiles (de ma propre varicelle), deux sur le front surtout, on m'a même dit un jour que c'était un terrain de golf ! L'autre à la commissure des lèvres et ça fait ride avant l'âge. Marie a maintenant une cicatrice sur l'un de ses petits seins. J'espère qu'elle n'en souffrira pas et que personne n'osera la critiquer ! Bon courage, ils n'en meurent pas, mais je sais que c'est dur.
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Concours Vos meilleures photos drôles ou insolites !(fini)
kti a répondu à un(e) sujet de enzototi-paradis-bec-crochu dans Perroquet café: